Delta.
Petite reprise des mini-rp du trajet du couple Audisio. Just for fun. Et pour enchainer sur la suite, parce que le décalage temporel entre les posts, dur dur ^^
Ref1 a écrit:
[Levée de Ban]
La nouvelle fît vite le tour de la Provence.
Savié scella son cheval.
Plus précisément, il demanda à un mec qui trainait, l'air de n'avoir rien à faire - mais qu'il payait quand même, d'aller demander à son palefrenier d'aller préparer sa voiture, équipée de tout le confort.
Mais détails que tout cela. L'important, c'était que pour lui, donner un ordre, c'était faire.
Bref, il partait. Mais après la collation alors. Pendant, ça donne des aigreurs.
Et puis il sortait de l'opération d'un patient, il était plein de sang. C'est plus que c'était les patients, ca tient plus le choc.
Après qu'on lui aura fait prendre son bain, puis qu'on l'aura habillé - il parait que seul, il n'a pas de gout pour les vêtements - et qu'on lui aura préparé sa carriole, il irait !
D'ailleurs, il faudra des vêtements. S'il devait y rester, il lui faudrait se changer.
Se changer ou d'ailleurs ? A l'auberge du coin ? allons bon, surement crasseuse.
Il lui fallait avant tout trouver ou dormir.
Que la vie est dure pour les aventuriers des temps modernes.
[Sommeil. Ok. Manger maintenant.]
Cela devenait n'importe quoi.
Pour qui se prenaient-ils ?! Vouloir contrôler sa vie ? Vouloir décider pour lui ?
C'en était trop !
Il n'avait que faire d'avoir déjà bu une bouteille de vin à lui seul pour accompagner sa belle part de sanglier.
Il en voulait une autre, et ce n'est pas son personnel de maison qui lui interdirait !
Non mais.
Odile, apportez moi cette bouteille !
Et après, il partirait.
[Orange, sur le départ]
Il avait bu, mangé, il était habillé convenablement, sa voiture était prête, les chevaux bien sanglés. Simon était aux commandes, lui installé à l'arrière.
Il était prêt à partir.
Malheureusement, la première bosse venue lui rappela les inconvénients à magner et boire avant de partir, ainsi que les limites de sa vessie.
Il fit arrêter sa voiture, sorti et pris la direction d'un coin plus calme pour se soulager.
[Sur la route]
Il admirait le paysage. Voilà voilà...
Y'avait des trucs sympa à voir parfois. Mais pas toujours.
Y puis il y avait des trous qui faisaient mal au dos...
...
Enfin voilà, il était en chemin.
La nouvelle fît vite le tour de la Provence.
Savié scella son cheval.
Plus précisément, il demanda à un mec qui trainait, l'air de n'avoir rien à faire - mais qu'il payait quand même, d'aller demander à son palefrenier d'aller préparer sa voiture, équipée de tout le confort.
Mais détails que tout cela. L'important, c'était que pour lui, donner un ordre, c'était faire.
Bref, il partait. Mais après la collation alors. Pendant, ça donne des aigreurs.
Et puis il sortait de l'opération d'un patient, il était plein de sang. C'est plus que c'était les patients, ca tient plus le choc.
Après qu'on lui aura fait prendre son bain, puis qu'on l'aura habillé - il parait que seul, il n'a pas de gout pour les vêtements - et qu'on lui aura préparé sa carriole, il irait !
D'ailleurs, il faudra des vêtements. S'il devait y rester, il lui faudrait se changer.
Se changer ou d'ailleurs ? A l'auberge du coin ? allons bon, surement crasseuse.
Il lui fallait avant tout trouver ou dormir.
Que la vie est dure pour les aventuriers des temps modernes.
[Sommeil. Ok. Manger maintenant.]
Cela devenait n'importe quoi.
Pour qui se prenaient-ils ?! Vouloir contrôler sa vie ? Vouloir décider pour lui ?
C'en était trop !
Il n'avait que faire d'avoir déjà bu une bouteille de vin à lui seul pour accompagner sa belle part de sanglier.
Il en voulait une autre, et ce n'est pas son personnel de maison qui lui interdirait !
Non mais.
Odile, apportez moi cette bouteille !
Et après, il partirait.
[Orange, sur le départ]
Il avait bu, mangé, il était habillé convenablement, sa voiture était prête, les chevaux bien sanglés. Simon était aux commandes, lui installé à l'arrière.
Il était prêt à partir.
Malheureusement, la première bosse venue lui rappela les inconvénients à magner et boire avant de partir, ainsi que les limites de sa vessie.
Il fit arrêter sa voiture, sorti et pris la direction d'un coin plus calme pour se soulager.
[Sur la route]
Il admirait le paysage. Voilà voilà...
Y'avait des trucs sympa à voir parfois. Mais pas toujours.
