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[RP] Les conséquences de l'engeance

--Sara_ela
Sarah qui surveillait que tout se passe au mieux pour que les invités se sentent comme chez eux ,les chambres avaient été faites ,les bains avaient été chauffés et la préparation du repas se faisait tranquillement quand elle entendit Le Baron crier .
Il cherchait Emeris le petit coquin avait encore du se disputer avec sa fripouille de soeur ,il avait du se cacher comme à son habitude .
Sarah laissa encore quelques ordres et décida de chercher le petit garçon timide .
Il adorait se mettre au calme et se cacher .
Mr le Baron et sa fille ressortir et Sarah se mit à le chercher .Il y avait quelques cachettes qu'elle connaissait et avait passé un accord avec Emeris et lui avait promit de pas les révéler.

C'est joyeusement que Sarah partit le chercher .
Elle fouilla un peu de partout mais elle ne le trouva pas .
Bizarre elle était persuadée de le trouver dans ces cachettes secrètes . Mais pas de trace du petit bout .
Dehors la voix de Mr le Baron résonnait de panique .Il y avait de quoi avec les évènements de la matinée .

Sarah couru de partout mais rien ,personne ,pas d'Emeris en vu .
Voila que la panique qui l'envahissait elle aussi elle se dirigea de suite vers la roseraie pour prévenir la Baronne
Emeris
Des fourmis et encore des fourmis .Je suivait ce petit cortège de petites bêtes qui transportaient des tas de choses plus grosse qu'elles .Père m'avait expliqué qu'elles faisaient des réserves pour passer l'hiver .Je riais en voyant certaine fourmis porter des choses plus grosses qu'elles .
Elle étaient fortes .Comme maman!

Je m'assis sur un cailloux et je repensais à ce que Vitoria m'avait dit .Père avait frappé le vieux monsieur qui était son papa .J'en revenait pas et je savait que Vitoria mentait pas .
Et mère elle qui tombait ,cela me laissait pensif quand même ,serait elle malade ?
Mon regard fixé sur les fourmis se leva pour vérifier que la nounou était toujours là avec le garde .Je l'entendais rire ,je haussais les épaules .
Aujourd'hui je comprenais encore moins les adultes que d'habitude .

Un mal sur la tête mais tout devint noir .Je ne pouvais plus réagir ni bouger .Puis ce fut le trou noir .

Je commençais à pourvoir bouger un peu mais j'avais très très mal à la tête .Je remuais un peu en grognant .


Maman....Mal...
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--Sieur_de_vandimion
[Quelque part en Savoie dans une taverne...]


Un verre à la main… l’enfant en face de lui… le digne héritier qu’il façonnerait comme il en a envie… attendre avec une certaine impatience… vaudrait mieux qu’il se réveille sinon la Grognard il allait avoir des soucis… temps interminable… réfléchir à tout ce qu’il allait faire de lui… quand enfin… il bougeait… lever les yeux au ciel quand il quémande comme une pleureuse ses parents… s’approcher de lui… s’assoir à ses côtés… ne pas l’impressionner… pas de suite…

Ne t’inquiètes pas petit homme je suis là avec toi. Je vais bien m’occuper de toi. Tu vas être bien avec moi. Tu auras tout ce que tu souhaites.

Peut-être la joie d’avoir enfin cet héritier… mais sa langue se délie… il faut lui faire comprendre rapidement que ses parents sont des déchets… main qui se pose sur son front…

Tu n’as pas besoin d’eux, ils sont… pas gentils. Ils voulaient que tu sois malheureux. Heureusement que je suis la maintenant. Tu auras pleins de cadeaux pas comme si tu étais à Chignin…

Dernier mot dit avec dégout… peu importe… l’essentiel est la… heureux de les avoir fait payé l’affront qu’il à reçu… doivent bien pleurer dans leur bicoque… on ne s’attaque pas à lui sans contrepartie… ils ont voulu jouer… ils ont perdu…

Je vais faire de toi un vrai homme, quelqu’un de respecté et de respectable. Ta tête va bien mon héritier?
Vitorria_eva
La pestouille avait été alpaguée par son père, elle aurait voulu chercher Emeris seule comme une grande mais non, son père l'a menée. Au fond d'elle quelquechose n'allait pas, elle le sentait comme si un bout était très loin d'elle, mais comment l'exprimer, comment dire qu'elle n'était pas bien. Elle se débattait des bras de son père, pourtant elle qui était si bien d'habitude, ça ne lui plaisait pas.

