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Rue Principale

L.valentine
La rue principale, source de la criminalitée.

Cette rue ensanglantée et noircit par les cendres d’un feu balayé par le vent fut témoin d’un massacre inimaginable, elle en porte encore les cicatrices malgré les jours qui passent. Le ‘’bûché’’ s’y trouve toujours, utilisé à chaque soir pour réchauffer les cœurs des meurtriers qui brûles quelques récalcitrant afin qu’on se remémorent cette nuit dramatique qui marqua la renaissance des Basilisks en force. Une impression bizarre parcours les lieux, une sorte de présence fantomatique. On à jamais l’impression d’être seul près du feu et l’on peut ressentir une tristesse sans fin si l’on n’est pas un membre du clan. Parfois l’on voit quelques silhouettes passer rapidement outre que les bandits surveillant chaque recoins de cette petite communauté mais elles ne restent jamais bien longtemps. Après tous des activités illégales se passent en ce territoire, personne ne pourra le nier. Les histoires feront vivre cette rue à nous de l’écrire…
Pere_jean
Je marchais dans les ruelles sombres de la Cour des Miracles. Cela faisait près de deux semaines que j'étais sur les routes de France et de Navarre; n'ayant pas chômé en cours de route, j'avais plus qu'hâte de trouver enfin un lieu où passer la nuit et où me reposer. Et, à Paris, vu l'état de ma bourse, le seul lieu à ma portée pécuniaire était la Cour, lieu de débauche où la maréchaussée ne me virerait pas à coups de bottes aux fesses, au moins.

Le seul problème, c'est qu'on entre pas à la Cour comme ça; la trouver, en soit, n'est pas si dur, je n'avais eu qu'a suivre la trace de tous les mendiants, brigands, délesteurs de bourses, coupes-jarrets et autres ribaudes pour trouver le lieu dont la seule mention faisait pâlir plus d'un sergent du guet. Le spectacle une fois arrivé là-bas était proprement miraculeux; tel homme, aveugle, estropié, retrouvait la vue et gambadait comme un cabri; tel autre, manchot, pelotait des deux mains une fille de petite vertu. Je comprenais à présenter d’où venait le nom de cette zone de non-droit: ce n'étais autre qu'une gigantesque coulisse où venaient se changer les acteurs qui jouaient la grande pièce de la vie sur les pavés de Paris, pièce chaque jour semblable et différente à la fois, riche de l'improvisation de milliers d'acteurs qui y jouaient leurs souffrances, leurs joies, leurs peines, en un mot leur vie.

Mais, le tout n'est pas de la trouver, cette miraculeuse Cour, mais d'y rester. Il faut montrer patte blanche, louvoyer entre les différents clans ou, encore mieux, faire parti d'un d'entre eux. J'étais dans ce dernier cas. Jusqu'à l'arrivée dans le quartier des Basilisks, ma nouvelle famille, je n'avais pas eu d'ennuis. Mes cicatrices, ma carrure aussi avait dissuadé plus d'un voleur de risquer gros en s’attaquant à un va-nu-pieds comme moi, qui n'avait sans doute pour toute fortune que ses bras et un quignon de pain.

Après bien des hésitations, des demis-tours devant des culs-de-sacs et autres changements de trajet, je suis enfin parvenu dans ce qui semblait être la rue principale du quartier de mon nouveau clan. J'avais bien sûr entendu parler du ménage pour le moins expéditif que mes nouveaux frères d'armes y avait fait; d'ailleurs, des taches de sang séchés colorent toujours les pavés boueux et disjoints de la grande rue. De même le bucher, qui répandait encore l'horrible parfum de la chair brulée vive, l'odeur de suif et de graisse fondue.

J'aperçus quelques brigands surveillant la zone; ils ne m’arrêtèrent pas. Sans doute avaient-ils deviné, sous l'étoffe grossière du sarrau de toile, autre chose qu'un manœuvre ou un paysan, mais un des leurs: un guerrier. Le genre à ne pas faire de détail au combat, à obéir fidèlement. Mes employeurs sont ma seule famille, ma lame ma seule patrie, grâce à laquelle je gagne mon pain quotidien, le pain le plus dur et le plus amer qui soit, mais le seul que je puisse gagner au prix de ma sueur. Je ne savais que me battre: j'en avais prit mon parti, et puisque je me battais fort bien, puisque la Nature m'a donné des atouts physiques indéniables, j'en avais fait mon métier. Rude métier, mais qui conservait pour moi l'attrait de l'Aventure, de l'imprévue, la fin de la monotonie, et surtout cette fraternité d'armes unique, qu'aucune amitié ne peut surpasser. Fraternité écrite dans la douleur, sous les cieux de toute l'Europe, dans les cris des mourants, dans le lourd silence des veillées d'armes, quand nous savions que demain nous affronterons une fois de plus la Mort, et qu'elle emportera sans pitié les plus faibles, fraternité écrite dans le sang, dans la mort parfois, dans la joie souvent.

Je m'accroupis silencieusement au bord du bûcher flambant et, sortant de ma besace un petit fagot de menu bois et des pointes de flèches, j'entrepris patiemment de renouveler mes traits. La confection de ces projectiles demandaient de l'habitude, de l'adresse, de la débrouillardise et surtout de la patience; mais je ne manquait d'aucun. Je savais que ces dards mortels, que je mettrais des heures à faire et à empenner, seraient utilisés en quelques minutes d'affrontements. Je n'aurais ensuite plus qu'à me ré-atteler à ce travail toujours à recommencer de Sysiphe; mais là était notre vie à nous, qui vivons du sang que nos lames répandent; l'attente est toujours plus longue, plus effrayante, plus angoissante que l'instant où les fers se croisent. Mais nous, soldats, nous y sommes habitués, c'est notre raison d’être, de vivre. Nous nous jouons de nos nerfs toute notre vie, nous trompons la Dame Noire en sachant qu'un jour viendras notre tour où elle nous emmèneras sur les bords de l'Achéron, rejoindre tout ceux qui nous y on précédés, parfois par notre fer.

