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[RP] Les conséquences de l'engeance

Alinoe_de_chenot
Alinoë avait observé Nerval. Elle était satisfaite ce que qu'elle avait vu.
Bien sur il y avait beaucoup de travail mais il était indéniable qu'il voulait apprendre et de plus l'intelligence de son ami lui permettrait d’acquérir vite les rudiments dont il avait besoin. Le duel se gagnait avec l'épée certes mais aussi avec le coeur et la tête
.

- Le sommeil me fuit quelques fois, de plus en plus souvent. Maintenant, Nerval. Attaquez une fois et défendez-vous après en parant avec votre bouclier, comme ceci ! Mon père vous expliquera mieux quand il viendra en attendant on commence !

Elle lui montra ce qu'elle voulait qu'il fasse.

- Attaquez-moi !

Elle n'avait pas de bouclier, elle. Mais Alinoë savait se battre et se défendre sans. Elle avait ramassé une branche qui lui servirait d'épée.
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Nerval
Elle non plus avait du mal à mettre des mots sur ce qui s’était passé. Nerval le voyait fort bien. Mais plus que la peine qu’elle devait avoir pour son filleul elle voulait que son Père le récupère. Elle était pressée et voulait contribuer à sa formation accélérée même si elle n’avait pas les armes adéquates pour l’entrainer. Le nouveau sauvage posa sa lame à terre.

Je ne puis vous attaquer sans protection. Vous êtes assurément plus forte que moi je n’en doute pas mais un coup chanceux et vous voila embrochée. Je ne veux pas que cela arrive. Prenez donc les armes du patin et je vous attaquerais…

Les derniers mots n’étaient pas dits avec grande conviction. Déjà attaquer tout court n’était pas une chose innée chez lui, mais attaquer une amie et en plus désarmée cela ne se faisait pas du tout. Un regard lancé vers les fenêtres des chambres, un léger soupire pour prendre du courage et oublier les mains qui le brulaient déjà. Il releva sa lame de l’enfer attendant qu’Ali se tienne prête.
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Thorgus
Laclemanus avait eu du mal à quitter son lit, il serait bien encore resté dans les bras de cette charmante servante si celle-ci ne s'était levé pour reprendre son service afin que tout soit en ordre. Il ne saurait dire son nom, mais de son corps, il pourrait le décrire les yeux fermé, ayant des ses mains parcouru chaque centimètre de sa peau. Et quelle fougue avait elle eu durant cette nuit, il espérait que cela était passé inaperçu et il en contemplait le résultat dans la chambre en désordre pendant que la soubrette finissait de tout mettre en ordre avant de sortir.

Il s'en voulait de s'être laissé aller au simple plaisir des corps alors qu'il avait été invité pour venir en aide à ses hôtes, mais il avait eu besoin de cela pour se changer les idées et repartir gonflé à bloc dans ce que l'on attendait de lui.

Une fois seul, il se leva et s'habilla après un brin de toilette pour sortir faire un tour avant que tout le château ne soit réveillé. Dehors il marchait tranquillement, ramassant un grand brin d'herbe et se dirigeât d’où provenait des bruits et des sons de voix.

C'est appuyé contre le mur, mâchouillant son brin d'herbe que Laclemanus observait Nerval, aidé d'Alinoë.
Alinoe_de_chenot
Alors qu'elle allait prendre l'épée, Alinoë se senti observée, elle tourna la tête et vit son père.

- Bonjour Père, vous tombez à pic. Nerval a commencé son entrainement. Je vous laisse donc la place.

Elle alla vers lui et lui fit une bise sur la joue

- Vous piquez !

Puis s'adressant à Nerval

- Je vous laisse en meilleures mains que les miennes. Je vais prendre une collation. A tout à l'heure !

Et elle repartit en courant et en chantant vers le château. Le ciel s'éclaircissait et le froid vif qu'elle aimait lui avait chassé les idées noires. Du moins pendant cet instant.
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Nerval
L’homme qui tombe à pic. Enfin un peu trop, à peine avait-il eu le temps de voir Laclemanus arriver qu’elle était en train de bisouiller son père, de lui faire un reproche et ensuite la voilà partie au loin. Nerval n’avait pas eu le temps de dire un seul mot.

