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[RP] Un de ces ''quatre'' ont sera amené à se recroiser.

Titca
Une vipère dans Paris, ce n'était pas chose très rare ! Mais une vipère en tenue de religieuse devant le pavie de Notre Dame prête à célébrer quatre Baptêmes c'était du jamais vu ! Alors quand celle-ci arriva sur son étalon, elle eu un petit sourire satisfait avec ce brin de malice dans le fond de ses yeux océans.

Mais revenons quelques semaines en arrière afin de comprendre comme une Soye en arrive là :

Catherine Élisabeth la princesse de la famille et sa nièce préférer -La seule en même temps- arriva de bon matin lui demandant de célébrer son Baptême en compagnie de trois autres amis, bien entendu la Vipère acceptera sans trop ce poser de question. Mais quand celle-ci proposa la ville de Paris et sa cathédrale. Bon après beaucoup de paperasse quelques lettres à Vincent et des informations complémentaires... Elle était là !


Wouhaaa...

Unique syllabe lâché dans le vent en sautillant heureusement, a présent il fallait tout préparer heureusement qu'Hector était présent afin de l'aider à déposer quelques fleurs et décorer un peu le lieu Saint. La Divine elle regarda la beauté du lieu et resta en silence dans ce grand lieu bien vide afin de ce préparer mentalement au début de ces sacrements.

La cérémonie ce déroule le 17 Juillet

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Calixte
Calixte avait chevauché le plus rapidement possible de Saint-Aignan à Paris, ne prenant point de nuit de repos et avait donc rejoind la capitale au levé du soleil. Il s'arreta dans une auberge et pris une chambre afin de pouvoir se repauser et etre présentable, pour cet évènement.
Après quelques heures et un reveil en sursaut, il s'attarda un instant à la fenêtre de sa chambre, puis decida de s'habiller.
Il etait grand temps et il ne falait point arriver en retard, ce qu'il avait horreur, mais il faut bien le dire lui arrivé plus que d'ordinaire.

Tranversant, les rues étroites et mals audorantes, laissant au gueux le bas du pavé, il arriva face à Notre-dame, qui domminait par sa grandeur et paraissait toucher le ciel comme pour prendre la main du très haut et que la voix de dieu parvienne à tous.
Il s'avanca le nez au ciel, impressionné par cette magnificence et s'arreta enfin sur le parvis attendant les autres futurs baptisés et invités.
Il se demanda donc s'il ne s'était point trompé de jour et commenca donc à angoisser quelque peu.
Lulue
[Vincennes, non loin d’une certaine tour aux oiseaux]

Lorsque la Brune prit place à son bureau ce matin-là, le jour commençait à peine à percer.
Pour cela elle avait quitté la mission en cours et avaient chevauchées une journée entière n’arrêtant que par stricte nécessité afin de ne pas tuer l’équidé à la tâche.
Cependant, il faudrait que ce bon vieux Ari lui explique, quand il aura deux minutes, pourquoi les cérémonies familiales survenaient toujours quelques jours après le début d’une mission.
Une volonté de compliquer les choses peut-être ? Ou la peur de l’ennuie ?

Assise à son bureau, deux parchemins difficilement éclairés par la lueur des bougies, étaient posés sur celui-ci.
L’un concernait le décès de la Reyne, quant au second, ce n’était autre que l’invitation du jour.
La Blanche fut surprise de constater le nombre de futurs baptisés.
Norf ! Rien que ça ? Y’avait des offres promotionnelles pour les baptêmes maintenant ?
Et elle ne fut pas au bout de ses surprises en découvrant certains noms de famille qui remplissaient une bonne partie du feuillet.
Un soupir fila d’entre ses lèvres… pourquoi devait-elle se rendre là-bas déjà ?
Finalement, un Chevalier en pleine mobilisation n’avait-il pas mieux à faire que d’aller se balader ?