Nous autres, mercenaires, connaissons la fragilité de la vie. Nous avons tous vus un ami, un frère, tomber à nos côtés, nous connaissons mieux que tous la Mort, nous nous riions d'elle tant que nous le pouvons, mais un jour, ce sera notre tour de partir, mais nous partirons en hommes, l'épée à la main, tués en pleine charge, fauchés dans notre fougueuse et impétueuse jeunesse, et point comme un vieillard se cachant de la dame à la faux. Nous, nous courrons au-devant d'elle, nous la provoquons, comme une revanche, comme une dernière bravade jetée à l’Éternité.
--Bandits.basilisks
Le Basilisk nerveux se sa rencontre avec le maître, s’étire pour se détendre un peu avant de prendre la route vers la rue principale un sourire nerveux orne son visage, il n’a nullement envie de s’adresser seul au costaud d’ailleurs, il fait signe à deux hommes un peu plus gros que lui même de le suivre.

Le maître veut qu’on ramène le costaud qui est entré dan’l quartier… Y ma dit en chair et en os que j’avai l’droit d’faire s’que j’voulais pour le ramener ! Vous v’nez avec moi !

Les deux hommes de se regarder d’un regard complice, ils n’étaient pas nés de la dernière pluie et savait repéré un menteur à un kilomètre à la ronde. Ils n’étaient pas dans le crime pour rien.

Tu sais quoi ? Nous on s’en va là bas … là ou tu ne nous suivras pas comprit sale profiteur ?…

Mais non j’vous dit qui ma dit j’pouvais faire s’j’voulais aller venez ! Y s’ra pas content l’maître quand y va apprendre ça… !

Les deux hommes ne tiquèrent point lorsque les menaces furent crachées tel du poison, s’éloignant de plus en plus tournant à la première ruelle en vue. Le rat se remit en route, seul sous les étoiles fulminant vers un homme qui ne lui inspirait pas confiance.

Eh merdasse toujours a faire l'sale boulot...
Merdasse de merdasse !


Quelques ombres croisèrent sont chemin mais il n’avait d’autorité sur personne alors il se contentait de suivre sa route qui le mena très rapidement au fameux géant sur pattes. Il était vrai que comparé à lui le rat’’钒 passait facilement pour un enfant prpub . Sravancant vers le mastodonte, il tr cha se rattrapant au dernier moment. Par chance il avait le raexe aiguiset quelques autres talents cacht il nsavait pas l recruttour rien. Sourire nerveux au visage, il lui adressa la parole rassemblant tout son courage.

Le maee veut tlvoir alors l ton gros gigot d bèveuf du sol et suis moi !
Pere_jean
Je n'avais pus dormir cette nuit; tout au plus avais-je pus m'accorder spartiatement une heure de demi-sommeil, de celui qui ne vous repose qu'lrand' peine. je le savais, je n'avais encore point mis mes bras au service des Basilisks; pour les locataires de ce quartier, je ne devais pas valoir plus que ceux-lsont le sang ornait les murs. Les copeaux de bois jonchaient le sol autour de moi; mes doigts engourdis par le climat parisien, si diffant du soleil rayonnant de ma terre de naissance, s'aient couptsur une pointe de fl'e acee lorsqu'au point du jour, j'eèche on attention de ma fastidieuse tje. Nrmoins, pos en un petit tas bien align une vingtaine de floes sient peaufin , fignol ; Elles me compenseraient de celle que j'avais perdues en route en abattant de quoi me nourrir sans rner le maigre pele que dix annt passd ouer avec la Mort au service de la Castille m'avais procureme laissant comme un indigent si je nvecs eu mon talent de chasseur, et ma lame souer.

Je me ll et toise de haut l'homme, grossier et rustre, qui m'interpelle. Cet homme doit-ve un sous-fifre pour tenter de dsarger sa ranc,ur sur un nouveau. Hes pour lui, moi, je ne suis pas un paysan fraichement drrqu e la Province; j'aime l'ambiance de camaraderie entres compagnons d'armes, c'est elle qui nous fais oublier la mort partout prente, elle qui nous donne encore l'illusion dt e des ues humais quand nous ne sommes plus que des tueurs pour la populace, eux qui assisteront eotre duel contre la Faucheuse, chaque jour rqteeux encore qui recueilleront nos corps que nul femme, ni fianc ni parents ne viendront pleurer quand la mort gagnera. Je lui rendis de ma voix grave, profonde, agrnntee l'accent chantant du Sud de l'Europe:

On n'a pas garddes vaches ensemble e que je sache.

Je me penche, ramasse mes projectiles flambants neufs et les glisse dans un ri de cuir pendu ea ceinture.

Allons le voir votre "chef", mais je vous dinseille fortement de m'adresser une fois, une seule fois la parole sur ce ton. Si vous voulez vous doulez les ribaudes ne manquent point, ici.

Je le regarde, mon couteau de chasse dans la main. Estimant qu'il a compris qu'il ne m'en ferais pas baver comme n bleu, je le glisse dans ma ceinture. Puis je me dresse, le dominant de la t et des qules. A l'autre bout de la ville, loin n'est, le soleil se levait, rcauffant de ses rayons les ruelles endormies de Paris.

J'ai r si... Pensais-je. Le plus dur est fait, j'ai passoa premie nuit ici. La Cour ne m'aura pas engloutie, d=rmais ici j' luerais en pleine lumi.; j'ai passees eeuves que la Cour, cette insatiable mangeuse d'hommes auquel ne survivent que les plus forts et les plus dudr impose leux qui on l'outrecuidance de vouloir la dompter. La Cour est une eeuve permanente; seuls les plus acharn qivre dans ce cloaque, qui peut se montrer oa fois gxreux avec ceux qui ont rdsis ua domestiquer comme sans pitiuour les faibles, peuvent gagner le rare privil d'y vivre. Je me sens parfaitement dans mon à lment dans cette ambiance de perptelle remise en question, dans cette lutte pour la survie de chaque instant.. C'est d'un pas l r que j'emboite le pas au brigand qui doit m'amener au chef des Basilisks, ma future famille, et le moyen pour moi de tenir mon rang ici. Dans ce lieu, ma le bretteur le plus intr de et le plus talentueux ne peux survivre seul aux milles et un dangers que la Cour s'inge ettre sur son chemin; ici, la roe est l'entraide, pas tant pour vivre et monter en puissance que pour gagner le droit de survivre, pour gagner un mince sursis fa qelle qui fatalement nous emportera tous.
--Mire.rage
[Arrivadans ce quartier d'une manin peu princi0]

Drogu
OUAIS! Le rultat? Elle it devenue un jouet de luxure pour cet homme abject qui sans ord lui avait tout fait ce qui lit imaginable. Au d t elle avait bien sur refusn Qu'elle avait mordue. Sauf, que les gifles, le fouet .ient devenus monnaies courantes.

