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[rp]Musartine et Ghell ... Anges? ou Demons?

Ghell
Ghell et Musartine avait enfin leur Maison...
Ils avaient choisit leurs maison ensemble, Muse voulait une grande Cuisine avec une belle salle a manger avec Cheminée en prévision des longues Nuits d‘hiver…
La salle à manger devait être grande pour accueillir leurs nombreux amis…
Muse voulait aussi avoir un bel escalier pour accéder chez eux, aussi elle voulait avoir de nombreuses chambres a l’étage avec pièces de bains, elle tenait à avoir de nombreuses pièces avec des bacs a eaux…
Encore une idée de femmes pensait Ghell…
Ghell, quant a lui, voulait avoir de la place pour pouvoir parquer leur vago, il voulait aussi une écurie pour leurs chevaux…Et aussi il voulait un promontoire pour pouvoir surveiller la Nuit…
Surtout quand Muse était de Garde, il n’aimait pas trop cela, enfin il ne pouvait rien y faire, c’était son métier, Elle se donnait tellement pour Valence…
Ghell et Muse avait aussi voulu rajouter a leur Maison deux belles statues de chaque cotes de l’escalier d’accès a leur chez eux...
Le résultat était vraiment réussi… Cela donnait vraiment du caractère a leur maison, et puis, bon Ils avaient eux deux aussi leur caractère^^…
Devant leur Maison il y avait aussi la cour pavée de Pierres du Rhône, cela permettait aussi de garder leur Maison propre a l’abri de la boue…Et cela faisait une belle aire de jeu protégée pour Bowen et pour leur futur enfant…
Il songeait a faire creuser un puit, ca leur donnerait de l’eau courante pour la Maison, et oui le confort était important pensait il, lui qui avait passe le plus clair de son sur les routes du Royaume…
Ils sont tout les trois, enfin tout les quatre Muse portait leur enfant…
Il la regarde le lui dit…

Alors mon Etoile ? Voici notre Maison…



Je te prie de bien vouloir venir avec moi nous allons faire le tout du propriétaire, tu verras tout y est. La grande table, la cheminée, ou nous ferons rôtir nos viandes…
En ce moment j’ai de bon prix sur la viande je l’achète a 17,45 Ecus, Je ne pense pas avoir tord^^
Et puis tord ou raison, rien n’est trop beau pour toi^^…
Et puis bientôt nos enfants aussi mangeront de la viandes, tu vas devoir penser à produire des carcasses…


Ghell prend la clef de sa besace et la donne a Muse…

Voici la clef du bonheur…
_________________
Musartine
Ce matin là, Ghell ne tenait plus en place. Qu'avait-il ? Il fallait faire vite, il la pressait tout le temps, vite manger, vite s'habiller, vite partir, vite marcher dans les rues de Valence. Qu'avait-il encore préparé ?

Quand enfin, il s'arrête devant une immense maison, une cour pavée devant ... Mais ... elle n'avait donc pas rêvé ? Une nuit, en songe, elle l'avait entendu dire qu'ils emménageraient bientôt .... C'était donc vrai ?

Muse ne savait plus où regarder. Les granges sur le côté ? le porche et son escalier entouré des deux statues ? L'immense cour devant ? Son amour qui avait tant travaillé ? Bowen qui sembait aussi emerveillé qu'elle ?


Citation:
Je te prie de bien vouloir venir avec moi nous allons faire le tout du propriétaire, tu verras tout y est. La grande table, la cheminée, ou nous ferons rôtir nos viandes…


Muse était émue au plus haut point ... elle sentait sa gorge se nouer d'émotion, elle voulait parler, mais elle sentait ses cordes vocales trembler... elle risqua :

Ghell Amour ? Mais quand donc as tu préparé tout cela ? Mais ... Comment as tu fait pour trouver cette demeure correspondant à ce dont nous avons tant parlé ?

Regardant à nouveau cette bâtisse, malgrès les larmes de joie voilant sa vue, elle prit Bowen dans ses bras, s'approcha de la porte, et tenta d'entrer la clé dans la serrure.
Maladroite, impatiente, émue, elle eut quelques difficultés à mettre ce si petit objet dans l'orifice adéquat. Cette maison qu'elle tentait d'ouvrir était la leur. Ils allaient enfin pouvoir vivre dans un endroit digne de ce nom. Ils avaient d'abord vécut au moulin, qu'il avait arrangé du mieux qu'il put, puis ils avaient investit quelques temps le vago, et maintenant ...

Se retournant vers l'homme qui avait tant fait, dans un murmure à peine perceptible....


