Keyfeya
[En route pour
.pppfff on sen fout]
Jveux rien savoir cétait tombé comme un couperet, pas de destination, pas de plan, aucun engagement, elle voulait partir et cétait tout et pour cela, elle sétait tournée vers le seul homme qui pour elle, la laisserait tranquille, laccepterait elle lui donnait le pouvoir, une fois nétait pas coutume.
Enfin lpouvoir fallait pas exagérer quand même !
Elle lui donnait juste le droit de choisir la destination.
Un homme libre, pour elle qui rêvait de liberté, il était lidéal du moment, elle soupirait intérieurement, elle avait argumenté ce voyage en demandant de répondre à certaines questions, quelle se posait sur son passé, elle avait besoin de prendre lair, de prendre du recul. Et voilà que dautres questions surgissaient sur lavenir.
Quest- ce quils pouvaient bien lui trouver tous les deux?
Elle avait refusé des avances bien plus ardues que celle-ci, à des hommes plus aventureux, sans remettre en question son destin. Elle soupira, allongée sur sa couche, lui dormait déjà, à côté delle au creux de racines profondes dun arbre millénaire.
Donc en plus de sa perpétuelle quête didentité, elle se retrouvait maintenant avec deux hommes qui laimaient où est le problème lui direz-vous ? Elle ne voulait perdre aucun des deux, elle ne voulait voir aucun des deux sortir de sa vie.
Chacun dentre eux était un côté delle, chacun des deux une rose de sa personnalité.
Choisir ? Cétait annihiler une partie delle-même non ?
Et voilà qulà ptite voix revenait en force sengouffrant dans la faille.
Tu devrais partir avec lui, il te ressemble plus, il est en adéquation avec ton esprit fougueux !
Soupir dexaspération.
En adéquation ? Cest quelle se met à parler bien la dmoiselle, jtai déjà dit de me foutre la paix !
Tu pensais quoi ? Quil allait tomber à tes pieds, en se roulant par terre et en te criant son amour ?
Key sourit en visionnant dans son esprit la scène.
Ptain lâche moi ! Dfaçon tout ce qui peut méloigner du PA, tu my pousses à grands coups de pied dans lcul.
Nan mais Confucius, il est pas fait pour toi, tu finiras par te faire chier, tas bsoin dbouger, tu lsais
Voilà la chose qui lexaspérait le plus, prétendre quon puisse la connaitre, sarroger le droit de devenir grand maître de son esprit.
Quest-ce que tu sais de moi ?
Tfaçon le choix est simple, tas que deux solutions soit cest le ptit brun promeneur à la dent en moins, soit cest le grand lieutenant Pétrocorien faut choisir
Tes une grande comique toi .pis y a une troisième solution, que je me tire vite fait dans le sens opposé de ces deux-là .voir une quatrième ..jme fais descendre par une armée de passage dbrigands larmée .cest plus classe.
Jvote pour la troisième !
Ouais jsais mais jmen fous de ton avis .tu mcaches des choses .pourquoi tu ne veux pas que je reste à Périgueux ?
Elle sentit la petite voix en elle frissonner rien quà lévocation de la ville .ben ouais une voix intérieure ça peut avoir peur
Parce que
Des pétales de roses rouges et blancs étalés sur le sol, un enfant qui pleure, le même rêve sans relâche la harcelait, elle ne connaissait plus le sommeil, seule cette espèce de torpeur, de semi-conscience, ce qui ne faisait que lui donner un air plus pâle, des cernes marquées, sans compter que depuis les soucis ajoutés, elle ne mangeait plus et ressemblait à un chat sauvage qui navait pas mangé à sa faim depuis longtemps.
Chaque nuit, la même rengaine, elle grelotta, sentant la sueur lui parcourir léchine, la nuit était particulièrement froide, elle sagitait, ne supportant plus de refaire inlassablement ce rêve affreux où la délivrance narrivait quau seul
Maman ?
Elle se releva en sursaut, le visage ruisselant de larmes et sueur.