Un jour par contre, le 'prince' perdant son int t envers elle, ce qui ne lui avait pas dius s'tit retrouvedans cette posture, ligotn baillonnset devenant le jouet de ces ordures qui la conduisait dans le lieu des 'basiliks'.


Je vous que vous l'ameniez la bas, on saura comment bien l'accueillir et lui offrir le rlnfort qu'elle mnte. Avait clam'e 'prince' en aatant de rire. D'un rire monstrueux. Qui lui faisait bien comprendre, qu'elle n'"it pas au bout de ses peines.

C'eit donc sans urd, qu'au bout du compte, on la jeta sans aucune d/catesse, les mains liy dans le dos et les jambes tout aussi lip, coche roulant noute vitesse, dans une rue. La jeune femme attisa vulgairement sur la chausséta teine vue, faisant office de saucisson sur une rue otmporte qui pouvait la prendre comme bon lui semblait et l'amener oi semblait.

Elle devra apprendre, qu'elle n'avait encore pas le choix si elle dsrait survivre.
--Bandits.basilisks
Lwinsulte de l=homme atteint son objectif elle avait mis le rat en cola, cependant il se garderait bien de lui montrer. Il nonit pas de taille face Rn si imposant adversaire, son ma,> Le sourire pos ux ltes du rat se voulait plein dtanimositnil tourna dos au colosse et s’enfontdans les ruelles afin de rejoindre la taverne Crevarde.

Pendant ce temps, quelques hommes montait la garde dans le Quartier cherchant quelconque anomalie autre que la prunce de leur clan. Ils espiient tomber sur un chevalier perdu afin de lui faire la peau, ou simplement un cul-terreux trop bruyant pour alimenter le feu. Les deux hommes avanlent tel des ombres dans les ruelles, se mouvant avec agilitqt rapidement. Il avait les sens aux aguets jusqurau moment ou ils entendirent des voix un peu plus loin des pas raisonnint.

TACLAK TACLAK

Des chevaux ient fouetter durement ,une diligence, quelquiun fuyait les lieux Les deux hommes partirent une vitesse folle vers le lieu des bruits. Ils virent la diligence contournne feu de la rue principale et disparafe dans la nuit. Leurs regards sfentre crois8nt lorsquhils pernent une jeune femme ligotnet peu v e sur leur route. Des sourires carnassier illuminent leurs visages sombres des regards de pervers sans autre forme de politesse. Si cette jeune femme devait s inquirr ? Bien s e oui ! Elle ngeit pas tombnsur les plus doux des bandits Basilisks.

Tia vue ce qui a l lancçurour nous ? Un cadeau tombée u ciel Jtavais justement envie de me tremper le pinceau m Dieu est juste avec nous !

Les deux hommes rirent grassement devant la sc qui leurs avait q offerte gratuitement. Ciest queelle ait bien faite en plus de celau Tous deux ssapprochsnt petit /etit de la belle ligot= Un saucisson oui mais quel saucisson ! Loun des deux se frottait les mains pr’aa dsrer toute crue. Il nmavait qurune idnen t , siinser en elle pendant que son ami la forcerait >aire deautre chose tout aussi immonde. Lorsque le premier se dvda de la toucher entre les cuisses et caresser son petit corps divin baisant son pantalon dpilant sa virilit as si viril que l. Le deuxi. sninterposa

Non touche la pas, j ai une meilleure id Le mave sera snnt heureux dtavoir un jouet. On aura probablement un grade de plus pour lui avoir offert cette charmante demoisellee

Mais jcen ai tellement envie !

Range ton dard, elle nous sera plus utile si elle n est pas souilltta quelques maladies tu toen rappelle ? Je pense pas que le maie aura envie de les attraper.

Il en saura rien aller juste un peu !

Le bandit lui mordit une fesse, la tournant par la suite sur le dos pour quelle le regarde lui tripotant quelque peu les seins.

Aller regarde elle semble aimer i! Ceest que suest une fougueuse j aime l!

Il le saura lorsqu il verra tous ses petits boutons lui pousser tu sait ou et quuelles deviendront l ons je te conseille pas. On lui am !

Le bandit poussa son ami et posa la jeune femme sur son lule tandis queelle se d ttait. Tous deux partirent dans la direction de la taverne blemente
--Ziou.


- Ziou !

La joie de vivre. Sans doute.
Elle vit gr" époa dence, cette fabuleuse rousse.
C'est une gamine, sans aucun doute, pas la vingtaine, le visage juv"le. Pourtant, quelques matins, on lui aperot une fatigue, celle de ceux qui ont vs trop de choses, & ont perdu une partie de leur vie.
Oui, elle a perdu une partie de sa vie. Toute sa vie, lrai dire. Elle ne sait rien de ce qu'elle est, de qui elle est, de ce qu'elle devra ee. C'est une enfant de ml Folie, mais ms elle ne le sait pas.
Parce qu'elle est folle.
Daspument folle.

Mais il n'est pas temps de pleurer sur sa m,ire noy sur son esprit videepuis bien trop longtemps. Non, il est temps de manger.
Une pomme.
Parce qu'elle aime les pommes.
La pulpe de ses doigts s'attarde sur le fruit dandu, quelques instants de trop, & voil,u'il est arrachd son êtrl, les marchands s' iant de "au vol ! Au vol !".
Mais Folie est partie. Elle ne reste jamais longtemps.

Un rire cristallin fait tressauter sa gorge maigre tandis qu'elle sort suatre pattes du tonneau, pas tout nait vide, o,e s'eit regis Son regard vert & ppllant se pose quelques secondes sur le bas de sa longue robe grise, imbibtde bit frelatu & un nouveau rire accompagne la dduverte. Les fous se fichent d'ae bien prsntables.


- La voil/ 'ttrapez-moi c'te rousse du diable, 'ttrapez-moi lec'elle la voleuse, c'elle !!!

Un sursaut, elle ne prend pas le temps de se retourner que ses pieds nus glissent do sur les pavtboueux. Elle court, elle vole, elle se coule au travers de la faible foule matinale, son rire grisant franchissant perpeellement ses laes pleines & sucrs. Elle trfche, s'accroche aux badauds, rit encore, reprend sa course, pleine de vie, pleine de joie, parce que c'est jouissif de se faire courser ainsi pour une simple pomme.

Pourtant bient le silence reprend sa place, & les rues se font plus sombres encore, plus glauques, plus morbides. Il n'y a personne, si ce n'est quelques ombre furtives, trop rapides pour ee vraiment vues.


- Ooooh..

