Au bord du Lac !

Tia avait travailler toute la journée. Elle avait enfin économiser assez pour s'acheter son premier champ et pour fêter ça elle avait décider d'aller se promener au bord du lac. Ce n'était pas la réaction normale, pour la plupart fêter quelque chose signifiait aller se saouler en taverne, mais elle préférait faire des économies et une balade était agréable et gratuite.

Elle marchait pied nue sur le sable mouillé, les petites vagues venaient mouiller ses pieds. Elle avançait sans regarder ou elle marchait, regardait le paysage, le lac. Lorsqu'elle finit par regarder devant elle, elle remarqua qu'il y avait quelqu'un d'autre sur la berge. Elle s'approcha et reconnu Takoa.

Elle avait rencontré Takoa la veille en taverne et avait sympathisé avec lui, c'était quelqu'un de très agréable. Elle s'approcha donc de lui discrètement. Il regardait le lac... Une fois derrière lui elle lui parla.

Ayyo... Comment vas tu aujourd'hui?

Elle sourit.

Muri,fesait aussi un tour au lac quand elle voit deux personnes qui apparement discutaient,elle s'approche et rémarque la présente de Tiarya et Takoa,elle les salues puis admire d'un oeuil amoureux le lac qui était silencieux ce jour,avec aucun pêcheur elle esquise d'un sourire et s'asseoi sous un arbus et se met a comtemppler le lac tout en discutant avec les deux autres

Alors,ma chers Tirya,pourquoi ce si beau sourire y'a t'il une bonne nouvelle?

Muri sourit une fois de plus et se souvient de quelquechose

A ce propos Sonrisa a été contacté on auras demain de l'haricot!

Tia sourit à la réponse de Tak. Evidemment la fin de journée était proche et le soleil ne chauffait plu l'eau. Elle s'assit de façon à plonger ses pieds dans l'eau et leva la tête pour les écouter.

Oui j'espère en trouvé bientôt, j'ai hâte de semer pour la première fois.

Tia ne put pas rire bien longtemps, Takoa s'empressa de la rattraper la hissa sur ses épaules et la jeta à l'eau. Tia sortit la tête de l'eau et vit Tak en train de rire, elle ne put s'empêcher de rire aussi, mais ce n'était que partie remise.

Elle lui fit un regard noir parce qu'après tout il ne fallait pas se laisser faire, mais se rapprochant du bord de la berge elle dit.

Moi je la trouves bonne, mais dis moi ce que tu en penses toi ?

Ne lui laissant pas le temps de réagir elle attrapa ses pieds et le tira avec elle dans le lac. Elle éclata de rire.

Alors qui est la meilleure ?

Elle lui sourit et commença à nager un peu.

Lacoolo, ayant finis de se débarbouiller décida d'aller faire un tour a la taverne avant d'aller se coucher. Le soleil et la petite ablution dans le lac l'avait revigorer.

*Demain, je retourne a la mine! Il faut que je devienne fort si je veut être un bon guerrier!*

Et c'est tous souriant qu'il partit en direction du clan, vers la taverne.

Tia lui sourit.

Je veux bien que tu me raccompagnes, mais tu vas vraiment dormir sur un rocher? Tu risques d'avoir des difficultés à en trouver un confortable...

Ils commencèrent à marcher en direction de chez Tia. Elle habitait une petite hutte au milieu des arbres de l'autre côté du lac. C'est dans cette même hutte qu'elle avait été élevée et elle connaissait les alentours par coeur.

Tu sais, si tu ne veux pas dormir sur un rocher... Y a un peu de place chez moi...

Elle ne savait pas comment il allait prendre sa proposition elle accéléra donc un peu le pas pour qu'il ne voit pas son visage.

Il s'apprêtait à partir, Tia le regardait avec regret, elle avait passer un merveilleux après midi et elle ne voulait pas que ça se finisse.

Tia sourit, elle ne savait pas trop quoi faire d'autre. Elle eut à peine le temps de chuchoter un moi aussi qu'il était déjà partit. Elle resta quelques instants devant l'entrée de sa cabane puis rentra pour aller se coucher. Elle était fatiguée et devait se reposer.

Couchée sur sa paillasse faite de feuilles qu'elle renouvelait de temps en temps elle réfléchit à sa journée. Sans doute l'une de ses plus agréables depuis des années...

Le soleil venait de se levé, Tia fut réveillée lorsqu'elle sentit sa chaleur sur sa peau. Elle ouvrit les yeux. Elle ne se trouvait pas chez elle, après quelques instants de réflexion elle se rappela qu'elle s'était endormie à côté du lac. C'est alors qu'elle remarqua qu'elle n'avait plus la tête dans le sable, elle leva donc les yeux et aperçut Tak. Elle lui sourit, elle ne s'attendait pas à le trouver là mais ce n'était pas désagréable.

Cela fait longtemps que tu me sers de repose tête comme ça ?

Elle se redressa et regarda la position du soleil. Elle aurait déjà dût être en train de travailler...

Tu as bien dormi sur ton rocher ?

Tia sourit.

Oui c'est plus confortable qu'on ne le pense.

Tia rit en entendant l'histoire du crocodile. Par contre il avait raison sa tenue n'était pas vraiment appropriée pour aller travailler, elle lui sourit.

Tu as raison, rhoooo sacré crocodile ^^ ils auraient put s'attaquer à quelqu'un d'autre!

Tak la prit dans ses bras et la porta jusqu'à chez elle. pendant le trajet elle sentit son coeur battre, espérant que Tak ne le verrait pas. Une fois devant chez elle il la déposa à terre.

elle lui sourit heureuse d'apprendre qu'il repasserait en fin de journée.

Oui tu as raison Muri risque de ne pas apprécier, travailles bien à ce soir.

Elle le regarda s'éloigner, puis rentra pour s'habiller en vitesse avant de repartir vers le lac pour pêcher.

Tia pêcha toute la journée ou du moins essaya de pêcher toute la journée, elle n'était pas encore assez forte pour pouvoir s'aventurer assez loin dans le lac pour attraper les gros poissons, elle se contentait dons des petits qui se perdaient à proximité des berges.

Lorsque le soleil fut haut dans le ciel elle fit une pause, elle but de l'eau mais conserva la nourriture pour le repas du soir, en ce moment c'était une denrée rare. Soupirant elle se remit au travail.

Au bout d'un moment lorsque la fatigue se fit trop sentir elle arrêta et rentra dans sa cabane. Quelques instants après elle entendit quelqu'un toquer et entrée. Elle se retourna et vit Tak.

Elle lui sourit.

Oui tu as remarqué? Ca repousse vite ces choses là .

Tia le laissa entrer et lui indiqua une chaise pour s'assoir, elle espérait qu'il ne serait pas trop lourd car ses chaises n'étaient pas vraiment solide.

Non aujourd'hui pas vraiment, mais j'avais pêcher plus de poisson hier donc ça compense. En plus demain je dois récolter mon champ.

Elle sourit, elle avait hâte d'avoir sa première récolte de haricots.

Oui je vais bien un peu fatiguée... Et toi comment s'est déroulée ta journée de travail ?

Elle s'assit sur l'autre chaise et le regarda.

Tia rit en entendant la journée de Takoa, il était vrai qu'au temple on était payé un salaire de misère mais qu'il fallait tout de même bien faire son travail.

Elle ne s'attendait pas à ça et elle rougit. C'est vrai elle y avait pensé elle aussi... Elle avait baissé
les yeux mais elle les releva pour le regarder lorsqu'elle lui répondrait. Elle hésita quelques instants puis se lança.

Tak... Je crois que moi aussi je suis amoureuse de toi.

Elle avait parler à une telle vitesse qu'elle se demanda si il avait comprit.

Tia rit de bon coeur. Peut importait pour elle qu'il vive dans un château ou bien qu'il dorme sur des rocher, il lui plaisait et c'était là l'essentiel.

Oh mince! moi qui m'attendait à voir un château sortir de sous le lac! Je suis déçue...

Elle lui sourit.

Je crois que la vie de château n'est pas faite pour moi de toute façon. Donc heureusement que tu n'en as pas !

Tia ne put s'empêcher de sourire.

j'en ai assez de rester à l'intérieur et si tu me sauvais de l'enfermement ? Le lac me paraît être l'endroit idéal.

Elle lui sourit.

Il la prit dans ses bras et la déposa à terre lorsqu'ils furent arrivé au lac. Elle ne put s'empêcher de le regarder et de lui sourire pendant tout le trajet.

Elle hésita puis en riant elle dit.

A la fin de l'histoire quand le prince a sauvé la princesse ça se finit pas un baiser non?

Tia se demanda à quoi il pouvait bien penser. Elle n'eut pas besoin d'y réfléchir bien longtemps car Tak la poussa dans l'eau, l'y rejoint, puis la serrant dans ses bras l'embrassa.

Le baiser se prolongea quelques secondes, à la fin Tia serrant toujours Tak dans ses bras elle posa sa tête sur son épaule. Elle comprit enfin ce dont on lui avait parler quand elle était petite. Elle avait bien rit lorsqu'on lui avait dit que l'amour donnait des ailes... A présent elle en saisissait l'entière signification.

A présent je suis satisfaite.

Oui bien sur, il y a plus confortable mais tu verras ça va quand même.

Tia dormit profondément toute la nuit, c'est en se réveillant le matin qu'elle vit que Tak n'était plus là, il était sans doute déjà en train de travailler pendant qu'elle dormait toujours. elle soupira, il faudrait qu'elle finisse par trouver un moyen de se réveiller pour ne pas dormir aussi longtemps tous les jours.

Se levant elle regarda sa tortilla, hésita, puis la rangea... Il fallait encore faire attention qui sait. Puis elle se mit en tenue adéquat pour aller pêcher. Le soleil était déjà haut lorsqu'elle sortit, il faudrait qu'elle travaille jusqu'à tard pour rattraper son retard et cela ne l'enchantait guère. Elle prit donc la direction du lac d'un pas décidé pour ne pas plus traîner.

Elle n'avait encore jamais croisé quelqu'un lors d'un pêche et ce jour là ne semblait pas faire exception. Soupirant elle regardait le lac lorsque la mémoire lui revint. C'était le jour de récolte de son champ, abandonnant tout elle se mit à courir vers son champ, décidément c'était une vraie tête en l'air.

Tia se promenait au bord du lac, de loin elle aperçut Takoa. S'approchant discrètement elle le rejoint s'assit derrière lui et lui souffla dans l'oreille.

Ayyo

pchitt ne voulant pas la choquer decida de gardes ses fripes pour essayer de barboter aussi ,il est vrai qu'un peu d'eau sur ses habits ne peut pas leur faire de mal.c'est vrai qu'elle est bonne cette eau du lac.

Ayant bien labouré son champs pchitt s'accorda une aprés midi bien meritée au bord de l'eau,aujourd'hui farniente il planta sa canne à peche (il faut bien penser à se nourrir un peu) .Il trouva un petit coin ombragé et decida dans un élan de courage de se faire une petite sieste .Et pourquoi pas aujourd'hui peut etre reviendra la vision d'une belle nayade qui viendrait se baigner ....

BRRRRRR!!!!!!! grrrrrrrrrrrrrrrr!! "MAIS ON PEUT PAS ETRE TRANQUILLE ICI?",pchitt se reveille en sursaut puis cherche en tournant la tete dans tous les sens.Il se demande si ce n'est pas les effets secondaires d'un abus de pulque à la taverne,regarde en l'air si ce n'est pas la pluie mais entend un gloussement derriére le bosquet de haricots sauvages juste derriére lui.
Il se leve et avance prudemment vers ce son bizarre et encore inconnu à ses oreilles....est-ce un pécari echappé ou un lapin à moins que ce soit une dinde????

Une telle invitation ne peut pas laisser pchitt indifferent.
[i]il ote son sac de haricot qui lui servait de pull et court vers le lac se préparant à faire un beau plongeon pour épater la belle....[/i[i]]mais est ce le soleil ou les restes de son passage dans la nouvelle taverne,il se prend les pieds sur un cactus et s'aplatit pietrement au pieds de bouddicca dans 20 cm d'eau.....
il reléve la tete, regarde son amie et bredouille ...ayyyyyyyyo!!!

Takoa lui répondit.

Elle sourit et s'assit à côté de lui. Posant sa tête sur son épaule elle le regarda. Sa présence l'apaisait et elle était contente lorsqu'elle se trouvait près du lac. Prenant doucement la main de Takoa elle commença à la regarder puis la caressa.

Tu as passé une bonne journée ?

Elle lui sourit, déjà qu'elle souriait beaucoup mais quand elle était avec lui c'était encore pire...

Ca va!

Souriant , il lui vint une idée. Elle l'embrassa puis se leva et le tira pour qu'il se lève également.

Viens il fait chaud, allons nous baigner dans le lac!

Elle rit.

Pour aller à la mine d'obsidienne, Dolgar passait près du lac. Et aujourd'hui, il avait bien fait de passer. Une sorte de serpent, mais en plus gros avec des dents qui lui paraissaient énormes. Le jeune homme mourait de peur, mais il fallait l'empêcher de croquer des membres de son clan.

Hé la grosse bête ! Je suis plus gros que ces deux là ! Alors viens par ici !

Il avait vu un homme de son clan jeter une pierre à la bête inconnue. Il prit son bâton de marche à pleines mains et l'envoya sur le monstre en question. Ce qui n'eut visiblement pas d'effet.

Allez la grosse bête ! Viens donc par là !

Il savait que les serpents étaient bons nageurs, mais sur terre on les voyait venir. Il espérait que cette grosse bête serait du même type. Il fallait que les nageurs sortent de l'eau.

Sortez vite de là ! Sinon vous allez vous faire dévorer vivants ! Je vais essayer de l'attirer pendant ce temps !

Lorsqu'ils arrivèrent enfin sur la berge Tia s'écroula essoufflée dans le sable.
Par curiosité elle regarda le lac et vit que le crocodile s'était contenté de manger autre chose.

Elle tenait toujours le bras de Tak qui lui avait surement sauvé la vie. Elle se tourna vers lui et l'embrassa.

Voila tu peux te venter du fait que j'ai une dette envers toi maintenant, je te dois la vie!

Elle lui sourit.

Sa journée de mine achevée, le ciel commençant à s'assombrir: le soleil partant pour laisser place à la lune et son cortège d'étoile. Boudicca se rendit au lac comme à son habitude après avoir fréquenté les étouffantes et poussièreuses galeries de la mine. Elle ressentait le besoin de se défaire de la poussière collante et irritante.
Elle fit agréablement surprise de retrouver sur la berge son ami à la chevelure flamboyante fraichement rencontré mais dont quelque chose lui disait qu'elle le connaisssait depuis bien plus longtemps.

Ayyo Azzaros ! l'eau était bonne? Moi, j'ai bien besoin d'un bain après cette journée crasseuse à la mine !
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Habitante d'Ameyalco

Il était toujours allongé, paisible et les yeux fermés quand il entendit sa voix.
Il ouvrit ses yeux, et se mit en position assise. Il tourna la tête pour regarder son interlocutrice.

Ayyo Azzaros !

Il resta un petit moment sans rien dire, cherchant ses mots, il ouvrait la bouche mais aucuns sons ne sortaient. Il se ressaisit enfin et lui répondis.

Ayyo Boudicca.

Il se concentra sur le lac devant lui, quand elle continua sa phrase.

l'eau était bonne?

Il ne tourna pas la tête cette fois et se contenta de répondre.

Je ne m'y suis pas encore baigné ...

Moi, j'ai bien besoin d'un bain après cette journée crasseuse à la mine !

Il reposa son regard sur elle, et s'appuya sur ses bras pour se relever et se mettre à son niveau. Il lui fit un sourire et tendit sa main vers la sienne.

Allons nous baigner ensembles dans se cas, mais vite avant que la nuit tombe.