Popa ou Em'is, moi pas senti' lui.

Elle regarda son père dans ses yeux ont pouvé lire une espèce de désespoir, mais ne trouvait pas les mots.

Moi veux Eme'is, moi veux tout suite ! Popa faut di'e à moman ! Faut lui di'e, Eme'is pu là.

Vitoria avait les yeux couverts de larmes, quelquechose n'allait vraiment pas pour elle, des perles salées roulaient sur ses joues, elle n'arrivait pas à les retenir. Ce n'était plus la petite fille joviale, mais une petite pleine de désespoir qui se blottit davantage dans les bras de son père pour y chercher réconfort.

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Jehanne_du_genevois


Il en faut peu pour être dérangé ...

Après avoir reçut de bonne nouvelle de la Duchesse Alinoé ,je fis servir à nouveau un rafraîchissement à mes invité en attendant le retour de mes trois merveilles .
C'est alors que Sarah arrive tandis qu'un serviteur versait dans les coupe le liquide ambré de Chignin .

Sarah fit une petite révérence et vint me chuchoter à l'oreille quelques mots fort peu rassurant .


Vous estes sur de vous Sarah ?

Elle acquiesçait de la teste .
C'est a cet instant que Nerval revint blême avec une Vitoria en larme .
Je fut fort étonnée car il n'estait point dans les habitudes de la fillette de pleurer ,elle estait capricieuse mais pleurer a chaud de larmes ainsi estait étrange .
Je me levais pour la prendre dans mes bras et les seules paroles qu'elle pouvait prononcer entre deux sanglot estaient
"Eme'is pu là".
Je la serrais contre moi en la câlinant pour la rassurer .

Vitoria pourquoi dis tu qu Emeris n'est plus là ,il est bien caché et doit bouder ,il a pas disparu comme cela .
Les gens peuvent pas disparaître mon edelweiss sauf si il sont enlevé...


A peine ma phrase terminé que je levais les yeux vers Nerval .

Ton ...père ...Ne ferait pas cela ....Dis moi qu'il le ferait pas ...Rassure moi ce n'est pas cela sa vengeance...M'enlever un de mes trésors ...

Ne cède pas a la panique Jeh ....
Respire ....
Emeris est caché il va bien il rit de nous voir le chercher cela ne peut estre que cela .
Pas de panique Jeh ....
Respire ...
Voila que la voix revenait .
Signe d'un mauvais présage .

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Emeris
Dans une auberge en Savoie

Une énorme bosse avait poussé sur mon petit crâne .J'avais essayé de la toucher ce qui m'avait valu une douleur très vive et une larme .C'est pas parce qu'on est un garçon qu'on a pas mal et puis je n'ai que deux ans alors oui la bosse elle me fait très très mal .
Je regardais l'endroit ou je me trouvais et cela me rappelais rien du tout .Jamais avec Père et Mère on était venu ici .Je regardais aussi le père de mon père qui souriait d'un air satisfait comme si il venait d'accomplir une bonne action .
Il arrêtait pas de me parler ,de me dire que je serais mieux avec lui ,que je n'avais plus besoin des bon a rien de parents que j'avais ,qu'ils étaient méchants et encore et encore des histoires .

Je comprenais qu'à moitié ce qu'il voulait dire .Mes parents n'étaient pas comme il les décrivait .

Père savait beaucoup de choses et me les enseignait .Il avait même commencer à m'apprendre a écrire mon prénom et c'était pas facile ,j'avais toujours les doigts plein d'encre .

Quand à ma mère il est vrai qu'elle était différente de père ,elle aimait la nature ,les chevaux et faire de longues promenades ou elle aurait bien aimé nous emmener Vitoria et moi avec les jolis poneys qu'elle nous avait offert .Mais faut avouer qu'aucun de nous deux avait fait l'effort d'aller les voir les poneys ,ne serait ce que pour lui faire plaisir .
Je me souviens encore de son expression ,elle avait sourit mais son regard était triste et elle était partit toute la journée nous laissant avec père et la nourrice .

C'est en regardant c'est homme qui était soit disant mon grand père que je me rendis compte qu'on évitait soigneusement maman et ses passions .
Pourtant à cet instant je sais qu'elle aurait soigner ma bosse ,elle m'aurait bercé et câliné .

