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[RP] Lugnasad

margot_wolback
Elle était là...
Enfin, son corps était là, rien ne la touchait, rien ne la faisait sortir de cet état d'hébéhétude dans lequel elle se trouve depuis l'annonce de la mort. Et même la main douce et ferme qui s'était saisie de la sienne n'avait pu réveiller un semblant d'intérêt.
Il n'y a que le cercle qui soit actuellement son monde. Les mots de Lallie finissent par l'atteindre, et les paroles des autres aussi. Alors elle attend que Miss et son homme aient terminé, avant d'ouvrir la bouche, d'un ton monocorde et bas.


Je regrette... Ne pas avoir été près de ma mère lorsqu'elle est partie.
Je regrette...


Rien d'autre ne sort, les larmes roulent lentement sur les joues. Au moins, elle ne sera pas resté de marbre, qui sait, le début d'un renouveau, peut être...
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En deuil.... Adieu ma mère, je suis vide sans toi.
Chimera
La pression de la main se fait plus forte en une tentative discret de soutien manifeste, du moins pour celle à qui elle est destinée.
Ne pas devoir regretter ça, au moins, dans la multitude des actes manqués.

Elle n'a pas relevé les essais de déviations théologiques, et a salué d'un sourire leger empreint de fierté les mots sages de la jeune Tualenn.
Toute question peut etre posée à qui se montre pret à répondre. Mal choisir le moment pour lui donner voix, par contre, peut provoquer réponse tronquée, voire absence de réponse... Elle n'intervient pas. Elle sait que dans certaines conditions, rétorquer revient à s'embourber.
Par respect pour l'officiante, elle ne met donc pas son grain de sel dans l'histoire et se contente d'écouter les bretons, leurs idées et leur manière de les exprimer. Joie, malgré tout, de voir l'attention que cette fête de Lugnasad reçoit. Il sera toujours temps de revenir aux questions pus tard... en un moment plus opportun.

Quant à ce qu'elle regrette...
Les yeux sont posés sur Lallie.

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Is winter coming?
Mimilia74
Mimilia s'était approchée. Elle avait eu fort à faire à la mairie et n'avait pas pu venir rapidement toutefois elle était là. Elle était déjà là avant que les cercles ne se forment. Mais elle avait entendu ce que la filleule de son oncle avait dit, les propos stupides des clercs. La diaconesse de Vannes en était malade. Tout foutais le camp dans cet aristotélicisme. Mimilia qui se battait depuis des années à ce que druide et Clercs cohabitent à Vannes, ne comprenait pas. Depuis quelques mois elle ne comprenait plus ni Clodeweck qui ne donnait aucun signe de vie à ses diacres, du moins à celle de Vannes... ni Hugo qui ne la prévenait pas des messes importantes du Primat. De plus en plus elle se demandait si le Très Haut était le chemin. Compliquée quand on est diaconesse et qu'on aime le divin plus que tout. Qu'on se bats pour avoir une église à peine remplie depuis des années. Elle est restée immobile Mimilia. Lasse et interloquée par la connerie humaine. Heureusement qu'elle connaissait le respect. Elle regarda Lallie et Chimera, puis les autres et par respect pour eux ne dit rien. Elle passa au coté de Naudeas sans même un regard, heureusement celui-ci aurait été noir, entre une grossesse cachée qui la tourmente et la honte de voir ce que l'église bretonne devient... Mimilia ne serait pas tendre. La diaconesse vient donc s'installer, un peu tardivement, dans le rond formé par des gens moins stupides que d'autre.
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Angel.
Angel regardait les convives et écoutait les complaintes… Froid et droit contre son arbre devenu son poste de guet, puis vu débarquer une femme aux allures de diacre, sans un salue à son père Waleran et presque froid pour la mère Naudeas, allons bon ce dit il, encore une qui sait enseigner la courtoisie dans son église, il aurait mis sa main à coupé en affirment qu’elle venait de Vannes… Cette ville devient un fief d’hérétique jusqu'à l’église qui y est installé… S’il faut, il se portera témoin de ses choses graves, et commence à croire que le Sans Nom est le propre nom dans ce coin là… Le mot était lâché…

