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Rue Principale

--Maskarade
Folie suivit de folie égale perte de contrôle.



La folie est un concept assez jolie.
Tragédie ou Comédie ?
Finirait-elle en un cri ou tel une amie ?
Aucun signe de vie, je la terrifie.
Dois-je crier ? Ou peut-être l’injurier ?
Non… la laisser, elle semble mystifier.
Je me retourne devant autant d’inactivité.
Laissant la pauvre muette contre son mur mendier.
Pour me retrouver nez à nez avec une rousse aliénée.
Elle me regarde de ses grands yeux globuleux pleins d’espoir.
Vais-je la décevoir ?

Je sais de qui il s’agit, elle ne me connaît pas, pas concrètement, mais moi oui.
J’ai suivis les faits et gestes des membres du clan depuis les derniers mois.
Cela me donne une bonne idée de leurs comportements et de leurs loyautés.
Cette petite tornade ne cesse de tuer depuis qu’elle en à reçu l’ordre, laissant une traîner de cadavres derrière elle.
D’ailleurs elle donne la tête à la jeune femme qui ‘’mendiait’’.
Sa tuerie brille par l’absence de technique.
Elle tue tel un enfant, décapitant des poulets.
COT COT COT !
Cesse de m’importuner petit poulet de malheur !
Je dois me Cotcotrer.

Me concentrer que dis-je.
Je me tiens bien droit, les deux pieds bien encrés dans une flaque d’eau gelé par la neige.
Sensation désagréable qui me parcours les mollets à l’instant mais je n’en tiens pas rigueur je regarde à travers mon masque la rousse qui n’attend qu’une phrase.
La seule phrase qui pourrait redonner un sens à son existence si minable, si adorable...
Tragédie, comédie ? .. Tragédie ! Disons minable !
Je prend une grande respiration, me racle la gorge et m’étouffe subitement.
Je tousse, je tousse … tout en portant un poing fermé devant mon masque.
CUFF CUFF…
Cela n’a pas réel utilité puisqu’il n’y a pas de trou pour ma bouche.
Simple réflexe d’un passé pas si lointain.
CUFF CUFF…
Je m’étouffe … je m’étou….
Non tout va bien.
Je pointe la rousse d’un doigt inquisiteur pendant une bonne trentaine de secondes.
Je prend plaisir à faire monter le suspense juste pour l’embêter.
Je penche la tête légèrement sur le côté et lui décoche nonchalamment.
Eh bien ! Salut ! Qu’est-ce que tu veux bien que je te dise ?
Accompagnant mes paroles d’un geste délicat de la main de droite à gauche.
J’arrache la tête des mains de la ‘’mendiante’’… il s’agit de l’homme que j’ai bousculé quelques instants plus tôt.
Sûrement un admirateur secret de mes pièces de théâtre.
Tout en regardant la tête, je lui demande.
Voulez vous répondre à la jeune dame ?
Ne soyez pas gêné mon ami !
Arrêter de la regarder avec cet air d’inconscient et souriez un peu cela ne fera pas de mal.

Le tout dit en appuyant sur les yeux de la tête cadavérique pour les remettre dans la bonne direction et tirant sur ses lèvres afin qu’elles forment un sourire quasi parfait.
Voilà qui est mieux.
Maintenant dites ce que vous vous obstinez à ne pas dire juste pour l’embêter.

L’une de mes mains se pose dans la trachée de la tête afin de la tenir et l’autre active sa mâchoire.
D’un geste habile de la main et mes grands talents de ventriloque ‘’va savoir pourquoi …’’ je fais parler la tête.
Vous cherchez Valentine ?
Il est vivant de un.
De deux, il est à la taverne Crevarde.
De trois, vous êtes vous évadé de l’asile ?
Car vous avez un très drôle de comportement !
Vous savez je crois qu’il existe des traitements chocs pour ce que vous avez.

Je me tourne brusquement tout en laissant tomber la tête au sol.
Je fuis ce lieu et cette folie avant de me stopper net au détour d'une ruelle.
Il y a des gens qui ne sont pas normal c’est moi qui vous le dit.
Prochaine fois que j’en rencontre une comme ça, je vous jure que je ne lui parles pas.
T’es idiot ou tu le fais exprès ?
Idiot qui tu traites d’idiot ?
Toi peut-être, crétin !?
Ah bon je croyais que tu parlais à quelqu’un d’autre… ¸
Ma foi si j’avais su…
--Ziou.