Mais non au lieu de cela l'autre ,le vieux tout mou comme disait Vitoria ,avec un joli ématome sur la joue ou père l'avait frappé disait du mal d'eux .

Ils me manquaient même Vitoria ça faisait comme si je l'avais perdu .Une sensation bizarre inexpliquable .

Pourquoi il m’appelait sans cesse son héritier ,il voulait faire de moi un homme ? A deux ans ?
Vitoria avait raison il était tout mou et surtout du cerveau .Réagir comme Vitoria car il avait pas aimé ainsi il me garderait pas .

Ze te zaime pas toi ,je veux retouner chez moi ici c'est mosse !
Tu entend vieux tout mou ?

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Vitorria_eva
Sa mère l'avait prise dans ses bras, la sécurité était là, elle aimait aussi être contre sa mère. Mais les larmes ne cessaient de couler, un bout d'elle lui manquait, ça lui faisait mal dans son petit coeur.On lui avait arraché sa joie de vivre, mais par quel magie, qui avait pu lui faire ça. Elle n'arrivait pas à comprendre, il n'est jamais aisé de le comprendre quand on est pas plus grand que trois boutons de rose.

Non pu là, moman aide le ! l'a besoin ! Pa'ti. Mais a mal.

Comment dire à ses parents qu'une espèce de connection les liaient. Qu'ils pouvaient sentir quand l'un allait pas, comment l'exprimer. Elle venait de le faire le plus simplement possible. Les yeux toujours plein de détresse, elle regardait tour à tour sa mère et son père.

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--Roderick_de_vandimion


Pendant que Nerval allait a la recherche de son fils, Roderick tendait la main pour saisir le verre proposé par Jehanne quand une femme, qui devait sans doute être la camériste, vint lui parler discrètement.
Un voile d’inquiétude obscurcit le visage de la Baronne.


Un soucis Jehanne?

Roderick était aux aguets depuis le croisement de la voiture ou se trouvait l’homme qui finalement se trouvait être Roderick premier du nom...
Pas de réponse car Nerval revenait avec dans ses bras une Vittoria en larmes...
Roderick délaissa son verre et se leva en entendant l’éclat de sa belle-sœur .


Citation:
Ton ...père ...Ne ferait pas cela ....Dis moi qu'il le ferait pas ...Rassure moi ce n'est pas cela sa vengeance...M'enlever un de mes trésors ..
.

Vengeance??
Nerval n’avait pas parlé de vengeance...
Point n’était le temps aux polémiques.
Roderick appela son valet, toujours a proximité, et lui manda discrètement de fouiner dans et autour des fourrés du lieu ou Emeris avait été vu la dernière fois.
L’ancien brigand parisien partit tranquillement comme pour aller préparer les bagages de son maître, il savait que chercher et il savait ou.
Un enlèvement laisse toujours quelque trace.


Ne vous inquiétez pas, nous allons le retrouver, il ne peut être loin!

Puis regardant Jehanne

Quelle est cette histoire de vengeance ?
Ne vous inquiétez pas! Quelques soient les termes, je ne pourrai vous en tenir rigueur.


Revenant a son frère.

Il me parait évident qu'un certain ici ne m’a pas tout dévoilé.
Je pense tout d’abord que nous devrions tous partir a sa recherche il est sans doute caché, riant de sa blague.
Ensuite seulement, si nous ne le trouvons pas, nous pourrons envisager le pire.


Il priait intérieurement pour que l’enfant n’ai pas été enlevé et surtout pour que leur père n’en soit pas l’instigateur.
Pour ça il attendait le retour de Scapin.


Nerval
Le regard qui scrutait le moindre des recoins, il fallait qu’il trouve son fils, il n’avait pas le choix. Non il ne se pouvait pas que… impossible, « l’autre » avait bien des défauts mais pas celui-là. Non il était simplement caché et ne l’attendait, rien de plus. Vitoria était infernale, qu’avait-elle elle aussi ce n’était pas le moment. Si il était la malgré l’insistance de la jeune fille qui se serait encore plus fort dans ses bras lorsqu’il revint de la longue inspection minutieuse du jardin. Elle pleurait et cette fois pas à cause d’une robe tachée, il s’agissait de vrai larmes mais Nerval tentait de l’ignorer au possible. Vitoria ne pouvait avoir raison, jamais de la vie, il était juste caché.

