[rp]Musartine et Ghell ... Anges? ou Demons?

Ghell avait allume le Feu dans la cheminée, il regardait les brindilles s’enflammer, Il regardait Muse assise sur le Fauteuil, elle est si belle pense t’il…
Il commençait a écouter son amour… Il souriait quand Muse évoquait sa jeunesse…
Elle est si Jeune…
De temps en temps Ghell allait a la fenêtre et regardait la cour…

Un jeune Homme mon cœur… Mais te souviens-tu de son Nom ?

Ghell regarde son amour avec étonnement…

Il courtisait la bouteille ???

Il revient prés du feu et rajoute des Buches moyennes… il installe un tourne broche qu’il avait confectionne…

Il se retourne et dit encore une fois a Muse

Courtiser la Bouteille ???

Décidemment certaines personnes était bizarre… Enfin il laissait parler Muse, il avait hâte d’entendre la fin de l’histoire…
Mais en même temps il observait de temps en temps par la fenêtre…
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Son nom .... Elle avait complétement oublié son nom.

Son nom ? Euh ... j'avoue que là .... je ne sais plus ...
Cela commençait euh ... Atel ? Atal ? ah non Atol ! oui on le surnommait Atol. Mais son nom, je ne m'en rapelle plus.

Une fois le feu près à recevoir les pigeons, Muse les installa sur le tourne broche. Ils seraient vite prêts. Mais avec ce feu en été ... il commençait à faire chaud. Elle le vit regarder par la fenêtre. Que se passait-il ? Que craignait-il ? Elle profita de la chaleur qui régnait dans la pièce pour aller ouvrir la fenêtre et regarder ce qu'elle pouvait voir. Il lui sembla bien voir une ombre bouger, mais peut être qu'elle s'inquiètait trop. ainsi près de lui, elle lui souria.

Oui mon Loup, il courtisait la bouteille. Mais je devais partir, et je n'en su pas plus.

Le lendemain, je retournai en taverne. Et à nouveau, il vint, posa la bouteille sur la table et lui tint ses discours passionnés. Cette fois-ci je lui demandais pourquoi il faisait ainsi la cour à une bouteille. Tu me connais, je suis curieuse, et là il faut avouer qu'il avait attiser ma curiosité.
Il me répondit : "Parce qu'au moins elle ne me répondra pas".

J'avais toujours imaginé que le jeu de la cour n'avait d'intérêt que s'il y avait réponse, fut-elle négative. Et il m'expliqua alors que s'il n'avait pas de réponse, il n'aurait jamais la souffrance qui est toujours apparentée aux réponses.

Une fois de plus, je le trouvais bien énigmatique, mais une fois de plus, il me fallait partir.

Muse regarda encore par la fenêtre. La nuit tombait, il allait devenir de plus en plus dur d'observer ce qu'il se passait à l'extérieur. Mai tout les deux avaient l'habitude de se défendre, lui par ses voyages, elle par son métier. Peu importe le danger, ils feraient face, ensemble. Elle s'éloigna de la fenêtre et retourna voir les pigeons. Ils seraient bientôt prêts. Elle retourna dans le fauteuil, et continua son récit.

Le lendemain, je le revis encore. Et à nouveau, il sortit cette bouteille, et commença ses lituanies d'homme épris. N'ayant pas oublié ses explications de la veille, je continuai de le questionner. Et bien sur, je lui demandais pourquoi il craignait la réponse.

Si l'élue de notre coeur répond favorablement, certes nous souffrons parfois, mais le bonheur que nous vivons en parallèle ne vaut-il pas toutes les souffrances ?

Et si l'élue de notre coeur répond défavorablement nous n'avons pas le regret de ne jamais lui avoir parlé.

N'es-tu pas d'accord ?

Et là, comment dire .... j'ai de suite compris que j'ai posé la question à ne pas poser. L'homme tomba en pleurs. Pas une larme qui coulait lentement sur sa joue. Non. Des flots continus et interminables. Et il me conta son histoire.

Il était au service de Nobles dans son duché. Je ne me souviens plus quelle était sa fonction. Il avait là bas une fiancée, et ils avaient prévus de se marier. Puis, ils furent appelés à aller guerroyer en Provence. Ils prirent donc leurs armes et rejoignirent tout les deux l'armée qui devait descendre dans le Sud du royaume. Mais avant leur départ, ses maîtres lui donnèrent une bouteille qu'il devait consommer avec sa promise, afin de pouvoir vivre un moment de douceur en ces moments de brutalités qui s'annoncaient. Et les voilà partis.

Mais, tu te doutes qu'il y a un mais, la veille de notre rencontre, sa promise lui annonça une funeste nouvelle : elle venait de rencontrer un autre homme et elle le quittait.

Le soir même, je quittais Vienne pour rentrer à Valence.

Les pigeons étaient maintenant prêts. Muse alla à la cuisine, mis la table. Elle continua alors la préparation du repas. Ils allaient pouvoir dîner. Leur premier dîner dans cette maison.
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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.

