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[RP] Les conséquences de l'engeance

--Grognard



Les ordres étaient donné .Trouver des vêtements pour le mioche ne serait pas chose facile à cette heure mais il serait trouvé ce qu'on son maître demandait .Il trouvait toujours un moyen .
Grognar attendit un moment ,pas trop non plus avant de partir ,il scrutait l'enfant et attendait qu'il se déshabille mais le mioche osa répondre au maître qu'il refusait tant qu'il n'avait pas à manger.

Nouvel ordre en plus des vêtements trouver à manger.Chose plus facile il lui suffisait de commander à l'aubergiste un repas rapide ,une bonne souplette et le tour était jouer .

Grognar s'iclina .

Bien maître j'y vais de suite .

Surtout ne pas mettre son maître en colère il pouvait être impitoyable .
Grognar sortit discrètement de l'auberge et sous sa cape se rendit en ville .Voila la boutique du tisserand devant lui .Il crochète la porte entre et cherche .
Voila il trouve enfant des vêtements sans fioriture ,simple bien coupé et sobre comme son maître aime .
Le gamin serait ainsi vêtu un vrai petit soldat .
Grognar un paquet sous le bras rejoint l'auberge .La il commande de quoi restaurer son maître et le mioche.
Mais le regard de l'aubergiste l'intrigue .Tandis que celui ci passe en cuisine Grognar jette un coup d'oeil ,personne ne le remarque et suit l'aubergiste .

Le regard menaçant il l'interpelle et lui demande pourquoi il le regarde ainsi .Grognar impression toujours les gens rien qu'en les regardant et l'aubergiste se met à table .Ils sont rechercher partout .Des affiches envoyé par la mère avaient été passées pour retrouver le gamin .
Satané bonne femme !

Grognar ne pouvait se permettre de le tuer ainsi car tous le monde dans la salle chercherait l'aubergiste .Grognar lui donna une petite bourse et lui souffla tout près de l'oreille

T'as vu personne pigé ! Sinon ta grosse et tes mioches trépasseront par ma lame compris !

Grognar prit une marmite et monta directement dans la chambre .
Il s'approcha de son maître .

Maître l'aubergiste nous à reconnu ,la saleté de mère du gamin le fait cherché partout .Je l'ai menacé de rien dire sinon sa famille en paierait le prix .Mais on est plus en sûreté.
Vitorria_eva
Donnée comme un pli dans les bras de sa grand mère, la petite se blottit contre elle. Elle l'observe, l'admirait, elle était attirée par cette femme, ce charisme. Sa grand mère lui caressait les cheveux maladroitement mais elle aimait ça. Elle se sentait apaisée par ce moment de tendresse. Elle avait vu sa mère partir comme une furie, elle avait tenté de hausser un sourcil, mais n'avait réussi qu'à lever les deux.

Y a un p'oblème g'and mè'e ? pou'quoi te t'embles ? t'es malade ?

La pestouille regardait sa grand mère avec inquiétude, elle venait de crier un ordre, elle l'observait, elle se laissa guider toujours dans les bras de sa grand mère.

Mais qu'est c'y a?

L'agitation qui régnait dans ce chateau ne pouvait que l'inquiéter, elle qui pensait sans cesse de son frère qui n'était plus là, près d'elle pour la protéger.

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Jehanne_du_genevois



A la recherche du médicastre

Le village estait là devant nous .Le médicastre habitait une petit maison sur la place .


- Je ne sais que dire, mon amie. Il faut que l'on se dépêche. Si vous voulez, on emmène le médicastre au chevet de Nerval et on continue les recherches, voulez-vous ? Malheureusement, je n'ai pas le talent de ma mère, je suis une piètre guérisseuse, nulle pour ainsi dire. Où habite le médicastre ?

Il habite la petit maison la sur la droite de la place .
J'espère qu'il est chez lui sinon je sais que Sarah peut palier à certains soins mais pas tous .
Je ne suis guère plus de talent que cela moi aussi pour guérir les gens .
Je sais préparer quelques décoction mais rien de plus .
J'espère que Nerval n'a rien d'autres que des ecchymoses .