Les bras resserrés sur sa fille, il ne savait que faire à cet instant précis, refusant totalement la réalité qu’il connaissait pourtant fort bien, il resta immobilisé cherchant ou pouvait se cacher un Emeris qui n’était plus au château. Tel le ciel qui refuse de voir que les nuages noirs venaient le recouvrir, Nerval réfutait tout en bloc. Contraste entre l’envie et la réalité, les tremblements de ses bras devait ressurgir sur sa fille en pleure. Les muscles qui se contractent, il fallait se ressaisir immédiatement pour ne pas alerter son épouse inutilement. Sans un mot envers Vitoria, n’étant pas d’humeur à la consoler d’une chose qu’elle inventait surement pour se rendre intéressante, il se rendit à la roseraie.

A peine étaient-ils arrivés dans la roseraie que son épouse se leva pour venir consoler la mini tornade qui pleurait encore ses inepties. Sa fille sortie de son étreinte il regardait à droite ou à gauche pour vérifier si Emeris n’était pas cachés dans les végétaux. Les paroles de Jehanne arrivaient en sa tête alors qu’il cherchait du regard quand les derniers mots vinrent le percuter de plein fouet. La lutte venait de basculer en faveur de la réalité. En faveur de cette réalité contre cette hypothèse improbable dans laquelle il s’était enfermé quelques instants pour fuir ce qu’il se passait. Mais les mots de son épouse venaient de percuter cette carapace qui s’était berce d’illusions éphémères et idéalistes.

Que faire, elle avait raison… malheureusement. Emeris était bel et bien introuvable. La dernière fois qu’il avait été vu il jouait dans le jardin puis… plus rien. Le jardin, le lieu où les coins et les recoins étaient légions, lieu ou un inconnu pouvait le plus facilement du mur se faufiler pour venir voler un bijou quelconque ou… un enfant.

Des balbutiements, les derniers remparts de la forteresse de fuite tombaient, que dire maintenant à son épouse, comment lui le dire, elle pour qui ses enfants étaient encore plus importants que sa propre vie. Le regard dans le vide il se devait de réagir la maintenant et de suite, peu importe les comment et les pourquoi, s’il voulait revoir son fils et le sourire de son épouse il n’avait pas d’autres choix que celui de faire ce qu’il devait. Un regard lancé vers les grilles de la demeure, regard flou et rouge du sang qu’il allait faire verser à celui qui avait osé toucher à son fils. Une profonde inspiration chaque secondes perdues étaient une seconde de plus d’éloignement avec Emeris.

D’abord un geste brusque envers Sarah.


Sarah fouillez la maison retournez tout s’il le faut mais trouvez Emeris.

Puis se tournant vers Mère et Roderick sans vraiment avoir écouté son frère qui pourtant était là pour l’aider. Il était dans ses pensées et rien ne pouvait l’en sortir à ce moment précis.

Jehanne vous expliquera il faut… que… excusez-moi Roderick, Mère…

Puis d’une voix provenant tout droit de l’écorché qui battait au fond de lui, regardant Jehanne.

Jehanne, restez là ! Ne bougez surtout pas de Chignin je vais vous ramener notre fils !

Il n’osait de nouveau plus la regarder dans les yeux, ce qu’elle devait subir à cause de lui était innommable. Un geste pour se tourner, un regard embué qui croise le sien, juste deux mots…

Excusez-moi.

Pas le temps maintenant de tergiverser il lui fallait agir et retrouver la raison de vivre de son épouse. Il se devra s’assumer les conséquences ensuite. Ni une ni deux et sans y penser il courut en colère pour aller détacher sa propre sale bête, Zephyr, qui s’agitait dans son box. Le temps de monter sur le cheval en grimpant sur la barrière sans prendre le temps de mettre la selle ou quoique ce soit, le temps aussi de prendre son cheval par la crinière pour lui faire comprendre qu’il ne fallait plus faire n’importe quoi, que le temps des balades ou la sale bête allait là où elle voulait était révolue. Pied qui frappe le flanc de l’animal, il partait de l’écurie aussi vite qu’il le pouvait, il ne pouvait se permettre d’attendre plus longtemps. Le coche de son Père ne devait pas être très loin.

