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[RP/IG] Bericons, brecons, potons, TOURANGEAUX

Leinad
[A Tours, loin d'elle...]

Il est sur deux fronts, celui de la trésorerie du Duché, mais aussi sur la défense de la capitale.

Après une longue journée à jongler avec les chiffres, le soir venu, au lieu de rejoindre sa douce, ce sont les remparts de la capitale qu’il rejoint. Arme à la main, en rang serré, avec ceux de la « Semper Fi » il est prêt à embrocher le premier qui oserait s’approcher.

La nuit est longue dans ce genre de situation. Attendre et ne pas faillir. Alors, ses pensées s’envolent vers celle qu’il aime tant, sa douce Othile.
Elle est partie engagée avec la « Semper Vivum ». Elle sa douce amie. Elle si fragile. Elle qui ne ferait pas de mal à une mouche. Pourquoi ?!

Peut-être que s’il avait été un peu moins pris par ses obligations, que s’il avait été plus souvent au prêt d’elle, il aurait pu la retenir, mais…

Les regard perdu, il essaie de ne pas penser au pire et préfère songer aux instants de pur bonheur qu’ils vivent ensemble à chaque fois qu’ils se retrouvent. Comme pour se rassurer, il se dit qu’elle n’est pas seule, des frères d’armes veilleraient sur elle.

Une nuit comme les précédentes, à part les chiens errants rien. Le jour se lève, Il salut ses frères d’armes puis regagne le château. Là des bruits cours, pas de bonnes nouvelles malheureusement. On parle de la « Semper Vivum ». Combat ?! Violent semble-t-il ! Des pertes…

Il ne voulait pas y croire. Mais il fallait se rendre à l’évidence, les rapports semblent le confirmer.

Mon Dieu, pas elle, je vous en conjure ! Dit-il en serrant les dents.

Il ne tenait plus en place, il voulait savoir. A ce moment-là, un messager l’interpelle et lui tend une missive. Il ne prend même pas la peine de le remercier, ouvre et découvre que c’est elle. Elle lui a écrit ! Avec tant d’émotion, il tremble en la lisant.


Citation:
Mon doux et cher ami,

les ordres de marche sont donnés, cette nuit je livrerai combat.

Comme il m'aurait plu de partager cette nuit claire à vos côtés!
Nous aurions pu bavarder de notre bel avenir, moi, la tête sur votre épaule, vous me ceignant de vos bras forts et protecteurs.

J'ai peur...

Peur de la folie meurtrière de ces enfants de Dieu qui se battent pour un lopin de terre
Peur de l'ambition qui dévore le Noble comme le plus humble!
Peur de ne plus entendre la Sainte Parole et céder à la tentation du Sans Nom, dont la voix s'immisce jusque dans le cœur du plus innocent.
Peur de n'avoir pu embrasser vos lèvres et de ne jamais pourvoir le faire.

Mon cher et tendre ami,
si Dieu ne me laisse pas le choix et me garde à ses Côtés, sachez que que mon amour est vôtre et que je vous envoie mes plus douces pensées.
Othilie.


Levant la tête au ciel, il espère que Dieu lui aura laissé le choix. Il quitte son bureau avec la rage au ventre, cherchant à savoir. Qui ? Qui ? Qui peut lui dire ?

_________________
Dragones
Chinon, campement de la Béatritz: les dés étaient Pipés..

La Brune est sur sa jument, sa main droite pas totalement remise tient les rennes.
La main gauche guère habituée tiendra la rapière, en attendant celle-ci est posée sur sa cuisse.
Dragones fait le vide dans sa tête, comme souvent lors de combat sa chevelure est tressée et tombe dans son dos.
Point d’armure ou de casque, elle n’en a jamais porté et n’en portera pas. Même quand elle avait été dans la garde territoriale chez elle, elle n’en portait pas.
Regard vers Eloa puis Arth, grande respiration fut prise et léger talon à sa jument pour rejoindre le Capitan…

Elle entoure les rennes sur le pommeau de la selle, le bouclier est tenu par sa main droite et la rapière dans sa main gauche.
La Brune murmure quelques paroles à Iroise, elle est prête…
L’armée s’élance lentement puis le galop, ils rejoignent les armées amies, le combat y fait rage.

La nuit est sombre, des cris se font entendre, l’instinct lui fait brandir sa rapière et parer le premier coup.
Elle enchaine les passes, les esquives, frappant et se protégeant comme elle peut.
Ses entrainements avec sa main gauche portent leurs fruits, la rapière est maniée correctement…
Dragones ne sais plus d’où vient les coups et à qui elle les donne tant la bataille est un chaos total.
Dans ses échanges de lames, elle essaye de voir où est Eloa et Arthanagor en vaint…

La bataille commence à s’essouffler, l’aube pointe son nez, un mouvement attire son œil.
Elle sourit en la voyant et répond à Eloa en levant sa main.
Il lui restait de savoir où était l’écossais…
La Brune cherche mais ne le trouve pas, elle quitte le champs de bataille retour au campement espérant l’y retrouvé ainsi que les autres compagnons d’arme.
Elle s’élance vers Chinon…



24-07-2011 04:06 : Vous avez été attaqué par l'armée "Phenix de Saintes" dirigée par Theodebert, l'armée "Compagnie Che Guevarrec" dirigée par Monsieurpatate, l'armée "Les Aigles de Thouars" dirigée par Lafarmaciene, et l'armée "La légion des Ombres" dirigée par Leducg.