Il fronça les sourcils en regardant son ami qui était là pour l’aider à l’entrainement. Il esquissa un sourire bien qu’il ne comprenait pas pourquoi la jeune Duchesse était partie si vite. Elle tentait de le cacher un peu comme tout le monde mais elle était aussi déstabilisée que lui.


Laclemanus, je ne pensais pas vous voir si tôt. Votre fille me donnait un cours avant votre arrivé. Par quoi devons-nous commencer. Je serais un élève attentif.

Il leva le bras et posa l’épée sur son épaule faisant bien attention de ne pas la mettre sur le tranchant. Il ne manquerait plus qu’il se tranche lui-même un bras et ce n’était pas le moment de faire son Nerval… enfin son maladroit.
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Thorgus
Laclemanus n'eut pas le temps de regarder longtemps Nerval s'entrainer car sa fille l'avait remarqué et prestement l'avait saluer avant de repartir dans un...

Je vais prendre une collation. A tout à l'heure !

- J'espère que tu ne mangeras pas tout et nous en laissera.

Un sourire s'esquissa sous sa barbe naissante et Nerval le rejoignit.

- Si tôt? Faut dire que plus rien ne me retenait dans mon lit...Enfin je suis là et j'ai pu vous observer un peu.

Il vous faut tenir le pommeau de votre épée plus fermement, ce n'est pas une plume, tenez là qu'elle ne bouge pas. Chaque fois que vous frappiez le mannequin, vous donniez un coup en partant avec le tranchant de l'épée et durant le geste, l'épée bougeait et vous ne frappiez à l'arrivée qu'avec le plat de l'épée. Il faut savoir si vos coups sont pour blesser et pour tuer ou s'ils ne sont que pour donner des bleus à votre adversaire.
Il vous faut tenir fermement l'épée, qu'elle suive les mouvement que vous lui donnez et ne pas la laisser agir à sa guise, ne voyez pas cette épée comme un objet mais comme le prolongement de votre bras pour donner les coups que vous désirez assener.


Il ne voulait se montrer désobligeant envers Nerval, mais le temps était compté et il fallait directement au fond des choses sans tergiverser.

- Pour commencer, je voulais vous poser une question.

Ce duel avec votre père, vous voulez le faire en jouant les grands seigneurs ou combattre pour gagner, quelques soit la façon de se battre?
Parce que c'est totalement différent et vu le peu de temps, la deuxième solutions me semble la meilleure pour vous.


Il jeta son brin d'herbe qu'il avait fini de mâchouiller.


- Étant donné le but de votre duel, la façon importe peu, seul le résultat compte il me semble.

D'un pas assuré, il se dirigeât vers le mur et y prit un bouclier.
Jehanne_du_genevois




Au petit matin dans la chambre de la petite Princesse

Ce fut Sarah qui entra doucement qui me reveilla .Je tenais toujours Vitoria contre moi et mon edelweiss dormait à point fermé .
Emotions et chamboulement avait eu raison d'elle et profitait d'un sommeil réparateur .

Je sortis doucement du lit la laissant prendre tout le repos nécessaire .

Sarah m'expliqua rapidement que mon époux avait déjà commencé l'entrainement avec la jeune Duchesse Alinoé .
Ils n'avaient point pu dormir pour estre déjà en place tout les deux .
J'avais eu la chance que Sarah m'est apporté une décoction pour trouver le sommeil et j'avais rapidement sombré sans faire un cauchemar .Mais maintenant il estait l'heure .

Un rapide passage dans ma chambre , ablution, changer de tenue et direction les cuisine pour prendre une bonne collation .

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Alinoe_de_chenot
Alinoë avait laissé son père avec Nerval. Pour qu'un apprentissage soit efficace, il ne faut qu'un seul professeur.
Elle entra dans la cuisine pour voir s'il y avait quelque chose à manger. Alinoë ne savait pas si le déjeuner serait servi dans la salle et à quelle heure. Il faut dire qu'avec l’enlèvement de Emeris, Tout était désorganisé et Alinoë ne savait pas si Jehanne avait une gouvernante.

