Eikorc
[Larrivée de quelques cavaliers
]
Une nuit noire Des sabots qui claquent sur le pavé recouvert de détritus Plusieurs montures qui savancent dans les ruelles parisiennes pour senfoncer peu à peu dans les tréfonds de la ville, pour que les cavaliers puissent pénétrer dans les profondeurs des quartiers mal famés : La cour des Miracles leur ouvrira ses portes.
La silhouette massive se redresse alors quils débouchent sur la place centrale, lentement les pognes viennent repousser la capuche quil avait mise pour dissimuler ses traits aux maréchaux et autres membres de la Prévôté qui auraient pu le suivre dans Paris. Et la lune vient crever les nuages sombres pour éclairer de son éclat blafard les autres membres de la troupe
Le colossal mercenaire ne peut même pas réprimer un sourire alors quil aperçoit les regards aussi surpris quapeurés des quelques mioches qui sétaient regroupés sur la place centrale pour se protéger durant la nuit Cest sûr que les balafres qui recouvrent son visage tout comme les armes quils portent ne peuvent queffrayer les pauvres garnements affamés
Le sourire vient se glisser au coin de ses lèvres, faisant saillir encore plus la balafre de sa joue alors que son regard métallique parcourt les gamins qui lui font face, avant que sa voix rauque et basse ne claque dans le silence approximatif de la place
« Dégagez Les mioches ! »
Et sans même vérifier sils obéissent à son ordre, la caboche pivote pour se tourner vers les autres. Lazur brillant parcourant les trognes alors quil grogne doucement en levant une pogne vers lune des ruelles
« Le Palazzo cest par là Cest le seul coin que jconnais à peu près »
La trogne pivote à nouveau, parcourant la place pour vérifier que les mendiants ne sapprochent pas deux La voix se faisant même plus basse alors quil aperçoit un groupe de badauds sortir dun bouge, des fois quils soient plus que des manants, mieux vaut pas quils ne sachent où est-ce quils se rendront
« A votre avis Où est-ce quon devrait sinstaller pour commencer ? »
Et lune de ses immenses pognes de venir glisser sur la lanière de cuir qui traverse son torse pour maintenir le baudrier dans son dos, faisant apparaître la garde de lépée qui semble briller sous la lumière lunaire Histoire de prévenir les quelques tire-laines qui pourraient sapprocher que la proie serait un trop gros poisson pour eux
_________________
"Pour toujours... Et à jamais."
Zoko & Fablitos
Une nuit noire Des sabots qui claquent sur le pavé recouvert de détritus Plusieurs montures qui savancent dans les ruelles parisiennes pour senfoncer peu à peu dans les tréfonds de la ville, pour que les cavaliers puissent pénétrer dans les profondeurs des quartiers mal famés : La cour des Miracles leur ouvrira ses portes.
La silhouette massive se redresse alors quils débouchent sur la place centrale, lentement les pognes viennent repousser la capuche quil avait mise pour dissimuler ses traits aux maréchaux et autres membres de la Prévôté qui auraient pu le suivre dans Paris. Et la lune vient crever les nuages sombres pour éclairer de son éclat blafard les autres membres de la troupe
Le colossal mercenaire ne peut même pas réprimer un sourire alors quil aperçoit les regards aussi surpris quapeurés des quelques mioches qui sétaient regroupés sur la place centrale pour se protéger durant la nuit Cest sûr que les balafres qui recouvrent son visage tout comme les armes quils portent ne peuvent queffrayer les pauvres garnements affamés
Le sourire vient se glisser au coin de ses lèvres, faisant saillir encore plus la balafre de sa joue alors que son regard métallique parcourt les gamins qui lui font face, avant que sa voix rauque et basse ne claque dans le silence approximatif de la place
« Dégagez Les mioches ! »
Et sans même vérifier sils obéissent à son ordre, la caboche pivote pour se tourner vers les autres. Lazur brillant parcourant les trognes alors quil grogne doucement en levant une pogne vers lune des ruelles
« Le Palazzo cest par là Cest le seul coin que jconnais à peu près »
La trogne pivote à nouveau, parcourant la place pour vérifier que les mendiants ne sapprochent pas deux La voix se faisant même plus basse alors quil aperçoit un groupe de badauds sortir dun bouge, des fois quils soient plus que des manants, mieux vaut pas quils ne sachent où est-ce quils se rendront
« A votre avis Où est-ce quon devrait sinstaller pour commencer ? »
Et lune de ses immenses pognes de venir glisser sur la lanière de cuir qui traverse son torse pour maintenir le baudrier dans son dos, faisant apparaître la garde de lépée qui semble briller sous la lumière lunaire Histoire de prévenir les quelques tire-laines qui pourraient sapprocher que la proie serait un trop gros poisson pour eux
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"Pour toujours... Et à jamais."
Zoko & Fablitos