L'air était sec et était mêlé par les odeurs de l'encens et du corps. C'était une odeur qui ne plaisait pas, mais aussi c'était une odeur familière pour la souveraine. Elle avait vu mourir à beaucoup de personnes, et très peu nombreuses de celles-ci ils avaient les raisons par lesquelles mourir. Les raisons que la propre Fortune livrait comme voulait et contre la volonté des victimes. La Mort traînait ses âmes après, en les conduisant vers un destin incerte, selon las Saintes Écritures , qui se trouvait dans le Soleil, près de Christos et Aristote. Mais elle ne croyait pas, ou au moins elle n'était pas sûre, qu'il était tel; elle espérait pleinement qu'au-delà de la vie la mort se trouvait, et au-delà de la mort il ne resterait plus que le souvenir de quelqu'un qui a agi bien, selon les uns, ou mal, selon le mécontentement qu'il causait.
Elle a tourné le visage, déconcertée. Dans son giron elle avait une petite fille en pleurant, bien qu'elle ne saurait pas réellement dire si ses larmes poussaient comme cristaux petits et salés liquides ou comme les mots qui, au-delà de fournir une consolation, blessaient le coeur de la filleule de la reine. Elle a essayé de la consoler, mais elle ne savait pas comment lui faire. Elle était une petite fille, on ne lui avait jamais donné bien les enfants, et sûrement la petite attendait quelques mots de consolation, d'un geste. Et voilà qu'elle n'a pas autrement su réagir, que quand Yolanda a levé le visage elle l'a embrassé dans la joue avec douceur et elle l'a souri, malgré le fait que son geste était triste et reflétait la peine de celui qui regrette de ne pouvoir faire plus.
La petite s'est éloignée à l'instant, en se disculpant et en disparaissant de la vue du monarque. Il est été dans ce moment quand quelqu'un l'a saluée chez un français scrupuleux, en la disant "Votre Majesté" et en le distrayant à l'instant. Elle s'est retourné vers cette personne qui lui parlait, et tout de suite l'a reconnu, puisque non en vain elle avait une très bonne mémoire. Son visage lui semblait familier, elle l'aurait sûrement vu dans les Joutes qui ont été célébrées en Castille et Leon. Oui, elle était sûre, elle parierait ce qui était parce qu'elle était elle, cette jeune fille qui lui avait offert d'essayer quelques plats français et qui si bien ils l'ont su. Elle n'a jamais profité comme de ce présent français, et en prenant un vif plaisir encore les jours suivants du souvenir du goût qui restait dans son palais, elle a dit à ses cuisinières qu'ils imitaient la recette. Mais personne n'a su comment obtenir que la Reine se complût, par ce qu'ils ont renoncé à lui faire. Elle l'a souri avec amabilité et avec un geste de la tête elle a correspondue à son salut, et aussitôt qu'elle s'est retirée, s'est retournée vers l'autel de la chapelle ardente. Elle a crue que c'était convenable prier pour le corps de son amie, et en s'agenouillante devant même a ordonnée avec la vue à sa suite qu'ils fissent le même, et ensuite a mis à être dit.
- "Credo in Deum,
Altissimum Omnipotentem,
Creatorem caeli et terrae,
Inferos et paradisi,
Ultima hora animae judicem nostrae
Et in Aristotelem, prophetam,
Nicomaqui Phaetique filium,
Missum ut sapientiam et universi
Divas leges errantibus hominibus erudiret
Credo etiam in Christum,
Natum ex Maria et Ioseph,
Vitam dedit ut nobis paradisi viam monstraret
Sic, postquam sub Pontio passus est
Propter salutem
Nostram martyr perivit
Consecutus est Solem
Ubi Aristoteles ad Altissimi dexteram eum expectabat
Credo in Divinam Actionem,
Sanctam Ecclesiam aristotelicianam, romanam, unam et indivisibilem
Sanctorum communionem,
Peccatorum remissionem,
Vitam aeternam.
Amen "
Les prières l'aidaient à réfléchir, et ainsi il passait le temps sans repos, jusqu'à ce qu'en cet instant elle a cru convenable s'élever et se retirer. Ils étaient étrangers, et ils n'avaient pas à peine celui qu'ils reconnaissaient pour qu'ils fussent traités par les honneurs dûs, par ce qu'elle a jugé se retiré. Elle a joint les mains, et les Enfants et le reste de la suite en allant après elle, a avancé par le long couloir avec légèreté, en fixant comme a objectivé la sortie de l'édifice. Mais on a empêché quelque chose, et en se retournant vers ce 'quelque chose' a vu le visage d'une jeune. Une blonde, de peau très blanche, et l'audace dessinée dans son visage. Elle n'avait pas les mêmes yeux verts qu'elle, mais en revanche elles gardaient un petit semblé alors qu'une grande différence. Elle était probablement une noble, mais aux peines elle ne s'approchait pas au rang d'une Reine. Elle l'a regardée de là-haut à bas, avec une grimace de mécontentement et un geste de supériorité.
- Votre Majesté... - elle avait aussi dit, pour une plus grande indignation de la souveraine, que, disposée à donner avec son visage, elle a reculé un pas et l'a prise depuis sur le menton pour la regarder aux yeux.