Ghell était assis aux pieds de Muse et écoutait…Il regardait les Pigeons rôtir doucement…
Il lui avait pris la main et déposait de doux baisers sur ses doigts si fins et l’écoutait parler…
Il reconnaissait bien la curiosité de sa Muse^^…
A la fin de son histoire, il la regarde tendrement et lui murmure

Mon cœur c’est une histoire bien triste… Et je suppose que la bouteille a qui il parlait, était ce la bouteille qu’ils devaient boire ensemble ?

Il regarde Muse se lever, et aller préparer la Table…
L’odeur des pigeons rôtis était merveilleuse… quel doux fumet pensait il…
Il pensait aussi a ce jeune homme, il devait être bien malheureux…
Il se dirige vers la fenêtre et observe encore…

Amour ? Mais ? Tu es allé chercher un objet… Cet Objet ?
C’est quoi ?...
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Oui mon cœur, la bouteille qu’il courtisait était celle qu’ils devaient boire ensemble.

Quand elle revint de la cuisine afin de préparer la table, elle le vit à nouveau près de la fenêtre. Elle fronça légèrement les sourcils. Elle savait qu’il tenait à cœur de les protéger elle et Bowen, mais là, il allait beaucoup trop souvent à cette fenêtre. Il se passait quelque chose. Quelque chose qui l’avait inquiété toute la soirée, et qui n’avait rien à voir avec l’histoire qu’elle lui contait. Elle ne l’avait jamais vu à ce point vigilent. Elle découvrait ainsi l’homme qu’il avait pu être sur les chemins, lors des dangers imprévisibles. Elle découvrait l’homme qui avait tout ces sens en alerte. Et le voir ainsi ne pouvait que la mettre elle-même sur le qui-vive. Mais elle savait qu’elle pouvait lui faire confiance. Elle savait qu’il finirait par lui dire, lorsque le moment serait venu, ce qu’il se passait. C’était dorénavant à elle d’attendre, tout comme lui-même avait déjà attendu à chaque fois qu’elle le lui avait demandé.

La table était maintenant mise. Muse sourit en entendant la question de Ghell, mais elle ne lui répondit pas. La réponse serait énoncée par la suite, en temps voulu.

Bowen commençait à se réveiller. C’était l’heure de son repas, et il avait beaucoup joué, eu nombre d’émotions pour la journée. Muse prépara son repas, et revint dans la salle à manger. Elle se mit à table, et tout en lui donnant son dîner, elle continua son récit.

Une fois de retour à Valence, je retournais en taverne, et bien évidemment, je bu quelques bières avec mes amis, je narrais mes aventures, les rencontres que j’avais faite. Je m’enquerrais des changements qu’il avait pu y avoir en quelques jours … enfin les discussions habituelles entre amis après le voyage de l’un d’entre eux.

Et c’est à ce moment, que la porte s’ouvrit. Je vis Atol entrer, s’assoir et poser sa bouteille sur la table. Quelle ne fut pas ma surprise ! Il s’avérait que l’armée de ce messire avait continuée sa route pour la guerre. Mais raconter son histoire avait du l’avoir ébranlé quelque peu : avant de regarder sa bouteille béatement, il commença par me saluer et nous échangeâmes les formules de politesses d’usage. Ensuite, il regarda sa bouteille sans lui adresser la parole cette fois-ci.

Je ne pouvais pas laisser un homme si … désespéré sans rien dire. Un tel désespoir …. C’est inhumain. Une vraie torture.

Nous parlâmes donc de choses et d’autres, de la vie en campagne militaire, de sa vie qu’il avait par le passé.

Je le revis les jours suivants, et à chaque jour, il allait de mieux en mieux. A chaque jour, nous purent parler davantage, nous purent même rire parfois, plaisanter de petits riens, d’un bafouillage, ou d’une porte mal fermée. A la fin, il finit même par parler d’avenir, de projets. Et nous reparlâmes de femme, que peut être un jour, il rencontrerait LA femme de sa vie. Il me répondit qu’il l’avait déjà rencontrée, mais qu’il avait perdue.

Bowen avait maintenant fini de manger. Il devrait bientôt aller dormir ce petit ange, mais cette soirée était bien spéciale, et Muse se dit que pour une fois, il pourrait bien veiller un peu. Elle mit un linge au sol, et le posa dessus avec cette petite barque en bois que Ghell avait sculptée. Elle et Ghell l’aurait ainsi toujours dans leur champs de vision tout en continuant leur soirée.

La jeune femme se rendit à la cuisine et revint avec sa besace qu’elle posa sur la chaise à côté de la place qu’elle s’était désignée. Elle commença à servir le repas. Puis, elle continua, sans pour autant commencer à manger.

Un soir, Atol vint en taverne. Il me cherchait. Il m’annonça que son armée partirait le soir même et qu’il tenait à me remercier. Je ne comprenais pas. De quoi pouvait-il me remercier ? Et bien … d’une chose simple : d’avoir parlé avec lui. Tout simplement. De l’avoir ainsi aidé, non pas à oublier cette femme, mais à se rappeler ce qu’était la vie et ses projets, la vie et son avenir. Il commençait à entrevoir que même dans l’obscurité, parce que sans amour, il pourrait vivre quand même, et il m’assura que l’avenir ferait le reste…

Muse fit une pause avant de continuer. La suite n’était pas plus dure à raconter, mais ce qu’elle impliquait était bien émouvant. Elle sentit son cœur battre plus fort, sa respiration devint plus rapide, mais son envie de continuer, son désir de le lui dire était plus forts que tout. Elle se pencha vers sa besace et en sortit une bouteille qu’elle posa sur la table.



