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Au bord du Lac !

Krikris
Krikris regarda son aimée se blottir dans ses bras, le visage apeuré. Il se demandait à quoi elle avait bien put penser. Il lui sourit et passa ses bras autour d'elle comme une coquille protectrice.

Son regard semblait dire qu'elle aimait l'endroit et il en fut content.


Ahhuatl a écrit:
Oh c'est magnifique ! n'est ce pas mon cœur ! dit Ahhuatl en voyant les papillons.

Le couché de soleil doit être fantastique depuis ici !
Je serais ravie de le contempler en ta compagnie.
Ajouta-t-elle


Il l'embrassa dans le cou et lui dit.

Oui c'est vraiment un endroit enchanteur. J'y viendrait tous les jours si je pouvait.


Il pensa au travail qu'il lui restait à faire dans son champ, mais l'odeur du parfum d'Ahhuatl le sortit de ses pensées.

Il continuèrent à discuter des divers sujets, comme la fête d'Ahhuatl et le concours de pêche. Ainsi aussi que son statut de tribun du clan.

Puis le soir vint et la puissance des dieux opéra de nouveau. Le soleil descendit vers le sol, se reflétant sur le lac et agrandissant les ombres des arbres. Puis ce fut le moment le plus incroyable de cette scène qui se déroulait tous les soirs. Le soleil semble plonger littéralement dans le lac, comme happé par les eaux.

Durant tout ce spectacle, Kris tenait la main de son aimée, le visage souriant. Il la regardait sourire elle aussi.
Une fois cela terminé, il enlaça de nouveau Ahhuatl l'embrassa et ils s'allongèrent. Kris était heureux de cette soirée.
Cualli
Cualli s'avança vers le lac, trainant des pieds, elle venais de quitter ses amies de la taverne dansante, ce sentant nauséeuse, dégouter par son comportement. Ne comprenant toujours pas ce qui c'était passer. Revoyant les images qui défiler dans sa tête, sans comprendre son comportement, sans savoir pourquoi elle c'était laisser entrainer par les danseurs de Methodus.

Elle avais été droguer, mais c'était aperçut de rien. Cualli s'arrêta au bord de l'eau et ce laissa tomber a genoux au rebord, s'éclaboussant au passage, mais peut lui importer elle était déjà tremper avec l'eau glacée que Maqui, lui avais balancé en plein visage pour la sortir de sa transe.

Cualli pris de l'eau dans ses mains et ce mouilla le visage, après sa elle posa ses mains dans l'eau et ce mis a pleurer, déversant toute les larmes de son corps.

Elle venais de perdre celui pour qui son cœur battait, son âme sœur. Cualli n'avais plus aucun espoir de reconquérir l'homme qu'elle aimais, elle était vide de toute vie, de tout sentiments. Ayant envie d'une seule chose ce laisser mourir, elle remonta a quatre pattes n'ayant plus la force de ce relever s'allongea sur le sable. Laissant le soleil qui taper dure sur sa peau faire le reste.....

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Sirannah
Sira avait vu partir Cualli dans un état de détresse indescriptible. Elle avait compris ce qui se passait. Elle n'en était guère surprise toutefois Cualli et Métho restaient tous deux ses amis. Elle se devait de les réconforter. Elle jeta à Metho un regard d'amitié espérant faire passer dans ce regard tout son soutien moral. Puis elle s'éloigna en courant dans la direction où était partie Cualli. Elle avait peur pour son amie, la sachant capable de faire une bêtise.

En arrivant au lac, elle aperçut Cualli au loin. Elle était étendue de tout son long sous le soleil de plomb et semblait comme évanouie. Elle se mit à courir comme une folle dans sa direction. Son soulagement fut intense lorsqu'elle constata que son amie était consciente, seulement en état de prostration.

Elle s'assit à ses côtés et lui posa la main sur son épaule.


Je suis désolée Cualli. J'ai compris que plus rien ne va entre toi et Metho et comme tu le sais, je n'en suis pas surprise. Mais tu dois réagir. Il est bien évident que cette situation est particulièrement difficile à vivre, mais tu n'as pas le droit de te laisser aller. Tu as ta fille. Tu dois lui offrir la vie à laquelle elle a droit. Cet enfant vous l'avez voulu. Alors vous allez continuer de l'élever. Et c'est elle qui vous liera encore toi et Metho. Car même si vous vous séparez, elle est le lien indéfectible qui vous réunira toujours. Mais elle doit avoir sous les yeux l'exemple de la force de ses parents pour devenir forte elle aussi à son tour. Alors tu n'as pas le droit de faiblir et te laisser aller. Tu vas me faire le plaisir de te relever, aller te plonger dans l'eau pour te réhydrater, rentrer chez toi et t'occuper d'elle.

