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[RP] Les conséquences de l'engeance

Vitorria_eva
Maman s'était interposée entre le vilain méchant pas beau monsieur et nous avait repoussé vers nounou pour qu'elle nous garde .
Vit voulait voir ce qu'il allait ce passer mais de la chambre elle entendit que des hurlement et la colère de son papa .Chose fort rare chez lui car son papa était toujours très très calme .
Échappant un instant à la nounou elle se risqua d'aller voir ce qui ce passait . Ce que Vitoria vue elle n'en cru pas ses yeux .Son papa si doux et calme avait écraser son point sur la joue du vilain méchant pas beau monsieur qui avait une jolie marque rouge sur la joue maintenant .Papa aurait du faire de l'autre coté aussi cela lui aurait bien été pensa t elle .Mais la nounou la reccupéra vite et les fit descendre dans le jardin .
Vitoria devait raconter à Emeris que leur papa était très fort et avait gagné contre le méchant .

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--Sara_ela
Plus tôt dans la matinée Sarah était partie avec sa maîtresse alors que la fraîcheur de la nuit se faisait encore sentir voir le maître vendangeur de Chignin .
Encore un peu de temps avec ce soleil et cette chaleur écrasante et le raisin serait à maturité et les vendanges commenceront . La Baronne une fois mise au courant sourit à l'homme le remercia et laissa Sarah voir les derniers détails seule .Sarah se fit pas prier le maître vendangeur lui plaisait beaucoup et depuis quelque temps lui faisait une discrète cour.
Elle n'avait encore rien dit à sa maîtresse mais celle ci finira bien par l'apprendre .
Sarah connaissait la Baronne par coeur même si Sarah était un peu plus âgée que la Baronne elles s'entendait bien et la Jeune Jehanne avait un don pour deviner certaine choses chez les autres mais avant de rencontré son époux elle s'était parfois trompé .Sarah rêvassait tandis que le jeune homme la regardait souriant attendant qu'elle sorte de sa rêverie .
Les deux jeunes gens parlèrent un bon moment et Sarah du prendre congé à regret mais la Baronne devait surement être rentrée de sa promenade enfin sa galopade et avait du rejoindre sa famille .

Sarah aider par Césario monta sur son cheval offert par sa maitresse et prit la direction du castel de chignin .

Arrivée au grilles un coche sortit .Visite matinale .Bizarre .
Sarah qui était de Savoie ne reconnu pas les armoiries sur le carrosse mais vit l'homme à l'intérieur .
Il lui donna la chair de poule quand il croisa son regard .Et cette grimace de dégoût sur le visage améliorait pas son faciès.
Qui était cet homme ? Pour Sarah elle ressentit tout au fond d'elle même qu'il était une source d'ennui et pas une petite ,elle en mettait sa main à couper mais cette visite présageait rien de bon .

Sarah rentra rapidement voir ce qui s'était passé .Elle aperçut les enfants jouer avec leur nounou .Et comme a son habitude le Baron sous son arbre mais pas de Baronne .Inquiète Sarah sauta de son cheval et monta les marches du perron en l’appelant.
Jehanne_du_genevois


Hébété ? Ahurie ? Eberluée ? Emerveillée ? Etonnée ? Non tout simplement Fière

Ce qui venait de se passer me laissais sans voix ...
Jamais encore je n'avais vu mon époux se mettre dans un tel état ...
Frapper son père ,sa propre peur !
Enfin il avait surmonté ses vieux démons surnoms qui allait drôlement bien au paternel .

Franchement cet homme n'avait rien pour plaire et je pouvais comprendre maintenant pourquoi Nerval n'entretenait aucune relation avec ce père qui ressemblait plus à un ours et la encore j'insultais les ours rien qu'en pensant à cela .En réalité aucun mot pouvait définir cet abject personne .

Le temps de me remettre de la surprise mon époux s'approchait et comme si il osait faire un geste s'excusa de tout cela en prenant pretexte que tout estait de ça faute ................

C'estait la meilleure de l'année celle là !
Sa faute d'avoir un père qui se prenait pour aristote voir mesme mieux que lui .
Ah non !
Pas question que ce père qui ne méritait mesme pas qu'on le nomme ainsi replonge dans le noir mon cher et tendre époux .
La colère m'envahie ....
Au lieu de lui parler j'aurais mieux fait de l'embrocher comme un porc et la aussi j'insultais encore un animal à le comparer avec cet espèce de ................. .

Que dire ?
Que faire ?
Je ne savais si je devais aller lui parler de suite ou attendre que l'orage noir et chargé d'éclair passe .
Je descendit rapidement pour essayer de le rattraper bien que je me doutais de l'endroit ou il allait .
Sous son arbre ...
Mais celui ci serait il calmer la fureur qui l'habitait actuellement .Et c'est en courant que je dévalait les escaliers ,courant dans le hall pour me retrouver ..............

Les quatre fers en l'air en bas des escaliers du perron ayant heurter ????????????
Tout estait flou quand un visage se pencha sur moi en criant "Baronne ???? Ne bouger pas je fais venir un médicastre ......... "

Sarah je l'avais heurter et j'avais dévalé les escaliers plus vite que prévue .
Outch j'allais avoir pas mal de bleu mais il y avait plus urgent .