Il me tendit alors cette bouteille. Une bouteille de moretum, nectar que je n’ai jamais goûté et que l’on trouve exclusivement sur les tables des nobles. La fameuse bouteille qu’il avait courtisée…

Et il me fit promettre une chose : de la boire avec l’homme de ma vie. Et il insista sur un point. Il me dit que je reconnaitrais cet homme lorsque je saurai que si je le perdais, plus rien ne compterai, qu’il n’y aurait plus d’avenir, sauf un et un seul …. Muse termina sa phrase dans un souffle … la mort...

Il insista sur ce point, l’amour vrai est celui par lequel nous savons que rien n’est possible sans l’autre. Absolument rien. Il me fit promettre de ne jamais boire cette bouteille, si je ne trouvais jamais un tel homme.

Muse regarda Ghell, sa vie, son tout, son Amou. Elle lui désigna la bouteille, et la voix légèrement tremblante bien qu'elle essayait de'en garder le contrôle elle lui demanda

Peux-tu ouvrir cette bouteille s’il te plaît ? Nous avons un moretum à boire.
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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.

Ghell avait observe son amour aller et venir entre leur cuisine et leur salle a Manger.
Il écoutait son ange sans dire un mot, il la regardait s’afférer…
Ella avait cette grâce, cette légèreté de mouvements, elle ne disait jamais un mot pour un autre…
Il était toujours prés de a fenêtre, a ecouter son amour lui narrer l’histoire. Quand soudain il ressenti une présence dans la cour…
Il jette vite un œil et aperçoit une forme familière se fondre dans la nuit. Il n’en croit pas ses yeux… Il serait vivant ? Il n’en revenait pas Il serait la a Valence ?
Pourtant il observait toujours les allées et venues dans son village… Il n’avait jamais cru le reconnaitre…
Il sourit et repense a son passe…Tout cela est bien derrière lui…
Il Hésite un moment pour suivre cette forme…
Mais non il ne veut pas quitter son amour et Bowen… Et puis ce momment devenait magique… Leur premier repas chez eux…
Il se retourne et regarde son étoile installer leur petit ange sur un drap au sol…
C’est vrai Bowen devenait fort…Un beau petit Bambin pensait il….
Il écoutait toujours sa tendre Muse…

Il regardait Muse, oui personne ne pourrais les séparer, il comprit sans entendre la fin de sa phrase et s’approche d’elle…

Mon cœur ? Même la mort ne pourra nous séparer, nous serons unis même après…

Il la regarde et passe doucement sa main sur son visage…Muse continuais de lui parler…

Ses yeux remplis de bonheur regarde Muse…

Mon amour ?

Il attire son amour dans ses bras, lui donne un doux baiser pleins de tendresse

Mon Amour ? Tu me donne la plus belle chose de ma vie, ton amour, Ta confiance,
Nous avons une famille, et aussi tu attends notre enfant…
Tu avais attendu ce moment, et tu sais que le moment est choisi…
Tu me comble de bonheur…tu as fais une promesse…une promesse que tu as tenu…
Une promesse … et toi mon cœur tu vas boire cette bouteille avec moi…
Sais-tu l’immense chaleur qui réchauffe mon cœur en ce moment ?
Sais-tu l’immense bonheur qui me noue la gorge ?
Tu sais d’où je viens Muse Amour… Tu m’as donnes ta confiance, Tu m’as donnes ton amour, Tu m’as tout donnes sans concessions… Tu as été avec moi dans les moments difficile… Tu as toujours été la mon Etoile…
Et ce soir tu me prouves encore une fois ton Amour…
Tu sais mon Amour ? Je suis si Heureux , je n’arrive pas a trouver les mots pour te dire combien je t’aime…
Les mots me paraissent si insignifiants, Je veux trouver d’autres Mots pour te crier Je t’aime… Tu es ma vie Muse sans toi je ne serais qu’un…..

Il lui sourit tendrement…

Amour ?
Je t’ai offert une alliance d’or, tu portes aussi notre collier d’or avec ce magnifique pendentif, ce cœur avec 4 etoiles…
J’aimerais aussi t’offrir ceci mon amour…
Mais d’abord je vais déboucher cette bouteille, et nous boirons ensemble mon amour dans le même verre…
Comme tu le sais nous ne faisons qu’un…

Ghell prend la bouteille avec précaution, Il débouche la bouteille avec soins…
Il ne voudrait pas casser cette atmosphère en brisant la bouteille…
Il verse le précieux nectar dans un verre…
Il trempe son doigt dans le verre et le passe sur les lèvres entrouvertes de son ange…
Il prend la Main de sa Douce et trempe aussi son doigt dans le verre…
Il porte le doigt de Muse entre ses lèvres et goute le précieux nectar…
Il ferme les yeux et voit un ange de blanc vêtu s’approcher de lui et lui donner ses douces levres…
Il embrasse cet Ange doucement, il ouvre les yeux et voit sa Muse lui donner un doux baiser…
Ils mélangent leurs lèvres, et le nectar se mélange avec leurs salives…
Il la serre contre lui et la câline avec amour…

Amour ? Je t’aime a la folie…
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Muse entend les paroles de son Aimé en rougissant. Oui elle l'aimait, et oui, elle n'avait pas fait de concessions. L'amour ne fait pas de concessions. On aime l'autre tel qu'il est, avec son passé, sa vie. L'amour nous guide aussi, il nous aide à nous améliorer pour et par l'être aimé. Et à ses côtés, Muse était devenue plus forte, moins craintive aussi. Mais comment lui dire tout cela ?

