Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2   >>

[RP] Dispensaire

Aude


Pas de blessés..rien... quand même exceptionnel ça... des combats des nuits entières, et personne à réparer. Aude allait sortir se dégourdir les jambes quand elle tomba nez à nez avec une jeune femme... lui souriant tant pour la rassurer que pour la saluer...

Bonjour, je suis Aude... médecin de ce dispensaire, venez par là...

Et de la précéder dans la salle des soins.

Asseyez-vous je vous en prie. J'arrive de suite... racontez moi ce qui vous est arrivé.. je veux dire... la blessure, car je suppose que vous avez croisé le fer aussi...

Tout en l'écoutant, elle alla chercher le plateau avec les instruments, se lava les mains, et revint vers elle, toujours souriante.

_________________
Cleia
Elle allait rebrousser chemin quand une jeune femme déboula en face d’elle. Léger sursaut de la brune qui croyait l’endroit désert, et sourire rassuré quand la jeune femme en face d’elle se présenta comme le médecin du lieu.

Bonjour Dame, je me nomme Cleia et j’aurais besoin de vos services je crois.

Elle la suivit dans une salle nette et propre, et s’installa docilement là où on le lui indiquait. Expliquer ce qu’il lui était arrivé… quelques mots suffirent, et elle raconta sa malheureuse rencontre tout en dénudant son épaule blessée, simplement bandée d’une étoffe grossière.


J’ai répondu à l’appel d'une armée de Saumur alors que je me trouvais en leurs murs, et qu’ils avaient besoin de monde dans leur armée. Je suis assez bonne combattante, mais lors de la dernière bataille que j’ai pu mener, j’ai trouvé adversaire plus valeureux que moi. Son épée est venue compter fleurette à mon épaule, j’ai lâché mon arme et… et je ne me souviens plus de rien ensuite. J’ai repris conscience au milieu des blessés et des morts. J’ai rapidement nettoyé la plaie au bord d’un cours d’eau, et j’ai repris la route.


Que dire d’autre ? Elle n’avait su vers qui se tourner, n’avait pas eu envie de demander de l’aide aux gens croisés là-bas, et avait cru pouvoir rejoindre sa sœur malgré son état, et ce sans la moindre nourriture… Cela le médicastre n’avait nul besoin de le savoir, et ne s’en soucierait guère de toutes les façons. Elle regretta presque d’avoir pousser la porte du dispensaire, ne se sentait pas vraiment à sa place, mais son épaule la faisait un peu plus souffrir chaque jour, et cela commençait à l’inquiéter. Et puis, personne ne l’attendait vraiment au final… à part peut-être sa sœur, et encore rien de moins sûr.

_________________
Aude


Aude hocha la tête aux dires de la jeune femme... encore une victime... combien devront tomber avant que tout cela ne cesse ? secouant la tête doucement, le médecin fit le tour de la table de soins, pour se placer derrière Cleia...

"Je vais ôter votre linge "

Léger froncement de sourcils quand elle vit le linge souillé d'une couleur brunâtre... délicatement, elle ôta la protection pour découvrir une plaie infectée... le sang avait séché, et les bactéries avait fait leur oeuvre... Il fallait la rassurer, avant tout.

"Bien Cleia, je comprends pourquoi vous avez mal... je crains que votre rinçage n'est accéléré l'infection..." Contournant de nouveau la table, pour lui faire face, elle poursuivit : "je vais laver votre plaie pour commencer, et vous appliquerai un cataplasme, selon l'évolution, je verrai demain si il y a lieu de faire une suture."

Elle lui sourit doucement, et plaça dans l'embrasure de la porte :

"Berta s'il vous plait ! préparez un cataplasme à la camomille ! merciiii ! "

Aude souriait déjà à entendre Berta se dépêcher d'aller en "cuisine" toujours en parlant toute seule, pour aller faire cuire la farine de lin mélangée à un peu d'eau, base sur laquelle seront posées les fleurs de camomille. Pour l'heure, elle attrapa sur l'étagère un flacon d'une lotion... plusieurs plantes aux vertus antibactériennes entre autres, macérées dans du vinaigre du pomme pendant deux semaines. Aude avait découvert cette préparation un peu par hasard, et avait fait ses preuves.