Arriver devant la maison du médicastre je frappais fort pour qu'il entende ,la nuit estait tombé sans doute qu'il dormait alors valait mieux frapper fort .
Un jeune homme ouvrit la porte une bougie à la main, les yeux plein de sommeil ...Ce n'estait pas le médicastre .
Quand celui ci me reconnu il s'inclina respectueusement .
Je lui demandais ou estait le médicastre .
Le jeune homme sans doute un apprenti me répondit qu'il estait retenu sur les terres au dehors du village pour un accouchement difficile .

Me voila bien dépité ...
Je ne pouvais priver de soin une femme qui donnait vie avec difficulté du médicastre .
Cela m'estait impossible !
Je remerciais le jeune homme et lui fit comprendre que dès que le médicastre rentrerait qu'il vienne au plus vite au Castel .


Alinoé ...
Je ne sais quoi faire le médicastre est déjà auprès d'un malade ,je ne peux priver un de mes villageois de soins.
Connaissez vous quelqu'un ?
Auris peut estre ?
En attendant rentrons au Castel .


C'estait une des solutions rentrer ....
Retrouver Vitoria qui devait estre paniqué et voir comment se portait mon époux .
On aviserait ...


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Alinoe_de_chenot
- Oui rentrons mais auparavant, je vais envoyer un de mes hommes chercher un de mes médicastres. Il fera vite !

Alinoë donna des instructions à un de ses gardes qui fila tout de suite puis la jeune fille revint vers Jehanne.

- Rentrons vite ! Je n'aime pas du tout la tournure que prend les évènements,

Elle lança son cheval au galop
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--Dame_de_vandimion



Personne ne répondait à la Dame de Vandimion. Les gens avaient disparu tout à coup. Elle allait opter pour un deuxième appel quand la voix de la petite résonna par deux fois à ses oreilles. Que pouvait-elle répondre à cette jeune demoiselle? Il fallait qu’elle trouve puis si un jour sa belle-fille voulait bien la laisser l’éduquer le fait de l’avoir gardé en lui évitant toutes sortes de périples ne pouvait être qu’un avantage. Mais elle n’en n’était pas là. L’inquiétude pour son petit dernier était la plus forte.

Jeune demoiselle, n’ayez point peur. Tout le monde est un peu agité il ne faut pas s’en inquiéter.

Elle avait parlé du ton le plus calme qu’elle pouvait. Elle voulait voir ou ils étaient tous allés, elle se devait de savoir mais d’un autre côté, sa belle-fille lui avait confié sa fille. Et si Nerval était dans un état peu reluisant… il ne fallait pas que sa fille le voit ainsi. Elle était tiraillée entre son devoir de Mère et celui de grand-mère.

Elle inspira lentement cherchant une solution. Il était hors de question de laisser la jeune fille seule dans son coin mais elle devait voir son fils.

La décision était prise, elle s’avança dans le couloir lentement vers la porte entrouverte. Le cœur battant à cent à l’heure elle passa uniquement le visage par la porte afin de pouvoir voir ce qu’il y avait faisant très attention de laisser la jeune fille bien en dehors de la pièce. Sa respiration de bloqua quelques instants en voyant son fils allongé comme s’il était sur un lit de mort. Frayeur de courte durée, il bougeait légèrement et semblait respirer. Il était en vie.

Mais elle ne voulait pas que Vitoria puisse le voir ainsi. Elle décida de faire marche arrière bien que ses bras tremblaient légèrement.


Ne t’inquiètes pas tout va bien Vitoria.

