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[RP] Les conséquences de l'engeance

Emeris
J'étais dans les bras de l'homme qui était le papa de mon papa si j'avais bien tout suivit quand ma mère arriva une peu furieuse .En général elle était dans cet état quand ma peste de soeur avait fait une bêtise .Mais là à peine le temps de penser que je me retrouvais debout à coté de Vitoria derrière maman .
Elle faisait un rempart entre l'homme et nous .Voila que maintenant elle prononçait mots que jamais je l'avait entendu dire .Elle avait l'air vraiment en colère maman.Un coup d'oeil vers mon père ,il avait lui aussi l'air très tendu et mal à l'aise .
Sans doute parce que maman criait sur son papa .

Mais on parlait de moi sans vraiment je puisse comprendre de quoi il s'agissait vraiment .Je me tournais vers ma soeur qui avait l'ai aussi étonnée que moi .Pour une fois j'étais pas le seul à rien comprendre de ce monde d'adulte .
Puis voila que ma soeur fait parler d'elle en traitant l'homme de vilain .
C'est pas joli de parler ainsi .

Le reste de ce qui se passa dans la pièce à jouer je ne le vis pas car la nourrice vient nous chercher pour qu'on aille dans le jardin jouer .

Je hausse les épaules et la suis ,explorer le jardin me convenais .Mon répit fut de courte durée ma soeur vint écraser ce que je regardais avec attention , la nature et en l’occurrence des fourmis travaillant aux récoltes pour l'hiver tout en babillant .

"Dis, dis t’as vu. Papa est crop fort l’a fait bobo au vieux tout mou. "
J'ouvrit grand les yeux .Père n'avait pu faire cela .

Tu mens Vitoia , papa ne fappe jamais pesonne!

Mais pas le temps de dire autre chose elle avait une autre nouvelle "Pis môman l’est tombée dans l’escalier.Elle a fait des pihouettes et pouf. Sont bêtes ces gands, ils savent pas quoi faie pou’ s’amuser . Tu sais qui c’est le tout vieux ? l’est pas zentil, il a fassé pôpa et môman. Et papa lui a fait paf. "

La je ne savais que dire ,pour le coup ma soeur avait raison tout était chamboulé .Je me mis à réfléchir .

Vitoia tu es sur ? Maman tombé ? pas papa ?
_________________
Vitorria_eva
Elle écoutait son frère avec attention, il ne semblait pas la croire, lui aussi il était devenu un méchant. Pfff tous des méchants sauf pôpa et môman bien sur. Elle continuait de piétiner les fourmis de son frère qui restait tout de même son activité favorite. Elle était toute excitée de ce qu'il venait de passer, elle était toujours aussi amusée des scènes qu'elle avait vu. Elle sautillait discrètement donc autant dire que les fourmis souffraient sous ses petons. Pauvre bête ! Elle se mit à froncer des sourcils.

Tu mens Vitoia , papa ne fappe jamais pesonne!

Ben l'a fait, pouf ! Moi pas mentir !!!

Son frère repartit dans ses pensées quelques secondes puis reprit.

Vitoia tu es sur ? Maman tombé ? pas papa ?

oui suis sû'e moman qu'a fait poum ! Popa qu'a fait paf au sieu'. Pis t'es messant, m'en va !

Elle courut ailleurs comprenant que son frère ne voulait la croire pourtant elle avait dit la vérité, elle était peste mais ne mentait pas. Elle avait compris que ca n'était pas bien. Elle retourna vers l'entrée au moins y avait de l'action, elle se cacha derrière un buisson pour qu'elle puisse voir et entendre tout ce qu'il se passait sans qu'elle soit repérée. Mais les fleurs lui chatouillaient le nez, elle éternua...

Atchoum..

_________________
--Grognar


Caché dans un buisson, enveloppé dans une immense cape noire, l'œil mauvais et concentré, Grognar, tripotant l'immonde cicatrice qui divisait son visage en une crevasse rosée, observait la scène.
Lorsque la fillette parti en courant, laissant là l'enfant, si seul et si vulnérable, un sourire prédateur se porta à ses lèvres, déformant un peu plus l'ignoble visage du cocher.

Car oui, il était cocher. Enfin.. En théorie.
C'était les termes du contrat que le vieux Vandimion lui avait "proposé", il y a bien longtemps, épée sous la gorge, fouet à la senestre. Depuis, homme de l'ombre, exécuteur des basses besognes et des tâches sordides du "Maître", faisait les quatre volontés d'un homme salement désagréable, définitivement lunatique, foncièrement mauvais.

