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[rp ouvert à tous ] Place du village et Puits aux souhaits

Felinia
Féli reconnut la voix d'Arnaut et aussi blème que la lune qui se cachait derrière les nuages, elle s'avança vers lui.

Messire Arnaut, il s'agit de Bashir qui est venu à mon secours.
C'est un malandrin qui en voulait à ma vie sans nulle doute
.

Elle regarda sa lame sortit du fourreau et prit peur pour Bashir

Il s'agit d'une légitime défense.

Elle se plaça devant lui pour protéger celui qu'elle aimait.
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Bashir
Le chien terrassé beuglait comme un tribun privé de lait, ou un militaire coincé à ce qui passait encore pour son entre-jambe par ses plaques mal ajustées, puisque volées, mais l'ottoman ne retira sa lame que très lentement. La douceur d'un supplice tenait, disaient les plus grands assassins, dans la capacité à tenir la victime éveillée, tant que désiré. Et l'ottoman n'en avait pas encore fini avec cette vermine.

Ce fut donc une fois debout, la main aussi noire que les plumes d'un oiseau de nuit à cause du sang qui semblait un gant, et au moment même où il allait offrir au chien un nouveau délice anatolien, qu'une voix se fit entendre. Il eut fallut un seul regard pour voir que l'intrus avait une épée en main. Certes, celui qui gueulait à son tour n'avait rien d'un soldat valide, mais la tenue de sa lame avait tout de même... Et si...

Rasmus Bey... Est-ce toi ?

Face au vieillard, qu'il n'arrivait pas tout à fait à identifier, mais cela n'allait surement pas tarder, l'ottoman était prêt. et tout en baissant un peu le front, pour offrir son plus vil regard à l'intrus, il posa son talon gauche sur l’œil droit du chien, et poussa avec une lenteur invisible, jusqu’à ce que le talon ne puisse avancer plus avant dans l'orbite.

La distance entre les deux hommes étant convenable - l'ottoman se gardant bien de toujours prêter le flanc à un homme, fut-il une buse, et l'autre de respecter la même distance de combat - et puisque la blonde avait eu l'idée stupide de se mettre devant, il ne pouvait que voir le moindre geste qui serait interprété aussitôt comme celui d'une agression.
Arnaut_lo_tocasson
Une voix répondit, une voix entendue récemment, celle de la femme qui avait installée sa tente en ville. Tout en se décalant d'un pas ou deux, de manière à voir un peu mieux, l'ancien reconnu alors les traits du visage féminin. C'était effectivement elle, mais ce qui retenait son attention, c'était cet autre homme derrière, qui venait d'écraser du talon le visage du type blessé -dont les braillements s'éteignirent, et ce sans même se soucier de sa présence. Hors, s'il y avait bien une chose qu'Arnaut détestait par dessus tout, en dehors de certaines mesnies, c'était bien qu'on l'ignora. Comme s'il était quantité négligeable. Un tel affront était intolérable...

D'un geste de la pointe de son épée, désignant un espace à l'écart du petit groupe qui lui faisait face, le Bailli déclara alors d'une voix ferme où perçait la colère...


« Ho, l'houlier et ta devergoigneuse, trêve de batelage, je vous ai vu mortir l'homme couché icelieu et qui faisait force criement ! Sans doute pour quérir quelque rapine l'avez vous pourfendu... Lors je vous baille de jeter vos armes et d'abandonner ce corps ! La garde sera là prestement et si vous ne voulez être éstrillés, par Dieu rendez-vous sans résistance ! Justice sera rendue à qui de droit ! »
Felinia
Féli écarquilla les yeux.
Qu'est ce que tout cela signifiait ?
L'homme à terre gémiait de plus en plus faiblement et Arnaut visiblement mécontent, ne disait rien qui vaille.
Que fallait il faire ?
Elle regarda Bashir et attendit son bon vouloir.
Le pire s'est le nom qu'avait utilisé Arnaut pour la désigner, ce nom lui fit mal et ne put s'empêcher de le souligner
.