Il fallait qu’elle aille au chevet de son fils mais a qui confier cet enfant. Jehanne n’était pas là, Roderick était occupé, il ne restait que la fameuse Sarah, encore fallait-il la croiser.
--Roderick_de_vandimion


Citation:
Calme jardin,Grave jardin,
Jardin aux yeux baissés au soir
Pour la nuit
Peines et rumeurs,
Toutes les angoisses bruissantes de la ville
Arrivent jusqu'à moi, glissant sur les toits lissent,
Arrivent à la fenêtre
Penchée, tamisées par feuilles menues et tendres et pensives.
Leopold Sedar Senghor


Roderick était en train de se dire que la campagne languedocienne lui manquait.
Depuis son arrivée à Chignin ce n’était que fureur, pleurs et bruits de fer.
Et le pire de tout son père semblait être a l’origine de ces bruits...
Et le pire de tout, tout le monde tenait pour acquis...

Le pire de tout est que ton père est un despote, une ordure prête a tout pour façonner un enfant a son propre égo et tout le contraire d’un gentilhomme malgré sa noblesse de naissance, lui dit une petite voix au fond de son esprit.
Il regarda Nerval, son frère, inconnu il y a encore quelques temps, né après que...

Ah mais dit le... La petite voix repris plus fort... Dis le que tu as été enlevé a ta mère et placé chez des inconnus, dis le qu’après t’avoir placé tu ne l’as revu qu’épisodiquement, réussissant même à l’oublier.

Le Celt soupira.
Un valet apportait un récipient rempli d’eau tiède et un linge propre.
Roderick le prit des mains du serviteur et entreprit lui même de nettoyer le visage de son frère maintenant très pâle
.
Apportez moi un verre de génépi.
Il hésita a mettre une paire de claques a Nerval, ne connaissant exactement l’étendue de ses blessures.
Ce dernier réagissait peu et mal.
Un serviteur apporta le verre demandé.
Roderick le prit et penchant la tête de son frère en arrière lui ouvrit légèrement les lèvres et fit couler le liquide fort dans sa bouche.
Du coin de l’œil il vit la porte s’ouvrir et le visage de Farnèse apparaître brièvement.
Les couleurs revenaient sur le visage de Nerval.
Roderick continua son nettoyage méthodique.

























--Naudeas


Elle était aussi pour les voir à Chiginin. Elle pénétra dans le château, personne ne vint à sa rencontre, elle haussa un sourcil, à chaque fois qu’elle venait dans ce lieu, y avait un problème. Elle continua d’avancer ayant laissant son frison à l’entrée attaché à un arbre. Hmm ca sentait encore le pâté que tout ça. Elle poussa la lourde porte de l’entrée, tout le monde semblait être inquiet. Putrelle de moine pensa l’inquisitrice, y avait bien quelquechose. Elle choppa un coureur avec des linges propres qui semblaient être très pressés, mais d’un regard rempli de haine, elle stoppa net le valet, qui lui expliqua très essouflé ce qu’il se passait. Le baron au tapis, son fils enlevé, son frère à son chevet. Houla trop d’information à la fois, une chose intelligente qu’il avait dit, de le suivre. Elle le suivit donc.

Elle haussa un sourcil, Vitoria était dans les bras d’une vieille frippée, qui que cela pouvait être encore. Elle l’écarta légèrement pour entrer, elle reconnut le frère au bord du lit du malade lui nettoyant le visage. Tsss, d’habitude c’était les femmes qui faisaient. Elle jaugea deux minutes, lui un guerrier, il faisait des mamours à son frère, aia aia, ou allions-nous. Puis elle esquissa un sourire.


Bonjour mon fils, c’est Naudeas, et aussi médecin avant d’avoir prit les ordres. Si vous me permettez de m’occuper de mon filleul. J’ai une façon peut amen, mais je pense qu’il reprendra son esprit. J’espère que vous n’avez pas fait mander des médicastres, ces charlatans ne sont bons qu’à faire mourir et j'ai pas envie de faire une messe funéraire.

