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[RP] Les conséquences de l'engeance

Emeris
Dans un taverne en Savoie

Je regarde le vieux tout mou ,il a l'air furieux comme maman quand on fait une bêtise avec Vitoria .Mais ce qui arrive l'instant d'après je ne m'attendais pas du tout à cela .
Sa large et énorme main qui ressemblait plus à une poêle que la cuisinière de Chignin utilisait s'abattit sur ma joue .La douleur fut très vive .Jamais père ou mère n'avait fait cela .Et pourtant parfois on faisait tout avec ma soeur pour faire enrager maman.Jamais on faisait ce qu'elle demandait quand elle voulait nous emmener à cheval ou nous amuser avec des épées en bois .On faisait un caprice et hop le tout était joué .Vitoria était très forte à ce jeu bien plus que moi .Mais jamais maman nous avait frappé .Elle se mettait toujours à notre hauteur et nous expliquait ce qui était bien ou mal de faire .
Mais la mon soit disant grand père était méchant .Il vociférait de vilaines paroles contre mes parents .Ils les connaissait pas .Mais il osait quand même les traiter de cochons .C'est ce qui me faisait le plus mal .De ne pas être plus grand pour les défendre .
Je retenais tant bien que mal mes larmes ,il était temps de prouver que je pouvais être courageux et tenir face à cette espèce de vieux tout mou pas si mou quand il donnait des claques mais je lui résisterais coûte que coûte en attendant que mes parents viennent me reprendre .
D'ailleurs je ne doutais pas un instant mère chevaucher partout pour me retrouver .C'était comme elle qu'il fallait que je me comporte en ce moment comme un guerrier ,elle sera fière de moi maman car malgré tout sans lui monter j'écoutais tout ses conseils et là je pouvais les mettre à profit .

Je regardais le vieux dans les yeux pour lui montrer que sa claque ne me faisait rien même si je sentais ma joue gonfler et comme si elle était en feu .
A ce moment il appela un homme .
Quel horreur !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ça existait des monstres pareil ?
Je croyais que cela était que dans les histoire que maman nous lisait le soir .
Je connaissais pas assez de mots pour décrire l'affreux a part très très très très mais vraiment très très très très moche vilain pas beau du tout .
Je ne disais rien mais il me fichait la frousse lui pire que le vieux tout mou qui avait l'air d'un ange à coté .
Je fermais un instant les yeux ,mon ventre gargouilla de faim mais mentalement j'appelais Vitoria
" Vito'ia vite faut que maman et papa me ret'ouve car les vieux tout mou et moches me font peuu très peu"
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Jehanne_du_genevois



Du bureau au salon ... Toujours dans l'angoisse ...


Je regardais par la fenestre tandis que Farnèse me parlait .Elle avait l'air aussi en colère que moi voir mesme pire .
Jamais je ne l'aurais pensé ainsi .
Se préoccupant de quelqu'un d'autre qu'elle mesme et son bon plaisir .

Le soleil ....
Il déclinait lentement .La nuit allait venir et aucunes nouvelles de Nerval ni d'Emeris .
Mon coeur se serra .
Gelée de l’intérieur sans leurs présences, sans leur amour, seulement vous représentez ma vie.Maintenu dans les ténèbres alors que vous estiez si près il y a quelques heures .
Attrape-moi que je tombe
Dites que vous êtes là et c'est fini maintenant !
Personne n'est ici et je tombe sur moi-même
Cette vérité me conduis dans la folie , je sais que je peux arrêter la douleur...
Mais ...

J'aurais du faire partir un garde à la suite de Nerval ,un des meilleurs cavalier que Chignin possédait ,celui avec qui je m’entraînais .Mais sur le coup de la surprise je n'y avais point pensé .

Avoir foi.... Comme cela pouvait estre dur à cet instant .
Je regardais ma petit Vitoria qui avait finit par s'endormir sur le sofa de mon bureau . Je ne pouvais que positiver .Nerval ...Certes mauvais cavalier ne risquait rien avec Zéphir ,si il se perdait son cheval le ramènerait à Chignin sans aucun soucis .
Le soucis c'estait la chute plus que probable ...
Et si ...
Si il tombait ....
Se blessait ...
S'évanouissait .............