Il ne poserait plus de question pour essayer de comprendre, Angel avait pu voir comment cela avait été prit et que la politesse encore une fois n’avait de limite qu’entre eux, mais cela était le propre de ses gens là… Il agira et parlera dans cette optique là…

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Waleran_jr
Il ne se passait plus rien. Le père Waleran, se pencha de nouveau vers Angel.

- On a l'impression d'une cérémonie copiée sur une messe.
D'abord un rassemblement, puis un acte de contrition pour regréter ses fautes, tu vas voir qu'ensuite nous aurons des prières et un partage de quelque chose. Pourvu qu'on aie pas un sermon!


Il se retint de rire.

- Je crois que certains cherchent à inventer une nouvelle religion car je ne vois rien qui ressemble à des pratiques connues.
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Angel.
Angel pu voir que les choses se stagnèrent, figer dans le temps comme un arbre millénaire…Pas que ça le gène plus que cela mais ses pensés commençait à ce dessiner aux actes, quand le père Waleran de sa voix basse avec un sourire non dissimuler, lui indiquait et confirmait ce qu’il pensait déjà, puis répondait avec le même ton bas pour ne pas gêner le silence devenu d’or :


- « J’ai eu la même impression, et en effet cela à rien à voir avec les anciens rites d’hantant… Vont-ils rompre le pain ? Remplacer le vin par du Chouchen ? »



Il esquissa un sourire à son tour, avant de reprendre son chuchotis :


- « Il est vrai qu’un sermon ferait grande impression, mais cela peut ce voir dans une église… Pourquoi venir ici le faire… »



Sans même décroiser les bras contre son torse comme pour affirmer son refus par ce gestuel de rester ferme dans sa croyance et son refus de croire en quelque chose de concret en regardant la mascarade continuer…

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La_renarde
Les plus audacieux avaient parlé, les autres sans nul doute avaient du murmurer dans leur tête. Parler avait cela de bon car la parole permettait de reconnaitre ce qu'on se cachait parfois à soi-même. Alors que silence c'était fait tout autour d'eux, seule le bruissement des feuillages ou le chant des oiseaux venait troubler le calme tranquille de la petite clairière.

- Quant à moi si j'ai a regretté bien des choses, je n'en nommerai ici qu'une seule. Je regrette certains mots que j'ai pu avoir avec une femme que jadis j'admirai mais que le temps et qui sait la sagesse ou bien la rancœur m'ont forcé à désacraliser. Elle fut pour moi tour à tour, une mère, une sœur, une confidente. Je l'ai pleurer, je l'ai haïs, je l'ai aimé et la douleur aujourd'hui n'en est que plus intense. Oui, je regrette ces mots quand bien même j'en pensait chacun d'eux. Les avoir prononcé a sans doute brisé le peu de choses qui demeurait entre nous, j'ai donné un coup de pied dans un miroir déjà fissuré. J'aurais sans doute du m’accommoder du peu qu'elle était en mesure de me donner, mais ma nature est ainsi faite, je n'ai jamais aimé la demi-mesure. Oui, je regrette.

Légère pause. Puis, dans un geste souple, mesuré et contrôlé elle s'empara d'une torche et alluma le brasero qu'elle venait au préalable de placé dans le chaudron, héritage de Dagda.

- Le feu purificateur embrase désormais les fagots de bois et de feuille de houx. Il est le symbole de la pureté par excellence. Votre âme doit s'élever avec la fumé qu'il provoque et vos tourments s'évader avec elle. Le cercle est fermé, nul ne doit le briser. Chacun de vous est désormais un maillon indispensable à cette chaine humaine que nous formons.