_________________
--Melchior_et_balthazar


{...Aux alentours de Chinon...}

Un champ de bataille...
Pour certains, spectacle désolant. Pour d'autres de leur espèce, une aubaine: Ils pouvaient y trouver parfois quelques richesses que les combattants, par superstition, emmenaient avec eux.
Fouiller les cadavres ne les rebutait pas, et manifestement, ici, les combats avaient été violents. Déjà les corbeaux venaient picorer les yeux des corps a terre, poussant comme un cri de joie leur croassement.

Il avait déjà retourner plusieurs hommes restés au sol. Certains, agonisant poussaient un dernier grognement lorsque d'une main ferme, ils arrachaient les livrés, coupaient les lanières des cuirasses pour trouver un reliquaire ou quelques écus de bronze, quand il tombèrent sur ce qu'ils prirent, dans leur ignorance pour un démon. L'homme baignait dans un flaque de sang, se tenant l'abdomen. Son visage, pale, grimaçant semblait encore plus effrayant a cause des marques de teinture bleue qui lui rayaient le visage. Melchior avança le bras pour le fouiller quand même quand un main se referma sur avant-bras. Il regarda son compagnon
:

Quoi?!

Ben....t'vois donc point qu'c'est p't'etre un envoyé du sans nom? demanda balthazar en se signant....j'veux point d'histoires avec le très haut moué !!!

C'est un cadavre.....un cadavre comme un autre dit en réponse Melchior...et on a une famille a nourrir

Il avança encore la main. et grimaça en entendant un murmure....un murmure qui semblait venir de "mort". Balthazar pâlit , trembla et approcha son visage de celui du moribond. L'homme n'eut que le temps de dire, crispant avec une force insoupçonnée sa main sur le col de son sauveur effrayé:....Me...menes moi à...à...la Béatritz....de...demandes Dragones...avant de sombrer inconscient.

N'écoutant que leur courage relatif, les deux pécores portèrent le malheureux jusqu'au campement qu'ils connaissaient pour y avoir chaparder quelques fûts de vin en douce. Dragones...c'est surement pas eux qui allaient chercher se types. Eux ce qu'ils voulaient, c'est éviter les ennuis, continuer les affaires en étant le plus discret.
Ils posèrent le blessé devant une tente...bien visible et s'enfuirent silencieusement.
Ils pensaient , ayant accomplis ce geste, racheter une partie de leurs fautes envers le très haut....qui sait?
Lilouz
[Vers la Mort]


Lilouz avait été en tête de sa section. Si quelqu'un doit prendre en premier ca serai elle et elle en était pleinement consciente !

Plus elle avançait, plus elle entendit des coups d'épée, des cris... elle regarda en arrière et fit un signe de tête à sa section !


Que dieux vous garde !

elle se retourna et ils coururent tous ensemble... En face, ils étaient bien nombreux et le reste de sa section s'éparpillait ! c'est alors qu'elle fut prise en embuscade... 3 types qui tournaient autour d'elle, se souriait... Elle mis en avant son bouclier pour se protéger. Elle donna aussi quelques coups d'épées en arrière mais le troisième en profita pour lui arracher son bouclier.

Elle savait qu'elle était condamnée... Elle hurla alors :


Même si je meurs, vous ne gagnerez pas !

POUR LA TOURAIIIIIIIIINE !!!!


Elle prit de l'élan et attaqua en tournant sur elle-même avec son épée à bout de bras !

C'est à ce moment là quelle se stoppa net.

Ils avaient tous les trois enfoncé leur épée dans le corps de Lilouz.
Elle regardait au loin... le visage vide... pensait à ses enfants, à son époux qui lui aussi était en guerre et donc en danger... puis sa vue devint flou et là... le visage de son parrain lui apparu.... suivi de ses amis disparus...

Elle tomba alors sur ces genoux et senti une à une les lames sortir lentement de son corps... d'abord l'une qu'elle n'osa regardé... enfoncé juste au niveau du cœur... mais il battait encore... elle le sentait... elle l'entendait... elle n'entendait plus que lui ! Son sang coulait le long de son ventre, réchauffant sa peau froide... la deuxième lame sorti de ces côtes ... à gauche... elle avait l'impression qu'elle lui passait dans le dos. La troisième avait traversé son bras droit et toucha un de ces seins... mais pas beaucoup... quand l'épée ressorti, elle avait l'impression que son bras partirai avec... mais il n'en était rien...