Oh Mon Ange ... Merci pour tout... merci pour ton amour, merci pour ta vie, merci pour notre vie ....

je t'aime tant ...

_________________

Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
Ghell
Ghell regardait Muse toute souriante, Elle était si heureuse…
Il portait Bowen dans ses bras quand ils pénétrèrent chez eux, tout était fini et ranges…

Tu vois mon cœur notre Entrée dessert toutes nos pièces, ensuite tu as notre grande salle a manger avec cette immense table, nous pourrons festoyer avec nos amis, de chaque cote tu as des pièces avec des bons fauteuils confortables… Ici mon loup nous avons notre pièce avec notre grande cheminée…
Nous passerons de bons moments ici l’hiver grâce a la chaleur produites par les buches de chenes…
Les cochons et les agneaux rôtirons aux feux de bois^^…


Ils traversent encore l’entrée et pénètrent dans la cuisine…
Il regarde Muse toute heureuse de voir sa cuisine si grande avec toutes ses poêles accrochées au murs^^

La mon cœur c’est notre Cuisine, j’ai fais comme tu m’as dis une grande cuisine éclairée, avec beaucoup de Meubles de rangements… tu vois tout ses rangements^^… J’ai utilise les meilleures essences de bois…
Ca sent encore la cire d’abeille que j’ai récupéré dans les ruches…


Ils reviennent dans leur belle entrée…

La mon cœur tu as les escaliers qui accèdent aux chambres… nous irons voir l’étage toute a l’heure, je veux que tu profites déjà de ce Niveau…regarde bien de partout…il faut que tu t’habitue a notre nouvelle demeure…



Il pose Bowen a terre et regarde l’enfant se diriger vers les fauteuils et grimper dessus…
Il prend son amour dans ses bras et lui murmure

je t’aime si fort…
_________________
Musartine
Une fois entrée à l'intérieur de cette bâtisse, Muse se sentit vite impressionnée. Un double escalier s'offrait à ses yeux, et non loin de là, des fauteuils. De suite, elle comprit l'importance que Ghell avait donné au confort, de suite elle comprit qu'il avait bel et bien tout fait pour mettre en place leur desiderata.

Le suivant pas à pas, mais ne comprenant pas tout, car étant abasourdie par toute cette nouveauté, Muse vit l'immense cheminée. Ils pourraient y faire rôtir de belles bêtes se dit-elle. Mais quand elle vit la salle à manger ... Cette immense table .... Muse fut ....sidérée ....


Mon Loup ? Mais cette table est immense ! Nous allons pouvoir recevoir tout valence en même temps ! C'est ..... wouhaaaaaaaa

Muse ne put s'empêcher de faire le tour de cette immense table, comme si la contourner permettrait de mieux se rendre compte de sa taille, de mieux évaluer où placer les futurs invités. Elle ne put s'empêcher de regarder l'homme qui avait accompli tout ceci. Décidément, il ne cesserait jamais de la surprendre. Décidément, il savait écouter tout ses désirs. Elle le voyait là, heureux de lui montrer cette surprise, heureux d'avoir pu réaliser cette demeure familiale. Heureux.

Ils reprirent la visite, et il lui montra la cuisine. Celle -ci était immense, emplie d'ustensils, et de poêles !!!! Il avait même pensé à cet objet qu'elle affectionnait tant, objet dont elle se servait rarement en cuisine d'ailleurs ... Elle ouvrit tout les meubles présents dans cette cuisine, entreprit une étude approfondit du matériel de cuisson, les tailles, les quantités, les qualités aussi. Il avait tout prévu, tout ce qu'il fallait pour recevoir quantité d'amis.

Abasourdie, elle fini par lui prendre la main,et par ne plus savoir où aller. Il lui faudrait prendre ses marques dans cette immense maison, pour cela, il faudrait commencer par y vivre un peu. Quel pourrait-être le premier repas qu'elle pourrait leur préparer en cette demeure ? Il lui faudrait réfléchir à ça.... Un premier repas qui lui montrerait combien elle l'aime ... Commençant à rêvasser tout en continuant d'observer tout ceci, Muse alla dans l'un des deux petits salons, s'installa dans un fauteuil, posa machinalement sa main surson ventre et imagina sa vie ici, au milieu de ses deux hommes, et de l'enfant à venir.