- Ziouuu..

On lui en demande trop. Elle, elle ne comprend pas.
Le malheur, elle ne comprend pas. La douleur, elle ne comprend pas. La peur, elle ne comprend pas.
Et pourtant, c'est bien ce qui la rend si heureuse.
On n'est jamais si heureux que dans le malheur des autres, n'est-ce pas ?


- Ooooh..

Elle le regarde s'étouffer, approchant son visage de son masque jusqu'à presque s'en cogner le front.
Plus qu'une inquiétude quelconque qui traverse ses pupilles dilatées, c'est de la curiosité, une curiosité toute innocente.
Il peut bien retarder sa réponse tant qu'il veut, elle s'intrigue d'autre chose, désormais.


- Masque.. Masque..

Eh, oui, comment pourrait-il bien respirer sous ce masque !
Folie s'éloigne sous le doigt inquisiteur, pas si folle que ça, la guêpe, & fixe son doigt, la bouche toujours ouverte en un O presque parfait.
Elle ne réagit pas, restant prostrée dans cette posture désagréable d'idiote parfaite, un peu penchée du côté droit sous le poids de sa hache.
C'est que c'est lourd, un truc comme ça.

Folie suit Maskarade des yeux, sans le lâcher, obnubilée. Il respire une folie que les autres n'ont pas.
Il est fou, mon dieu qu'il est admirablement fou lorsqu'il se met à faire parler la tête.
Folie éclate de rire, Folie tape des mains, Folie sautille sur ses pieds chaussées de petites bottines, Folie en veut encore, encore..


- Encore, encore, encore !

Mais non, il ne veut plus, & déjà il s'enfuit.
On ne fuit pas une Folie qui vous poursuit. On ne s'en cache pas, non plus.


-Trouvé !

Le cri est lancé sur la silhouette devant qui elle s'est arrêté.
Elle dresse sa hache, prête à appliquer le gage réservé à ceux qui ont perdu, & s'arrête net.
Folie doit retrouver son Roi. Elle n'a pas de temps à perdre.


- Toi, cherches mon Roi ?

Viens lépreuse, je t'y mène, ça m'arrangerait, & je pourrais toujours te trancher la tête pour l'offrir à mon Maître.
Parce qu'évidemment, la tête de l'érudit ne vaut plus rien. Le sang est presque froid.
Sans attendre de réponse, les bottines claquent sur le pavé, tournant le dos à la lépreuse pour s'échapper vers la taverne Crevarde.
Elle fait un boucan monstre, la rouquine, sautillant de tous côtés, riant à ses longues cadenettes qui fouettent son dos, à sa hache qui siffle en découpant l'air.
Il faudrait être fou pour ne pas la suivre.

______________________________________________________
Andrea_
Arrivée. Elle était arrivé la chiasse.
Comment ?
Pourquoi ?
Quand ?

C'était pas vraiment l'heure de s'poser des questions non ?


Bref elle était là et bien là.
Une ruelle mal fâmée comme elle n'en cotoyait pas souvent - elle plutot habituée aux " feux de la rampe", une ruelle poussiéreuse et sombre qui bizarrement à son arrivée s'était éclairée d'une lumière quasi divine. Le miracle de la vie, le miracle Andrea. Elle est dans la place.

Elle aurait bien fait elle même les douze coups - c'est bien douze?- de bâton sur les pavés pour prévenir de l'arrivée royale, enchaîné sur l'imitation d'une foule en délire l'acclamant, mais ... pfiou après un tel voyage elle avait la flemme.
Alors elle se contente de prendre une pause victorieuse, un pied posé sur une pierre sortie d'on ne sait où, les mains sur les hanches, les poumons fièrement en avant, le menton relevé et le museau au vent avec quand même la folle envie de sortir un TINDAMMMMMMMm

Elle chanterait bien un p'tit truc, mais c'est vraiment trop glauque, et elle est à jeun depuis bien trop longtemps pour ça.
A peine le temps de balancer Berdol, y a pas un pélos ici ? Et elle se remet à marcher.
Elle entend des voix au loin elle irait bien, mais faut pas abuser, elle a plusieurs noeuds dans les pattes, faudrait pas l'oublier. D'ailleurs elle est tellement fatiguée que les p'tites voix dans sa tête se taisent... ça cache quelque chose...