Il lui prit alors la main, et l'emmena tout en marchant vers l'eau. Ils trempèrent leurs pieds, l'eau semblait fraîche, mais cela était agréable sur leurs pieds souffrant de la marche et du travail.
Sans le faire exprès, il ne lâcha pas sa main, et continua d'avancer avec elle dans l'eau. Il aurait bien voulu la regarder dans les yeux, mais ayant la crainte de tomber avec les creux et les rochers, il se contenta de contempler l'eau.
Il essaya maladroitement d'engager la conversation.

C'est agréable l'eau du lac après une journée de travail.

Il s'arrêta pour pouvoir enfin la regarder dans les yeux.

Je pense que je vais me plaire ici...

Je suis heureuse que Ameyalco te plaise.

Quand il entendit cette phrase, son coeur le poussait à une réponse qui ne sortit pas de sa bouche. Il ne bougeait pas, bataillant avec son esprit si oui ou non il devait le dire. Mais il n'eut pas eut le temps d'y réfléchir longtemps, car la famos en avait profitée pour l'éclabousser.
Il fut donc trempé, ses cheveux dégoulinants. Il se rapprocha de l'éclabousseuse tout en secouant sa chevelure rouge.

Avant qu'elle ne dédale, il l'attrapa par la taille et la déposa sur son épaule tel un vulgaire sac de haricots. Il commença à rire pendant qu'elle se débattait.

Ben on est joueuse je vois !

Puis il la ramena pour la tenir dans ses bras, fort heureusement, elle n'étais pas lourde, vus la famine dans la région. C'est en la regardant de plus prêt que son cœur battit de plus en plus fort. Il ne pouvait détourner son regard de sa cheveulure, de son visage, de ses yeux.
Mais il se reprit rapidement, affichant un sourire maléfique et allant dans une zone plus profonde.

Il la lança enfin dans l'eau, et fut d'autant plus arrosé que la première fois. Il fit un regard surpris tout en regardant sa victime. Puis il se mit à rire du ridicule de la situation. Il lui tendit sa main pour l'aider à se remettre sur pied.

Aprés une journée bien agréable,le clan heureux de pouvoir manger ,il est bon de se retrouver là , par cette chaude soirée ,tous les deux ,main dans la main ,au bord de ce lac si prospére en nourriture et si delassant pour tout le clan.

Ils resterent là, blottis l'un contre l'autre ,à se demander s'ils ne rèvaient pas.....

De bonheur ou de folie ,pchitt se mit a courir dans l'eau jetant ses haillons qui lui servaient d'habits et plongea pour se rafraichir.

Il reléva la tete regarda sa compagne ,lui fit un petit geste du doigt et lui dit:

tu viens?

Après une longue journée de travail, Sara alla se promener au bord du lac, et admirer la vue, sur cet océan, si beau et si grand. Elle s'assit au bord de l'eau, et glissa sa main dans les vagues. Elle laissa vagabonder son esprit, passant la nuit à observer les vagues.
Ce lac, il était tellement beau et majestueux, que son regard se perdait dedans.

Jean vit Sara se réveiller.

Oui j'ai décidé de prendre une pause. Envoyez des messages au Clan devient endormant.

Il vit Sara lui offrir une pointe de tarte. Il l'accepta avec plaisir. Il la mangea avec délice.

Elle est très bonne cette tarte. C'est toi qui l'a fait?

Il lui fit un sourire. Il pensa au fait de manger une tarte dans son bureau.

La tarte pour moi? Je vais l'amener dans mon bureau et en mangé. Il n'y a rien à mangé dans se bureau. Il y a du papier et ... du papier. Je n'aime pas beaucoup mangé le papier il n'a pas un bon goût.

Il se mit à rire. Il s'imagina en train de mangé des bouts de papier.

Akator qui était là depuis peu de temps se dit qu'une petite visite au lac serait certainement une bonne idée... Il commença à se diriger vers le lac, puis de loin, il vit une superbe fille entrain de se baigner...

Le temps qu'il arrive jusque là, elle était sortie et avait finit par s'endormir dans l'ombre d'un arbre, il s'approcha d'elle et reconnu Sara...

Bonjour, Sara ! Je te dérange ?

Le soleil réchauffait sa peau tandis que le vent se chargeait de la caresser et d'estomper la chaleur que le soleil produisait, un juste milieu quoi.
C'est ainsi, qu'allongée sur le ventre, la peau nue, que la brunette sombra dans le pays des merveilles.

Le contact d'une main sur son dos la tira de ses rêves comme la douce caresse du vent. Un moment déboussolée, la belle se rappela d'où elle était mais depuis combien de temps mystère... Elle coula un regard en direction de la personne en possession de cette main et sourit en découvrant son blondinet.

Se rapprochant de lui jusqu'à sentir le contact de ses vêtements sur sa peau nue elle l'embrassa.

Ayyo blondinet. Une belle vision que tu m'offres en me réveillant. Que fais-tu ici? Tu me cherchais?

Sara avait passé la nuit au bord du lac, avec Drakkan, sous un ciel magnifiquement étoilé. Elle s'était endormi dans ses bras et se sentait si bien, mais le matin était là. Elle se leva doucement afin de ne pas le réveiller, et déposé un doux baiser sur ses lèvres. Puis elle lui fit un petit mot, qu'elle laissa à coté de lui.

"mon amour, je suis partie travailler, je te retrouverai en taverne. sara"

Cyrielle adressa un sourire à son blond et ferma ses yeux pendant que la main du blondinet continuait de caresser son corps.

Hum j'en étais sûre, tu me cherchais. Eh oui comme tu le vois je profite du beau temps pour me baigner et réchauffer ma peau par les rayons du soleil, mais la chaleur de ton corps est plus agréable.

Sais-tu raconter les histoires blondinet? J'ai envie de voyager maintenant...

Isha se promena dans le village où elle venait d'arriver... Elle avait besoin d'un peu de calme après une belle soirée en taverne bien arrosée. Elle découvrit un magnifique lac non loin du clan. Une idée alors lui vint, aller se baigner pour se rafraichir. Elle se sentait si sale et l'alcool lui faisait encore tournée la tête.

Elle alla près d'un arbre, se dévêtis rapidement et plongea à l'eau.

Elle nagea pendant quelques temps et dégusta la sensation de l'eau fraiche sur sa peau. Elle sursauta lorsqu'elle entendit une voix d'homme s'approcher.

"allez ptit croco je t'emmene avec moi"


Elle regarda ses vêtements suspendus à l'arbre et se maudit intérieurement de les avoirs laissés là. Elle tenta de se cacher du mieux qu'elle pouvait espérant que l'homme passera tout droit sans la voir.

Une fois par semaine Pchitt avait pris l'habitude de faire sortir son petit animal qu'il avait trouvé il ya queques temps au bord de ce lac.
Son petit lézard avait bien grandi depuis le temps et devenait un croco de belle taille...

Il s'arreta en haut d'une butte,et vit avec amusement les deux tourtereaux s'ebattre au bord du lac,il fut touché par la scéne et decida de garder petit croco avec lui et de reporter sa sortie pour ne pas les déranger.

Plus loin il aperçut 2 beautés qui se rafraichissaient dans cette eau limpide et calme ,il hesita un instant à les rejoindre mais prefera rester à les observer ,content de revoir les habitants heureux de vivre dans ce clan.

Atala regarde son bonheur, sa vie retrouvée
elle se colle contre lui

tu sais j'avais le sentiment d'aimer l'eau mais je crois que je pourrais l'aimer plus encore grace à toi
un jour tu m'apprendras à nager, je pense qu'il nous faudra un clan avec une étendue d'eau
je suis heureuse que tu sois venu me chercher ici mon amour

elle le regarda à nouveau et se rapprocha plus encore de lui

Elle le regarda amoureusement
le voir ainsi sortir de l'eau lui déchira le coeur, le temps leur était compté
mais elle avait plaisir à le voir marcher fièrement dans l'eau vers leur avenir

elle se décida à sortir pour le rejoindre prenant son temps pour profitter de ses derniers instants et de son regard posé sur elle

sur la berge elle l'embrassa tendrement et lui prit la main, se serra contre lui, mouillée mais prete pour la suite du grand voyage à ses cotés

tu as raison nous avons été bien ici, allons y pour ce petit voyage au clair de lune

Braah, après une soirée de beuverie a la pulqueria du calpulli, marchait le long du lac. Il avait le ventre plein de pulque et n'allait pas très bien...
Sentant les vertiges malicieux de la boisson de plus en plus fréquents, il s'assiet a ubord du lac, les pieds dans l'eau...

Raaah..! Ca fait du bien! Mais bon elle est un peu fraîche cette yacatl!

Tout était silencieux, trop calme à son goût, enfin dans l'état où il se trouvait bien sûr, alors une envie de dément le prit et cria:

Eeeehhh ! Il y'a quelqu'un au bord de ce lac?! Eeehh, Je suis trop plein, répondez-moi!! il y a quelqu'un?!

Sur ces paroles, Braah retomba par-terre de tout son poids et commenca a fermer les yeux. Il était beaucoup trop saoûl de la veille, il se laissa emporter par le sommeil... Avant de se relever subitement et de rendre tout le pulque!

Arf, c'est la dernière fois... avant la prochaine!!

Il tomba et dorma...

Nayélia et son tendre compagnon Gachaka avaient décidé d'aller passer la journée à pêcher ensemble....
Depuis qu'il était revenu, ils ne se séparaient plus. Chaque moment ensemble était un pur bonheur.

Alors de bon matin, enfin pas trop, Nayélia lui montra le coin qu'elle avait trouvé, juste après le gros rocher.

Vient mon ange, on s'installe ici, les poissons viennent en bande ici...on a qu'a lancer notre ligne et à attendre...
Et puis je vais te dire mon petit secret... Je leur chante une petite chansonnette...pour les attirer....

Nayélia rougit un peu en te regardant. Elle installa sa ligne, et se mit à chanter doucement :

Petit, petit, petit poisson ...
vient mordre à l'hameçon....
Petit, petit, petit poisson ...
vient mordre à l'hameçon....

Ou s'ils ont pas trop faim...je leur chante celle ci ...

Un petit poisson dans l'eau nage, nage, nage, nage...
Un petit poisson dans l'eau nage aussi bien que les gros...

Nayélia regarde Gachaka et se dit qu'il va la prendre pour une fofolle et sourit honteuse.

"Allez, on chante ensemble, mon amour ?

Petit, petit, petit poisson ...
vient mordre à l'hameçon....
Petit, petit, petit poisson ...
vient mordre à l'hameçon.... "

Puis soudainement, au bout d'à peine la deuxième fois que l'on reprenait la chanson, nos deux lignes s'agitèrent et une force s'excerçait à l'autre bout.

Gachaka écarquillait les yeux et me regardait , en me faisait un grand sourire émerveillé.

Ahh !! Tu vois !! Je t'ai dis que c'était magique....tout comme pour nous mon amour....

Je relevais ma ligne et un tout petit poisson gesticulait au bout....

Oh toi, tu as de la chance.....Je te laisse grandir encore un peu...tu n'en seras que meilleur.

Je le décrochais délicatement et le remis à l'eau...

Braah se réveilla et se remémora ce qu'il s'était passer... A cette pensée il fut pris d'un fort sentiment de honte et remercia Huizilopochtli que personne ne l'eû vu dans cet état. En effet, en Cem-Anahuac, l'ivresse publique peut être condamnée de mort! Il se leva au bord du lac, l'eau lui arrivant à hauteur des genoux.

Ouuaah, quelle soirée! On ne m'y reprendra plus à boire comme ça! Maintenant j'ai un de ces mal de tête, je crois bien l'avoir mérité... Hehe!
Ah ! L'eau est bonne aujourd'hui, je vais aller y faire un tour pour me remettre un peu...

Sur ces paroles, Braah enleva ses sandales et ses haillons et se jeta à l'eau. Apparemment ca lui faisait le plus grand bien car il y resta un petit moment, à faire quelques longueurs. Puis, au bout d'un moment il entendit des voix, des personnes chantaient... Il décida donc d'aller y jeter un oeil...

Qui sont-ils ? Ah, mais oui je m'en souviens c'est le couple avec lequel j'ai conversé l'autre soir... Je vais pas les déranger, d'autant plus que je ne suis pas habillé. C'est quoi ces paroles ?

A ce moment, Braah vit sortir de l'eau un petit poisson qui s'était fait piéger par la magie de cette chanson, il en fut surpris...

Mince alors! Il faudra que j'essaie un jour! Ou alors ils ont de la chance! Ou de la patience, eheh... Bon, c'est bien beau de regarder les gens pêcher mais j'ai du boulot. Il faut que j'aille récolter... Je serai bien rester un peu, je reviendrai ici..!

Il regagna la rive où il s'était réveiller, se rhabilla et commençait à partir lorsqu'il vit des habits de cihuatl au bord du lac, non loin du sentier qu'il avait emprunté pour venir jusqu'ici... Il regarda vers le lac et vit une fort belle jeune cihuatl se baigner, nue. Il resta cinq minutes à la regarder, puis sur cette agréable vision, reprit son chemin vers son milco.

Colhine se balada prés du Lac et scruta sa future maison qui se construisait et souria voyant que ca avanca bien puis elle continua sa balade en trempant ses pieds dans l' eau .

Colhine s' avanca encore et vit quelque chose sous un buisson et y regarda et elle prit l' animal qui est en faite un chaton et l emmitoufla dans son pagne et l emmena vers la taverne .

Analoa quitta la taverne le coeur battant.
Sans but elle traversa le clan plongé dans le plus grand silence. Elle regarda la lune pleine ronde qui éclairait de toute sa force. Analoa adorait regarder la lune et s'étonnait toujours qu'un tel caillou puisse tenir dans l'air sans une multitude de ficelles pour l'empecher de tomber.
un demi-sourire éclaira son visage.Elle n'avait pas le coeur à rire, mais bien à pleurer. Elle continua son errance et parvint devant le lac, calme, beau et surement très froid.
La lune en voila une au moins qui ne se posait pas de question
Alors qu'elle sa pauvre tete était sur le point d'exploser !
Pourquoi ce voyage, certes elle voulait retrouver Roseraie, mais si elle avait pu imaginer le désastre de cette entreprise elle aurait dit NON, cent fois, mille fois non............... pas avec lui, lui qui n'avait qu'une idée en tete, qu'une seule pensée qui le torturait, revoir sa princesse aux yeux verts. Sa soeur.
Alors il ne lui restait pas 36 solutions. Il n'y en avait qu'une.
Elle s'allongea dans l'herbe et du regard interrogea sa lumineuse amie.
Etait-ce la bonne, l'unique solution ?

Un long moment plus tard, après avoir pesé le pour et le contre, envisagé toutes les conséquence de son acte, elle se leva, les larmes roulant doucement le long de ses joues.
Elle avançat lentement, s'approchant du lac comme hypnotisée.
Elle s'agenouilla au bord de l'eau, rafraichit son visage, puis but une longue gorgée. Si l'eau fraiche, qui glissait le long de son cou, soulageait son corps, elle n'atteignait malheureusement pas son coeur.
Une seconde idée, certes moins lumineuse que la première, germa brutalement dans son esprit.
Elle fut tentée un court instant d'avancer dans cette eau froide, jusquà ..... mais elle aperçut deux silhouettes à l'opposé du lac et cela la ramena à la réalité et si c'était......., non, que viendrait-il faire à cette heure près du lac ?
Elle soupira longuement puis revint doucement sur ses pas. Sa décision était prise. Il n'y avait qu'une solution. Le quitter.

Elle est revenue sur les lieux de son erreur.
C'est pas faute d'avoir pourtant réfléchi mais elle a vraiment pas fait le bon choix.

Elle marche le long du lac et s'assoit dans l'herbe fraiche, ce soir le croissant de lune brille au dessus d'elle mais il a perdu sa moitié.
Seulement lui il sait qu'il la retrouvera bientôt sa moitié et que de nouveau ils ne feront plus qu'un.