Qu'il estait dur d'attendre nouvelles de part et d'autre.

Farnèse ,merci de vostre réconfort ,cela me touche beaucoup et m'aide à tenir .
Mais ne le prenez pas mal si je retrouve vostre époux avant vous je ne garantis pas que sa vie soit sauve ...


Je me tus afin d'éviter de partir en tornade .

Allons nous faire servir un en cas au petit salon ,ne mourront point de faim en attendant .
Je vais faire chercher Roderick .


J'entrainais Farnèse avec moi en prenant dans mes bras mon edelweiss endormie .

_________________
--Sieur_de_vandimion
[Dans une taverne en Savoie]

En bon chien je voyais Grognard arriver… sourire grandement en voyant la mine déconfite de l’enfant… il devait le comprendre… il n’avait pas d’autre choix que celui d’obéir… je regardais attentivement l’enfant… il avait peur… s’en frotter les mains… mais… pas de larmes… rien… juste de la peur… semblait avoir compris qui était le maitre… et qu’il devait savoir quand parler… et quand se taire… j’aimais cette sensation la de puissance… on avait voulu me résister… la vengeance est terrible… ne plus regarder Grognard… juste l’enfant…

Bien mon petit tu apprends vite, tu es mon portait craché quand j’étais petit.

Bon ce n’était absolument pas vrai… mais il n’y avait que ces paroles qui me vinrent en tête… je portais un regard dédaigneux sur cette chose la qui venait d’arriver… la chose fidèle… je lui parlais d’une voix glaciale…

Il faudra surveiller le petit Grognard, et correctement. Je vais en faire quelqu’un de bien et de civilisé.

Je ne lâchais pas l’enfant des yeux… je le voyais déjà assis à ma place dans quelques années… fière descendance… droit comme un I… dévoué comme je l’étais à mon Père… savourant chaque victoire militaire… chaque gouttes de sang versé pour sa victoire… il irait parfaitement… j’arrivais même à remercier l’autre imbécile de m’avoir mis en colère… mais… il y avait encore des choses à effacer… le plus tôt sera le mieux…

Tout d’abord je vais changer ce prénom totalement désobligeant et en inadéquation avec ce que tu vas devenir. Maintenant oublies à jamais ce prénom tu te nommeras…


Tristan… Robert… Charles… Alphonse… Theodore… Victor… Aloïs… Gaspard… Aubert… Justin…

Théophile, aimé de Dieu donc de moi. Tu es un chanceux mon petit.

Je me répétais son nouveau nom plusieurs fois… Théophile de Vandimion… Théophile de Vandimion… cela sonnait parfaitement… bien plus sérieux que ce prénom qui provenait surement du sans nom…

Restait maintenant une dernière chose à faire… l’apparence… vêtements de pécores sur le dos… à changer…

Grognard, va acheter des vêtements pour Théophile et rapidement. Tout ce qui me rappelle la porcherie de Chignin m’insupporte. Et fais vite sinon tu seras puni!

Lui lancer la bourse comme on donne un ver à une poule… avant de détailler l’enfant… définitivement… aucun gout… en même temps qu’une vrai éducation… je lui ai apporterais une classe naturelle dans le choix des vêtements…

Quand à toi mon garçon, enlèves moi ce que tu portes, on ira les bruler ensuite. Tu aimes le feux et les choses qui brûlent?
Nerval
Le chevaucheur énervé parcourait les chemins sur le dos nu de sa fière monture oubliant totalement la peur que les chevaux lui procuraient, oubliant le danger d’une vitesse inédite. La colère lui faisait tout oublier malgré le déplacement de l’air qui venait déplacer ses cheveux. Une colère profonde qui s’était nourri depuis son enfance et qui venait d’exploser. La sacro-sainte patience et flegme tant prôné par sa Mère avait volé en éclat devant l’immonde méfait de son géniteur.