Le visage avait reprit des couleurs, bon déjà, il allait pas mourir une bonne chose quoique si un médicastre se ramenait, il y arriverait, elle retroussa ses manches, farfouilla dans sa besace, esquissa un sourire narquois, prit une petite fiole. Il allait pas aimer ce qu’elle allait lui faire subir…


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Jehanne_du_genevois




De Retour au Castel sans médicastre ....Snif

Après qu'Alinoé est donné ses ordres nous repartîmes au grand galop vers le castel .Il fallait que je sache ce qu'avait mon époux cela m’inquiétais et mon joyau ,je n'avait toujours aucunes nouvelles .
Qu'il estait dur de ne point sombrer .
Rester forte quoi qu'il arrive ?
Estait ce seulement possible ?

Je galopais sans vraiment penser à Alinoé qui estait derrière moi .Mon cheval estait lancé et plus vite on arrivait plus vite je serais rassurer sur le sort de Nerval .Je savais Alinoé douée pour la monte et c'est sans doute pour cela que je n'avais pas penser à ralentir l'allure .

La grille se trouvait juste devant nous .Ouverte ...........
Aurait il du nouveau ?
Avant d'arriver au perron je ralentis l'allure de ma monture .La sous les arbres une forme bougeait ,un cheval ...Un frison.............
Une seule avait ce cheval que je connaissais bien .

Mon amie Naudéas estait la .
J'arrestais mon cheval devant le perron et me demandais dans quel état j'allais trouver Nerval mais aussi dans quel état de colère serait Naudéas quand elle serait toute l'histoire .
La curetone allait estre à prendre avec des pincettes ..........

Plusieurs escuyers arrivèrent pour prendre les chevaux épuisés par leur course.
Alinoé sur les talon je me dirigeais droit vers la bibliothèque ou j'avais donner l'ordre d'emporter Nerval avant d'aller chercher le médicastre .

J'arrivais à un moment à ne point manquer .
Farnes avec Vitoria dans ses bras ............
Roderick et Naudéas auprès de Nerval pour les soins ...
Nerval toujours dans les vapes mais ça c'est normal il est toujours dans les vapes .
Un petit flacon sortit de la besace de Naudéas ......
Pour sur Nerval allait revenir parmi nous rapidement avec les méthodes très très douce de sa marraine .


Naudéas mon amie ,heureuse que tu sois la .
Je t'en pris sois douce avec ton neveu préféré .........
J'aimerai garder mon époux vivant et avec toutes ses facultés .





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Alinoe_de_chenot
Une course effrénée, Jehanne et Alinoë galopait mais ce n'était pas une course ludique comme elles auraient pu le faire. Non c'était une course contre la montre.
Il fallait arriver au château le plus vite possible. savoir ce qu'avait Nerval au plus vite. Le soigner et se rassurer pour repartir chercher le fils et filleul. La prunelle des yeux de Jehanne, le premier joyau que Alinoë avait, son premier filleul.

Enfin la grille, les chevaux sont donnés et elles courent retrouver, l'une l'homme de sa vie et l'autre un de ses meilleurs amis.

La scène est finalement rassurante pour Alinoë, le frère de Nerval et une dame, un curé que Alinoë avait rencontré aux joutes. Ils s'occupaient de Nerval et chose Ô combine importantes, ils semblaient savoir ce qu'ils faisaient.

Jehanne fit une boutade, c'était signe qu'elle était rassurée par la présence de la dame.

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--Naudeas


Elle allait passer la fiole sous le nez de son filleul abruti quand elle fut interrompu par la voix de son amie. Elle se redressa pour lui sourire.

Tu connais ma douceur légendaire ma Jeh. Ne t'en fais pas, j'ai pas prit l'option calottes aujourd'hui, on va quand même pas l'achever. Je me suis permise d'entrer, y avait personne pour m'ouvrir et tu connais ma patience.