Alors qu'elle, que lui reste-t-il ? excepté ses regrets et ses larmes !
Ah bien sur, elle le retrouvera bientôt car c'est plus fort qu'elle, elle ne peut pas se résigner à le laisser partir, ce n'est pas possible !
C'est pas faute d'avoir essayé, et d'avoir cumulé les sottises !
Le pire pour elle c'est qu'il ne la repousse pas, au contraire il accepte tout ce qu'elle lui demande, mais est-ce par pitié ? par amitié surement ! car ce n'est surement pas par amour !

Elle est mal, si mal, si seulement elle avait un peu de courage !

Suite a mon abominable racket , n'ayant plus un sou et plus de denrée, plus de champ........
Que faire et à quoi bon ?

Après avoir pleurer des milliers de larmes de désespoir......
L'idée me vint de me jeter à l'eau , pour y mourrir...

Mais ........ est ce bien une bonne idée ?
Se dit que tous les amis qui me soutiennent , ne vont pas apprécier..

Ne voyant personne autour du lac ..Je pris le chemin du retour en pensant que demain sera peut être un jour meilleur.......

L'air devenant frais et la nuit faisant son aparition, Coyala sortit de ses pensées..... se frictionna les bras pour se réchauffer. Tout en faisant le tour de l'arbre déformé elle vit au loin Myster qui se dirigeait vers le village... il était trop loin pour l'interpeller...

Coyala cueillit quelques fleurs pour sa hutte et se dirigea vers le village d'un pas tranquille.
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Mimi arriva au bord du lac, elle voulais y faire un tour avant son depart, elle se posa pres d'un arbre et se mit a pleurer, elle en avait mare de souffrir, elle le rendais pas heureux, donc vallais mieux prendre la route, elle resta un moment et des se soir elle prendra la route

Atala se réveilla en sursaut un sentiment de manque et d'abandon, elle leva la tête, Xoloth n'était pas là, elle se frotta vite les yeux pour se réveiller mieux et sourit en devinant ou il devait se trouver.
Elle sourit aussi en pensant à quel point elle ressentait ou non sa présence.
Elle se sentait heureuse et espérait qu'il l'était aussi, hier ils s'étaient dit, le premier réveillé va attendre l'autre au lac...Un petit doute quand même lui fit accélerer son lever pour vite partir sur les chemins à la recherche de son amour...
elle courrait et était étonnée de se souvenir si bien du chemin....
au détour d'un sentier elle déboucha sur le lac......
Que ce lac était grand, que ce lac était beau, ses yeux scrutèrent désespérement les eaux et les berges, elle reconnu enfin la silhouette tant aimée, Xoloth était là...à le voir ainsi assit contemplant l'horizon on aurait dit un penseur.......... Atala sourit admirative.........

Elle s'approcha le plus lentement possible pour ne pas perturber ses contemplations, elle cherchait une idée amusante pour le troubler un peu, elle avait dit qu'elle savait faire tous les animaux, mais elle avait un peu menti, elle ne savait pas encore faire le poisson, il finirait de lui apprendre...
elle réfléchit
ouiiii je sais pensa t'elle en souriant

elle se déshabilla et gracieusement passa devant le regard perdu de Xoloth


elle espérait ainsi le troubler en faisant l'oiseau dansant

Atala n'avait encore jamais incarné l'oiseau dansant, qui plus est dans l'eau, un élément qu'elle maîtrisait mal, elle n'était pas sure de son effet...

elle ne pu retenir un large sourire et un petit rire de satisfaction en voyant Xoloth se lever et venir la rejoindre....



il était beau il était fièr, il incarnait en cet instant le bonheur, son bonheur, leur bonheur...

Elle se laissa glisser et guider dans l'eau en l'embrassant tendrement

Avant de commencer elle répondit à son petit baiser par un autre puis un autre....

Je suis prête professor, que la scéance commence!!!

elle s'accrocha à son bras, s'allongea doucement dans l'eau et commença des petits battements de jambes en prenant soin de bien rester aggrippée pour ne pas couler

elle rit un peu et dans un large sourire réussi à lui dire

bon les battements c'est bon..... voyons pour la suite...

Xoloth la regardait se coucher dans l'eau et battre des pieds. Il lui sourit et se contenta de hocher la tête affirmativement en souriant en réponse à sa remarque.
Il recula davantage et prit un peu de vitesse obligeant ainsi Atala à se tendre plus. Puis il fit descendre son bras dans l'eau doucement pour obliger son élève à utiliser les siens.
Atala lacha son bras et commença des mouvements désordonnés des bras. Xoloth fit alors glisser son bras sous le ventre de la nageuse en herbe et la maintint suffisamment pour qu'elle ne coule pas.

Vas-y, mon coeur.... tu y es presque... fais des mouvements avec tes bras... je t'empêcherai de couler...

Xoloth était attentif au moindre signe de panique. Il ne voulait pas la perdre...

Xoloth sourit à la nageuse en herbe. Elle s'appliquait et arrivait à un résultat plus qu'honorable. La main sous le ventre était encore nécessaire autant pour lui que pour elle. Elle pouvait ainsi rester plus facilement à plat et était rassurée tandis que lui était heureux du contact de sa peau.
Xoloth admira son amour se débattre dans l'eau avec des mouvements de moins en moins désordonnés. Il détailla son corps dans l'effort. Les muscles saillaient avec grâce, la peau luisait sous les projections d'eau. Son regard s'attarda sur les fesses qui étaient plus belles que jamais.

Tu y es presque, mon coeur... continue... je vais te lacher peu à peu...

Joignant le geste à la parole, Xoloth commença à décoller la main du ventre...
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Xoloth éclata de rire en l'entendant se réjouir ainsi. Atala avait bien nagé sur quelques mètres. Oui, c'était un fait mais la technique était encore désordonnée.
Il fut surpris qu'elle se détache ainsi de lui. Sa main sous le ventre n'avait pas suivi et lui avait effleurée les cuisses. Bien que la voyant nager vers la berge en faisant un magnifique virage, Xoloth était tendu, prêt à intervenir au cas de problème. Il la vit s'échouer et se mettre assise. Il lui sourit alors radieusement et profita du spectacle que ses seins fièrement pointés offraient hors de l'eau.
Il la rejoignit très vite en quelques battements et lui déposa un long et tendre baiser sur la bouche avant de s'asseoir juste en face d'elle.

Je suis très fier de toi, mon coeur ! Tu as réussi ! Tu sais nager !
Il te faudra de l'entraînement mais tu sais nager.

Xoloth se leva et invita Atala à se lever aussi. Ils gagnèrent la berge et se rhabillèrent.

Allons à Mizquic pour commencer notre nouvelle vie, mon Atala...
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Elle nagea longuement se ressourçant intérieurement du calme ambiant. Vint le temps où il fallut alors sortir de ce délicieux endroit. Elle relevait la tête essorant la longue chevelure ébène lorsque prêt de ses vêtements, elle remarqua une carrure qui…ne lui était pas étrangère.

Sans faire de bruit elle s’approcha et dans toute sa splendeur féminine, inclinée légèrement de profil, bras croisés, pied droit habilement posé en avant, se campa derrière lui.

- Hum hum..ça t’arrive souvent de reluquer les vêtements des femelles ?

Un sourire fripon, un regard d’émeraude à en faire palir plus d’un, Citla le regardait, tentant de deviner ce que celui qui appréciait ses pieds allait rétorquer.

Derrière elle la lune tachait le lac et dans les cheveux bruns mouillés milles éclats de pierre d’étoile brillaient...

Douce violence pour ne pas lui montrer tout ce qu'elle ressent à cet instant. Il s'approche, elle veut reculer mais ne peut le faire comme si inévitablement leurs corps voulaient se rencontrer.

Déjà les souffles se mélangent, les mains se cherchent, le feu au creux des reins s'attise, les peaux se touchent. Un sourire glisse sur les lèvres rouges de la jeune femme.

- Ah oui ? et le contenu convient il au vaillant guerrier qui se trouve devant moi ?

Ses doigts dessinent les chemins tortueux des épaules masculines, ses lèvres font mine de chercher celles de son conquérant, son torse, son cou, ses joues puis s'échappent au moment crucial. Elle s'éloigne, ramasse ses affaires, le regarde malicieusement.

- On y va ? j'ai soif..

Mordillement de la lèvre inférieure qui se veut provoquant, à ce jeu là, c'est elle la plus forte, il ne faudrait pas qu'il l'oubli...

Xoloth avait cherché Atala un peu partout dans le clan lorsqu'il se frappa le front. Mais oui, bien sûr ! Elle ne pouvait qu'être au lac !
Il se rendit donc vers l'étendue d'eau en imaginant déjà ce qu'ils pourraient faire pour se distraire dans cet endroit si paisible et si serein. De la natation bien sûr, encore qu'Atala dût faire des progrès. De l'exploration également aussi bien des berges que de l'eau. Bref, il votait quelques occupations intéressantes.

Xoloth marchait d'un pas léger, presque guilleret. Il sentait qu'elle était déjà là. Mieux, il le savait ! A l'approche de l'étendue liquide, il ralentit le rythme pour finir en pas de loup. Il voulait la surprendre en pleine joie de se retrouver dans l'eau. Il l'avait vu si souvent heureuse à jouer avec l'eau. Cela le ravissait à chaque fois. Il en était heureux.

C'est sans bruit qu'il arriva près de la berge à l'abri des fourrés. Il ne vit d'abord rien. Pas d'Atala couchée sur la berge ni à moitié dans l'eau. Son regard fouilla plus l'eau puis la berge. Devant ce néant, Xoloth sentit monter une angoisse... et si Atala s'était noyée ?!

Alors qu'il allait bondir pour se jeter à l'eau, il entendit le petit rire de son aimée. Il scruta plus en profondeur le lac et vit une planche suivie par la femme de sa vie qui nageait derrière en s'en servant comme appui. Xoloth se calma instantanément alors qu'un large sourire lui barrait peu à peu le visage. Il hésitait quant à la suite à donner à cette matinée lorsque son regard tomba par hasard sur les vêtements d'Atala. Le sourire se transforma en gloussement tandis qu'il se déshabillait.

Atala était nue et cela lui donnait d'autres idées. Il attendit qu'elle lui tourne le dos pour se glisser dans l'eau le plus silencieusement possible. Il ne lui fallut que quelques mouvements pour parvenir près d'elle. Il se laissa alors couler pour venir lui dépose des baisers sur le ventre avant d'apparaître brusquement devant elle...
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Azulia admirait la beauté du Lac, en ce joli début d'après-midi. Elle venait d'arriver en Ameyalco et ne connaissait ni la langue, ni la culture de ce village. Heureusement, avant sa petite promenade, elle avait pu apercevoir la tribun qui lui avait donné quelques mots de vocabulaire.
La jeune femme respirait l'air de ce beau village.
Azulia devait abréger sa promenade, car il ne fallait pas manquer de passer au calpulli, non loin de là. Elle croisa quelques personnes, se promenant elles aussi, ou d'autres même, se baignant. La jeune femme s'arrêta net, cherchant le mot qui signifiait "bonjour". Perdue, le nahuatl lui semblait difficile à mémoriser.

- Ayyo !!!

Azulia devait paraître folle à crier, mais elle avait réussie à se souvenir de son mot. Tout sourire, elle s'écroula par terre, en regardant le joli paysage qui s'offrait à elle.

Coyala avait fini son tour de garde et avant d'aller voir en taverne si quelqu'un avait besoin de ses services elle fit un détour par le lac.... Braah lui en avait parlé la veille.

Ses pas la conduisirent près d'un arbre tordu dont l'une des branches proposait un siège assez confortable... Coyala s'y installa et se mit sur les épaules la couverture qu'elle emmenait avec elle en ce moment.... le temps était assez frais.

Elle regarda un long moment cette eau limpide se disant qu'aux beaux jours elle s'y baignerait certainement... cela devait être agréable... puis elle ferma les yeux posant la tête sur le tronc de l'arbre et laissa son esprit vagabonder........ elle était bien......... heureuse....... mais quelqu'un manquait auprès d'elle..... LUI.
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Xoloth sortit la tête de l'eau avec un sourire radieux. Il embrassa atala avec ardeur et amour puis s'aperçut qu'il y avait une jeune femme au bord de l'eau.
Il sourit alors et comprit pourquoi son aimée parlait ainsi depuis de longues secondes. Il vint se coller à elle, lui enveloppant la poitrine de ses bras et écouta les jeunes femmes après s'être présenté.

Ayyo, je suis Xoloth... nouvellement installé dans ce merveilleux endroit qu'est Ameyalco. Comme vous l'avez deviné, je suis le compagnon comblé et heureux de me douce Atala

Xoloth acheva sa phrase par un large sourire et déposa de doux baisers dans le cou d'Atala...
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Xoloth sourit en entendant la jeune femme se présenter. Il laissa glisser ses bras sur le ventre d'Atala et le lui caressa doucement.
Il posa alors le menton sur l'épaule de son aimée.

Enchanté, Azulia... Continuez à converser... Faîtes comme si je n'étais pas là et poursuivez votre conversation...

Xoloth bascula la tête contre celle d'Atala et arbora un sourire radieux...
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Sirannah n'avait pas pu s'empêcher de relever un défit amore. Et tout ça pourquoi ? Simplement suite à une plaisanterie tout aussi amore sur un certain prix à gagner si elle remportait le tournoi. Tournoi de quoi ? de lancer de poisson !! Mais jamais de sa vie elle n'avait fait ce genre de chose. Elle savait à peine à quoi ressemblait un poisson. Elle n'en avait d'ailleurs jamais mangé. Furieuse contre elle-même et après s'être targuée de tous les noms d'oiseaux possibles, elle prit en maugréant le chemin du lac. Elle allait au moins essayer de s'entrainer avant. Pas la peine qu'en plus qu'elle se fasse remarquer en faisant le plus mauvais score. Autant essayer de gratter un ou deux points.

En arrivant au bord du lac, elle regarda la surface plane et ne put s'empêcher d'en admirer l'étendue. Puis elle entreprit de pêcher un poisson. Nouvelle difficulté. Elle n'avait jamais pêché de sa vie. Après avoir remonté son pagne et l'avoir attaché à sa taille, elle s'avança dans l'eau jusqu'à mi-cuisses puis commença de guetter le poisson. Elle en vit un s'approcher, et tenta de l'attraper avec ses mains. Bien évidemment celui-ci ne se laissa pas capturer. Elle en chercha un deuxième mais n'eut pas plus de succès. Elle vit un peu plus loin, une pierre plate qui s'avançait au dessus de l'eau. Elle se dit que le poisson serait peut être plus abondant de ce coté là. Elle se dirigea vers la pierre plate, puis s'allongea de tout son long, les bras ballants tout au bout. A chaque fois qu'un poisson passait à proximité, elle tentait de l'attraper mais soit elle le ratait soit il lui glissait entre les mains. Elle se dit qu'elle n'était pas assez penchée. Aussi, doucement, elle rampa sur le rocher et se tint en équilibre, le buste au dessus de l'eau et les hanches et les jambes épousant le rocher.

Elle vit tout à coup un énorme poisson se faufiler entre deux eaux et comme un chat aux aguets, elle se tint prête à le saisir à pleines mains. Mais lorsqu'enfin il passa à sa portée, elle fit un mouvement si rapide et si brusque que ses jambes se soulevèrent et que le poids de son buste l'entraîna dans les eaux du lac, la tête la première. Elle refit surface telle un ballon d'air qu'on libère et hurla de rage tout en nageant vers la rive. Elle sorti de l'eau, dégoulinante et les cheveux en bataille.

- Ah c'est malin ça ! comment je vais rentrer moi maintenant ! Je vais encore me faire remarquer en traversant le village. AAAARRRF.

Elle regarda le lac d'un oeil noir comme s'il fut responsable de sa mésaventure. Non, décidément, elle ne réussirait jamais à attraper un poisson comme ça. Mieux valait rentrer. Elle donna un violent coup de pied rageur dans le sable de la rive, le faisant voler autour d'elle puis longea celle-ci en direction du village, se cachant derrière les buissons dès qu'elle entendait une voix, afin que personne ne vit son état et ne puisse se moquer d'elle.
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Coyala était sortie de la taverne et se rendait dans son champs.... elle entreprit de passer vers le lac...