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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
Ghell
Ghell observait son étoile en souriant, elle était si heureuse de tout découvrir, de tout toucher. De tout regarder…
Il observait Bowen aussi, il s’amusait a pousser les chaises de la salle a manger, il s’asseyait sous la table imaginant qu’il était sous sa maison…
Il regarde son amour assise dans un confortable fauteuil, elle était si belle, si détendue, Sa grossesse lui allait si bien…
Il s’esquive doucement et revient avec une assiette remplie de fruits frais qu’il avait ramasse dans leurs jardin…

Tiens amour, tu dois avoir une petite faim, et notre verger est rempli de fruits frais, L’été est vraiment une saison magnifique, Nous pouvons profiter du soleil ainsi que des fruits...

Il regarde sa Muse Croquer a pleine dans les Pêches rouges et juteuses…
Une fois termine, il prend son amour par la main et lui dit…
Allons a l’étage j’aimerais te montrer nos chambres…
Il se ravise et la prend dans ses bras…

Non je vais te porter…

Il porte son amour dans ses bras et Gravit l’escalier qui accède a l’étage…
Ils pénètrent dans leur chambre, la au milieu du Lit il avait pose une robe légère de soie blanche…
Il avait acheté cette robe à un marchand ambulant durant ses voyages…
Il déshabille son amour doucement en lui souriant le regard pleins d’amour…
Il la regarde juste revêtu de sa chaine en or avec son pendentif représentant un cœur incruste de 4 étoiles…
Il ne peut s’empêcher de la couvrir de doux baisers… Il adore chaque parcelle de son corps, sa peau si sucrée est un délice pour ses lèvres…
Il aide Muse à enfiler sa nouvelle robe de soie blanche…

Tu es si belle comme cela amour, et je pense que tu seras plus à l’aise dans cette étoffe si légère…
Et aussi plus à l’aise pour être chez nous…


Il lui prend la main et continue la visite de leur nouvelle demeure…


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Musartine
Alors qu'elle rêvait toujours, assise dans son fauteuil, mangeant une nième pêche, elle entendit Ghell l'inviter à continuer la visite. Il lui montra alors les chambres et les salles d'eau qu'il avait prévu, leurs immenses baquets déjà en place.

Elle ne put réprimer un sourire en voyant la quantité d'armoires qu'il avait prévu. Il avait tellement de vêtements, il ne risquait pas d'oublier ça. Bon, il est vrai aussi qu'elle même étant tisserande, cela rajoutait 2 ou 3 habits, mais guère plus, soyons francs.

Quand elle découvrit leur chambre, leur gigantesque chambre avec cette vue sur leur jardin, les arbres pleins de fruits, l'espace où ils pourraient se reposer tranquillement en famille, elle fut émerveillée. Et non content de lui faire la surprise de la maison, il avait encore préparé une autre surprise. Une tenue légère dans une étoffe soyeuse comme ses mains, douce comme son regard.


Amour ? cette tenue est .... magnifique. Et tu as raison, je m'y sens à merveille. Mais n'est-ce pas un peu trop pour moi ?
J'ai l'impression d'être l'une de ces femmes présentes sur la colonnes aux acanthes. Mais je n'ai pas leur grâce, je n'ai pas leur légèreté. Je crains ne pas faire honneur à cette étoffe somptueuse.


Elle savait déjà qu'il dirait le contraire, elle savait déjà qu'il protesterait, mais elle craignait tant qu'il la mette sur un pied d'éstal qu'elle ne méritait pas. Elle craignait toujours qu'un jour il ouvre les yeux et qu'il voit tout ses défauts, toutes ses imperfections, qu'il se rende compte qu'elle n'est pas la perfection qu'il imagine. Elle s'approcha alors de ses lèvres, y déposa amoureusement un tendre baiser.

Comment un homme qui avait eu l'opportunité de rencontrer tant de gens, tous plus interressants les uns que les autres, avait-il peu tomber amoureux d'elle ?

Comment un homme dont les cicatrices présentes sur son corps démontraient la vie aventureuse qu'il avait pu avoir, pouvait décider de s'installer à ses côtés dans une maison si confortable ?

Comment un homme dont la générosité devenait légende en cette ville pouvait-il supporter les médisances qui courraient à son encontre à cause d'elle ?

Elle le regarda un instant. Qu'avait-elle bien pu faire pour mériter un tel homme ? Souriant en pensant à ce bonheur qui l'envahissait, à cet amour, à cette vie à deux, à cette maison, à leur fils qui jouait, à leur enfant à venir, et oubliant tout les tracas, un souvenir se rapella à elle.


Je crois que le moment est venu .... il est tant de la sortir ...

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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
Ghell
Ghell était si heureux de voir Sa douce si radieuse…



Il avait pensé entendre quelque chose…
Mais quoi ?
Il lui sourit et lui dit…

Muse chérie, Bowen joue, il est si heureux aussi… Moi je t’ai préparé un bain pour te relaxer un peu et ensuite nous mangerons tout les trois…
Cela te va ?