Paradoxalement, cela lui convenait. Lui plaisait, même. D'ailleurs, autant dire tout de suite qu'il se repaissait de ses crimes et autres forfaits.
Pourtant, il n'était pas si mauvais que cela, au départ, le bougre. Simplement mal né. Ou du moins, très mal né.
Orphelin puant, mendiant kleptomane, voleur professionnel, kidnappeur, braconnier .. Rien qui ne touche directement à la personne humaine. Mais il avait un jour visé trop haut, et plutôt que de se voir les mains coupées par le Vandimion, il avait préféré lui donner ce qu'il lui restait de scrupules, de conscience, d'honneur et d'humanité, si tant est qu'il eut jamais entendu ses mots.
En échange de cela, il reçu une servitude perpétuelle, et la balafre qui lui ornait le visage, car il fallait bien marquer tout de même l'homme qui tentait de voler le "Maître".

Depuis, ses crimes allaient crescendo. Torture, démembrements, viols, assassinats.. C'était monnaie courante. D'ailleurs, il s'y plaisait, là dedans, et se permettait souvent des petits "extras". L'assassinat des femmes et des enfants durait souvent plus longtemps que celui des hommes.. Ses tortures s'allongeaient de semaines en semaines.. Ses délires devenaient fréquents, coutumiers, habituels..
Seule sa servitude importait. Et en même temps, il vouait une haine mortelle au "vieux", mais le craignait, et l'aimait pour les occasions qu'il lui procurait, pour cette folie "permise", "commandée".
Il était la bête, le fauve du "Maître". Rusé comme le renard, furtif comme le loup, puissant comme l'ours. On ne le voyait pas, mais il laissait des traces. C'était Grognar, "chien", pour l'un, "mort" pour l'autre.
Et c'était ce Grognar qui regardait avidement le petit Emeris.

Diable qu'il était mignon .. Tout rose, tout rondouillard, tout en chair et en fraîcheur. Il frémit d'excitation.
Ses yeux minces et sombres ne le quittait pas des yeux. Il huma l'air, pas une odeur de parfum. Les femmes étaient loin. Il ouvrit ses oreilles, pas un bruit, autre que le chant du marmot, faux et dissonant. Les gardes étaient loin. Ils étaient seuls, et lui seul le savait.
Sa langue passa sur ses lèvres, et il tira de sous sa cape un grand sac de jute.

"Qu'il revienne entier, et apte à tout".

Ce furent ses seuls ordres. C'étaient parfait. Il aurait droit à son extra, personne n'en saurait rien. Le môme ne dirait rien, de peur, et quand il serait devenu assez grand pour se venger, lui serait déjà mort.

Sans prévenir, ses jambes se détendirent, et il sauta sur l'enfant, lui assena un violent coup sur le crâne, et sans qu'il eut le temps de comprendre le pourquoi du comment, il se trouvait, inconscient, au fond d'un sac, en route vers sa nouvelle éducation de haine et d'amertume.

Le "Maître" serait content.
--Sieur_de_vandimion
Il était dans le coche qui roulait rapidement… il ronchonnait fortement… ce n’était point du à la légère attaque qu’il avait eu de son fils mais plutôt le fait qu’il ait osé le faire… cela n’allait pas se passer ainsi… son pseudo fils avait oser refuser ce qu’il voulait… quant à sa femme elle avait osé lui répondre… il allait les mater… les faire pleurer… et les faire regretter ce qu’ils avaient osé lui faire… on ne traite pas ainsi le chef de la famille Vandimion…

Ils allaient le payer… comment… il restait juste à le trouver… il en avait mis à ses pieds… et pas deux débiles mentaux qui allaient l’empêcher de faire ce qu’il voulait… comme il le voulait… le paysage d’une mocheté absolue défilait sous son regard… il hésitait… battre jusqu’à la mort son fils… ou bien… oui bien mieux de faire ainsi… il prit sa canne à la main… et frappa contre la paroi qui le séparait de son cocher… celui-ci savait fort bien ce que cela signifiait… il avait fait de lui son instrument… sa main pour éviter de se salir lui-même lorsque ses intentions se devaient de rester cachées…

Il faut le dire… il était moche… laid… mais ses mains lui servaient bien… un bon serviteur comme il aime… prêt à tout tant que le chef de la famille Vandimion lui l’avait ordonné… et il le portait sur lui… balafre prouvant son appartenance… son serviteur était un homme comme il aimait… executait… et surtout ne demandait jamais rien… s’adressa sans même le regarder à lui… juste quelques mots…


Qu’il revienne entier, et apte à tout.

