Altaiir
L'homme semblait nerveux de se trouver en face du ténébreux, les mains s'entremêlant sous le poids qu'il devait livrer afin de remplir parfaitement sa mission. Altaiir lui ne le quittait pas des yeux, attendant avec un soupçon d'impatience vu le temps qui défilait.
Sous la froideur azurée, l'individu ravala sa salive pour enfin se mettre à table :
He... Perdón... Señor, pero... Su Majestad la Reina de Francia usted ha escogido como un campeón para la próxima batalla, me siguen a vestirse con la armadura con los colores de Lys.
A ces derniers mots, le vicomte resta un instant silencieux plus que de raison, ce qui inquiétait encore plus l'envoyé des reines... Puis soudain, l'Auditore se redressa sur ses bottes, ouvrant le bras en invitation à partir :
Vamos, nos apresuramos para no hacer esperar a la multitud.
Un dernier coup d'oeil vers la fauvette semblant inquiète, un petit sourire se dressa pour tenter de la rassurer, du moins... Un faible espoir quand elle verrait la suite. Longeant les campements pour trouver la tente royale de sa souveraine, le florentin de naissance et tourangeau actuellement pénétra les lieux.
De suite, on lui sauta dessus littéralement pour l'emprisonner d'une carapace en fer, le poids sur ses jambes devenant bien vite lourd... Mais la fierté était sa force, être le champion de la Reine, quel honneur ! Lorsque tout fut bien mis, le ténébreux capuchonné s'était transformé en guerrier épique royal, dont une ravissante cape flottait dans l'air avec les tâches de Lys, heaume sous le coude.
A peine sorti, il lui fallu quelques secondes pour reconnaître Arador, son étalon aussi sombre que la nuit, dont les extrémités nasales, frontales et piédestales baignaient comme neige dans un blanc éclatant. Ce dernier était tout autant équipé que lui, à la différence d'avoir une robe aux couleurs de France à la place d'une armure complète.
Enfin en selle, il regagna au trot la lice où il put voir la fin du combat du Grand Ecuyer de France, première victoire pour eux donc... Se rapprochant cette fois au pas de son coéquipier, il inclina le buste pour le saluer :
Vous êtes redoutable Monseigneur, j'ose espérer ne jamais me retrouver en face de vous... Puisse le Très Haut être de mon côté à mon tour pour l'affrontement prochain.
Lui adressant un sourire aimable en chaussant son heaume sur la tête, il ne put voir qu'il s'agissait d'une dame en face, par chance ? Car il avait horreur de se battre contre les femmes. Pensant donc qu'il s'agissait d'un homme robuste et fort, il se plaça convenablement en s'excusant devant le grand Guillaume car il s'agissait de son combat cette fois, un peu de place à la jeunesse.
Le bouclier aux couleurs d'or et de gueules pour Rigny-Ussé lui fut donné, avant de caler la longue sous le bras, prêt à charger au nom de Béatrice de Castelmaure...
Désolé l'ami joueur, il s'agissait du tour d'Altaiir cette fois
El hombre parecía nervioso al estar frente a el tenebroso, entrelazadas las manos bajo el peso que tenía que entregar con el fin de cumplir con su misión perfectamente. Altaiir nunca apartó sus ojos, a la espera con un toque de impaciencia por el tiempo en un desfile.
Bajo el frío azul, el individuo finalmente se tragó su saliva a la mesa:
He... Perdón... Señor, pero... Su Majestad la Reina de Francia usted ha escogido como un campeón para la próxima batalla, me siguen a vestirse con la armadura con los colores de Lys.
Al oír estas palabras, el vizconde permaneció en silencio un momento más de lo necesario, lo que preocupa aún el mensajero de las reinas... Entonces, de repente, el Auditore se sentó en sus botas, la apertura de la invitación del brazo a llevar :
Vamos, nos apresuramos para no hacer esperar a la multitud.
Una última mirada a la curruca parece preocupado, una pequeña sonrisa se levantó para tratar de tranquilizarla, por lo menos... Una tenue esperanza cuando ella se verá más adelante. Campamentos a lo largo para encontrar la tienda real de su soberano, el nacimiento de Florencia y Touraine entrado en la escena.
Inmediatamente, él saltó literalmente a encarcelar a un proyectil de hierro, el peso en sus piernas se vuelven pesadas muy rápidamente... Pero el orgullo era su fuerza, el campeón de la Reina, ¡qué honor! Cuando todo estaba bien vestido, el guerrero encapuchado oscuro se convirtió en una épica real, con una bella capa en el aire con las tareas de Lys, el casco bajo el brazo.
Acaba de salir, se tomó unos segundos para reconocer Arador, su caballo negro como la noche, los fines del pedestal nasal, frontal y en forma de nieve bañado en color blanco brillante. Era tan equipados como él, a diferencia de tener un vestido con los colores de Francia en vez de un traje de armadura.
Por último, en la silla, volvió a la arena en el trote, donde pudo ver el final de la batalla del Maestro del Caballo de Francia, la primera victoria para ellos así que... Acercarse a este tiempo en ningún compañero de equipo, se inclinó para saludar el busto:
Vous êtes redoutable Monseigneur, j'ose espérer ne jamais me retrouver en face de vous... Puisse le Très Haut être de mon côté à mon tour pour l'affrontement prochain.
Enviándole una sonrisa amable al poner en su casco en la cabeza, no pudo ver que era una señora de enfrente, por oportunidad ? Porque odiaba a luchar contra las mujeres. Así que pensando que era un hombre fuerte y resistente, se colocó bien disculparse con el gran Guillaume, ya que fue su lucha esta vez, un poco de espacio para los jóvenes.
El escudo con los colores de oro y gules de Rigny-Ussé se le dio, antes de que se cale el lanza larga en el brazo, listo para cargar el nombre de Beatrice Castelmaure...
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