Et bien que curieuse de ce qu'il voulait lui offrir, elle lui répondit :

Mon Loup, je t'aime de tout mon coeur, de toute mon âme, de tout mon corps. Alors oui, le moment est venu, et moi non plus je ne trouve les mots. Je ressend cet amour, je le vis pleinement, mais comment te le dire ? Comment te dire quel est la force de cet amour que j'ai pour toi ? Je l'ignore encore, et j'ai peur que tu ne saches pas à quel point je t'aime.

Tu parles encore de m'offrir quelque chose, mais tu m'as déjà tellement offert. Ta présence, ta protection, ton amour. Que pourrais-je désirer de plus ? Et j'ai même nos étoiles en permanence avec moi Amour.

Le voyant ouvrir cette bouteille avec émotion, elle sourit. Oui, il était son Loup. Un être qui pouvait être d'une telle douceur avec elle, comme peuvent l'être les loups dans leur affection. Et tel les loups régurgitant pour nourrir les plus faibles de la meute, il pouvait tout donner aux siens. Absolument tout. Mais il pouvait être d'une telle force aussi lorsqu'il s'agissait de les défendre elle et Bowen. Il ne tolérait pas que l'on touche à sa meute. Il devenait alors d'une fureur redoutable. Redoutable.

Alors qu'ils goûtaient le nectar fruité, par ce baiser pactisant leur amour, elle frissonna de bonheur. Du bonheur d'être avec lui, du bonheur de l'aimer.

Une fois de plus, Muse sourit. Elle souriait de bonheur bien évidement, mais aussi de pudeur. Elle comprenait ces paroles, elle-même les ressentait. Et savoir être aimée de ce même amour était bien plus qu'elle n'aurait jamais pu l'imaginer.

Je t'aime mon amour, à en perdre la raison.

Puis,afin de se donner contenance, bien qu'elle ne souhaitait pas briser un tel moment, elle entama le repas.
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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.

Ghell était si heureux, Ils avaient bu le doux Nectar, Ce nectar symbolisait leurs unions…
Toutes leurs épreuves les avait rendus plus fort encore dans leur Amour… Et chaque fois, Ils en ressortaient encore plus proche…
Ghell regardait son Cœur Manger, il goute a ce met délicieux, la chair des pigeons était si fondante…
Il se délectait…
Apres avoir fini leur repas…
Ghell, aide son cœur a débarrasser, Oui il a envie de lu parler, de lui raconter son Histoire, et aussi de lui donner son présent…

Amour ? Allons nous assoir devant la Cheminée, je vais te raconter mon enfance et aussi…

Ils s’installent confortablement sur leur fauteuil, Bowen s’amuse sagement…

Il y a très longtemps mon cœur… J’ai été recueilli par une dame, en fait j’ai été abandonne, et cette Dame que j’appelais Maman, m’avait trouve avec un autre enfant sur un chemin de la Foret…
J’ai été élevé par cette Dame, Nous habitions dans les bois, mais elle avait la Grace d’une princesse…
Elle n’a jamais voulu dire de ou elle venait…donc je me suis élevé avec l’autre enfant, nous avions le même âge… Je le considère comme mon frère, mais nous étions souvent en désaccord^^
Je ne te raconte même pas nos bagarres de jeunesse… Mais en fait le désaccord venait je crois a cause de notre mère adoptive…
Oui notre mère avait une préférence pour moi, je ne sais pas pourquoi…et donc mon frère était jaloux de ca…
Toute notre enfance nous avions appris a courir dans les bois, a suivre des traces dans les chemins…
A suivre aussi les voyageurs qui passaient par la… Jamais nous n’étions pris en défaut…
Un Jour ma Mère est venu me voir et elle me confie son secret…
Elle avait été marie a un grand Guerrier, cet homme était un personnage très cruel… Il était tres riche aussi… Mais ma Mère ne supportait pas sa cruauté…
Elle avait donc choisi de le quitter… avec l’aide de ses servantes elle avait pu partir avec un petit coffre de bijoux… malheureusement, son époux les avait retrouves et avait massacre les servantes, mais ma mère avait pu s’enfuir…
Elle avait trouve cette maison dans la foret, elle était a l’abri des regards…
Personne n’était venu chez nous…Ma mère m’avait montre l’endroit secret ou elle avait mit ses biens…
Et elle m’avait offert un bracelet…Elle me disait que ce Bracelet était magique…
Il te protégeait…
Un jour, mon frère et moi étions partis chasser, nous étions partis 3 jours…
A notre retour, La maison était en cendre…Ma mère ne faisait plus partie des vivants…
Je l’ai pleure tres longtemps… Je ne savais pas qui avait pu faire cela… Quel être était assez cruel pour…
Enfin, avec mon Fère nous avons fait un sépulture décente à notre mère…
Elle repose dans une clairière a cote d’une petite rivière…
Et avec mon frère nous sommes partis ensemble…
Ce bracelet mon ange je l’ai toujours, il m’a protégé, et je crois que c’est le moment de te le donner…Tu portes la vie en toi… Et je sais que ce Bracelet nous protégeras tous…