Il prend doucement la main de Muse, elle a les doigts si fins, il la regarde et pense…
Ses cheveux sont si soyeux, ils retombaient sur ses épaules par de longues mèches brillantes…
Sa peau Hâlée par le soleil de l’été contrastait a merveille avec la blancheur de son déshabillé blanc…
Son regard plein de malices et avec ces milliers de points brillants, oui son regard était magique…
Sa bouche si bien dessinée, couleur de Rubis, Sa bouche qu’il ne se lassait pas d’embrasser…
Son corps pleins de Grace, Elance, Majestueux, Muse était vraiment une deesse…
Il regardait émerveillé son amour, elle est si belle…
Doucement il l’emmène dans leur pièce de bain…
La chaleur de l’eau qu’il avait préparé dans leur Bac a Bain avait créé une ambiance vaporeuse dans la pièce…
Il sentait la douce chaleur humide l’envelopper, il se défait de ses habits et se retourne…
Muse est la debout a cote du bac qu’il avait sculpte dans un tronc d’arbre, des perles de sueurs apparaissaient sur son front…
Le déshabillé collait a sa peau, elle était si belle, il voyait les formes de son amour se dessiner dans la soie blanche, sa poitrine apparaissait sous le doux tissus…
Il s’approche de son amour, il la soulève dans ses bras et l’installe dans le bac d’eau a bonne température…
Il lui sourit…

Mon cœur j’arrive, laisse-moi pendre des sels de bains…

Il revient avec un sourire au levres…
Il s’installe assit derrière son amour et passe ses mains autour de sa taille…
Ses mains caressent doucement son ventre avec délices, il est si heureux…
Sa bouche embrasse sa nuque, il frissonne de bonheur…
Doucement il enlève son déshabillé de soie…

Muse amour ? tu disais quelque chose toute a l’heure, mais je n’ai pas entendu…
Tu me parlais ?

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Musartine
Il faisait chaud dans cette salle d'eau. La vapeur faisait suer, Muse sentait la fine étoffe se coller à sa peau. Mais pénétrer dans cette eau chaude, se retrouver dans les bras de son Tendre faisaient naître en Muse une langueur non chalante. La seule situation valait tout les massages, et après toutes ces surprises, cette visite inattendue, elle avait d'autant plus l'impression de vivre dans un monde fait de douceur et de bonheur.

Tous les tracas, tous les chiffres, toutes les rumeurs cessaient enfin. Bowen semblait avoir déjà pris ses marques dans cette maison. Tout allait au mieux.

Les mains de Ghell caraissaient son ventre qui commençait à montrer les marques de l'enfantement. Muse continua de se laisser aller à la détente et colla son dos au torse de cet homme qu'elle aimait.


Moi ? Te parler ? tu es sur ?

Elle ne put empêcher cette taquinerie qui était parfois un réflexe chez elle. Ilest vrai qu'elle avait prononcé ces dernières paroles à haute voix. A se sentir si bien, si heureuse, parfois on ne se rend pas compte que nous parlons distinctement. Elle qui aurait voulu lui faire une surprise, décidément elle n'était pas douée pour ça.

Euh ...
Disons que ....
euh ....
Un jour, il y a de cela maintenant fort longtemps, j'ai fait une promesse à un homme. Et je crois que le moment est venu d'honorer cette promesse. Et les promesses doivent toujours être honorées. N'est-il pas ?


Devait-elle lui en dire plus maintenant ? Ou fallait-il raconter toute l'histoire d'un seul tenant ? Il faut avouer que cette promesse n'était que symbolique, mais elle avait tellement de signification. Il est des sujets qui s'ils peuvent paraître futiles à certains, sont pour d'autres d'une importance capitale.

Elle se rendit alors compte qu'elle ne pouvait pas juste lui dire cela pour le moment. Dire qu'on a fait une promesse à un homme à l'homme qu'on a promis d'épouser. Elle même serait folle de rage si elle aprennait qu'il avait fait une promesse à une femme sans savoir laquelle. Oui mais voilà. Elle ne pouvait pas tout dire maintenant, puisque pour honorer cette promesse, il lui faudrait partir quelques instants.


Mais ne t'inquiète pas Amour. C'est une promesse bien particulière. Quelque chose que je dois faire lorsque toutes les conditions seront réunies, et aujourd'hui, elles le sont.