Regard circulaire elle poursuivit.

- Le premier cercle est la représentation du cycle de la vie, du temps qui s'écoule imperturbable contre lequel nul ne peut aller. Il est formé ici par les bretons que vous êtes, chacun à une saison différente de vos vies.

Le second cercle, désignant les enfants autour d'elle, est la représentation de l'univers immuable et sans limite, qui ne connait ni la mort ni la vie et qui transcende le temps lui-même. C'est la connexion entre les mondes en surface et les rivages de Tír na nÓg. Ce cercle c'est l'homme, ses idées qui se jouent du temps, et qui mieux que nos enfants pour le symboliser ?

Le dernier cercle que je forme, à l'image des quatre directions que prend le monde.

A l'est, le souffle du vent qui agite toutes les particules de cette terre.


Elle disposa alors dans la direction de l'est une première coupelle vide. Qui peut se targuer de mettre le vent en bouteille ?


Désignant sa droite, elle déclara :

- A ma droite se tient Nuada en Fin , Roi des Tuatha de Dannan. Fils de la lune il porte l'épée venue de l'ile de Findias la Blanche.


Son bas revint le long de son corps et elle parla de nouveau.


- Au sud, c'est le feu purificateur. Il réchauffe les foyers, éclaire dans l'obscurité, cuit le pain et la viande.


Elle déversa dans la coupelle prévue à cet effet un peu d'huile à laquelle elle mit le feu.

- Derrière moi se tient Lug en Gor, que nous célébrons aujourd'hui, sage et maître des arts, champion parmi les champions, il porte la lance de l'île de Gorlias, sa lumière nous guide.

A nouveau, son bras retourna à la verticale et elle poursuivit.


- A l'Ouest l'eau. Essentielle, elle nous abreuve, nous soigne, nous apporte le poisson.

Cette fois elle désigna sa gauche après avoir versé de l'eau de la fontaine de Barenton dans la coupelle correspondante.


- A ma gauche veille Dagda en Mur, roi des druides il dispose de son si célèbre chaudron en provenance de l'île de Murias, qui produit nourriture en abondance sans jamais se tarir.

Elle se tut quelques instants puis reprit.

- Enfin, au nord est la terre. Elle produit notre blé, nourrit nos bêtes, donne sa force à nos arbre et nos plantes

Elle se baissa et ramassa un peu de terre qu'elle plaça dans la dernière coupelle.

- Au nord Eiriu en Fal, droite comme un I sur sa pierre arracher à l’ile de Falias.

Elle se mit enfin à fredonner doucement des paroles d'un autre temps, dans une langue parfois oubliée que son Écosse natale et sa si sombre origine galloise avait ancrée en elle.


Dyro,Dduw, dy nawdd;
ac yn nawdd, nerth;
ac yn nerth, ddeall;
ac yn neall, gwybod;
ac o wybod, gwybod yn gyfiawn;
ac o wybod yn gyfiawn ei garu;
ac o garu, caru Duw.
Duw a phob daioni.


Ceux qui en connaissaient la signification pouvait le chanter avec elle, les autres n'avaient qu'à s'en laisser imprégner même si les mots et le sens leur échappait totalement. Tout ceci allait au delà de la barrière du langage, on pouvait ressentir sans comprendre. Se faisant elle fit brûler de l'encens, et disposa quelques victuailles sur le sol en guise d'offrande. Quand elle se redressa un sourire était né sur ses lèvres.


- Que la fête commence !
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Waleran_jr
Le jeune prêtre se pencha de nouveau sur son voisin

- Durant que celle qui ressemble à une "..."