Elle arriva près de son arbre tortueux, elle aimait bien cet endroit..... elle se rappela sa rencontre avec lui...... leur quelques moments de quiétude mais surtout leurs incompréhensions... mais à quoi bon tout était terminé maintenant.... elle aura toujours une pensée pour lui.....

Elle s'agenouilla près de l'eau, y déposa une rose rouge et la regarda partir vers l'horizon en murmurant :

que Huizilopahtli te garde près de lui et te protège.....

Elle se remit sur ses pieds, tourna les talons et partit en direction de son champs..... la vie continuait....... et lui avait choisi son destin.
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C'est avec angoisse que Xoloth se réveilla d'un coup. Atala n'était plus à côté de lui dans la couche !
D'un bond, il se leva et la chercha dans la hutte. S'il n'avait pas été inquiet, il aurait ri de sa recherche dans cette hutte si vide où aucun endroit n'était possible pour se cacher. Il ne faisait pas noir, non, la lune éclairait largement le clan.
Faisant taire sa peur, Xoloth réfléchit et chercha une raison au départ d'Atala. Il s'assura que ses affaires étaient là. Elle n'était donc pas partie loin. Il sortit alors dans le clan à la recherche d'un indice, de quelque chose qui lui indiquerait où elle se trouvait.
Lui vint à l'idée qu'elle pourrait aller en trouver un autre. Xoloth secoua la tête vigoureusement. Ce n'était pas possible ! Leur amour était si fort, si grand qu'il se refusait à cette éventualité. Non, Atala était ailleurs...
Alors qu'il rôdait dans le clan, il passa devant le chemin du lac et l'emprunta presque machinalement, comme poussé par quelque chose. Son coeur lui disait d'aller là-bas.

La lune avait un reflet grandiose sur l'eau calme du lac. Il y avait une lumière resplendissante. L'eau était presque immobile, formant un miroir presque parfait. Xoloth s'accroupit pour profiter du spectacle et finit par découvrir une forme allongée à sa gauche, tout près de l'eau. Il s'en approcha et reconnut son Atala.
Elle était là, endormie tel un ange, le visage calme et serein, l'air heureuse. Il s'allongea contre elle et l'enveloppa d'un bras, calant son visage sur son épaule près du cou.
La nuit allait être douce...
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Benji23 avait trouvé le petit mot, deçu il rentra chez lui
Il vit des haricots et quelques tortillas
Bah pourquoi pas partir apres tout!!
Il prit sa massue au cas ou, pas sa massue la sauvage n'est pas la
Il se dirigea vers le lac en esperant retrouver sa rousse
Il arriva, il faisait nuit. Il se demanda se qu'aurait fait une rousse? Pas simple de penser comme elles!

Il se dit que la foret serait un lit parfait pour une rousse^^.
Il entra dans la foret, se mit a avancer sans savoir ou il allait...
Soudain il trébucha sur une racine, s'étala..... sur une boule de fourrure!
La massue avait glissée dans un trou...
Il se dit que ce devait etre sira qui dormait dans une peau!
Soudain la fourrure se mit a bouger et se leva!
Il aimait pas ça
Il entendit un rugissement

Une tete d'animal se distingué avec la lumiere de la lune
UN JAGUAR!

Il cria:

" AHHHHHHHHHHHHHHHHH"

se mit a courir

"COUCHE GROS CHAT"

Il arriva au lac se jeta dedans
Ce qu'il savait pas c'est qu'un jaguar ça sait nager!
le jaguar plongea et nagea dans sa direction

"oh pinaise!!"

Il sprinta vers un rocher, chercha des pierres et les balança sur le jaguar
Une lui arriva sur la tete, il coula...

Il ne voulait pas le tuer, mais juste le faire fuir!
Il plongea, prit de remords, alla le remonter a la surface et le ramena a la berge

Il la laissa la, inerte, sur le sol
Il reprit ses recherches

Sirannah commençait à peine à s'endormir quand elle entendit un craquement. Aussitôt les sens en éveil, elle s'assit, prit son couteau et se tapit sous les branchages.

Quelqu'un venait. Un pas lourd. En tout cas la personne ne prenait même pas la précaution de ne pas faire de bruit. Il se croyait seul visiblement. Sirannah cessa de respirer lorsqu'elle vit une ombre se dessiner, qui lui parut énorme. Des épaules de taureau !!. Elle se dit qu'il fallait qu'elle le fasse tomber si elle voulait avoir le dessus. Alors elle visa les jambes et quand l'ombre passa à sa portée elle se jeta en avant, saisit les genoux et fit tomber l'ennemi. Puis avant qu'il ait eu le temps de réagir, elle s'assit à califourchon sur son dos, et lui mit son couteau sous la gorge. Elle paraissait brave, mais ses mains tremblaient de peur.

- heeee l'homme ! qui es tu, qu'est ce tu fais ici ?

Il faisait très sombre et elle distinguait à peine son visage qui de toute façon était face contre terre. Par contre elle fut surprise de voir que les "épaules" reposaient loin du corps qui du coup avait perdu de son ampleur. Elle entendit une sorte de grognement sourd qui sortait de sous elle. Elle se pencha au moment où l'homme relevait la tête et elle l'entendit jurer comme un charretier.

- Benjiiii ? mais qu'est ce que tu fais ici à cette heure de la nuit . Tu m'as fichu une sacré trouille !

Tout en lui parlant elle le libéra et rangea son couteau. Puis elle l'aida à se relever. Lorsqu'il fut sur pieds, elle le regarda et éclata de rire car il avait le visage barbouillé de feuilles et de terre. Mais elle était si heureuse de le voir qu'elle lui sauta au cou et l'embrassa fougueusement. Puis elle courut chercher un peu d'eau et doucement, lui nettoya le visage, tout en écoutant son récit sur la rencontre avec la "bête". Elle l'interrompait régulièrement en posant un baiser léger sur ses lèvres pour se faire pardonner son accueil. Elle nageait dans le bonheur total quand tout à coup un léger grognement se fit entendre qui devint plus fort. Ils tournèrent la tête en même temps vers la bête pour se rendre compte que celle-ci s'était réveillée et bien que blessée, les menaçait. Alors tels deux ressorts, ils bondirent sur leurs pieds et coururent se jeter dans le lac en hurlant.

- HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

L'animal, trop blessé pour les suivre était resté sur la berge et les regardait, les babouines se relevant régulièrement sur des dents acérées.

Sirannah se retourna vers Benji et lui dit :

- Et maintenant ? qu'est ce qu'on fait ?
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Sirannah regarda Benji médusée. Elle prit néanmoins un bambou et plongea, s'assit en tailleur au fond de l'eau, les bras croisés, et commença à compter les minutes. De temps en temps elle jetait un oeil furieux à Benji, assis à ses côtés et qui ne faisait pas mine de bouger.

Au bout de ce qui lui parut une éternité, elle sentit la rage l'envahir. Elle n'avait pas la moindre envie de mariner des heures au bout d'un bambou dans l'eau du lac avec un monstre aux dents longues attendant patiemment qu'ils sortent de l'eau pour faire d'eux son petit déjeuner. Elle se releva d'un bond et une fois le torse hors de l'eau, elle boucha l'embout du bambou de Benji. Celui-ci ne tarda pas à manifester un début d'asphyxie alors elle tira d'un coup sec sur le bambou pour le lui arracher. Benji bondit hors de l'eau, toussant et crachant. Alors Sirannah, n'écoutant que son courage (une main sur le coeur l'autre tenant les deux bambous en guise d'arme devant elle) sortit doucement de l'eau, sans quitter des yeux la forme sombre allongée sur la berge et qui recommençait sérieusement à montrer ses crocs. Mais pas question de retourner dans la bouillasse ! ah ça non alors ! Elle y laisserait certainement un beefsteak, mais l'idée d'être bouffée par les poissons ne l'enchantant pas plus que ça, elle se dit qu'au moins elle ne se rendrait pas sans combattre.

Elle n'en menait pas large la rousse ! Elle tremblait comme une feuille de froid et de peur, (mais pour la peur pas question de l'admettre hein ! Shuuuuut) Elle sortit de l'eau pas après pas, tout en toisant l'animal, les bambous en avant. Elle ne sait pas ce qui la surprit le plus : de sentir que Benji la suivait prudemment à quelques pas derrière ou bien de constater que la "chose" noire ne bougeait pas bien qu'elle manifestait son éveil par des grognements sourds. Plus elle approchait, plus elle se rendait compte que le "monstre" n'était sans doute pas aussi gros qu'elle l'avait cru. Toujours prudemment, elle continua d'avancer et vit qu'il se terrait contre un buisson mais ne manifestait pas l'envie de se jeter sur elle. Quand enfin elle ne fut qu'à quelques pas, elle finit par voir que ce n'était qu'un bébé jaguar.

Elle se retourna vers Benji le sourire au lèvres pour le rassurer mais découvrit avec stupeur qu'il ne s'y trouvait plus. Puis elle entendit un "RHAAAAAAAAA" puissant et se retournant à nouveau vers l'animal, elle vit Benji se jeter sur lui avec sa couverture à elle et l'en recouvrir. En un éclair elle comprit : elle avait servit d'appât ! Il l'avait bien laissée attirer l'attention de la bête pour pouvoir la capturer. Elle ne savait plus si elle devait rire de soulagement ou égorger l'homme !
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Sirannah regarda à son tour et vit que sa couverture était maculée de sang.

- Arf ! nous voilà bien ! un animal féroce qui risque de m'avaler la main quand je vais le soigner et qui en plus dégueulasse la seule couverture que j'avais amenée. Déjà que je me les pèle !

Puis avec un regard moqueur et coquin :

- Ben t'auras plus qu'à partager la tienne avec moi hein ! j'ai froid ! je soigne ta bête et tu me réchauffes

En éclatant de rire elle se saisit des sacs où elle avait entreposé les herbes qu'elle avait ramassées. Elle en tria quelques unes, puis retourna au bord de l'eau afin de les mouiller. Quand elle revint, elle montra la couverture recouvrant l'animal d'un signe de tête

- ben tu le tiendras pendant que je le soignerai. Il ne va surement pas se laisser faire

Benji découvrit le jaguar en prenant bien soin de lui laisser les quatre pattes prisonnières de la couverture. Il était plus facile ainsi de lui maintenir également la tête pour ne pas se faire mordre.

Sirannah appliqua les herbes mouillées sur la blessure à la tête du jaguar et les maintint tandis qu'elle cherchait des yeux de quoi l'enrubanner. Elle ne trouva que le morceau de tissus qui contenait ses provisions alimentaires. Elle le prit et entoura la tête de la bête qui n'avait pas l'air d'apprécier. Puis elle se releva, et les mains sur les hanches, elle demanda :

- Voilà j'ai fait tout ce que je pouvais. Il va guérir mais comment tu comptes l'obliger à garder ça sur la tête hein ? et comment l'obliger à ne pas s'enfuir ou pire, nous bouffer pendant qu'on va dormir ?
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Sirannah le regarda sidérée, la mâchoire pendante. Puis ses sourcils se froncèrent dangereusement et vu qu'il ne pouvait pas tenir la couverture fermement et tenir l'animal en même temps, elle saisit à pleines mains un angle de la fameuse couverture et tira de toutes ses forces. Il finit par lâcher et elle courut plus loin, et lui faisant face de nouveau le menton relevé en signe de défit, et s'enroulant dans le tissus bien chaud, elle lui répondit :

- Eh bien je vous souhaite bonne nuit à toi et à lui. Demandes lui de te tenir chaud. Tu ne devrais pas tarder à sentir la tiédeur de son haleine.

Puis avec un grand sourire moqueur, elle alla s'allonger près du feu qu'elle avait allumé plus tôt, lui tourna le dos et dans un soupir de bien être ferma les yeux.
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Sirannah se réveilla au bout de quelques temps car elle avait froid. Elle chercha d'une main la couverture mais ne la trouva pas. Elle se redressa et regardant vers le feu, elle vit que Benji l'avait récupérée. Bon et bien puisqu'il préférait rester vers sa bête féroce, elle rentrerait au clan.

Cachant sa déception et sa peine, elle ramassa ses affaires. Mais elle n'avait plus rien pour ramener ses herbes alors elle laissa là celles dont elle ne connaissait pas l'utilisation, et relevant son pagne, elle mit les autres dedans. Puis elle prit juste une tortillas pour le chemin et sans un regard, mais les larmes aux yeux, elle s'éloigna et reprit le chemin du clan.
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Sirannah marchait en trainant les pieds et laissait couler les larmes sur son visage. Tout à coup elle vit une forme noire avec un bonnet blanc la doubler et se mettre en face d'elle en grognant. Encore cet animal ?!?! ARRRF Elle fit mine de grogner elle aussi mais visiblement ça n'avait pas l'air de l'émouvoir le moins du monde. Peut être qu'il avait bouffé Benji ! Tant mieux. Nonnnnn pas tant mieux. Elle n'aurait jamais du le laisser. Elle s'en voulait. Oui mais bon ! quoi faire maintenant. L'animal la regardait, les crocs de sortie... Elle sentit une boule monter et descendre dans sa gorge. Elle réussit à déglutir bruyamment puis fit un pas en arrière, puis un deuxième. La bête fit un pas en avant, puis un autre.

- heuuu gentil le minou ! hein ! t'ai soigné moi. Pis, si t'as déjà bouffé le Benji, tu ne devrais plus avoir faim ! Heeeeee pourquoi t'as fais un pas de plus hein ? tu triiiiiiiiiiiiiiiiiiichhhhheeeeeeeeees

Tout en hurlant elle fit demi-tour et courut de toute la vitesse de ses jambes en direction du lac imaginant déjà le monstre tenter de lui attraper les chevilles à chaque enjambée aussi elle levait les pieds bien haut. Elle arriva au lac et elle aperçu Benji toujours assis près du feu, enroulé dans sa maudite couverture. Et là : tout dans sa tête se déroula au ralenti :

- une enjambée trèèès lonnngue : mais l'esprit en ébullition : tiens l'a pas été bouffé lui ?
- deuxième enjambée trèèès lonnngue :Ben j'irai pas vers lui ! non mais alors ! et mon orgueil hein ?
- Troisième enjambée trèèès lonnngue : oui mais alors le monstre va te bouffer, ou alors tu plonges dans l'eau et t'es à nouveau mouillée et t'as froid et c'est les poissons qui te bouffent. Eeeettttt zuuuuuuut me fiche de mon orgueil !! Benjiiiiiiiiiiiiii

Elle se précipita vers son Benji, lui ouvrit les bras, s'y engouffra, les referma sur elle, cacha son visage dans son cou et tremblant de tous ses membres et de peur et de froid elle ne fit plus un mouvement. Là, savourant la chaleur de son corps contre le sien, elle ne put s'empêcher dans un petit sourire moqueur, de mettre ses mains glacées contre son torse et ses pieds tout aussi frigorifiés contre les mollets. Elle le sentit se contracter et fut satisfaite. Douce vengeance. Elle soupira d'aise, et après avoir fait tout de même (parce qu'elle est trop bonne) d'innombrables bisous sucrés dans le cou de son p'tit brun, elle se laissa gagner par le sommeil.
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Ptitjaguar alla choper le morceau au vol et le mangea en un coup de dents!
Lorsqu'il retourna pres de sa nouvelle famille,
il vit cette femme avec aucune classe, visant le brun avec un pique
Il vit se pique se planter dans le fessier du brun
Il courra vers cette femme, qui osait tirer un brun a terre... et surtout meurtrir se jolie fessier, il lui griffa de fois la cuisse avant de mordre l'oreille
Et resta sur celle-ci pour l'immobiliser
Il regarda le brun, une grimace sur la tete et qui hurlait

Benji dormait paisiblement lorsque....
AAAAAAAAAAAIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
qui??qui quiuqiuiquqiuiuqiuqiq?