Le Sieur de Vandimion avait tout de même tenu à lui dire qu’il le voulait vivant… connaissant le serviteur… il fallait lui le préciser… le coche arrêté… il vit l’ombre du cocher partir vers le château de Chignin… il saurait le ramener… normalement vivant… puis si Emeris ne venait pas avec lui… peu importe qu’il vivait… ou pas… quoique pour l’intérêt qu’aura sa vie en vivant là-bas… autant qu’il meure… et que ses parents indignes comprennent l’erreur qu’ils avaient fait… la première partie de sa vengeance était en cours…
Jehanne_du_genevois


Un moment de tranquillité ? ................... Pas si sur ...................

J'estais revenue après ma courte balade à cheval ,moins tendu qu'en partant mais l'esprit toujours préoccupé .La colère avait disparu mais l’inquiétude restait toujours présente elle .
J'avais rejoins Nerval et le reste de la famille dans la roseraie habillée en fille pour une fois après mesttre lavé rapidement .
Nerval conversait avec sa mère et son frère devant des rafraîchissements
sans doute fait porté par Sarah qui veillait toujours à tout .
Soudain un
Atchoum.. se fit entendre .
Je souris car je savais qui estait là à nous espionner .
L’Edelweiss ne pouvait s'empêcher d'estre une petite curieuse .
Un garde qui faisait sa ronde passait non loin .


Garde !
Veuillez attraper la fouine qui est dans le buisson à nous espionner !
Amenez là pour que l'on décide de son sort !


Le garde attrapa une fillette tout de rose veste ,des noeuds dans les cheveux et une expression apeuré et en mesme temps de rage sur le visage de s'être fait prendre .

Tient tient mais qui avons nous la mon cher époux ?
Ne serait ce point nostre fille qui joue les apprentis espions ?


Je regardais le garde qui avait du mal à garder son sérieux devant le regard courroucé de la fillette .

Garde vous pouvez lâcher l'espion .
Nous allons nous en occuper .
Vous pouvez reprendre vostre tour de garde et ouvré bien les yeux !


Le garde déposa Vitoria .
Sa réaction ?
Avec elle on ne pouvait savoir d'avance .
Autant elle allait vociférer ou autant elle allait s’intéresser à la jolie toilette que portait sa grand mère .
En espérant que cette mini tornade soit polie et salut comme il se devait son oncle et sa grand mère sans qu'on est besoin de lui dire .

Les présentations lui seront faiste .


Vitoria je vous présente vostre grand Mère ainsi que vostre oncle .
Dame de Vandimion , Seigneur Roderick voici Vitoria nostre fille .




_________________
--Roderick_de_vandimion


Roderick, descendu de son cheval dont il avait confié les rênes a un palefrenier craintif absolument pas habitué a voir de tels monstres, se rendait compte que quelque chose n’allait pas.
Il restat donc légèrement a l’écart attendant que la discussion entre les femmes soit terminée...
Il fronçat les sourcils quand Jehanne sauta sur sa frisonne et piqua des deux fers hors de leur vue.
Qu’est ce qui pouvait bien mettre cette famille sens dessus dessous...
Le celt se demandait si sa présence était bienvenue quand leur mère lui lança souriante


Citation:
J’adore cette demeure et ma belle-fille à un caractère que j’adore. Vivement qu’elle revienne qu’on puisse discuter un peu plus.


C’est souriant mais pensif qu’il entendit Nerval parler en aparté a dame Farnèse, il allait se retourner pour s’occuper du couple d’andalous qu’il comptait offrir a sa belle soeur et son frère et auprès desquels un petit groupe de palefreniers attendaient visiblement admiratifs, quand Nerval, a l’orée de la roseraie, se tournant vers lui, lui souhaita la bienvenue.


Je vais bien Nerval merci!
Puis décidant de crever immédiatement l’abcès...
Ce n’est manifestement pas votre cas , alors j’aimerai que vous me dites ce qui vous tracasse
Jamais ne vous vis dans cette état, ni la vostre épouse Jehanne!
Et de même si ma présence est inopportune, il me siérait de l’apprendre, la franchise est la plus belle des qualités.


Il avait dit ces mots en souriant pour en atténuer la dureté mais il ne s’attendait pas a cet accueil.

S’installant sur la chaise présentée, Roderick regarda son frère.