Lors de mon premier voyage, je suis allée à Vienne la Belle. Et là bas, toi qui as beaucoup voyagé tu dois t'en douter, j'ai fait nombre de connaissances. Et notamment celle d'un voyageur. Lorsque je suis revenue à Valence, il poursuivait son voyage et est resté quelques jours à Valence. Je n'ai eu des nouvelles de lui qu'une fois par la suite, lors de mon anniversaire, il m'avait écrit une petite carte, et depuis, je n'ai plus aucune nouvelle. Peut être est-il mort au combat ? peut être a-t-il trouvé ce qu'il cherchait ? Je ne sais. Et sans doute je ne le saurais jamais.


Se retrouvant soudainement projetée quelques années en arrière, Muse se perdit dans ses pensées. Elle revoyait cet homme, jeune, perdu, désespéré. Un homme qui va à la guerre avec cet esprit ça n'est jamais bon. Un homme qui va à la guerre, ça n'est jamais bon. La guerre, ça n'est jamais bon. Mais parfois, la guerre est nécessaire .. enfin c'est un autre sujet. Peut être n'était-il pas mort après tout ...

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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
Ghell
Ghell caressait doucement son amour en lui posant la question…
Il était si bien blotti contre son amour, ses mains entendaient l’enfant que Muse portait en elle
Leur enfant…L’enfant de l’amour…Un être ne de la fusion et du mélange de leur deux amours…
Un enfant qu’il chérirait comme il avait chéri sa fille Lydina, Lydina, qu’il aimait tant … Comme il chérissait Muse…Sa douce étoile, celle pour qui il respirait…
Ghell n’avait que de l’amour pour eux…
Il savait qu’Amour et Amitié étaient 2 choses différentes, il savait donner son amitié aussi…
Mais l’amour qu’il avait pour eux était à l’ infini…
Quand soudain il entend la réponse de sa Muse adorée…

Citation:
Euh ...
Disons que ....
euh ....
Un jour, il y a de cela maintenant fort longtemps, j'ai fait une promesse à un homme. Et je crois que le moment est venu d'honorer cette promesse. Et les promesses doivent toujours être honorées. N'est-il pas ?


Il lui semble que le monde s’écroule autour de lui…il ne comprend pas…
A t’il bien entendu ? Ses mains arrêtent de caresser son Ange… et il entend comme dans un rêve la suite de ce que Muse lui dit

Citation:
Mais ne t'inquiète pas Amour. C'est une promesse bien particulière. Quelque chose que je dois faire lorsque toutes les conditions seront réunies, et aujourd'hui, elles le sont.


Ne pas s’inquiéter ? Une promesse particulière ? Les conditions réunis ? Aujourd’hui elles le sont ?

Il ne sait plus quoi faire… Tous ses rêves s’estompent… Aucun son ne peux sortir de sa bouche…

Il entend la suite de ce que lui dit Muse…

Citation:
Lors de mon premier voyage, je suis allée à Vienne la Belle. Et là bas, toi qui as beaucoup voyagé tu dois t'en douter, j'ai fait nombre de connaissances. Et notamment celle d'un voyageur. Lorsque je suis revenue à Valence, il poursuivait son voyage et est resté quelques jours à Valence. Je n'ai eu des nouvelles de lui qu'une fois par la suite, lors de mon anniversaire, il m'avait écrit une petite carte, et depuis, je n'ai plus aucune nouvelle. Peut être est-il mort au combat ? peut être a-t-il trouvé ce qu'il cherchait ? Je ne sais. Et sans doute je ne le saurais jamais.


Ghell est sous le choc… Qui est cet homme ? Quelle promesse Muse a faite à cet Homme ? Cet Homme a écrit à Muse…Que pouvait il bien écrire a Muse ?
Et Muse disait qu’elle devait honorer cette promesse ?...
Ghell se releve doucement et sort du bain… Il ne comprend plus… Il se dirige vers la chambre et enfile une tunique Blanche…



Il revient dans leur pièce de Bains et regarde son amour…

Muse ? Mon étoile ?
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Musartine
A peine avait-elle commencé ses propos qu'il ne la touchait plus, qu'il ne disait plus rien. Il quitta la bain, il sortit de la pièce.

Elle aurait du s'en douter. Mais comment le lui dire autrement ? Ou alors .... ne pas tenir cette promesse ? Et puis d'ailleurs, cette promesse, c'est peut-être aussi à elle qu'elle se l'était faite.

Passant du bain chaud à la douche froide, Muse sortit aussi de l'eau. Comment lui faire comprendre qu'il n'avait rien craindre. Comment lui faire comprendre qu'il était le seul homme qui compte.

Elle prit un linge afin de se sècher, le noua autour de son corps, et s'apprêta à quitter la pièce. Au moment même où elle allait sortir, elle le vit face à elle, il l'interpellait.