Il sentait, comme un leger picotement au niveau de son fessier extremement musclé
Il regarda
Il vit par stupefaction une fleche planté dans son ....
Il regarda d'un peu plus pret, elle n'etait que rentrée d'un ou deux centimetre
Il la retira et se releva d'un coup massue a la main

OU ES TU MAUD?
JE SAIS QUE S'EST TOI§
GRACE A TES FLECHES

Sirannah dormait chaudement blottie dans les bras de son p'tit brun quand elle le sentit sursauter et hurler de douleur (si si il avait bien plus mal qu'il le dit...!)

Elle se releva d'un bond et regarda Benji arracher courageusement la flèche plantée dans son joli fessier extrêmement musclé (oui oui ! confirme !) Elle reconnut immédiatement le style de flèche et compris que l'arc de sa diablesse de soeurette adorée en était son point de départ. Elle se précipita sur sa besace pour y chercher de quoi le soigner. Elle avait une sorte de mixture alcoolisée qui ferait l'affaire (a déjà vu ça quelque part : très bon pour soigner les morsures de "lapine" dans les mollets ) Mais lorsqu'il vit la fiolle, Benji détalla.
Sirannah lui courut derrière. Il fallait à tout prix désinfecter la blessure...
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Quand elle vit sa soeurette bondir et asséner un coup sur le crâne de son p'tit brun, la rousse mit ses deux mains sur sa tête en signe de catastrophe. Puis elle le vit tomber d'abord à genoux, écarter ses bras en croix en signe d'impuissance, puis s'effondrer le nez dans l'herbe. Elle courut s'agenouiller à ses côtés en criant à sa soeur :

- Mais qu'est ce que tu as fait ? T'étais obligée de taper si fort ? Un simple croc en jambe aurait suffit !

Elle hésita quant à quoi soigner en premier : le jambon ou le crâne. Elle opta pour le jambon se disant qu'inconscient, il sentirait moins la douleur de l'alcool sur la blessure. Elle ouvrit donc la fiole et en déversa tout le contenu sur la fesse blessée avec un léger sourire à la fois sadique et gourmand bien vite caché. Ensuite elle appliqua sur son crane la même médecine que pour le bébé jaguar qui la regardait faire d'ailleurs dans son coin sans bouger; Puis elle le retourna, prête à lui donner une baffe magistrale pour le réveiller mais l'était croc mignon (miam) avec son turban sur la tête alors elle se pencha et l'embrassa amoureusement.
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Dialia avait la tête ailleurs , elle leva la tête et vis un peut de brume sur se beau lac, quelque rayon de soleil sortait de terre essayant de percer cette brume

Elle s'assoie près de l'eau et attendit que le soleil se montre vraiment
Elle pris un petit bâton et commença à écrire parterre,elle fait des petits dessin et les effaces aussi vite se disant qu'elle devrais partir d'ici un jour ou l'autre
elle soupire de tristesse,elle leva sa tête et regarda devant elle sens pensait a rien

Après avoir quitter la cascade, Luc errait dans la jungle quant ses pas le menèrent au bord du lac. Il y avait des gens qu'il connaissait, et d'autre pas. Alors il marcha sur la rive pour essayer de rencontrer de nouvelles personnes afin de faire des connaissances.
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Ma fiche personnage.

Xoloth cherchait Atala depuis un moment dans les différentes rues du clan. Elle ne se trouvait nulle part. Il était passé partout, avait visité chaque connaissance mais impossible de la trouver.
Alors qu'il se retournait au cadastre, il se frappa la tête. Bon sang ! Comment n'y avait-il pas pensé plus tôt !
Xoloth se précipita alors sur le chemin menant au lac. Atala ne pouvait être que là, au bord de l'eau. Il arriva essoufflé pour constater que sa belle était dans l'eau jusqu'à la taille et avançait encore. Elle était encore habillée.
Sans réfléchir, Xoloth se déshabilla et se glissa dans l'eau fraîche en regrettant de n'avoir pas gardé ses habits. Il nagea le plus silencieusement possible et vint se coller brutalement contre Atala. Il lui sourit alors avec les lèvres bleutées...

Mon coeur, tu es folle d'aller dans cette eau si fraîche ! Tu vas prendre froid !
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Xoloth sentit à peine le baiser d'Atala tant il avait froid. Tous les efforts qu'elle faisait pour le réchauffer ne menaient à rien.
Il se laissa entraîner hors de l'eau avec plaisir. Xoloth grelotait de tout son être. Atala fut aux petits soins pour lui en lui ramenant ses habits et en faisant un feu. Il aurait aimé l'aider mais il était transi par le froid.
Atala oeuvrait en affichant son plaisir de s'occuper de son homme. Le feu démarré, Xoloth accueillit contre lui celle qui était tout pour lui, celle qu'il aimait plus que tout, celle qui faisait de lui l'homme le plus heureux du monde...
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Quoi de mieux qu'un arrêt au lac après une longue journée. Il s'approcha de se dernier lorsqu'il apperçu Atala et ce qui resemblait être son homme. Il la salua et lui demande de s'assoire près d'eux.

- Je peux m'assoir près de vous ?

Xoloth se sentait mieux contre son aimée. Elle l'avait réchauffé autant qu'elle le pouvait. Il était simplement heureux de partager ce moment de bonheur avec celle qui était toute sa vie.
Il regarda cette merveille de la nature. Effectivement, cela était magnifique. Atala était rayonnante de bonheur et cela le remplissait d'allégresse.

Tout allait bien jusqu'à ce qu'ils soient accostés par Alejandro. Xoloth, d'abord contrarié, se rangea à la volonté de partager ce spectacle avec l'arrivant.

Oui, viens donc, Alejandro et donne-nous de tes nouvelles, un peu...
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Bien blottit contre Xoloth, Atala écoutait Alejandro, en le voyant s'allonger elle sourit

rhoo bah tu es épuisé vraiment....es tu passsé au cadastre pour avoir une petite hutte?
Dis moi reparles moi de ton père...que sais tu vraiment sur ce que tu m'as dit?
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Coyala avait pris congés des quelques personnes rencontrées en taverne, elle était assez fatiguée ce soir mais savait que son guerrier allait la rejoindre dans sa hutte ce soir.... comme tous les soirs..... elle attendait ce moment avec impatience il lui manquait de trop....

Toute dans ses pensées ses pas la conduisirent vers le lac où elle aperçu quelques têtes qu'elle connaissait mais avait très envie de se baigner... elle les contourna et arriva vers son lieu favori, près de son arbre tordu.

Là elle se dévêti et se glissa lentement dans l'eau.. qu'il était bon de sentir cette eau fraiche glisser lentement sur son corps.... elle nagea un moment, rejoignit la terre ferme et se rhabilla... cueillit quelques fleurs et regagnit sa hutte pour préparer un repas en amoureux pour son Snow... un petit sourire sur les lèves... le pauvre Metho n'allait pas dormir encore...
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Alejendro ne lui répondit pas , un petit sifflet sortait de sa bouche il s'était endormi épuisé par ses découvertes et rencontres de la journée...

Blottit contre elle Xoloth aussi semblait se rendormir paisiblement, avant qu'il ne tombe dans un sommeil profond elle lui murmura

je crois que notre hutte nous attend...

Ils se levèrent doucement pour ne pas réveiller Alejandro et regagnèrent leur chez eux...
ils allaient bientôt prendre la route pour accompagner Lili chercher ses affaires...
A leur retour... Ameyalco connaitrait un membre de plus dans le clan et cela les réjouissait...
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Atala était partie tôt ce matin après qu'ils soient enfin revenus chez eux. Xoloth ne s'inquiéta pas alla directement à leur endroit favori : le lac.
Il retrouva le chemin sans peine et le prit avec plaisir. Il reconnut les odeurs familières, celles qui étaient synonymes de bonheur et de joie. Car chaque fois qu'il retrouvait Atala au bord du lac, Xoloth était au paradis tant ces moments étaient doux, sensuels et câlins.
Il arriva à la lisière de la forêt mais ne vit personne au bord de l'eau ni dedans. Atala n'était visiblement pas encore venue là.
Il hésita un moment. Soit il retournait dans le clan pour la chercher au risque de ne pas la trouver avant de longues heures, soit il attendait ici même quitte à rester ici, seul, pendant un long moment.
Xoloth s'approcha jusqu'au bord de l'eau et s'assit avec précaution. Il replia ses genoux contre son menton, les ceinturant de ses bras et attendit patiemment en laissant son regard voyager sur l'eau.
Il sourit en repensant à tout ce qu'il avait vécu et vivait avec Atala, la femme de sa vie...
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La contemplation du lac les avait presque statufiés, seraient ils un jours honnorés pour ça...
Elle en doutait...

Houhouuuu tu dors....? dit elle en riant
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Quand il pencha sa tête en arrière, elle lui sourit et fut heureuse de voir que la contrariété qui lui faisait un peu froncer les sourcils disparu quand leur regard se croisa....
Elle le serra plus fort contre elle en sentant ses mains se poser sur elle

A ses mots son sourire s'agrandit, elle déposa de doux baisers sur son visage...

Je veux être celle qui t'accompagnera bien au delà de ce que nous pouvons imaginer
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Elle savourait avec bonheur leur tendre et passionné baiser au bord le l'eau...Cette eau qui chaque fois leur permettait de se retrouver, de se ressourcer...

Xoloth s'arrêta soudain et lui dit avec un peu de malice dans la voix

Le visage d'Atala s'illumina plus encore, à la limite du possible, au bord de l'extase....

c'est vrai tu veux bien reprendre les leçons?

Sans même attendre sa réponse, elle se leva se déshabilla et entra dans l'eau à reculons sans le quitter des yeux....
Elle éclata de rire..l'eau était un peu fraiche au début....
Elle recula doucement dans le lac jusqu'au ventre en le regardant....

Viens....siiiiiiii....... je t'assure elle est un peu froide au début mais il y a de petits courants plus chaud par ici...

Elle tendit les bras pour l'inviter à la rejoindre dans l'eau
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Xoloth contempla Atala qui se déshabillait puis qui se glissait dans l'eau. Mais son esprit replongea dans la douleur de voir le clan perdre sa vivacité et son unité. Le raid qui devait célébrer cette unité par une réussite éclatante avait en fait mis à jour, par son échec, que cette unité n'était pas si solide.

Soudainement, il releva la tête et vit son Atala couchée dans l'eau avec une branche d'arbre au bout des bras pour l'aider à flotter. Il s'en voulut de l'avoir laissé aller seule. Ces problèmes l'avaient écarté de ce qui comptait vraiment pour lui : elle !

Il se déshabilla rapidement et se glissa dans l'eau fraîche en faisant une légère grimace tant il était saisi. Il prit sur lui et nagea le plus doucement possible vers Atala en essayant de ne pas se faire remarquer puis il plongea pour passer sous elle en lui embrassant le ventre. Il sortit de l'eau et la prit dans ses bras pour lui donner un long baiser.

Pardonne-moi, mon Atala ! Je suis là ! Je ne te lâche plus ! Il n'y a que nous, que nous et les autres !

Xoloth serra Atala très fort contre lui comme s'il ne l'avait pas vue depuis des semaines puis il la contempla avec un sourire béat.

Il parait que tu dois apprendre à nager ?
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Atala avait barboté longuement dans l'eau, battant des jambescomme une forcenée pour se réchauffer. Et puis cela l'amusait d'avancer accrochée ainsi à sa branche de fortune. c'était sa façon à elle d'évacuer aussi et reprendre du plaisir à vivre dans ce clan qu'elle aimait tant et ainsi prendre du recul à sa manière...
Elle eut soudain le plaisir de sentir les gestes tendres de son Xoloth, venu enfin la rejoindre.

Elle se serra contre lui, bien plus fort que contre sa branche

Elle le regarda en souriant puis leva la tête vers le ciel..il se teintait déjà de couleurs roses et mauves...c'était magnifique...elle lui dit presque à regret...

Je crois que nous avons un peu tardé, perdus dans nos pensées, la leçon ne sera pas pour aujourd'hui...
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La première fois qu'elle s'était approchée d'un lac, Dessy fut projettée en avant et avait recu comme récompense un gros poisson en pleine bouche. Elle se souvenait comme si c'était hier. Dans son clan, on la nommait: la femme pecheuse avec les dents Pas très chouette mais bon! c'était toujours ca...

Apres quelques temps, une personne d'importance a ses yeux lui avait appris a pecher à l'arc. Elle sourit en y repensant, Dessy n'était pas très douée à ce jeu là. Mais au fur et à mesure, cela devenait dangereux. Elle s'habituait et lancait ses fleches a tir la rigot.

Arret sur l'herbe bordant le bord du lac. Scrutant l'horizon, Dessy s'émerveilla de la vue qui lui était offerte a ce moment. Elle s'abaissa, prit de l'eau dans ses mains et la laissa coulé le long de ses doigts. c'était magique! pas d'autre mot!

Elle regarda sur ses cotes, derrière...Elle fut assurée que personne n'était presente et d'un coup, retira ses affaires et se baigna dans l'eau clair du lac.
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Elle plongea son corps dans le lac, gardant son souffle pendant un petit temps et remonta a la surface. Elle se mit face au bord et appercut une silhouette féminine partir de la!

L'etait deja la? quand est-ce qu'elle est arrivée? Elle essaya d'atteindre l'herbe fraiche avant que la femme parte...elle n'avait meme pas su voir qui c'était.

partie...elle était partie...pfff! Elle remit le peu de chose qui la recouvrait et alla se dorer au soleil...qui sait? peut etre croisera-t-elle une autre personne. l'avait pas envie de boulotter ce jour.
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Jkeok était en taverne en train de parler avec Dessy quand il entendit un cri...il pensa aussitot à Els qui était parti plûtot de taverne en direction du lac, commenca à paniquer et se leva brusquement puis sorta en courant de la taverne, direction le lac.

Arrivé au lac, dégoulinant de sueur, il vit le ruban de Els flottait à la surface du lac et sans réfléchir plongea à l'intérieur comme si il avait senti que quelquechose n'allait pas.

Il nagea dans les profondeurs du lac et vit une silhouette inanimée, il se rapprocha, c'était Els, il remonta à la surface, prit une profonde inspiration et replongea. Arrivé à sa hauteur il prit ses deux bras avec les siens et la remonta petit à petit à la surface. Une fois sorti de l'eau, il l'a coucha sur le sol, elle avait les yeux fermaient, Jk craignait le pire. Il prit sa main et lui parla

Els...répond moi...Els je t'aime répond...

Je suis désolé de tout ce qui arrive répond, je tiens trop à toi je veux pas te perdre

Els...

Jkeok commencait à desperé quand il vit Els entrouvrir les yeux. Il se senta soulagé de la voir vivante, comme si on venait de lui enlevé un poids qu'il avait dans le ventre.

Il regarde Els dans les yeux, et tellement qu'il a eu peur de la perdre, commença par monter le ton de la voix.

Quest-ce qui t'es passé par la tête?

Tu veux plus de moi, tu ne veux plus rien?

Tu crois que te noyer c'est la soulution à tes problèmes?

Tu crois que ton père serait ravi d'apprendre que tu t'es jeté dans le lac?

Voyant les yeux de Els se remplir de larmes, Jk se calma et parla gentiment à Els.

Tu m'a fais peur tu sais. J'ai cru que j'entendrais plus jamais le son de ta voix...

Els je t'aime, je veux que tu partages ma vie. Quelque soit les problèmes qu'on rencontrera je veux qu'on soit unis à jamais. Jk tenait la main de Elsmaril tout en lui parlant et continua à lui dire ce qu'il avait sur le coeur

Je t'en pris ne fais plus jamais ça.


Jkeok approcha alors son visage du sien et lui murmura

Je t'aime et l'embrassa tendrement comme jamais il avait embrassé quelqu'un auparavant

Jk sourit à la demande de Els, bien sûr qu'il allait resté avec elle, il est amoureux d'elle il veut resté toute sa vie à ses cotés.