Ses grands yeux verts se sont ,rquilln & les bras en croix, elle tourne sur elle-me. Cette ambiance est si plaisante es yeux. La pomme est portr es dents d'un blanc batant malgr/on hygia douteuse - deil lnnant par ailleurs - & un morceau est happppar la bouche pulpeuse, le jus sucrplulinant sur son menton. r sent la pisse, les excrunts, la sueur & le sang, & la folle n'en est que plus affamr

- Ziou !

Nouvel rat de rire aprrque ce son mange a travers a gorge blanche. Le doigt pointeers une ruelle, lestrio mystseux tente de s'effacer. Alors elle court, elle court pour les rattraper, tr che, une fois, deux fois, trois fois, se reli, & crie en les pointant du doigt :

- Ziouuuu ! Ziouuuuuuuuuuuuu ! ZIOUUUUUU !!!

--Mire.rage
Mn pas le temps de pleurnicher sur son sort que d= des pas se font entendre. Des pas qui ne l'encouragent pas. Et les voix. Des voix obsc1s. Grivoises.

Mon dieu! Qu'ais-je fais pour m>ter >

Di on la bousculait, on lui t5it les cuisses, meme plus. Et sans vergogne un des homme lui montra en baissant sa braie toute sale son membre tout aussi drutant.

Les larmes lui mont nt aux yeux alors qu'un haut le corps it retenu de justesse. s'objecter nit inutile. Elle avait l'habitude maintenant. Mi qu'elle eut grtes paroles du plus sens Temporairement, mais c'pit de fde gagner. Du temps, des miettes qui lui tient donnlour se construire une apparence d'indiffsnce.

On la tourna, sur le dos pour sentir les sales pattes la toucher... qu'elle gst. Pensant le pauvre idiot que c'iit de plaisir. C' it de protestation. Mais si peu .... La suestration du 'prince' et ses vices avaient vraiment eux raisons qu'elle en iit encore docile.

C'est ainsi que trimballeomme un sac de bluur le dos de l'un des hommes, se dettant sans trop d'espoir et d'insistance qu'elle fit son entr dans un lieux qui ne lui disait rien de bon qui vaille.
Pere_jean
Je suivis le maigrelet dans les ruelles tortueuses, en m'efforet de graver le chemin dans ma mfire. Ce qui n'eis pas facile, la crasse, la boue, la saleteet 0et l

[Flashback...]

3 hommes aheval dans une campagne ensoleilliJe suis parmi eux. Je me vois, rajeuni de 10 ans, comme emprisonn ans un cauchemar sordide. Les 3 hommes, dont mon double, mettent pieds verre. Je m'avance; je ne suis ni fanttni ro; je suis de la mi matin que les r s, ou pluté, ue les cauchemars. Je vois un village en contrebas, quelques masures serrc les une contres les autres; un village nichmans un vallon verdoyant; les champs alentours sont bien tenus, propres. Je vois avec horreur mon double et ses deux compagnons descendre au petit trop vers le village. Je ne veux pas voir, la m ire me reviens, je sais ce qui va se passer: mais je ne contr plus mon corps, je vais te forco'assister ia scc qui va avoir lieu.

Les 3 mercenaires prennent le galop et arrivent en trombe sur la place du village. Un vieil homme -le chef dudit village, je le sait-, s'avance et parlemente avec les mercenaires. D'ici, je ne puis les entendre, mais je vois distinctement le chef de village faire un emnon. catorique de la t . Je vois alors mon double tirer ma lourde ue bcrde, et, la tenant ueux mains, dcpiter le chef de village d'un seul coup. Le vieillard s'effondre d'une masse, le sang dculine sur la place. Aussit es deux acolytes fondent sur les malheureux villageois, qui sont poursuivis dans les ruelles de leur village, promptement rattrap et abattus. Les femmes et les enfants se sont regiodans la petite à lise paroissiale; je vois avec horreur le cur e la bourgade se planter devant la porte. Je me vois face eui, seul leul. Les deux autres soudards poursuivent des dans les reins une poignad'hommes qui tente d'organiser dcspament une dinse. Je me vois sauter de cheval, mon se rouge de sang dans la main droite, et m'avancer vers le prue qui recule vers la porte de son use, terroris Mon double le rattrape en deux pas et, enfonce brutalement son arme dans le ventre du clerc, l'englant aa porte. Le malheureux se dlt, crachant du sang et rpnt, puis finis par tomber. Un des deux autres hommes revient avec une torche et la jette sur le toit de chaume de l' ise apr,en avoir bloquaes issues. Les 3 hommes se dispersent et pillent les maigres snomies des paysans ainsi que leurs stocks de nourriture. Ils remontent bheval; l'odeur de la chair brulrest horrible, suffocante. Les cris des brul vifs montent dans le ciel, je me bouche les oreilles, je ne veut plus entendre...



Je reviens oi. Je rsise que je m'tis appuyaontre un mur durant mon cauchemar eilllFort heureusement, eoir le visage interrogateur du brigand, je n'ai pas parlni criu/span>

Ce n'est rien, une simple fatigue. Allons-y maintenant.

Nous poussons la porte de la taverne. Mais je sais dmrmais que jamais je n'oublierais les horreurs de cette vie, et que le Juge Supri, Lui non plus n'a rien oublieet n'oublieras jamais. Il se joue de moi, veut me laisser en vie afin d'expier mon forfait. Il ne m'accordera pas la dcvrance de la Mort. Il peut paraitre fout de lutter contre un Dieu. Pourtant, si je veux vivre, c'est ce que je vais devoir faire. Me battre pour assumer mes actes. Je suis un tueur, j'ai choisi mon destin, c'est celui d'un vaurien, d'un routier, mais je resterais comme Un destin avec ses grandeurs et ses dvdences, ses moments de sublimes et d'horreurs, ses massacres et ses rires, sa camaraderie et la haine. J'ai choisi de travailler avec la Mort, elle ne veut pas de moi. Je continuerais donc baire moisson de corps comme d'autres font moisson de blaJe suis d rmais rrlu e battre comme jamais. Le peu de pitinue mon caur recelais encore vient de mourir, uffJar ma rrlution. Des massacres comme celui de mon cauchemar, j'en referais, si on m'en donne l'ordre. Puisque la Mort ne veut pas de moi, je me jetterais au-devant d'elle, je la doerais tant que je le peu encore, tant qu'elle ne survienne pas pour m'emporter, moi aussi, comme elle en a emport.ien d'autres. Je ne suis qu'un mercenaire, aussi vais-je me comporter comme un vstable routier et non plus comme un Condottiere relus aire le moins de dnts possibles nes adversaires, ses clients de demain. Je regarde l'homme assis.

