[Rp] Dispensaire de Chinon

Dotyy se souvenait très bien de la soirée passée en compagnie de Jérémy et Chris. Ils avaient bien rigolé et parlé. Cela lui avait fait un bien fou.

Elle était partir ensuite prendre sa garde laissant les deux hommes en taverne, sachant très bien qu'elle reverrait Jérémy sur les remparts. En si rendant, elle avait enfin reçut le pigeon tant attendu et cela avait fini par rendre sa soirée complètement heureuse.

Elle avait relut des dizaine de fois cette missive et l'avait rangé soigneusement avec les autres. Puis elle avait prit son tour de garde, elle avait aperçut Jérémy venant prendre sa garde et peu de temps après... Les armées dans face attaquèrent.

Les combats firent rage autour d'elle. Elle n'avait aucune peur. Elle s'avait ce qu'elle devait faire. Elle etait entraîné pour ca. Elle etait très concentré sur ses combats quand d'un coup elle avait cherché Jérémy du regard. Inquiète pour lui, elle en avait oublié la plus grande règle qui etait de ne jamais se laisser déconcentré. Elle eût juste le temps de l'apercevoir qu'elle sentit une lame s'enfoncer dans son ventre.

Elle regarda l'homme en face d'elle mais ses yeux commencés déjà à se brouiller. Elle sentit de nouveau l'épée qui sortait d'elle. Elle porta ses mains et son ventre et s'écroula au sol. Inconsciente. Ce qui se passa ensuite... Elle n'en su rien. La seule chose qui la faisait se battre pour rester en vie etait ses nouveaux amis et cette missive.
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{…De retour en ville après le combat…}

Elle revenait à pied se dirigeant vers le dispensaire voir si tout le monde allait bien.
La Brune ne s’attendait pas à voir et à entendre criait à l’aide.
Y'as quelqu'un ?? J'ai besoin d'aide ! Vite j'ai une blesser grave !
Oui ?
Dragones le suis découvrant la jeune femme inconsciente allongé sur la table.
Cherchez-moi de l’eau !
La Brune relève ses manches et déchire le haut de la donzelle.
Elle se lave les mains et les avant bras et nettoie la plaie dans un premier temps.
Comme elle avait fait avec Arth, elle profite de l’inconscience de la donzelle pour la soigner.
La plaie ne semblait pas avoir laissé trop de dégât au soulagement de la Brune.
Par moment Dragones faisait signe à Jeremy de poser un linge contenant des senteurs endormant sur le visage de Dotyy.
Avec dextérité et assurance cette fois les points sont fait pour refermé la plaie.
L’homme tenait bon et la secondé comme il pouvait, le baume fut ensuite mit ainsi que le bandage…
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Enfin quelqu'un était arriver il la posa et seconda au maximum l'infirmière.
Elle savait quoi faire et comment.
Il déposa un linge avec une odeur particulière.

Il n'avais point l'habitude de soigner quelqu'un mais il faisait ce qu'il pouvais pour aider et que son amie se remette sur pied le plus rapidement possible.

Il constata que la plaît n'était pas trop profonde. Il était soulagé..
Elle va tenir bon. Soulagé il se posa sur une chaise et but rapidement un verre d'eau.
Il avait de mauvais souvenir qui lui revenais...

Dotyy avait l'impression de flotter. La ou elle etait, elle ne ressentait pas la douleur, ni rien d'autre. Elle entendait des voies autour d'elle sans forcement comprendre exactement ce qu'il se disait et cela etait peut-être mieux vue le souvenir qu'elle avait de cette lame en elle et cette douleur qui l'avait complètement terrassé quand l'homme avait retiré la lame.

Elle essaya quand même de mettre un nom sur les deux voies qu'elle arrivait à bien différencier. Une Dame et un Messire. Elle eut aucun doute sur qui etait le messire... C'etait la voie de Jérémy mais celle de la Dame restée un mystère. Elle etait persuader pourtant de l'avoir entendu mais incapable de dire qui c'etait.

Elle eut des sensations bizarres pendant un moment, on lui avait fait sentir un truc et elle s'etait sentit encore plus flotter. Puis petit a petit elle etait revenu à la réalité. Elle avait fini par ouvrir les yeux et avait vu Jérémy comme si 'il etait dans le brouillard. Il etait assit à côté d'elle.

