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[RP]La Bourgogne, ses vins, ses chateaux... Ses prisons...

Attia.
- Vous n'avez pas honte ! Vous ne Pouvez pas m'enfermer dans mon état voyonnns ! Nan mais je ne suis pas a un écu près! m'enfin mais mais... Je ne suis pas une vagabonde! On m'appelle Gitane mais je suis tout ce qu'il ya de plus respectable!!! mais lachez moi!!! nooooon!!! Laissez moi sortiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir !!!

Citation:
Le vagabondage est interdit dans cette ville. Vous avez passé la nuit derrière les barreaux, comme une loque



[ Montpellier une dizaine de jours auparavant]

Il y avait la gitane, et il y avait le blond.
Il y avait le soleil et il y avait la mer.
Il y avait le bébé et il y avait le ventre qui grandissait.
Il y avait le poisson et il y avait la viande.
Il y avait les fruits et il y avait le miel.
Il y avait le bonheur et il y avait la félicité.

Et a mesure que les jours passaient, il y avait la délivrance qui approchait.
Et même si Montpellier était une ville ou elle goutait un repos depuis longtemps oublié, il y avait le fait qu'ils n'étaient que tous les deux et qu'il était impensable pour la brune de mettre bas sans au moins une personne expérimentée de l'acabit de Breiz a ses côtés.

C'est ainsi que le jeune couple avait repris les chemins de la Bourgogne.


[ Bourgogne, Sweet Bourgogne]

En Bourgogne il y avait le vin, elle n'en buvait plus.
Il y avait les vaches, une charolaise même.
Il y avait , les toit colorés, et plein d'autres charmes qui laissaient la gitane completement indifférente.
En Bourgogne, il y avait Breiz, qu'il lui tardait de voir.
En Bourgogne il y avait Dijon, passage obligé sur la route de Semur.

S'il n'avait tenu qu'au blond ils auraient continué sur Sémur.
Mais les douleurs que la gitane avait emmagasinées au bas du dos, imposaient une halte reposante et le douillet d'un bon lit moelleux.

Qu'est ce qui avait poussé la gitane a s'aventurer seule dans les ruelles de Dijon après avoir laissé toutes ses affaires a l'auberge ou le blond l'avait laissée pour courir le marché comme a son habitude?
Nul ne sait.
Nul ne sait non plus pourquoi cette jeune femme, se promenant dans une ruelle digne de la cour des miracles, grosse de 8 mois, qui n'avait pas jugé bon de garder quelques écus sur elle de peur de se faire voler, incapable de prouver qu'elle était une personne respectable, et surtout qui ne pouvait compter sur le crédit d'un "mari", fut la cible d'un "contrôle d'identité" en plein coeur de Dijon par la maréchaussée bourguignonne.

Ville a chateau, ville a problemes.
La gitane passe donc directement à la case prison, sans aucune autre forme de proces.
Motif retenu ? Vagabondage.
Au fond elle le sait la gitane que dans les capitales on n'aime pas les anciens brigands, même repentis.

C'est donc dans un de ces endroits charmants appelés communément prisons que se retrouva logée la gitane qui a la différence de ses autres séjours n'était pas seule.

Si elle protesta longuement, elle fut bien obligée de se calmer, fatiguée par tant d'agitation, autour d'elle et en elle.
Si cela avait été Semur, elle se serait débrouillée pour écrire un mot a Breiz qui aurait évidemment tout remué pour la faire sortit, mais ici a Dijon, elle était obligée d'attendre que le blond remarque son absence... leur absence et fasse quelque chose...

_________________
--Lili.dm


Alloooo ?
Allo,
Papa est la, il est laaaa ? C'est Lili!
Lili qui ?
Tu veux savoir ? moi aussi!

Lili c'est une crevette qui est devenue grenouille et qui bientôt deviendra princesse ouais la princesse a son papa car elle partage déjà des secrets avec lui quand sa mère brule de savoir ce qui se complote.

Lili c'est 2kilos presque et demi .

Lili c'est ce petit monstre qui vrille le ventre de sa mère de coups juste pour le fun, ou quand celle ci gueule vraiment trop.

Le Kif de Lili dans la vie ?
Bah depuis qu'elle a compris qu'il y avait un bouton Pipi sur lequel mettre le pied pour faire courir maman, elle ne se prive pas. Et ça la fait marrer. Mais ça elle ne peut pas encore le raconter a Papa.

Lili c'est le petit bout de chou qui déja fait des caprices.
Lili n'aime pas les carottes, alors quand maman en mange des carottes, elle lui cale un pied sur l'estomac, no pasaran.

Lili c'est tout un monde dans une cavité arrondie.
Lili voit, entend, sent.
Lili est.