Mouvement imperceptible de tête tandis que ses pupilles continuaient de balayer le parchemin avec ce visage impassible qui la caractérisait tant dans de multiples circonstances.
Catherine-Elisabeth de Castelléo Casaviecchi… l’enfant prodigue du frérot?
Le moins que l’on pouvait dire c’est que ses parents l’avait drôlement bien caché, la Muse n’ayant appris son existence que par le plus grand des hasards, il y avait de cela une semaine tout au plus.
M’enfin, dans quelques heures elle aurait probablement la réponse à ses questions et connaitrait son visage.
Puis un fin sourire se dessina sur le minois de Lucie lorsque, remontant, son regard d’ébène se posa plus longuement sur le nom du De Castelléo junior.
Après tout, si elle avait accepté de faire le déplacement, malgré les circonstances, ce n’était que pour lui… son neveu adoré.
Elle se devait d’être là pour lui, de l’accompagner, de lui faire sentir davantage qu’il faisait partie intégrante de la famille.

Mais ce n’était pas le tout de se perdre dans ses pensées.
Les heures avançaient et il était plus que temps de se préparer, préférant éviter d’arriver à Notre Dame avec chemise, braies et bottes poussiéreuses…



[Direction le parvis de Notre-Dame]


Petite moue dubitative tandis qu’elle avait le nez au-dessus d’une malle dans une pièce adjacente de son bureau.
A force de passer du temps sur les routes, elle avait appris à entreposer quelques affaires dans ses différents points de chute.
Devait-elle opter pour l’occasion de la couleur de deuil – soit le blanc – plutôt que cette robe bleue qui lui allait nettement mieux au teint ?
Question fatidique qui fit sourire la Brune en se surprenant d’avoir encore ce goût prononcé pour la coquetterie.
C’est vrai qu’à bien y réfléchir, elle n’avait jamais cultivé le look garçon manqué malgré son choix de vie et sa féminité reprenait le dessus à la première occasion.
Tout à ses réflexions, elle enfila une robe blanche dont le buste était souligné par des motifs vert émeraude, une ceinture décorative se rappelant au ton de celui-ci.
A défaut de pouvoir mettre le linceul représentant son range chez les Blanches, elle mit autour du coup ce fameux collier qu’un membre d’Ordre de Chevalerie espérait obtenir un jour, et dont trop peu nombreux restaient malheureusement suffisamment longtemps en vie pour l’obtenir.
Côté coiffure, elle restait fidèle à ce fameux chignon sophistiqué où seules quelques fines mèches tombaient sur sa nuque et au-dessus de ses épaules… pratique et rapide pour ce genre d’occasion.
La dernière touche fut la cape frappée de l’Ecu Vert sur ses épaules.

Fin prête, Lucie prit donc la direction de Notre-Dame après avoir fait quelques gratouilles sur la tête de Persil.
Traverser les rues de Paris pouvait se révéler être une véritable épreuve, ne serait-ce que pour survivre à cette odeur qui lui faisait rappeler violemment pourquoi elle aimait tant la province.
Bref, la destination fut atteinte et oh chose extraordinaire - il fallait bien l’avouer - elle était à l’heure !
Sur le parvis, elle reconnue Calixte qui avait le nez en l’air.
Elle alla le rejoindre en toute discrétion.


Hum il ne t’apportera pas de suite des réponses. Il parait que tu ne fais pas encore officiellement parti de cette grande famille dans laquelle on rêve tous d’entrer un jour.


Sourire mutin qui se dessina sur son visage…

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Argawaen




[Lugan, terres de Lavaur]

Aujourd'hui était un jour pas comme les autres, bah oui c'pas tous les jours que la fille de sa marraine se fait baptiser.
Argawaen enfila une tenue correcte puis laissa Alistaïr et Earnan entre les mains de Sinatra.


Surtout Sinatra, tu n'hésites pas à sévir si il faut, fin tu le sais ça.

Dehuit bousculait tout le monde, il était hors de question qu'il arrive en retard, lui qui avait le don d'arriver souvent dans les derniers là il voulait être dans les premiers.
Argawaen ouvrit la porte de chambre et se mit à beugler dans les couloirs du Castel.