Présentez moi votre soucis Nerval , je déteste voir ma famille dans l’embarras.

Il croisa ses jambes, se décontractant.

Vitorria_eva
Zut de zut, elle s'était faite prendre, un garde la porta jusqu'à ses parents, grr c'est trop injuste la vie d'une tite fillette de son âge. C'était pourtant marrant d'écouter même si elle comprenait pas la moitié des choses qui se disaient.

Elle se débattait ben quoi elle allait tout de même pas se laisser faire, elle se débattait loupant son coup bien entendu mais bon, elle arriva devant sa mère qui était amusée.


Ze che'chais des fou'mis pou' Eme'is. Z'étais en nion spéciale excuse bidon bien entendu.

Puis son regard se détourna vers la dame et le sieur qu'on lui présentait, elle se foutait éperduement des noms, du moment qu'elle pouvait en tirer avantage pour une nouvelle toilette ou autre frivolitée..

Bonzou' ma g'and mè'e, t'es la moman de popa ? Et toi, c'est quoi un ongle ? tu es beau, grand et fo't comme popa ! T'es pu g'and que lui. Moi suis Vito'ia, et la c'est popa et moman, pis y a Eme'is mais il hasse les fou'mis.Elle papillonait des yeux pour les laisser s'attendrir.

_________________
Nerval
Nerval tentait d'oublier ce qu'il venait de se passer. Quoi de mieux que de papoter avec son frère et sa mère de tout et de n'importe quoi? Peu importe le sujet tant que celui qu'il redoutait ne revenait pas sur la table. Jehanne venait de revenir. Elle semblait être calmée au moins en apparence et restait totalement silencieuse pour le moment.

Mais il devait s’en douter, autant sa Mère oubliait rapidement tout ce qui ne touchait à l’aspect charnel des choses, autant son frère lui n’allait pas mettre si facilement de côté. Il semblait calme et prêt à parler. Il est vrai qu’ils n’avaient jamais parlé de leur Père sachant qu’ils n’avaient pas le même avis sur la question.

Il était la devant lui, assit, et voyant son regard il n’avait pas l’intention de lâcher le morceau. Un coup d’œil vers sa Mère qui planait encore une fois avant de prendre la parole de la manière la plus calme possible.


Roderick, tout d’abord sachez que votre présence ici est un plaisir autant pour moi-même que pour mon épouse.

Il hésita un instant à poursuivre mais il le fallait.

Il se trouve que Père est venu peu avant votre arrivée et qu’il désirait que je lui donne mon fils puisqu’il s’agit de son petit enfant male, donc capable de lui succéder après nous… enfin plutôt après vous. Il a insulté ma demeure et qui plus est mon épouse ainsi que ma fille. J’ai réussi à le faire partir. Comprends l’étonnement de mon épouse. Mais je sais que vous ne vous viendrez jamais pour prendre nos enfants toi et Mère. Voilà ce qu’il s’est passé. Nous sommes un peu sur les nerfs, excuse nous mon frère.

Il était clairement gêné, même doublement gêné. Non seulement pour ce qu’il s’était passé mais également car il s’agissait du Papa adoré de son frère. Il n’avait aucune idée de la relation qu’il entretenait avec le Père actuellement mais ils avaient toujours été très proches, deux militaires… forcement…

Je suis dés…

Il fut interrompu par son épouse qui interpellait un garde pour aller chercher un espion? Que se passait-il? Son Père avait envoyé quelqu’un les espionner ? Mais durant quelques instants il oublia cette fausse idée tout en regardant Jehanne qui taquinait leur fille. Il ne s »agissait nullement d’un espion durement entrainé et envoyé pour de mauvaises raisons, il en s’agissait que leur petite tornade qui était venu écouter toute curieuse qu’elle était.

Un sourire se fit même sur le visage du Sieur Poète, la toute jeune fille se débattait et voulait sortir des bras du garde. Jehanne mettait fin à son calvaire. Et sans se dégonfler nullement elle donnait une excuse à sa curiosité puis sans se soucier de quoique ce soit elle les salua les bombardant de questions tout en jouant de son visage d’ange. Il ne voulait pas intervenir, à la famille de se débrouiller pour satisfaire la jeune fille et cela ferait un bon test pour sa Mère qui n’était pas vraiment l’amie des enfants…
_________________
--Dame_de_vandimion


Pour être franc elle écoutait d’une oreille ce que pouvait lui dire son fils, elle ne pensait qu’aux délices de Chignin. L’histoire du père, il ne fallait pas s’en faire, il avait toujours été comme ça malheureusement. Son fils le prenait par le bras et lui murmurait des consignes ! Des consignes ! Elle acquiesça seulement de la tête. Oui elle aimait son fils, elle appréciait sa belle-fille, les enfants c’est du superflue. Une grand-mère… une grand-mère… elle regarda son décolleté et se mit à sourire. Il n’y avait rien la dedans de grand-mère heureusement.