_________________
Jveux rien savoir cétait tombé comme un couperet, pas de destination, pas de plan, aucun engagement, elle voulait partir et cétait tout et pour cela, elle sétait tournée vers le seul homme qui pour elle, la laisserait tranquille, laccepterait elle lui donnait le pouvoir, une fois nétait pas coutume.
Enfin lpouvoir fallait pas exagérer quand même !
Elle lui donnait juste le droit de choisir la destination.
Un homme libre, pour elle qui rêvait de liberté, il était lidéal du moment, elle soupirait intérieurement, elle avait argumenté ce voyage en demandant de répondre à certaines questions, quelle se posait sur son passé, elle avait besoin de prendre lair, de prendre du recul. Et voilà que dautres questions surgissaient sur lavenir.
Quest- ce quils pouvaient bien lui trouver tous les deux?
Elle avait refusé des avances bien plus ardues que celle-ci, à des hommes plus aventureux, sans remettre en question son destin. Elle soupira, allongée sur sa couche, lui dormait déjà, à côté delle au creux de racines profondes dun arbre millénaire.
Donc en plus de sa perpétuelle quête didentité, elle se retrouvait maintenant avec deux hommes qui laimaient où est le problème lui direz-vous ? Elle ne voulait perdre aucun des deux, elle ne voulait voir aucun des deux sortir de sa vie.
Chacun dentre eux était un côté delle, chacun des deux une rose de sa personnalité.
Choisir ? Cétait annihiler une partie delle-même non ?
Et voilà qulà ptite voix revenait en force sengouffrant dans la faille.
Tu devrais partir avec lui, il te ressemble plus, il est en adéquation avec ton esprit fougueux !
Soupir dexaspération.
En adéquation ? Cest quelle se met à parler bien la dmoiselle, jtai déjà dit de me foutre la paix !
Tu pensais quoi ? Quil allait tomber à tes pieds, en se roulant par terre et en te criant son amour ?
Key sourit en visionnant dans son esprit la scène.
Ptain lâche moi ! Dfaçon tout ce qui peut méloigner du PA, tu my pousses à grands coups de pied dans lcul.
Nan mais Confucius, il est pas fait pour toi, tu finiras par te faire chier, tas bsoin dbouger, tu lsais
Voilà la chose qui lexaspérait le plus, prétendre quon puisse la connaitre, sarroger le droit de devenir grand maître de son esprit.
Quest-ce que tu sais de moi ?
Tfaçon le choix est simple, tas que deux solutions soit cest le ptit brun promeneur à la dent en moins, soit cest le grand lieutenant Pétrocorien faut choisir
Tes une grande comique toi .pis y a une troisième solution, que je me tire vite fait dans le sens opposé de ces deux-là .voir une quatrième ..jme fais descendre par une armée de passage dbrigands larmée .cest plus classe.
Jvote pour la troisième !
Ouais jsais mais jmen fous de ton avis .tu mcaches des choses .pourquoi tu ne veux pas que je reste à Périgueux ?
Elle sentit la petite voix en elle frissonner rien quà lévocation de la ville .ben ouais une voix intérieure ça peut avoir peur
Parce que
Des pétales de roses rouges et blancs étalés sur le sol, un enfant qui pleure, le même rêve sans relâche la harcelait, elle ne connaissait plus le sommeil, seule cette espèce de torpeur, de semi-conscience, ce qui ne faisait que lui donner un air plus pâle, des cernes marquées, sans compter que depuis les soucis ajoutés, elle ne mangeait plus et ressemblait à un chat sauvage qui navait pas mangé à sa faim depuis longtemps.
Chaque nuit, la même rengaine, elle grelotta, sentant la sueur lui parcourir léchine, la nuit était particulièrement froide, elle sagitait, ne supportant plus de refaire inlassablement ce rêve affreux où la délivrance narrivait quau seul
Maman ?
Elle se releva en sursaut, le visage ruisselant de larmes et sueur.
_________________