Malgré une brume de fureur qui lui voilait le regard, il arpentait les chemins de Savoie. Se faisant rappeler au détour d’une intersection sa piètre maitrise de l’art si bien maitrisé par son épouse qui consistait à voguer sur le dos de ces sales bêtes. La peur de perdre définitivement son fils était bien supérieur à tout. Il chevauchait comme il le pouvait manquant régulièrement de tomber, sa sale bête avait-elle compris que l’instant était grave? Toujours est il qu’elle ne faisait pas ce qu’elle voulait pour une fois, ils allaient la ou il le voulait. Croisant des paysans il quémandait sans sourciller et sans prendre en compte son statut de Baron s’ils n’avaient point vu le fameux coche.

Des réponses approximative, ils pensaient tous lavoir vu, certains pensant qu’il était parti du coté de la vallée, d’autre vers les monts un peu plus au nord. Il repartait de plus belle, les maudissant, les haïssant de cette incapacité à l’aider. Son âme se serrait alors qu’il prenait une énième route praticable pour un coche. Ce sentiment de malaise, celui de perdre ce qui lui ait cher. Apres son fils il voudra quoi son géniteur? Sa fille pour en faire une servante? Sa femme pour en faire une cuisinière? Il se prenait pour qui? Sans se rendre compte qu’il découvrait ces sentiments auquel il n’était pas habitué, il parcourait les lieues, brogeant, faisant toujours augmenter d’avantage la véritable haine qu’il vouait à cette situation.

Tout ses sens aux aguets il scrutait l’horizon alors que le cheval s’évertuait à suivre le chemin. Un virage à droite, la main qui glisse, la fatigue d’une cavalcade dont il n’était point coutumier, le manque de temps pour lui mettre une selle fut fatale. Le piètre cavalier fut éjecté de sa monture, le faisant rouler à terre dans une douleur physique rarement vécu terminant sa chute contre une large pierre.

Le silence, puis un cri de douleur, de colère envers lui, de haine envers son géniteur. Il ne bougeait plus alors que Zéphyr revenait vers et huma son visage. Il bougea une main, la deuxième, une jambe suivit de la seconde pour enfin ouvrir les yeux. Certes il avait mal, mais rien ne semblait cassé. Il se redressa poussant le visage du cheval de sa main… éraflée… il n’était qu’éraflé mais la peau laissait maintenant passer quelques perles de sang de haine. Une incroyable fatigue le prenait. Depuis combien de temps parcourait-il les routes, il n’en n’avait pas la moindre idée. L’accident dont il venait d’être l’auteur était surement du à son manque d’attention, pourtant il en avait pris des virages ainsi, de nombreux mais cette fois la, son corps n’avait pas tenu et il se retrouvait à terre, contre une pierre, les jambes dans la boue, les braies à deux endroits déchirées et très légèrement teintés de rouge ci et la. Il serra le poing pour arrêter les tremblements du a la frayeur à moins que ce soit encore la colère qui l’animait.

Il aurait aimé rester la à se reposer jusqu'à ce que quelqu’un passe pour l’aider. Mais c’était inenvisageable pour lui, il se devait de retrouver sa saleté de géniteur et de récupérer son fils. Et il l’avait promis à son épouse.

La main sur la pierre, il se releva malgré la douleur. S’observant il ne put réprimer un rire ironique emprunt de honte et de haine. Ses braies sales, les genoux écorchés venait teindre la tissu, sa chemise était elle aussi tentée couleur terre mouillée, les coudes le faisaient souffrir, il ressentait même quelques griffures sur le visage salit par de la boue. Aucune ouverture profonde dans la peau, des éraflures d’où le sang transpirait, rien de plus. Et ce n’était pas son corps qui le faisait le plus souffrir. Il ne fallait pas trainer il n’avait rien, enfin presque.

Il fit approcher l’animal et monta sur la pierre qui avait arrêté sa chute pour grimper sur sa monture. La respiration toujours haletante, le corps toujours un peu tremblant, le pied sur le flanc de l’animal pour le faire avancer. Il devait retrouver Emeris et peu importe ce qui l’en coute, ses douleurs physiques n’égaleraient jamais la torpeur de son âme.