Je serai toujours là si tu as besoin d'aide. Tu es mon amie, tout comme Métho est mon ami. Je serai là pour tous les deux.


Elle bondit sur ses pieds, et bien plantée sur ses deux jambes écartées, la main tendue vers Cualli et le regard sévère, elle lui lança

Allez lève-toi. Montre que tu as la force de caractère de la vraie guerrière et bouge-toi.
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Cualli
Cualli vis une ombre ce pencher sur elle et ouvrit un œil et vis Sira s'assoir prés d'elle. Elle s'assit difficilement, a croire que les effet de la drogue, ne voulais pas la quitter et écouta Sira puis lui répondis.

Ce n'est pas de ta faute Sira, c'est de la mienne. Je n'avais pas aller avec son danseurs comme ça. J'aime Metho c'était avec lui, que j'aurais du aller danser pas avec son danseurs.

Sa n'aller plus entre nous mais j'avais encore espoir que sa irais mieux. Réagir je veut bien mais là, je marche complètement sur des œufs, je sais pas ce qu'il a mis dans mon bol de pulque, mais punaise, j'ai l'impression d'avoir une citrouille a la place de la tête puis j'ai la bouche pâteuse.

De toute façon Sira on était sur la fin, j'étaie fatiguer de me battre pour quelque chose que je n'aurais pas eu. Pour Alyzee, je l'ai laisser a Max pour le moment, j'ai besoin de temps pour me remettre. j'irais la récupérer après, quand je me sentirais mieux. Pour ce qui est du lien entre moi et Metho, je sais pas on verras bien. En tout cas j'ai rien a redire sur son rôle de père, il est très présent pour Alyzee et je voit bien qu'il aime sa fille. Je ferais mon possible pour Alyzee et je me battrais pour elle. Ma fille est tout pour moi puis j'ai ma petite sœur aussi et mes amies donc ta raison je peut pas me laisser aller comme ça. Je suis une guerrière, forte et courageuse, j'ai pas le droit de me laisser abattre comme ça.


Cualli la regarda lorsqu'elle lui parla de la hutte.

Sira j'ai plus de chez moi sauf ma taverne ou j'y est mis nos affaires a Alyzee et les miennes. Je sais Sira et je te remercie d'être revenue je pense que si tu était venue plus tard sa aurais étais la fin.

Elle regarda Sira bondir sur ses jambes et vis qu'elle lui tendit la main. Cualli la regarda et sourit puis attrapa sa mains pour ce relever.

Je ferais mon possible, puis j'ai pas le choix, j'ai un clan a faire tourner et a faire vivre.

Cualli lui sourit et alla dans l'eau ce mouilla la nuque et le visage pour ce réhydrater et ce rafraichir.
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Lili91
Lili arriva un peu essouflé et se plongea sous l'eau en devenant toute déprimé .. ne remontant pas à la surface , alla jusqu'au loin de la cascade elle regarda et rien jamais rien puis replongea.

Elle se dit à quoi bon chercher pour ne rien trouver puis repartit
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Dessy
A son arrivée

La voila revenue a Ameyalco. Ce clan qui l'avait accueillie comme une soeur, où elle se sentait plus que bien.

Un soulagement total la fit se détendre bien plus profondément qu'elle ne l'y avait pensé.

Ses pas la menèrent vers le lac où l'eau sommeillait tranquillement. Le regard porté vers les environs, elle repassait les différents souvenirs qu'elle avait et les nouvelles dont elle était au courant.
Un petit sourire s'afficha sur son visage. Le clan s'était agrandit, les sourires étaient sur les bouilles de tous ses amis.

Elle regarda derrière elle et apercut Laminata la regarder.


Allez fillette, viens te baigner dans le lac, cela te fera du bien.