A peine la grille passée que l’humidité coulait sur le visage d’un Nerval cavalier. Idées sombres dans l’âme du Sieur Poète, des idées de la couleur du sang. Un coup de poing n’avait pas suffi. S’il fallait plus, il aurait beaucoup plus. Et son épouse… la peine devait l’envahir autant que la colère envers son géniteur. Il se devait de résoudre ce souci définitivement. Emeris était vivant il en était certain puisque son géniteur lui avait parlé d’en faire son Héritier, il le traquerait coute que coute tant qu’il ne l’aurait pas retrouvé. Les chemins pluvieux malgré la sècheresse d’une fin d’été s’écoulaient sous les sabots d’un cheval métamorphosé en monture idéale. Peu importe la fatigue, peu importe combien de temps, il le retrouverait.

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Jehanne_du_genevois


Et si panique soufflait à nouveau ................

Vitoria toujours dans mes bras je ne sais que dire ,ni que faire .
Pour une fois la situation m'échappait totalement .
En premier Sarah qui m'annonce que le castel avait été fouillée de fond en comble et Emeris n'estait nul part .
Puis Nerval revenant avec mon edelweiss pleurant toutes les larmes de son corps car elle ne sent plus sont frère .
On m'avait dit que les jumeaux avaient un lien plus fort encore que ceux d'un frère et soeur .
Et là cela se révélait ,Vitoria en pleurs pour son frère .Un bout d'elle est plus là .

Nerval plus angoissé que jamais donna des ordres sèchement.
Jamais auparavant il n'avait parlé ainsi .
je pouvais sentir sa colère et dans ces cas la je ne savais ce qu'il estait capable de faire .Il partit en courant vers les écurie et je le vis sortir au galop sur zéphir .... Comment allait il revenir ...

Roderick me parla .
Je le vis donné des ordres à son valet ,surement pas pour qu'il décharge les bagages vu que Sarah avait fait faire le nécessaire déjà .
J’esquissais un sourire pour faire bonne figure et le remerciais doucement .
Je lui expliquais en quelques mots .


Roderick quand vostre père n'a pu prendre Emeris ce matin il a juré de se venger .
Sans préciser comment bien sur mais la seule façon pour lui d'avoir nostre fils c'est de le prendre et de l'arraché à ses parents ....
Vous comprenez nostre crainte maintenant .


Tout estait devenu flou autour de moi .
Rien n'est comme je le veux .
J'ai l'impression que je me divise en deux ,une partie de moi furieuse contre cette homme et l'autre une mère désemparée .
Je me devais de réagir aussi .
Mais plus posément que mon époux .C'est ainsi que je m'excusais auprès de mes invité en demandant à Sarah de conduire la mère de Nerval aux bain pour qu'elle se détende et servir tout ce que demanderait au Seigneur Rodérick .


Vueillez m'excuser j'ai quelques missives à envoyer .

Je me levais ma filles dans les bras et prit la direction de mon bureau afin de faire partir nombreuses missives dans toutes les auberges de Savoie.


Citation:
A la Savoie ,Savoyard ,Savoyardes ,

Nous Jehanne du Genevois sollicitons vostre aide .
Nostre fils de deux ans Emeris nous fut enlever ce jour au Castel de Chignin .
La personne ayant enlever nostre enfant n'est autre que le père de nostre époux .Il voyage en carrosse arborant les armoiries des Vandimion .
L'homme est de haute stature et forte carrure et porte la moustache .
Il est accompagné de son cocher qui lui est fort laid .
Il ne peuvent que se caché pour le moment en nostre Duché .
Alors toutes personnes pouvant nous aider à les retrouver surtout nostre fils vivant sera récompensé après vérification des dires .

Nous Jehanne du Genevois,mère désemparée implorons vostre aide afin que nostre fils nous revienne sain et sauf .






J'écrivais sans relâche les missives afin qu'elles soient placardées ,montrées partout en savoie .

J'en avais un autre à envoyer à la Duchesse .



Citation:
Chère amie,chère Duchesse ,

Je vous envois ces quelques mots pour vous prévenir que vostre filleule et nostre fils Emeris à été enlever ce jour par le géniteur de Nerval .
Je suis désemparée et très en colère contre cet homme .