Tout en agitant le flacon, elle reprit sa place derrière Cleia, saisit un linge propre qu'elle imbiba de la lotion... "Ca risque de piquer un peu Cleia... j'y vais..." et lava la plaie soigneusement, changeant le linge chaque fois que nécessaire, jusqu'à ce que plus aucune trace ne subsiste.
Puis, saisit une petite pince, qu'elle passa à la flamme de la bougie, pour s'assurer que rien n'était entré dans la plaie.

"V'là mam'zelle Aude ! vot' cataplasme ! "

"Merci Berta."

L'infirmière venait d'amener sur un linge la préparation demandée... Aude s'en saisit, adressant un sourire reconnaissant à la brave Berta

"b'jour Damoiselle, suis Berta ! l'infirmière de mam'zelle Aude. Bon c'pas tout ça, mais c'est qu'j'ai du travail ! "

Elle est disparu aussitôt qu'elle était apparue. Tout en appliquant le cataplasme sur la plaie, Aude expliqua à Cleia, l'arrivée quelque peu... fracassante de Berta, mais qui s'est révélée être une femme avec un grand coeur. faisant maintenir le pansement avec des linges resserrés autour de l'épaule de la blessée, elle la rassura :

"Voilà. Il faudra que j'y regarde de nouveau dans quelques heures. En attendant, vous pouvez vous reposer ici, dans l'une des chambres du haut.. et je vais vous donner de la tisane pour éviter la douleur"


_________________
Cleia
Elle se laisse faire, se contractant légèrement quand la jeune femme lui ôte le linge qui a collé à sa plaie, mais fronce les sourcils quand celle-ci lui parle d’infection. Ca, ça n’était pas prévu au programme, mais alors pas du tout. Heureusement qu’elle trouvait le village accueillant, et qu’elle n’avait pas prévu de reprendre la route avant quelques jours.

Merci pour votre aide Dame, c’est très gentil à vous. Je ne sais si j’aurais pu continuer longtemps comme ça.

Elle suivait des yeux la jeune femme qui s’affairait autour d’elle, et sourit doucement quand celle-ci l’a prévint avant d’appliquer sa lotion. Elle acquiesça d’un signe de tête, signe qu’elle était prête. Elle serra les dents, craignant que la douleur déjà vive se fit plus présente, mais ne voulant rien en montrer. Elle ne put cependant retenir un léger frémissement alors que la médicastre s’occupait de nettoyer les dégâts qu’elle ne pouvait voir vu leur emplacement.

Un bruit de pas se fit alors entendre, annonciateur de l’arrivée de la fameuse Berta, l’infirmière de Aude. Elle répondit à son salut, dans un rictus plus qu’un sourire, l’élancement se faisant plus vif.

Bonjour Berta… merci…

La femme disparaissait déjà, retournant vaquer à ses occupations, et Aude avait repris les soins, tout en essayant de distraire Cleia en lui parlant. Mais la brune commençait à avoir une sensation de vertige très désagréable, et la douleur se diffusait insidieusement dans le reste de son corps. Elle essaya toutefois de faire bonne figure, et hochait la tête ou émettait quelques onomatopées de temps en temps, montrant à sa bienfaitrice qu’elle suivait ce qu’elle lui expliquait.

Bienfaitrice, c’était bien le mot, voilà qu’après l’avoir soignée elle lui proposait un lit confortable afin d’y prendre un peu de repos. La voyageuse ne savait même plus depuis quand elle n’avait pas dormi sur autre chose qu’une paillasse au mieux, et elle ne se fit pas prier pour accepter l’hospitalité de la trémouilloise.


C’est très gentil de votre part, merci. J’espère tout de même ne pas trop vous déranger..

Elle suivit la jeune femme et s’effondra sur le lit qui lui était offert, respirant avec bonheur le parfum des draps propres.