Elle remarqua une dame derrière, elle la salua d'un signe de tête puis en revint à Neval, toujours sa fiole en main. Elle enleva le bouchon qui retenait l'odeur, elle esquissa une grimace, décidément, le jour ou la fiole se casserait dans sa besace, ca parfumerait pendant un sacré moment de cet odeur nauséabonde.
Fallait être un peu maso dans sa tête pour avoir ça, sur soit, mais bon, ca pouvait toujours servir et là, c'était le cas. Elle se pencha avec un air dégouté se lisait sur son visage, quel andouille, pourquoi elle avait pas mis un chiffon autours de son visage. Elle passa la fiole sous le nez de Nerval, si ça, ça ne le réveilla pas, elle devrait pratiquer la manière forte et ça ferait encore frémir sa Jeh.

Naud referma vite la fiole ne pouvant supporter plus cet odeur, il faudrait qu'elle pense à demander de l'eau pour au moins se laver les mains quant à Nerval, cela lui restera un moment dans le nez. Ca devait marcher, l'odeur l'avait fait réagir, maintenant il fallait attendre qu'il se décide à ouvrir les yeux.


Pourrais je avoir de l'eau propre pour que je puisse enlever cet odeur qui a réussi à m'imprégner les mains, je te prie ma Jehanne, c'est infecte ! Quand il se réveillera, on pourra s'occuper de ses blessures, mais pas avant, on va pas s'occuper d'un endroit ou il n'a pas mal. Des linges propres et de l'eau suffiront pour l'heure. Qu'on ouvre aussi les fenêtres, j'en peux plus de cette odeur affreuse !

Elle regarda la dame derrière Jehanne prennant le temps d'enfin l'observer, annexant toujours la vieille frippée qui semblait elle aussi, inquiète. Mais pourquoi l'étaient-ils tous ainsi ? Il allait pas mourir, il avait juste prit un mauvais coup, la prochaine journée serait la plus cruciale, pas la. Elle allait sortir une aiguille aussi de sa besace.

Bonjour ma fille. Au fait qu'on le déchausse aussi !

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Aurisdelaastor

Quand elle était à Fontcouverte, aucune nouvelle de l'extérieur ne lui arrivait, sauf messager spécial, et il en était de même lorsqu'elle était à son hôtel chambérien ou au manoir qu'elle avait conservé comme pied à terre, lors de ses passages à Bourg .. Même dans ces villes animées, elle ne sortait pas, et ne recevait donc de nouvelles que de ce qui passait par le Conseil, où elle se trouvait de nouveau .. Enfin .. ne pas sortir était tout relatif .. elle se déplaçait, évidemment, pour de longues promenades dans la campagne ou en forêt, quand ce n'était pas dans la montagne, ou encore pour aller travailler au château, mais elle ne s'attardait pas en ville, c'est le moins qu'on en pouvait dire ..

Il fallut qu'un de ses valets soit un jour retardé par un accident de charrettes alors qu'il allait chercher le ravitaillement de la semaine pour les cuisinières, et aille se réchauffer d'une soupe en taverne en attendant que la route se dégage, pour qu'il entende des rumeurs, voie par lui même le courrier affiché à la vue de tous, notant même les noms sur le parchemin de la liste de courses, ''Chignin, Jehanne du Genevois, père de l'époux, carrosse armoiries Vandimion'' .. Oui, ça lui ferait une histoire à raconter en rentrant, et il rapporta bien sûr ce qu'il avait compris de l'affaire aux cuisinières aussitôt qu'il rentra à la maison .. Les cuisinières en parlèrent aux femmes de chambre, et ça arriva aux oreilles de Ginette, l'intendante, qui ne se préoccupait pas trop des potins en règle générale, mais il y avait des noms qui lui avaient été familiers à une certaine époque burgienne dans ce qu'elle entendit, et dès qu'elle rejoignit sa maîtresse, elle lui raconta ce qu'elle avait entendu ..

