Elmazilla
[Quand l'être humain se transforme en sac à patate puis en bête curieuse...]
Qu'y a-t-il de pire que d'être entre les mains d'une brute sans scrupule qui vous regarde fixement avec l'intention de vous violer ? Et bien il y a être entre les mains d'une brute sans scrupule qui vous transporte sous son bras sans ménagement pour vous mener à son chef parce qu'il ne peut décemment pas vous violer alors que vous ressembler à sa fille... C'est à plaindre la compagne et les enfants de cet homme...
Mais pour le moment, la seule que l'adolescente plains, c'est elle-même. Parce qu'elle n'a guère envie de rencontrer l'homme qui est à la tête de ce quartier mal famé... Mais visiblement elle n'a pas le choix... Vu que l'homme pèse trois fois son poids et qu'il l'a chargé sous son bras comme un vulgaire sac... Là aussi s'en est vexant... Il ne peut pas la laisser marcher ?
Mais plutôt que de l'énerver en se plaignant, elle se tait... Sait-on jamais si elle pouvait s'épargner une autre claque dans la figure. Elle se tait donc mais essaie déchafauder un plan d'évasion, serrant dans sa main son petit couteau qu'elle n'a pas lâché. Mais rien ne lui vient, à part planter l'arme dérisoire dans le bas du dos de son geôlier et prendre le risque de l'agacer plus qu'autre chose....
Aussi reste-t-elle plus ou moins tranquille alors qu'il la trimballe sous son bras... Puis il se stoppe, visiblement avant d'entrer dans un bâtiment. Il frappe un coup, pousse la porte. Des bruits s'élèvent, des choppes qui s'entrechoquent, des rires gras... Visiblement, c'est une taverne, pas la salle principale mais plutôt derrière... C'est sure que dans son état, elle ne mérite pas la grande porte.
Un autre homme salut le premier. Il s'exclame bruyamment quand son acolyte lui annonce sa prise. Voilà qu'on la remet sur ses pieds sans ménagement. Encore on l'observe, et une grimace de dégout s'affiche sur le visage peu engageant.
T'es sur que c'est une fille ? Faudrait peut-être la décrasser un peu avant de la montrer au chef non ? En plus elle pue...
Aussi tôt dis, aussi tôt fait. La voilà transbahutée à l'étage, où une femme sans douceur lui enlève ses guenilles en râlant après la couche de crasse qui la couvrait. Le bac d'eau est glacé, et le savon noir brule sa peau peu habituée au nettoyage. Âpres plus d'une heure de frottage intensif, voilà la pouilleuse qui prend forme humaine.
Debout nue dans la pièce, tremblotante, elle savère plus jolie que prévue. Mince quoi qu'un peu maigre de part les privations, elle a un corps bien formé, déjà femme avec ses petits seins et sa taille dessinée. Et son visage à la beauté peu commune, les traits fins, encadré de lourdes boucles brun-roux qui lui tombent finalement aux fesses... Et ses yeux, plus verts que jamais...
Impatiente, la femme lui enfile une chemise d'homme trop grande qui lui tombe à mi cuise et une corde pour ceinture. Elle la renvoie en bas comme ça, pieds nus, ses jambes fines offertes à la vue de tous. En chemin, elle a perdu son couteau... Plus moyen de se défendre... Son geôlier n'en revient pas en la voyant, elle est méconnaissable une fois propre.
C'est sous les quolibets des hommes qu'elle entre dans la salle de la taverne... C'est à moitié nue qu'elle sarrête devant la table, escortée par celui qui l'a attrapé. Et elle lève ses yeux pour observer enfin celui qui va décide de son sort.
Qu'y a-t-il de pire que d'être entre les mains d'une brute sans scrupule qui vous regarde fixement avec l'intention de vous violer ? Et bien il y a être entre les mains d'une brute sans scrupule qui vous transporte sous son bras sans ménagement pour vous mener à son chef parce qu'il ne peut décemment pas vous violer alors que vous ressembler à sa fille... C'est à plaindre la compagne et les enfants de cet homme...
Mais pour le moment, la seule que l'adolescente plains, c'est elle-même. Parce qu'elle n'a guère envie de rencontrer l'homme qui est à la tête de ce quartier mal famé... Mais visiblement elle n'a pas le choix... Vu que l'homme pèse trois fois son poids et qu'il l'a chargé sous son bras comme un vulgaire sac... Là aussi s'en est vexant... Il ne peut pas la laisser marcher ?
Mais plutôt que de l'énerver en se plaignant, elle se tait... Sait-on jamais si elle pouvait s'épargner une autre claque dans la figure. Elle se tait donc mais essaie déchafauder un plan d'évasion, serrant dans sa main son petit couteau qu'elle n'a pas lâché. Mais rien ne lui vient, à part planter l'arme dérisoire dans le bas du dos de son geôlier et prendre le risque de l'agacer plus qu'autre chose....
Aussi reste-t-elle plus ou moins tranquille alors qu'il la trimballe sous son bras... Puis il se stoppe, visiblement avant d'entrer dans un bâtiment. Il frappe un coup, pousse la porte. Des bruits s'élèvent, des choppes qui s'entrechoquent, des rires gras... Visiblement, c'est une taverne, pas la salle principale mais plutôt derrière... C'est sure que dans son état, elle ne mérite pas la grande porte.
Un autre homme salut le premier. Il s'exclame bruyamment quand son acolyte lui annonce sa prise. Voilà qu'on la remet sur ses pieds sans ménagement. Encore on l'observe, et une grimace de dégout s'affiche sur le visage peu engageant.
T'es sur que c'est une fille ? Faudrait peut-être la décrasser un peu avant de la montrer au chef non ? En plus elle pue...
Aussi tôt dis, aussi tôt fait. La voilà transbahutée à l'étage, où une femme sans douceur lui enlève ses guenilles en râlant après la couche de crasse qui la couvrait. Le bac d'eau est glacé, et le savon noir brule sa peau peu habituée au nettoyage. Âpres plus d'une heure de frottage intensif, voilà la pouilleuse qui prend forme humaine.
Debout nue dans la pièce, tremblotante, elle savère plus jolie que prévue. Mince quoi qu'un peu maigre de part les privations, elle a un corps bien formé, déjà femme avec ses petits seins et sa taille dessinée. Et son visage à la beauté peu commune, les traits fins, encadré de lourdes boucles brun-roux qui lui tombent finalement aux fesses... Et ses yeux, plus verts que jamais...
Impatiente, la femme lui enfile une chemise d'homme trop grande qui lui tombe à mi cuise et une corde pour ceinture. Elle la renvoie en bas comme ça, pieds nus, ses jambes fines offertes à la vue de tous. En chemin, elle a perdu son couteau... Plus moyen de se défendre... Son geôlier n'en revient pas en la voyant, elle est méconnaissable une fois propre.
C'est sous les quolibets des hommes qu'elle entre dans la salle de la taverne... C'est à moitié nue qu'elle sarrête devant la table, escortée par celui qui l'a attrapé. Et elle lève ses yeux pour observer enfin celui qui va décide de son sort.