Il paraique vous voulez me voir.
Vittore_morando
Ah! La dndence...

Il r ait une de ces atmosph"s que seules les forl anciennes savent cr>: les rayons de soleils perrts "ravers la cime des ch7s d1ilaient tout leur onirisme tandis qu'un profond silence riait, deine entrecoup=ar les chants d'oiseaux et autres bruissements de feuillages. Aussi, le spectacle qu'offrit un voyageur quelque peu =chen passant,  ied et seul, set endroit pr "-C'est un bon ch'val, qu'y disait l'aut'... Bon ch'val, bon ch'val... CANASSON D'MES DEUX, OUAIS!" En hurlant ainsi, le pauvre homme semblait s'adresser rn h e, ui il finit par lancer, avec un mouvement des plus fastidieux, sa bouteille suc=jusqu'oa lie. Aprsune nouvelle tirade toute aussi littnire et distinguy il tomba face contre terre en tentant vainement de retenir sa chute, r/sit pe mettre sur le dos, et s'endormit dans son lit de boue et d'herbes srses.

C' it moi. Il fallait me comprendre.

Je ne comptais mh plus les semaines qui me soraient de mon ancienne vie. Et quelle vie! Celle de Vittore Morando, un des capitaines de vaisseau les plus prometteurs de Venise! J'avais passaes plus grandes heures de gloire ombattre ses ennemis, mes gal s avaient rougis les flots os intsts de la Ssnissime s'xient vus menac, J'avais (presque) toujours accordboute ma dttion sa marine vhtienne, oui, et pourtant... Quelques vues divergentes avec mes supMeurs, qui finirent en profonds d ccords... Et la dhuverte de plusieurs cassettes dans ma demeure, dont le contenu n'aurait pas dmtrouver ll. Oui, j'avais peut-ue empruntcne partie des trers de guerre de la r blique, de temps iutres, l'homme est si faillible...

J'avais dnr, me faire passer pour mort pour éusapper sne potence bien role elle, et ensuite, que faire? Me faire pirate? J'avais combattu ses criminels toute mon existence durant, avait perdu des navires et des hommes sous leurs assauts, alors plutmtre pendu que de les rejoindre! Les mercenaires en revanche, je les connaissais, pour avoir navigui leurs cs, en devenir un ne me dnngeait pas. Mais il fallait fuir plus loin, encore plus loin, et oeer? Dans d'autres provinces italiennes? Le jeu des alliances aurait put m'ne fatal, et j'aurais m livrs mon ancienne patrie. L'empire Ottoman, nouvelle puissance navale de la Meterranu Je ne parlais pas un trase mot de turc. Le royaume de France? Piqes navigateurs que ses marins, si mauvais que mon aide serait la bienvenue et bien rande... Et ce n'lit pas tout, il y avait aussi ce petit bout de terre, avec son peuple fatn ar les flots: la Bretagne, et sa flotte puissante. C' it dsdà aje partais, abandonnant par la force des choses mes demeures, mes richesses, ma renommp; je partais, pour Breizh, son crachin, sa froideur, mais surtout l'espoir qu'elle incarnait pour moi, celui de restaurer une fiert rop vite perdue.

J'avais troqu es anciens habits, ra mode des grandes cours, pour une tenue plus... adapte et discrc aussi, quoiqu'elle ne me d aisait pas: un tabard sans manches brun foncsen cuir tout comme mes gants, surmontant une chemise blanche, un pantalon noir, des bottes me montant jusqu'aux genoux, et une cape d'un magnifique rouge sombre aeine d v'êtrde nombreuses reprises, on m'avait pris pour un chevalier en vadrouille, et il est vrai que seule me manquait l'ae pour complar le costume (j'avais avantageusement remplacdcelle-ci par une dague finement ouvragm plus facile vissimuler et treefficace dans certaines circonstances). J'avais au final tellement pris goises vsments que, malgrd' t inquiant de mes unomies, je ne m'en serais slr u'en tout dernier ressort, ma si la vente de ma ceinture alle seule aurait suffit oe nourrir plusieurs jours...

Bref, voil jn pis. Le moment que je vous contais fut sans nul doute le plus pitoyable d'une odyssnpourtant peu glorieuse: combien de nuite et de repas passddans des auberges piteuses n'avais-je pas paye ou uniquement en fausse monnaie? Je ne saurais vous le dire. En revanche, le cheval que j'qquais e'instant, lui, m'avait bien coutae vraies pics, et il m'avait fallu peu de temps pour me rendre compte de l'escroquerie: au bout de deux jours de chevauch cette fichue monture, effrayupar un gros faisan sorti en trombe des hautes herbes, s'eit cabru me faisant tomber cul par-dessus tu, avant de deler au triple galop... Histoire d'autant plus navrante que je n'avais rrsi emettre la main ni sur l'uidmni sur la volaille.

Je n'nis pas tout pait sur le chemin de l'Armorique, non: ma direction, pour le moment, )it Paris. En effet je devais d'abord avoir une idmde ce qu'avait é lffrir le royaume de France aux strates maritimes qui voulaient le servir. Et puis malgr es d nses limite au strict minimum, ma bourse uit d spfment vide: quelques semaines dans la capitale me donneraient peut-oe des occasions de me refaire... En attendant, une nouvelle nuit a belle oile m'attendait.

Le lendemain matin, je me r illai avec un mal de cr des plus virulents et la nette impression de sentir l'urine animale... Un bain sommaire au ruisseau le plus proche, quelques heures 'ontempler le spectacle d'un groupe de cerfs, en contrebas d'une paroi rocheuse en attendant que mes habits ne s ent, et je repartis d'un pas peu pressub n de marche en main, capuche remonto(quelques nuages commengent f'assombrir). A ce rythme, j'arriverai en ville pendant la nuit, pensais-je caison.
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N'allez pas croire que je dnrquais totalement 'improviste dans une des plus grandes cittd'Europe: je connaissais de longue date un quartier vivant, plutiauvre, certains diront malfamimais dans lequel j'iis 'eu pr sv trouver les renseignements que je cherchais, un g bon march t peut-ee ma cette pulsion sans cesse renouveltqui parcoure art s et veines des grandes villes (Dieu sait que j'ai toujours eu besoin de ce mouvement perp el, sans lequel je me noie trnvite dans les abysses de l'ennui). Je p.trais dans ce fouillis de ce que le genre humain a de plus sale, que l'on nomme plus communent nCour des miraclese, et au fur et aesure de ma progression, un doute me taraudait, d'abord ler et furtif, puis pesant et constant: et si il avait changuCe quartier au beau milieu de la Cour, je ne l'avais pas revu depuis de nombreuses ann , suffisamment pour lui laisser le temps de muer... Mais pourquoi l'aurait-il fait? Je n'avais pas de raison prese de le supposer. Excepte'instinct, vous savez, celui qu'on dit me ianimalc...