Les petites gambettes de la gamine s'activèrent et elle ne tarda pas a faire son apparition tout près de Dessy. Un sourire aux lèvres et toutes deux allèrent dans l'eau et commecèrent à se lancer des jets d'eau en s'amusant.
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Emilia
Lorsque Emi arriva au bord du lac, elle s'assit à même le sol, le souffle un peu court par les pleures qui s'enchainaient. L'air était lourd, la chaleur presque suffocante pour ce début de soirée. Elle avait crains se voyage jusqu'à Ame, mais c'est sa maman qui avait insister pour effectuer cette destination jusqu'à son clan de naissance. Yunaa aurait voulu revoir ce ciel, ce lac et ces sublimes lumières de l'été qui jouaient avec l'eau.

Emi essuya ses joues humide d'un revers de main et laissa son regard se noyer dans l'horizon et dans le temps. La jeune fille ne savait pas grand choses des souvenirs qui unissait sa mère et ce lieux. Mais elle était sur d'une chose, ses pieds sur cette terre, devant ce lac, n'était pas posés là pour rien.

Elle observa silencieusement avec attention chaque détail tout en repensant à ce matin. Emi c'était levée avec une drôle de sensation, une peur intérieur qu'elle avait ressenti quand elle n'était encore qu'une enfant. Quelque chose était différent et le courrier ne tarda pas à arriver entre ses mains. A ce moment précis, en parcourant chaque mot, Emi était incapable de parler tellement sa peine était douloureuse, ses jambes prises de vacillements l'avait fais s'écrouler à terre.

Le cœur arraché, Emi se sentait flottais entre deux mondes, entouré de gens qu'elle connaissait à peine et dont la plupart en ignorait son nom et son existence. Les muscles tendu , elle avait l'impression que ses mouvements lui demandait un effort immense, mais sa raison reste intacte. Emi se sentait perdu, au fin fond de la solitude, si elle devait décrire sa vie, elle l'as rabaisserait au néant.

Le soleil tombait, ni bruit, ni son, le silence et ses pensées, Elle se perdait dans un vide que elle seule pouvait voir. Son corps avait basculait en arrière, ses mèches se mêlait aux brindilles qui reposait au sol. Allongés, perdus, le regard dans l'infinie de la terre au dessus de sa tête elle serra ses deux mains serrées contre sa poitrine comme pour en extirper la douleur. La jeune fille ne voulait pas s'endormir pour ne pas perdre totalement pied. Il fallait qu'elle garde cette relation avec la réalité. Il fallait qu'elle pense à la suite, à écrire sa propre histoire. Elle voulait avoir la chance de gouter à nouveau aux rires sans souci du lendemain, sans savoir ce que la vie est capable de lui infliger. Elle veulait marcher dans l'insouciance. Être... Juste... Heureuse...

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Methodus
Methodus venait rarement au lac, il était souvent fort occupé par ces études et le peu de temps qu'il lui restait, il essayait de comblé un vide.

Il passa non loin du lac ce soir là, et il fut surpris de voir au loin dans la pénombre une silhouette jeune qu'il n'avait encore jamais vu. Il se sentait le devoir d'aller voir cette personne qui semblait perdue dans ces pensées.

En s'avançant vers le bord du lac, la silhouette prenait forme et il pu après plusieurs pas reconnaitre Emilia, la jeune fille de Yunaa. La mort de Yunaa avait beaucoup affectée le brave guerrier, car beaucoup ignorait que jadis, Yunaa était l'une de ces pire ennemie.

Quand Methodus fit ces premiers pas dans le monde parfois douloureux de la politique, il fut confronté à une calpullec qui lui donne, en temps qu'intendant aux mines de la province, beaucoup de fils à retordre. Il était en conflit ouvert et avait du mal à dialoguer.

Mais un jour, Methodus prit les devants et contacta Yunaa, il s'ensuit un long processus de relation de confiance, et après plusieurs mois de collaboration, une amitié voyait le jour. Methodus et Yunaa avait pu mettre leurs nombreux différents de côté et faire cause commun pour le bien collectif.

Depuis ce jour, la relation entre eux deux c'était renforcé et leur amitié les avait souder dans l'adversité. Faucheuse, l'un des meilleurs amis de Methodus avait conquit le cœur de la belle Yunaa et Methodus resplendissait de voir deux personnes si merveilleuses se retrouver après plusieurs semaines de complicité.

La mort de Yunaa avait révolté Methodus à un point que peu peuvent imaginer, c'était l'injustice de l'acte qui avait rendu en taverne fou de rage Methodus, il savait qu'à partir de maintenant, il n'aurait de cesse que de traquer ce fil de pécari qu'est Garla et de lui montrer que lui aussi, il peut taper fort.