Les recherches se poursuivent, à un rythme moins soutenu sans qu’il s’en rende compte. Le champ visuel se réduit peu à peu, regarder sans vraiment regarder, pas de coche à l’horizon, le corps se courbe de plus en plus. Le cheval mène la danse alors que le front s’appui sur la crinière de la bête. Il tente de se rassurer en voulant faire confiance à l’intuition de l’animal. Peu à peu le corps devient inerte alors qu’il colore quelques endroits de la peau du cheval. La colère est toujours la alors que les yeux se ferment de plus en plus. Son cheval, il va le mener à son enfant, pas possible autrement. Le temps est suspendu. Inconsciemment les songes prennent la place de la réalité des chemins, son géniteur il est la, juste devant lui, il tient son enfant qui regarde par la fenêtre du coche. Nerval court pour les rattraper, ils s’éloignent malgré sa course effrénée et…

Le sol aplani d’une entrée le sort de son rêve. Il est fatigué et les yeux ne s’entrouvrent que légèrement. Il croit reconnaitre le perron de sa demeure de Chignin. Non impossible, il n’était pas loin d’Emeris, à deux doigts de le récupérer. Les hennissements de son cheval, des bruits autour de lui. Il faut qu’il se lève et reparte, il a promis son épouse…

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Emeris
Dans une taverne en Savoie

Je ne pouvais dire un mot alors j'observais et surtout écoutais attentivement le vieux tout mou donné ses ordres à l'affreux .Même si il faisait peur à voir il craignait aussi le vieux tout mou .
Bon première chose il voulais que j'apprenne ,j'allais le faire enfin tout dépendait de ce que j'allais devoir apprendre aussi mais cela me servirais surement pour m'échapper .
Ensuite faire quelqu'un de bien de ma personne ,j'avais que deux ans comment on devenait quelqu'un de bien à deux ans ;il perdait la boule le vieux tout mou je pouvais pas devenir un adulte en une journée .
Il à rien comprit aux enfants lui .
Je voulais pas changer mais rester moi même mes parents me reprochaient rien eux !
Et voila qu'il repartait dans ses délire de fou vieux tout mou ,Chignin ma maison une porcherie ! N'avait il jamais vu une ferme le vieux ? Et qu'avaient ils mes vêtements ? je les aimais moi !
Les brûler ?
Cette fois c'était définitif je savais que j'avais à faire a un fou .
A ce moment je pensais à Vitoria si il avait osé lui dire la même chose de ses robes ,elle lui aurait surement sauter dessus pour le griffer et cela me fis sourire de l'imaginer .
Pis les vêtements c'était pas urgent ,j'avais faim moi .

Voila maintenant que mon prénom devait changé THEOPHILE c'est moche ça donne froid dans le dos un prénom pareil et en plus ça me remplissais pas l'estomac !
Il voulais que je me déshabille .Essayons quelque chose .

Je me déshabille si l'affeux bonhomme m'appote à manger .J'ai faim moi .Mon vente fait plein de buits et si vais tombé malade sans manger moi ,le medicaste souvent il dit que doit fai'e a'ention ,je tombe souvent malade moi .
C'est pas ce que vous voulez maite !


Voila je tentais le tout pour le tout .Et je mentais pas en disant que j'étais fragile de santé .le moindre cour en d'air et je toussais .
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--Roderick_de_vandimion
Celtic avait suivi des yeux sa mère et sa belle sœur qui s'éloignaient en devisant.
Il s'enfonçait dans son dilemme quand Scapin vint le trouver pour l'aviser qu'il avait trouvé des traces montrant qu'un homme s'était caché dans les buissons auprès de l'endroit ou jouait l'enfant.

Roderick, laissant provisoirement de coté ses sombres pensées se leva et suivit son valet.

Sur place, Scapin lui montra des branches écrasées et surtout des empreintes légères avançant vers le buisson et les mêmes plus marquées en sens inverse.
Cette constatation n'arrangea pas l'état d'esprit de Roderick.
Il se sentait un peu perdu.

Malgré tout il espérait que ce n'était pas l’œuvre de Roderick l'ancien mais celle d'un simple vault néant.
Après tout cette demeure était isolée et il n'était pas très difficile de repérer discrètement les lieux et les habitudes et, le moment venu, passer a l'action.
Mais il connaissait suffisamment son père pour savoir qu'il était fort capable de ce genre d'action.