Elle les vit partir... et regarda l'un d'entre eux se faire massacré !
Elle mit ces mains devant son visage et essuya des larmes qui coulaient toutes seules...

Elle voulu dire le nom de son époux mais ces lèvres remua sans sortir aucun son... Elle s'écroula au sol... et le ciel s'assombrit... Elle n'entendait que son cœur battre et senti un peu le vent sur sa joue... Il faisaient tellement chaud malgré ce temps maussade, p-e était-ce la douleur.

Lilouz ressentit alors une extase soudaine et se mit à sourire... Puis après un long moment, une voie se fit plus forte, celle d'Esta...

Elle se senti transporté... p-e était-ce le cas...

Elle tendit la main à Ruthenix qui lui parlait doucement... La mort l'avait rendu tellement calme et souriant...


Ce n'est pas encore ton tour, il faut que tu restes, mais ce petit temps dans la mort te rassurera désormais car tu sais que je t'attendrais.
Retourne avec ces têtes d'ail de vivants, car ils ont encore besoin de toi !


Elle ferma alors les yeux, paisiblement... elle s'endormit...

Elle réveilla quelques heures plus tard... endoloris et souffrante... elle avait chaud, elle avait froid mais elle était en vie... Elle était inquiète... apparemment, beaucoup de blessé était autour d'elle... et contre elle, bien serré...

Elle reconnu la charrette d'Esta.

_________________
Lilouz du Val de Loire, Baronne de Bourgueil
Dragones
A Chinon...Les premiers soins...


Le campement était bien calme, les hommes et femmes se regardaient hagard se demandant comment avaient-ils réussi à rester vivant…
La Brune descend de sa jument, sa jambe droite affaiblie ne la soutient pas.
Elle se rattrape à la selle et se redresse.
Dragones va s’occuper d’Iroise la pensant et la soignant.
La jument s’en était sorti indemne comme elle, Dragones la câline et lui donne une donne sa pitance…

En boitant elle retourne vers les tentes et voix deux hommes battre en retraite.
Hey vous deux ! Revenez !
Les deux hommes poursuivirent leur course, la Brune n’avait pas la possibilité de leur courir après…
Elle se dirige vers le lieu qu’ils avaient quitté quand elle le vit sur la civière…
Arth !
En clopinant, elle court le rejoindre en maudissant le destin…
Elle se penche sur l’écossais pose une main près de sa bouche.
La Brune sent le souffle sur sa main, elle soupire rassurée.
Dragones le détail et grimace en voyant l’entaille au ventre et le carreau d’arbalète à l’épaule.
T’as intérêt de tenir sinon j’en connais une qui va…
Dragones préfère pas finir sa phrase, se relève et regarde autour d’elle.
Toi, là-bas !...Oui toi, trouve un autre soldat et aider moi à le porter jusqu'à cette tente !
L’homme dans un premier temps avait hésité lui semblait-il puis finalement…
A vos ordres dame de la Mirandole !
En attendant l’arriver des deux soldats, la Brune prend la main de l’écossais et se penche.
Reste avec nous, ton heure est pas encore arrivée…
Bruit de bottes, elle se relève…
Dépêchez vous et après apportez moi de l’eau.
A vos ordres!
Dragones va dans sa tente et récupère sa besace et un coffre…
_________________
Taros
[Quand la Pictavie s'en mêle : Nuit du 23 au 24 juillet.]

Fier représentant de sa patrie imaginaire, l'oeil amusé, notre guerrier improvisé poussant pied devant l'autre s'acheminait vers a) Une mort atroce. b) Une gloire mal gagnée et éphémère. c) Une indifférence navrante. Bref, peu importe, parmi ses compagnons, suivant le Patatissime, sous couvert de sourire narquois, il couvait quelques damnations et idées sombres.

Pour ce qu'il est de damner, il avait l'embarras du choix : sa targe trop épaisse et lourde dont la sangle lui sciait l'épaule, son épée de seconde main plus ou moins balancée et rouillée dans les coins. (Dieu sait combien il y a des coins dans une épée!) Enrôlé dans une armée sur un coup de tête alors qu'il était dans un état lamentable, pris dans la pire position concevable à son sens dans une guerre, en face de l'ennemi. (Je tiens à noter que le mot ennemi n'est aucunement suggestif, l'ennemi, il est con, il croit que c'est nous l'ennemi.)

Enfin, je vous évite les idées sombres, parce que sinon on en a pour des mois et puis ses petites bebêtes, ça intéresse personne. (Ha si? Bah, tant pis hein!) Toujours est-il que pour arriver à la conclusion de l'introduction, après avoir sué... de l'eau.. (Oui oui! On sue pas le sang, ni le corps, ni l'âme, on sue de l'eau!)