Il chassa les mots d'un geste,

- Après tout ce qu'elle fait n'a aucune importance. J'ai de Mauvaises nouvelles pour toi. Leurs éminences ont été laissées pour mortes cette nuit. Clodeweck Verty et une jeune fille de leur famille. Attaqués par des armées françaises car ils sont bretons et que la diplomatie bretonne est d'une rare efficacité ces temps-ci.
Je n'en sais pas plus, sauf que leur chances de survie sont quasi inexistantes. Peut être faudrait-il demander au Dieu du troisième arbre en partant de la gauche, comme le disait son éminence, d'intervenir ?
Pardon, je n'aurais pas du plaisanter.
Je vais attendre d'avoir plus de nouvelles.

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Angel.
Angel regardait le chaudron et le feu crépiter avec ses flammes dansantes sur son contour…Puis le père Waleran lui fit une déclaration qui provoqua un écarquillement de ses yeux verts émeraude…
Les mots résonnèrent dans sa tête comme un tambour « Leurs éminences ont été laissées pour mortes cette nuit. Clodeweck Verty et une jeune fille de leur famille. Attaqués par des armées françaises »…
Comment les François avaient ils osé portez l’arme sur des représentant du Très Haut… N’avaient-ils aucune foy…

Le regard emplit de colère, sans même prêter plus d’attention aux sorciers et à leurs chaudrons, et regarda le père avant de dire :


- « Où est ce que cela s’est passé ? Le savez-vous ? »


Dans un geste lent, il serra les poings de rage…

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Naudeas
Naud regardait ce qu'il se passait en silence. Elle notait de temps en temps des choses qui dans son sens pouvaient la heurter. Elle esquissait des sourires sur les remarques de son filleul. Quand tout à coup, l'une la fit beaucoup moins rire. On venait d'attaquer ses Éminences, maudit soit ces français pensa t-elle.

Elle avait eu la même réaction que l'ange, son poing se crispa, elle avait posé les armes mais s'il fallait les reprendre, elle le ferait, on ne les touchait pas impunément. Ils le paieraient d'une façon ou d'une autre. Voilà ce qu'on pouvait aussi appeler une hérésie. Attaquer lors de l'absence du pape, le chef suprême de l'Église ainsi que la grâcieuse cardinale, présidente du consistoire français. Voilà comment on pouvait traiter des princes de l'Église. Elle reprit une position de prière les accompagnant pour qu'ils puissent vivre..

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Waleran_jr
Le père ne s'occupait plus de la danseuse au milieu de la ronde.

- Pour ce que j'en sais, en Touraine, il semblerait que les armées considèrent tous les bretons comme ennemis et comme on ne demande jamais à un soldat d'être intelligent!

Il soupira.


Ha ces maudits héros qui meurent tous les deux mois et se prennent pour des stratèges!

Puis revenant à la danseuse


- La danseuse a dit "que la fête commence" il va sans doute se passer quelque chose
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Angel.
Angel souriait un peu aux dires du père Waleran, il savait que rien ne se ferait de concret à présent…

Que se soit La renarde où dite La truite… Rien ne vaudrait les anciens, et cela se disait druide…

Un soupire se relâcha et un regard vers le père lui fit rappeler qu’il devait expier quelques actes passés, à nouveau départ, nouvelle vie, il fallait donc le faire car cela devenait pèsent…

Dans un geste sûr de lui, il se pencha doucement puis susurra à l’homme de foy :


- « Si vous avez le temps père Waleran… J’aurai quelques actes passés à expier à confesse… »



L’homme vêtu de noir et de blanc se redressa lentement après ses dires pour continuer à suivre la farandole…

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La_renarde
Pour faire une farandole encore fallait-il se tenir par la main, ou connaitre les coutumes provençales dont était originaire cette danse. Or si le lecteur est observateur, il se sera rendu compte que personne ne danse et que mis à part les enfants personne ne se tient la main. Malheureusement il n'est pas donné à tout le monde d'user à bon escient des termes adéquats pour qualifier une situation ou décrire son environnement. Les simples...