Nerval est partit à sa recherche et j'ai fait partir nombreuse missives afin que quelqu'un nous apporte aide en nous disant les avoir vu en Savoie .

Je sais que cette nouvelle ne vous apportera point de réconfort avec ce que vous vivez déjà avec vostre parrain mais je vous tiens au courant dès la moindre nouvelle .

Je vous embrasse .
Jehanne .





Un messager partit aussitôt lui porter .
Je restais là dans mon bureau essayant de ne pas me laisser aller aux larmes ni à la colère pour ma fille qui avait besoin de moi
.

_________________










--Dame_de_vandimion



La Dame de Vandimion se délectait de la douceur de la roseraie. Quel bel endroit plein de gout et sensuel au possible. Son fils n’avait pas tout raté, certes il avait faillit dans les préceptes de libertinage qu’elle lui avait inculqué mais il avait su garder le bon gout en matière de femme, la sienne en l’occurrence qui était plus que délicieuse, mais également dans la décoration et le plaisir d’une nature sensuelle à souhait. Plus d’enfants aux alentours, de la discussion à droite et à gauche, elle se laissait bercer par l’atmosphère du lieu laissant ses pensées s’évaporer dans les milles et un délices qui pourrait s’offrir à elle si sa belle fille la laissait dans ses occupations habituelles.

A peine les pleures d’une petit fille vint la déranger mais elle n’y prêta nullement attention pensant qu’il était inutile de faire tout ce remue méninge pour un simple caprice. Le bruit d’un cheval la tirant définitivement de ses songes les plus intimes, qui plus est en voyant son propre fils qui déteste les chevaux en train d’en chevaucher un. Quelque chose de sérieux se tramait. Et maintenant sa belle fille l’envoyait prendre un bain ce qui eu l’effet de lui remettre les pieds sur terre. Au diable les hommes et les plaisirs… du moins pour le moment.

L’intendant l’invitait à se diriger dans la demeure alors que Jehanne partait de son coté. Elle trépignait et s’en voulait de ne pas avoir suivi la conversation ce qui était très rare chez elle. Sa belle fille semblait au plus mal, son fils inquiet tout autant que l’intendante et Nerval à dos de cheval. Tout semblait bien trop grave pour qu’elle ne fasse rien. Quelques pas pour rentrer dans la demeure et la Dame de Vandimion s’arrêtait, il fallait qu’elle sache.


Veuillez me pardonner Intendante, mais je me dois de vous demander ce qu’il se passe actuellement. Ne m’épargnez point.

D’une voix assurée Sarah lui répondit, une femme de caractère encore une fois et elle se prit à avoir de la sympathie envers elle également. Sarah lui fit un résumé concis de la situation. Son homme la décevait encore une fois mais elle en était habituée. Mais tout de même aller jusqu'à voler un enfant.

Excusez-moi Intendante mais il est hors de question que j’aille au bain alors que cette situation inflige des douleurs à mon fils ainsi qu’a ma belle fille. Je vous libère de votre obligation, faites ce que vous avez à faire, je vais en faire de même.

Une courbette envers l’intendante. Etrange chose mais la Dame de Vandimion était tellement en colère qu’elle n’avait nullement réfléchie a ce qu’elle faisait. Les joues étaient devenu rouge non pas pour la raison habituelle. Elle était furieuse de l’action de son mari. Lorsqu’elle rentrera il allait prendre un ratichon comme rarement. Mais avant cela elle se devait de faire ce qu’elle pouvait pour aider sa belle fille.

D’abord rechercher, sans conviction, ou pouvait être l’enfant bien qu’elle doutait qu’elle le trouverait. Elle regarda tour à tour derrière un rideau, dans un pot de fleur, sous un tapis tout en réfléchissant sur le lieu ou son mari avait pu emmener l’enfant. En Savoie il ne devait pas avoir beaucoup d’endroit ou se cacher. Réfléchir autant qu’elle le pouvait en se remémorant le peu de conversation qu’elle avait avec lui.