Que voulait-il savoir ? Qu'allait-il lui reprocher ? Ou au contraire avait-il saisit son erreur ?

Elle savait qu'en ce moment même il souffrait, et elle même sentait ses entrailles la déchirer de le voir dans cet état. Elle même savait quel feu le brûlait en cet instant. Mais il lui faudrait patienter pour savoir quelle était la promesse. Cette promesse qui pour le moment le mettait dans un tel état ...


Oui Amour ?

Le regardant un instant, se demandant ce qui allait suivre, elle se mordit la lèvre .... non elle ne voulait pas le faire souffrir ainsi, ne le savait-il pas ?

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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
Ghell
A Peine Ghell était revenue, qu’il aperçoit Muse hors du bain avec un linge noue autour de son corps…
Il entend Muse Lui dire…

Citation:
Oui Amour ?


Il la regarde tendrement, s’approche de son amour, Il la prend dans ses bras…
Il a tellement d’amour pour Muse, Il lui fait tellement confiance, Ils ont été ensemble tout le long de leurs bons et mauvais moments…
Il savait que Muse voulait lui dire quelque chose, Mais Quoi ?
Il a tellement peur de Perdre celle qu’il aime par-dessus tout, il donnerait sa vie pour elle…
Il se penche doucement au creux de son oreille et lui murmure doucement…

Princesse ? Tu me tout me dire, je t’ai donne ma confiance et jamais elle ne faillira…
Mais tu sais Mon cœur, j’ai toujours une peur qui me tenaille, J’ai peur de te perdre…
Et tu sais ma vie sans toi ne serait que vide autour de moi…


Il se met a genoux la tête contre son doux ventre… Il embrasse doucement son amour…

Mon Cœur je suis prêt, je t’écoute Mon Etoile…
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Musartine
Elle le voyait maintenant en lutte avec lui-même. Et ses propos confirmait ce qu'elle voyait, il craignait de la perdre.

Sentant sa tête contre son ventre, elle posa tendrement une main sur son visage et le caressa doucement. Elle connaissait elle aussi cette peur, n'était-elle pas normale ? N'est-il pas normal, lorsque l'on aime autant de toujours craindre que l'autre ne parte ? Sentant les battements de son coeur augmenter à cette seule idée, elle se dépêcha de reprendre la parole, cela éloignerait peut être ces pensées qui la torturait elle aussi.


Mon Loup, je ne te quitterai pas. Je resterai à tes côtés, tout comme tu resteras à mes côtés. Nous sommes deux. Tous les deux. Toi et moi.
Et il m'arrive de parler avec d'autres hommes tu le sais, mais cela ne signifie en rien que je les vois comme je te vois, ni que je les entend comme je t'entend. Je t'aime toi, et toi seul.


Puis se mettant également à genoux, elle prit délicatement son visage entre les mains et déposa un doux baiser sur ses lèvres. Sentant à nouveau la douce chaleur de leur amour l'envahir, elle savoura pleinement ce moment, comme chacun de leurs baisers, chacune de leurs caresses, chacune de leurs unions, comme s'il s'agissait du seul et unique baiser qu'elle aurait de lui. Le plus prècieux, le plus merveilleux qu'elle aurait dans toute sa vie. Comme si après celui là, elle n'en connaitrait jamais d'autre...

Il disait être prêt à l'entendre. Comme si entendre cette histoire, entendre cette promesse serait une torture. Pourtant, maintenant qu'elle savait que le moment était venu, elle était heureuse d'enfin pouvoir réaliser ce qu'elle s'était engagée à faire, et il faut l'avouer, le plus dur était d'énoncer la promesse, de dire qu'elle était prête, plutôt que sa réalisation en tant que telle. Elle avait longtemps attendu avant de décider d'honorer ce voeux. Pourquoi ? Elle même ne savait le dire. Si on lui avait demandé il y a 6 mois, elle n'aurait pas su pourquoi elle ne l'avait pas fait,mais maintenant, elle savait que tout simplement, les conditions n'avaient étées jusqu'à présent pas réunies. LA condition. LA dernière partie du serment. La plus difficile à trouver. Certains ne la trouve jamais parait-il ...


Mon Tendre Démon, avant de continuer, il va me falloir partir un instant. Pas longtemps, je te le promet. Juste le temps de chercher un objet, et de revenir au plus vite. Et à mon retour, je te raconte toute l'histoire. En son entier.

Bowen est là, une fois de plus, je vous laisse entre hommes. Regardes le. Il se sent déjà chez lui...