Elle fut rassurée de le voir entier, elle voulut lui parler mais aucun mot ne voulut sortir. Elle réussit juste a lui tendre la main.
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{…Les soins se poursuivent…}


Regard vers l’homme qui ne semble pas aller bien, il avait tenu le coup jusqu’ici surement le contre coup.
La Brune prend une de ses fioles, un godet et verse du liquide a l’intérieur.
Tenez, buvez, cela vous fera du bien et vous requinquera.
La main est tendu, elle l’observe boire et sourit en sachant qu’il va sentir la chaleur de l’alcool se rependre en lui…

Mouvement de main qui attire le regard de Dragones.
Elle se penche vers Dotyy et lui sourit…
Faites doucement surtout, vous vous souvenez de ce qu’il c’est passé ?
Tout en lui parlant, la Brune lui serre un godet d’eau et la fait boire doucement.
Vous allez vous en remettre mais pas de mouvement brusque et allez y doucement.
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Cette blessure, tout ce sang, et son amie mal en point.. Voilà la raison de son mal aise.
Il regarda la dame, il était devenu d'une pâleur.
La dame lui tend un godet rempli.

Tenez, buvez, cela vous fera du bien et vous requinquera.

Il pris le godet et le bu entièrement. Cela avais goût d'alcool.. mais lequel, il ne puis le dire, ses esprits étaient décidément ailleurs.
L'alcool le réchauffa et il se releva.
Il vit Dotyy tendre la main, il la pris dans la sienne et essaya de lui sourire, avant de laisser la dame faire ses soins.
L'inquiétude étais là mais il étais rassurer elle avait ouvert les yeux.
Il regarde la dame pendant ses soins et ne pu s'empecher de lui demander cette question qu'il lui trottais dans la tête.

Elle va s'en tirer hein ?!

Dotyy vit enfin le visage de la dame et le reconnu. Elle fut soulagée de s'avoir qui l'avait soigné. Elle l'écouta avec attention tout en serrant doucement la main de Jérémy. Elle ne le lâcha pas de peur qu'il s'en aille. Elle commençait à ressentir une forte douleur dans le ventre.. Comme une brûlure ? Elle essaya de bouger un peu et abandonna en comprenant qu’elle n’en avait pas encore la force.

Elle lui donna à boire en même temps ce qui lui permit de parler un peu.

Je me souviens... de la bataille.. j'ai cherché Jérémy du regard... Puis une terrible douleur dans le ventre.

Elle souffla un peu et reprit.

J'ai juste vu le visage de l'homme en face et puis... Plus rien.

Je suis ou ?

Elle regarda de nouveau jérémy et lui fit un sourire aussi rassurant que possible. Elle le trouvait bien pale et comprit qu'il s'inquiétait quand il demanda à Dragones.

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{…Ecoute, écoute pas ?...}


La Brune regarde l’homme et la donzelle, sourire léger sur les lèvres puis reformulation de phrase déjà dite.
Elle s’en tirera si elle suit mes consignes et qu’elle abuse pas.
Dragones se tourne vers Dotyy…
Fait doucement et ne forcez en aucun cas sinon les point vous se rouvrir et votre douleur ne sera que plus forte.
Reposez-vous…
La Brune range ses affaires après les avoir nettoyées et laisse la place.
Si vous avez besoin de revoir votre bandage venez me voir.
Elle s’incline et quitte le dispensaire allant chercher le repos bien mérité…
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C'était plusieurs jours après la bataille que Marie avait fini par se résoudre à amener Walan au dispensaire. Au départ c'était une profonde entaille au bras certes mais elle était nette, propre, elle l'avait nettoyée, recousue elle-même. Et même si elle n'était point médecin, son diplôme de barbière, obtenu quand elle faisait partie de la COLM, lui servait régulièrement.

Sauf que là rien n'y avait fait. Quelques points ayant sauté avaient été refaits, la plaie était nettoyée, le bandage changé mais la chair ne cicatrisait pas et, pire même, s'infectait, donnant une fièvre qu'elle n'arrivait pas à faire baisser. Logique, l'infection résistait à ses soins. Et elle n'avait pas envie de le perdre lui aussi. Hors de question que ce qu'elle avait vécu auparavant, et qui avait pris fin avec lui, recommence.

Il avait bien râler un peu, disant que cela allait mais il avait fini par accepter, de toute façon Marie ne lui laissait pas le choix. Les voici donc sur place, elle le soutenant avec un bras passé à sa taille, cherchant des yeux une personne responsable du lieu.

Bonjour. J'ai besoin d'aide pour un blessé s'il vous plait.