Auris en fut atterrée, à vrai dire elle ne savait pas de quand datait l'évènement, mais il fallait qu'elle écrive séance tenante à celle dont elle avait été une amie très proche pendant une certaine période, avant que la vie ne les sépare .. Elle se précipita vers son secrétaire, et prépara un courrier à l'attention de Jehanne, les doigts tremblants,à la fois d'inquiétude, mais aussi de rage qu'une telle chose puisse arriver .. Plusieurs fois elle dut recommencer, et ne put réussir que lorsque elle se fut un peu calmée, une tisane de tilleul aidant .. elle n'osait plus, vu tout ce temps passé, la tutoyer comme avant .. Trop de temps avait passé pour qu'elle ose se le permettre .. Elle déchira son quatrième parchemin et recommença .. Dans l'intervalle, Ginette avait récupéré le pigeon nécessaire à l'envoi, et l'encre une fois sèche, il reçut son chargement et fut lâché directement par la fenêtre ..


Citation:
Chère Baronne, très chère Jehanne,

Je viens d'apprendre par hasard le malheur qui atteint votre famille. Ainsi donc, l'enfant que vous attendiez lors de mon mariage était un fils ..

Oui, je sais, nous n'avons pas été des plus proches ces temps derniers .. j'avoue même imaginer avec difficulté à quel point vous avez pu changer depuis que vous êtes mère ..

Mais je ne suis pas là pour discourir de pilosophie ..

Je veux juste vous dire combien je suis désolée de ce qui se passe pour votre fils, et j'espère vraiment que très bientôt tout ceci ne sera plus qu'un mauvais souvenir.

Je doute de pouvoir y faire quelque chose, mais néanmoins si par hasard je vois quelque chose de suspect, je ne manquerai pas de vous en avertir.

Et s'il y a autre chose que je puisse faire, sinon entrer en retraite pour ne faire que prier afin qu'on retrouve votre fils, faites-le moi savoir, car en un cas aussi grave, je suis évidemment à votre disposition.

Je vous embrasse tendrement
Auris dLT


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Jehanne_du_genevois




Un pigeon ............ De l'espoir ...........

Un sourire s'afficha sur mon visage .
Naudéas maugréant comme à son habitude .La vie de Nerval entre ses mains je sus que tout se passerait bien .
Apparemment rien de bien grave .
De la fatigue des écorchures et un évanouissement .
Une fiole ............
Une odeur plus qu'infecte ...........
Si Nerval se réveillait pas avec cela je le réveillerais moi mesme à grand coup dans le fondement pour nous faire supporter cette abject et fétide odeur .


Naudéas ,mon amie je sais que tu prendra soin de ton filleul .

Et qu'on apporte ce que Dame Naudéas demande et qu'on aère la pièce aussi par pitié sinon on va tous mourir de ne plus respirer .


Me tournant vers Alinoé .

Mon amie vous vous souvenez de Dame Naudéas surement ?

Comment oublier une cureton qui passe son temps a râler ...
Un page entra plissant le nez ,je le comprenais le pauvre et me glissa une missive et repartit aussi vite qu'il estait entré .

Je m'excusais pour aller la lire dans mon bureau .
Impatiente de savoir si cela estait de bonne ou mauvaise nouvelle .
Je regardais attentivement le sceau et reconnu celui d'Auris ,mon amie de longue date .

Une réponse s'imposait de suite .



Citation:


Auris mon amie ,Dame de Foncouverte,

Auris si tu savais combien ta lettre en ce moment pénible me touche .Je sais qu'après la naissance des jumeaux et la guerre en Savoie je n'ai point été beaucoup auprès de toi mais en pensées tu es toujours présente .

Il est vrai que devenir maman de jumeaux m'a prit beaucoup de temps et je n'ai pas donné de nouvelle lors de nos six mois de voyage au BA et ni à nostre retour .

Il faut que mon fils ,mon joyau Emeris soit enlevé pour que nos liens distendus renaissent .
Je sais que je peux compter sur toi mon amie si quelque chose te revenait aux oreilles sur mon fils .
J'ai remarqué aussi ton vouvoiement et cela me fait tout drôle .Ce n'est pas parce que l'on ne se voit pas souvent ou nous nous écrivons peu ou plus que tu n'es plus l'amie que tu as toujours été pour moi .En mon coeur tu es toujours présente mon amie .