Avant qu'il ne cherche à la retenir, elle se dépêcha d'enfiler une tenue déçente, lui jetta un regard amoureux. Oui, le moment était venu.Elle l'embrassa une dernière fois, et partie en courant.

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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
--Sath


Sath avait suivi Ghell et sa compagne.
Il admirait la demeure de Ghell et de sa Compagne Musartine.
Il avait croise Ghell en Taverne, mais celui-ci ne l’avait pas reconnu.
Oui bien sur il ne connaissait pas son nouveau Nom.
Sath avait remarque des allées et venues autour de la maison. Il observait cache dans l’ombre… Qui étaient ces Gens ? Il avait entendu pas mal de choses sur Ghell dans ce village. Il avait remarque que certaines personnes en voulaient a Ghell ainsi qu’a sa compagne.
Il savait bien sur que Ghell était capable de se défendre, mais cela l’intriguait.
Il avait compte au moins 6 personnes différentes qui se relayaient pour surveiller cette maison.
Il souriait en coin, Vraiment ces gens ne savaient pas se montrer discrets.
Enfin il verrait bien.
Quand soudain, il entend la porte principale s’ouvrir, il se cache un peu plus dans la pénombre de l’abri ou il se trouve.
Sa main se pose sur son épée au cas ou.
Il voit Dame Musartine partir en courant.
Il observe autour de lui et ne voit aucuns dangers immédiats.
Il se demande ce qu’il ce passe, puis il décide de rester encore la pour observer la suite des événements.
Ghell
Citation:
Mon Tendre Démon, avant de continuer, il va me falloir partir un instant. Pas longtemps, je te le promets. Juste le temps de chercher un objet, et de revenir au plus vite. Et à mon retour, je te raconte toute l'histoire. En son entier.

Bowen est là, une fois de plus, je vous laisse entre hommes. Regardes le. Il se sent déjà chez lui...


Ghell était heureux d’entendre que Muse lui dirait toute l’histoire…
Mais quelle histoire ?
Avant de pouvoir lui dire quoique ce soit Muse était déjà parti…
Il commençait a faire sombre a l’extérieur et Ghell n’aimait pas que Muse se promène seule la nuit…
En plus il sentait une présence qui le surveillait, il ne pouvait sentir s’il y avait danger ou pas…
En fait il se sentait menace, mais il sentait aussi une présence protectrice…
Il regarde par la fenêtre et voit Muse qui part dans les rues du Village…
Mais rien d’anormal, si ce n’est que ce ce pressentiment…
Pourtant il avait change de nom… Il avait coupe tout les liens avec son passe…
Non ca ne pouvait pas être ca…
Il se retourne et voit Bowen lui sourire…
Il prend l’enfant dans ses bras et le promène dans leur nouvelle demeure…

Maman va bientôt revenir, pendant ce temps si tu veux je te montre aussi ta nouvelle maison…
Voila ici tu as ta chambre, avec un grand lit…Tu sais tu es un grand garçon maintenant,
Et tu sais ? Bientôt tu seras le grand frere de l’enfant que Maman porte en elle…


L’enfant sourit a Ghell comme si il comprenait…

Oui mon petit Bowen, Notre famille va s’agrandir…Mais ne t’inquietes pas nous serons toujours la pour t’aimer et te proteger…

Il redescend l’escalier avec Bowen dans ses bras et avance dans le salon…
Machinalement il se dirige vers la fenêtre, et regarde si Muse ne revient pas…
Quand soudain ses sens se figent… Il a cru apercevoir dans la pénombre une forme connu…
Il pose l’enfant doucement a terre et regarde, Non il a du rêver, ce n’est pas possible…
Cette forme ? Son passe revient brusquement, Ce n’est pas possible, il croyait que cet homme, son frère d’arme…
Non, il doit rêver…cet homme a disparu, il ne peut être la…
Machinalement, il pose la main sur son epee, et observe encore…
Il ne voit rien… Décidément il …
Puis soudain il voit son Amour revenir dans la cour… Vite il sort de chez eux et se dirige à la rencontre de son amour…

Amour ? Tout va bien ?

Il jette un regard autour de lui… Personne…
Il pense qu’il prend de l’âge… Et qu’il pense voir des choses…
Il prend son amour contre lui…

Enfin tu es la, je commençais à m’inquiéter…
_________________
Musartine
Muse se dépécha de traverser la ville. Elle n'allait pas très loin à vrai dire, il lui fallait juste traverser la place centrale du village, puis aller à la mairie. C'était presque le même chemin que le marché vers la mairie. Habituellement elle mettait plusieurs dizaines de minutes. Ghell était déjà assez angoissé comme ça, elle ne voulait pas le faire trop attendre, donc elle marcha le plus vite possible. Arrivée à son bureau, il lui suffit d'ouvrir un tiroir pour trouver cet objet. Elle l'avait toujours caché là où personne n'allait, et à chaque fois qu'elle était nommée à une fonction assurant à cet objet une cachette plus assurée, ou moins de monde risquait d'ouvrir le tiroir, elle le déplaçait.