Ne vous dérangez pas pour la tisane, ça ira. Je suis sûre que votre traitement fera vite effet.

Elle lui sourit et posa la tête sur l’oreiller, essayant de chasser toutes les images de chao qui la hante depuis des jours.

_________________
Margaux..
La bataille avait encore fait rage cette nuit. Margaux avait appris que son amie Aude avait été blessée plus que sérieusement, que sa vie était en danger. Elle connaissait aussi le nom de celui qui l'avait frappée de son épée et cela l'avait glacée d'effroi. Ca n'aurait jamais du arriver. Jamais ... jamais ....
Margaux courrut comme une folle vers le dispensaire. Bon nombre de blessés s'y trouvait déja. Elle allait de couche en couche, la cherchait de partout ....


Aude où es tu .... Aude ????
Aude
[Chaos]



Esprit en suspend... corps en lévitation dans l'antre des enfers, les flammes brûlantes qui empêchent de respirer, qui rendent la moindre inspiration douloureuse... impossible d'ouvrir les paupières scellées par la marque de la sauvagerie des hommes... Le sang.

Elle n'est plus... Juste une plaie ouverte, témoignage parmi tant d'autres de la folie humaine. Un grondement résonne sans fin... des heurts métalliques, des râles, des cris... des pleurs.

Elle n'est plus... juste un faible filet d'air qui s'échappe encore d'entre ses lèvres...

Elle ne sait pas qu'on l'a amenée au dispensaire, endroit dont elle s'occupait avec coeur et conviction. Soigner, guérir.. ou à défaut, soulager... comme le réconfort apporté à cette lépreuse qui était venue... Souvenir de l'arrivée de Berta, si elle avait pu sourire à cet instant, elle l'aurait fait. Kali était hilare.. et la pauvre Berta n'était pas des plus à l'aise... mais avec le temps, elle s'est avérée être une femme au coeur d'or, toujours là pour aider et assister Aude dans les moments les plus délicats... Souvenir de Huber, l'infirmier... tombé immédiatement sous "le charme" de Berta... sûr qu'avec ces deux là, les habitudes étaient bousculées !

Elle ne sait pas qu'elle entourée de bon nombre de ses amis... et ennemis sûrement... Elle ne sait plus où elle est... se revoit enfant... sur son île, caressée par la brise marine, bercée par la houle... voilà, rester ici, à cet endroit...

_________________
Margaux..
Margaux court toujours de couche en couche, se refusant de soulever les draps relevés sur les visages éteints. Non ça ne pouvait pas être son amie couverte de son linceul. La tête balayant de droite à gauche au rythme de sa précipitation à la retrouver. Et tout à coup, ce petit corps frêle qu'elle voit de loin. Margaux s'arrête, quelques secondes, prie, supplie Aristote que ce soit elle, qu'elle soit en vie. Puis elle s'approche d'un pas incroyablement lent, le corps se précise, le visage se distingue. Margaux peut maintenant reconnaître ces traits sous ce profil tuméfié, boursouflé de douleur, rouge de sang. Margaux s'approche toujours, la peur la tenaille, lui commande de partir en courant, de ne pas savoir. Mais Margaux s'approche, si près maintenant qu'elle pourrait la toucher. Ses yeux se posent sur sa poitrine et Margaux guette avec appréhension. Sa poitrine se soulève, lentement, impercetiblement, irrégulierement, mais elle se soulève. Margaux tombe à genoux et pleure, de tristesse, de désolation, de joie.

Merci Aristote, merci ... Veillez sur elle, ne l'abandonnez pas, ne la prenez pas.

Puis, en regardant Aude :

Pardon Aude, il ne t'a pas reconnue, il n'a jamais voulu ça, il n'est pas sanguinaire, il est juste comme nous tous, pris dans ce conflit stupide.