Devergoigneuse ?
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Bashir
Non, rien en fin de compte qui puisse être le vieux chevalier... Il ne s'agissait que d'un rebut en sursis. Immobile, impassible, et à nouveau sur ses deux pieds, l'ottoman fixait la vieille chose. Il répondit lentement, sans aucune émotion, à la voix granuleuse.

Que fais donc un vieillard à meurtrir ses jointures, à cette heure ? A par bailler ? Mais n'est ce pas la le signe que tu devrais retourner au chaud ?

Le vieux souvenir de ce qui fut -mais qui pouvait le dire - un homme pointait son épée. La mise en garde était navrante, car amoindrie par un verbiage qui desservait la cause supposée. Les vieux pouilleux... Sans doute ce qui pouvait être le pire ennui !

Quant à ce que tu as vu, tu surestimes ce qui te reste de sens, vieil échantillon. Mais je t'accorde au moins un point : je vais en effet abandonner ce corps, puisqu'il ne fonctionne plus. Et rend moi service, cesse de gueuler... Tu vas finir par te blesser !

L'ottoman avait poussé la blonde sur le côté. Le geste ne laissait donc aucun doute quant à la volonté du l'ottoman. Et son stylet était prêt... Eut-il dû trouer la carcasse flétrie d'une homme qui aurait mieux fait de rester au chaud, à soigner ses esquarres.
Felinia
Féli repoussée sur le côté, Arnaut bien décidé à faire régner la justice et Bashir qui avait un caractère sauvage et indomptable, faisait que la situation était plus que tendue.
Elle préféra intervenue en restant sur le côté
.

Bashir, si tu tues cet homme c'est tout le village et toute l'armée que tu auras sur le dos.
Les gardes vont s'en venir sous peu, rendons nous et laissons la justice régler ça, bien que je ne crois pas en notre justice, pour l'avoir cotoyée.
Je t'en prie Bashir, rend les armes.
Cet homme à terre a eu son compte.
Tu n'as rien à prouver.


Elle regarda Arnaut.

Je vous en prie, soyez indulgent !
_________________
--Garde_de_la_ville


Attention mesdames et mesdames!
Le bel, grand et blond Théodorus était de garde cette nuitée là pour vous protéger des méchants brigands.
Fier et fort, avançant lentement de sa démarche chaloupée qui avait fait chaviré plus d'un coeur de jouvencelles, dans la belle cité de Carcassonne, il humait l'air frais , un sourire charmeur sur le visage.
D'un mouvement de tête il balança sa longue mèche blonde sur le coté, puis salua un garde qui arpentait la rue d'en face.

C'est alors qu'il entendit des cris effrayants. Il sursauta: quoi ? où ?

Dégainant son épée de son fourreaux dans un geste souple et élégant, il courut vers les bruits, appelant les gardes qu'il connaissait en renfort.

Il fila comme une flèche à travers les ruelles sombres de la ville , qu'il connaissait par coeur, et finit par trouver d'où venait tout ce tapage.
La place du puits.

Il s'y tenait un bien étrange spectacle.

Un homme à terre, en sang , gémissant.
Deux hommes se faisant face près à se battre.
Et une magnifique créature blonde, surement en détresse, au centre de ce cirque. Que faisait-elle perdue au milieu de ses brutes ? l’agresse-t-on ?

Il tonna de sa belle et grave voix masculine:


Hé! qui va là ? qu'est ce qui se passe ici ? baissez vos épées et déclinez votre identité ?
je suis le garde de Carcassonne, Théodorus.


Alors qu'il disait ces mots, il entendait derrière lui les pas des autres gardes qui arrivaient en renforts.

Il se tourna vers la femme, et d'un ton protecteur lui demanda:


Dame, ses trois hommes vous importunent-ils ?
Bashir
L'ottoman ne put s’empêcher d'entendre, dans la voix de la blonde, une crainte. Cela signifiait-il donc qu'elle avait une réelle honte de cs actes ? et que ce chien était mort dans une douleur incomparable à la sienne ?