GAAAAAAAAAAAARDE !!!!!!!!!!!!! FAITE PREPARER LES MONTURES ET PRÉVENEZ AARHON ET SES HOMMES DE NOUS REJOINDRE A L'ENTRÉE !!!!!!!

Beuglage terminé l'homme se dirigea vers sa belle, elle était splendide, comme toujours d'ailleurs. Venant derrière elle, glissant ses bras autour de sa taille et l'embrassant dans le cou il lui murmura... " Dépêche toi un peu on va être en retard... "
Argawaen souriait en coin puis fila à l'entrée du Castel afin de voir si tout était prêt.

Sans savoir pourquoi les montures étaient déjà prêtes et Aarhon et ses hommes également. Le pauvre garde devait les chercher partout...


Hé bien messieurs pour une fois j'vois que vous êtes à l'heure ! C'est parfait, en rangs !

Dehuit grimpa sur Elros puis une fois sa belle arrivée le groupe partit pour Nostre-Dame.

[Nostre-Dame]

Le voyage fut long et fatiguant, mais le Dehuit ne se plaignait pas, c'était l'occasion de faire plus ample connaissance avec la fille de sa marraine et suzeraine mais également de connaître un peu plus les Casaviecchi et surement les Mariemont.
Ordonnant à Aarhon de garder les montures l'homme aida sa belle à descendre puis lui prit la main.
Arrivant au milieu du parvis il tapota son ceinturon et remarqua qu'il avait toujours son arme. Bien que l'idée de devoir laisser son épée lui déplaisait il fallait faire un effort pour l'occasion.

Il détacha son ceinturon puis lança son épée à Aarhon.


Ta intérêt d'en prendre soin !

Une fois tout en ordre le Dehuit de Malemort et sa douce entrèrent dans l'église... L'homme salua les personnes présentent puis regarda sa douce et par la même occasion la place où ils allaient s'asseoir.
D'après le parchemin il n'y aurait pas que le baptême de Catherine, donc priorité à la famille des futurs baptisés.

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Victoire.


C'était le grand jour disait-on, alors pour le célébrer rien de plus approprié que Notre-Dame avait dit Catherine, ou peut-être Reims, ce fut Paris ! Pour Victoire cela n'avait pas vraiment d'importance pour tout dire, ce lieu ou bien un autre, pourvu que les bougies sentent bon car l'odeur de l'encens lui était insupportable. Se pliant aux exigeances de l'évènement elle était élégamment vêtue, ni point ni trop de fioritures, juste un soupçon d'essence d'Eau de rose derrière l'oreille. Sa longue chevelure, ornée d'une couronne de petits myosotis, tombait en cascade sur ses épaules, à son poignet un fin bracelet d'or et, sous sa robe, son coeur se serrait un peu plus lorsqu'elle atteint le parvis de Notre-Dame en compagnie de sa marraine dont elle serrait le bras doucement.

-Cécilia croyez-vous que nous pouvons entrer et nous installer déja ?

C'était bien ce dont elle avait envie, trouver un banc et attendre que la cérémonie débute. Pêut-être cela n'était pas coutume et qu'il fallait patienter sur le parvis jusqu'au bourdonnement des cloches de la cathédrale.
Toute à ses réflexions elle interrogea Cecilia du regard, espérant aussi que son parrain et sa famille les rejoignent au plus vite.
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Valeryane


[Castel de Lugan]

Dans la chambre Val finissait de se préparer, faire la tresse sur le dessus de sa chevelure se révélait une vrai oeuvre d'art à faire, heureusement Sinatra avait volée à son secours, quand de la chambre elles entendirent un cris d'ours en rogne contre ses hommes, Sinatra en fit tomber la brosse au sol, chose qu'elle se dépêcha de ramasser..

Oups! Sinatra vite l'ours est en rogne il grogne faut se dépêcher vite il va arriver et crier.

Sinatra aida Val à enfiler sa robe qui finalement lui allait à merveille, elle n'avait plus aucune trace de sa grossesse, elle se regarda dans le miroir et siffla sur elle. Waaaaaouw! J'ai reppris ma taille jeune fille Sinatra.