Aie ! Non Sarah pas besoin de médicastre je vais bien ...Aie ...Juste quelques contusions .
Pas le temps ...
Dois retrouver Nerval .


Et hop je repartit en courant enfin plutôt en boitillant vers l'arbre laissant une Sarah complément déconcerté .

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Nerval
Loin de tout, loin du monde, de son monde, l’intrusion de son géniteur le ramenait tellement d’années en arrière. Le ciel noir venait de couvrir sa vie d’un coup sans prévenir. Il avait réussi à fuir cet homme aussi hautain qu’abjecte depuis tellement d’année. Et il débarquait la, sans l’écouter comme avant, en voulant changer sa vie, lui souhaitait du malheur et en insultant sa famille. Que pouvait-il lui arriver de pire.

Les nuages cachaient les étoiles de son ciel, aucune lueur de son astre n’arrivait à les transpercer. Et si… tout était terminé. Il n’en n’était pas responsable mais bel et bien coupable de l’attitude de son paternel. Il avait réussi tant bien que mal à protéger sa famille même si son poing le faisait souffrir ce n’était rien en comparaison de la blessure de son âme qui s’infectait de secondes en secondes. Que pouvait-il faire maintenant? Peut-être… partir. Partir pour les protéger, s’il n’était plus là son père n’aurait plus de raison de venir importuner son épouse et ses enfants.

Il restait dans ses sombres pensées pensant déjà à la seule chose qui lui restait à faire maintenant. Il n’avait su mettre en sécurité sa famille, il payerait pour ça et donnerait tout pour que plus rien de ce genre n’arrive. Même Vitoria qui arrivait dans le jardin ne le fit pas sortir de ses sombres songes, ni même Sarah qui arrivait à dos de sale bête.

Seul un léger cri de surprise mêlé à de la douleur le fit se relever comme un fou. La voix de son épouse. Son regard se posa derechef sur la grille, son père était-il revenu afin de supplicier son épouse. Non. Une seconde plus tard, il la vit. Sarah à ses côtés. Toutes ses mornes pensées s’envolèrent et il courra jusqu’à ses côtés alors qu’elle le réclamait. Elle était tombé… la maladresse était d’ordinaire son apanage. Elle semblait désorientée, surement la honte d’avoir un mari comme lui.

Que se passait-il donc, Nerval avait certes mit du temps à mettre son poing dans la figure de son pére mais le combat était plutôt la spécialité de son épouse qui n’hésitait jamais à devenir tornade lorsqu’on touchait à sa famille. Pourtant celui qui se prendrait Poète avait réagi avant elle. Et maintenant elle était à terre après avoir glissé surement en courant ce qui était plutôt la spécialité de Nerval qui avait réussi le même exploit lors de l’accouchement de son épouse ce qui lui avait valu une arcade surciliaire explosée. Et elle le réclamait avant de sautiller dans un ultime effort vers lui, il se devait cette fois de se rattraper et d’agir comme il se devait, peut être que cela compenserait la faiblesse qui avait été sienne lors de l’incident qui venait de se produire.

Il s’approcha rapidement d’elle puis d’un geste très, il posa la main sur son bras pour l’aider à ne pas tomber de nouveau. Elle semblait s’être fait mal correctement mais elle ne se plaignait jamais. C’était son tempérament elle avançait toujours quoiqu’il puisse lui arriver. Il était très calme et il parlait d’un ton assuré. Comportement loin de son habitude mais Jehanne semblait perturbée, il ne devait pas accentuer cela en étant agitée ou pas sur de lui.


Jehanne, je suis là ne vous inquiétez pas. N’avez-vous point trop mal ? Vous vouliez me voir mon épouse ? Venez-vous assoir ici je vais regarder ça.

Il refusait de laisser sentir qu’il appréhendait la réponse mais il avait toujours eu une confiance aveugle en lui et espérait que bien qu’elle soit déçue de lui elle réussirait à lui pardonner de tout cela. Ni une ni deux et sans la prévenir, il passa son second bras sous elle pour la porter avec délicatesse et la déposa à terre sous son arbre.

Ou avez-vous mal ? Nous allons réparer cela sinon vous risquez d’avoir du mal à monter sur vos chevaux.
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Jehanne_du_genevois


Quand la malchance passe de l'un à l'autre ...............

Bon après une chute dans les escaliers du perron me voila partant gaiement en boitillant quand un bruit me fait relever la tête .

Mon époux venait à ma rencontre .
Un sourire s'étira sur mes lèvres .
J'avais mal mais aucune importance j'estais fière de lui ,de lui qui avait osez combattre ses peurs ,son leon le caméléon enfin son démon son père quoi ....
Bref ...

Il me parla d'un ton très calme .Il voulait vérifier si j' allais bien ?
Bizarre ...
D'habitude il s'affolait pour un rien et la il prenait mon rosle et moi me prit les pieds dans un arc d'enfant trainant par là entrainant presque mon époux dans ma semi chute .M’effondre encore !
Heureusement il me tenait .