La longue marche achevée, il finit par débarquer dans une sorte de champ. La compagnie se poste sur un flanc, ce qui est loin d'être mal, parce que ce qui est pire qu'être en face de l'ennemi, c'est d'être au milieu en avant en plus. Suivant cette logique (irréprochable) le brun prend bien soin de se mettre le plus sur le flanc possible de sa troupe. S'ensuit la bêtise habituelle, on se fonce dedans, on se fait mal, dieu qu'on aime ça. Un peu trop attaché à sa oh combien douce et inestimable.. peau, le fier personnage fait bien attention de ne pas croiser le fer, reculant, louvoyant, feintant, toujours est-il qu'un Périgourdois autrement enthousiaste se décide à s'avancer un peu plus dans les rangs du Général Patate. Ne faisant ni une ni deux, il fait un pas vers sa victime qui occupée à ne pas se faire occir par en avant est peu alerte aux oxydations latérales. (Oui, elle est nulle.) Profitant que l'autre lève haut le bras d'épée, il plonge la pointe de sa lame sous le bras, dans l'aisselle qui n'est pas couverte par l'armure de plaque pour des raisons de mobilité.

La lame tranche tissu puis chair, gravant sa marque immortelle et prélevant son tribut de sang. Peu longtemps après, le repli étant sonné, le Pictavien décide qu'à défaut de mener l'assaut, il guidera les autres dans le chemin de la retraite.
Bitterly
[Mais qu'ils sont cons... Mais qu'ils sont cons !]

La brune elle s'en fichait comme d'une guigne d'aller "conquérir le barbare ponant" mais alors sacrément ! Du haut des murailles de Chinon, elle se contentait de voir venir l'envahisseur, prête à le repousser s'il mettait un pouce sur le sol Tourangeau. De temps à autres, en taverne ou ailleurs, elle entendait une conversation à relater, repérait des personnes à dénoncer - boooh pas bien - ou mieux encore relevait son courrier où se nichait parfois quelques perles ! Ce jour là c'en était d'ailleurs une sacrément grosse. Tout commença avec le nom de l'expediteur "Gwenael". Elle n'en connaissait aucun et ça sonnait sacrément Breton, donc allié du Ponant, donc à l'heure actuelle : ENNEMI. M'enfin, elle ouvrit tout de même le pli grossièrement fermé.



Tourangeaux, Tourangeoises !


- 'Tain mais quelle carpe frite ! ON DIT TOURANGELLES, INCULTE ! Hum... S'enerver toute seule en taverne ça fait mauvais genre, surtout quand il y a du monde autour, elle poursuivit donc sa lecture en tentant de réprimer ses pulsions exterminatrices qui faisaient plus que surface ces derniers temps.




Cette guerre n'est pas la votre, elle est payée par la noblesse pour son bon plaisir avec vos propres sous !


Faudra leur apprendre aux Bretons qu'écrire ça à une noble qui de surcroit défend tous les jours sans rien demander à personne et sur ses propres fonds, ça la fout mal... Mais bon, faut pas trop leur en demander, ils sont Bretons, manquerait plus qu'il soit roux... Roux... Tiens, que devenait la rouquine ? Hum non c'était une autre histoire. Elle parcourut rapidement le reste des yeux mais renonça à le lire en détail tant le contenu était ridicule.

- Pfff mais qu'ils sont cornichons !

ça c'était l'évènement du jour à Chinon, pour le reste, elle pouvait pas grand chose pour les morts et blessés du noeud au lointain, alors il fallait attendre les ordres, pour ça, fallait être patient... Pour l'heure, elle allait encore monter sur les murailles des ramparts chinonais et guetter un ennemi qui ne viendrait pas, stoppé net sur le noeud entre chinon et saumur.
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~en cours~
Arthanagor
{...Chinon...Campement de "la Béatritz", au matin du 24 juillet 1459 }

L'acier avait tranché les chairs..
Les armées du Ponant était passées a l'attaque. Une attaque violente laissant de part et d'autres son cortège de cadavres et de blessés. Nombreux était ceux qui ne reverraient pas le soleil se lever.
En ce qui le concerne l'écossait avait lutter comme un lion, ne manquant pas à la tradition guerrière des Highlanders. Il avait de son coté lui aussi laisser pour morte,une jeune femme. Il ferraillait avec un carreaux d’arbalète fiché dans l'épaules, oubliant la douleur, ne pensant qu'a sortir vivant de cette béchamelle. Serait-ce le cas?...C'est alors qu'il parait une attaque que cela survint. Sa Claymore se brisa sous le choc.Et puis....
Un sentiment de froid d'abord alors ce l'acier pénètre en lui. Son regard surpris se tourne vers l'origine de cette sensation. Il croise celui de l'homme, en livré ornée d'hermine, un breton. Un rictus de satisfaction se lit sur le visage casqué qui, le laissant pour mort s'en va combattre un autre adversaire.
Arth se tient le ventre, osant a peine regarder les dégâts subits. Il sent sa main baigner dans le liquide poisseux. La douleur lui vrille le ventre. Il réussit a se traîner un peu a l'écart des combats, et sombre dans l'inconscience. Il reprend difficilement ses esprits alors que deux hommes sont près de lui et ordonne
:

....Me...menes moi à...à...la Béatritz....de...demandes Dragones...avant de retomber. La suite est plutôt confuse. Flottant dans un état second, l'écossais ne voit plus que des ombres et les rares paroles qu'il entendant ne sont pour lui que des bruits sourd inaudibles.