Son seigneur arriva et la regarda les yeux brillant qui en disait long si ils devaient pas partir à un baptême, il s'approcha près d'elle, murmurant de se dépêcher dans son cou en y déposant un baiser, petit grand frisson et joue rouge. Oui je suis prête voila mon ours


Val embrassa ses petit ours brun comme elle les appelait tout les deux, un gros bisous à Alistaïr et un câlin berçant à son petit dernier Earnan qui n'avait que cinq mois, mais quand elle le déposa dans les bras de Sinatra celui-ci se mit à crier et pleurer, Val n'avait pas le temps de le reprendre, elle tourna les talons avec le mal au ventre et la larme à l'oeil de laisser son petit ours au Castel.

[Nostre-Dame]

Enfin arrivée devant le parvis de l'église enfin après secousse sur monture, fondement en compote, robe légèrement défaite sur les épaules qu'elle remit en place de suite, mais doux seigneur sa tresse était toujours en place, elle redonna un petit coup à ses cheveux long, et descendit de sa monture avec l'aide de son aimé, elle donna aussi son épée à Aarhon et lui chuchota " prend soin de ma Mathosse elle ne m'a jamais quitté depuis le premier jour ou mon ami me l'a forgé"


Val donna la main à son tendre et ils entrèrent dans l'église enfin, prirent leur place respective laissant l'avant à la famille, enfin bien installé elle lui chuchota " faudra baptiser nos petits ours mon tendre aimé"
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De ma douceur coule le miel, de ma rage coule le sang..
Aubanne.
Est-ce qu’elle allait les reconnaître ?
Est-ce qu’ils allaient la reconnaitre !
Depuis le temps qu’elle ne les avait pas vu, fort possible qu’ils se croisent sans même lever un œil les uns comme les autres.
Et puis c’était quoi cette idée d’un baptême en groupe.
Notre Dame faisait dans les soldes d’été ou quoi ? Un baptême acheté, un baptême offert.
Elle ne se rappelait pas avoir entendu parler d’une telle pratique.

Le nez de la jeune femme se plissa une fois de plus et elle hâta un peu plus le pas.
Arrivée depuis plusieurs jours dans la grande ville, elle avait bien du mal à se repérer.
Un mot griffonné à la hâte sur la coiffeuse pour rappeler à son « capitaine » que ce jour était le jour des « baptêmes », et la jeune femme quitta l’auberge.

Son regard essaya d’accrocher les tours de Notre Dame.
Rassurantes, elles se dressaient comme un repère et Aubanne s’enfonça dans les ruelles. Autour de la Cathédrale, celles-ci étaient encombrées, mais elle n’avait pas résisté à l’envie de flâner un peu dans les rues de la capitale.
Le soleil était bien haut dans le ciel et les gens tous afférés à leurs taches. Les coupes gorges devaient dormir à cette heure là et puis quand bien même, son allure de damoiselle pressée et sa mine sobre n’attirait pas le regard.

Bien à l’abri dans sa large cape, elle laissa échapper un léger soupir et son nez se plissa aussitôt.
Et pas uniquement parla faute des relents particuliers de ce Paris qui la fascinait tant.

Si seulement sa mère avait daigné quitter le couvent dans lequel elle s’était réfugiée. Elles se seraient bien évidemment chamaillées, les deux auraient tordu leur nez à qui mieux- mieux.
Mais elles auraient également essayé, froissé, en riant, un tas de robes et peut-être même l’aurait –elle aidé à discipliner ses cheveux.
En tout état de cause, elle avait choisit seule une robe gris perle, de coupe simple. Ses cheveux…ses cheveux…elle avait renoncé à les discipliner complètement, et ceux-ci retombaient en boucles folles sur ses reins. Ewen et Prun, elle l’espérait, ne s’arrêteraient pas à sa vêture.

Son géant devait flâner, avait surement oublié…
Paris, labyrinthe pour la Provinciale qu’elle était et elle avait bien l’intention de palier à cette lacune.