Après avoir regardé une fois de plus cet objet, qu'elle ne rencontrerait désormais plus lorsqu'elle travaillerait, elle le mit dans sa besace, puis fit le chemin inverse en passant au marché. Elle y acheta alors de quoi préparer deux pigeons, depuis le temps qu'ils devaient manger des pigeons, l'occasion semblait être la bonne.

Arrivée dans la cour, elle vit son Tendre qui semblait toujours préoccupé. Elle le savait apeuré par cette promesse, mais de là à regarder ainsi autour de lui .... Que se passait-il ?


Bien sur mon Amour je vais bien. Je n'ai fait qu'un aller - retour de chez nous à la mairie. Ce n'est pas loin, et c'est un chemin que je connais bien puisque nous ne sommes pas loin du marché. Et puis de toute façon, je connais bien Valence. Je ne risquais pas de me perdre. A moins qu'une autre chose ne t'inquiète ?

Réflexe lié à ses nombreuses gardes, Muse ne put s'empêcher à son tour de jeter un coup d'oeil autour d'elle. Mais elle était davantage préoccupée par l'inquiètude dont faisait preuve son compagnon, et puis elle n'était pas au travail là... dernier coup d'oeil vers ce qui semblait être un mouvement ... Elle se promit alors d'ouvrir l'oeil, elle trouverait bien une fenêtre offrant une bonne visibilité en toute discrétion. Celle du bureau par exemple ...

Enlacée dans les bras de Ghell, elle l'entraina alors dans la maison, et alla poser sa besace dans la cuisine et prépara les pigeons. Les faire rôtir ne devaient pas être trop compliqué. Elle sourit en pensant à tout ce que ce repas apporterait de nouveau. Manger enfin tout les deux des pigeons, manger dans cette nouvelle maison, inaugurer cette cheminée, même si les oiseaux seraient bien minuscules dans cette immense cheminée, ils seraient le prétexte à l'inaugurer.


Mon Coeur ? Peux-tu préparer le feu dans cette immense cheminée afin que nous y fassions rôtir les pigeons s'il te plaît ?

Certes, cela paraissait ridicule, elle aurait tout aussi bien pu trouver une recette pour les faire dans le four à bois de la cuisine, mais non, elle préférait la cheminée !

S'installant ensuite dans un fauteuil du salon, elle prit le temps de replonger une fois de plus dans le passé. Il fallait commencer cette histoire maintenant.


Amour ? je vais maintenant remonter dans ma jeunesse, enfin il y a quelques temps. Lors de mon premier voyage à Vienne.
Lorsque je suis arrivée là bas, je ne connaissais personne. Et tu sais comme il peut être intimidant d'arriver dans un lieu où tout le monde nous est inconnu.
Mais tu sais aussi comme j'aime l'ambiance des tavernes, je les ai toujours aimées. Je ne pu donc résister à l'envie d'entrer en l'une d'elle. Mais celle-ci était vide. Je patientais donc en révisant mes devoirs.

Puis, un homme entra. Il était fort jeune en vérité. Pas même adulte, peut être 15 ans à peu près. Il était couvert de poussière, avait la mine déconfite. Une pauvre créature sans âme. Voilà l'impression qu'il donnait.
A peine installé, il ne commanda rien, mais sortit une bouteille. Il la positionna face à lui, et lui dit les mots tendres qu'un homme amoureux dit à une femme. Il lui disait combien elle était belle, et douce, il lui récitait les vers des troubadours, il lui déclarait son amour inconditionnel, et sa fidélité inébranlable, mais il ne la touchait pas. Il ne l'ouvrit pas pour se servir un verre, il n'huma pas le parfum du nectar qu'elle contenait.

Intriguée, je m'adressais alors à lui, et lui demandait ce qu'il faisait. Il me dit : "ne voyez vous pas Dame, que je courtise cette bouteille ?"

A ce moment là, je dois reconnaître que je pensais que c'était peut être un de ces hommes possédés qui n'ont plus toute leur tête. courtiser une bouteille ... quelle idée !


Muse regarda alors le feu. Il serait peut être temps de mettre les pigeons maintenant.

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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
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