Il se tenait là, droit et fier, comme le général qu'il fut, mais aussi comme l'animal qu'il était. IL ne quittait pas du regard le vieux pouilleux, qui pointait son épée, comme pour garder au loin la mort, et non comme il le braillait, pour donner la punition.

et tout en fixant le chien sans guère plus de dents saines, il dit, d'une voix sombre et lente, à la blonde.

Bayan... Ce village, je ne l'ai pas choisi. Je suis ici, parce que tu m'as demandé de venir. Ce village est comme Toulouse. Pleins de chiens qui estime avoir le droit de croiser mon regard, alors qu'ils sont incapables de parler leur propre langue.

Le corps immobile, il savait qu'elle connaissait cette posture. et il poursuivit, sans bouger ni son bras, armé, ni ses pieds, parfaitement en place.

Et tu as raison, je n'ai rien à prouver. Je sais, moi, qui je suis et ce que je vaux. Je ne suis pas homme à aller chier devant un juge, en pleurant, parce que mes petites joues sont rouges de honte.

Mais je ne suis pas venu, Bayan, pour tuer... Même les pires rats de ce village. Je suis venu pour toi, et si ce pouilleux d'un autre temps persiste à vouloir jouer, alors nous jouerons.

Et toujours immobile, voilà qu'une autre voix se fit entendre. Moins âgée, et moins imbécile dans le ton. Il y avait même comme une sorte d'invitation à l'entente et à la compréhension des choses, que dans la démonstration Juvénile d'une force à jamais perdue par ce chien qui pesait moins lourd que son épée.

L'ottoman tourna son visage vers le militaire qui arrivait et écouta son propos, avant de répondre, de la même voix sombre et lente... cette voix calme, toute opposée à celle qui puait la peur, celle du vieux qui sentait aussi l'urine des anciens négligés.

Il n'y en a qu'un qui brandi une épée, ici... Moi, je suis celui qui est offensé par ce chien !

Arnaut_lo_tocasson


Crachant par terre en écoutant les propos vains et dénués de toute intelligence de l'infâme étranger -qui soit dit en passant dénotaient de manière claire et sans doute aucun son manque d'éducation, Arnaut répondit à la donzelle sur un ton qui n'augurait rien de bon...

« Indulgence il y aura, si vous obéissez ! Mais si, par fol orgueil, vous tentez de vous en prendre à ma personne, soyez sur que vos corps démembrés seront plantés sur la pointe de piques aux portes de la ville ! »

Mais voici que le maurol faisait son coq, se faisant juge du verbiage comme s'il valait mieux qu'autrui, lui l'étranger, le gueux, l'assassin. Souriant en coin, révélant des dents blanches et solides, Arnaut baissa lentement son arme, adoptant la garde du fou. L'épée en ligne basse en face du corps, la pointe dirigée vers le sol. Quiconque possédant de solides notions d'escrime aurait compris dans l'instant que le vieil homme venait de se positionner de manière à éventrer son adversaire -par une attaque de pointe ascendante, d'un coup unique -en profitant du passage par dessous, si celui-ci lançait l'assaut. Une garde osée, mais imparable si l'on n'avait pas un bouclier tenu bas et une bonne épée ou si l'on ne maîtrisait pas le Faucon qui se trouvait en parfaite opposition...

Par contre, pour un œil moins exercé, cela aurait pu être pris pour un signe d'apaisement...

« Avant que d'avancer des vantardises, sale chien noir, saches qu'un buffle(*) comme toi, armé de si pitoyable façon, ne saurait me vaincre... »

Mais voici qu'arrivait un garde, inconnu de nom comme de visage par Arnaut, mais bon, il faudrait s'en contenter. Avec un rictus moqueur, le Bailli écouta les excuses médiocres et pitoyables du charbonné qui tentait de reporter la faute sur lui. Le laissant parler, l'ancien se contenta de désigner du menton la main tachée de sang de son adversaire avant de répondre...