Mon dieu ..........................
Le fait d'avoir frappé son père au lieu que je l'embroche avait fait que les rosles estaient inversés .
J'estais lui et lui estait moi ................
Au secours ....................
J'allais estre nulle aux armes ,à cheval ?
Non impossible !
Tout vole en éclat
Mes sens et puis mon choix
Pas d’existence
Mais vivre ma transparence.............. NON !

Tout allait rentrer dans l'ordre .

Il continuait a vouloir vérifier si j'avais mal .


Nerval .........
Tout va bien je vous assure juste trop pressée de vous rejoindre pour vous félicité d'avoir agit ainsi face a léon le caméléon .
Si vous aviez rien fait je crois que je l'aurais embrocher et ceci sous les yeux de nos enfants ... Pas très reluisant de tuer un homme devant nos joyaux .
Mais vous .........
Vous avez su lui répondre et lui faire comprendre d'un seul coup de poing que nostre famille estait nostre et qu'il n'avait aucun droit sur elle .
Je suis fière de vous .
Vous avez vaincu vostre peur de lui .
Jusqu’ici tout va
Jusqu’ici tout va bien…Mon aimé



Plus loin je regardais les enfants jouer tranquillement la nounou les surveillant.
L'insouciance des enfants .
Quelle joie !



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Nerval
Son épouse totalement transformée en… lui-même. Il faut l’avouer, Jehanne tombant, s’entremêlant sur la seule chose posée par terre sur une surface de dix mille mètre carré, ce n’était pas vraiment Jehanne mais plutôt Nerval. Etrange de se voir dans une glace. Il était agenouillé vers le pied de son épouse pour arriver à évaluer les dégâts occasionnés par sa chute.

Dès qu'j'te vois, je sais que c'est toi… enfin moi du coup
Oui je sais que c'est toi, oui je sais que c'est toi… enfin moi il me semble
Dès que tu me vois, tu sais que c'est moi… enfin toi du coup
Oui tu sais que c'est moi, oui tu sais que c'est moi… enfin toi il me semble*


Retour à la réalité inversée. Il restait concentré sur sa cheville, vérifiant si elle ne gonflait pas et cela sans la moindre once d’affolement. Il restait serein. Il baissait bien le regard histoire de n’avoir pas à trouver celui de son épouse. Il ne fallait pas, il ne voulait pas voir sa colère, bien qu’étrange puisqu’elle était venu jusqu’à lui, dans ses yeux.

Il laissait la main sur sa cheville alors que la voix de son épouse retentissait. Il grimaçait intérieurement il se voyait déjà devoir s’excuser platement ou alors expliquant que pour le bien de tout le monde il ferait mieux de partir. Mais les paroles de Jehanne étaient tout autre.

Léon le caméléon… félicité… fière… il releva lentement le regard vers elle, totalement surpris par les mots qu’elle venait de lui adresser. Elle semblait réellement fière, ce n’était nullement de l’ironie qu’elle faisait là. Finalement, il n’avait pas si mal fait que ça et oubliant totalement la douleur de son poing et celle de son âme, le baume venait d’être appliqué avec une douceur et une sincérité innommable par son épouse.
Il tenta de parler mais ne fit que bredouiller un peu confus quelques mots.


Merci mon aimée. Vous me touchez.

Le sourire avait fait place à la douleur sur son visage bien que la colère du comportement de son père était toujours là. Mais il s’était conduit comme il le fallait et la honte d’avoir eu recours à la violence physique s’était totalement évanouie en un instant. Elle avait failli embrocher son géniteur, lui l’avait frappé au visage. Vrai que le sang n’avait pas giclé malgré le petit hématome qui ornait le poing du Sieur Poète.

Il se pencha vers elle et posa le poing à terre au moment où il venait donner un baiser à son épouse. Il grimaça fortement en lançant un petit bruit de douleur ce qui l’empêcha de sceller ses lèvres sur les siennes. Il faillit bien en tomber sur le côté. Il venait de s’appuyer sur son poing salvateur. Terrible erreur de sa part.



*Tiré avec quelques modification de Vanessa Paradis "dés que je te vois"
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Vitorria_eva
La gamine courut voir son frère. Toute amusée de la scène enfin des scènes qui venaient de se passer. Son frère semblait regarder les fourmis, qu’elle écrasa allégrèment se moquant que lui ça pouvait l’amuser. Il semblait ailleurs. Pfff, y avait pas idée d’avoir un frère pareil. Elle regarda quand même que personne ne l’écoutait.

Dis, dis t’as vu. Papa est crop fort l’a fait bobo au vieux tout mou. Pif, paf elle mima le geste, fière de son père même si elle avait pas tout compris de ce qui venait de se passer.Quant à son frère, il la regarda un peu éberlué. Pis môman l’est tombée dans l’escalier elle se marrait en disant ça.