Elle avait apprit avec le temps à reconnaitre les mots sur les lèvres et certaines déclarations ne lui avait pas échappé. Elle ouvrit de grands yeux et dévisagea ces hommes qui omettaient des jugements tout en cherchant de la sorcellerie là où eux- même avaient des visions prémonitoires d'évènements qui n'avaient pas encore eu lieu.
Lallie, qui n'avait aucun pouvoirs ni aucune vision d'aucune sorte, ne pouvait donc pas prévoir que d'ici quelques jours le Primat et toute sa clique se feraient attaquer sur les chemins comme de vulgaires gueux. Aussi n'était-elle pas au courant et ne pouvait-elle pas en parler puisque ça ne s'était pas encore produit. On pouvait être druide et rester un être humain, on pouvait être un homme de foi et ne pas cracher sur son prochain à la première occasion. Oh, elle avait bien vu passer un vol de corneilles, Morrigan était active, mais a cible demeurait pour elle un mystère. Sans doute que ces ersatz de grenouilles de bénitier étaient connecter par la psyché.

Mais fort heureusement, elle ne faisait que penser. Mais peut-être que cela devenait risqué. S'ils étaient capables de lire l'avenir qu'est-ce qui les empêchaient de sonder l'esprit ? Et pour être au courant de l'attaque du primat avant même qu'il n'ait eu lieu, sans doute étaient-ils même à l'origine du projet ? Peut-être avaient-ils secrètement fomenter cette attaque pour se débarrasser d'un candidat à la papauté ? Cette théorie était plus plausible que son hypothèse sur les pouvoirs "magiques". Elle en parlerait à qui de droit le moment venu. Mieux valait-il être méfiant. Ceux qui portaient la bure n'étaient pas des croyants, c'était des imposteurs venus ici semer le trouble, détruire la culture bretonne. Des françois qu'ils étaient... et en ces temps de guerre elle les pensaient même infiltrés. Et ça osait parler d'amitié aristotélicienne alors que ça en ignorait même le sens.

Son visage demeura impassible, point de scandale maintenant mais elle se promit de faire en sorte de terrasser une bonne pour toutes ces cancrelat et la Mère savait qu'elle avait un sacré don pour casser toutes les volontés du monde. La fête battait donc son plein, le cercle avait été brisé, rires, chants, musique, alcool et nourriture. D'ici quelques heures chacun repartiraient chez lui se coucher exténués par la fatigue.

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Chimera
Et la rousse (l'autre) de se rapprocher de l'officiante une fois la cérémonie terminée.

Jolie cérémonie, ma chère belean, et merci d'avoir répondu à l'appel de Missanges. Tu as bien du mérite de l'avoir conduite jusqu'au bout vu les circonstances, et, si tu boues intérieurement, je suis heureuse que tu sembles avoir appris, un peu, à contenir ces sentiments furieux qui bien souvent t'agitent.
Nous aurons au moins appris une chose, c'est que la communauté ecclésiastique s'intéresse de manière manifeste aux traditions bretonnes. Je peine encore à déterminer la nature de cet intérêt, mais ne doute pas d'avoir bientôt l'occasion d'éclaircir ce point.


En regardant les gens alentour, elle souffle à l'oreille de celle qui fut tour à tour et tout à la fois son amie, sa fille, sa soeur, son soutien et le vociférant miroir de ses déficiences:

Danserons nous nues entre les arbres pour ravir nos spectateurs malgré nos principes et habitudes, ou nous laisserons nous tout simplement aller à profiter avec les bretons d'un jour de liesse? Voilà bien des mois que je n'ai pas profité de la fête comme une jeune fille. Et puis qui sait, peut-être me laisserai-je aller au conte, lorsque les jambe de chacun commenceront à fatiguer.

Leger sourire.
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Is winter coming?
Angel.
Farandole… PENSA-t-il…, Ne pense pas de trop ici se dit-il…
Cela pourrait s’entendre…
Un sourire amuser à la pathétique des choses, avant de REPENSE « Farandole »…
Comme on peut reconnaitre les choses quand on les tests…

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