Elle prit place sur la chaise que son fils lui avait indiquée alors que la discussion s’engageait entre les deux frères. Il était rare de les voir ensemble et en plus discuter. Elle restait plongée dans ses pensées voulant oublier totalement son fichu mari qui lui gâchait des parties de jambes en l’air encore une fois.

Elle sortit de ses songes lorsque sa belle-fille arriva. Elle lui sourit. Une petite fille était arrivée la devant eux et posait des questions innocemment. Elle dû avouer qu’elle était toute mignonne. Un regard lancé vers Nerval, puis vers Jehanne. Bon elle allait faire l’effort mais elle espérait bien après cela avoir la récompense bien méritée de ce dur labeur.

Elle tenta de sourire à sa petite fille, pas le sourire qu’elle envoie aux hommes d’habitude, mais un sourire qu’elle n’avait plus refait depuis que Nerval était enfant. Cela la ramenait des années en arrières. Depuis elle avait connue tellement de belles choses…


Oui petite….

Elle prit le premier qualificatif qui lui passa par la tête.

… puce. Je suis la maman de ton papa. Et à côté de moi c’est mon fils aussi, le frère de ton papa.

Ca y est, elle en avait déjà marre. Que pouvait-on raconter à une petite fille. A un homme attirant elle savait, mais à une petite fille… elle ne savait trop quoi dire mais elle était déterminée à faire plaisir à Nerval et à sa belle-fille.

C’est bien d’écraser les fourmis.

Puis une idée lumineuse lui vint à l’esprit.

Tu as un précepteur ou un homme qui t’apprend certaines choses ma puce? En tout cas tu as une belle robe et si tu veux je te ferais faire un chapeau pour aller avec.

Elle se rattrapait comme elle le pouvait, une grand-mère ne s’intéressait pas aux hommes forcement. Et vu l’énervement des parents il valait mieux pour le moment ne pas insister la dessus. Elle donna un coup de coude à son ainé, c’était à son tour, elle en avait déjà fait beaucoup là. Elle releva la tête vers Nerval, puis Jehanne… mission accomplie… du tout l’espérait-elle.
--Roderick_de_vandimion


Nerval enfin lui expliquait.
Roderick sentait se hérisser les cheveux qui couvraient sa nuque au fur et a mesure de l’avancée du récit.


Citation:
Il se trouve que Père est venu peu avant votre arrivée et qu’il désirait que je lui donne mon fils puisqu’il s’agit de son petit enfant male, donc capable de lui succéder après nous… enfin plutôt après vous. Il a insulté ma demeure et qui plus est mon épouse ainsi que ma fille. J’ai réussi à le faire partir. Comprends l’étonnement de mon épouse. Mais je sais que vous ne vous viendrez jamais pour prendre nos enfants toi et Mère. Voilà ce qu’il s’est passé. Nous sommes un peu sur les nerfs, excuse nous mon frère.


Il se rendit compte qu’effectivement ils étaient arrivés au plus mauvais moment qui puisse être
Il ne pouvait laisser faire ça.
Père ou pas, cette méthode était a proscrire.
Lui même avait souffert de la séparation d’avec sa mère car le père après son placement comme écuyer avait eloigné ses visites, se contentant de contacts épistolaires avec son tuteur.
Le petit ne devait pas vivre ça.
Si la famille voulait le former au noble art de la guerre ils avaient tout ce qu’il fallait sur place.
Voire au Languedoc.
La pensée de prendre Emeris comme écuyer ne le fit même pas sourire tant la nouvelle l’avait touché.
Jehanne était revenue et Roderick se leva quand il l’entendit parler d’espionne...
le celt porta instinctivement la main a la garde de sa bâtarde en voyant les gardes plonger dans un buisson et en extraire...
Un petit félin gesticulant et crachant qui fut présentée par Jehanne comme Vitoria sa nièce.

Rapidement la dextre de Roderick glissa de la garde au pommeau de l’épée ou elle s’appuya d’un mouvement négligé...