Elle a fait des pihouettes et pouf. Sont bêtes ces gands, ils savent pas quoi faie pou’ s’amuser . Tu sais qui c’est le tout vieux ? l’est pas zentil, il a fassé pôpa et môman. Et papa lui a fait paf. Elle revoyait la scène dans ses yeux de jeune fille, toujours amusée, elle s’était surtout amusée quand sa mère avait fait des galipettes en se cassant la figure. Elle qui était pourtant si adroite à cheval, à l’épée, elle avait fait poum comme son père avait l’habitude. Étaient-ils malades?. Papa avait prit la place de maman et maman la place de papa. Voilà une idée qui l’amusait encore plus, donc elle avait un papa tout balèze et une maman un peu gourde, comme ca devait être dans la normale, enfin comme on lui lisait le soir.

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--Roderick_de_vandimion



Sous le soleil occitan

Le Celt, exceptionnellement, était en son domaine a discuter avec les vignerons locaux qui bientôt allaient lui préparer ce nectar rouge déjà connu et apprécié des grecs qui le faisaient rapporter par pleines amphores.
Son domaine situé a proximité de Pézenas était d’un abord tranquille et d’un rapport axé surtout sur la vigne.
Et en ce moment cette vigne était l’objet de toutes les attentions, que le mildiou se déclare ou que les grains soient recouverts de pourriture grise et c'en serait fini du dit rapport.

Maudits paysans...
Ils étaient plus retors que des maquignons.


le Celt était remonté sur son palefroi, un superbe cheval andalou, étalon têtu et ayant une sainte horreur des trous et des flaques d’eau qu’il franchissait d’un bond sans prévenir son cavalier.
Un couple de ces chevaux lui avaient été offerts par un seigneur castillan lors d’un récent voyage et Roderick avait fermement l’intention d’en faire l'élevage.
La monture était un peu légère pour porter un cavalier en arme mais les gentilshommes allaient s’arracher un cheval d’aspect aussi fringuant et a la beauté si attirante.

Il enleva sa monture en direction du castel .
Quelle ne fut pas sa surprise en entrant dans la cour de voir un attelage portant armoiries que Roderick ne s’attendait pas a revoir de si tôt.
Il sauta a bas de sa monture qui fut immédiatement prise en charge par un palefrenier.

Scapin, son valet, accouru dés qu’il le vit.


Messire Roderick, une dame se présentant comme votre mère vient d’arriver.
je l’ai faite patienter dans le salon, lui expliquant que vous étiez occupé sur vos terres.

Vous avez bien fait Scapin.

Roderick grimpa quatre a quatre l’escalier menant au salon ou il découvrit la dame Farnese of Stauffen confortablement installée sur une chaise a bras, un hanap de muscat que Roderick faisait venir du village de Mireval, non loin de Frontignan et mordant a belle dents dans une tielle sétoise.

Souriant...

Heureux de vous revoir mère...
C’est une agréable surprise...


Et quelques mois plus tard, les vendanges terminées, Dame Farnese et le seigneur Roderick de Vandimion deuxième du nom, se dirigeaient vers le domaine de Chignin en Savoie, suivis par une petite troupe de cavaliers aux armes d’Aumes.

A quelques lieues de la propriété ils croisèrent une voiture dont le cocher menait rapidement ses chevaux.
Roderick machinalement ralentit son shire et regarda les armes gravées sur la portière.

Père...Ou du moins sa voiture...Que pouvait-il donc faire ici...

Passant a autre chose il repassa au trot pour rejoindre la voiture de sa mère.
Au loin se profilaient les murailles de Chignin.


--Dame_de_vandimion


L'ennuie la pesait énormément depuis quelques temps. Même ses nombreux amants n'avaient réussi à lui enlever cette sensations qu'elle n'aimait pas. Il lui fallait de la nouveauté, de la chaire fraîche pour s'amuser. La Dame de Vandimion hésita un moment, Nerval ou Roderick. Elle finit par opter pour son aîné, certes il était ennuyant comme un militaire mais il n'était pas comme son Père fort heureusement. Et puis il habitait le sud, là bas ils ont le sang chaud alors... elle irait voir Nerval en revenant.

Le temps de remplir une voiture de vêtements, d'en acheminer une seconde pour elle toute seule, elle était partie en direction des terres de Roderick deuxième du nom laissant loin celui qu'elle avait été obligé d'épouser et qui ne satisfaisait jamais ses devoirs conjugaux. Hormis le pouvoir et l'argent rien d'autre ne l’intéressait. En plus il était d'humeur exécrable et attendait avec impatience un nouveau fils dans la famille pour elle ne savait quelle raison.

Le voyage fut interminable, à peine un valeureux guerrier qu'elle croisa lors d'une soirée et qui n'arriva pas à lui enlever le gout de la curiosité des habitants du sud.

Arrivant enfin dans les terres de son fils, elle ne se gêna pas pour regarder avec insistance le postérieur du valet qui venait de l'accueillir et qui partait chercher son fils. Elle attendit ici que Roderick veuille bien faire son apparition. Un sourire, suivit d'une légère accolade.


Sachez mon cher fils que même si vous êtes le favori de votre Père, je vous apprécie beaucoup. J'ai donc décidé de venir vous voir afin de passer du temps avec vous et apprendre à connaitre un peu mieux les hommes du sud.