Il la regarde en souriant…

Amour je t’aime a la folie
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Le repas était maintenant fini, et le sort du moretum cellé. Jamais un vin n'avait été aussi bon au palais de la jeune femme. Cela était certes lié aux arômes du vin en lui-même, mais aussi et surtout à l'homme avec qui elle avait partagé cette boisson.

Ensemble ils débarrassèrent la table, et il l'invita à s'assoir devant l'immense cheminée. Assise dans le fauteuil, la main sur son ventre de ce geste tendre de la mère qui caresse son enfant, regardant son fils jouer tranquillement, mais se frottant les yeux de fatigue, elle sourit à l'idée que d'une certaine façon, toute la famille entendrait leur père conter son enfance.

Son enfance, jamais encore il n'en avait parlé. Il avait parlé de beaucoup de choses de son passé, ses erreurs surtout, mais de son enfance, jamais.

Elle écouta tout ce qu'il lui dit, elle aimait l'entendre parlé de sa vie, de lui. Elle aimait tout savoir de lui. Elle aurait voulu vivre chaque heure, chaque minute, chaque seconde de sa vie avec lui.

Mais elle comprit vite pourquoi il n'en avait pas encore parlé. Cela devait être pénible pour lui de parler de la mort de sa mère. Tendrement, elle lui prit sa main, afin de lui rapeller qu'elle serait toujours là pour l'aider, même pour pleurer s'il en avait besoin.

Amour ? où était cette forêt ? voudrais-tu qu'un jour nous y retournions ?

Et .... qu'est devenu ton frère ?

Elle n'osait lui demander s'il avait découvert qui avait fait cela ... S'il ne lui avait pas dit c'est que soit il ne le savait pas, soit que cela était trop dur à dire. Elle le regarda tendrement, puis caressa son visage. Il avait tant vécu dans sa vie, et pourtant, jamais il ne se plaignait, jamais il ne pleurait.

Mon Loup, je t'aime. Et saches que toujours je serais à tes côtés, et je te protégerait du mieux que je peux. Je ne permettrais à rien ni personne de te faire le moindre mal. Je t'aime amour.

Il parlait de bracelet, du bracelet de sa mère, tremblante, elle se demandait comment elle pourrait remercier cette femme qui avait élevé cet homme qu'elle aimait tant. Que serait-il devenu sans elle ? Ne lui ferait-elle pas offence en portant cet bijou qu'elle avait offert à son fils ?
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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.

Ghell avait parle de son enfance, de sa mère adoptive…de son frère…
Il aimait se confier a Muse sa princesse…
Il s’allonge doucement…
Sa tête sur les jambes de Muse, sa tête sur ses cuisses si douce…
Sa tête contre son petit ventre arrondi…
Il est si bien…

Amour ?
Quand nous sommes partis Mon frère et moi, nous étions avides de connaissances…
Je ne connaissais que la foret, la chasse, la pêche…
Je savais traquer un Gibier…
Je savais ne pas me perdre dans la foret…
Mais je me suis retrouve dans des villages…les gens ne me comprenait pas…
Enfin ils ne nous comprenaient pas…
Et donc avec mon frère nous avons crée un ordre…
Nous ne voulions pas prendre à ceux qui avaient…
Je voulais juste aider ceux qui étaient perdu dans ce monde bizarre…
Mon frère est devenu plus matérialiste que moi…
J’arrivais a gérer mes frères d’armes, Mais mon frère voulait toujours plus…
Nous ne nous parlions plus, nous avions perdu notre fraternité…
Je devais faire attention…je me retrouvais seul…
Nous avions sévis jusqu’en Germanie…
Mais je ne me sentais pas bien, donc j’ai décidé de partir seul…
J’ai laisses mes amis…Mon frère a prit le relais…
Et j’ai erre pendant de longues années sur les routes des royaumes…
Avec mes joies, mes désespoirs…
Souvent je restais dans les forets, Espérant de trouver la paix…Le repos…
Un jour, mes pas m’ont amenés a Valence…
La je t’ai croise…
Je n’étais pas seul…Tu le sais…
Mais je t’ai aime des la première seconde…
Je voulais partir et mourir seul quand j’ai su que tu n’étais pas libre…
Mais je ne pouvais me résigner a ne plus te revoir…
Tu hantais chaque secondes de ma vie…
Et puis…je suis revenu…J’étais libre de toute attache…
Je ne sentais que toi…je ne voyais que toi…
Je ne respirais que par toi…
Et la magie, La force de notre amour a fait que nous soyons ensemble…
Pour répondre a ta question.
Mon Frère ?
Je ne l’ai plus jamais revu. Je pensais que lui aussi avait rejoint Ma Mère adoptive…
Mais je dois te dire mon amour, Il est vivant…
J’ai sentis sa présence ici …
Je crois qu’il nous protège aussi…
J’aimerais le revoir, Mais aussi je ne veux pas le revoir…
Mon passe est enterre mon amour…je ne veux plus être confronte a cela…
Je ne veux que notre avenir…
Et si tu veux ma Princesse, Un jour nous iront tous ensemble la ou j’ai grandis…