Lorsqu’elle lui avait annoncé le mariage de son fils il lui avait répondu qu’il voyait ou Chignin se situait car il avait séjourné dans l’auberge du… impossible à se souvenir. Elle abandonna ses recherches et décida de monter à l’étage. Elle prit les escaliers et passa la tête sans frapper par la porte non totalement fermée pour regarder dans ce que son fils avait nommé « le bureau de son épouse » quand il lui avait fait visiter le château lors de sa première venue après le mariage. Sa belle fille était la, sérieuse et appliquée à son bureau en train d’écrire des missives. La colère mélangée à de la tristesse l’empêcha d’être comme à son habitude. Si on lui avait enlevé ses enfants, surtout le dernier les autres ayant été pris sous la coupe de son mari, elle en serait morte de chagrin.

Timidement elle s’avança vers elle.


Jehanne…

Tendre ou pas les bras, elle ne savait pas que faire, elle la connaissait finalement si peu sa belle fille tout en se maudissant de ne pas se souvenir de cette bribe de conversation. Elle opta pour venir poser la main sur son bras et d’une voix la plus douce possible.

Ne vous inquiétez pas, votre enfant va bien, l’homme qui se prétend mon mari ne lui fera pas de mal j’en suis certaine. Je m’excuse humblement de sa bêtise et je vous promets de régler cela avec lui lorsque je rentrerai.
Jehanne_du_genevois


Dans le bureau ...............



Je ne l avais point entendu arriver tellement prèoccupè par la vie de mon fils qui estait entre les mains de leon le cameleon .
C est quand elle posa sa main sur mon bras que je sursautais .

Ses paroles ètaient douces . Dècidement la famille de mon èpoux n avait de cesse de m etonner .
Jamais au grand jamais je n'aurais pensè un seul instant qu elle se serait prèoccuper de son petit fils .

J avais finit d envoyer mes missives et je me sentais las de tout cela .
J hèsitais entre hurler déverser ma colére sur quelqu un .....
D ailleurs a quoi cela aurait servi ....
Et pleurer le fruit de mes entrailles disparu ....
Mais ce n estait point bon non plus car il me fallait aussi proteger Vitoria et lui montrer qu on estait fort et que l on retrouverais son frére . Je levais les yeux vers la Dame de Vandimion essayant de sourire mais c est une larme qui roula sur ma joue une seule et unique perle .... 

Je ne savais que dire ....
Que faire ....
Et Nerval qui estait partit a cheval voila une autreangoisse ....
Pourvu que rien ne lui soit arrivè .
Le pére le fils .....
Qu on me rende ma famille ma raison de vivre ....
Comment rèussir a survivre dans la gaietè et elever sereinement mon edelweiss sans mon epoux et sans mon fils .




Rassurez moi ,il ne fera aucun mal a nostre fils , il ne le tuera point . 
Farnése rassurez moi ..... 

Comment un homme qui a reniè son fils peut il prendre le fils de celui et le dèclarer estre son héritier ? 

Quel genre d homme peut estre ainsi ?



Je m arrêtais de parle la voix vibrante de colére et temblante de peur pour la vie de mon fils .

_________________
--Dame_de_vandimion



Cette femme était forte, cette femme qui était en face d’elle et qui tentait de lui sourire malgré la situation. La Dame de Vandimion lui adressa un sourire pour la rassurer. Elle comprenait maintenant tout ce qui s’était passé et qu’elle avait royalement ignoré lorsqu’elle était arrivée. Sa belle fille était à eux doigts de craquer elle le sentait dans son attitude, dans sa voix et de par la chaste larme qui coula sur sa joue.

Elle n’avait jamais été fortiche pour penser aux autres et encore moins pour les rassurer. Quand un homme malheureux venait la voir et qu’il arrivait à l’émouvoir, elle offrait son corps pour le rassurer. Mais la situation actuelle était tout autre et c’est une vraie peine qui s’emparait de la Grand Mère. Elle n’aimait pas cette sensation, elle la détestait même, elle était en colère contre son salaud de mari mais en bonne noble qu’elle était, elle tentait de ne rien montrer, seules ses joues rougit étaient la représentation de son ressentit. Sa belle fille aussi était fière, bien qu’elles étaient fort différentes dans la manière de vivre, et la voir ainsi lui brisait le cœur, quand à savoir son fils sur un cheval elle en éprouvait de la peur.

Les pieds bien sur terre pour une fois, elle sortit un mouchoir pour venir essuyer la larme qui hésitait à quitter la joue de sa belle fille. Son regard qui se voulait rassurant se posa dans celui de la Baronne qu’elle aurait pu qualifier d’angoissé. Et c’est une voix douce et calme qu’elle lui répondit.