Son arrivée tombait bien, c'était le début des vendanges. Les hommes torses nues qui travaillaient étaient un délice. Elle passait régulièrement dans les vignes afin de choisir une proie et liait connaissance avec les nobles du coin pour que ses soirées soient... disons... festives.

Malgré le charme des tempérament de vrais hommes des gens du coin, il lui fallait repartir maintenant. Elle avait réussi à se lier un peu plus à son fils bien que celui ci s’intéressait bien plus à la guerre qu'aux plaisirs de la vie. Il était bien le fils de son Père même si il n'avait pas pris sa méchanceté et sa fausseté. IL était temps d'aller voir maintenant son fils, celui qu'elle seule avait éduqué pour en faire un homme sensible et cultivé. Elle s'était par contre totalement trompée sur le fait qu'elle l'avait également éduqué pour devenir un parfait libertin. Une femme de caractère avait réussi à le rendre accroc, elle ne l'avait pas accepté tout de suite. Mais après l'avoir un peu plus connu, elle n'avait certes pas compris la décision de son fils de se consacrer qu'a une seule femme mais elle l'avait accepté. Elle s'était même surprise à regarder ses formes mais même si elle assumait son cotés libertine, jamais elle ne toucherait à cette jolie femme.

Roderick s'était proposé pour l’accompagner. Ils firent le voyage ensemble. Elle avait évité la discussion du libertinage depuis plusieurs mois avec lui, étant le fils de son Père il ne pouvait que réfuter cette façon de vivre. Il ne lui avait jamais rien dit depuis qu'elle était chez lui pourtant il avait du remarquer les hommes qui défilaient dans sa chambre. La discussion allait bon train et elle tentait de s’intéresser aux choses qui l’intéressait lui.

Arrivant à l'approche de Chignin son regard fut attiré par le coche qui les croisait. Elle qui s'imaginait déjà demander l'adresse d'un homme qui lui plairait à Nerval, mais son imagination fut coupé lorsqu'elle reconnu les armes de la voiture.

Son tendre mari semblait repartir de Chignin. Que faisait-il là bas? Roderick lui posa la même question. Elle haussa les épaules.


Il a du surement aller embêter ton frère comme lorsque vous étiez plus jeune. Il s'est toujours amusé à le torturer. Toute façon il la renié. Je ne sais pas ce qu'il pouvait faire à Chignin et à la limite peu importe.

Sans un mot de plus il arrivèrent aux grilles de Chignin et se présentèrent. Rapidement ils furent introduit et Farnese fut un peu déçu de la tenue du garde. Ce ne sera pas celui ci...

La déception ne s’arrêta pas la, personne n'était la pour lui donner la main et l'aider à descendre du coche... soit... tout ceci fut bien vite oublié quand il vit son fils avec son épouse tout prés d'eux. Elle s'avança d'un pas rapide.


Haaaa mon filssss, ma belle filleeeee. Que je suis heureuse de vous revoir. Regardez qui j'ai emmené avec moi.

D'un geste elle montra Roderick.

Ben Baronne que vous arrive-t-il? Vous faites tous les deux une tête d'enterrement. Soyez heureux et vivez sans limite votre vie. D'ailleurs Nerval il faudra que je te parle afin que tu me trouves... tu sais quoi.

A peine un coup d'oeil aux enfants, le cadet de ses soucis. Elle avait ses deux fils avec elle et comptait bien profiter de la Savoie pour faire une connaissance plus qu'approfondie avec les nobles qui le méritent.
Jehanne_du_genevois


Quand la tempête se calme .......................

Les esprits se calmaient peu à peu .
Tout revenait à la normal .Un sourire quand mon cher et tendre époux retrouva sa maladresse en voulant m'embrasser .
Soulagée de voir que le court des choses reprenait doucement sa place je me relevait pour prouver à mon époux que tout allait bien .Juste des bleus dès le lendemain mais rien de cassé.

Par contre sa main il fallait vérifier .
Ce que j'allais faire au moment ou un page arriva et avant qu'il n'ouvre la bouche et avant mesme que je me retourne complètement pour voir ce qu'il voulait j'entendis
"Haaaa mon filssss, ma belle filleeeee. Que je suis heureuse de vous revoir. Regardez qui j'ai emmené avec moi."

Mais ........................
Ils s'estaient tous donné le mot dans la famille .
Je me retournais méfiante .
La mère de Nerval se tenait là devant nous ainsi que Roderick le frère de Nerval retrouvé un hiver froid et glacial dont on avait l'habitude en Savoie .


Que venaient ils faire ?
Estaient ils de mèche avec leon le caméléon ?
Je devais faire une de ces teste car la mère de Nerval me demanda ce qui m'arrivais .


"Ben Baronne que vous arrive-t-il? Vous faites tous les deux une tête d'enterrement. Soyez heureux et vivez sans limite votre vie. D'ailleurs Nerval il faudra que je te parle afin que tu me trouves... tu sais quoi. "

La fin de la phrase je n'y pensais mesme pas .
Pas de cela chez moi elle irait à l'auberge du village de chignin pour ca .
Hum..............
La colère passée revenait et au grand galop !
Resté aimable ?
Non impossible !!!!!!!!!!!!!!!!
On ne pouvait impunément venir en nostre castel sans cesse pour me voler mes enfants ma vie et la détruire .
La voix fut glaciale .