« Soi Arnaut Lo Tocasson, Baille d'Etsat e lo nièl que veses es un aglasiador. Veses lo sang sus los seus graps...La seuna victima es a tèrra... »



(*) Combattant médiocre privilégiant la force brute à l'art de l'escrime ;
--Garde_de_la_ville



Le narcissique garde Theodorus, de toute sa stature d'homme, toisa les deux hommes inconnus qui s'adressèrent à lui, d'un air incrédule.
Il balaya sa mèche blonde rebelle d'une main gantée et avec une voix teintée d'orgueil et d'autorité, répondit :


Silence, malotrus! Et rangez votre épée, vieil homme.

C'est à cette dame que je me suis adressé.


Puis s'approchant de la magnifique femme en détresse , tout en lui lançant un regard perçant, un rien charmeur, lui répéta du même ton protecteur:

Dame, exprimez vous. Que se passe-t-il ici ?
Arnaut_lo_tocasson


Fixant du coin de l'œil le maurol, et s'adressant au petit garde minable qui n'écoutait rien et n'avait visiblement dans la caboche qu'une noix de beurre rendue molle par le soleil et la boisson, le Bailli, d'une voix froide déclara...

« Par la malpeste, sais-tu seulement à qui tu t'adresses de la sorte ? Je pourrais te faire bastonner pour tes paroles. M'ignorer au profit d'une gueuse et ne pas entendre que tu as devant toi un assassin en la personne de ce noir étranger, et que cette puterelle à qui tu fais les yeux doux est sa compagne ! De plus, tu ne portes pas l'uniforme réglementaire, comment oses-tu seulement parler et donner des ordres ?!

Donnes moi ton rang et ton grade soldat, prestement, que j'aille faire rapport à qui de droit ! Car aussi vrai que par patente royale nous avons droit de justice, tu seras puni pour ton impertinence !
»

Et effectivement, le mouvement latéral d'Arnaut pour mieux percevoir ses adversaires l'avait mené sur le parvis de l'Hostel Shaggash qui faisait face au grand puits, lieu couvert et protégé par le Coutumier de son Seigneur sur lequel les gens de la mesnie en charge de la sécurité et de la justice avaient droit de vie et de mort par émanation du Comté et de la volonté royale...
Felinia
Féli écouta tour à tour les hommes en présence.
Seul son homme avait de l'intérêt.

Elle regarda froidement Arnaut


Comment osez vous m'insulter ?
L'insulte n'est il pas puni par la loi également ?
Qui êtes vous pour traiter les gens de la sorte ?
Seul Fathi Han à ce droit et c'est le seul, m'entendez vous ?


Se tournant vers le garde

Il s'agit d'une légitime défense, cet homme à terre m'a menacé d'une lame et de mettre fin à mes jours.
Mon ..... euh Fathi Han ici présent m'a sauvé la vie, tout simplement et Messire Arnaut veut nous faire mettre au cachot ou pire, ou est la justice là dedans, dites le moi ?!


Elle n'en menait pas large mais elle avait confiance en son homme et le suivrait quoi qu'il arrive, quoi qu'il décide, quoi qu'il fasse....
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--Garde_de_la_ville


Le beau blond lança un regard courroucé au vieillard qui se croyait tout permis sous prétexte qu'il se trouvait sous la bannière d'Exat.
Il préféra ignorer cet imbécile orgueilleux et écouta la jeune femme.


Légitime défense vous dites ?

Il s'approcha doucement du corps à terre, l'homme ne venait pas de la bella cité de Carcassonne. Vu son accoutrement et ses cicatrices, il s'agissait sans doute d'un brigand.

Il se pencha, tata l'homme. Il semblait mort, l'étranger au teint sombre ne l'avait pas raté.