La jeune a tourné après le regard vers Astaroth, étaient-ils connus? Elle a souri. Les amis de ses amis étaient aussi les leurs. À l'exception de qui ils osaient aller au-delà du dû.
--------------------------------------
El aire era seco y se mezclaba con los olores del incienso y del cuerpo. Era un olor que no gustaba, pero también era un olor familiar para la soberana. Había visto morir a muchas personas, y muy pocas de ellas tenían razones por las que morir. Razones que la propia Fortuna entregaba según quería y en contra de la voluntad de las víctimas. La Muerte arrastraba sus almas después, conduciéndolas hacia un destino incierto que, según los Santos Libros, se hallaba en el Sol, junto a Christos y Aristóteles. Pero ella no creía, o al menos no estaba segura, de que fuera así; confiaba plenamente en que más allá de la vida se hallaba la muerte, y más allá de la muerte no quedaría más que el recuerdo de alguien que obró bien, según unos, o mal, según el descontento que causara.
Volvió el rostro, desconcertada. En su regazo tenía a una pequeña niña llorando, aunque no sabría decir realmente si sus lágrimas brotaban como salados y pequeños cristales líquidos o como palabras que, más allá de proporcionar consuelo, herían el corazón de la ahijada de la reina. Trató de consolarla, pero no sabía cómo lograrlo. Era una niña, jamás se le había dado bien tratar con niños, y seguramente la pequeña estuviera esperando algunas palabras de consuelo, un gesto. Y no supo reaccionar de otro modo, que cuando Yolanda alzó el rostro ella le besó en la mejilla con dulzura y le sonrió, a pesar de que su gesto era triste y reflejaba la pena de quien siente no poder hacer más.
La pequeña se alejó al instante, disculpándose y desapareciendo de la vista de la monarca. Fue en aquel momento cuando alguien la saludó en un escrupuloso francés, diciéndola "Vote Majesté" y distrayéndole al instante. Se volvió hacia aquella persona que le hablaba, y enseguida le reconoció, pues no en vano tenía una muy buena memoria. Su rostro le resultaba familiar, seguramente le habría visto en las Justas que se celebraron en Castilla y León. Sí, estaba segura, apostaría lo que fuera porque era ella, aquella muchacha que le había ofrecido probar unos platos franceses y que tan bien le supieron. Disfrutó como nunca aquel presente francés, y deleitándose aún los días siguientes del recuerdo del sabor que permanecía en su paladar, trató de que sus cocineras imitaran la receta. Pero nadie supo cómo conseguir que la Reina se complaciera, por lo que desistieron. Le sonrió con amabilidad y con un gesto de la cabeza correspondió a su saludo, y en cuanto se retiró, se volvió hacia el altar de la capilla ardiente. Creyó que era conveniente rezar por el cuerpo de su amiga, y arrodillándose ante el mismo ordenó con la vista a su séquito que hicieran lo mismo, y a continuación se puso a rezar.
- "Credo in Deum,
Altissimum Omnipotentem,
Creatorem caeli et terrae,
Inferos et paradisi,
Ultima hora animae judicem nostrae
Et in Aristotelem, prophetam,
Nicomaqui Phaetique filium,
Missum ut sapientiam et universi
Divas leges errantibus hominibus erudiret
Credo etiam in Christum,
Natum ex Maria et Ioseph,
Vitam dedit ut nobis paradisi viam monstraret
Sic, postquam sub Pontio passus est
Propter salutem
Nostram martyr perivit
Consecutus est Solem
Ubi Aristoteles ad Altissimi dexteram eum expectabat
Credo in Divinam Actionem,
Sanctam Ecclesiam aristotelicianam, romanam, unam et indivisibilem
Sanctorum communionem,
Peccatorum remissionem,
Vitam aeternam.
Amen "
Las oraciones le ayudaban a reflexionar, y así pasaba el tiempo sin descanso, hasta que en aquel instante creyó conveniente alzarse y retirarse. Eran extranjeros, y no tenían apenas a quienes les reconocieran para que fueran tratados con los honores debidos, por lo que juzgó prudente retirarse. Juntó las manos, y yendo tras ella los Infantes y el resto del séquito, avanzó por el largo pasillo con ligereza, fijando como objetivo la salida del edificio. Pero algo se lo impidió, y volviéndose hacia aquel 'algo' vio el rostro de una joven. Rubia, de piel muy blanca, y la osadía dibujada en su rostro. No tenía los mismos ojos verdes que ella, pero en cambio guardaban un pequeño parecido al tiempo que una gran diferencia. Debía de ser noble, pero a penas se aproximaba al rango de una Reina. La miró de arriba abajo, con una mueca de desagrado y gesto de superioridad.
- Votre Majesté...- había dicho también, para mayor indignación de la soberana, que, dispuesta a dar con su rostro, retrocedió un paso y la cogió desde la barbilla para mirarla a los ojos.
Volvió después la mirada hacia Astaroth, ¿se conocían? Sonrió. Los amigos de sus amigos también eran los suyos. A excepción de quienes se atrevían ir más allá de lo debido.