Dame ,Seigneur Roderick ,
Je ne sais si je dois me réjouir de vostre visite ou vous faire escorter en dehors de mon domaine comme vostre époux Dame qui a eu l'audace de venir chercher son petit fils comme si celui ci lui estait un du .
Alors si vous estes là pour nous convaincre que sa vie sera meilleur avec léon le caméléon passez vostre chemin si ce n'est que visite amicale mais bizarrement coïncident avec le bref passage de vostre mari,vous serez accueillit en amis.


_________________
--Dame_de_vandimion



La belle fille semblait énervée pour une raison inconnue. Décidément son fils avait vraiment bon gout. Elle pouvait être fière de l’éducation qu’elle lui avait donnée même si à un endroit la vision de son fils avait déviée de la sienne. La Dame de Vandimion se doutait que le fait que le coche de son beta de mari croisé dans le coin ne soit à l’origine de la belle colère de sa belle fille.

Leger sourire lorsqu’elle entendit le pourquoi du comment de cette voix glaciale qui avait un tout autre effet que celui désiré. Il était rare qu’on lui parle ainsi. Mais tout de même, comment pouvait-elle croire qu’elle en avait quoique ce soit à faire d’enfants… ils auraient été plus vieux et en capacité d’être guidés dans la voie du plaisir pourquoi pas, mais la strictement aucun intérêt pour elle.


Ma chère belle fille, vous connaissez bien ou se situe mes centres d’intérêts ainsi que ma relation avec celui qui a le titre de « mari ». Cela est pure coïncidence, et je suis rassurée de ne pas le voir cela aurait eu comme conséquence de m’enlever toute envie de jouir de la vie ce qui n’est pas peu dire.

Elle posa la main sur l’épaule de sa belle fille en souriant.

Quand à vos enfants je vous les laisse volontiers vous êtes une femme de caractère et je n’aimerais pas être la cible de vos foudres. Vous éduquez fort bien vos enfants j'en suis absolument certaine. Dans quelques années si vous le voulez je les initierais mais uniquement sur votre demande n’ayez crainte ma chère belle fille.

A peine un regard envers les enfants qui jouaient pas bien loin, vraiment elle n’avait plus l’âge pour ce genre de choses. Les chaines ce n’étaient plus pour elle. Elle se préférait libre de tout faire.

Elle finit par lancer un regard vers son fils Roderick, puis Nerval. Elle savait que sa belle-fille n’allait surement pas lui présenter des hommes mais pourquoi pas son fils? Elle pourrait ainsi comparer les hommes du sud et ceux de la montagne.

En tout cas je suis heureuseeeeeeee de vous voir tous les deux. J’espère que vous accepterez de nous accueillir. Une réunion de famille quoi de mieux pour une fin d’été?

La Dame de Vandimion était toute guillerette, peu importe son mari, peu importe les enfants, elle était d'excellente humeur et prête à croquer ce qui allait lui passer sous le nez.
Jehanne_du_genevois


Quelle Famille .................................

Mon dieu autant le père estait odieux que la mère estait plus que volatile .Rien n'avait donc d'importance pour elle mise à par son plaisir ?
Pffffffffffffffff ................
Commençais par me courir sur le haricot le père et la mère ,une belle brochette je pourrais faire .La viande avarié et la légume ...........

Je me mordais la lèvre afin de retenir des paroles pouvant estre regrettable .Et puis il y avait Roderick pour qui j'avais un grand respect et je ne voualit point l'indisposé en laissant éclater ma colère .
Et Nerval que penserait il ?
Lui qui adorait sa mère !

Enfin leur présence estait déjà pas du au père cela me soulageais un peu quand mesme .
Mais ses dernières paroles ........ Sur sa contributions à l'éducations des enfants ......... "Arf Jeh retient ta langue ma belle "

Réunion de Famille ........... Mouep .............Bref ...........

J'affichais alors un large sourire sur mon visage et d'un ton calme et serrein je répondis à ma belle mère non sans saluer mon beau frère .


Roderick je suis ravie de vous accueillir à Chignin et je suis sur que vostre filleul sera très heureux de vous voir .

Dame de Vandimion sauf vostre respect vous ne transformerez point mon castel en simple auberge de passe pour cela rendez vous au village ou je donnerais des ordres pour que vous soyez au mieux .
Icelieu j'attend de vous que vous vous comportiez comme une grand mère digne de ce nom .
Une grand mère qui gâtera ses petits enfants qui les chouchoutera et qui pourquoi pas au moment d'aller au lit leur lira une histoire pour enfants il en va de soit .
Si cela vous gesne je ne vous retient point !
J'attend de vous une image d'une GRAND MÈRE exemplaire !
Suis bien clair ?



Et voila tout avait été dit mais j'avais su rester zen et avec le sourire en plus .
Elle trouvait cela drôle je pouvais estre son pire cauchemar ....