Dans mes souvenirs, cet ,t de chaleur humaine, au c ur d'un marasme non moins humain au fond, recelait plusieurs artisans dont j'aimais, par le passzadmirer le travail en flqnt par des aprtmidis ensoleill au possible, parfois sans mt rien acheter: le simple plaisir de se sentir vivre. Chose importante lorsqu'on doit trop souvent se consid r comme de mort pour se lancer dans une bataille... Lspas de soleil ni d'aprcmidi, le Crtscule imposait sa sombre clart 'ocre, et do la Nuit recouvrait les toits de son voile de deuil. Ici, plus d'artisans ni de fliries, la Vie avait couvert son visage dvgurnar les bres, et dans les bas-fonds l'Horreur imposait sa noire vomissure.

Mes doutes iient fondu a place des boutiques, je ne retrouve que des marques de suie m es aux sangs scl. La lueur d'un brasier danse sur la fase d'un coin de rue, chaleur humaine? Oui, en un sens... D'ailleurs, elle se sent, son odeur me prend a gorge. Je regarde par les fenaes: de nombreuses maisons sont vides. R limment, les pavs les murs, les portes d eulent le mt rouge carmin. Un carnage, sans nul doute. Mais de qui?

Les id se bousculent dans ma cervelle fatiguu quand un cri bref interrompt mes pens.. vient d'une petite ruelle, juste rs encore plus sombre que le reste du quartier, une ombre en sort, je me cache derril un recoin par rtexe, ma dague? Oa cette foutue dague?! C'est bon, juste lfvoilnvient lea jolie... Je la garde bien en avant, attend que la personne soit hors de mon champ de vision, ou plut 'inverse, et j'y vais, j'accours as de biche, passe dans la ruelle en question, c'est un cul-de-sac, et il est leOn le devine eeine dans la ppmbre, ce corps épundue de tout son long, je m'en approche. Je suis tout prrde lui quand je sens que ma botte trempe dans un liquide chaud, il fait si noir que je n'avais pas vu la flaque dde l'homme (c'est un homme), il faut dire que son rouge rui est plutaombre. Un jeune homme, une bonne vingtaine d'annt, toute la beautlue l'on peut avoir eet j, ch in je crois, un bourgeois, avec une tunique bleue magnifiquement brod'et une large entaille dans le bas-ventre. Il se vide, vite, trop vite. Rien aire. Le temps pour quelques mots de se glisser r'oreille: oJe suis letu n'es pas seul, je suis ln. b va alleri, pour un mince sourire de s'esquisser et ses lmes se figent. De deux doigts gantej'abaisse ses paupias. Bon sang, il est eeine moins beau dans sa mort.

Au bout de quelques minutes passée, luun genoux erre auprrde ce compagnon d'un instant, je me retourne et me rel en un sursaut, pointant ma dague en avant: quelqu'un vient de se mettre e'entradu coupe-gorge, ruelques m es. Mon arme, que j'avais plant dans le sol, est trempodu sang de la victime. Superbe! On va me prendre pour un ntreur, maintenant! Et bah scommence bien cette nouvelle carrii...

*Non, ce n'est pas une erreur d'accords involontaire...


Pere_jean
Je sort enfin de la ruelle sordide qui abrite la taverne des Basilisks. Je ne puis me rsudre ;enser "notre taverne". Je ne me suis jamais considn groupe; mis >art celui, bien entendu, de ceux qui vendent leurs vies au plus offrant. Ceux qui se battent non pour une cause, mais pour vivre. Risquer la mort pour vivre encore un peu... Triste paradoxe de nous autres, mercenaires et Condottieres. Je m"avance vers la rue principale. Je sais ce qu'il me faut faire; apr
Je prends la direction de la grande place du quartier Basilisks, passant devant de sombres rang de ruelles sordides et de taudis ou le sang de la grande purge coule encore. Ici et lwj'apergs un pourceau direr des restes putrides de corps. Je ne suis pas doutru spectacle: depuis bien longtemps l'horreur ne me fais plus fr r. Je passe devant une ruelle, semblable en tout point a multitude que j'ai croisouparavant. A une exception: je vois une silhouette y entrer, sans doute guide comme moi, par un rn sourd. Je connais ce gpssement plaintif: je l'ai entendu des centaines de fois sur tous les champs de batailles de Castille et d'Aragon. Je fais glisser mon grand arc anglais -1 mie 80, presque aussi grand que moi- de mon qule ea main gauche, attrape une flme sa taille et l'engage dans l'arc. Je meavance ensuite silencieusement jusqu n'entrude l' oite ruelle. J'en bouche presque totalement le passage iauteur de mes iules - qui est la hauteur de la tv de beaucoup d'hommes-; je tends la cordelette de l'arc et vise devant moi; j'aper s deux silhouette; l'une erre, sans doute le malheureux qui a pouss e re de mort, et un autre, bien vivant, à les cotv J'aperos de somptueux vfments -somptueux comparchon sarrau et aux habits d ireet rapiss de la majoritves habitants du quartier- ddvu Je pointe ma fl'e sur l'homme enoux devant le corps.


Hr! Donne-moi ton nom, que je sache qui je vais abattre!

Je ne plaisante pas; je suis effectivement relus luer l'homme deque celui-ci m'auras donn on identitpIl n'a rien naire dans le quartier si ce n'est pas un basilisks, ce qui n'est pas le cas. Je peste intpeurement contre la ncigence des gardes affects a surveillance du repp du clan.

[C'est fait en vitesse avant le d'rt pour les vacances, donc pas forcont du grand RP^^]
--La_precieuse
Elle avait debuleans ce quartier r=t our &e le moins freentable, le plus lugubre et sanglant. Elle s'eit attarde l'ar mise en place. Fort aust>. C'est ldue les idg avaient d'autan plus fusd. Marchant, presque sereinement dans cette rue qui pourtant n'dit gui accueillante. Elle avait reprit sa qup du ma>e des lieux. Un d mm alentine.
Elle ne l'avait pourtant jamais vu, jamais rencontr/Mais on lui avait recommandcet homme. S'approchant d'un vaste b"ment, qui semblait surveillielle le deilla. Son instinct lui dit que c'iit ici. Approchait-elle enfin du but ? Elle l'esp0it, car la patience n'"it guc son fort.