Cette dernière semblait avoir la langue bien pendue


Citation:
Bonzou' ma g'and mè'e, t'es la moman de popa ? Et toi, c'est quoi un ongle ? tu es beau, grand et fo't comme popa ! T'es pu g'and que lui. Moi suis Vito'ia, et la c'est popa et moman, pis y a Eme'is mais il hasse les fou'mis.


Mère engagea la conversation pendant que Roderick se décontractait, le regard se faisant plus doux et une ébauche de sourire se dessinant sur son visage bruni par le soleil, la tramontane et le vent d’autan.
Un coup de coude discret lui fit savoir que Farnèse avait atteint ses limites...

Le celt s’accroupit, se mettant a la hauteur de l’enfant.


Le Bonjour petite Donà
Je suis effectivement le frère de ton papa.
Ton oncle.
Comme ça tu rabattais les fourmis pour ton frère ?
c’est une mission très difficile et dangereuse que de rabattre des bêtes sauvages.
Tu dois être très courageuse...


Il tendit la main et lui caressa doucement la tête

Et Emeris? Tu sais ou il est?

Il se redressa, s’adressant a Jehanne et Nerval.

Pendant que j’y pense... Et pour que vos palefreniers puissent les libérer.
Vous avez pu voir sans doute les deux chevaux blancs en longe derrière la voiture
C’est un couple d’Andalous entiers que je tiens a vous offrir.
Les ibères le considèrent comme le cheval des rois et j’en débute un élevage.


Il fit un geste vers les deux animaux visibles dans la cour.
Ceux la vous appartiennent ils sont débourrés, ils n’ont qu’un an et seront de magnifiques palefrois.

Nerval!
Je ne vais pas te cacher que cette affaire m’ennuie.
Si je serais fier qu’Emeris suive ma voie, je ne veux pas qu’il y entre de la même façon que moi.
J’ai l’impression qu’en vieillissant père perd son discernement.
En espérant que son honneur ne suive pas le même chemin...


Il regardât la petite qui lui rappelait sa propre fille qu’il n’avait pas vu depuis fort longtemps maintenant.

--Sieur_de_vandimion
Le Chef de la famille Vandimion trouvait le temps long depuis le départ de son bras droit... il avait hâte d’une part d’avoir enfin son petit-fils avec lui afin de dresser comme se devait d’être un Vandimion… mais également il voulait donner une leçon à ces bons à rien du taudis nommé Chignin…

L’impatience le gagnait à chaque instants lorsqu’enfin un bruit se fit entendre… un sac déposé sans trop de délicatesse à ses pieds… la sale gueule de son cocher le regardait… il ouvrit le sac et pu constater que l’enfant était bien la… assommé… mais bien la… Le Sieur de Vandimion tira l’enfant et mit un coup de pied au sac…


Parfait ! Maintenant partons rapidement. Emmènes moi dans un endroit digne de mon nom. Et rapidement j’ai hâte de m’occuper de mon petit-fils.

Il allongea l’enfant sur la banquette… posant la main sur son crane… une grosse bosse… Grognard n’y était pas allé de main morte encore une fois… déjà il l’avait pas tué… une bonne chose… toute façon s’il ne l’avait pas… autant qu’il meurt… caressait le visage fin d’Emeris… la seule chose de bonne que ces abrutis avaient créés… et il l’avait enfin… belle vengeance… il était fier… et souriait avec son air de supériorité…

Une arrivée… auberge à l’écart d’une ville dont le nom n’avait aucune importance…


Grognard porte l’enfant jusqu’au salon et fais-moi emmener de quoi boire!

Un fauteuil… son fessier posé dessus… air satisfait… regardait l’enfant… le futur héritier… dommage que ce soit le fils de Nerval… il fut pris d’un petit rire en se disant qu’a Chignin… ils allaient pleurer… et qu’il retrouveront jamais leur fils… ça de se frotter au Sieur de Vandimion… à plus fort que soi…

Il n'attendait qu'une seule chose... que l'enfant se réveille enfin... pour commencer des maintenant son éducation... trois années de perdue... mais ça se rattrape...
Jehanne_du_genevois


Enfin tout redevient normal ................

Dans la roseraie le calme revenait après que l'espion est été démasqué et gesticulé suspendu dans les airs par le garde ,le calme était revenu .

Vitoria se présenta à sa grand mère et son oncle .Je pouvais que constater que celle ci avait fait de gros effort pour paraître ...Heu ....Une grand mère .Un petit dérapage en parlant de précepteur .Mais je ne dis rien .
Ensuite j'écoutais Roderick .