Machinalement il fit coulisser de la main gauche son épée dans son fourreau.
Il partit vers l'entrée de Chignin avec l'intention d'en faire le tour pour déterminer le point d’accès.
Le galop d'un cheval le fit sortir de ses réflexions

Il leva les yeux et vit arriver un cavalier qui dodelinait de plus en plus à chaque pas du cheval .

Roderick se précipita vers le cheval et vit tomber son frère, le visage ensanglanté, les yeux mi clos et la peau excessivement pâle.
Scapin, plongeant, réussit a lui glisser les deux mains sous la tête au moment ou elle allait frapper le sol.

Roderick écarta le cheval et se baissa a coté de Nerval remarquant au passage le sang qui coulait de sa tete.
Le visage, tuméfié d'un coté prenait une vilaine couleur.


DE L'AIDE

Le cri avait fusé sans même qu'il ai pensé le dire.

Il regarda Scapin
Vas t'en quérir une planche que nous puissions le transporter.

La valetaille arrivant, Un regard du celt les empêcha de trop s'approcher, Roderick envoya une servante prévenir Jehanne.
Scapin enfin revint avec une longue et large planche.
Roderick aidé des palefreniers installa son frère dessus...
Vitorria_eva
Les émotions ben ça fait dormir, le père était parti à la recherche de son frère. Elle s'était allé dans les bras de sa mère, le sommeil la gagnant. Ce sommeil n'était pas comme les autres fois, plein d'agitation. Elle avait peur. Emeris apparaissait dans un labyrinthe miteux, mais quand elle s'approchait de lui, il disparaissait pour réapparaitre encore plus loin. Elle courait dans ce dédale, entendant sa voix, elle la suivait cette voix. Mais où était-il ? Son frère n'était pas là, son cauchemar ne faisait que le confirmer.

Elle se réveilla d'un coup en sueur toujours contre sa mère. Elle s'essuya le front puis la regarda d'un air complètement désespéré.


Moman, Eme'is en danger ! Faut que tu l'aides ! Ie veux mon f'è'e.

Les larmes avaient gagné son désespoir, la petite pourtant habituellement pleine de malice avait laissé place à la tristesse. Il lui manquait, il fallait qu'ils bougent, qu'ils agissent, elle ne pouvait plus le supporter.

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Jehanne_du_genevois



Un moment de profonde solitude ....

Assisse au salon avec la mère de Nerval je songeais à mon fils a ce qu'il endurait en ce moment berçant tout contre moi sa soeur Vitoria .Je n'avais point le gout de faire la conversation .
Tout se brouillait en mon esprit ....
Emeris enlevé ...Qui sait ce qu'on pouvait lui faire ...Je frissonnais d'horreur chassant ces pensées horribles d'un geste de la teste .
Et Nerval partit seul à cheval ...
A lui aussi tout pouvait lui arriver vu ses compétences à cheval .Il pouvait estre n'importe ou blesser gravement .Qu'il estait difficile de rester là sans rien faire .
Attendre ...
La patience et moi ...
Je ne savais pas si Farnèse me parlait mais mon esprit vagabondait bien au dehors de ces murs afin de trouver réponses à mes angoisse .Quand mon edelweiss se réveilla en pleur et en proie d'un terrible cauchemar .
Je la consolais comme je pouvais .Son désarroi je ressentais le mesme .Il me fallait trouver les mots justes .


Mon petit ange papa est partit le chercher .Il va te ramener ton frère .
Tu verras cela ne sera plus long .



Il me sembla entendre des bruits de sabots de cheval .
Des nouvelles ?
Quelqu'un qui aurait retrouvé Emeris ou Nerval blessé ?
Car jusqu'ici je dois bien avouer que l'aide demander se faisait absente .
Il est vrai qui cela pouvait bien importer qu'un enfant ... De nobles de surcroît disparaisse .J'arrivais mesme à penser que certains devaient en rie et mesme festoyer .
Le malheur des uns fait les bonheur des autres disait on et cela s'avérait bien vrai malheureusement .