La jeune duchesse fit un grand sourire quand elle vit son amie.


- Bonjour Jehanne, as-tu réussi à dormir un peu ? J'ai une faim de loup !
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Jehanne_du_genevois



Dans les cuisines .................

J'adorais me retrouver à cet endroit le matin .
Cette pièce estait vivante et les senteurs ouvraient l'appétit .
J'allais m'installer quand une voix plaisante à mon oreille retentit.


- Bonjour Jehanne, as-tu réussi à dormir un peu ? J'ai une faim de loup !

Un sourire étira mes lèvres malgré la gravité de la situation mais la savoir là auprès de moi me réconfortais .
Je lui fit une bise .

Bonjour jolie Duchesse .
J'ai réussis à dormir quelques heures grâce a une tisane que m'a fait Sarah . J'allais prendre un bon déjeuné afin de pouvoir m’entraîner correctement ,veux tu te joindre à moi ?
Par contre j'ai une mauvaise habitude j'adore manger ici dans la cuisine le matin .
Les petits pain tous chaud ,l'animation tout cela me met en forme de bon matin .

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Nerval
Le Sieur Poete qui voulait devenir un guerrier écoutait attentivement la première leçon. Il ne put s’empêcher de grimacer lorsqu’il parlait de porter des coups pour blesser. Déjà porter des coups tout court n’était pas dans sa nature mais en plus pour faire mal… mais il le fallait, il lutterait contre sa nature et ferait ce qu’il faut.

Votre Grace, si je fais ce duel c’est pour reprendre mon enfant, peu importe les moyens, je le ferais. Ne doutez nullement de ma motivation.

Il le regarda partir prendre un bouclier. Nerval reprit l’épée comme il se devait, l’empoignant de ses deux mains. Il devait s’enlever cette appréhension de blesser un ami. Mais Laclemanus savait se battre, il n’aurait aucun mal à tout éviter, il devait s’en convaincre.

Je suis prêt.
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Jehanne_du_genevois



La lune approchant ....Entrainement intensif ....

Il nous restait très peu de temps avant le duel père fils .
Nerval se donnait du mal pour apprendre tous les rudiments des armes et cela n'estait point facile pour lui .Tout comme lui je suivais l'entrainement avec Roderick ,Naudéas et Lac .
Farnèse quand à elle avait comprit que son soutient et son aide auprès de Sarah estait précieuse .
Elle veillait aussi sur Vitoria-Eva .

La petite edelweiss apportait des boissons revigorantes à tous le monde ainsi que des encas .
Elle assumait sa charge avec un très grand sérieux elle savait que la vie de son jumeau en dépendait .

Plus je regardais tout cela plus l'angoisse montait .Ce monstre viendrait il vraiment ou este ce un piège pour faire diversion et partir depuis le départ avec Emeris .
Je ne savais si on pouvait lui faire confiance .

Je redoublais d'effort à l'entrainement .
Mesme si c'est Nerval qui devait affronter son père je m’entraînais comme si ma vie en dépendait .Un défouloir ....

Tout le monde estait à pied d'oeuvre


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Aurisdelaastor

Un pigeon ce matin là arriva à Chignin .. La burgienne avait été pas mal préoccupée depuis quelque temps, mais n'avait pas oublié le drame que vivait son amie .. Voici ce que portait le volatile :



Citation:

Ma très chère Jehanne,

Je suis fort dépitée de ne t'apporter aucune nouvelle .. J'ai dépêché plusieurs messagers dans toute la Savoie, afin d'obtenir des informations utiles sur le lieu où pourrait être retenu ton petit, mais tous sont rentrés bredouilles .. je les ai renvoyés à leurs postes d'observation évidemment, leur demandant de m'écrire plutôt que de relâcher leur surveillance ..

Je n'ai pas pu enquêter moi-même, n'étant pas très vaillante en ce moment, mais là n'est pas le sujet ! Il se trouve qu'on m'a demandé d'escorter quelques marchands burgiens dans un voyage en Bourgogne, et j'y ai vu l'opportunité de pouvoir me renseigner aussi, au cas où quelqu'un là-bas aurait vu quelque chose. Je pars dès cette nuit. Le voyage ne doit durer normalement qu'une semaine. Si je vois la moindre chose qui me semble suspecte je t'enverrai un mot.