Il se mit a la hauteur de la fillette et se présenta .Un sourire franc et chaleureux sur le visage .Il la félicita sur sa mission qui à mon humble avis estait qu'invention car Vitoria n'approchais pas les animaux tels qu'ils soient .

Ensuite tout se déroula rapidement .
Je suivit du regard l'endroit qu'il désignait et la mes yeux s’émerveillèrent devant les deux montures magnifiques .
Des andalous ...
J'en avait entendu parler quand j'avais acquis mes lipizzans.
Je ne pouvait détacher mon regard des chevaux .Pour sur Nerval allait estre très très heureux d'avoir un tel animal ... Rien que de penser à cela je me retins de rire car pour sur ce n'estait point le moment de se moquer et de compter les aventures de son époux à cheval ou parfois sous le cheval ...


Roderick , je ne sais comment vous remercier d'un tel cadeau .
Ces bestes sont tout simplement magnifique et vous me voyez fort heureuse de se présent .
Soyez sur qu'icelieu ils seront estre traiter comme il se doit mon cher beau frère .
J'ai grand haste de commencer à travailler avec eux .
Et je suis sur que Nerval adore aussi vostre présent .


Un petit sourire en coin en imaginant Nerval montant sur un de ces chevaux .

Ensuite Roderick s'adressa à Nerval .
Son avis sur tout ce qui venait de ce passer m'importait beaucoup .
Un soupir de soulagement quand il dit qu'il n'approuvait guère les méthode de son père.

Tout avait été dit et tout pouvait revenir à la normal .
Qu'il estait bon de savourer ce moment de sérénité après tant d'angoisse et d'énervement .


Vitoria mon ange pourriez vous allez chercher vostre frère qu'il vienne saluer sa grand mère et son parrain ?

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Vitorria_eva
Vitoria écouta son oncle donc c'était bien le frère de son père, il la soutint dans sa mission des fourmis, et oui ca n'était qu'un prétexte qu'elle avait trouvé pour épier sa famille. Voilà encore une autre mission de confié pour elle, pour allait chercher son frère.
Bien moman, z'y va, et moi z'ai pas de cadeau ?. Elle lui fit un bisou faisant la mou, déçue qu'on ait pas pensé à elle. Mais s'en alla tout de même, non sans se méfier des deux bêtes blanches qu'on venait d'offrir à ses parents, ils étaient bien trop grands pour elle.

Elle arriva ou son frère aurait du se trouver dans son étude poussé des fourmis mais ne l'y trouva point, elle regarda partout, criant son nom pour qu'il vienne. Encore une fois déçue de ne pas le voir, ou avait-il pu bien se fourrer. Encore à une traque de bestioles quelqueconque, y avait franchement pas idée. Elle retourna vers les grands.


Em'is l'est pô là, l'est pa'ti, je sais pas où. M'a laissé toute seule. Pou'tant il zouait avé ses fou'mis. Mais gné pu. La gamine était triste de ne pas avoir vu son frère, étrange, lui qui écoutait quand on lui disait de rentrer, il obéissait, et là personne ne lui avait mandé de le faire. Moman, veux mon f'è'e.

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Nerval
Nerval fut impressionné par sa Mère, certes c’était loin d’être parfait mais elle faisait un effort qui toucha profondément son fils. Nulle récompense en vue, nul intérêt de le faire hormis celui de lui faire plaisir à lui et surtout à son épouse. Le Sieur Poète au poing enfler en resta bouche bée. Et lorsqu’elle proposa à la petite fille un chapeau il faillit en tomber à la renverse, Un coup d’œil vers le ciel, une pluie de calamité n’allait pas tarder à tomber à ce rythme-là.

Maintenant c’était au tour de son frère. Il avait toujours été collé à son géniteur, ils ne s’étaient presque jamais à cause de cette différence et le voilà qui faisait un précieux cadeau à son épouse surtout. Il avait touché juste au moins pour Jehanne qui adorait ces sales bêtes à quatre pattes. Bon il s’agissait plus d’un cadeau pour son épouse que pour lui vu l’amour qui le reliait à ces machins sur pattes mais le geste était beau. Finalement la journée n’était pas si mauvaise que ça, heureusement que Roderick et Mère était là pour remonter le niveau de la famille très abaissé par les actions du géniteur.

Les yeux de son brillait de bonheur, elle semblait avoir oublié ce qu’il venait de se passer. Nerval en était ravi même lorsqu’elle taquina Nerval après avoir remercié comme il se devait son beau-frère.