Un grand cri me sortit de ma torpeur.


DE L'AIDE

Sans réflechir je déposais avec délicatesse Vitoria dans les bras de sa grand mère et couru jusqu'au perron .A deux reprises je me pris les pieds dans ma robe ...Satanés vestements de femmes qui gênaient plus qu'autre chose .
En haut des marche une servante me rentra dedans et il se retrouva le séant à terre en marmonnant des excuses confuses mais mon regard se portait déjà vers l'homme porter sur une planche par plusieurs hommes .

Il en faut pas plus pour que je m'élance à leur rencontre .
Nerval...
Il estait mort ?
Non juste blessé et tuméfié surement du à une rude chute mais Zéphyr avait su le ramener ici à Chignin .

Un regard vers Roderick pour savoir si cela estait grave mais son visage estait fermé .Un trait de famille ...
Il fallait que je me reprenne ...

Portez le à la blibliothèque !
Je vais chercher le médicastre au village de Chignin .
Sarah sera quoi faire en attendant !


Sans réfléchir je pris un des chevaux que les palefreniers ramenaient aux écuries quand Nerval estait arrivé .
Point de temps à perdre a choisir sa monture .
Le village estait fort peu loin .
Je sautais sur le cheval ...Oui en robe pas pratique mais en remontant ses jupons c'est possible et pis là y urgence donc la tenue on s'en moque pas mal ...
Je partis en un éclair vers Chignin chercher le médicastre .



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Alinoe_de_chenot
La petite duchesse avait galopé avec ses gardes, des qu'elle avait reçu la missive. Il s'était passé combien de temps ? elle ne savait pas.
Son filleul enlevé par le grand père, c'etait une histoire à dormir debout.

Il faut dire que Nerval ne parlait jamais de son père, Alinoë avait cru qu'il n'en avait pas, que celui-ci était mort. Finalement, il s'averait être un individu louche et mauvais. On ne pouvait être que mauvais quand on arrahcait un enfant à ses parents. Sur la route entre le chateau et le village, elle vit arriver une cavalier en pleine course, la jeune fille sortit son épée et fit signe aux gardes de faire de même


- Qui êstes-vous ??? Que faites-vous sur les terres de la Baronne ?

Là, la jeune fille était dans l’état qu'il fallait pour trucider n'importe quel malveillant.
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Jehanne_du_genevois



En route pour trouver le médicastre

Me voila partie , chevauchant à bride abattu afin de ramener au plus vite l homme medecin pour qu il soigne Nerval , je priais en mon fort intèrieur pour qu il n est rien de grave ....
Une chute pouvait l avoir griévement blessè .
Je pensais aussi à mon joyau retenu quelque part dans ce maudit duchè , enlevé par un homme ...
Que dis je un monstre qui n'avait que pour seul bien son orgueil mal placé . Pourvu qu il ne lui fasse pas de mal jamais Emeris enfant timide ne se releverait d une telle épreuve si il estait torturé
.
En tout cas il avait su se planquer le vieux leon le cameleon car personne ne l avait vu ni mesme remarqué .
La deception ....
S en suivant la colére contre cet homme que personne n avait vu . Je gambergeais tant que je n entendis point le cavalier arriver sur son destrier noir .
Il avait l air sur de lui .
Quand il m interpella se fut de trop .
Je mis la main automatiquement a la ceinture et en moi je me mis a maudire sèrieusement les robes . Forcement j avais point d èpèe juste une dague cachée sous mes jupons .

Vous qui estes vous pour m’interpeller ainsi sur mes terres ?
Veuillez décliner vostre identité !



Que faire ?
Et si cela estait un des sbires de leon le cameleon ?
Pas trop rèflèchir attendre une rèponse ou le meilleure dèfense attaquer avant que l autre ne le fasse .
Les chevaux piaffaient , celui de mon adversaire avait du galoper pendant un moment il écumait .



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Alinoe_de_chenot
Vous qui estes vous pour m’interpeller ainsi sur mes terres ?
Veuillez décliner vostre identité !


Alinoë sortait déjà son épée quand elle reconnut la voix

- Jehanne !! C'est toi ? C'est moi Alinoë !!