Oui je te promets de rester avec toi

Puis Jkeok aida Els à se lever mais elle était faible, par conséquent il la monta sur son dos et l'emmena en taverne où elle pourra s'asseoir, se réchauffer et boire un chocolat pour reprendre des forces.

Sira et Benji avaient enfin maintenant leur maison sur le lac, construite sur pilotis. C'était leur petit nid d'amour et leurs seuls voisins étaient les poissons. Aucun vis à vis, juste eux deux et le lac.

Sira s'était levée un peu tard ce matin là. La veille elle était restée tard en taverne avec ses amis, préparant son nouveau départ pour aujourd'hui. Benji était déjà parti travailler et lorsqu'elle sorti sur la petite terrasse, le soleil était haut dans le ciel. Un ara vola à proximité, traversant le lac, ses plumes de toutes les couleurs donnant encore plus d'éclat au paysage magnifique qui s'étendait devant ses yeux.

Sira s'étira et encore dévêtue, elle plongea dans les eaux claires. Son corps en sentit toute la fraicheur et ses muscles se décontractèrent. Elle remonta à la surface, se laissant porter par l'eau, un immense sourire aux lèvres. Dommage que son p'tit brun ne soit pas là pour en profiter. Elle aimait nager avec lui.

Elle regarda leur petite hutte sur pilotis et se sentit parfaitement heureuse. Elle était fière du chemin qu'elle et Benji avaient fait jusqu'ici. A la seule pensée de son tit homme, son coeur se gonfla d'amour.

Sur la terrasse, elle distingua le long corps et la grosse tête noire de Tijag, allongé de tout son long et qui la regardait de loin. Il devait bien se demander ce que les humains trouvaient d'agréable à être tout mouillés. Sira l'appela. Ses oreilles bougèrent, il lui jeta un regard méprisant et dans un grand soufle, il tourna la tête dans une autre direction, lui signifiant qu'elle pouvait toujours courir ! Pas question de mouiller sa fourrure pour aller la rejoindre.

Elle partit à rire et décida de regagner la maison afin de préparer le repas du midi car Benji aurait sans doute faim. Elle se hissa sur la terrasse, dégoulinante, et ne put résister à la tentation d'aller chahuter un peu Tijag. Elle secoua ses longs cheveux au dessus de la bête. Celle ci la regarda d'un air de reproche, se releva et partit en direction du ponton d'une démarche nonchalante. Pfff ! pas possible de dormir tranquille. Sira le regarda partir un petit sourire taquin aux lèvres. Puis elle le vit s'arrêter au bout du ponton, les oreilles dressées, les muscles frémissants sous son poil brillant. Dans une détente, l'animal bondit et fonça vers la forêt sans doute à la poursuite de son petit déjeuner.
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Atala rentrait de son champ de maïs en trottinant et sifflotant, les bras chargés, demain elle irait vendre ses réserves à la grande foire et avait déjà réservé son emplacement...
Elle sifflotait parce qu'elle était joyeuse, heureuse d'être rentrée, heureuse de retrouver ses amis, heureuse de revoir ceux qui se bougent même si cela entraine des débats parfois mouvementés, elle aimait son clan...
Elle décida de faire un léger détour vers le lac pour écouter le bruit de l'eau avant de rentrer retrouver son Xoloth...
Arrivée au bord du lac elle contempla cette immensité paisible...Elle ne savait toujours pas nager mais elle aimait l'eau...s'était incroyable...
Au loin elle aperçut une silhouette qui semblait méditer au bord de l'eau..ainsi d'autres du clan venaient aussi se ressourcer ici...
A y regarder de plus pret elle reconnu la silhouette, cette silhouette qui lui était si chère...Son Xoloth était là et semblait perdu dans ses pensées..Elle s'inquiéta...Les maïs lui tombèrent des bras...Elle couru vers lui...

Xoloooooth!!!!!!!!
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Atala n'a même pas le temps de lui répondre ni de lui sourire...qu'elle le voit courir dans l'eau jetant ses affaires au fur et à mesure sur le bord..Elle rit puis sourit en contemplant son superbe corps de guerrier nourrit à la bonne viande du clan...elle le regarde plonger... et est toute heureuse de pouvoir enfin reprendre son initiation..
Elle ne sera qu'une vrai et complète fille du clan d'Ameyalco que lorqu'elle saura glisser avec grâce sur les eaux..

Elle se déshabille et avance lentement vers le lac en commençant à mimer les mouvements de bras..Des petits moulinets bien amples...

L'eau est un peu fraiche mais elle n'y pense que très peu...guidée et encouragée par le regard de Xoloth....

Elle s'avance jusqu'à lui pour s'accrocher à son bras avant de commencer ses battements de jambes...

Je suis prête mon maître, apprenez moi!!!
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Encouragée par son coquin, elle met un bras dans l'eau...elle met deux bras dans l'eau..... et EN AVANT LES MOULINETS longuements répétés, assortis de quelques battements de jambes gracieux...

Et...............

MIRACLE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Elle avance....elle avance bien même.... si bien qu'elle en oublie de respirer...et manque de s'étouffer au bout de quelques metres...
Mais Atala est courageuse, elle est guerrière maintenant..
Et quand on est guerrière on est pas là pour rigoler, faut y aller sinon on se fait dépouiller....

Alors....Une grande respiration et ça repart...tout droit sans s'arrêter...

soudain..

PAANIQUEEEEEEEE!!!!!!

XolooooooooooOOOOOOOOOOTHHHH comment on fait pour tourner?????????je fonce tout droit au large!!
AUUUUUUUUX SECOUUUUUUUUUURRS!!!
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Galvanisée par les conseils et la protection de son maître d'apprentissge, elle nageait...
Son regard la faisait flotter, ses paroles la faisait avancer...
Elle executa avec ferveur les conseils prodigués..et..comme par miracle elle tourna dans l'eau avant de reprendre les mouvements appris? pour rejoindre le bord...

Elle s'arrêta quand elle sentit son ventre racler le sol et releva la tête..

Hihi je crois que je ne pourrais pas aller plus loin...
Xolooooooooooth, j'ai nagé, Xoloth je sais nageeeeeerrrrrrrrr!!

Elle s'allongea à fleur d'eau sur le dos et cria en regardant le ciel

JE SAIS NAGEEEEEERRRRRRR, JE SUIS LA GUERRIERE DE L'EAUUUUUUUUUUUUUU, JE T'AIMEEEEEEEEEE
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

elle éclata d'un long rire de bonheur....
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Xoloth était heureux de la voir étonnée. Il la vit se mettre sur le dos et entendit crier sa joie. Il la rejoignit alors en se mettant sur elle, à genoux et en lui déposant un long et tendre baiser.

Oui, mon coeur, tu sais nager. Je suis très, très fier de toi !

Il la cajola doucement en lui souriant largement puis, au bout d'un long moment, il l'aida à se relever et l'entraina vers le chemin du retour en la serrant contre lui...
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La nuit était belle, les étoile se refflétant sur la surface lisse du lac. Elsmaril s'appaisait peu à peu. Elle n'aimait pas les conflits, et encore moins lorsqu'il s'agissait de gens qu'elle aimait. Hors sa dispute avec son frère Max, qu'elle aimait émormément, couplée avec celle qu'elle avait avec Jkeok, l'avait chamboulée.

Mais le silence de la nuit lui permettait de retrouver son équilibre et sa paix intérieure. Elle aimait cet endroit où l'eau demeurait paisible, seulement troublée par les poissons ou par quelque nageur du clan.

Mais ce soir, il n'y avait personne... Nul autre qu'Elsmaril et Jkeok, se promenant main dans la main, près de l'endroit même où elle avait essayée de se noyer, et où ils s'étaient promis de toujours rester ensemble.
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Quand Jkeok s'arrêta au bord de l'eau, Elsmaril se stoppa à ses côtés. Elle était en harmonie avec le monde et appréciait plus que tout ce moment partagé avec Jkeok, surtout qu'ils s'étaient peu vu ces derniers temps, à cause de son apprentissage. Quand il prit la parole, elle tourna son regard vers lui.

Et le temps semble se figer... Elsmaril retient son souffle, écarquille les yeux de surprise. Elle ne s'y attendait pas... Enfin si... Enfin, elle savait qu'il voulait l'épouser, mais jamais elle n'aurait pensé que cela serait si tôt. Et encore moins qu'il le ferait ici... Là où tout avait faillis finir et où tout avait finalement commencé...

Voyant les yeux de Jk se remplir d'appréhension face à son silence, Elsmaril s'empressa de lui donner sa réponse... Mais elle ne voulais pas d'un banal oui, elle voulait lui montrer à quel point elle tenait à lui, à quel point il était important pour elle. Plongeant ses grands yeux clairs dans les siens, elle déclara d'une voix douce, pour que nul à part lui, ne puisse l'entendre.

Lorsque je suis sortie du Temple de Xochipilli à l'âge de 17 ans, mon dieu était ce qui avait le plus d'importance à mes yeux. Lui seul comptait pour moi qui était terrifiée par les hommes.

Puis il y a eu Zzeuss... Il m'a appris à avoir moins peur des hommes... Il m'a préparé, en quelques sortes... Mais il n'était pas pour moi... Mon dieu à repris l'amour que je lui portais...

Il y a aussi ma famille, qui compte énormément pour moi. Mon père, et mon frère, qui son toujours là quand j'ai besoins d'eux...

Et il y a mes amis... Autant femme qu'homme... Qui m'ont appris à être libre, à penser par moi-même et à faire mes propres choix.

Je pensais avoir tout découvert de ce monde qui m'était étranger... Je me trompais...

Car tu as illuminé ma vie dès le premier instant. Moi, qui était mélancolique... Moi, dont le coeur avait fâné de par la solitude... Tu es entré dans ma vie comme un vent puissant et tu as tout changé.

Tu es devenu ce que j'ai de plus important... Ce qui compte le plus pour moi...

Tu as déjà mon coeur, pour toujours et à jamais. Et puisque tu veux de moi pour épouse, je t'offre aussi mon corps et ma virginité, pour ne plus faire qu'un avec toi et lier nos âmes à jamais.

Je t'aime et j'accèpte de devenir ta femme.
[/i]
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Xoloth s'inquiétait de ne pas voir arriver Atala à leur hutte. Il tourna en rond quelque temps puis se résolut à aller au bord du lac. Après tout, c'était "leur" lieu, l'endroit où ils étaient si bien.
Il gagna donc le paradis sous l'éclairage blafard de la lune.
En arrivant au bout du chemin, Xoloth ne put se retenir de sourire. De toutes les silhouettes, celle d'Atala était le plus reconnaissable. Et c'était celle-là qui était assise près de l'eau alors qu'à côté d'elle se dégageait la silhouette d'Amey.
Xoloth arriva à pas de loup mais Amey feula, cassant ainsi l'effet de surprise. Il s'approcha alors de son Atala pensive et affichant un léger sourire. Il se cala près d'elle et la serra contre lui en lui déposant un tendre baiser.

Qu'y a-t-il, mon coeur ? Tu as l'air bien pensive...
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oh quelle magnifique lac que voila et hop un ti plongeon

il plongea tout habille dans le lac une besace en peau de bête et remonta quelque poisson pour son repas du midi

il remonta sur la berge et les déposa, puis redescendit deux ou trois fois ainsi.

quand tout a coup il aperçu atala et son homme pas loin de lui, il sortie de l'eau vie le panthereau et ressauta dans le lac le panthéreau le suivi avec méfiance.

max sous l'eau vie le bb panthère et alla a son secoure du moins le soutenir pour le faire nager il lança de petit miollement "comme pour dire je sais nager"
puis il lâcha le bb panthère qui nageais seul dans le lac; et la max appela atala.

atala ton bb panthère nage regarde leu.

max alla lui faire faire demi tout et reviens tout deux sur la berge sortie le bb panthère de l'eau et lui aussi part la même occasion

Bin si tu en veux serre toi, je vais aller en recherche dans la journée.

Faut osé il ne faut pas avoir peur, pour le poisson regarde bien.

Il prie le couteau de xoloth, coupe la tête et la queue du poisson lui ouvre le ventre le vide et en coupe des petit morceau pour Amey, voyant les yeux de atala briller je lui en donna d’autre morceau.

Héhé il aime sa le poisson demain on lui donnera des fruits pour les vitamines.

C’est le sourire au lèvre que tout le monde ce donna rendez vous au bord du lac pour les fruit d’Amey.

Cualli arriva au lac, le coeur remplie de bonheur. Elle était heureuse d'etre revenue dans son village. Qui l'avais jadis acceuillis, lorsqu'elle sortit de la fôret ce rappelant que de son prénom.

Cualli regarda autour d'elle mais ne vis aucun de ses amies. Decidément elle n'avais pas de chance. A part Elsmaril elle n'avais pas encore vu Atala ainsi que certains nouveau qu'elle avais rencontrée en taverne avant de partir sur les chemins brigander.

Tout en marchant elle regarda Aurore gambader et courir tantot après les oiseaux tantot après les papillons.
Cualli continua de marcher lorsqu'elle aperçu Atala et Max2.
C'est le sourire au lèvre que Cualli alla a leur rencontre


Ayyo vous deux!

Sa fait plaisir de vous revoir.

Alors quoi de neuf? J'ai pas vu grand monde depui que je suis revenu. Sa fait chaud de vous revoir.

Cualli vit Aurore ce diriger vers Amey, et celui c ala ce cacher derrière les jambes de Max.



Elle regarda Aurore et espérer qu'elle le reconnaisse. Après tout c'est pas le premier qu'elle vois.

Puis regarda Atala et Max2.

Normalement elle ne lui fera rien, vu qu'il ce connaisse déjà. C'est juste que sa fait un petit moment qu'ils ne ce sont pas vu.....
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Cualli sourit a Ata

Comme tu peut le voir nous allons bien.Le voyage a été fort en émotions mais heureusement que les dieux on été clément avec nous.

T'inquiète pas Ata, elle n'est pas méchante.

Cualli pris son amie par les épaules, rassurante. Connaissant son félin.

Tu sais Ata, c'est pas le premier félins qu'elle croise sur sa route. Puis ils ce connaisse, pas énormément mais je pense que cela suffirais.
Cualli regarda Aurore qui ce rapprocher de Amey, doucement.



Enfin j'espère qu'elle lui feras rien.

Cualli en faite n'étais pas plus rassurer que Ata mais avais appris a ne pas le montrer.



Quand Cualli vit Aurore s'allonger dans l'herbe, elle sourit amusée.Elle ce douter bien qu'Aurore ne ferait rien a Amey.

Alala! Tu vois Ata, je t'avais dis qu'elle ne ferait rien.....

Cualli regarda son amie Atala en souriant....
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Methodus était revenu de son atelier, remplit de poussière d'obsidienne, il lui fallait prendre un bon bain, rien de tel qu'aller au Lac d'Ameyalco.

Il était encore tôt, le clan était endormit, il en profitait pour discrètement aller dans l'eau.

Crackkk..... un bruit de branche... Il se retourna.. silencieux, qui donc l'espionnait ?.... Personne... il continua

Crackkk... il attrapa l'un de ces couteaux et sauta dans le buisson d'où provenait le bruit.

Mais enfin qu'est ce que tu fais là toi ?

Tu devrais pas être dans l'arbre à l'entrée du clan ?

Il attrapa Amey par la peau du cou, comme il avait vu sa mère le faire jadis, Amey avait bien changer, mais il était encore jeune dans sa tête, l'innocence de l'enfance lui donnait un air attendrissant. Methodus pris Amey sur ces genoux et le grattouilla

Comment tu vas toi ? Alors tu te plait bien parmi les hommes ?

J'espère que tu grandiras vite, mais que tu garderas l'innocence qui fait de toi la mascotte de la caste ^^

Bon aller on va se baigner ?

Amey sautillait dans tous les sens, décidément ce félin adorait l'eau.