Merci pour ta missive qui me touche et me redonne du courage .

Je t'embrasse .
Ton amie
Jehanne .



Je fis repartir le pigeon vers Fontcouverte et rejoignis le groupe à la bibliothèque .

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Nerval
Des bruits lointains, la mer est agitée surtout les murs, pourquoi le carrosse est-il dans la boue? Heureusement les ailes ça aide à nettoyer les roues. Et à la force des bras Nerval arrive à sortir de ce trou béant qui était en train d’engloutir le raton laveur. Une épée à la place de la main il escalade la cascade de vin de Chignin, surtout ne pas boire, surtout ne rien boire sinon la taupe va rentrer dans sa grotte.

Et là, au loin, oui… Emeris est là, attaché contre un arbre, alors qu’une pluie rouge inonde le tapis violet. Le Sieur Poète au bras transformé en une épée de feu hurle de colère. Le silence se fait, que fait Jehanne assise la a ses cotés sans bouger, pourquoi Mère part avec un homme dans la chambre du fond? Ha non ça c’est normal mais il faut faire attention Roderick prend un bain là. Et Vitoria, pourquoi est-elle perché en haut de l’arbre ou est attaché son Frère. Et pourquoi a-t-elle autant grandit, et quoi ces vêtements qui lui couvrent presque rien.


Rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

Le Sieur Poète court pour détacher son fils, courant longtemps… longtemps… longtemps… avant d’arriver vers Emeris. Père ne bouge pas, ni Jehanne qui ne regarde même pas. Coupant les cordes qui immédiatement deviennent rouge sang. Des mains gisent à terre. Emeris avance lentement et un mal le ronge d’un coup. Ce sont ses propres mains qui sont à terre. Il lève le bras pour attraper son fils mais impossible, ses mains gisent sur le parquet. L’odeur fétide du corps décomposé arrive à ses narines, insoutenable…

Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

Le souffle coupé le Sieur Poète revient dans la réalité, se redressant vivement, grimaçant. La chute a eu quelques effets sur son corps mais rien de grave. Première chose avant quoique ce soit regarder affoler tout aux alentours, son épouse, sa marraine, Roderick mais… pas d’Emeris. Légèrement tremblant le regard se pose sur ses mains, encore là, son bras n’est pas une épée heureusement. Il se souvient, la chute, la fatigue, Chignin… Quand enfin, l’odeur revient à ses narines le faisant grimacer de plus belle. Il ne peut s’empêcher de se pincer le nez. Et de parler d’une voix nasale.

C’est quoi cette odeur?

Il secoua la tete pour tenter de la chasser. Son épouse avait du s’en apercevoir mais il se devait de lui le dire.

Jehanne, je n’ai pas trouvé Emeris mais je vais reprendre les recherches, je ne dormirai plus, je ne vivrais plus tant que je ne l’aurais pas ramené.

Quand soudain, une idée, que pouvait bien faire sa douce et tendre marraine ici. Quand il était parti elle n’était point-là.

Content de vous revoir ma douce Marraine surtout en cette période difficile pour nous. Et puis…

S’adressant à toute l’assemblée.

Excusez-moi d’être revenu dans cet état. Et par pitié douce Marraine, enlevez ce truc ça me soulève le cœur.

Le corps le faisait légèrement souffrir, surtout la fatigue qui était intense mais peu importe, cela n’avait que peu d’importance il y retournerait encore et toujours.
_________________
--Naudeas


Bon ben déjà, il la reconnaissait ce qui n'était pas un mal, la fiole avait été vite refermée, la nausée lui montant aussi. Pouarf, elle en avait de ses idées, elle par moment. Pfff, y avait pas idée, cet andouille de fillot qui passait son temps à se prendre pour un bouffon. Elle le regarda son visage était légèrement tuméfié, bah, ca lui allait presque bien.