Sur ce je vous prit de m’excusez j'ai des ordres pour le repas et pour faire préparer vos chambres à donner .

Je partis rapidement vers le perron mais au dernier moment je me décida pour aller faire un tour aux écuries et faire une balade avec Gosth dans la forêt histoire de me défouler un peu et d'hurler ma colère librement .


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--Dame_de_vandimion



La Dame de Vandimion lui rendait son sourire. Avec ses paroles elle avait réussi à la calmer bien qu’en colère elle dégageait ce petit quelque chose qu’elle aimait particulièrement. Le visage légèrement sur le côté elle écoutait la Baronne lui répondre. Jehanne lui parlait d’un endroit de plaisir et de luxure et ses pensées s’envolèrent rapidement alors que sa belle-fille continuait de parler. Elle rate ainsi la moitié des phrases et redescendit sur terre que lorsque sa belle-fille appuya sur le mot « grand-mère exemplaire ».

Un peu surprise par tout cela, elle aurait dû écouter, elle ne put que confirmer les dires de Jehanne.


Bien entendu il en va de soit ma chère Belle Fille je serais une Grand-Mère exemplaire n’ayez crainte.

Une grand-mère exemplaire, ben elle venait de le prouver en proposant ses services sur ce qu’elle connaissait le mieux. Effectivement vu l’énervement de sa belle fille qui n’avait en fait pas baissé bien que le ton de sa voix était douce, elle n’aurait pas dû lui proposer cela. Seul Nerval aurait pu comprendre que cette proposition avait été faite avec beaucoup de gentillesse. Elle le nota dans sa tête pour le lui ressortir à l’occasion.

Par contre elle avait bien retenu qu’il y avait une auberge des délices à Chignin elle allait demander à sa belle-fille mais elle était déjà partie préparer les chambres. Dommage elle lui avait proposé un joli programme. D’ailleurs, les chambres, à quoi bon les préparer si elle ne pouvait rien y faire d’autre que dormir? Puis être une vrai grand-mère, elle l’avait prouvé et cela n’avait pas provoqué chez Jehanne des remerciements, que fallait-il faire d’autres pour le devenir?

Elle se tourna vers son fils Roderick et lui sourit.


J’adore cette demeure et ma belle-fille à un caractère que j’adore. Vivement qu’elle revienne qu’on puisse discuter un peu plus.

Puis se retournant vers Nerval qui faisait la carpe depuis un moment.

Tu me l’avais caché qu’il y avait une auberge des délices à Chignin, je suis extrêmement déçue de ta part. Tu sais bien que je suis friande des spécialité locales. Heureusement que ton épouse est la pour s'occuper de mon bien être.
Jehanne_du_genevois


Entourée de fous ............. Au secours !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Dans ma foulée pour rejoindre les écuries et partir galoper en forest je croisais Sarah et en quelques mots je lui expliquais la situation .
Elle me remis une missive .Je lu le contenu et un frisson d'horreur me parcouru .Comment pouvait on en arriver là entre amis ,parrain et filleul ....
Tout allait de mal en pis en ce moment .
J'avais vraiment besoin d'aller galoper et me perdre .
Un ami ...Blessé a mort ...
La famille ici et la menace sur Emeris .
J'aurais aimer me rendre auprès de lui prendre de ses nouvelles le voir.

Gosth estait la dans son box ,je ne pris point le temps de le sceller ,je partis ainsi au galop en colère ,triste et folle de rage contre tous ces gens mauvais qui aimaient pourrir la vie des gens bien et heureux .

Je galopais contre la brise fraîche des sous bois en récitant quelques mots pour mon ami .

Ne te détourne pas au loin
Ne consent pas à la peine
N'essaie pas de te cacher
Pourtant ils hurlent ton nom
Ne ferme pas les yeux
Dieu sais quesqu'y git derrière eux
N'éteint pas la lumière
Ne dort jamais, ne meurt jamais.
Ne leur fait pas ce plaisir jamais!


ASSASSINS .............MENTEURS .................... TRAITRES ...........

Je galopais encore et toujours la rage au ventre les larmes baignant mes joues ,pleurant un ami et cette satané famille qui voulait m' arracher une partie de mes entrailles .
Jamais en si peu de temps autant de mauvaises nouvelles s'estaient abattus sur moi .
Des larmes ils y a longtemps que j'en avait eu .

Je me retrouvais au bord du petit ruisseau et la Gosth de lui mesme s'arresta il savait qu'icelieu je me calmerais.
Je descendis doucement et m'agenouilla près du ruisseau ou une eau fraîche et claire courrait .Je prit de l'eau dans mes main et en passa sur mon visage .
Allongée dans l'herbe je me calmais doucement .
Il estait temps de rentrer .







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Nerval
Enfin un sourire sur le visage de son épouse, ce sourire qu’il aimait tant que rien au monde ne pouvait remplacer. Elle ne lui en voulait malgré le fait que la maladresse ait reprit sa place dans son corps. Il se tenait le poing qui le faisait souffrir lorsqu’un coche fit son apparition dans la demeure. Le cœur qui rate un battement, était-ce son géniteur qui revenait pour réclamer ce qu’il pensait du? Peu importe il le frapperait encore s’il le fallait quitte à son fracasser le poing.