Methodus s'approcha doucement d'Emi, dans des moments pareils, aucunes mots ne peut réconforter, il le savait, que dire quand quelqu'un perd un être cher ? ... Rien, dans ces moments là, le silence est d'or.

Methodus s'assit donc à côté d'Emi et dans la douce pâleur des étoiles sur le lac, il resta là, assit à côté d'elle. Il lui esquissa un sourire, un sourire de réconfort, un sourire pour dire qu'il était avec elle.

Ils restèrent là un long moment, pensifs, silencieux, simplement en deuil....


Emilia
Le ciel s’assombrissait peu à peu, laissant filer le jour pour la nuit. Emi sentit une présence s'approcher, elle se redressa, toujours assise les deux mains à terre et zieuta une silhouette masculine s'approcher. Elle le regardait, de ses yeux humides, Plongeait dans la tourmente depuis des heures, assise seule face à ce lac, qu'une étoile se révélait à elle à présent. Autour d'elle, tout s’épanouissaient, sauf elle, ses pensées l’emportaient bien loin, et pourtant, elle n’arrivait à détacher son regard de cette homme assis à ses cotés. Emi s’abandonna à l’instant...

Methodus lui éveillé un sentiment au paroxysme de sa timidité, elle voyait en cette homme quelqu'un de résistant mais quelqu'un aussi avec un cœur rempli de douleur. La non-violence qui se dégager à l'égard de Emi par Methodus, enlaçait son âme. Pour ce soir il était son réconfort, son refuge qu'elle n'aurai trouvée nul par ailleurs en cette lune. Emi ne trouvait pas cela dans ses paroles, mais dans sa simple présence. Ensemble, ils vivaient, ils partageaient un mal comme contagieux, une douleur que la jeune fille ne pourrai oublier...

Sans en être vraiment consciente, Emi serra avec douceur la main de son voisin, puis laissa un sourire se dessinée sur son visage, un sourire qui voulais cacher sa mélancolie. Ceci venait du cœur même si ce trait paraissait forcé. Elle serra soudainement, un peu plus fort, sa main puis reporta son regard dans le ciel pour laisser se perdre ses yeux dans la découverte de l' immense couche d'étoiles qui couvrait leurs têtes. Porter par leurs lumières jusqu'aux cœur de sa mère dont elle voyait le visage se dessiner.

Les minutes, peu être les heures passaient, le temps continuait sa course folle. Voilà pourquoi il fallait vivre le présent, vivre l’instant. Apprécier ce que l'on peu recevoir, avant que tout nous glisse entre les mains. Les moments importants ne durent que le temps d"un regard, d'un échange, d'un sourire.

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Emilia
Elle marcha pieds nus, pour sentir la sensation que la nature offrait. Ses cheveux lui tombait en cascade sur les épaules , elle sentait la tiédeur de l’air sur ses bras nus. Elle se pencha au dessus du lac, se mit accroupie, doucement et observa le visage, son visage... Qui se mêlait aux flots noir. Elle avait un mal fou à se reconnaitre, ses traits avaient changés, reflétaient la femme qu'elle était devenue malgré elle. Pourquoi grandir? Pourquoi changer et faire naitre des sentiments que enfant on ne connais pas. Ce soir Emi avait mal, sa mère lui manquer bien sur mais c'était une autre douleur, qu'elle n'avait jamais connu avant. Furieuse contre elle même elle ne comprenez pas pourquoi elle ne pouvez faire taire tout se qui grouiller en elle. La jeune fille aurai voulu revenir à l'age de ses quatre ans, là ou il y avait l'inconscience, la ou elle passé son temps à s'empiffrer de chocolat et ou les mâles ne prenaient pas de place dans son cœur.

Emi avait pris place depuis quelques minutes au sol devant le lac, elle observait et essayer de se décourager à penser quelle n'était pas parmi les siens. Elle donna une gifle sur la surface pour en faire disparaitre son image et regarda son visage à présent se déformer en file des petites vagues.

Emi hésitait, si elle est tentée parfois de revenir en arrière, la sagesse la ramène vite à la réalité. Elle éprouvait une peur panique à l’idée d’être trahie, de se voir imposer d'autres souffrances sans qu'elle ne puis rien dire. Emi était une jeune fille fraiche, naïve, sans aucune expérience de vie. Sur son visage on pouvais lire une tendresse profonde et une immense volonté, une volonté qui peu à peu s'effaçait. Pour la première fois, elle avait ressenti cette impression que la détail qui l'empêchait de voir, pouvait avec le recul, devenir la clé à son problème. C'était ce petit détail, qui était pourtant constitué de l’essentiel qui l’empêchait de dormir. L' affinités qui avait l' incroyable capacité de lui faire croire à nouveau aux plaisirs de la vie.Ce mal, cette peine, lui donnait au moins la satisfaction de comprendre enfin tous ces dérèglements chez elle.