Maintenant, elle devait vérifier si tous les membres, enfin surtout les jambes allaient. Ne sait-on jamais comme il s'était éveillé pour se plaindre, ben fallait bien qu'elle trouve une issus pour vérifier. On avait déchaussé les bottes de Nerval, lui enlevant aussi les bas, eurf, l'odeur de la transpiration, ne la gênait pas. Les âmes autours, ne semblaient pas fragile. Elle avait une aiguille en main, le regardant, elle lui piqua les orteils avec. Des petites perles de sang se formaient ou l'aiguille avait fait son oeuvre, ce qui l'amusa quelque peu.

Elle le regarda, ben ça avait l'air d'aller, enfin, il allait pas mourir de suite. Les prochains jours seraient vitaux, vu le coup qu'il avait prit à la tête, la prochaine, il aurait qu'à porter un casque. Elle partit préparer dans un mortier quelques herbes comme la camomille, du thym pour apaiser surement le mal de tête qu'avait du provoquer l'attaque.


Ma Jehanne, j'ai le regret enfin le bonheur de t'annoncer qu'il va pas mourir maintenant, il a juste prit un mauvais coup. Mais il devrait s'en remettre. Par contre, qu'il s'engaillardise, on dirait une fillette. Même ta chiarde pourrait le battre.

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Jehanne_du_genevois




Toujours sans nouvelles du joyau ....L'époux râle il va mieux .....

Après un bref passage à mon bureau pour répondre à mon amie Auris je revenais a la bibliothèque alors qu'un grand râlement retentit.
Et oui l'infecte odeur avait fait son oeuvre et voila un Nerval bien réveillé .

Une pointe d'humour de la part de Naudéas .
Elle avait pas tord.
Quoi qu'au vu des paroles de Nerval tout n'estait pas très clair en son esprit .A peine remit de son roupillon qu'il voulait repartir .Mais Naudéas en avait pas finit avec lui .


Mon amie Je vois en effet qu'il est bien vivant mais il à l'air de délirer .Repartir à Cheval seul chercher son fils prouve qu'il a plus toute sa teste .Prions pour que cela ne soit point trop grave .

Si il croyait que cette fois il partirait seul battre la campagne de Savoie pour chercher son fils il se mettait le doigt dans l'oeil .
Et si il se raisonnait pas ...
Comment dire .......
Un bon coup de pied au fondement peut estre le ferait tenir tranquille un moment ou les douves ..........

Quoiqu'il en estait la nuit estait tombé ,un nuit sans lune qui ne faciliterait pas les déplacements .
L'épuisement de la journée avait mit les nerfs de tout le monde à rude épreuves .
Et il nous fallait partir en groupe pas faire comme Nerval au risque de revenir dans son estat .
Je regardais tout le monde .
Non il y avait que lui pour se mettre dans une telle situation .
Tout le monde savait monter à cheval ...........
Sauf lui .

Je voulais l'avis de Roderick qui estait bien plus habitué a ce genre de situation que nous tous .
Mais avant cela il nous fallait quand mesme prendre des forces et nous organiser .Je demandais à Sarah de faire le nécessaire pour que l'on puisse tous icelieu manger autour du malade imaginaire et mestre en place un plan .

Si seulement on avait eu aide extérieur mais rien .
Sauf Alinoé qui avait accouru et Auris qui surveillait .....
Sinon .......
L'angoisse revint au galop en pensant à mon petit garçon seul avec léon le caméleon et son vil acolyte et vil estait un bien faible mot .
Tout se melangeait en ma teste .
Je voulais partir de suite à sa recherche ...Comme Nerval sans réfléchir et j'estais en mesme temps tirailler par la raison qui m'ordonnait de mestre un plan en oeuvre.
Une prière silencieux tandis que Naudéas piquait les orteils de Nerval pour juger de sa santé physique ....
Pour le mental .....

Je récupérais Vitoria pour l'amener vers son père qui avait des bleus mais rien de dramatique .Il fallait qu'elle soit rassurée elle aussi ,voir que son papa allait bien .
Elle plissa le nez en s'approchant de lui .
J'attendais le commentaire de la mini tornade sur l'odeur .

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