Y puis il y avait des trous qui faisaient mal au dos...
...
Enfin voilà, il était en chemin.
Delta. a écrit:
Sur la route pour Arles...
Un arrêt pour se soulager de son époux, et la voici qui l'a rejoint. Hop, ni vu ni connu je t'embrouille et je monte dans la voiture. Une deux chevaux, trop pingre pour acheter une quatre chevaux à sièges rembourrés. Pas grave pour Jehanne, ça, puisqu'elle a le séant rebondi. Juste comme il faut, personne n'irait le dire gros, ni même le penser.
Elle a laissé l'amant en Aix. Difficilement, douloureusement. Levée de ban, devoir tout ça. Il savait bien. Elle savait bien. Et ça commençait à la faire foutrement chier d'avoir des obligations. Que n'eut-elle porté son choix sur lui alors qu'elle chassait l'époux ! Non... Un époux, elle ne saurait l'apprécier comme elle songeait à son amant.
Sourit, en silence. L'époux ne l'a toujours pas vu. Simon non plus n'a rien vu, et le cheval de son épouse - à Ref, pas à Simon... qui en voudrait ? - est accroché à la voiture. À la grimace suivante à cause d'un cahot, elle sourit, et ouvre la bouche. Gentiment. Presque.
- La prochaine fois, vous prendrez des sièges rembourrés.
Tiens, il faudra qu'elle le remercie pour son nouveau trousseau vestimentaire... Elle n'était pas belle sa tenue Iskander ? Voyage oblige...
Un arrêt pour se soulager de son époux, et la voici qui l'a rejoint. Hop, ni vu ni connu je t'embrouille et je monte dans la voiture. Une deux chevaux, trop pingre pour acheter une quatre chevaux à sièges rembourrés. Pas grave pour Jehanne, ça, puisqu'elle a le séant rebondi. Juste comme il faut, personne n'irait le dire gros, ni même le penser.
Elle a laissé l'amant en Aix. Difficilement, douloureusement. Levée de ban, devoir tout ça. Il savait bien. Elle savait bien. Et ça commençait à la faire foutrement chier d'avoir des obligations. Que n'eut-elle porté son choix sur lui alors qu'elle chassait l'époux ! Non... Un époux, elle ne saurait l'apprécier comme elle songeait à son amant.
Sourit, en silence. L'époux ne l'a toujours pas vu. Simon non plus n'a rien vu, et le cheval de son épouse - à Ref, pas à Simon... qui en voudrait ? - est accroché à la voiture. À la grimace suivante à cause d'un cahot, elle sourit, et ouvre la bouche. Gentiment. Presque.
- La prochaine fois, vous prendrez des sièges rembourrés.
Tiens, il faudra qu'elle le remercie pour son nouveau trousseau vestimentaire... Elle n'était pas belle sa tenue Iskander ? Voyage oblige...
Ref1 a écrit:
[A quelques pas d'Arles]
Aux côtés de sa dévouée épouse.
Elle était dingue de lui, il en était presque gêné. Il est des gènes dont on s'accommode mieux que d'autres.
A sa douce remarque, il répondit :
Pourquoi donc ? Je les trouve fort bien ses sièges. C'est bon pour le dos des sièges en bois brut ma douce.
Nouveau cahot, nouvelle grimace qu'il tenta de dissimuler. Ce qui eu pour effet de la rendre évidemment plus visible.
Vu le prix du rembourrage, cela valait bien le prix de quelques cahots.
Toutefois, il se rappela pourquoi il n'aimait pas voyager...
[Arrivée à Arles]
Ref descendit après sa douce, galanterie oblige.
Agripant du regard le premier passant venu, il demanda :
Bonjour mon brave. Pourriez vous nous indiquer une auberge pas chère je vous prie ? dit-il tout en regardant les environs.
Cela faisait un moment qu'il n'était pas passé à Arles. Ou en Arles, on peut dire les deux.
Aux côtés de sa dévouée épouse.
Elle était dingue de lui, il en était presque gêné. Il est des gènes dont on s'accommode mieux que d'autres.
A sa douce remarque, il répondit :
Pourquoi donc ? Je les trouve fort bien ses sièges. C'est bon pour le dos des sièges en bois brut ma douce.
Nouveau cahot, nouvelle grimace qu'il tenta de dissimuler. Ce qui eu pour effet de la rendre évidemment plus visible.
Vu le prix du rembourrage, cela valait bien le prix de quelques cahots.
Toutefois, il se rappela pourquoi il n'aimait pas voyager...
[Arrivée à Arles]
Ref descendit après sa douce, galanterie oblige.
Agripant du regard le premier passant venu, il demanda :
Bonjour mon brave. Pourriez vous nous indiquer une auberge pas chère je vous prie ? dit-il tout en regardant les environs.