Seul, dans un recoin, enfermée dans sa bulle, elle ne pouvait que penser, s'évader dans le passé, et revoir ce visage, écoutez résonner ces choses, ces mots... Pour oublier sa peine un insant, elle repensa aux bons moments, courts, rares, mais là. Les yeux plongées dans le bleu nuit de l'eau, si purs, comme les lacs de sa terre.

Elle respira un grand poumon comme pour garder un peu d'oxygène de ce lieu puis ferma les yeux pour effacer... Oublier... Et ce laisser bercer par le silence...

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Xoloth
Le premier arrivé attend l'autre !

C'est ce que lui avait dit son Atala au départ de Tiza. Encore un voyage pour le calpu. Xoloth aimait partir sur les chemins avec la femme qui régnait en maitresse absolue sur son coeur. Il avait peine à lui cacher son inquiétude. Il imaginait le pire, une attaque de guerriers et une blessure de son Atala voire pire !
Xoloth s'approcha de l'eau calme reflétant la lune montante puis s'assit en trempant les pieds dans l'eau. L'endroit était comme toujours calme et reposant. Il aimait cet espace hors de tout le tumulte de la province et du clan. Il savait qu'Atala viendrait le rejoindre. Il l'aimait depuis maintenant 1 an d'un amour qui ne cessait de grandir, de s'affermir, de s'embellir.
Il laissa son regard se perdre sur les rides de l'eau en repensant à tout ce qu'il avait vécu avec elle. Un an, c'était si court et si long...

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Atala
Atala et Xoloth avait fièrement ramené Mafrida
qui était allée chercher le fruit de la vente de son champ pour s'installer à Amey.
Ils avaient fait au passage quelques petites ventes pour le clan et ramenaient quelques fruits.

Elle alla rendre son mandat avant de filer au bord de leur lac, là où ils aimaient à se retrouver.

Elle reconnu immédiatement la belle silhouette de son amour.
Xoloth contemplait l'horizon les pieds dans l'eau fraiche.
Le coeur d'Atala se mit à battre plus fort, comme chaque fois qu'elle le voyait ou qu'elle pensait à lui.
Lentement elle s'approcha, se baissa dans son dos,
l'enveloppa de ses bras et glisser un baiser amoureux dans son cou.


Bonjour mon beau guerrier
Tu as été le plus rapide...

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Cualli
Cualli était revenu de voyage après de longue semaine d'absence, elle pensais que ce voyage lui ferait du bien. Savais été le cas lorsqu'elle était sur les routes avec ses amies, sa sœur, sa fille et l'homme avec qui elle partageait a présent sa vie...Kawa. Mais sur le chemin, du retour rien ne s'était passer comme elle l'aurais voulu. Alyzee et kawa ne les accompagnais plus, elle ce douter que son amour était a Tiza et qu'elle pourrais repartir dès cette nuit le rechercher mais sa fille ou était elle? Cualli était très inquiète, la perdre ainsi pendant leur voyage était une des erreurs qu'elle ce pardonner pas, c'était la seule chose, qui lui rester d'un amour passer, un amour passionnée, qu'elle avais partager avec Methodus. Elle s'approcha du lac, triste de se sentir sans les bras de Kawa, triste d'être revenue ou tu lui rappeler des souvenirs de son passée.

Cualli s'assit près de l'eau, un visage, un sourire, un regard lui revenais souvent dans ses pensées. Elle avais beau faire, beau essayer de l'oublier mais rien n'y faisais. L'aimais t elle encore? Non, non...Je l'aime plus ce répéter Cualli. J'aime Kawa, c'est ma raison de vivre. Ce dit elle. Essayer t elle de ce convaincre? Elle n'en savais rien, comment oublier un homme avec qui elle avais vécues autant de bonne choses, autant de bons souvenirs, mais une choses qu'elle savais, c'était qu'une partie de son cœur battait encore pour lui. Pourtant elle savais qu'il ne l'aimais plus, qu'il en aimais une autre, tout comme elle aimais Kawa.