Il se releva, épousseta ses braies et recoiffa sa blonde chevelure d'une main.

Puis s'adressant à l'étranger, avec un sourire admiratif.


Et bien, l'étranger , il me semble que vous êtes un héros. Vous avez sauvé cette femme et débarrassez notre ville d'une saleté de brigand.
Vous méritez des félicitations et non pas le cachot.


Il foudroya le vieux du regard.

Et vous cessez de faire la loi dans les rues, vous feriez mieux de retourner chez votre vieille qui doit s'inquiétez de votre sort.

Les autres gardes étaient arrivés, Théodorus leur fit un rapport rapide de la situation.
Arnaut_lo_tocasson





« Incapable petite vermine !! Ta mère t'a chié dans les latrines pour que ta cervelle soit aussi pleine de fumier ?! Un héros ? Ce merdeux au teint de cendres ?! Ouvres les yeux et sors toi les doigts du fondement, minable petit paysan !

Pour moi tu n'es pas un soldat du comté, tu n'en porte pas les couleurs et les pécores qui viennent de te rejoindre n'en sont pas non plus ! Vous n'êtes que de fieffés marauds accoquinés à ces vils individus !
 »

En effet, deux types en haillons, abrutis de boisson et le front bas -comme nombre de demeurés congénitaux que l'on pouvait rencontrer en taverne, venaient d'arriver en se revendiquant de la milice urbaine. Leurs accents avinés et leur démarche hésitante trahissaient en eux des soulards de premier ordre et vu que le prétendu soldat leur faisait un rapport, il devint clair pour Arnaut qu'il s'agissait là de trois ivrognes qui voulaient se faire mousser un peu et essayer d'en imposer à autrui. Malheureusement pour eux, ils étaient tombés sur l'homme de loi du Baron d'Exat & de Portes, l'un des rares seigneurs languedociens à avoir droit de posséder hommes en armes et justice basse et haute...

Pointant du doigt la gueuse et son compagnon à tour de rôle, l'ancien déclara avec fureur.

« Les choses n'en resteront pas là, croyez m'en ! On se retrouvera au tribunal et vous devrez rendre compte de vos actes... Et ne croyez pas que la parole des trois soulons vous sera d'une quelconque utilité, car ils ne sont aucunement fonctionnaires du Languedoc et que leur parole est nulle face à la mienne et à celle de mon Seigneur ! »

Lors, profitant qu'il se tenait par devant l'Hostel, le Bailli s'écria avec force, le regard brillant d'une haine farouche, pour attirer la vraie patrouille et les soldats de la Bannière qui devaient jouer aux dés en montant la garde dans la Grand' Salle de la maisonnée...

«  A moi, gentils soldats d'Exat !! On agresse et on tue dans nos rues ! A moi !! »
--Garde_de_la_ville


Le garde et ses compagnons, tous en tenus réglementaires, parce que c'était vraiment des gardes de la ville, armées et payés par le comté, au nombre de 7 regardèrent le vieux se ridiculiser tout seul.

Vous êtes ivre vieillard ! ou complètement dément! Quelle diablerie vous ronge-t-elle donc la raison ? Seriez vous pris d'une crise d'HeRPès ?
doutez des gardes qui gardent ainsi la cité de quel droit ?

juste parce que l'on ne vous obéit pas ? ma parole, vous avez quel age ?

vous avez de la chance d'être dans la bannière d'Exat, je laisse votre mestre vous punir, je m'en vais sur le champs écrire un courrier pour me plaindre de votre comportement désobligeant, envers ma personne et ses 6 valeureux gardes.

Madame, étranger, partez sans crainte, cet homme a perdu l'esprit, sans doute la vieillesse et trop de vin.


Ensuite Théodorus ordonna à deux gardes de s'emparer du corps, pendant qu'un troisième retournait à la caserne de la maréchaussée écrire le rapport qu'il lui avait prestement dicté.

Suffit pour ce soir, le spectacle est fini, rentrez tous chez vous.
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