Puis elle posa la tête sur le matelas, et finit par s'endormir auprès de son amie. Mal au dos, mal à la tête, elle se réveilla, s'assura que son amie n'allait pas plus mal et décidé de rentrer chez elle se changer. Elle sera de retour rapidement.
--Cape_et_capuchon
Voyant la damoiselle enfin seule, la silhouette encapuchonnée s'approcha de l'alitée. Elle s'agenouilla devant elle et lui prit la main. Une larme ayant parcourue l'inconnue noirceur de la capuche, plongea d'un poil de barbe naissante vers le lit de Aude.

Je suis désolé mon enfant... vous ne méritiez pas cela...

Glissant dans la main de la mourante un petit objet, l'encapuchonné murmura:

Que sa magie agisse sur vous pauvre enfant...

D'un pas lent, sans se retourner, la silhouette quitta le dispensaire laissant dans la main de Aude... une petite marguerite entourée d'un ruban.
Bou.bebe
La forgeronne se précipite au dispensaire. Quand elle appris la nouvelle de la bouche de Margaux, elle n'y croyait pas. La colère l'a submergée.

Elle regarda les différents lit, la peur au ventre. Peur de perdre son amie, d'être arrivée trop tard. Elle ne mérite pas cette mort là. Aude vaut mieux que ça. Mourrir dans une guerre qu'on n'a pas voulu. Non c'est trop injuste pour elle.

La brunette tremblait, continuant à avancer. Elle trouva enfin le lit tant cherché. Et la vit, inerte, pâle, fragile. Elle si pleine de vie, si douce et gentille.

La forgeronne s'agenouilla auprès de la blessée, pris sa main aussi délicatement que possible pour ne pas lui faire plus de mal, et se mit à pleurer.

Des larmes si chaudes pour un coeur si brisé de douleur. Voyant son corps si meurtrit par des fous. Ses larmes ne se tarissaient pas, elle n'arrivait pas à s'arrêter de pleurer. Les sanglots lui secouais les épaules mais la brunette ne pouvais les contenir.

Son chagrin semble sans fin, sa haine si profonde, sa culpabilité si forte de ne pas avoir été là pour la défendre. Elle s'en veut d'être impuissante face à tout ce qui se passe, de ce qui est arrivé à Aude comme à tant d'autres.

Perdu dans sa peine elle ne se rendit pas compte de sa fatigue à force de pleurer. Elle finit par s'endormir les yeux encore plein de larmes et rêva de pouvoir donner de sa force a cette amie si chère. De pouvoir la guérir par son courage et son amitié.
Margaux..
Margaux revint au dispensaire avant de prendre son service de nuit à la mine. Les corps sans vie avaient été évacués. Il ne restait plus que le blessés. Des plaintes, des gémissements et cette odeur .... odeur de sang, de plaies. Elle essaya de faire abstraction de ce qui se passait autour d'elle en ce lieu, ne voulant pas tomber dans les pommes. Elle arriva près du lit de son amie, remarqua la présence de Dame Bou, endormie, ne la réveilla pas, prit un siège et regarda Aude. Elle n'avait pas l'air d'aller plus mal. Margaux se sentait un tant soi peu soulagée. Elle se croisa les mains sur ses genoux et baissa la tête. C'est alors qu'elle remarqua au sol une marguerite enrubannée . Elle écarquilla les yeux, regarda vivement autour d'elle. Mais elle ne reconnaissait persone. Se première réaction fut de se lever de partir vite à sa recherche mais elle se retint. Elle reflechit un instant, et un timide sourire apparut sur ses lèvres. Elle prit délicatement la main d'aude, y glissa ce "porte bonheur" et la referma. Si la personne avait jugé de faire ce geste pour Aude c'est qu'il était important pour elle. Alors Margaux n'avait pas le droit d'aller contre. Elle était même fière et soulagée de constater cette attention.
Dans un geste reflexe, Margaux ressera le ruban qui tenait ses cheveux et sourit, il était de même facture que celui laissé dans la main d'Aude.
Margaux regardait son amie. Son visage qu'elle avait connu si paisible, si empreint de bonté et de douceur, son visage lui faisait peine.
Margaux versa une larme et se mit à prier.
Elle resta là sans bouger, juste à prier, jusqu'au moment où la corne de brume appella les mineurs à prendre leur service. Elle se leva, se pencha vers Aude et lui murmura
:

Reviens nous Aude ! à demain.