Le petit matin, déjà. Le ciel blanchit, du moins arrive-t-il a le penser car les ombres autour de lui semblent plus claires. Mais Mortecouille que ça fait mal. Il a froid. Il tient machinalement encore dans sa senestre le pommeau de ce qui fut sa claymore. Il tourne doucement la tète, cherchant a reconnaître l'endroit. Quelques mots qu'il arrivent a percevoir tendent a lui faire penser qu'il est au campement. Et une voix...une voix lui parvint, forçant la brume ou il est prostré:
T’as intérêt de tenir sinon j’en connais une qui va… Oui....elle va venir, la mort pense-t-il. Il se sent déjà chaussé de marbre, ganté de plomb. Le froid le gagne. Un sourire en coin naît sur son visage et après un effort il arrive a articuler: un...be....beau combat... on lui serre la main et il entend a nouveau:
Reste avec nous, ton heure est pas encore arrivée… Non, peut etre pas, cette fois.

Il croit reconnaître une voix amie. Sa main tremblante et ensanglantée se resserre doucement sur celle qui est dans la sienne
.
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Bretteur, philosophe, rimeur, tetu, raleur ,de mauvaise foi et mysanthrope...
Quel aspect hétéroclite que le sien..

" delanda Britania est "
Conte_de_balmora
[Tatayoyo]

Depuis des semaines que les Bretons parlaient du combat a venir, l'occasion d'en découdre leur fut enfin donnée.

Depuis longtemps ils savaient que ce moment devrait arriver. Qui aurait fait le premier pas ? Qui verserait le premier sang ? Rien n'etait prevu, ils s'etait juste laissés guidés par les evenements. Tout en se preparant du mieux possibles. Le Tregor avait été vidé de ses hommes. Toutes les armes disponibles avaient été emportées, le pain, le mais, la viande avait subit le meme sort. Les coffres remplis des tresors de guerres accumulés pendant des mois furent mis a contribution. Enfin ...
Plusieurs Clans s'etaient mobilisés pour cette guerre, Monfort et An Ermining premiers sur la breche.


Les espions avaient rapporté le nombre d'armées ennemies, et leur positions, dans un espece de mini fortin qui servait de debit de boisson en temps normal.
L'avancée des tourterelles en terrain allié etait l'insulte de trop, la goutte d'urine qui fait deborder les latrines, bref, vous avez compris ...

Le Balmo n'avait pas l'abitude des armées, des batailles rangées etc. Plus habitué qu'il etait aux attaques furtives sur des chateaux generallement mal defendus.

Heureusement c'etait egalement le cas de la grande majorité des hommes et femmes presents dans ce qui devait surement etre la plus grande armée mercenaire qui avait fouler de ses nombreux pieds cette terre depuis longtemps. Une armée qui n'avait rien de professionel, mais qui comptait surtout sur son nombre et sur son equipement pour faire pencher la balance.

Le breton ne comprenait pas vraiment l'acharnement des tourterelles a vouloir prendre le controle de ce bout de terre. Surement la route la plus meutriere du Royaume de France, d'innombrables fois decimées par la guerre. Mais bon, la guerre a ses raisons pensa t il sans reflechir plus loin.

D'autant plus que l'on commencait a appercevoir les etendards des armées ennemis. Non loin devant eux attendait leurs ennemis. Ils avaient eu la journée pour fourbir leurs armes, preparer leur defense, et prendre position sur le terrain, peut etre meme camoufler l'arrivée de renforts. Le combat sera âpre ...


Il ne fallu pas attendre fort longtemps avant d'entendre raisonner le cris de guerre de la Bretagne. Hurlé ou murmuré, tous l'avaient en tete :

Kentoc'h mervel eget bezañ saotret !*

Signal de la charge. Sans s'embarrasser de plus de details, ils foncerent droit dans le tas. La mélée ne tarda pas. Malgré une charge faiblarde de leur cavalerie qui alla s'empaler directement sur les lames, haches, pieux, batons, des armées Ponantaises.

Parmis les cavaliers ennemis, Balmo vit un visage connu. Le Falco de Cartel combattait dans les rangs ennemis. Les souvenirs d'une epoque ou ils etaient dans le meme camps lui revint. Lointains souvenirs desormais ... Pourquoi s'embarrasser de cela lors d'un combat ? Chacun avait choisi son camp. La ou il y avait le plus a gagner, la ou allait leurs coeurs, voila tout ...