Un soulagement, non ce n’était point lui, ce n’était pas ses armes sur le véhicule. Il allait se lever lorsqu’il vit deux personnes qu’il ne s’attendait absolument pas à voir en ces lieux, surtout sans prévenir. C’était la journée de la famille, mais cette fois il prit cela de la meilleure façon possible, son frère était la ainsi que Sa Mère, sa charmante maman qui lui avait tout appris. Sans elle il aurait surement été tué par son Père dans le landau.

Il était encore sous le coup de la surprise et n’avait pas bougé de sa place sous l’arbre, que Jehanne ainsi que sa Mère se parlait déjà, Roderick un peu en retrait. Sa Mère, toujours décalé par rapport à la réalité, il grimaça en l’écoutant se doutant que Jehanne n’était pas d’humeur à prendre cela à la légère. D’ailleurs l’entrée en matière de son épouse était des plus équivoques, mais non Farnése continuait à être elle-même malheureusement.

Le Sieur Poète s’approcha du petit groupe alors qu’il voyait le sourire de Jehanne. Ce n’était point celui d’y a quelques instants, c’était celui de façade qu’elle utilisait lorsqu’elle était énervée. Il le sentait malgré la voix douce de son épouse. Les paroles qu’elle adressa à sa Mère auraient pu vexer quelqu’un avec les pieds sur terre mais non… Sa Mère dans son petit monde n’y avait pas fait attention. Elle ne semblait pas faire attention que la tornade était à la limite d’exploser la devant elle-même si la Dame de Vandimion n’était pour rien du tout dans l’histoire.

Mais Jehanne venait de faire un immense effort et n’avait pas explosé, Nerval avait tenté de mettre la main sur l’épaule de son épouse mais elle était partie. Il le savait, elle l’avait fait pour ne pas lancer des horreurs au visage de la Dame qui ne pensait qu’avec ses hormones. Elle l’avait fait par respect pour lui également. Par respect également qu’elle disait aller préparer une chambre alors qu’elle devait être prête, Sarah était une véritable aide dans ce domaine.

Mais Jehanne ne saura tromper son époux, même si la destination était la bonne au départ elle bifurqua au dernier moment. Nul besoin de se poser de questions, ils savaient ce qu’il se passait en elle. Et lorsqu’elle était ainsi une seule chose parvenait à la calmer… les sales bêtes… il allait lui emboiter le pas se sentant extrêmement mal à l’aise vis-à-vis de tout cela quand sa Mère s’adressa à lui… il n’avait d’autre choix que de rester ici mais il saurait au premier coup d’œil si son épouse allait mieux ou pas, puis il aurait été incapable de la suivre en galopant.


Mère, excusez-moi, je suis heureux de vous voir mais quelle surprise de vous voir ici même. Roderick heureux de te revoir également cela faisait trop longtemps.

Il baissa les yeux, la situation était des plus délicates. Comprendrait-elle ce qu’il se passait et y accordera-t-elle de l’importance, quand à Roderick, le petit chouchou de son géniteur, comment le prendrait-il lorsqu’il racontera cela. Il avait honte de cette situation mais il fallait qu’il s’exprime. Il avait toujours appris de sa Mère qu’il ne devait jamais retenir une émotion et qu’il pouvait tout lui dire. Mais la… il baissa les yeux et bredouilla avant de lancer enfin des mots.

Mère, veuillez me pardonner mais la situation est telle que je ne pourrais vous emmener là-bas. Père est… venu et a voulu enlever mon fils. Avec Jehanne nous sommes un peu sur les nerfs. Vous savez à quel point il peut être terrible lorsqu’il n’a pas ce qu’il souhaite. Nous avons peur qu’il revienne et prenne de force notre fils.

Il évita soigneusement l’épisode de la violence, elle lui avait rabâché toute sa jeunesse que la violence est l’arme des imbéciles. Et releva la tête en évitant les regards.
Mere, Roderick, allons oublier cet incident et allons dans la roseraie nous y seront au mieux.


Le bras tendu vers sa Mère qui le prit, il interpella avec gentillesse Sarah et lui demanda de faire porter de quoi boire dans la roseraie. Il profita du court chemin pour murmurer à sa Mere.

Mère, s’il vous plait, prenez notre soucis au sérieux et soyez conciliante cette fois ci je vous en conjure, ne mettez pas mon épouse dans l’embarras vous savez qu’elle n’aime pas la liberté qui est la vôtre même si elle la respecte. Nous sommes tous les deux à crans, s’il vous plait, tentez d’être ce que l’on attend d’une grand-mère et ensuite je vous le promets je ferais le nécessaire pour vous. Et si à votre retour vous pouviez parler à Père pour que cela ne se reproduise plus.

Puis à haute voix à l’intention du militaire de frère.

Et vous mon frère, comment allez-vous ?

Arrivant dans la roseraie, il tira une chaise pour la Dame de Vandimion ainsi que pour Roderick puis voyant son épouse revenir il lui tira aimablement la chaise également tout en jaugeant son regard…
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