La jeune fille fit tomber sa capuche pour que son amie la voit

- Je suis venue avec deux de mes hommes dès que j'ai lu ta missive. Où vas-tu ? je viens avec toi, tu me raconteras ce qui arrive en route !

La jeune fille ne s'était pas aperçue qu'elle tutoyait la baronne
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Jehanne_du_genevois




Quand l'invitée surprise se dévoila ,la tension se relâche

La personne face à moi et deux cavaliers en retrait ...

"Tu t'es mise dans de beau drap Baronne à partir seule pour seule arme une dague ."
Arf revoilà cette petite voix qui me nargue .


- Jehanne !! C'est toi ? C'est moi Alinoë !!

Alinoé ?
Que je suis heureuse que cela soit toi jeune duchesse .


"Ben voyons saute lui au cou aussi ,manque lui de respect à la Duchesse ,vas y enfonce toi encore Baronne de pacotille ."
Vrai que pour le coup je manquais cruellement de discernement. Entre peur et tension quand tout s'envole en un claquement de doigts on fait et dit n'importe quoi .

Pardon Duchesse de vous parlez ainsi .
Avec tous ces évènements j'en perd mon latin .
Je partais chercher un médicastre pour Nerval qui vient de rentrer couvert de d’ecchymoses .Il a voulu partir seul chercher Emeris à cheval et à cru qui plus est !
Allons y !


Nous repartîmes les quatre cavaliers ...Pas de l'apocalypse Hein entendons nous bien ...
Sur le chemin qui menait au village de Chignin j'expliquais à la jeune Duchesse tous les événements de la journée .
Le vieux léon le caméléon réclamant son héritier .
Nerval le frappant du poing au visage et le mettant dehors .
L'arrivée de la mère et du frère de Nerval et la disparition d'Emeris enlever par le vieux .
La panique de Vitoria perdu sans son jumeau .
Nerval à la poursuite du diamant vert ... Non d'Emeris .Et son retour seul après de multiples aventures avec son cheval mais sans Emeris .
Et encore rien sur les annonce passées de partout en Savoie .A croire que le vieux s'estait volatilisé avec mon enfant .
Rien ...
Personne avait rien vu ...


Voila vous savez tout maintenant Alinoé je crois ne rien avoir oublié dans toute cette horreur.



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--Dame_de_vandimion


Avait-elle réussi à gagner la réelle confiance de sa belle-fille? Elle n’en n’avait aucune idée, ce n’est pas le genre de chose dont elle se souciait. Elle était tout simplement hors d’elle. Jehanne semblait autant en colère ce qui fit sourire Dame Farnèse. Pourquoi? Elle n’en savait rien. Toujours est-il qu’elle ne lui adressa qu’un sourire se voulant réconfortant lorsque Jehanne parla de tuer son mari. Si elle avait pu elle lui l’aurait offert en pâture avec un immense plaisir, encore plus grand peut être que de plonger dans le plaisir avec deux hommes. Ce qui n’était pas rien.

Mais Dame Farnèse n’était point dupe, malgré cette tentative pour oublier en emmenant tout le monde manger, elle ressentait bien le désarroi de cette mère à qui on avait volé son enfant. Dame Farnèse ne savait que dire, elle crut bon de ne rien rajouter et de suivre sa belle-fille. Elle se devait d’être forte et de ne pas repartir dans des pensées ou seul le plaisir est de mise.

Les deux femmes prirent place à la table. La libertine ne brisa pas le silence voulant respecter le souhait muet de sa belle-fille. Elle était présente physiquement mais ses pensées semblaient fort loin. Dame Farnèse ne mangeait pas regardant la nuit s’installer au dehors en pensant elle aussi à son fils qui ne revenait pas. Mais elle tentait de ne rien laissé paraitre, surtout pas devant Jehanne. Elle n’avait nullement besoin de ça. Farnese sursauta quand la petite se mit à crier. Elle cacha son soupire en se disant qu’elle aurait mieux fait de la donner à la nounou et de penser à elle mais elle n’en dit rien.