Reprennant ses esprits, il se concentra sur ce qui l'entourait. La bataille penchait en leur faveur. Malgré l'arrivée sans surprise de renforts ennemis. eur surnombre leur avait permis de les repousser en essuyant des pertes moindres. Tentative ratée d'embuscade. Surement n'avaient ils pas prevu de combattre un si grand nombre d'hommes ...


Quoi qu'il en soit, Balmo n'avait pas encore fait de victime. N'ayant pas une grande science du combat a l'épée il se contentait de frapper fort et le plus vite possible. C'est qu'il etait plus a l'aise avec ses paluches. Preferant distribuer des mandales que de ferrailler avec precision contre des ennemis plus habiles. Laissant a ses amis l'opportunité de toucher pendant qu'il faisait pleuvoir un deluge de coups.

Apres un certain temps il toucha enfin sa premiere victime. Le coup du sort voulu qu'une artesienne le frappe en meme temps le pauvre ne s'en remettrait pas de si tot ...

24-07-2011 04:06 : Vous avez frappé Fanto. Vous l'avez sérieusement blessé.



L'aube pointait quand il fut decidé de cesser le combat. Les bretons ramasserent leurs quelques morts et leurs blessés plus nombreux ... Observant a loisir les depouilles qu'ils laissaient derriere eux.

Le combat avait fait rage. Et bien qu'ils n'aient pa pu deloger les ennemis de leur position, nul ne pouvait nier qu'a la fin de combat, ils s'en sortaient nettement mieux que les tourterelles ...


Pour la premiere fois, le Ponant avait mordu ...


*Plutot la mort que la souillure.
_________________
Falco.
Dans une charette à cadavres


Il trône à sa juste place, au sommet de la pile.
Les ramasseurs ont ainsi mis les dépouilles visiblement de noblesse sur le dessus du panier.
Les familles à particules et autres étant souvent généreuses lorsqu'elles pouvaient récupérer les leurs.
Et puis , en trophée, en offrande, la blason d'une Baronne d'Anjou, ainsi que les armiries d'Oserez ont rendus les cueilleurs de morts prudents.

Falco d'Cartel, Seigneur d'Oserez, loge à la Tour de Coudray, ses vignes envahissent le cimetière dont il entretient les tombes ou en ajoute parfois.
En plus le bonhomme même mort à une réputation sulfureuse.
Hérétique. Trop souvent revenu d'entre les morts pour que cela soit bien Aristotelicien. Et la faucheuse frappe souvent autours de lui.
Alors prudence.

La charette passe les portes de Chinon.

Loin de la, posé sur le bord de l'Echiquier, un Cavalier Noir écoute Dieu et Sans Nom poursuivre leur partie.
Il a saisit QUI était le pion Noir de la Gourmandise. Bretagne.
Dieu se doute t'il?
Mais si les deux entités l'ont manipulé, lui, elles ne l'ont pas encore remise dans la boîte.
Pièce d'ouverture, mangée toute crue par les Blancs.
Piège des Noirs contre Dieu qui réplique avec malignité.

Les Ordres Royaux sont avancés.
Et un discret pion blanc a été avancé. "Mont St Michel" est gravé dessus.

Partie compliquée, les adversaires sont par nature puissants et impénétrables.

Lui regarde cela , cherchant à saisir l'identité ou la nature de chaques pièces.
Son Duc est une Piéce Noire.
Bretagne Noire aussi , mais d'autres pions blancs ont des armoiries du Ponant.
Beaucoup d'autres sont le DR et bien sur Rome, tous immaculés.


Tu as toujours deviné le futur, mon Duc...Ici ces deux la définissent la forme à venir du Royaume de France.
Et c'est dans les choix de chacun que l'un ou l'autre l'emportera.
Dans quel but?
Pour faire monter les enchères quand la partie suivante commencera au prochain Roy de France?

Duc..Quand ils me remettront en jeu..Quelle sera l'enjeu et le dessein?
Encore bouter le feu? Rendre instable ce qui est en équilibre?

Et pourquoi à chaque partie Dieu et Sans Nom tournent l'Echiquier pour jouer chacun leur tour Blancs et Noirs?


A terre on le décharge sans trop de précautions.
Au premier regard , à la vue de la blessure au crâne, le casque tranché, noyé d'os et de sang, il est aisé de le classer dans les défunts et non les agonisants.
Pourtant un des yeux , ouvert, n'est pas vitreux ni terne.
Fixe, de ce bleu d'oeil de poisson crevé , luisant, comme hanté.


_________________
Riwan
[Dans l'armée de Patate]

J'étais sans aucun doute unique dans cette armée. Unique parmi toutes les forces coalisées du Ponant. Unique même parmi tout les belligérants.
Je n'étais pas là par amour de la guerre, pas plus par goût de la liberté des peuples, encore moins par patriotisme.
Non, j'étais là parce que je m'ennuyais. La Bretagne était terriblement ennuyeuse. Un temps j'avais cru qu'elle se réveillerait avec une vrai guerre civile, mais non. Le combat n'avait même pas eu lieu.
C'était désespérant.
Alors, ayant appris qu'il allait y avoir un peu d'action, je n'ai pas hésité une seconde. J'ai pris les armes.
Pourquoi de ce côté ? Pourquoi pas. C'était avant tout un choix par défaut. Un choix orienté tout de même. Il aurait fait mauvais genre qu'un Prince de sang breton se trouve dans le camp opposé. Mais après tout...