Je ne sais pas à quel point en est la situation de ton côté, tout ce que je sais c'est que mes gens me l'auraient dit, s'ils avaient appris le retour de ton fils à la maison ..

Que puis-je faire d'autre mon amie ?
Mon coeur est avec toi de toute façon, essayant de t'envoyer des pensées qui te donnent la force d'affronter tout ça.

Je t'embrasse bien fort
ton amie
Auris dLT

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Nerval
Nerval II le retour

L’entrainement encore et toujours, bouger, se dépenser, tenter de s’améliorer tous les jours, ce n’était pas facile pour lui. Entre crampes et ampoules aux mains mais il n’avait pas le choix. Soutenu par ses amis, par la pensée de son enfant et surtout par le regard de son épouse qui tentait de ne rien laissé paraitre. Et ce n’était pas les dizaines de fois où il lâcha l’épée au moment de frapper, la centaine de fois par jours ou il regardait ses mains dans un état pitoyable. Il n’avait même plus la force de tenir une plume mais que cela ne fasse. Il continuerait encore et toujours.

Tu ne crains la fureur de ma plume animée,
Pensant que je n'ai rien à dire contre toi,
Sinon ce que ta rage a vomi contre moi,
Grinçant comme un mâtin la dent envenimée.


L’épuisement physique mêlé à l’épuisement moral uniquement soutenu par une clé de voute nommée Jehanne. Elle était là à ses côtés, alors il ne râlait pas, ne se plaignait pas, et continuait à frapper ce mannequin de paille ou le bouclier qu’un partenaire tenait. Et pourtant il détestait ça, il détestait ce qu’il devait devenir, il haïssait ce long truc de fer qu’il devait manier, mais dans un cas comme celui-ci il n’avait d’autres choix que de faire ce qui devait être fait.

Tu crois que je n'en sais que par la renommée,
Et que quand j'aurai dit que tu n'as point de foi,
Que tu es affronteur, que tu es traître au roi,
Que j'aurai contre toi ma force consommée,


Le pire était tout de même ce parcours qui avait été créé et où il devait ramper dans la boue et salir ses douces mains. Le dégout de soit augmentait en même temps que la haine qu’il vouait à son géniteur. Il aurait pu mille fois abandonner relâcher son attention, aller sous son arbre et rêvasser, mais un seul regard de son épouse lui redonnait plus de force qu’une nuit sans dormir à penser à ce qui devait très bientôt se produire. Parce que oui ces nuits ou le plaisir d’être en sa compagnie illuminait la pièce n’était plus, l’inquiétude faisait des dégâts et c’était bien légitime. Lui seul savait la manière dont elle aimait ses enfants et la peur qui se terrait au fond d’elle. Un simple bras courbaturé autour d’elle, les yeux grands ouverts et la nuit se passait sans un mot pour ne pas se briser. Le jour du combat il ne serait pas seul, elle serait avec lui, en lui tout le long.

Tu penses que je n'ai rien de quoi me venger,
Sinon que tu n'es fait que pour boire et manger :
Mais j'ai bien quelque chose encore plus mordante.


Il avait chaque soirs du mal à lever la jambe pour monter à l’étage, chaque pas était un supplice mais nul plainte. Il en endurait surtout lors des combats à mains nues ou il sentait à chaque mouvements son corps se briser en multiples morceaux. Et pourtant il se relevait et retournait devant ses entraineurs pour s’améliorer. L’attaque à cheval fut mémorable, lui qui adorait ces sales bêtes. Un miracle que le Sieur Poète ne se soit pas cassé quelque chose…


Et quoi ? l'amour d'Orphée ? et que tu ne sus onc
Que c'est de croire en Dieu ? non. Quel vice est-ce donc ?
C'est, pour le faire court, que tu es un pédante.*


Le grand jour arrivait, et avec lui le stress. Chaque secondes se faisaient de plus en plus rapide, s’était-il amélioré ou pas assez ? Le doute qui s’immisçait en lui le rongeait. Mais il n’en disait nul mot, il se devait d’être à la hauteur… cette fois ci…