Sa main, bien à l’abri sous la cape satinée caressait doucement son ventre rebondi et tendu.
Elle esquissa un sourire en découvrant le parvis. Quelques silhouettes se tenaient là. Visages inconnus.
Alors, commença l’attente. Après un bref coup d’œil vers les silhouettes, non aucun d’eux ne lui étaient familiers. elle se mit à marmonner doucement le nom de son frère :


…Ewen..Ewen..
Ne sois pas en retard frérot, ou je te fais avaler ta médaille…
Calixte
Le jeune homme fut surpris dans sa contemplation du lieu par une voix familière. Il se retourna et afficha un grand sourire, avant de prendre sa tante dans ses bras.

-Ma chère tante, je suis heureux de te voir. J'avais peur que tu ne puisse te libérer. Et je dois bien dire que ta présence me reconforte.

Il marqua une pause et releva le nez au ciel avant de reprendre.

-J'admirai le lieu. C'est beau, c'est grand...

Il arrêta un instant de penser à lui et son baptême et se rendit compte qu'il n'avait point demandé des nouvelles de sa belle tante.

-Mais j'y pense, as tu fait bonne route?

Il salua entre temps d'un signe de tête, les personnes qui passaient devant lui.
Catherine_elisabeth


Tout s'enchaînait à une vitesse si rapide que la petite princesse avait eut à peine le temps de rester en pleine contemplation devant sa garde robes.
Pour ceux qui connaissaient la peste, c'était un exploit. Elle n'avait donc hésité qu'une petite demi heure sur la tenue à porter.

Une fois que se fut choisi, ses aides vinrent la préparer. Elles lui enfilèrent donc une houppelande bleu ciel agrémentée de quelques rubans d'un blanc éclatant, sans oublier de garnir sa sublime chevelure blonde de fleurs de même couleurs.

Pour une fois Catherine avait tenu à la garder libre, pour faire aussi plaisir à Victoire qui les préférait ainsi.
Une fois parée, la jeune fille se fit accompagner par sa gouvernante jusqu'au parvis de Notre Dame, où elle pu apprécier une petite foule qui commençait à pointer le bout de son nez.
Catherine détestait être seule.

Un seul pincement au cœur, elle ne percevait pas encore la superbe silhouette de sa chère maman. Elle gardait espoir que celle ci puisse se libérer à temps et venir assister à cet évènement.
Son cher père n'était pas encore arrivé non plus il semblait.

Son regard encore balaya les environs et elle reconnu sa meilleure amie en titre, aussi fraiche qu'une fleure que Catherine affectionnait.
Avec elle une jolie dame que la demoiselle ne connaissait pas encore.

Puis elle remarqua la présence de celui qui était son demi frère, en présence d'une belle dame qui avait une prestance étrangement familière.
Visage qui se penche sur le côté. Et si c'était elle... Sa tante...

Un peu plus près des grandes portes, et entrant sûrement s'installer, elle reconnut Argawaen et sa douce Valéryane.
Sourire ravie de la gamine. Elle était vraiment heureuse de les voir présent.

Enfin son regard croisa celui de sa superbe marraine, enfin future marraine... Typhanie.

Laissant sa gouvernante souffler comme un bœuf, elle se hâta de la rejoindre sur le parvis.
Avant d'aller saluer les présents, elle voulait aller lui dire bonjour. Surtout qu'elle trouvait que son teint était assez pâle.
Peut être avait elle passé une mauvaise nuit. Et là dessus, la pestouille pouvait lui conseiller quelques crèmes supra efficace.



Marraine ! Je suis contente de te voir avant que tout le monde n'arrive ! Tu es bien arrivée à Paris ? Tu as l'air fatigué ! J'ai une super concoction pour toi si tu veux ! Tu seras encore plus belle que tu ne l'es ! Même si t'en as pas besoin bien entendu !

Ah et faut que je te présente Victoire ! C'est la meilleure amie que j'ai, tu vas l'a-do-rer !