A peine un appel au secours retentit qu’elle se retrouva sans s’en rendre compte avec la petite chose dans les bras. Que pouvait-il bien se passer? En plus on lui avait mis une chaine l’empêchant de sortir. Et si son fils était mal au point, la jeune fille ne devait surtout pas le voir ainsi. Que faire maintenant… elle caressa lentement mais maladroitement les cheveux de Vitoria la replongeant il y a une vingtaine d’année auparavant lorsqu’elle s’occupait de ses propres filles.


Ne t’inquiètes pas Vitoria, Maman s’occupe de tout, tu peux te rendormir.

Elle tentait de paraitre assurée de ce qu’elle disait bien qu’au fond d’elle elle sentait qu’il y a avait quelque chose. S’il avait osé toucher à son fils elle irait mettre le feu elle-même à son bureau afin de le châtier. Le regard de la Grand-Mère restait bloqué sur la porte ouverte, ses oreilles grandes ouvertes afin d’entendre quelque chose. Pourquoi Jehanne avait-elle confié cette mioche à elle?

Des bruits de pas se rapprochaient de plus en plus et elle vit passer un homme, une planche de bois sur laquelle gisait un autre homme puis un troisième puis un quatrième. Elle mit quelques secondes à comprendre, elle fut prise d’un haut le cœur en comprenant que celui qui était allongé était son fils. Et il lui semblait qu’il s’agissait de Roderick juste derrière. Sa main libre se crispa sur l’accoudoir du fauteuil, la fureur ainsi que la tristesse l’envahissait. Elle s’affolait de plus en plus et ne tenant plus elle se leva gardant Vitoria dans les bras sans y penser et sorti dans le couloir. Sa voix fut bien plus forte qu’elle ne le pensait, elle qui se maitrisait toujours n’y arrivait plus à ce moment précis. Sa voix résonna dans le couloir que les hommes venaient de traverser.


Que se passe-t-il? J’exige des explications et de suite !!!!!
Alinoe_de_chenot
Alinoë chevauchait à coté de Jehanne, elle écoutait ce que lui racontait son amie et elle sentait la colère et le chagrin l'envahir.
Oser enlever le fils de Jehanne, son filleul chéri. Elle briserait chaque os de cet horrible individu.


- Je ne sais que dire, mon amie. Il faut que l'on se dépêche. Si vous voulez, on emmène le médicastre au chevet de Nerval et on continue les recherches, voulez-vous ? Malheureusement, je n'ai pas le talent de ma mère, je suis une piètre guérisseuse, nulle pour ainsi dire. Où habite le médicastre ?


La patience n'était pas le for de l’Impétueuse.
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--Sieur_de_vandimion
[ Dans une taverne de Savoie ]


Je regardais mon Héritier… en m’écoutant il finit par sourire… preuve qu’un peu d’autorité… tout passait… j’allais devenir son mentor… aucun doute la dessus… mais je ne pus retenir un soupire… une chochotte… voilà ce qu’il était… un trouillard… ne sachant que parler… un moins que rien… comme son Père… voulait-il un bain… que je lui peigne les cheveux… et qu’on aille voir son intendante pour l’aider à mâcher sa pomme…

Je passais ma main sur mon visage… que faire maintenant… le réprimander… le violenter une seconde fois… non… ce n’était pas de sa faute s’il était empoté ainsi… tout était de leurs fautes… à eux là-bas… j’optais pour lui faire plaisir… mais je me devais d’être ferme…


Théophile, sache que je vais te faire devenir homme. Tu seras plus tard mon second après avoir étudié avec brillo les arts de la guerre. Un peu de sang de l’ennemi évitera que tu fasses ta pleureuse à la moindre contrariété. On dirait une fille.

Je commençais déjà à le tester un peu… histoire de voir si l’Héritier avait un esprit vif ou pas…

Il te faut t’endurcir. Mais soit pour cette fois.



Grognard !!!!!! Rapporte à manger pour Théophile. Et quelque chose qui se mange vite. Et magnes toi on à pas que ça à faire!

Je regardais de nouveau l’enfant… je le détaillais même… tout en murmurant à moi-même…

Tout ce passe comme prévu. Il sera parfait…
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