*Joachim DU BELLAY (1522-1560) Tu ne crains la fureur de ma plume animée
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--Grognarrd
Le jour que son maître attendait temps était enfin arrivé.Non seulement il allait se battre en duel contre son bâtard de fils poète et avoir l'enfant pour en faire un grand commandeur .
Grognard devait se charger du mioche .
Quoiqu'il arrive il devait partir avec .Jamais son maître le rendrait .
Grognard enroula le mioche a moitié endormie et à moitié drogué pour evité tous cris le temps du voyage jusqu’à la porcherie de Chignin .

Son maître était prêt ,il avait revêtit sa cote de maille et tout le tintouin pour se battre contre la larve .
Grognard sentait d'avance la victoire et il pourrait aller se payer des pintes ce soir afin de fêter ça et trouver quelques donzelle pour agrémenter le tout .

Ils se dépêchèrent de rejoindre le coche l'enfant commençait à gigoter.
Enfin sur les chemins ils arrivèrent devant les grilles.Plus de gardes que la dernière fois .Grognard devrait se méfier deux fois plus pour se sauver avec l'enfant quand son maître lui en donnerait le signal .
Jehanne_du_genevois




L'attente ......


Une missive me fut apporter pendant que je préparais avec Sarah une décoction non pas pour réveiller un mort mais plustot pour faire dormir un bon moment .
La missive venait D'auris .
Je partis rapidement dans mon bureau pour la lire et lui répondre .


Citation:

Chère Auris ,

Emeris ne se trouve point encore dans mes bras mais cela ne serait tarder .En effet le père de Nerval à décidé de nous le rendre si son fils Nerval remportait le duel qu'il lui à lancé .
Tu connais Nerval et son aversion des armes combats et ainsi de suite .
Il a subit un entrainement forcé afin de pourvoir rester en vie et gagner pour que nostre fils soit rendu .
J'espère tout simplement qu'il n'y aura point de blessé car le médicastre de Chignin est absent .

En tout les cas j'apprécie ta missive et ton soutient ma douce Auris et si tu veux venir à Chignin tu sais que la porte est toujours grande ouverte pour toi et il est vrai que dans des cas comme celui ci la présence des amies est précieuse .

Ton amie qui t'aime
Jehanne



Je fis repartir le pli immédiatement .
Je sortais de mon bureau quand un page un peu affolé me rentrait dedans il s'excusa et rapidement m'annonça qu'ils étaient là .Pas le temps de le réprimander .
Je courus en cuisine pour voir Sarah la décoction estait preste
La tisane à la main je rejoignis mon cher et tendre époux qui semblait un peu nerveux mais comment ne pas l'estre .

Mon aimé je vous ai fait préparer une décoction pour vous détendre et faire en sorte que vos réflexes soient rapide .

Je lui tendis la décoction enfin la potion dodo.
Il la bu lentement devant la fenestre regardant son arbre sans doute pour y puiser sa force .Sarah et un page attendait derrière la porte pour le moment venue .
J’espérais que ma Naudéas viendrait le surveiller .

En un rien de temps il commença à vaciller ,je vins vers lui tout en lui murmurant " Ce n'est rien mon aimé le stresse et l'angoisse vous jouent des tours".
Sarah et la page arrivèrent juste avant qu' il ne s'écroule au sol .On le transporta rapidement sur le sofa du petit salon .

Quand à moi il estait temps de courir à l'armurerie et me préparer.
Sarah m'avait passer des bandes sur ma poitrine se matin pour que rien ne transparaisse sous ma cote de maille .
Quand elle arriva pour m'aider j'estais déjà presque fin preste ,mains dans des gantelet,les cheveux caché soigneusement ,le heaume enfilé et le tour estait jouer je devenais Nerval .
Puisse t il me pardonner ce que je m’apprestais à faire mais je ne voulais pas les perdre tous les deux.

L'affrontement pouvait commencer ,mes épées choisis ,Zéphyr arnaché je me dirigeais vers la lice ou aurait lieu le duel .

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