Et aussi mon frère... Mais je sais pas si je peux le déranger, il semble en discutions avec une dame là



Sourire enfantin, comme d'habitude, elle l’inondait de paroles

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Titca
-[ Avant l'arrivée fracassante de Catherine. ]-

Comment ?! Oui, comment la Vipère allait-elle annoncer à une gamine -princesse peut-être, mais toujours gamine- la mort de celle quelle aimait plus que tout dans ces royaumes ?! Elle n'en savait rien et c'est peut-etre pour cela que la maîtresse de cérémonie priait le Créateur dans ce lieu très Saint. Peut-être son ainée allait-elle lui apparaitre et lui amener des conseils ? Enfin rien était moins certain à présent... Alors elle était en silence dans le lieu alors que les invités arrivèrent doucement.

Délicatement, elle ce leva et courageusement fit face aux ignorants, encore paisiblement heureux dans leurs vies sans morts. Telle une Dame, elle redressa le menton et fixa l'horizon enfin les portes pour être précise découvrant l'arrivé de cet homme et de sa compagne dont Typh ne savait ni le rang, ni le nom.

Dans une grimace peu sûre d'elle, la Vipère glissa sur le sol froid de Notre Dame pour les rejoindre et s'incliner devant eux dans une tristesse parfaitement cachée.


Demat mes enfants. Ne surtout pas dévoiler leurs liens aux risques que Catherine arrive et découvre tout avec l'heure. Je suis Tit. Les rangs et les blabla ne l'intéressait absolument pas.Pardonnez-moi de vous demander ceci Sir... Je ne vous connais pas et je ne suis pas particulièrement friande de ce genre de comportement. Mais auriez-vous l'amabilité de m'accompagner après le Baptême afin de ...Parler à la petite de...vous savez quoi.


-[Et Catherine arrive.]-

Bras ouvert accueillant sa filleule contre son coeur, larme qui menace de couler sur ses joues et pourtant ''NON'' elle ne dois pas ! Regard qui cherche dans la foule son papy le parrain de la petite le seul qui pourrait apaiser sa douleur Jac mise à part.

Demat ma belle. Je vais fort bien merci... Ma mère me fait dire de t'embrasser et s'excuse de ne point être présente en ce jour saint. Mensonge, mais la petite ne le sauras jamais, enfin pas de suite. Tu la pardonne pas vrai ?
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Argawaen


Des personnes faisaient leur entrée, sauf Catherine qui n'était toujours pas là. Argawaen acquiesça aux dires de sa belle et souriait. Leurs petits ours baptisés, il imaginait déjà la tête de son ainé lorsque le curé lui mettra de l'eau bénite sur la tête.
A quelques pas il reconnu la soeur de Lily et cette dernière s'avança jusqu'à eux.
Regarde légèrement sombre à son approche, ils avaient un lourd fardeau, et il le savait aussi bien qu'elle...


Je vous ai reconnu Donà, je suis Argawaen, le filleul et le vassal de Lily, nous n'avons pas eu le temps de faire les présentations lors de notre dernière rencontre...

Léger soupir, mine triste le Dehuit avait perdu de son enthousiasme de ce matin en bousculant tout le monde pour venir au baptême.
L'homme avala sa salive puis poursuivit, il en profitait pour vérifier que la fille de Lily n'entrait pas...


Je viendrais, surement avec ma fiancé, elle était attachée à elle et elle était présente quand cela s'est produit...

L'homme avait des remords, il savait que c'était en partie sa faute, voir même totalement, il regarda Titca et termina avant que Catherine arrive...

Je suis désolé de ce qu'il s'est passé...

Tournant le visage la petite peste blonde comme l'avait surnommée Lily faisait son entrée. L'homme lui souriait un inclina le visage en guise de salue puis serra ses doigts avec ceux de Valeryane. Dehuit n'essayait de montrer aucune émotion, aucun signe pouvant le trahir, pourtant au fond de lui il sentait que cela n'allait pas être possible...
Pour le moment le temps était au baptême... Il ne fallait pas y penser...