Elle arpente donc la ruelle, en long en large et en travers, son regard acier se perdant de temps en temps sur des détails sans importances, la démarche plus ou moins sûre, le fessier se balançant autant que la largeur de l'impasse. Les cheveux chataîns -lisses et soyeux- reposants sur ses épaules, celle qu'on appelle La Colombe attend.

Ce qu'elle attend ?
Pourquoi ?
Et dans combien temps ça doit arriver ?

On va pas r'partir dans les questions quand même !

_________________
--Maskarade
La vie n'est pas toujours jolie, j'en suis la zizanie.



Petit oiseau, cherches pas t’es plus dans ton nid.
On ta couper les ailes au couteau, je te laisse en pleine agonie.
Petite colombe aux yeux bleus, bleu comme les cieux.
Tu finiras au bout d’un pieu, je ne suis pas cordon-bleu.
Pour qui te prend tu ? Tu risques d’être abattu.
Ici l’on ne se promène que lorsque l’on à quelque chose à y faire.
Pour y rester tu devras essayer de me plaire.
J’ai l’impression que tu détonne, avec ce que cet endroit sélectionne.
Je dois t’avouer que je me questionne, dans ma tête les idées tourbillonne.
Au nom des tueurs populaires, ta place ne serait-elle pas dans un livre d’art culinaire ?

Je cours depuis déjà un bon moment.
Depuis que ma tête ma dit que j’étais un crétin en fait.
TOC TOC TOC TOC
Chacun des mes pas claquant contre les galets de la cours des miracles raisonnent en écho contre les murs des ruelles.
Je ne prendrai repos, que lorsque j’aurai trouver ce que je cherches.
Qu’est-ce que je cherches d’ailleurs ?

Ta mère …
Dans la vulgarité vous ne faites pas mieux mon cher.

Je m’arrête net devant une bâtisse délabrée.
En fait la vrai raison de mon arrêt est que j’ai faillis glisser sur une petite plaque de glace formée principalement de pisse et d’eau.
La neige tombe en petit flocons tout autour de moi, j’admire, l’occasion ne ce présente pas souvent .
Ma main se porte automatiquement sur le manche de mon sabre, alors que j’entend une voix qui ne m’est pas familière.
Je me réfugie au coin d’une bâtisse d’un mouvement rapide et agile.
Un coup d’œil dans la direction de l’indésirable et j’en déduis qu’elle n’est pas bien dangereuse.
J’échappe même un rire symphonique derrière mon masque d’épouvante.

Hihihi.
Je vais te couper les ailes petite.
L’agonie sera lente.


Je la suis pendant un bon moment ne me laissant surprendre aucunement.
Je me fais silence, discret et prudence.
J’amorces mon attaque surprise, je connais ces ruelles comme ma poche rien ne m’échappe.
Escaladant la façade nord d’une ancienne boutique, je me hisse sur le toit sans grande misère.
Je saute de toits en toits me laisse glisser le long des toitures jusqu’à arriver à hauteur de la jeune femme.
C’est alors que je m’adressai à cette dernière haut et fort.
Laissant percevoir une silhouette masculine, de forte musculature, de bonne grandeur le tout sous une cape rouge et en avant plan un masque des plus troublant.

La vie n’est qu’une succession hasardeuse d’événements plus ou moins douteux.
L’événement douteux ici c’est MOI !


Dis-je en me pointant du doigt.

N’êtes vous pas d’accord ?
Le destin à voulu vous conduire à moi, du moins pas tout à fait, je l’ai forcé un tout PETIT PETIT peu !
Sachez qu’autant chez vous vous êtes une aventurière sans peur, ici vous n’êtes RIEN.
HAHAHA.
RIEN qu’une petite vagabonde qui à trouver les problèmes.
Avant que je ne passe à l’acte premier de ma scène dont je vous assure la tragédie…
Voudriez vous me dire la raison de votre étrange présence ?
Vous n’avez rien de ce que nous avons, cette lueur de folie qui fait de nous se que nous sommes.
Sans oublier le talent.
HIHIHI
Pour être franc je ne crois pas que vous sauriez vous fondre dans la masse.
Alors j'attend, expliquez vous.


