--Maskarade
Folie suivit de folie égale perte de contrôle.
La folie est un concept assez jolie.
Tragédie ou Comédie ?
Finirait-elle en un cri ou tel une amie ?
Aucun signe de vie, je la terrifie.
Dois-je crier ? Ou peut-être linjurier ?
Non la laisser, elle semble mystifier.
Je me retourne devant autant dinactivité.
Laissant la pauvre muette contre son mur mendier.
Pour me retrouver nez à nez avec une rousse aliénée.
Elle me regarde de ses grands yeux globuleux pleins despoir.
Vais-je la décevoir ?
Je sais de qui il sagit, elle ne me connaît pas, pas concrètement, mais moi oui.
Jai suivis les faits et gestes des membres du clan depuis les derniers mois.
Cela me donne une bonne idée de leurs comportements et de leurs loyautés.
Cette petite tornade ne cesse de tuer depuis quelle en à reçu lordre, laissant une traîner de cadavres derrière elle.
Dailleurs elle donne la tête à la jeune femme qui mendiait.
Sa tuerie brille par labsence de technique.
Elle tue tel un enfant, décapitant des poulets.
COT COT COT !
Cesse de mimportuner petit poulet de malheur !
Je dois me Cotcotrer.
Me concentrer que dis-je.
Je me tiens bien droit, les deux pieds bien encrés dans une flaque deau gelé par la neige.
Sensation désagréable qui me parcours les mollets à linstant mais je nen tiens pas rigueur je regarde à travers mon masque la rousse qui nattend quune phrase.
La seule phrase qui pourrait redonner un sens à son existence si minable, si adorable...
Tragédie, comédie ? .. Tragédie ! Disons minable !
Je prend une grande respiration, me racle la gorge et métouffe subitement.
Je tousse, je tousse tout en portant un poing fermé devant mon masque.
CUFF CUFF
Cela na pas réel utilité puisquil ny a pas de trou pour ma bouche.
Simple réflexe dun passé pas si lointain.
CUFF CUFF
Je métouffe je métou .
Non tout va bien.
Je pointe la rousse dun doigt inquisiteur pendant une bonne trentaine de secondes.
Je prend plaisir à faire monter le suspense juste pour lembêter.
Je penche la tête légèrement sur le côté et lui décoche nonchalamment.
Eh bien ! Salut ! Quest-ce que tu veux bien que je te dise ?
Accompagnant mes paroles dun geste délicat de la main de droite à gauche.
Jarrache la tête des mains de la mendiante il sagit de lhomme que jai bousculé quelques instants plus tôt.
Sûrement un admirateur secret de mes pièces de théâtre.
Tout en regardant la tête, je lui demande.
Voulez vous répondre à la jeune dame ?
Ne soyez pas gêné mon ami !
Arrêter de la regarder avec cet air dinconscient et souriez un peu cela ne fera pas de mal.
Le tout dit en appuyant sur les yeux de la tête cadavérique pour les remettre dans la bonne direction et tirant sur ses lèvres afin quelles forment un sourire quasi parfait.
Voilà qui est mieux.
Maintenant dites ce que vous vous obstinez à ne pas dire juste pour lembêter.
Lune de mes mains se pose dans la trachée de la tête afin de la tenir et lautre active sa mâchoire.
Dun geste habile de la main et mes grands talents de ventriloque va savoir pourquoi je fais parler la tête.
Vous cherchez Valentine ?
Il est vivant de un.
De deux, il est à la taverne Crevarde.
De trois, vous êtes vous évadé de lasile ?
Car vous avez un très drôle de comportement !
Vous savez je crois quil existe des traitements chocs pour ce que vous avez.
Je me tourne brusquement tout en laissant tomber la tête au sol.
Je fuis ce lieu et cette folie avant de me stopper net au détour d'une ruelle.
Il y a des gens qui ne sont pas normal cest moi qui vous le dit.
Prochaine fois que jen rencontre une comme ça, je vous jure que je ne lui parles pas.
Tes idiot ou tu le fais exprès ?
Idiot qui tu traites didiot ?
Toi peut-être, crétin !?