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Sirbalian
Paris.. dans une auberge à l'entrée de la ville

Après leur arrivée à Paris y a quelques jours,
Balian avait déja pu visiter un peu la Capitale.
Bien malgré lui il faut le dire.. car les prisons de Saint-Lazare n'était pas vraiment un lieu de choix pour se promener..
Mais au moins il avait enfin retrouvé son fils illégitime,
et même si les retrouvailles familiales dans une auberge de la ville,
l'avait fatigué, il était ravi d'être ainsi entouré.
A présent seul sa soeur lui manquait pour être comblé entierement.

Ce matin là, il avait enfilé sa plus belle chemise et son beau mantel pourpre.
Ces bottes avaient été ciré et il avait essayé d'être le plus présentable possible.
çà serait la première fois pour lui qu'il allait être parrain,
Et il était fier d'avoir été choisi par Ewen. Lui, pour qui la perte de son père était si douloureuse.. et qui arrivait à un age difficile.
Certes un parrain ne remplace pas un père mais Balian voulait être là pour lui.
C'etait d'ailleurs pour çà qu'il s'avait décidé avec Asarine de s'installer à Limoges.

Une fois pret, il alla voir si Calisse s'en sortait avec les petites.
Les jumelles de un an semblait au calme, du moins pour l'instant.
Il alla les embrasser chacune, puis remercia Calisse de bien vouloir s'en occuper toute la journée pour que lui et Asa puisse aller au baptème tranquillement.
Après quoi il alla tocquer à la porte de la chambre d'Asa pour voir si elle était prete afin de se mettre en route.. il ne vallait mieux pas être en retard en ce jour..


Asa ?? Tu es prete ?
Il nous faut nous hater.

_________________
Alandrisse
[Peu avant le déplacement de la brune]

Phase 1, déterminé comment se glisser hors de son bureau sans se faire alpaguer par un de ses officiers. Ce n’était pas que ne les adorait pas tous, bien au contraire, mais à chaque fois cela se terminait en longue discussion. Sachant que la Montbazon avait une certaine tendance à être en retard, pour une fois elle voulait faire une bonne impression. Elle avait donc planqué sa pomme sous une longue cape, la capuche bien ample recouvrait son visage jusqu’à son nez. Ce n’était pas des plus évidents pour se déplacer, cependant le principal était de ne pas être reconnu. Après avoir pris plusieurs murs dans son charmant minois, éviter de se retrouver à terre par deux fois et de bousculer un garde. La Montbazon avait réussi à atteindre la sortie, une prière silencieuse adressée au Très Haut avant de s’engouffrer dans son carrosse.

[Nostre Dame nous voilou]

Normalement elle devrait retrouver son époux à la cathédrale. Comme la brune résidait le plus clair de son temps à Paris et lui euh y était pour des raisons euh…Enfin bref, son cher de Bb avait intérêt à rappliquer presto sans quoi la Montbazon ferait encore sa Languedocienne de base. Soit les cris, les grands gestes et les noms d’oiseau. Un regard circulaire sur le parvis de la belle Dame, pas un Pézenas dans le coin. Elle attrapa ses jupons et descendit les marches de son véhicule. Depuis son accident, la brune avait plutôt bien récupéré. Même si galoper comme elle l’avait fait n’avait pas été des plus judicieux, réveillant des stigmates qu’elle aimerait oublier. Si son médicastre avait été dans le coin, il l’aurait pointé du doigt l’agitant sous son nez. En disant certainement un « Les côtes se soignent avec du repos, vous allez me faire le plaisir d’aller exécuter cet ordre ». Forcement, la Montbazon aurait répondu un « Après la cérémonie chez médicastre » tout en pensant « et mon cheval il ira boire des chopines à ma place ».

Ce duel intérieur terminé, serrant légèrement les dents, la jeune femme entra dans la cathédrale et aperçut des têtes connues. Un salut rapide pour celles qui la reconnaissaient, il faut dire qu’elle était surtout là pour la fille de Pénélope. Un grand sourire s’afficha.


Cécilia, Victoire, comment allez vous ?
_________________

Poutrée le 03/07 à prendre en consideration pour les RPs.
Catherine_elisabeth


La princesse regarda sa marraine d'un air qu'elle voulait garder neutre, mais qui fut tout de même emprunt de déception.