Lili c'est moi!
Azkaban
Ah la voilà la Bourgogne, les terres qu'il allait habiter...Qu'il était loin le sable, la mer...Tout ce qu'il aimait admirer était resté sur cette plage de méditerranée, là où leurs cours de natation avaient été écourtés par la petite chose qui avait sonné plusieurs alertes.
Ces drôles d’événements avaient fait légèrement paniquer le couple et avancer la décision de remonter sur Dijon, la bas, Attia aurait le réconfort et l'aide nécessaire le moment venu.

Première nuit passée en cette capitale, premiers rêves bourguignons, lorsque le matin vint l’éveiller, il se retourna pour l'admirer dormir...
Mais il n'y avait qu'une place vide et froide là où quelques heures auparavant était sa brune !
Absente ? et depuis un bon moment visiblement...
Il n'avait pas le diplôme des experts mais certains indices ne trompaient pas.


Attia ? tu es là ??

Aucune réponse, et il s'en doutait qu'il n'y aurait aucun écho à sa question...Ni une ni deux il enfila ses frusques pour partir à sa recherche :

Dans les cuisines de l'auberge pour calmer ses fringales ? Non...
Passage en revue les personnes de la salle commune peut être y boirait elle une tisane ? Personne...
Sans doute derrière la bâtiment pour dégobiller ? Non plus...
Et au milieu des badauds au cœur des ruelles dijonnaises ? Pas de gitane à l'horizon...

Il se frottait le front le blond, se creusait les méninges...Mais ouiiii ! le marché !
Il accéléra le pas pour se faufiler entre les étales, un tour rapide entre les allées puis un second cette fois ci en posant des questions sur la venue éventuelle d'une brune enceinte "jusque là" en dessinant à chaque fois ce ventre qu'il connaissait si bien.

Mais quelle ne fut pas sa surprise d'entendre qu'une femme avait été mise en prison ce matin même sans aucun ménagement, ses objections avaient été vaines, "pauvre femme" expliquait le conteur...
Sans attendre la fin du récit ni même un merci laissant le gars comme deux ronds de flan, le visage figé, à l'intérieur de son poitrail son point faible s’emballait rythmé par la colère, il était fou de rage le blond...
Si jamais c'était elle...le geôlier allait passer un sale quart d'heure, et si on ne lui rendait pas sa moitié il ne répondrait plus de rien.
Sa raison venait de le quitter et un blond sans un minimum de sens...ça puait franchement mauvais.

_________________
Attia.
[ Allo bébé, ici Maman...]

Qu'est ce qu'on fait quand on est fatigué de gueuler, qu'on a faim mais qu'il est hors de question de manger la tambouille pourrie de la prison, et qu'on prie que le petit monstre que l'on porte ne s'amuse pas a " je te tiens par la vessie" ?
On trouve un coin pas trop sale pour s'asseoir et on chantonne.

La gitane grimace, essaie d'imaginer un endroit plus accueillant et une main sur le ventre rebondi elle berce l'enfant qui bientôt naitra.
La gitane soupire.
Et si l'enfant venait la tout de suite ? Naitre en prison c'etait pas le meilleur des accueils.
Si la gitane était rangée depuis un moment maintenant, la perspective d'etre bientot mère faisait naitre en elle le sens de resposnabilités hautement plus importantes que celles de la gestion de tissus et froufrous.
Non elle voulait offrir beaucoup mieux qu'un monde simple et morne a son enfant.
Elle avait eu une enfance dorée, trop peu marquée par une mère dont elle peinait a se rappeler.
Ceci faisait naitre en elle la peur maladive de ne pas être a la hauteur.
Si avec le blond il avaient souvent rêvé leur enfant, et leur vie future, elle n'avait jamais osé lui faire part de cette peur, de ces questions qui la torturaient a mesure que l'echeance arrivait a son terme.
Serai je une bonne mère ?
Serai je meilleure que ma mère ?
Serai je a la hauteur de l'engagement ?
Mon enfant m'aimera t'il ?

Car si elle avait le souvenir d'avoir adoré son père , elle ne se rappelait d'aucun sentiment particulier envers sa mère.
L'instinct maternel était il une question d'hérédité ?

Soupir alors que les mains serrent davantage le ventre.


- Navrée de te faire découvrir la Bourgogne sous cet angle...

Petit sourire.

- Mais il faut bien que tu saches a quoi t'attendre dans la vie... Meme si je préférerai que tu évites tout de même... Crois moi ce n'est pas toujours drôle...

A nouveau elle chantonne.
Elle avait regardé avec un brin d'ironie le blond parler au bébé, lui dire des secrets, et meme si elle avait attendu d'etre seule avec son ventre pour s"oser elle aussi a la communication interutérine, elle gardait tout de meme un certain doute sur le sens de cette communication.


- J'espere que ton Papa ne va pas tarder, je commence a avoir faim...