Ghell sourit a son amour…

Voila mon Cœur… Tu sais a peu prés tout… Je ne suis pas un saint… Mais je suis honnête…
Tu sais que j’ai une fille, elle s’appelle Lydina… J’espère que bientôt tu la verras et que tu pourras la serrer dans tes bras…je lui écris souvent…elle te connaît grâce a mes courriers…

Ghell se lève doucement…Il prend une petite boite dans sa besace…il sort un objet recouvert d’un tissus Noir… Délicatement il défait le tissu…
Il regarde l’objet et une larme perle de ses yeux…

Amour ? Je suis sur que ma Mère serait fière de toi…je t’offre ce que j’ai de plus précieux…
L’amour…la plus belle des choses…

Il enfile doucement le bracelet autour du poignet de sa Princesse…



Je t’aime amour
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Muse passait sa main dans la longue chevelure blonde de son promis alors qu'il continuait de lui conter son histoire. Mais cette fois-ci, elle en connaissait déjà une partie. La germanie ... il lui en avait déjà parlé. Mais elle ne savait pas qu'il y avait son frère ....

Ici ? A Valence ? il est à Valence ?
Hmmm

Elle comprenait cette envie qu'il avait de le revoir, et celle qu'il avait de ne pas le revoir. Mais ce choix lui appartenait à lui seul.

Amour ? Quelle que soit ta décision ... je la comprendrais ...

Et .... quant à voir le lieux où tu as grandis ... dis moi quand tu serais prêt à y retourner, et si tu le souhaites, nous irons. Je serais à tes côtés, quelle que soit ta décision.

Il lui mit alors un bracelet autour du poignet. La bracelet de sa mère. L'objet était somptueux, et sachant à quel point il y tenait, Muse se sentit encore plus émue de le porter. Elle le regarda, et vit l'émotion embuer ses yeux. Il s'était beaucoup livré ce soir. Il s'était donné à elle, tout comme elle s'était donné à lui.

Amour ... je ... cet objet ... Merci Amour. Merci d'être revenu ...Merci de me faire une telle confiance... Merci de ... Merci de penser que ta mère serait fière de moi ... Merci ... pour tout mon coeur.

Muse regarda le bijou à son poignet, et voyant la forme de l'objet, elle se demanda si cela avait une signication particulière. Peut être le savait-il ? Peut être pas ... Peut être en parlera-t-il ? Peut être pas ... Il avait déjà beaucoup dit. Les dernières fois où il s'était livré autant, elle s'en rapellerait toujours. Elle passait alors son temps à lutter. Lutter contre lui. Lutter contre ses sentiments naissants. Lutter. Elle ne lui parlait alors que de ses défauts, que de son passé que l'on pouvait lui reprocher. En y repensant maintenant, elle se dit qu'à l'époque elle avait été bien cruelle. Mais humblement, honnêtement, il lui avait alors raconté tout ce qu'elle avait voulu savoir. Tout. Elle l'avait forcé à se mettre à nu, et il avait obéit sans aucune objection. Et par cette franchise, il avait peu à peu baisser toutes les barrières qu'elle avait mis entre eux. Il avait gagné sa confiance. Et maintenant, elle savait qu'il ne lui mentirait pas, qu'il ne lui cacherait rien. Il lui avait ainsi donné une force incroyable : celle de savoir que toujours, elle pourrait s'appuyer sur lui, et que jamais il ne lui mentirait. Que deviendrait-elle sans cette force ?

Mais elle ? que lui avait-elle donné ? Rien ...

Amour ... je t'aime ... Tu m'as tant apporté... si tu savais à quel point je t'aime...
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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.

Ghell se sentait protégé, la tête doucement appuyé sur le ventre de son amour…
Il était si heureux, il respirait sa douce Odeur, Il sentait parfois son ventre bouger, surement leur enfant qui commençait a faire des petits mouvements dans son nid douillet…
Ses lèvres souriaient doucement…
Oui il était si bien, Oui Il était si heureux, Oui il aimait être contre son amour…
Il écoute Sa muse parler…

Cette forêt ? Oui il aimerait retourner dans cette forêt … Oui il serait fier de Montrer Son étoile a celle qui fut sa mère adoptive, ile tait sur que sa mère serait heureuse de les voir ainsi ensemble…

Son Frère ? Il ne savait pas ce qu’il était devenu… Surement a courir les Ecus, Il sentait sa présence a Valence… Il était sur que son frère adoptif était la…
Enfin il ne voulait pas inquiéter son Amour… De toutes façons il était sur que son frère ne ferait rien contre le village…

Mon Cœur ? Oui un jour nous irons ensemble dans cette foret ou j’ai grandis, Oui je le desire…
Je suis sur que ma Mère sera heureuse de te voir…
Enfin elle te verra, tu me comprends…

Il lui sourit tendrement…

Mon Frère ? Je n’ai plus de Nouvelles… Mais j’ai L’intuition qu’il n’est pas loin Mon cœur

Il regarde son amour… Elle est belle avec son bracelet…

Quand soudain Bowen ...