Sirannah devait partir pour quelques jours mais avant, elle voulut faire une farce à son voisin Max2. Tout comme elle et Benji il avait sa maison sur le lac depuis peu. Et comme elle adorait le chahutter, elle ne voulut pas partir sans lui faire une dernière petite farce. Elle courut juqu'à la lisière de la forêt, et s'approcha d'un hévéa où la sève avait déjà coulé et commencé de sécher. Elle récolta l'équivalent d'une poignée et la façonna en une grande.... oreille. Quand elle fut satisfaite de son oeuvre, elle revint sur la plage et se dirigea sans bruit vers la paillotte de Max2. Elle s'avança sur la pointe des pieds pour ne pas le réveiller et le latex étant encore un peu collant, elle plaqua l'oreille sur le mur de bois, juste à coté de la porte d'entrée. Elle contempla le résultat en se retenant de rire puis détala avec la vitesse de l'éclair avant qu'il ne se réveille. Elle retourna chez elle récupérer son balluchon, appela Tijag et se mit en route pour son nouveau voyage, en solitaire cette fois.
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Atala arrive au lac avec Amey..
Ce lac qui lui a manqué, ce lac dont les eaux si pures et douces abrite et garde précieusement beaucoup de beaux et tendres moments...
Il fait beau, elle a envie d'un bain, comme pour se régénérer après cette mission qu'ils ont réussi pour le clan mais pas pour son amour propre..
Il est temps de se laver de tout ça....
Oubliant un instant Amey, elle se dévêtit et s'avançe dans l'eau avec plaisir.
Lorqu'elle arrive jusqu'aux épaules elle se retourne vers la rive et regarde Amey

Elle commence ensuite ses mouvements pour nager...
Elle est si heureuse d'avoir apprit à nager grace à son Xoloth...Il est un très bon maître d'apprentissage...Elle nage avec bonheur toute emprunte de douces pensées, l'eau enlève toute ses contrariétés...
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Le soleil aussi était de la partie, enfin un peu de paix et de chaleur, ne manquait plus que son essentiel, bien qu'il occupa toute ses pensées, s'est de sa présence dont elle avait besoin..

Comme si les Dieux avaient perçu ses pensées, elle se tourna légèrement vers la forêt et entre les branches vit se profiler la silhouette qu'elle aimant tant.

Elle regarda son Xoloth, s'avancer, déposer ses habits et venir à elle en quelques mouvements puissants et déterminés..

Elle répondit tendrement à son baiser et lui sourit aux anges en se serrant contre sa peau..




Ouiiii mon Xoloth et toi tu sais que je t'aime?
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Atala s'installa face à lui, l'eau jusqu'aux épaules et le regarda en souriant..
En recevant son compliment et son tendre baiser, elle frissonna de bonheur.
Ils étaient si bien....

Lentement elle s'allongea sur le dos en restant pret de lui...
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Atala aimait ces moments partagés avec son ma^tre d'apprentissage, il lui avait donné plus que tout, le gout de la douceur dans l'eau.
Elle laissa onduler la paume comme sur des petites vagues, réussissant mieux ainsi à se maintenir à la surface de l'eau.
Puis elle embrassa son aimé avec tendresse et fougue réunies, à l'image de leur amour.
Elle se laissa pousser au milieu des eaux, elle avait si confiance en lui qu'elle n'avait pas peur, lorsqu'il nagea à sa rencontre elle le trouva si beau, ils étaient si bien...
Ils nagèrent ainsi sans se quitter des yeux, Atala portée sur les eaux par le regard de son amour.
Ils nagèrent tant et si bien qu'ils traversèrent le lac et se retrouvèrent sur l'autre rive..

Rive encore inexplorée et totalement déserte....

Discrètement Amey avaient nagé à leur suite et faisait aussi la découverte de ce lieu.
Il était là pour la protection du clan , toujours là!
Fier et magestueux il s'installa sur une branche pour passer le temps...

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Sur son arbre perché Amey passait donc le temps pendant que Xoloth et Atala faisaient des découvertes....

Soudain Amey se leva de sa branche et fixa l'autre rive...



Atala regarda intriguée et inquiète, le fauve semblant vouloir refaire la traversée

Oh Xoloth regardes, il y a une femme de l'autre coté, à coté de nos affaires...
Qui est ce? Tu l'as connais?
On va voir de plus pret?
Amey à l'air d'avoir envie d'y aller...
rhoooo et puis toutes nos affaires sont là bas hihi...
Alleeezzzzzz on fait la course!!!! Le premier arrivé de l'autre coté embrasse l'autre!!! hihihihi

Elle sauta dans l'eau avant lui pour essayer de prendre de l'avance, et commença ses moulinets de bras et bâtements de jambes en riant.
Elle savait bien qu'elle n'avait aucune chance mais l'idée l'amusait...

Attention jeune guerrière on arrive hihihihi

en disant cela elle avala un peu d'eau et décida de se taire pendant tout le reste de la traversée pour conserver ses chances d'y arriver, parfois elle oubliait qu'elle savait nager depuis peu.
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Lili se promenait toute seule dans le clan quand tout d'un coup sous le soleil d'amey l'envie lui prena de prendre un bain.

Elle se dit : " tient pourquoi pas allez au lac et comme ça je pecherais aussi. "

Elle alla doucement au lac pour se baigné elle n'osa pas parlé à Kris car elle le boude .

Elle enleva pagne , Huipil , sandale , ceinture , Armes et alla dans le lac.

De l'eau jusqu'au genoux puis jusqu'au bassin et enfin jusqu'a la poitrine elle nagea tranquillement pour se rafraichir de cette chaleur si lourde !
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Krikris se sentait bien assis au bord de l'eau à admirer le magnifique rougeoiement du coucher de soleil sur le lac.
Milania semblait heureuse d'être à ses côté et il en était extrêmement flatté. Il écoutait le clapotis qu'elle créait avec ses pieds dans l'eau claire. Faisant naître des vaguelettes qui fuyaient au loin vers le centre du lac.

Le calme ambiant lui faisait du bien et lui faisait oublier qu'il lui restait du travail à faire avant le lendemain.

Elle lui avait dit cela en se tournant vers lui et en souriant. Il lui rendit son sourire et son regard s'attarda sur ses beaux yeux.
Mais il ne prononça pas un mot, ne voulant troubler la quiétude du lieu.

Il se sentait bien ici, il y resterait bien toute la nuit.

Plus loin il aperçu une silhouette qu'il avait déjà vu. Il reconnut Lili, il était certain qu'elle avait regardé dans leur direction, mais elle fit mine de ne pas les avoir vus. Il n'osa l'appeler mais ne put s'empêcher d'être surpris de sa conduite. Il faudrait qu'il la voit dans les prochains jours pour discuter avec elle et savoir ce qui lui arrivait. Il ne voulait pas se brouiller avec elle, il l'avait trouvé tellement gentille chaque fois qu'il l'avait croisé.

Krikris était plongé dans ses pensées, il entendit vaguement que Milania s'adressait à lui

Il se tourna et vit qu'elle avait la chair de poule. Pour sa part, il ne trouvait pas qu'il fasse froid et il ne vit aucun endroit où faire un feu sans risques.
Il retira donc doucement son serape et le passa autour des épaules de Milania.

Tiens je pense que ça va te tenir chaud. Ça va mieux ?
On voit bien les étoiles ce soir, tu ne trouves pas? D'un coup, je me sens tout petit.
Il se tut un instant et reprit avec dépit
Il va bientôt falloir que je reparte travailler.

Il la regarda en souriant et s'allongea pour admirer une dernière fois la voûte céleste, avant de quitter ce lieu enchanteur et de retrouver son atelier poussiéreux.

Cualli déposa son sac a la hutte et ce précipita avec hâte au lac, elle ce trouva un coin isolée ou elle serais sur d'être seule. Elle ce déshabilla et alla dans l'eau, la fraicheur de celle ci sur sa peau lui fesait du bien. Cualli commença a nager un sourire aux lèvres même si elle avait trouver des coin d'eaux pendant leur voyage, le lac lui avais manquer.

Elle resta un moment dans l'eau, Cualli ce sentait comme un poisson dans l'eau. Revenir près des siens, près de ses amies dans son village lui donner de nouveau espoir, de nouveau horizon s'offrait a elle et comptait bien en profiter.

Cualli sortit de l'eau et ce sécha puis ce rhabilla puis retourna au village.
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La hutte était vide, le sang d'Atala se glaça, la sensation de l'abscence de son amour chaque fois la parcourait d'un voile destructeur et froid.
Immédiatement elle pensa au lac, s'inquiétant en songeant que s'il avait voulu aller là bas seul c'est qu'il était mélancolique, alors qu'elle le voulait heureux tant elle l'aimait.
Elle serra bien ses sandales et fila à travers chemins espérant le retrouver au bord de l'eau.

Elle ne s'était pas trompée il était là, faisant glisser l'eau douce entre ses orteils, les yeux tournés vers le ciel.
Dieu qu'elle l'aimait, dieu qu'il était beau...

Elle resta un long moment à le contempler amoureusement. Il lui donnait la force et parfois la rage de vivre à chaque instant , l'envie de se battre, l'envie de ne pas céder
et par dessus tout l'envie d'aimer

Elle s'approcha lentement et s'accroupit dans son dos en glissant ses lèvres dans son cou

mon amour...merci d'être là, je t'aime...

Elle l'enlaça et contempla le ciel à son tour.
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en sortant de la taverne du lac ,exoman vint ce promener au bord du lac.
un peu plus loin il vit dans la pénombre de la nuit une forme allongée par terre.
sa prochant doucement et sur ses gardes il reconnut sa grande amie cualli.
exoman se précipitas pour voir si tout allais bien.
cualli gisait inanimée par terre sur le sable.
exoman se mit près d'elle et sentis si son coeûr battait encore .
il était tout faible et cualli respirait presque plus.
exoman décidas de lui faire du bouche à bouche pour la ranimée.
quand enfin cualli ouvris les yeux ,exoman la prit dans ses bras pour la transportée dans la taverne au chaud .
la il lui donnas une pulque bien forte pour la réchauffée et lui apportas aussi du linge pour que cualli puisse ce changée ; car toute trempée .
exoman resta près de son amie une partie de la nuit pour voir ci elle allais bien.

max allais a la pêche une fois de plus le travaille manquais dans ce clan.

puis il vie sa mère, il alla la voir, maman tu dore? puis il ce rendis conte que non il lui mit deux grosse baffes, mais rien ne faisait reprendre conscience, a sa mère.

il la prie sur son épaule en lui tenant un bras et avec son autre bras il lui tenais une jambe et la ramena chez elle.

Maquiavelle arriva au lac essouflée, elle avait prit le mauvais chemin ... elle regarda sur les berges et ne vit pas Exo, elle s'assit alors pour reprendre son souffle admirant les reflets des étoiles sur le lac...
Exo emergea alors de sous l'eau, elle ota ses vetements et entra dans l'eau sans bruit.
Humm cette eau est un peu fraiche pensa t elle ne quittant pas son amour des yeux, elle disparut sous l'eau voulant le surprendre et nagea pour emerger juste devant lui ....

exo vit maqui apparaitre juste devant lui dans l'eau.
il la prit dans ses bras et lui donna quelques petit bisous .
puis nagea a coté d'elle doucement pour profité pleinement de cette belle nuit étoilées .
après avoir nagées longtemps il revint a la berge avec maqui et se coucha près d'elle sur le sable.
il la tenait dans ses bras pour la réchauffée un peux de peur qu'elle ne prenne froid .
puis après un bon moment il lui dit.
MA CHERIE SI ON ALLAIT DANS NOTRE HUTTE POUR DORMIR UN PEUX.
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Lentement Atala laissa son corps se poser sur l'eau, elle regardait son homme avec amour et confiance.
Son regard sa chaleur son amour seuls savaient l'apaiser et lui donner la force de vaincre chacune de ses craintes
Elle l'aimait d'un amour infini.
Elle commença de lents battements pour avancer.
A mesure qu'elle se sentait avancer, elle le voyait reculer.
Elle redoubla alors d'ardeur pour tenter de le rejoindre...

je t'aime...
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Atala allait enfin rejoindre son amour qui s'était finalement arrêté pour l'attendre quand elle s'inquiéta de le voir plonger sous l'eau.

Une inquiétude de courte durée quand elle sentit lentement ses lèvres glisser le long de son corps.

Elle ralentit sa nage pour laisser la bouche s'attarder et la faire frissonner, elle accentua ses mouvements de jambes en fermant doucement les yeux.

Puis elle rit en le sentant attrapper ses chevilles et les faire avancer soudain plus vite...

Il lui fallu accélérer ses moulinets de bras à presque les emmeler dans l'eau, elle riait et levait bien la tête pour ne pas avaler de l'eau...

Ils filaient ainsi jusqu'à l'autre rive..
La rive secrête et déserte...
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Cualli sortit de taverne avec un sourire aux lèvres, ce laissant voguer dans ses pensées. La nuit commencer a tomber sur Ameyalco, mais Cualli aimais bien venir ce détendre aux près du lac, avec Aurore qui a son habitude était toujours a ses coter. Pourtant elle n'avais pas vu son mari de la journée, elle était rester dans son bureau au Calpulli travailler et s'était octroyer quelques heures de détente dans sa taverne avec ses amies venues la rejoindre.

Elle espérer que le faite de ne pas ce voir pendant une journée allez leur faire du bien et que sa allais apaiser les tensions entre eux. Cualli s'avança près de l'eau et s'assis sur l'herbe fraiche, Aurore quand a elle, alla prendre un bain, la jeune femme la regarda amusée et en souriant. Une petite brise effleuras la peau douce et parfumer a l'essence de papaye de Cualli qui frissonna et se frotta les bras avec ses mains pour ce réchauffer. Puis recroquevilla ses jambes sur elle, les entourant de ses bras puis posa son menton sur ses genoux.

Regardant l'éclat de la lune ce refléter sur l'eau, la nuit Ameyalco était calme et paisible, elle était détendu, souriant fatiguée aussi de sa journée mais n'avais pas envie de rentée de suite dans la hutte ne sachant pas si Methodus était rentré de son atelier ou s'il avais décider d'y rester dormir. Elle vit certain pêcheur sortir leur canoë pour aller pêcher, elle les regarda en souriant, en ce disant que sa devait surement mieux mordre la nuit.

Puis Cualli finit par ce relever et alla ramasser quelque cailloux et du bois flottées sur la plage, pour ce faire un feu et ainsi ce réchauffer un peu. Une fois qu'elle avais put l'allumer elle s'allongea dans le sable, pendant qu'Aurore (sa jaguar), sortit de l'eau et s'allongea près du feu, pour ce réchauffer aussi.

Cualli regarda les étoiles et vit une étoiles filantes et fit un vœu: je souhaite qu'entre moi et Methodus notre amour soit toujours aussi passionnée et intense qu'au premier jour...
Elle espérer secrètement que leur couple irais mieux et que leur sentiments l'un envers l'autre arriverais a surmonter cette tension et que surtout qu'elle ne le reperde pas. Puis elle ferma les yeux ce laissant porter par ses souvenirs et le doux et beau visage de son bien aimer, finissant par s'assoupir et par s'endormir épuiser de sa journée.
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Cualli avais pris l'habitude de se lever bien avant le lever du soleil. Elle savais que sa sœur dormais au lac et avait donc décider d'aller la rejoindre accompagner de sa fidèle jaguar Aurore. Cualli n'ont aucune difficulté a trouver sa sœur Serinette et avant de la réveiller, Cualli alla ramasser des cailloux et du bois flotter afin de faire un feu pour réchauffer sa sœur, elle s'asseya près d'elle et regarda le soleil ce lever, ce qui donnais au ciel une belle couleur.

Lorsque les quelque rayon du soleil fit leur première apparitions, Cualli décida de réveiller sa sœur en douceur.

Seri, réveille toi. Le jour ce lève....
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Ahhuatl, les yeux persant et le cœur battant, vit de loin Krikris allongé dans l'herbe grasse. L'esprit taquin et l'humeur câline, elle fit un petit détour afin de ne pas suivre la berge et ainsi le surprendre.