Arrangeant sa capuche, son masque, afin d' Un regard miant iroite, "auche.

Puis elle frappa a porte.

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Elmazilla
[Parce que l'Ange, ben c'est jamais que le Diable qui porte des ailes pour cacher sa queue fourchue...]

Elle court... Elle court comme elle court depuis aussi loin qu'elle s'en souvienne... Elle court pour sauver sa vie, encore une fois...

Au d/t, elle courrait pour e qu'elle fut trop malade pour se prostituer. Puis, le jour o/e ait morte, elle avait courru loin du taudis ode avait grandis pour s'ster de finir dans le lit de l'autre, ou de mourir sous les coups pour l'avoir refus . A 8 ans, elle s'tit retrouvgna rue... Et elle avait du apprendre "urvivre....

Mais il semble que la vie l'ai rendu particuliiment douppour cela. En effet, 0orce de courrir, son corps /it restiins, tout en muscle, taill2our la vitesse. Petite de nature, lere comme une plume, les doigts fins et agiles... Tout semble fais pour l'aider survivre en devenant une voleuse hors paire... Car dans les rues quand on est une fille, on a pas trente-six maniere de s'en sortir... Il faut voler, courrir vite pour s'enfuit, et savoir se dissimuler pour lter d'oe la proie des garts, souvent plus grands et plus fort.

Aujourd'hui est identique aux autres jours... Elle court parce qu'elle a chapardpne bourse et du pain. En haillons informes, nul ne peut distinguer en elle une adolescente malgr-a poitrine da bien formqt son corps de petite femme, d'autant plus qu'elle n'est pas grande, on la prendrait presque pour une enfant. Une couche de crasse inomable la recouvre. Ses longs cheveux sont collupar la saleteattach sommairement et dissimulesous un morceau de tissus. Tant qu'elle ne parle pas, tant que sa voix claire ne la trahit pas, elle passe pour un petit gare.

Elle tourne la tc, son poursuivant est toujours l acharned rmine la rattraper. Cela veut dire deux chose. Premiament son butin est plus important qu'elle ne le pensait, deuxiement l'homme ne renoncerait pas de sitd. Il fallait le semer.... Mais ces derniers temps, elle n'a pas eu de chance, trouvan peu de quoi se nourrir, r ite lendier parfois en imitant la voix d'un enfant pour donner piti . Mais mp lril y avait des semaines qu'elle n'avait pas mang sa faim et cela s'en ressentait. Elle ne pourait courrir indétaniment...

Elle sert dans sa main la bourse vol. la cachant machinalement au milieu de ses frusques, puis elle continue de courrir, autant qu'elle peut... Elle possede bien une petite lame pour se dundre des autres gamins des rues... Mais son couteau ne ferait pas le poids face e' e de l'homme qu'elle avait vu trop tard, une fois que ses doigts se furent referm sur la bourse.

Mais commen lui eapper ? Prenant un brusque virage mroite, elle dnule sur un quartier qu'elle connait bien pour l'avoir toujours tevec soin... Mo quand on est habitup mentir et voler, on vte cette endroit emplis de coupe jarret. La prudence veut qu'on ne franchit pas la ligne, la frontic entre la Cours des Miracles et le quartier de la Mort... Mais quand on a pas le choix...

L'adolescente fonce droit devant elle, advienne que pourra... Elle court et franchit la frontiq, invisible mais connu de tous... Elle entend son poursuivant qui s'arrc et renonce. Elle gagne cette fois encore. Un large sourire se dessine sur ses lé, es alors qu'elle s'arre de courrir enfin, victorieuse.

Mais le sourire s'aace quand une main ra poigne de fer s',ase sur son pule. La brutalitçon l' t pure... Elle a peur soudain et se dst. Elle essaie de mordre la petite tigresse, toute griffe dehors pour sauver sa vie. Mais une giffle bien sentis tiais de la calmer, la sonnant. La voix de l'homme qui l'a attrapest dur malgraon ton amusivisiblement il se reuit du mal qu'il peut faire.


Holion lapin... On dirait que tu as mis tes pieds ltifallait pas... C'est pas un endroit pour faire du tourrisme... On t'a jamais appris gamin ne pas t'aventurer dans le monde des grands miants...

Oui il s'amuse le salaud... Il la prend pour un garl, un gamin des rues. Il va la tuer... Et elle ne pourra rien faire art lui planter son couteau dans sa bedaine... dmoins qu'elle le lui mette dans la gorge, comme delle pourra s'eapper. Elle n'a pas peur de faire du mal, elle l'a d fais...

C'est alors qu'il l'attrape par les cheveux et tire dessus. Un cri lui uappe, d'une oix trop aigue pour un gare mu jeune. Ltoil rahie, malgraon deguisement de crasse qui l'a protv jusque l.Non seulement il va la tuer mais la violer avant... Et vu son rire satisfait, il s'en rruit d'avance. Alors comme ultime bravade, elle li fi,ment sa ti et plonge son regard dans celui de l'homme....

Qui se fige devant ce regard si particulier...

Deux yeux d'un vert unique, atant, beaux n damner un saint...

Et le duel de regard de commencer... Tant qu'elle saura le captiver, elle vivra... Alors surtout ne pas deurner les yeux...
--Bandits.basilisks
Observations

La sentinelle fait sa ut ronde, nous cherchons les incrustw Ceux qui nlont rien baire dans se quartier nous les cherchons nous posons des questions et nous les tuons si la ranse nsest pas suffisante. Habituellement elles ne le sont toujours si lgont se fierais 'es gueux. Mais nous savons dnnir qui ment et qui ne ment pas. Cela fait partie de notre mcer, il faut savoir tui faire confiance dans des p odes troubles comme celle de la cour des miraclesi Nos yeux se posent partout , un homme sa porte du Pit il recherche certainement la bonne ambiance des combats ill>ux cet endroit npest pas encore tr>connu mais bien vite il le sera. Un autre est entr ans une demeure" mais il "t"oincgar l1un des nrs bonne chosesUne jeune femme tambourine ne porte, sait-elle seulement qutil n y tersonne dans cette demeure ? Nos yeux se posent sur elle qui est-elle ? Caest une riche ! Sa sent la noblesse/ On la veut, on la prend.