Margaux parti le coeur moins lourd que ce matin.
Margaux..
Malgré la fatigue de la nuit passée à piocher en mine, Margaux voulait prendre des nouvelles de son amie Aude. Quand elle arriva, elle eut l'agréable surprise de la trouver éveillée. Elle ne s'approcha cependant pas. Des médicastres, semblait il, étaient à son chevet et ils discutaient. Mais Aude souriait sur son lit, parlait, bougeait un peu. Margaux en était ravie et soulagée. Elle fit demi tour, et rentra chez elle le sourire aux lèvres.
Cette journée sera belle.
Bou.bebe
Un bruit la fit sursauter. La brunette se retrouva la tête sur le lit de Aude et se rendit compte qu'elle s'était endormie.

Elle regarda la blessée et ne constata aucun changement. Sachant qu'elle n'était d'aucun secours elle décida de partir avec le coeur encore lourd.

Elle se releva et aperçu des médicastre qui était entrain de faire la trounée des états des différents malade.

Sans sourciller, elle s'avança et les dépassa sans écouter ce qu'il disait et se rendit vers la sortie avec un haut le coeur. La vue des pauvres personnes souffrantes lui compressait l'estomac. La forgeronne se dépécha de sortir pour ne pas vomir sur le sol.

Uen fois dehors l'air frais lui fit beaucoup de bien et elle se hâta de rentrer chez elle tout en pensant à son amie encore allongée sur son lit.
Aude


Oulà... l'est où la porte ?

Mise au point visuelle, alignement des pieds dans l'axe de la porte... ou c'est peut être la fenêtre ? ou le comptoir ?bon sang, pourquoi ça bouge autant ? la brune se lança quand même, et avança avec prudence, mains en avant, prenant appui sur tout ce qui était, ou lui semblait stable.

Enfin la porte qu'elle ouvrit, aspirant par la même occasion, une grande bouffée d'air...dehors, deux silhouettes s'éloignant.. l'une, une jeune femme dont elle ne se souvenait pas du prénom, sortie aussi rapidement qu'entrée... et l'autre... Aude plissa les yeux.. le saouleur ! Non non ! pas un Fantôme souleur ! un Saouleur, un vrai... celui qui avait eu l'audace de la faire boire alors qu'elle attendait sagement, comme toujours, à sa place, son ténébreux.

Nothias !!! *hips* tu vas me le pay*hips*yer !

Comment, elle ne savait pas, ce qu'elle savait là... euh.. en fait non, elle ne savait plus grand chose. hormis peut être le fait que jamais elle n'avait été dans cet état... ou une seule fois... il y avait longtemps.
Rentrer ? malgré le brouillard épais qui régnait dans son esprit, elle savait que c'était pas une bonne idée... du moins pas maintenant... hors de question de se montrer ainsi devant lui... mais où aller....? mais bien sûr !

Elle se força à marcher lentement, se tenant droite le plus possible, mâchant une feuille de marjolaine pour anéantir l'odeur d'alcool dans sa bouche, tenant les murs des bâtiments de la main... à moins que ce soient les murs qui la tenaient à cet instant... Encore quelques pas...

Elle sentait son estomac se retourner, et avait mal à garder les yeux ouverts... Quand elle poussa enfin la porte du dispensaire...

Beeeer... *hips* ...

pas moyen de continuer... Là, Aude ne se sentait vraiment pas bien, l'euphorie des premiers instants laissant place à un réel malaise... Elle sentit un étau se resserrer sur ses tempes, et eut l'impression de manquer d'air...

Berta.. vous êtes là ?

Elle ne sut pas la réponse, le monde se mit à vaciller autour d'elle, voyant le sol se rapprocher dangereusement de son nez, entraînant dans sa chute l'étagère qui contenait les instruments médicaux qui tombèrent au sol avec fracas, et elle avec.
[/list]
_________________
See the RP information <<   <   1, 2   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)