A cet instant elle crut sentir un coup de pied dans le ventre. Elle se replia un peu plus sur elle meme.

- Toi aussi je suppose...

Elle soupira.

- Az viens vite nous chercher...

_________________
--Un_de_toi


Petit morceau d’eux, bien au chaud dans son cocon maternel,
il n’a pas froid mais connait les angoisses de sa mère,
il l’entend lui parler, fredonner, il gesticule doucement quand ses mains caressent son corps en passant sur son ventre arrondi,
Entre eux, une fine paroi seulement les sépare, un cordon les lie.

Si sur les secrets de papa il en sait long, maman reste discrète dans ses murmures.
Malgré tout, leur relation est riche en sentiments…déjà.
Il le sait, il la sent.

Papa ? il m’a avoué bien des choses, il veut me blottir contre lui...

Il veut cette famille tant désirée, il me veut, il te veut, il nous veut.
Il me l’a dit, il attend le bon moment, il m’attend.

Oui, maman, il va venir, il m’a soufflé que jamais il nous abandonnerait
Il était sincère, il me l’a promis d’une voix tremblante…

Sois sans craintes, il viendra.
Azkaban
Quelques enjambées se firent suffisantes pour alimenter sa rage, il ne marmonnait pas qu’intérieurement,
son regard ne quittait pas son objectif, les murs de la prison d’en face.
Sa douleur longtemps absente venait le titiller augmentant son irritabilité.

Le type, peu importe sa fonction, qui était positionné aux portes de l’enceinte se désincrusta de sa chaise lentement pour l’accueillir avec un grand sourire
sans se douter un instant des intentions de ce dernier puis de lancer :


Bonjour messire ! Vous désirrr…

Il n’eut pas le temps d’en sortir plus, sa gorge se retrouvant serrée dans la paume du blond,
le corps du représentant de la « loi » claqué contre le mur…Il n’avait plus mot à dire face à la rage du futur papa.
La « négociation » allait être l’option choisie bien qu’il ne savait pas comment ne pas s’expliquer sans hurler sa colère…


Tu vois ! Toi ! Je crois que tu n’as pas le choix…

Le geôlier de poser un regard furtif sur l’épée, non loin mais hors de portée, geste que l’assaillant n’eu pas de peine à remarquer, avec un léger sourire Azkaban ajouta :

Teuh teuh teuh…c’est vraiment une trèèèès mais trèèès mauvaise idée ça…

Il resserra ses doigts en les plantant autour de la trachée du gars, écrasant les jugulaires sadiquement mais habillement…Il questionna pour affirmer son action :

Tes prisons contiennent t’elles une brune enceinte ?

D’un léger geste affirmatif, le geôlier pu répondre quand même

Qu’a-t-elle fait ? POURQUOI ??????!!!!!!!!! L’as-tu enfermée !!!
Il se tourna pour crier vers une fenêtre à barreaux :

Attia !!!!!!!!!!! J’arrive, je règle ta sortie !

Le gardien tentait de répondre d’une voix étouffée :
Vag…b…dg..Va…ga…bon..da…g…

Quoi ? Mais tu ne peux pas articuler enfin ???! Il tendit l’oreille pour comprendre enfin la raison

Rhaa t’as pas de bol d’être de service toi…

Je te propose tout de même deux choses mais sans aucunes autres alternatives :
Tu m’ouvres les portes tout de suite et ton écu, j’te le fais bouffer de travers…

Ou bien… je termine le boulot et je t’explose la tête d’une façon que même ta mère, ta femme et tes gosses ne pourront te reconnaitre si par chance tu t’en sors
et évidement que ma gitane je la récupèrerais quand même….


Du sang sur les mains il en avait eu en battant un type presque à mort en Bretagne, il avait vu le démon l’emporter dans une folie meurtrière, sans d’autres personnes venus pour arrêter le massacre à ce jour il serait un meurtrier. Et comme par le passé, à cet instant, le blond ne rigolait pas du tout…
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Attia.
Des éclats de voix et une gitane qui sort de sa torpeur.
C'est que les conversations avec Bébé ça fatigue, ajoutez a cela la faim et la fatigue car elle n'en est plus a son age d'or la Gitane épuisée par presque 9 mois de grossesse et une activité professionnelle dense...
Enfin disions nous, des éclats de voix donc qui la firent doucement revenir a la réalité du cachot humide alors qu'un frisson lui traversait l’échine par le popotin... La flaque immonde l'avait atteinte.


- Marde!

Dans un soupir agacé elle se leva.
Connaissez vous ce moment ou les enfants soudain se lassent du jeu qui quelques instants auparavant les faisait rire a gorge déployée ?
Eh bien on y est a quelques différences près.
C’était pas une gosse, et ce n’était pas un jeu.
Mais si elle avait bien fermé sa grande bouche le temps que le blond rapplique, la elle en avait franchement marre.