Ne pas crier, ne pas hurler de faire vite, ne pas laisser la peur l'envahir. Enfin ce n'était pas la première blessure qu'elle voyait pourtant.
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Il l'avait suivi, de plus en plus affaibli, ses jambes peinant parfois à le porter seules. La fièvre ne le quittait plus désormais, et n'allait pas en s'améliorant. Il en était conscient, surtout pour avoir déjà vécu une telle situation suite à la blessure, bien plus grave, qui lui avait laissé cette longue cicatrice dans le dos. A cette époque, de plus en plus lointaine, la blessure avait été bien plus grave et avait failli le tuer par elle même. Mais après cela, affaibli, il avait encore failli être emporté par la fièvre. Il était plus jeune alors, son corps plus vigoureux face à ce genre de chose. Maintenant il l'était moins, mais d'un autre côté il n'avait pas l'épuisement causé par la blessure, qui sans être bénigne n'avait normalement rien de mortelle.

Walan était conscient que ça n'allait pas bien, donc, et ne rechignait d'ailleurs guère pour prendre les diverses tisanes et décoctions que Marie lui avait servies. Il en était conscient mais il demeurait encore, pour l'instant tout du moins, lucide sur l'inquiétude qu'il causait à la brune. Et cherchait donc à la rassurer, comme il pouvait, y compris en niant la douleur ou la gravité de sa fièvre. Ça ne marchait pas.

Arrivé dans le dispensaire, le front en sueur, des frissons parcourant régulièrement son corps, il tâcha de rester debout de crainte de ne pas pouvoir se relever seul s'il s'asseyait. Mais il fini par céder tout de même, se posant sur la première surface à peu près accueillante à portée tandis que Marie cherchait un physicien, herboriste, barbier ou autre.
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Une voix connue fit se retourner Marie et un sourire de gratitude étira les traits pâles de son visage. Pâle oui elle l'était, et cernée, l'inquiétude avait grandit à se voir impuissante alors que l'état du brun ne faisait qu'empirer. Oh il essayait bien de faire comme si ce n'était rien sauf qu'elle ne connaissait que trop bien et les blessures et leurs conséquences possibles et Walan lui-même pour être dupe.

Oh oui je veux bien. C'est sa blessure au bras, un coup d'épée qui a bien entaillé, qui s'infecte. J'ai beau tout essayé, rien n'y fait. Mais je ne suis que barbière, pas médecin.

Long soupir de soulagement en entendant qu'elle l'était. Quelques pas pour revenir vers Walan et l'aider à se lever, posant un baiser sur le front brûlant et murmurant à son oreille.

Viens. Tout va bien se passer. Elle va t'examiner et te soigner.

Ou comment chercher à se rassurer tout autant que lui en espérant que sa voix ne trahirait pas ses sentiments. Lentement, elle se dirigea avec lui la suite de Stephandra et vint l'installer sur la couche en question.

J'ai refait les points hier soir, certains avaient lâché. J'ai nettoyé, lui ai donné du millepertuis et du sureau en tisane mais la fièvre augmente toujours.

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J'avais suivi Mairina dans les rues de Chinon, m'arrêtant comme elle près du dispensaire. Je n'avais pas encore eu l'occasion de m'y rendre , trop occupée à d'autres tâches.

Des blessés , plus ou moins gravement étaient amenés là. Un bref coup d'oeil , je ne connaissais personne , mais Mairina semblait en discussion avec une dame à qui j'avais quelquefois échangé quelques mots... On pouvait voir dans le regard de celle-ci une sourde inquiétude.

Je m'avançais , souriante , m'inclinant devant la dame et m'adressant à Mairina

'Giorno... Besoin d'aide ma Soeur ?

Peut être que mes quelques connaissances acquises auprès de ma grand mère sur les herbes qui soignent et l'aide que j'avais pu apporter pendant la guerre de Provence pourraient être utiles à quelque malheureux.
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Il avait suivit, voire s'était presque fait porté, par les deux femmes jusqu'à une couche libre après un faible sourire en entendant les mots de Marie à son attention. Il n'était pas le seul à chercher à la rassurer, visiblement. Une fois étendu, les frissons avaient semblé se faire plus calmes, moins prononcés, mais aussi plus fréquents. La sueur avait continué de perler sur la peau du brun tandis qu'il avait suivi docilement, et dans un état plutôt second, les consignes des deux femmes.

Et du temps s'était écoulé. La fièvre allait et venait, mais ne cessait toujours pas. Pire, elle avait encore empiré, plongeant Sans Repos dans un pseudo-sommeil agité duquel il n'émergeait que rarement et généralement en délirant. Lors de ces moments, il semblait hanté par des fantômes de son passé tout autant que cherchant à se raccrocher au présent, à en croire les noms franchissant ses lèvres, parfois faiblement, parfois presque en criant. Des noms de femmes, majoritairement. De celles qu'il avait aimées et failli épouser mais que le Très Haut et les hommes lui avait retirées, et plus encore de celle qu'il aimait et comptait épouser.
Le nom de celle qui avait été une amie fidèle, une confidente, une sœur de cœur à défaut d'être de sang, revenait également de temps à autre. Tout comme parfois le prénom de la fille ainée de celle-ci, cette filleule que Walan avait fini par voir comme son enfant ; tout comme cette autre jeune femme pour qui il avait tenu le rôle de père.