Sa mère ne serait pas là. Elle avait gardé l'espoir que sa douce maman à la violette parviendrait à arriver à temps, mais avec cette nouvelle information, c'était fini.
Cela faisait si longtemps qu'elle n'avait pas été dans les bras maternels. Même si la blonde aimait affirmer haut et fort qu'elle n'était plus une enfant mais une femme, elle n'en avait pas moins envie d'être avec sa mère, et plus que tout à cet instant.

Toutefois, ce que venais de lui dire Typhanie donnait tout de même une nouvelle lueur d'espoir. Si elle disait ça, c'est qu'elle avait vu sa mère récemment, et donc qu'elle même pourrait la retrouver rapidement après la cérémonie !

Le regard triste prit alors une teinte plus gaie tandis qu'elle fixait sa marraine, ainsi qu'Argawaen qui était près d'elles


Je suis sûre que ce n'est pas sa faute, car elle voulait vraiment venir, elle me l'avait dit. Je pourrais jamais lui en vouloir de quoi que ce soit, et puis je lui raconterai tout dans le moindre détail dès que j'irai la retrouver !

Messire Argawaen, ravie de vous voir ! Merci d'être venu, cela me touche beaucoup

_________________
Asarine
[Encore à l'auberge...ou comment faire apparaitre Balo...]


Ennuyée, épuisée, fatiguée, oui c'est la même chose ou presque, énervée, tendue... C’était plus ou moins l’état d'esprit d'Asa depuis le début de cette journée...

Des heures qu'elle tournait dans sa chambre, essayant maintes tenues, soupirant d’énervement en tentant de tenir tête à sa chevelure furibonde du jour ...

Il y avait des jours où il valait mieux rester au lit, et malheureusement pour elle c'était un de ces jours là, aucune des tenues qu'elle avait essayé ne lui convenait parfaitement... ses cheveux faisaient la sourde oreille a ses coups de brosses, bref, rien ne se passait comme il faudrait... Et pour couronner le tout, on frappa à sa porte...

Un grognement très féminin plus tard, après avoir reconnu la voix de son Bali, c'est une Asa en chemise, les cheveux en bataille qui alla ouvrir la porte...

Elle fit la moue en voyant le visage de son fiancé se décomposer en l'apercevant...

Tout ce qu'elle entendit ce fut un grognement d'abord, puis un très enervé...



M'enfin Asa....Qu'est ce que tu fait...Tu n'es pas prête ?

Pas prête, pas prête...bien sûr que si qu'elle était prête...enfin presque, pensa-t-elle... Il était temps d'user de ses fameux charmes dont il lui avait parler, histoire de ne pas envenimer les choses et de ne pas l’énerver plus qu'il ne le fallait...

Si si mon amour...je suis presque prête encore quelques minutes...tiens pendant que tu es là, pourrai-tu m'aider s'il-te-plait ?

Et voilà, c'était dit, en papillonant des azurs en plus, il ne pourrait pas lui en vouloir comme ça...

Cela fait, elle lui fit son plus beau sourire avant de se grouiller de prendre la première robe qui lui tomba sous la main et de l'enfiler. Elle se mit dos a lui pour qu'il l'aide a la refermer et entama de relever ses cheveux abandonnant l'idée de les demmeler, ca irait plus vite...

Quelques minutes plus tard, elle était prête, pas exactement comme elle l'avait souhaité, mais prête, elle prit son bras et ils se dirigèrent enfin vers la sortie...


[Sur le chemin de Notre-Dame]

Elle l'avait observé presque tout le chemin, il avait semble-t-il retrouver un tant soit peu de calme, arrivés devant le parvis, Asa ne put s’empêcher de s'extasier devant la beauté de l'édifice. Heureusement pour elle, il semblait bien qu'ils ne seraient pas en retard, elle suivit docilement son fiancé à l'intérieur, et salua les présents discrètement, comme à son habitude...enfin presque
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