Se leve, et se dirige vers eux…

Il grimpe sur le fauteuil et s’allonge a cote de sa maman…et lui touche doucement le ventre
Il lui Murmure

Maman…Bebe…
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La jeune femme écoutait son Tendre parler. Il voulait aller revoir ce lieu où il avait grandit ? Soit, ils iraient. Elle serait heureuse de voir cet endroit qu'il semblait tant aimer. Elle serait heureuse de pouvoir l'imaginer enfant, courant dans ces bois, qu'elle verrait alors.

Son frère ? quand le moment sera venu, ils le rencontreront .... ou pas. L'avenir le dira. Rien ne sert de paniquer inutilement. Si Ghell dit qu'il n'y a pas danger, alors il n'y a pas danger. Et elle sait que lorsqu'il y aura danger, il le dira.

Muse commença alors à s'abandonner dans le confort qu'offrait ce divan sur lequel ils se trouvaient tous deux. Puis Bowen vint les rejoindre. Elle avait ses deux hommes contre elle, tous deux à l'écoute de l'enfant qu'elle portait. Bo semblait ravi de cette naissance à venir, et cela la rassurait. Oui ils étaient déjà une famille, qui dans quelques temps s'agrandirait. Dans un geste maternel inconscient, elle enlaca son fils d'un bras, et de l'autre main continua de caresse tendrement son futur époux.

Puis, perdue dans cette rêverie, ses yeux se fermèrent. Elle ne sentit alors plus que l'amour qu'elle avait pour eux. Et seul cet amour comptait. S'endormant sans s'en rendre compte, elle murmura :

Je t'aime mon Loup.
Je vous aime tous les 3 ...
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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.

Ghell etait si bien sous les caresses de son amour^^
Il voit Muse fermer les yeux... et la voit s'endormir en murmurant...

Soir 1

Il sourit et e meme temps il se sent triste...
Il sait que ce soir il doit accompagner son amour au couvent...
Il sait que Muse veut prier pour eux...
Il sait que la semaine sans son amour sera terrible pour lui...
Il sait que leurs retrouvailles seront encore plus belle...
Doucement il prend Bowen dans ses bras, et l'emmene dans sa chambre...
Il borde delicatement Bowen...Il passe sa main dans ses cheveux...
Il lui sourit...
Il revient dans leur Salon et doucement il Reveille son Etoile...

Amour? Il est temps d'aller au couvent... Je suis de Garde ce soir...
Je veillerais a partir de notre tourelle...
Je peux voir la Ville, ainsi que le couvent aussi...
Et en meme temps j'aurais Bowen en securite chez nous...

Ghell entoure Muse de sa cape, Entoure ses epaules de son bras et l'accompagne tristement vers le Couvent...
Il avait donne a Muse une meche de ses cheveux...

Journee 1

Ghell avait scrute toute la nuit les alentours...
Il avait vu des personnes qu'il n'aimait pas vraiment...
Le matin, il s'etait couche, dans leur lit, et s'etait repose un peu...
Sa Muse lui manquait atrocement, Heureusement Bowen etait la...
Et il adorait ce petit bout... Il avait les memes yeux que Muse...
Pendant la journee. Il avait surveille ces Gens...Il esperait que demain ils seraient partis...
Il avait pu avoir des nouvelles de son amour aussi...cela lui remontait le moral...
Sa Journee finie... Il couche Bowen dans son petit lit...Et retourne dans sa tourelle pour surveiller le village...
Il regarde les etoiles et voit son ange lui sourire...



Journee 2

Ghell avait fini sa Garde et s'appretait a postuler encore une fois...
Toutes les places avaient deja ete prises...
Bon ce n'est pas grave pensait il, il irait postuler au village...
Et puis travailler dans un champs, Pourquoi pas^^
Il avait prit Bowen avec lui le matin, et ensemble ils sont partis au village...
Il avait fait un peu de nettoyage dans leur taverne...remplit les futs...
Tout etait parfait...
Il avait encore recu des nouvelles de son amour, Leurs amours est si fort qu'ils arrivaient a s'envoyer des messages par la pensee...
Il la voyait en train de Prier au couvent...
Il est si impatient de la tenir dans ses bras...



Journee 3

Ghell avait reve toute la Nuit de sa Muse...Elle etait venue le rejoindre, Ils avaient passes la Nuit a s' aimer, la nuit a s'embrasser, la nuit a se caresser...
Au petit matin, il pose sa main a cote de lui... Muse n'est pas la...
Tout ceci n'etait qu'un reve???
Il en doutait un peu...
A son reveil il prepare Bowen, Ils dejeunent ensemble... de bonnes tartines de Miel^^...
Il regarde Bowen et lui dit...

Bowen comme tu as ete tres gentil, nous irons pecher aujourd'hui^^
Prends ton petit bateau, tu le feras Naviguer derriere notre barque...
Tu sais Bowen? Maman est avec nous, Bientot elle sera de retour...