Non, à la réflexion, si j'étais de ce côté de la frontière, c'était pour deux raisons sacrés, deux raisons impérieuses.
Ma personne et ma gloire d'abord. J'avais fondé le Ponant, je devais veiller à ce qu'il continu à s'imposer dans le Royaume de France.
Ensuite mes amis. Certains berrichons avaient besoin d'aide et un Brocéliande aide toujours ses amis.


Ainsi donc j'étais en guerre. J'avais hésité à lever le banc, et à venir en force. Mais j'aurais laissé Brocéliande sans défense. Cela aurait trop tenté mes ennemis. Je n'avais aucune envie de voir mes forêts occupés.
J'étais donc venu seul. Ou presque.

J'étais mécontent.
Hier j'avais chargé avec le reste de la troupe. Je n'avais rencontré aucune résistance. Les troupes adverses préféraient m'éviter. Je n'avais pu donner aucun coup, et encore moins en recevoir.
J'étais mécontent et je le fis savoir:

"Encore un combat comme ca et j'écris à Llyr pour exiger qu'il m'envoie de la piétaille pour émousser mon épée ou la fine fleure de sa noblesse pour me capturer !
Il ferait beau voir que l'on refuse au premier Prince breton le droit de combattre. C'est insultant !"


Aujourd'hui la situation s'était améliorée. Nul n'avait pu combattre. Au moins n'était-ce plus une insulte.
Mais à ce rythme je m'ennuierais autant qu'en mes terres.

_________________
SA Riwan Nathan De Brocéliande
Dragones
{...Chinon…Premier soin en ce matin du 24 juillet de l’an 1459…}


Elle avait été rassurée qu’il lui serre la main même si celle-ci fut tremblante, il avait au moins répondu…
Dragones pose son coffre sur une table ainsi que sa besace, elle avait espérait ne pas avoir à l’utiliser mais là pas d’hésitation à avoir…
Le coffre fut ouvert sur différente affaire de médicastre.
Elle sort de sa besace sa boite de soin et en sort une fiole qu’elle pose sur la table ainsi que des pots, fil et aiguille…

Les deux gardes reviennent avec l’eau demandée alors qu’elle redressait doucement Arth pour lui retirer le haut de son vêtement.
Vous ! Aidez moi et tenez le !...
Le regard ne permettait aucune hésitation et le soldat obtempéra.
Avec précaution elle retire dans un premier temps le carreau de l’épaule faisant à nouveau saigner la blessure…

Le vêtement est retiré et le soldat rallonge l’écossais…
La plaie au ventre n’était pas jolie, elle reste un moment immobile se souvenant des paroles de Seamus quand ils parlaient des coutures et autres soin.
Nettoyer dans un premier temps la plaie voir ce qu’il en était et agir par la suite…
Elle enchaine les gestes avec une assurance apparente, Dragones n’en menait pas large…
Il avait perdu beaucoup de sang, rapidement elle s’occupe a refermer ce qui devait l’être en faisant des points précis.
Les soldats maintenaient fermement Arth sur la table et lui appliquait un linge sur le visage quand il remuait de trop pour qu’il s’endort…
Elle fini par refermer la blessure, un cataplasme fut mit sur la cicatrice et le bandage fut placer.
Le soin de la blessure à l’épaule fut plus vite soigné et bander également.

Petit à petit, les soldats lui ramenaient les blessés, Dragones ne sais pas combien de temps était passé quand elle sorti de la tente pour prendre l’air et se reposer un instant…

La Brune se déniche de quoi se sustenter et va au chevet d’Arth…
Sa pitance est posée, elle lui passe un linge humide sur le visage.
Dragones s’assoit prêt de lui, la main sur la sienne pour qu’il sente une présence et elle mange…
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Lucterios
A l'assaut des Tourterelles [ Nuit du 23 au 24 Juillet ]

Il y a des jours ou l'on préférerait que les Dieux nous lâchent la grappe. Cette mauvaise habitude qu'Esus avait pris de le materner tournait au ridicule et l'affaire commençait sérieusement a lui courir sur la marguerite. A quoi rimait l'inclinaison qu'il portait a des êtres légèrement plus porté sur le sanguinolent que sur la broderie pour en finir de la sorte.