Cela faisait un moment qu'il n'était pas passé à Arles. Ou en Arles, on peut dire les deux.
Delta. a écrit:
[Auprès de son do... Pigeon.]
"Pas chère ?" Delta se retourna vers son époux, tint... "tendrement" son col, époussetant ses épaules. Après lui avoir adressé son sourire n°14, ravage extrême, elle se tourna vers le passant.
- Celle où l'on trouve bonne chère... Et où les lits sont réellement dépourvus de parasites.
Un temps...
- Notre époux a parlé trop vite. N'est-ce pas, notre très cher époux ?
"Pas chère ?" Delta se retourna vers son époux, tint... "tendrement" son col, époussetant ses épaules. Après lui avoir adressé son sourire n°14, ravage extrême, elle se tourna vers le passant.
- Celle où l'on trouve bonne chère... Et où les lits sont réellement dépourvus de parasites.
Un temps...
- Notre époux a parlé trop vite. N'est-ce pas, notre très cher époux ?
Ref1 a écrit:
[Arles]
Le réflexe humain eut-été de se retourner et de lui montrer qui était l'homme.
Ce qu'il fit... au début.
Au moment où il prit sa grande inspiration initiatrice de la force du mâle, il vit le regard de sa "moins" tendre épouse.
Regard qui, c'est un pouvoir féminin commun à toutes les donzelles, vous fait instantanément ressentir toute l'étendue de la soirée pourrie que vous allez passer si jamais vous avez le malheur de la contredire.
Regard accompagné ici d'un charmant sourire (ce qui n'est pas toujours le cas) envoyant des signaux contradictoires, mais quand bien même compris.
L'expiration se fît résignée, lâchant un :
"Oui ma douce..." tant désespéré que... désespéré.
Le réflexe humain eut-été de se retourner et de lui montrer qui était l'homme.
Ce qu'il fit... au début.
Au moment où il prit sa grande inspiration initiatrice de la force du mâle, il vit le regard de sa "moins" tendre épouse.
Regard qui, c'est un pouvoir féminin commun à toutes les donzelles, vous fait instantanément ressentir toute l'étendue de la soirée pourrie que vous allez passer si jamais vous avez le malheur de la contredire.
Regard accompagné ici d'un charmant sourire (ce qui n'est pas toujours le cas) envoyant des signaux contradictoires, mais quand bien même compris.
L'expiration se fît résignée, lâchant un :
"Oui ma douce..." tant désespéré que... désespéré.
Delta. a écrit:
[Dotée d'un regard qui décaperait un four à pain vieux de deux siècles.]
Et la journée n'était toujours pas finie.
Cette journée pesant tellement sur ses épaules qui n'avaient rien à envier à la précédente expiration en terme de résignation.
Les hommes lui disaient rarement non. Mais en règle générale, c'était justement grâce à son sourire. Ou à son décolleté plongeant... Ou à la danse qu'offrait son popotin lorsqu'elle évoluait. Oui, Delta ne marche pas, elle évolue. Vous en doutez ? Regardez la faire alors...
Mais son époux... Son époux devait être un des rares hommes qui ne fondait pas sous son charme ravageur. Avec les amoureux transis des premières heures, ensuite, c'était pareil, ils la regardaient. Oh, ils restent sages, hein, mais... Delta quoi.
Le manant leur indiqua un lieu dont il ne s'approcha pas. Jehanne piocha un denier dans la bourse de son époux. Si si. "Le" Regard est efficace. Et le donna au dit passant. Signe de tête à Simon, qu'il amène les bagages dans les appartements réservés. Ben oui, ils n'allaient pas dormir ensemble tout de même !
Et la journée n'était toujours pas finie.
Cette journée pesant tellement sur ses épaules qui n'avaient rien à envier à la précédente expiration en terme de résignation.
Les hommes lui disaient rarement non. Mais en règle générale, c'était justement grâce à son sourire. Ou à son décolleté plongeant... Ou à la danse qu'offrait son popotin lorsqu'elle évoluait. Oui, Delta ne marche pas, elle évolue. Vous en doutez ? Regardez la faire alors...
Mais son époux... Son époux devait être un des rares hommes qui ne fondait pas sous son charme ravageur. Avec les amoureux transis des premières heures, ensuite, c'était pareil, ils la regardaient. Oh, ils restent sages, hein, mais... Delta quoi.
Le manant leur indiqua un lieu dont il ne s'approcha pas. Jehanne piocha un denier dans la bourse de son époux. Si si. "Le" Regard est efficace. Et le donna au dit passant. Signe de tête à Simon, qu'il amène les bagages dans les appartements réservés. Ben oui, ils n'allaient pas dormir ensemble tout de même !
Ref1 a écrit:
Et bien sûr, c'est bibi qu'allait raquer pour les deux piaules.