Ah bon je croyais que tu parlais à quelquun dautre ¸
Ma foi si javais su
La folie est un concept assez jolie.
Tragédie ou Comédie ?
Finirait-elle en un cri ou tel une amie ?
Aucun signe de vie, je la terrifie.
Dois-je crier ? Ou peut-être linjurier ?
Non la laisser, elle semble mystifier.
Je me retourne devant autant dinactivité.
Laissant la pauvre muette contre son mur mendier.
Pour me retrouver nez à nez avec une rousse aliénée.
Elle me regarde de ses grands yeux globuleux pleins despoir.
Vais-je la décevoir ?
Je sais de qui il sagit, elle ne me connaît pas, pas concrètement, mais moi oui.
Jai suivis les faits et gestes des membres du clan depuis les derniers mois.
Cela me donne une bonne idée de leurs comportements et de leurs loyautés.
Cette petite tornade ne cesse de tuer depuis quelle en à reçu lordre, laissant une traîner de cadavres derrière elle.
Dailleurs elle donne la tête à la jeune femme qui mendiait.
Sa tuerie brille par labsence de technique.
Elle tue tel un enfant, décapitant des poulets.
COT COT COT !
Cesse de mimportuner petit poulet de malheur !
Je dois me Cotcotrer.
Me concentrer que dis-je.
Je me tiens bien droit, les deux pieds bien encrés dans une flaque deau gelé par la neige.
Sensation désagréable qui me parcours les mollets à linstant mais je nen tiens pas rigueur je regarde à travers mon masque la rousse qui nattend quune phrase.
La seule phrase qui pourrait redonner un sens à son existence si minable, si adorable...
Tragédie, comédie ? .. Tragédie ! Disons minable !
Je prend une grande respiration, me racle la gorge et métouffe subitement.
Je tousse, je tousse tout en portant un poing fermé devant mon masque.
CUFF CUFF
Cela na pas réel utilité puisquil ny a pas de trou pour ma bouche.
Simple réflexe dun passé pas si lointain.
CUFF CUFF
Je métouffe je métou .
Non tout va bien.
Je pointe la rousse dun doigt inquisiteur pendant une bonne trentaine de secondes.
Je prend plaisir à faire monter le suspense juste pour lembêter.
Je penche la tête légèrement sur le côté et lui décoche nonchalamment.
Eh bien ! Salut ! Quest-ce que tu veux bien que je te dise ?
Accompagnant mes paroles dun geste délicat de la main de droite à gauche.
Jarrache la tête des mains de la mendiante il sagit de lhomme que jai bousculé quelques instants plus tôt.
Sûrement un admirateur secret de mes pièces de théâtre.
Tout en regardant la tête, je lui demande.
Voulez vous répondre à la jeune dame ?
Ne soyez pas gêné mon ami !
Arrêter de la regarder avec cet air dinconscient et souriez un peu cela ne fera pas de mal.
Le tout dit en appuyant sur les yeux de la tête cadavérique pour les remettre dans la bonne direction et tirant sur ses lèvres afin quelles forment un sourire quasi parfait.
Voilà qui est mieux.
Maintenant dites ce que vous vous obstinez à ne pas dire juste pour lembêter.
Lune de mes mains se pose dans la trachée de la tête afin de la tenir et lautre active sa mâchoire.
Dun geste habile de la main et mes grands talents de ventriloque va savoir pourquoi je fais parler la tête.
Vous cherchez Valentine ?
Il est vivant de un.
De deux, il est à la taverne Crevarde.
De trois, vous êtes vous évadé de lasile ?
Car vous avez un très drôle de comportement !
Vous savez je crois quil existe des traitements chocs pour ce que vous avez.
Je me tourne brusquement tout en laissant tomber la tête au sol.
Je fuis ce lieu et cette folie avant de me stopper net au détour d'une ruelle.
Il y a des gens qui ne sont pas normal cest moi qui vous le dit.
Prochaine fois que jen rencontre une comme ça, je vous jure que je ne lui parles pas.
Tes idiot ou tu le fais exprès ?
Idiot qui tu traites didiot ?
Toi peut-être, crétin !?
Ah bon je croyais que tu parlais à quelquun dautre ¸
Ma foi si javais su