Il pense a son amour...avec son visage angelique...ses levres magique...

Je t'aime Muse ...



Journee 4

Encore une journee sans son amour... Ghell commencait a trouver le temps tres long sans son amour...
Ce matin, il avait decider de faire de la farine...
Il avait achete 30 sacs la veille... Une aubaine des sacs de Bles a 12.00 Ecus^^...
Il avait pu aussi acheter des Legumes pour son amour... et de la viandes aussi... Ghell etait heureux...
Mais malgre toutes ces bonnes operations Muse n'etait pas...
Bien sur ils arrivaient a communiquer un peu^^...
Mais la chaleur de son corps, La douceur des levres, son regard si doux...
Tout lui manquait...
Enfin... encore un jour de moins a attendre pensait il...

Journee 5

Le matin au reveil Ghell etait fatigue...Il avait fait de la farine la veille,
Pfffff il n'etait plus habitue^^...
Il regarde le coussin de son amour...et Il se dit...

Je dis... Je dis...Nous sommes Jeudiiiiiiiiiiiiiiiiii...
Et mon amour va bientot etre de retour...
Je vais devoir un peu nettoyer notre Maison...Je vais devoir mettre des fleurs dans les vases...Je vais lui preparer une festin de Reine aussi...

Ghell s'active, il a encore une journee au Moulin...Il est heureux chaque jour qui passe est un jour de moins a attendre...

Journee 6

Ghell avait perdu son defi...Il avait mal a la tete...

Quelle poigne ce Balian...il fait tres mal

Ghell allait rester ce reposer aujourd'hui...
Ses pensees etaient que pour sa tendre Muse...

Journee 7

Ghell se reveille et apercoit un pigeon a la fenetre...
Il prend delicatement le pigeon et prend la missive...

Il sourit de joie son amour a pu lui ecrire...Elle sera la demain...
il embrasse la lettre parfumee de son amour...
Quelle joie dans son coeur...Enfin ils seront de nouveau ensemble...

Je t'aime mon Etoile
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Le couvent .... elle avait tenu a y aller. Muse avait toujours été profondément croyante. Elle savait que si elle priait, Dieu et Aristote l'entendraient. Et la vie est parfois faite d'embûches. Prendre le temps de prier, de se receuillir, et de donner son temps au Très Haut.

Elle n'était jamais partie si longtemps chez les nonnes, aussi la jeune femme s'inquiètait un peu. Mais une fois là-bas, il lui fallut reconnaître que le calme et la sérennité du lieu étaient reposant. Peut être était-ce pour cela que cela apportait de l'aide : cette ambiance permettait probablement de prendre de la distance avec les difficultés et de savoir comment les aborder par la suite ? Mais la jeune femme était persuadée que c'était l'intervention du Seigneur qui l'aidait ... laissons là à ses croyances. Ainsi quotidiennement, elle était baignée de prières, purifiée de toute nourriture trop riche, éloignée de la méchancetée humaine.

Elle s'accordait cependant une petite pause chaque jour : tous les soirs à la nuit tombée, elle se tenait près d'une fenêtre d'où elle voyait les remparts, les scrutait quelques minutes en espérant y voir une silhouette aimée, puis levait les yeux au ciel et observait les étoiles en tenant d'une main son médaillon et de l'autre un petit sac auquel elle tenait tant.

La semaine se déroula ainsi, bercée de prières et de pensées dirigées vers l'homme qu'elle aimait et pour lequel elle avait tenu à prier.

Il était maintenant temps de rentrer chez eux, elle prépara donc ses affaires, et si dirigea vers leur maison. Arrivée dans la cour, elle ne pu s'empêcher de regarder autour d'elle ... les présences étaient-elles toujours là ? elle le saurait bientôt ....

Elle entre enfin, pose sa besace à l'entrée, et commence à chercher ses deux amours .... où sont-il ? Alors qu'elle va dans les pièces les unes après les autres, elle observe les fleurs dans les vases, la maison propre, puis ne les trouvant pas, sentant l'inquiètude venir, elle les interpelle :

Amour ? Bo ? vous êtes là ?
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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.

Ghell se reposait allonge sur leur Lit... Ses Maux commencaient a disparaitrent... Mais sa douce lui manquait tellement...
Tout a coup il entend la voix de son Amour...

Il se leve doucement, Ses cotes sont encore douloureuse...
Il se dirige hors de la chambre doucement, il ne veut pas que Muse le voit fatigue... Il se redresse tant bien que mal et se dirige vers son Amour...

Ma Princesse... Enfin tu es la... Enfin le soleil inonde mon coeur...
Tu m'as tellement manques mon Ange...

Ghell prend son amour dans ses bras, et malgre la douleur, il la souleve
et tourne avec son amour... Muse avait mit sa Belle Houppelande Blanche... Elle portait si bien cette couleur... La couleur de la purete...
Il la serre doucement contre lui...

Amour? comment vas tu? Es tu fatigues? Que veux tu?
Dis moi ce que tu veux et je te le prepare de suite...

Il porte doucement Muse dans ses bras et la depose sur leur Lit...

Coeur? Bo est en train de dormir... Veux tu que j'ailles le chercher?
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