- ohéééééé !!! Ohéééééééééééééééé !!!

Les mains après une grimace d’appréhension saisissent les barreaux et elle essaie de voir s'il y a quelqu'un.

- Venez m'ouvriiiiir !!! Faut que j'fasse pipiiiiiii !!!

Excuse qui témoigne bien de la puerilité de la situation alors que la gitane ignore encore que la derrière le mur épais, son blond fait sa fête a un fonctionnaire qui aurait mieux fait de ne pas méjuger une honnête femme enceinte de surcroit.

- Eh l'geolieeeer!!! C'est quoi ce boucan!!! Faut que vous ouvriez maintenant! Ce n'est plus drôle! Ya quelqu'Unnnnn !???

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--Gustave_le_garde
Gustave ne se plaignait pas de son nouveau poste.
En effet muté depuis peu a la prison municipale de Dijon, le jeune homme profitait d'une augmentation de salaire de 5 ecus et d'une tranquilité toute relative quand on sait que quelques semaines auparavant il servait encore au service de pompes funèbres de la ville.

Les pompes funèbres faut pas croire mais ce n'est en rien reposant.
Tous les jours il y avait des morts, tous les jours des tombes a creuser, tous les jours des parchemins a ranger ( encore heureux qu'il n'avait pas a les ecrire ou les classer), tous les jours du travail et c'etait pareil le lendemain.

En prison, c'etait pas compliqué.
Il alternait son tour de garde a celui du geolier.
A l'accueil ( si on peu appeler ça ainsi), il n'y avait jamais grand monde. Il faut dire que les prisons ça n'etaient pas le lieu hype a fréquenter a tout prix, donc il se contentait souvent des clercs venus visiter les pauvres détenus, ou encore des rares parents qui venaient apporter de la nourriture ou des effets a leurs proches.
La prison municipale n'etait pas tres remplie, elle ne recueillait que les vagabonds tout juste entrés en ville sans pouvoir montrer patte blanche. Ils ne restaient en général qu'un jour ou deux, les pires d'entre eux étant par la suite transférés dans la prison centrale.

Il n'avait pas bien compris pourquoi cette femme grosse comme une outre pleine avait été amenée, mais quand la maréchaussée lui avait donné l'ordre de l'enfermer pour vagabondage, le jeune fonctionnaire avait hoché la tête prêt a faire son devoir.
Il n'était pas la pour trop réfléchir. On lui disait de faire, il faisait.
Cette femme était peut etre une sorcière cachant en son sein engeance du démon, ou était elle peut etre une brigande du pire acabit.
En entendant ses cris de mégère alors qu'on la conduisait en cellule, il opta pour la premiere proposition, cela ne pouvait etre qu'une sorcière.

Il en rit quelques instants plus tard avec son compagnon, alors que cela faisait un peu d'animation dans la prison morne.

De longues heures plus tard , en voyant arriver un blond, Gustave crut qu'il s'agissait d'un homme d'eglise venu enquêter .
Il lui adressa donc un franc sourire qui se trouva malencontreusement étranglé dans la paume d'un homme visiblement en colère.
Reflexe il cherchea des yeux son épée essayant d'articuler un appel a l'aide, mais il s'etait fait prendre par surprise.



Teuh teuh teuh…c’est vraiment une trèèèès mais trèèès mauvaise idée ça…

Il deglutit avec peine observant l'homme qui le menaçait.
Qui a dit que les fonctionnaires d'etablissements carcéraux étaient courageux?
Alors Gustave se fit le raisonnement qu'il était préférable pour lui de répondre a la question qui ne l'etonna pas. Cette femme était une sorcière et elle avait envouté un de ses complices pour venir la délivrer.


- Vag…b…dg..Va…ga…bon..da…g…

Essayez donc de bien articuler avec une main qui vous broie la trachée... Le Gustave il aurait bien aimé y voir l'autre té!
Lorsque l'assaillant exposa ses propositions, la garde ouvrit de grands yeux. Il se faisait attaquer et menacer, cela était certes inadmissible, mais il n'etait pas payé pour assumer ce genre de risques. Aussi se mit il courageusement a...


- Pp...itié Mess...ire... j'Vais ouvvv...rrir...

Haussant les mains pour montrer sa coopération le Gustave réfléchissait aux conséquences de cet incident tant d'un coté que de l'autre, a savoir, l'homme en colère ou son administration.
Il pourrait bien perdre son travail, et donc son salaire, et donc il serait obligé de se démener et tout cela serait la faute a la sorcière...
Et pourquoi son acolyte n’était il pas dans les parages ?
Que faire ?
Le garde mima donc une chute sur le sol juste a l'entrée du couloir qui menait aux cachots et en profita pour asséner au blond un coup de boule jetant les clés plus loin.

- A moi !!! On m'Attaaaaaque !!!
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