Arrivée discrètement à sa portée, elle lui sauta dessus tel une panthère et l'agrippa pour partir en roulade dans les herbes grasse.Lorsque ils s'arrêtèrent, Ahhuatl l'embrassa tendrement et lui murmura à l'oreille :

Bonjour, mon coeur ! Tu m'as manqué !
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Fière d'avoir réussi à surprendre Krikris et après une franche rigolade, Ahhuatl, contemplant la beauté du paysage, appréciait ce moment passé en compagnie de Krikis. Enlaçant son cœur et la tête posée sur son épaule, elle voulait que cet instant dure une éternité mais savait que les meilleurs moments ne durent qu'un cout instant donc, par conséquent, les savourait d'autant plus.

Le tête perdue dans les nuages, Ahhuatl eu un pensée furtive en entendant un bruissement dans les fourrés.
*J'espère qu'aucune panthère ne rode dans les environs.*

Frissonnant suite à cette pensée, Ahhuatl se blotti dans les bras de Krikris en quête de protection.

Après quelques minutes, cette pensée s'évanouit pour laisser place à une douce sérénité.

*L'emplacement choisi par Krikris est des plus magnifique. Le paysage est fantastique, l'odeur qui se dégage des fleurs nous entourant est très subtile et leur couleur chatoyante me charme d'autant plus.* Pensât-elle

Une myriade de papillons multicolores passa au dessus de leurs têtes formant une sorte d'arc en ciel scintillant durant un instant.

Oh c'est magnifique ! n'est ce pas mon cœur ! dit Ahhuatl en voyant les papillons.

Le couché de soleil doit être fantastique depuis ici !
Je serais ravie de le contempler en ta compagnie. Ajouta-t-elle

Cualli s'avança vers le lac, trainant des pieds, elle venais de quitter ses amies de la taverne dansante, ce sentant nauséeuse, dégouter par son comportement. Ne comprenant toujours pas ce qui c'était passer. Revoyant les images qui défiler dans sa tête, sans comprendre son comportement, sans savoir pourquoi elle c'était laisser entrainer par les danseurs de Methodus.

Elle avais été droguer, mais c'était aperçut de rien. Cualli s'arrêta au bord de l'eau et ce laissa tomber a genoux au rebord, s'éclaboussant au passage, mais peut lui importer elle était déjà tremper avec l'eau glacée que Maqui, lui avais balancé en plein visage pour la sortir de sa transe.

Cualli pris de l'eau dans ses mains et ce mouilla le visage, après sa elle posa ses mains dans l'eau et ce mis a pleurer, déversant toute les larmes de son corps.

Elle venais de perdre celui pour qui son cœur battait, son âme sœur. Cualli n'avais plus aucun espoir de reconquérir l'homme qu'elle aimais, elle était vide de toute vie, de tout sentiments. Ayant envie d'une seule chose ce laisser mourir, elle remonta a quatre pattes n'ayant plus la force de ce relever s'allongea sur le sable. Laissant le soleil qui taper dure sur sa peau faire le reste.....
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Cualli vis une ombre ce pencher sur elle et ouvrit un œil et vis Sira s'assoir prés d'elle. Elle s'assit difficilement, a croire que les effet de la drogue, ne voulais pas la quitter et écouta Sira puis lui répondis.

Ce n'est pas de ta faute Sira, c'est de la mienne. Je n'avais pas aller avec son danseurs comme ça. J'aime Metho c'était avec lui, que j'aurais du aller danser pas avec son danseurs.

Sa n'aller plus entre nous mais j'avais encore espoir que sa irais mieux. Réagir je veut bien mais là, je marche complètement sur des œufs, je sais pas ce qu'il a mis dans mon bol de pulque, mais punaise, j'ai l'impression d'avoir une citrouille a la place de la tête puis j'ai la bouche pâteuse.

De toute façon Sira on était sur la fin, j'étaie fatiguer de me battre pour quelque chose que je n'aurais pas eu. Pour Alyzee, je l'ai laisser a Max pour le moment, j'ai besoin de temps pour me remettre. j'irais la récupérer après, quand je me sentirais mieux. Pour ce qui est du lien entre moi et Metho, je sais pas on verras bien. En tout cas j'ai rien a redire sur son rôle de père, il est très présent pour Alyzee et je voit bien qu'il aime sa fille. Je ferais mon possible pour Alyzee et je me battrais pour elle. Ma fille est tout pour moi puis j'ai ma petite sœur aussi et mes amies donc ta raison je peut pas me laisser aller comme ça. Je suis une guerrière, forte et courageuse, j'ai pas le droit de me laisser abattre comme ça.

Cualli la regarda lorsqu'elle lui parla de la hutte.

Sira j'ai plus de chez moi sauf ma taverne ou j'y est mis nos affaires a Alyzee et les miennes. Je sais Sira et je te remercie d'être revenue je pense que si tu était venue plus tard sa aurais étais la fin.

Elle regarda Sira bondir sur ses jambes et vis qu'elle lui tendit la main. Cualli la regarda et sourit puis attrapa sa mains pour ce relever.

Je ferais mon possible, puis j'ai pas le choix, j'ai un clan a faire tourner et a faire vivre.

Cualli lui sourit et alla dans l'eau ce mouilla la nuque et le visage pour ce réhydrater et ce rafraichir.
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A son arrivée

La voila revenue a Ameyalco. Ce clan qui l'avait accueillie comme une soeur, où elle se sentait plus que bien.

Un soulagement total la fit se détendre bien plus profondément qu'elle ne l'y avait pensé.

Ses pas la menèrent vers le lac où l'eau sommeillait tranquillement. Le regard porté vers les environs, elle repassait les différents souvenirs qu'elle avait et les nouvelles dont elle était au courant.
Un petit sourire s'afficha sur son visage. Le clan s'était agrandit, les sourires étaient sur les bouilles de tous ses amis.

Elle regarda derrière elle et apercut Laminata la regarder.

Allez fillette, viens te baigner dans le lac, cela te fera du bien.

Les petites gambettes de la gamine s'activèrent et elle ne tarda pas a faire son apparition tout près de Dessy. Un sourire aux lèvres et toutes deux allèrent dans l'eau et commecèrent à se lancer des jets d'eau en s'amusant.
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Methodus venait rarement au lac, il était souvent fort occupé par ces études et le peu de temps qu'il lui restait, il essayait de comblé un vide.

Il passa non loin du lac ce soir là, et il fut surpris de voir au loin dans la pénombre une silhouette jeune qu'il n'avait encore jamais vu. Il se sentait le devoir d'aller voir cette personne qui semblait perdue dans ces pensées.

En s'avançant vers le bord du lac, la silhouette prenait forme et il pu après plusieurs pas reconnaitre Emilia, la jeune fille de Yunaa. La mort de Yunaa avait beaucoup affectée le brave guerrier, car beaucoup ignorait que jadis, Yunaa était l'une de ces pire ennemie.

Quand Methodus fit ces premiers pas dans le monde parfois douloureux de la politique, il fut confronté à une calpullec qui lui donne, en temps qu'intendant aux mines de la province, beaucoup de fils à retordre. Il était en conflit ouvert et avait du mal à dialoguer.

Mais un jour, Methodus prit les devants et contacta Yunaa, il s'ensuit un long processus de relation de confiance, et après plusieurs mois de collaboration, une amitié voyait le jour. Methodus et Yunaa avait pu mettre leurs nombreux différents de côté et faire cause commun pour le bien collectif.

Depuis ce jour, la relation entre eux deux c'était renforcé et leur amitié les avait souder dans l'adversité. Faucheuse, l'un des meilleurs amis de Methodus avait conquit le cœur de la belle Yunaa et Methodus resplendissait de voir deux personnes si merveilleuses se retrouver après plusieurs semaines de complicité.

La mort de Yunaa avait révolté Methodus à un point que peu peuvent imaginer, c'était l'injustice de l'acte qui avait rendu en taverne fou de rage Methodus, il savait qu'à partir de maintenant, il n'aurait de cesse que de traquer ce fil de pécari qu'est Garla et de lui montrer que lui aussi, il peut taper fort.

Methodus s'approcha doucement d'Emi, dans des moments pareils, aucunes mots ne peut réconforter, il le savait, que dire quand quelqu'un perd un être cher ? ... Rien, dans ces moments là, le silence est d'or.

Methodus s'assit donc à côté d'Emi et dans la douce pâleur des étoiles sur le lac, il resta là, assit à côté d'elle. Il lui esquissa un sourire, un sourire de réconfort, un sourire pour dire qu'il était avec elle.

Ils restèrent là un long moment, pensifs, silencieux, simplement en deuil....

Elle marcha pieds nus, pour sentir la sensation que la nature offrait. Ses cheveux lui tombait en cascade sur les épaules , elle sentait la tiédeur de l’air sur ses bras nus. Elle se pencha au dessus du lac, se mit accroupie, doucement et observa le visage, son visage... Qui se mêlait aux flots noir. Elle avait un mal fou à se reconnaitre, ses traits avaient changés, reflétaient la femme qu'elle était devenue malgré elle. Pourquoi grandir? Pourquoi changer et faire naitre des sentiments que enfant on ne connais pas. Ce soir Emi avait mal, sa mère lui manquer bien sur mais c'était une autre douleur, qu'elle n'avait jamais connu avant. Furieuse contre elle même elle ne comprenez pas pourquoi elle ne pouvez faire taire tout se qui grouiller en elle. La jeune fille aurai voulu revenir à l'age de ses quatre ans, là ou il y avait l'inconscience, la ou elle passé son temps à s'empiffrer de chocolat et ou les mâles ne prenaient pas de place dans son cœur.

Emi avait pris place depuis quelques minutes au sol devant le lac, elle observait et essayer de se décourager à penser quelle n'était pas parmi les siens. Elle donna une gifle sur la surface pour en faire disparaitre son image et regarda son visage à présent se déformer en file des petites vagues.

Emi hésitait, si elle est tentée parfois de revenir en arrière, la sagesse la ramène vite à la réalité. Elle éprouvait une peur panique à l’idée d’être trahie, de se voir imposer d'autres souffrances sans qu'elle ne puis rien dire. Emi était une jeune fille fraiche, naïve, sans aucune expérience de vie. Sur son visage on pouvais lire une tendresse profonde et une immense volonté, une volonté qui peu à peu s'effaçait. Pour la première fois, elle avait ressenti cette impression que la détail qui l'empêchait de voir, pouvait avec le recul, devenir la clé à son problème. C'était ce petit détail, qui était pourtant constitué de l’essentiel qui l’empêchait de dormir. L' affinités qui avait l' incroyable capacité de lui faire croire à nouveau aux plaisirs de la vie.Ce mal, cette peine, lui donnait au moins la satisfaction de comprendre enfin tous ces dérèglements chez elle.

Seul, dans un recoin, enfermée dans sa bulle, elle ne pouvait que penser, s'évader dans le passé, et revoir ce visage, écoutez résonner ces choses, ces mots... Pour oublier sa peine un insant, elle repensa aux bons moments, courts, rares, mais là. Les yeux plongées dans le bleu nuit de l'eau, si purs, comme les lacs de sa terre.

Elle respira un grand poumon comme pour garder un peu d'oxygène de ce lieu puis ferma les yeux pour effacer... Oublier... Et ce laisser bercer par le silence...
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Atala et Xoloth avait fièrement ramené Mafrida
qui était allée chercher le fruit de la vente de son champ pour s'installer à Amey.
Ils avaient fait au passage quelques petites ventes pour le clan et ramenaient quelques fruits.

Elle alla rendre son mandat avant de filer au bord de leur lac, là où ils aimaient à se retrouver.

Elle reconnu immédiatement la belle silhouette de son amour.
Xoloth contemplait l'horizon les pieds dans l'eau fraiche.
Le coeur d'Atala se mit à battre plus fort, comme chaque fois qu'elle le voyait ou qu'elle pensait à lui.
Lentement elle s'approcha, se baissa dans son dos,
l'enveloppa de ses bras et glisser un baiser amoureux dans son cou.

Bonjour mon beau guerrier
Tu as été le plus rapide...
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Xoloth sourit franchement quand il sentit les bras de celle qu'il aimait l'entourer avec tant d'amour. Il tourna la tête pour la contempler et lui déposer un tendre baiser. Il la fit pivoter et l'installa sur ses genoux en l'entourant de ses bras et de tout son amour.

Tu sais, ma belle Atala, que ça fait un an qu'on est ensemble, qu'on vit cet amour merveilleux ?
Tu sais que je t'aime toujours plus ?

Il la contempla avec des yeux emplis d'amour et de gentillesse. Il la trouvait tellement belle et si désirable...
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Cualli était toujours assise près de l'eau et balancer des petits cailloux dans l'eau en souriant. Elle sentie une mains sur son épaule et regarda a qui elle appartenait même si elle le savais d'avance. Elle la regarda et lui sourit. Cualli posa sa joue sur la main de sa sœur et lui chuchota:

Merci c'est gentille d'être venue me voir et me tenir compagnie.

Cualli ce blottit dans ses bras sans rien dire aussi, regardant le soleil ce coucher.

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Atala embrassa tendrement Xoloth, celui qui faisait battre son coeur chaque jour plus fort depuis maintenant une belle année.
Elle le regarda sortir de son sac de quoi faire un merveilleux repas au clair de la lune de leur lac.

Ces mots, ces paroles, cette voix comme elle aimait les entendre.
Elle l'embrassa à nouveau et le couvrit de petits baisers en se levant pour aller préparer le feu qui cuirait leur festin amoureux.
Les haricots et la viande furent mit à griller et cuire sur les braises et ils commencèrent par quelques friandises de bouche mélangeant douceur de la dégustation à de petits baisers langoureux.

Je t'aime Xoloth que cette soirée soit belle et douce, la soirée de nos un an, la soirée au bord de notre lac. Je t'aime!
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Pendant qu'elle préparait le feu et suivait la cuisson elle sentait le regard de son amour posé sur elle, elle aimait ce regard.
Elle frissonna quand elle senti la douce caresse dans son dos.
Elle l'aimait depuis une belle année, une belle et folle année à ses cotés.
Elle le regarda un sourire radieux et amoureux sur les lèvres croquer à pleine dents et savourer le repas.
Elle l'imita immédiatement imaginant avec un léger sourire en coin la suite de la soirée...

Ses paroles la remplirent de joie et firent passer un doux frisson jusqu'au bas de ses reins.

Je n'oublierais jamais ce pouce qui a caressé ma main un jour de grand vide à Matixco.
je t'aime Xoloth. Tu es l'homme de mes jours et de mes nuits, celui sans qui la vie perd tout son sens.
Je t'aime...

En disant ces mots elle se rapprocha de lui et l'embrassa amoureusement, longuement en se blotissant dans ses bras, annonçant ainsi la fin du repas...
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poussé par quelques voix ,pchitt decida de retourner au bord du lac.....

il resta un long moment assis là ,de nombreuses images d'antan lui revinrent à l'esprit.

Que de bons moments ici et trouva que ce coin avait peu changé...

perdu dans ses pensées il n'apercut pas de suite celle lueur ,une belle lueur orangée du soleil couchant.............

"NON ce n'est pas le soleil"

"mais c'est un feu! Le village brule?"

pchitt sortit de ses reveries et fila en courant au village pour voir se qui se passait

Le repas était finalement constitué d'amour et encore d'amour. Le même menu depuis un an et le même délice chaque jour.
Xoloth la prit dans ses bras et soupira de satisfaction en la sentant se blottir contre lui. Il aimait la voir ainsi toute recroquevillée, cherchant presque à entrer en lui pour qu'ils ne fassent qu'un. Il la serra doucement contre lui dans un geste d'amour et de protection. Il l'aimait comme il n'avait osé l'imaginer. Cette année avait été riche et rapide finalement.
Il attendit qu'elle lève la tête et que leurs regards se croisent pour lui sourire largement et l'embrasser longuement.

Es-tu prête à vivre encore un siècle avec moi, mon coeur ?
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