Ma fille, il ne lui fera aucun mal puisqu’il veut en faire un héritier. Je vous le promets. Il veut l’éduquer mais je ne laisserais jamais faire cela. Ce genre d’homme ma fille est ce que l’on peut nommer un salaud egocentrique. Il est faible et compense autrement. Les femmes Off Staffen sont souvent frivoles, moi la première, mais il ne faut pas déclencher notre courroux. Il va l’apprendre à ses dépends je vous le promets. Nous retrouverons votre enfant ma fille et je m’occuperais de son cas.

Le regard rassurant s’était mué en une froideur sans nom lorsqu’elle fit référence à son mari. Un sourire venant briser ce regard elle continua.

Ayez foi en votre mari, en vos amis, en moi aussi si vous le pouvez. Je vois que vous avez envoyé des missives. Tout cela va permettre de le retrouver et au besoin une fois en ma demeure je le retrouverais même si je dois donner mon corps pour avoir des informations, je n’aurais de cesse de vous aider.

Le regard qui se porte quelques instants par la fenêtre, les nuages avaient disparu et le soleil brillait de nouveau.

Ecoutez, même le soleil et le ciel est d’accord avec moi. Un dur moment à passer, mais il va bientôt prendre fin et nous pourrons nous concentrer ensuite sur les conséquences de son acte.

Il avait tout de même bien changé son mari, il était fade, ambitieux au début de leur mariage mais il lui laissait faire ce qu’elle voulait, mais peu à peu il était devenu avide de pouvoir, directif avec tous le monde sauf avec elle. Il savait qu’il n’avait aucune emprise sur sa femme. Mais il avait osé toucher à son fils bien aimé, celui qu’elle avait élevé elle-même pour être sa relève, sa fierté et bien qu’il ait épousé une femme, elle en était fière. Jehanne était comme sa fille maintenant et son mari avait réussi à la mettre en colère.
--Sieur_de_vandimion
[ Dans une taverne en Savoie ]


Je regardais l’enfant enfoncé dans mon fauteuil... le prendre à cet âge la… il n’y avait aucune chance pour que je ne le façonne pas comme je le désire… il ressemblait un peu trop pour le moment à son abruti de Père… mais j’allais changer ça… je ne le laisserais pas devenir une chochotte... le Grognard semblait avoir frappé quand même fort sur l’enfant mais cela allait lui faire les pieds… il ne pleurait pas… déjà un bon signe.

Je souriais heureux de mon action et heureux de mon futur hériter que je venais de m’approprier. Grace à lui je n’aurais plus besoin d’attendre un male qui en vaut la peine, il aura tout, mon expérience et une partie de mes titres car Roderick mon digne fils en aura lui aussi. Mon sourire s’arrêta lorsque l’héritier daigna enfin ouvrir la bouche. Il aurait mieux fait de se taire, mais les enfants sont ainsi…

Je me levais foudroyant l’enfant du regard… se devait de savoir qui était le chef ici… la main qui se lève… l’abattre sur la joue de l’enfant… la voix est sèche… autoritaire…


Tu n’es plus chez les cochons maintenant, il va falloir apprendre à se tenir!!! Et surtout en pleure pas, tu ne ferais que prendre le risque d’en prendre une autre. Je vais t’apprendre à vivre moi.

Garder les yeux sur l’héritier… froncer les sourcils…

Assis toi maintenant et ne bouge plus!

Que croyait-il… que j’allais le ramener chez lui peut être… son chez lui c’est mon chez moi… reculer pour venir reprendre place dans un fauteuil…

Bien je préfère ça.

Une idée… appeler vivement le serviteur… son serviteur… avec sa sale gueule l’héritier comprendra qu’il ne faut pas me contredire… et faire ce que je dis sans discuter…

Grognard ici de suite!!!!!!
--Grognar


Il réagit, instinctivement à l'appel de son Maître.
Depuis qu'il avait ramené le petit bougre à son grand père, en s'étant au passage, accordé de ces petits plaisirs dont il avait le secret, il le surveillait discrètement du coin de l'oeil, un horrible rictus sur le visage.

C'est donc bien lestement et silencieusement qu'il se glissa vers son Maître, non sans décocher au gamin un regard noir comme la nuit.

Maître?

Il frotta l'une de ses cicatrices, et attendit les ordres.
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