Pour commencer, cette retraite spirituelle en pleine foret qui lui fit louper le début des hostilités et de poursuivre avec cette malheureuse bataille. Quand l'ordre de faire mouvement fut donné, une larme avait coulé sur son visage puis l'excitation avait embrassé les armées Ponantaises. Enfin … enfin ils allaient pouvoir en découdre … enfin il allait participer au carnage …


Épée … prête. Bouclier … prêt. Braies de rechange, il avait appris a être prudent … prêtent. Tourterelles … ben prêtent ou pas, z'allaient en prendre plain les quenottes. Les heures a venir s'annonçaient parfaites …

Les armées et ses compagnons Poitevins se mirent en branle, les jeux étaient fait. Un regard furtif vers le soldat le plus proche, satisfaction de voir, malgré la pénombre, cette petite étincelle éclairer l'œil d'un homme prêt a donner le meilleur de lui même ...

C'est a quelques centaines de mètres de l'objectif qu'Esus fit le malin. Il prit pour messager l'un des gradés. Il avait senti, en voyant arriver le bonhomme, que les choses allaient mal tourner. Et vlan, la blagounette divine …


Soldat ! Oui toi ! Au pied !

Hein …

Active la bleusaille, j'ai pas que ca a faire !

Oui chef !

J'ai une mission pour toi ! De la plus haute importance …

Sourire ravi du soldat se voyant déjà confier mission de reconnaissance …

Tu gardera la carriole de bouffe !

La carriole …

La bouffe, c'est la survie d'une armée … s'il manque un jambon c'est corvée de latrines demain! Compris soldat !

Compris chef ! A vos ordres chef …

Un jambon, en fait, il y en avait un de plus et un beau … sur pattes.

C'est ainsi que le guerrier en herbe participa a la bataille. Pas un ennemi ne passa a portée d'épée, pas un égaré, pas un blessé laissé pour mort par ses camarades, rampant jusqu'à lui espérant trouver réconfort … rien. Guerre de daube..


Demain … je crache dans la soupe !
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Arthanagor
{...Chinon, Campement de "La béatritz" : quand une brune prépare un Haggies...}

Toujours entre deux eaux, Arth essayait de retrouver à qui était cette voix. Si cela ne calmait pas la douleur, au moins y pensait-il moins durant ce temps. Des médicastre à "la Béatritz", enfin, des vrais...il en connaissait pour ainsi dire aucun. Par contre, plus il entendait et réfléchissait...et cette voix était, il en devenait de plus en plus sur à présent, celle de Dragones. Dans son malheur, au moins ne tombait-il pas dans les mains d'un maniaque du clystère.
Il l'entend donner des ordres, manipuler des objets.

Il grimace. Non pas a cause de la douleur, non. Pour ainsi dire, il s' y est presque habitué a celle qu'il ressent. Il grimace parce que , si c'est elle, et il est quasi sur, elle prépare ses instruments de barbiers: ce qui veut dire qu'il est salement touché. On le redresse, deux solides gaillards le maintiennent alors qu'on lui retire le carreaux fiché dans l'épaule. Il serre les dents lors de l'opération, mais a dut mal a ne pas retenir un cri lorsqu'on lui enlève ses vêtements.
Et les choses sérieuses commencèrent...


Les deux assistants le levèrent et le posèrent sur une table. Maintenu fermement pas des paluches dignes des fers des geôles les plus sordides; l'écossais ne pouvait plus ou guère bouger:....et tant mieux !!
Il eut le sentiment que le feu entrait en lui lorsqu'elle nettoya la plaie de son ventre et poussa un cri qui la fit sursauter, puis plonge ses outils en lui afin de ligaturer les plaies occasionnées par la lame bretonne.
Arth se crispe , tend son corps comme un arc et les deux cerbères apprenti médicastre qui le retiennent on du mal a le maintenir en place. De temps a autre, ils lui appliquent sur le visage un linge imbibé d'une substance calmante.
Puis le feu, les tiraillements se calmèrent. On lui posa un onguent chaud sur le ventre. C'est la dernière chose qu'il ressentit avant de sombrer a nouveau dans une inconscience réparatrice....


Dans ses rêves tourmentés, il voyait des dragons assis autour de lui, festoyant autour d'un Haggies sous le visage hilare de l'Ankou...
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Bretteur, philosophe, rimeur, tetu, raleur ,de mauvaise foi et mysanthrope...
Quel aspect hétéroclite que le sien..

" delanda Britania est "
Othilie
Moment de paix et de sérénité, la Faucheuse est passée.
Dame crainte par le commun, attendue par les gens de Foy.

La jeune femme repose dans un lit de sang et de boue, l'heure est au tri et au ramassage.

Son corps inerte est chargé dans une charrette.

Après la bataille, l'urgence est d'enfouir au plus vite les dépouilles et de les recouvrir de chaux vive,les épidémies font autant de ravages que les combats.

Un souffle menu a déterminé le choix du véhicule.Reconnue par un villageois elle serait déposée en son logis aux bons soins de la Veuve Dondaine.

La Eulalie , prévenue et dans tout ses états faisait chauffer quantité d'eau , allumer cheminées et découper bandelettes de tissu, sans oublier les carcasses de poulets qui composeraient un excellent bouillon.
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