Qui sait s'il ne les voyait pas revenues à lui toutes ensembles ? Ou s'il n'appelait pas pour les rejoindre ? Une chose était sure, il délirait et n'avait quasiment plus conscience, ou seulement de façon très déformée, de ce qui se passait autour de lui.
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Krystel ?

Elle restait plantée là le regard fixé sur la houppelande maculée de boue et de sang à n'en pouvoir ni ho ni jo. Les larmes meslées à la poussière qui recouvrait les joues de la flamande avaient tracé des sillons noirastres sur son joli minois. Des échauffourées avaient eu lieu la nuit précédente entre les armées sises sur le noeud à l'est de Saumur et celles postées en défense à Chinon. L'attaque venait du Ponant qui avait eu l'outrecuidance de venir les embrener de forte méchante manière. Andaine avait blessé superficiellement un homme, un angevin croisé sur ses terres natales... ce qui l'avait laissée en grand émeuvement par la suite mesme si l'homme s'était jeté sous les sabots de sa cavale et qu'elle avait du défeurrer pour ne point perdre la vie. Avec dissension et déraison eu égard à ceux qu'elle aimait, l'asme tourmentée à l'idée de se trouver au bec à bec avec un angevin cher à son cœur sur le champ de bataille, elle avait talonné vivement sa monture qui s'était cabrée de surprise et avait faillit la désarçonner pour s'élancer au galop et s'extraire de la fange des belligérants dans laquelle elle s'enfargeait.


OR ô desespoir... La Blanche angevine n'aurait pu choisir mieux pour qualifier l'état d'esprit dans lequel elle se trouvait. Force était de constater qu'elle se faisait du mouron et cette fois ci iceluy ne passerait point comme une chaude pisse. Mais le temps finirait par s'écouler inexorablement laissant le vent souffler sur les cendres encore bruslantes.


Destourbée, elle avait perdu de vue ses sœurs d'armes. Adoncque lorsque le coulis de prunelles argentées se posa sur le trio de femmes qui s'avançaient dans le vestibule du dispensaire, Andaine resta cloitrée dans son silence. Pour autant ses pensées s'entrechoquaient. Krystel se tient debout, ses yeux sont rougis mais je n'observe de blessure aucune alors qu'elle est pétrifiée de chagrin. L'iris perle disparut au profit d'une pupille dilatée. Andaine laissa échapper un cri, conclusion d'un court soliloque intérieur. Le regard opalin venait de glisser sur le petit corps sans vie soutenu par les deux femmes. Le choc semblait estre rude (j'eusse aimé écrire électrochoc tant pis pour l'anachronisme).

Mel...

La guérisseuse se précipita sur la brune flamande dont elle releva le visage exsangue puis souleva les paupières. La peau de lait était maintenant translucide, le souffle difficilement décelable. Andaine tenta de prendre le pouls carotidien mais en vain. Elle remarqua alors la plaie béante dans le bas ventre à travers les tissus déchirés de sa vesture souillée. Pourvu qu'il ne s'agisse d'une éventration ! L'horreur n'avait doncques pas atteint son point de non retour. Elle se devait de maistriser cette panique qui s'immisçait maintenant par tous les pores de sa peau.

Assez perdu de temps ! Vite il faut l'allonger séance tenante. Krystel je te charge de lui retirer ses effets. Il faut que je me lave les mains et que je prépare tout ce dont je vais avoir besoin pour sauver la vie de Mel.

Promptement, Andaine s'empara de sa besace et précéda ses sœurs d'armes dans la pièce principale du dispensaire pour s'arrester devant une paillasse libre. Elle vida sa besace sur une table recouverte d'un drap de coton blanc. Ses doigts se refermèrent sur un flacon de cendres dont elle préleva une petite quantité. Mélangée avec de l'eau, la préparation se révélait une excellente base nettoyante. Elle se savonna puis se rinça soigneusement les mains insistant entre les interstices de ses doigts fins. Avisant de la toile de lin fraichement repassée, elle sécha sa dextre puis sa sénestre avant de faire volte face vitement et d'exercer des fonctions de cyrurgienne.
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Primum non nocere, deinde curare