Elle ce laissa emporter par ses souvenirs du premier jours ou elle était arriver a Ameyalco, le premier jours ou elle l'avais rencontré. Cualli avais sentie qu'il ce passer quelque chose, lorsque leur regard c'était croiser, elle avais sentie son cœur battre la chamade. Ce n'était encore qu'une jeune fille naïve, qui connaissais pas grand chose a la vie, qui avais oublier son passer. Égarer ce demandant d'où elle venais et comment elle avais atterris dans ce village ou elle connaissez personne. Le jour ou elle avais partager sa vie, avec lui, tout avais changer ce laissant emporter par un tourbillons, une tornade d'amour, devenant une simple jeune femme passant par aspirante puis une guerrière, courageuse et forte. Cualli regardais l'eau du lac qui faisais des vaguelette sur la surface, sous la brise légère et fraiche, on pouvais sentir l'automne approcher. Continuant de laisser les images de ses souvenirs lui traverser l'esprit, ne voulant pas lutter, voulant comprendre pourquoi ils en étaient arriver là, après cette aimer aussi passionnément aujourd'hui ils ce déchirer, ne ce comprenait plus....

Mais alors que sa vie était un rêve, un beau jour ce rêve ce transforma en cauchemars. Alors que Cualli était partie en voyage avec son mari et ses amies en voyage, ils c'était retrouver face a une armées de guerrier Occidentaux. Alors que la jeune guerrière ce battait courageusement contre un Occidentale, sans crier gare leur chef d'armée arriva derrière elle et lui assigna un coup de massues. Cualli se réveilla seule dans un champ a Tiza, agonisant, mortellement blesser. Au bout de quelque jour, elle repris connaissance et alla ce balader dans le village et s'aperçut que l'homme qu'elle aimais n'était plus là, qu'il était parti. Mais ce jour là, Cualli c'était sentie trahis, blesser de ne pas voir celui qu'elle aimais avant qu'il revienne sur Ameyalco. Mais elle trouva pas mieux que de lui montrer son coter noir, son coter mauvais caractère, elle avais perdu ce qui lui était important la confiance qu'elle lui portais. Son indifférence avais blesser la jeune guerrière, et lui avais fait perdre confiance en l'amour qu'il lui portais. Ne le comprenant plus, Cualli fit ce qu'elle aurais jamais du faire, elle le blessa a plusieurs reprise sans vraiment le vouloir.

Cualli soupira en comprenant le malaise, mais elle savais que c'était trop tard, qu'il y aurais plus de retour en arrière. Elle ce devais d'aller de l'avant, ne plus regarder derrière elle, ne plus penser a lui mais a celui qu'elle aimais a présent, celui pour qui son cœur battait, celui qu'elle aimais par dessus tout...Kawa était l'homme de sa vie, avec qui elle voulais vivre. Cualli sourit a cette penser et préféra penser a Kawa qu'a son passée. Elle resta la assise a regarder ce vidant l'esprit et tourna ses pensées vers Kawa, Serinette et sa fille Alyzee.


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Xoloth
Atala a écrit:
Bonjour mon beau guerrier
Tu as été le plus rapide...


Xoloth sourit franchement quand il sentit les bras de celle qu'il aimait l'entourer avec tant d'amour. Il tourna la tête pour la contempler et lui déposer un tendre baiser. Il la fit pivoter et l'installa sur ses genoux en l'entourant de ses bras et de tout son amour.

Tu sais, ma belle Atala, que ça fait un an qu'on est ensemble, qu'on vit cet amour merveilleux ?
Tu sais que je t'aime toujours plus ?


Il la contempla avec des yeux emplis d'amour et de gentillesse. Il la trouvait tellement belle et si désirable...
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Princesserinette
Serinette chercha sa soeur partout et se demander ou elle était passer. Elle la savait qu'elle passer une période ou elle devait être très présente pour sa sœur et la soutenir pour n'importe qu'elle épreuve qu'elle passerai ainsi que sa nièce qu'elle adorer.

Elle approcha et marcha calmement ver le lac. Elle la regardait et se remémorer l'instant ou elle l'avait retrouver. Elle arriva près d'elle puis posa la main sur son épaule sans lui faire peur et lui faire sentir sa présence. Elle s'assit près d'elle et lui chuchota à son oreille

Je serai toujours la près de toi...

Elle la pris dans ses bras sans rien dire
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