Lyron
Château Audisio Orange
Dovi Dovi un prénom qui revenait à sa jeunesse. Personne ne lavait appelé comme cela depuis une dizaine dannées. Il avait quitté le cocon familial pour voyager à travers le monde. Issu dune famille noble cela avait été dur, très dur, sans argent. Il fallait des tripes pour partir à lassaut du monde seul et il semblerait quil en ait eu.
Cette pensée le fit sourire seul devant la porte du domaine où il se trouvait.
De retour de voyage, finalement sa Provence natale avait fini par lui manquer et il avait fait le trajet retour en bateau, à pieds, à cheval, en traineau, en galère, en sengageant comme mercenaire pour marchands, ou bien pirate pour payer son ticket de traversée.
Des aventures on pouvait dire quil en avait vécu plus dune, des guerres, des voyages, des connaissances et surtout des cultures que chez lui on pouvait qualifier de barbares. Même si pour la plupart elles étaient plus avancées.
Cest donc devant la porte du château dOrange des Audisio, sa famille quil hésitait. Comment allait-on laccueillir, froidement, à bras ouvert, allait-on le chasser en appelant la garde ? Dans les loques quil lui restait, on le prendrait surement pour un traine-patin. Enfin il lui restait sa rapière qui arborait fièrement les armoiries des cerfs au bois dor.
De toute manière il avait faim ce qui le fit entrer assez rapidement dans le jardin. Il entendit des coups de feu, ce qui létonna de son cousin mais pas vraiment de son frère.
Quand, dun coup un vieux, oui vieux cest le mot, quoique sil ne marchait pas on aurait pu le qualifier de fossile.
Hey vous làààà
Quoi papy ?
Que faites-vous ici ? Cest privé, jeune gueux !
Je suis Dovi Audisio, de retour à la maison. Il commençait déjà a le gaver.
Appelez donc le seigneur de cette terre et vous verrez.
Mais vous allez déguerpir on ne fait pas la manche ici.
SUR MON HONNEUR SI LE SEIGNEUR MON COUSIN NE SE POINTE PAS DANS LA MINUTE, JOCCIS LE GARDIEN QUI FAIT SUREMENT PARTIE DES FONDATIONS !
Dovi Dovi un prénom qui revenait à sa jeunesse. Personne ne lavait appelé comme cela depuis une dizaine dannées. Il avait quitté le cocon familial pour voyager à travers le monde. Issu dune famille noble cela avait été dur, très dur, sans argent. Il fallait des tripes pour partir à lassaut du monde seul et il semblerait quil en ait eu.
Cette pensée le fit sourire seul devant la porte du domaine où il se trouvait.
De retour de voyage, finalement sa Provence natale avait fini par lui manquer et il avait fait le trajet retour en bateau, à pieds, à cheval, en traineau, en galère, en sengageant comme mercenaire pour marchands, ou bien pirate pour payer son ticket de traversée.
Des aventures on pouvait dire quil en avait vécu plus dune, des guerres, des voyages, des connaissances et surtout des cultures que chez lui on pouvait qualifier de barbares. Même si pour la plupart elles étaient plus avancées.
Cest donc devant la porte du château dOrange des Audisio, sa famille quil hésitait. Comment allait-on laccueillir, froidement, à bras ouvert, allait-on le chasser en appelant la garde ? Dans les loques quil lui restait, on le prendrait surement pour un traine-patin. Enfin il lui restait sa rapière qui arborait fièrement les armoiries des cerfs au bois dor.
De toute manière il avait faim ce qui le fit entrer assez rapidement dans le jardin. Il entendit des coups de feu, ce qui létonna de son cousin mais pas vraiment de son frère.
Quand, dun coup un vieux, oui vieux cest le mot, quoique sil ne marchait pas on aurait pu le qualifier de fossile.
Hey vous làààà
Quoi papy ?
Que faites-vous ici ? Cest privé, jeune gueux !
Je suis Dovi Audisio, de retour à la maison. Il commençait déjà a le gaver.
Appelez donc le seigneur de cette terre et vous verrez.
Mais vous allez déguerpir on ne fait pas la manche ici.
SUR MON HONNEUR SI LE SEIGNEUR MON COUSIN NE SE POINTE PAS DANS LA MINUTE, JOCCIS LE GARDIEN QUI FAIT SUREMENT PARTIE DES FONDATIONS !