Je suis ravi d’avoir ces sales bêt… enfin ces chevaux ici même, mon épouse en prendra le plus grand soin, quant à moi je regarderais de loin leurs beautés.

Un échange de regard avec son épouse, elle allait mieux il en était maintenant certain. Et pour couronner le tout, Roderick s’indignait de l’attitude de leur Père. Que demander de plus? Vitoria était envoyé pour chercher son frère, comme d’habitude il était resté à jouer quelque part ou rêvassait dans un endroit incongru. Les petits cris de la jeune fille arrivaient à la roseraie et Nerval ne put que sourire, il avait vu juste, ce n’était point son fils pour rien.

La mini tornade revenait en faisant la moue, fusionnelle ou pas, elle aimait savoir par curiosité ou était. Elle pouvait passer des heures à le chercher en hurlant. Nerval se leva et attrapa la jeune fille dans les bras.


Maman, ton oncle et ta grand-mère vont discuter un peu et nous nous allons débusquer ton frère d’accord?

Sans même attendre son accord les voilà partie dans le jardin. Direction la première cachette, sur les marches qui mènent à la cave sur le côté de la demeure. Rien du tout. Un clin d’œil complice à sa fille avant de repartir pour aller au deuxième endroit, derrière la charmille… non plus. Un petit froncement de sourcil, ou pouvait-il être? Il fit les quelques pas pour aller vers le grand marronnier au tronc creuse et marcha sur la pointe des pieds faisant signe à Vitoria de ne pas faire de bruit. Il surgit devant le trou et… pas la non plus…

Des idées étranges apparaissaient dans sa tête mais il tentait de ne rien montrer à sa fille. Se pourrait-il… non quand même pas… cette fois l’allure était plus rapide et il se dirigea vers la nounou qui semblait en plein flirt avec un garde lui demandant si elle avait vu Emeris. Elle répondit totalement confuse.


Pas depuis une bonne vingtaine de minutes.

Prévenir son épouse? Non il ne devait pas faire ça, il était forcément quelque part.

Emeris ! Emeris !

L’oreille tendue, il n’entendait rien en retour. Il déposa la petite à terre et il se mit à arpenter la longueur du jardin regardant là où la végétation était luxuriante. Le pas est presque de la course maintenant, il rentre dans al demeure et monte rapidement au premier étage, direction la bibliothèque. Un cri pour l'appeler de nouveau mais rien. Ni caché sous le bureau, ni derrière une pile de livre. Redescendre un peu beaucoup affolé dans le jardin et le scruter. Pas d’Emeris, surtout de pas s’affoler, il a juste trouvé une autre cachette, rien de plus.

Rien de plus…
Rien de plus…

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Jehanne_du_genevois


Le temps s'écoule lentement ...........


Tandis que Nerval partait avec nostre mini espion à la recherche d'Emeris qui avait du aller se cacher après que sa soeur est du l'embester un page arriva discèetement et me donna une missive .
Au sceau je sus de suite qu'Alinoé avait bien reçut mon message .
Je m'excusais auprès de mes invités et je l'ouvris rapidement .



Citation:
Mon amie chère,

J'ai la joie de vous apprendre que notre cher Eddo est revenu du couloir de la mort.
Mais je ne puis vous affirmer qu'il soit définitivement sauvé.
Il souffre, hélas de tant de blessures que je me refuse à toutes les énumérées tant cette liste me ferait souffrir.

Que se passe-t-il avec mon filleul ? Si cet homme touche un seul cheveu. de sa tête, il est un homme mort !
Dés que je pourrais, je viendrais vous voir à Chignin.

Je ferais part à mon parrain de vos vœux de prompt rétablissement.
Surtout tenez-moi au courant de ce qui se passe avec votre beau-père.
Assurez à Nerval de toute mon amitié et de tout mon soutien. Il doit
être atrocement affligé de tout cela !

J'attends des nouvelles
Je vous embrasse tous les deux




Enfin de bonnes nouvelles .
Le Duc ne se laissais pas mourir .Il se battait .
Je fut fort soulager d'apprendre ceci .Enfin un point positif de plus à ajouter à cette journée qui avait si mal commencé .
Dès que Nerval et les enfants seraient revenu j'irai répondre à la petite duchesse afin de la rassurer pour son filleul .

Soudain une voix nerveuse retentit


Emeris ! Emeris !

Nerval appelait Emeris mais il semblait en panique et nerveux .
Ou pouvais bien se cacher Emeris pour que son père soit aussi nerveux ????????????????????

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