Ragondindam
Dans le campement de lArmée Celle-là tu l'auras pas vu venir !
Apres avoir préparé tous les préparatifs dune guerre, armement, armure, Ragon et sont armée partirent vers le Bourbonnais-Auvergne, afin de contrer une armée qui sétait évanouie dans la nature, bref le Capitaine savança dans les terres en essayant de trouve le moindre ennemi à se mettre sous la dent.
A peine le camp fut établi a Montluçon que celui-ci du plier bagage et repartir en direction du nord, les Soldats se demandaient ce qui se passait: Devions-nous retourner chez nous ? Allions-nous partir vers la destination tant attendue ?
Ragon ne disait rien pour les tenir en excitation pour la moindre occasion qui aurait pu soffrir à eux.
Lattente se faisait longue pour tous, même le Colonel nen dormait plus, avec plusieurs membres de lEtat Major de lOst Bourguignon, ils montèrent des plans, essayaient de trouver des idées.
Le Baron Wolfar qui était Capitaine de Bourgogne, donna les ordres qui plus tôt dans la journée avaient été discutés dans les bureaux des membres alliés de la Couronne de France ; les ordres étaient de se rendre sur le nud sud de Bourges en plein territoire ennemi et de rallier celui-ci au Bourbonnais-Auvergne.
Ragon fit replier paquetage et tentes en moins de temps quil en fallait. Tous étaient sur le pied de guerre. Ca allait commencer à bouger un peu plus.
Arrivée a destination, larmée « Celle-là-tu-l'auras-pas-vu-venir » prit position et fit monter tout ce quil fallait. Le temps semblait tout à coup moins long dans le campement.
Les Soldats se préparaient, certain aiguisaient leur lame, dautres nettoyaient leur lance ou armure, dautres encore sentraînaient un peu plus afin dêtre assez agiles et forts durant les combats.
Les divers membres alliés eux préparaient cette guerre qui allait dun jour a lautre prendre rage. Ca serait la cohue quand tout le monde prendrait les armes pensa til.
Au petit matin du 1 septembre de lan de grâce 1459, il reçut lordre dapprocher les remparts de la ville de Bourges.
Le Capitaine et Colonel firent appeler tous leurs Soldats en leur redonnant les consignes établies quelques jours plutôt.
La petite entrevue faite, Ragon appela sa sur Maud à le rejoindre dans sa tente.
Alors la girouette test prête à bouger ? Toi qui m'as pompé lair toutes les heures pour savoir ce que nous allions faire. Puis casser les pieds à sortir du campement et dy revenir
Puisque tu es là et que tu veux tant faire mumuse en te battant, prends létendard, porte-le haut surtout toi qui est petite, dit il en riant, pour lennuyer un peu à son tour.
Elle lavait bien cherché. Cela allait de soi quil devait rendre la pareille dune manière ou dune autre.
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Apres avoir préparé tous les préparatifs dune guerre, armement, armure, Ragon et sont armée partirent vers le Bourbonnais-Auvergne, afin de contrer une armée qui sétait évanouie dans la nature, bref le Capitaine savança dans les terres en essayant de trouve le moindre ennemi à se mettre sous la dent.
A peine le camp fut établi a Montluçon que celui-ci du plier bagage et repartir en direction du nord, les Soldats se demandaient ce qui se passait: Devions-nous retourner chez nous ? Allions-nous partir vers la destination tant attendue ?
Ragon ne disait rien pour les tenir en excitation pour la moindre occasion qui aurait pu soffrir à eux.
Lattente se faisait longue pour tous, même le Colonel nen dormait plus, avec plusieurs membres de lEtat Major de lOst Bourguignon, ils montèrent des plans, essayaient de trouver des idées.
Le Baron Wolfar qui était Capitaine de Bourgogne, donna les ordres qui plus tôt dans la journée avaient été discutés dans les bureaux des membres alliés de la Couronne de France ; les ordres étaient de se rendre sur le nud sud de Bourges en plein territoire ennemi et de rallier celui-ci au Bourbonnais-Auvergne.
Ragon fit replier paquetage et tentes en moins de temps quil en fallait. Tous étaient sur le pied de guerre. Ca allait commencer à bouger un peu plus.
Arrivée a destination, larmée « Celle-là-tu-l'auras-pas-vu-venir » prit position et fit monter tout ce quil fallait. Le temps semblait tout à coup moins long dans le campement.
Les Soldats se préparaient, certain aiguisaient leur lame, dautres nettoyaient leur lance ou armure, dautres encore sentraînaient un peu plus afin dêtre assez agiles et forts durant les combats.
Les divers membres alliés eux préparaient cette guerre qui allait dun jour a lautre prendre rage. Ca serait la cohue quand tout le monde prendrait les armes pensa til.
Au petit matin du 1 septembre de lan de grâce 1459, il reçut lordre dapprocher les remparts de la ville de Bourges.
Le Capitaine et Colonel firent appeler tous leurs Soldats en leur redonnant les consignes établies quelques jours plutôt.
La petite entrevue faite, Ragon appela sa sur Maud à le rejoindre dans sa tente.
Alors la girouette test prête à bouger ? Toi qui m'as pompé lair toutes les heures pour savoir ce que nous allions faire. Puis casser les pieds à sortir du campement et dy revenir
Puisque tu es là et que tu veux tant faire mumuse en te battant, prends létendard, porte-le haut surtout toi qui est petite, dit il en riant, pour lennuyer un peu à son tour.
Elle lavait bien cherché. Cela allait de soi quil devait rendre la pareille dune manière ou dune autre.
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