Eloa.
Destination : Chateauroux !
Enfin, ils étaient prêts, une nouvelle fois. Le départ était proche, passer la barrière de la Tourraine pour laisser place à un amour naissant, qui les oppressait là-bas. Cheval prêt, bagages bouclés, ils prirent enfin la route, elle se plaçant devant, et lui derrière, main dans la main. Un léger coup de pied sur le flan du canasson pour le faire décoller, et la route était enfin à eux ..
Entre les nœuds
Forêts et verdures tout au long du chemin, qui ne la rassurait pas tellement. Cette forêt qu'elle connaissait bien pour l'avoir traverser seule durant son enfance, et les deux goujats qu'elle n'oubliera jamais.
Plus ils avancèrent, plus le chemin paru éclairé, de part et d'autre des plaines qui les entouraient. Regardant son compagnon, elle se coucha, l'incitant à faire de même et ralentissant le pas du canasson, tentant au mieux de ne pas être remarquer.
On pouvait seulement entendre le pas lent du canasson trottiner sur les cailloux fins.
Brigands ou Armée, les deux choix s'offraient à eux. Il sera d'ailleurs vite confirmer, lorsqu'une dizaine de soldats surgirent, les encerclant, et les menaçant de leurs épées pointées sur eux.
Calme, elle ne le restera pas longtemps, sentant le cheval crispé sous jambes. D'un coup de rennes et de pied sur l'animal, bien décidé à le faire avancer de force, elle se cambra sur lui, son compagnon serrant sa taille, contre lui.
Simples bâtons et bouclier à leur dispositions, ils tentèrent de les faire reculer, pouvant ainsi laisser passer le cheval et forcer le passage. Mais très vite, les assaillants réagirent, brisant leurs armes et portèrent un mauvais coup sur l'animal qui se coucha, les deux amants se relevant rapidement, ne leur restant que leurs boucliers pour se proteger.
De la même manière, il essayèrent de les faire reculer, mais il étaient bien trop nombreux et les encerclèrent à nouveau. Le premier coup d'épée porter à son mollet droit sera fatal, la faisant lâcher son bouclier, se tenant la jambe et le visage crispé de douleurs.
Ils ne leur faudra que peu de temps avant que la jeune femme se retrouve à terre, plusieurs coups d'épée portés sur son corps meurtri, ses vêtements tâchés de sang..
Elle regarda impuissante son compagnon, dans le même état, avant de plonger dans l'inconscience, les laissant pour mort.
Enfin, ils étaient prêts, une nouvelle fois. Le départ était proche, passer la barrière de la Tourraine pour laisser place à un amour naissant, qui les oppressait là-bas. Cheval prêt, bagages bouclés, ils prirent enfin la route, elle se plaçant devant, et lui derrière, main dans la main. Un léger coup de pied sur le flan du canasson pour le faire décoller, et la route était enfin à eux ..
Entre les nœuds
Forêts et verdures tout au long du chemin, qui ne la rassurait pas tellement. Cette forêt qu'elle connaissait bien pour l'avoir traverser seule durant son enfance, et les deux goujats qu'elle n'oubliera jamais.
Plus ils avancèrent, plus le chemin paru éclairé, de part et d'autre des plaines qui les entouraient. Regardant son compagnon, elle se coucha, l'incitant à faire de même et ralentissant le pas du canasson, tentant au mieux de ne pas être remarquer.
On pouvait seulement entendre le pas lent du canasson trottiner sur les cailloux fins.
Brigands ou Armée, les deux choix s'offraient à eux. Il sera d'ailleurs vite confirmer, lorsqu'une dizaine de soldats surgirent, les encerclant, et les menaçant de leurs épées pointées sur eux.
Calme, elle ne le restera pas longtemps, sentant le cheval crispé sous jambes. D'un coup de rennes et de pied sur l'animal, bien décidé à le faire avancer de force, elle se cambra sur lui, son compagnon serrant sa taille, contre lui.
Simples bâtons et bouclier à leur dispositions, ils tentèrent de les faire reculer, pouvant ainsi laisser passer le cheval et forcer le passage. Mais très vite, les assaillants réagirent, brisant leurs armes et portèrent un mauvais coup sur l'animal qui se coucha, les deux amants se relevant rapidement, ne leur restant que leurs boucliers pour se proteger.
De la même manière, il essayèrent de les faire reculer, mais il étaient bien trop nombreux et les encerclèrent à nouveau. Le premier coup d'épée porter à son mollet droit sera fatal, la faisant lâcher son bouclier, se tenant la jambe et le visage crispé de douleurs.
Ils ne leur faudra que peu de temps avant que la jeune femme se retrouve à terre, plusieurs coups d'épée portés sur son corps meurtri, ses vêtements tâchés de sang..
Elle regarda impuissante son compagnon, dans le même état, avant de plonger dans l'inconscience, les laissant pour mort.