Trois hommes se dirig"nt vers la demoiselle as de loup. Leurs ombres plus sombre que laombre de la nuit se refleis contre la porte martela

TOC TOC TOC

Ombre quselle du percevoir ou peut-te simplement le respire fort et bruyant de trois hommes en manque de / femme tel que cette dernii. Un rire gras coupe le silence tel une dague fendant laair. Luun des homme s:avance vers cette derniv sourire baveux au visage, il la sait faible face oui et ses deux amis. Il pose son regard dans celui de la belle lui d/oche son sourire le plus charmant pour ne pas l"effrayer trop taSe lbant la main il la posa dans ses cheveux brun souillte saleta

Je me nomme Barek et voici mes deux amis Greg et le rat
Nous nous demandions se qu:une fille tel que vous fais dans un endroit tel que le notre.
Vous savez qulil niy as personne dans cette demeure vous devez és.e une cousine tignedes dants de cette demeure pour ne pas savoir quuils sont morts par notre main l


Un sourire tout aussi gras que les rires qui se firent entendre illumina son visage dsune lueur inquiunte ou l assombrit tout compte fait. Attendant sa ranse bien patiemment car rien ne pressait, il la violerait si jamais la r nse ndeit pas suffisantec mais elles lurient toujours pour se sauver deun mauvais pas. Ses opportunistes ! Tsss on les pendraient !

Pendant se temps, nos yeux se posdnt ailleursp un jeune et fougueux petit couillon. Le colosse pose une main sur lanule du jeune. Cmest qu il se dot il me mord le petit morveux ! Lohomme lui mit une baffe en pleine gueule, de quoi calmer les ardeurs.

Holeon lapin... On dirait que tu as mis tes pieds l !fallait pas... C'est pas un endroit pour faire du tourrisme... On t'a jamais appris gamin te pas t'aventurer dans le monde des grands mrants...

Une envie lui prit de leattraper par la tignasse cette merdasse il allait le traer jusquoau chef pour voir se quiil aimerait en faire. Cnest qu>il criait vraiment comme une petite fille se mb Une fillette pas plus que ses propres enfants se dsila devant son regard. Une envie de la violer enclencha un rire cceit un beau brin de jeune fille il devait se leavouer mais posant ses yeux sur lui elle parvint eui faire penser ies propres enfants et il ngavait plus envie de rien hormis regarder ses yeux profond. Quelques secondes qui parurent sans fin sroulent.

Ta du bol de me faire penser es enfants sinon j'taurais montr 'est quoi un homme un vrai.

Le colosse empoigna la jeune vite fait et la plaesous son bras tel une miche de pain, dogr le position. Il luam rait devant son chef il naavait pas envie de deder de son sort
--Kate_e
Mais quelle mouche l'avait donc pique Quelle idtlui avait traversn'esprit ? Esprit assez complexe.
La jeune demoiselle se trouvait paris depuis quelques jours, et l'ennui avait os"rb sa peau dhcate. Elle tournait en rond dans l'immense chambre qui lui servait de prison dorParfois le soir, elle s'asseyait sur le rebord de la fen(e et gutait discrement les passants.
Paris 'it bruyant. Paris oit grand, Paris xit empli de secrets que la demoiselle voulait d6uvrir. Tous sans exception.
Elle n'aimait pas ne pas savoir. Curieuse /n point qu'elle oit trop souvent surveillston gop
Mais rien ne devait arriver iette hotit si parfaite.
On veillait sur elle comme sur une enfant malade. Et cela avait tendance p'agacer profondont.

Heureusement la nature, en plus de lui avoir offert un physique dont elle savait manier avec art, lui avait offert la plus belle arme qu'une femme pouvait poss/r en plus de quelques atouts.
De l'esprit.
Ne dit-on pas que la langue d'une femme est son =e, et qu'elle ne la laisse jamais rouiller ?
Ce dicton ait sans cesse travaillrar la jeune fille.
Et elle savait feinter afin de profiter de la vie, sans avoir toujours coll1 ses bottes "a dernii mode, une ribambelle de gardes.

La nuit prpdente, elle avait entendu deux ivrognes parler de la Cour des Miracles.
Encore cette fameuse Cour...
Ils disaient qu'ils devaient y retrouver leurs amis pour festoyer toute la nuit du lendemain, et slnt plus encore s'ils avaient de la chance.
Elle sutait attentivement, et retint qu'ils s'aient donn rendez-vous le lendemain, =a mw heure et mf endroit, pour s'y rendre ensemble.

Nouvelle lubie de la peste. Elle irait ulement. Elle devait voir ce qu'tit cette Cour.

Le lendemain, elle pr>xta une horrible migraine pour s'enfermer dans sa chambre, et ordonna qu'on ne la donge pas jusqu'au lendemain.

Une fois la porte fermt elle se prtpita sur la malle au pied de son lit, et sortie une houppelande noire, et tout l'attirail qui allait avec.
Bottines, capes, masques qui couvraient ses yeux et le haut de son nez, plumes, et une dague qu'elle glissa dans sa botte.

Elle pensait sans doute qu'ainsi vee elle passerait inaper , mais le tissu eient de trop bonne qualitrour ne pas de remarqutcomme l'allure de la jeune fille, hautaine et aristocratique. Fragile et effronti

Elle attendit un instant, puis se dirigea vers la fenie, l'enjamba et entreprit de descendre avec prudence.
Une fois au sol, elle se cacha dans l'ombre d'un mur et attendit les deux gueux de la veille.

Ils ne tardint pas prriver, et elle les suivit dans les ruelles sombres de Paris, avec autant de discrton qu'un chat.

Ses pas ient l/rs et dansant, et elle ressentait un lur sentiment de danger qui n'oit pas pour lui dnaire.

Mais bien vite, elle se retrouva dans d'autres ruelles, qui se croisaient et s'entrecroisaient.
Des ombres commencont aanser autour d'elle, et le sol devint aussi crade que des latrines non entretenues.
L'odeur lui prenait a gorge, et des rires effrayants fusaient de toute part.

Tout allait si vite, qu'elle finit par perdre de vue ceux qu'elle suivait.
Elle tentait de ne pas montrer sa crainte, et continua de progresser, jusqu'dtteindre une nouvelle ruelle, effrayante.
Une odeur de chair brmplanait dans l'air. Une impression d'avoir continuellement quelqu'un dans le dos, prerondir.

Oic it-elle arrivl?


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