Je pose mes yeux sur celle qui me paraît comme étant mésirable pour le moment.
La dévisageant sachant pertinement qu'elle ne peut en faire autant.
Mes doigts sur le manche de mon arme se ressèrent prêt à tuer si elle faisait un mouvement de trop.
Ma position étant largement plus avantageuse que la sienne, elle répondrait sans nul dout au questions soulevées.
Si seulement, elle avait une once de jugeote.
Va savoir.
Andrea_
Patience est mère de toutes les vertus. Ouai... donc comment moi, chiasse royaumale j'ai pu passer à côté hein ? faudra m'expliquer - un jour-.

Je passe et repasse sa main dans mes cheveux pour enlever le moindre petit noeud qui aurait pu s'y trouver, me tapote les joues pour faire ressortir un semblant de rosé sur cette peau diaphane, remonte rapidement mes cheveux en chignon - juste pour m'occuper- lisse ma houppelande, vérifie que l'auréole brillante au dessus de ma tête est bien en place... Bref tous ses gestes traduisent mon impatience-même le ptit cliquetis avec la langue ! Et y a pas à dire, je détonne avec l'endroit. Je prends même le temps d'admirer mon merveilleux reflet dans une flaque d'un liquide dont je ne veux vraiment pas connaitre la teneur - lo'deur suffit croyez moi. Inutile de dire que je me trouve jolie ? inutile. JE suis la perfection et c'est pas donné à tout le monde.

C'est toujours dans ces moments là qu'le p'tit démon auréolé et le p'tit ange caudalement pointu - hahum...- se pointent. Ils apparaissent dans des moments de doute, ou d'ennui intense. En l'occurence, aucun doute. Puisque pour douter il faut deux avis divergents -mais j'suis pas là pour donner des leçons- et qu'à cet instant, j'sais pas pourquoi j'suis là. J'y suis, espérons que les rats savourent ma présence.
Si ce n'est pas un moment de doute c'est donc un moment de?.. de ??... d'ennui intense. Regard sur l'épaule droite, regard sur l'épaule gauche, les deux sont là. On va pouvoir enfin discuter.



Un joooouurrr mon prince viendraaaaaaaa

TOC TOC TOC TOC


Quelqu'un approche...
Laferme, ou j'ten colle une, laisse la chanter elle y croit fort
T'as vu la gueule du dernier ? pitié...
Bah... une fois qu'elle s'en est occupé il était plutôt pas mal ! tais toi j'te dis...
Peut être... mais y a quelqu'un...qui approche... Hey la chiasse t'as un fils?


Les gars... je chante là, si ça vous plait pas vous dégagez, j'en connais des tas qui donneraient tout ce qu'ils ont pour ne serait ce que me toucher hein...
Un jooouuuur il me diraaaaaa


Qu'y a quelqu'un qui approche ?
Rhaaaaaaaaaaaa, ferme là !
Non mais y a vraiment quelqu'un qui approche il a dit que t'étais sa mère !
Non mais j'vais vraiment t'en mettre une !


A peine le temps de lancer un regard désapprobateur aux minis-chtarbés sur mes épaules que je tombe nez à nez avec ... avec... bah j'sais pas trop, un masqué, le genre plutôt impressionnant quand même, le genre que... hummm le rouge ça... bon où en étions nous? ah oui... Je prends quand même le temps de lui balancer un p'tit regard charmeur, faisant papillonner mes cils, j'me parre d'un sourire à faire fondre -même si j'suis persuadée qu'il s'en tamponne le coquillard- écoute ce qu'il me raconte - ça peut servir-

Hummm.... Non mon prince charmant il me dira pas ça.. mais passons.... TU En le pointant du doigt, en profitant légèrement pour tater le torse de l'individu- là où y a de la gène y a pas d'plaisir es l'évènement douteux et JE faisant courir ma main -sans me toucher- du haut de ma tête aux bas de mes jambes, accentuant fortement mes courbes veux bien, dans mon infinie bonté être l'évènement plus. A partir de là, oui on est d'accord.

J'en mène pas large , mais j'vais pas non plus l'montrer...
Qu'est ce qu'il parle...
Ah.. ça vient pas d'moi...
N'empêche, la chiasse elle la ferme...
T'as raison... suffisamment rare pour le noter
Notons notons...


Hummm...
Ne notes plus
ça m'étonnait aussi...
Note quand même le record... 42 secondes


Mais BERDOL, taisez-vous ! 'fin pas vous...
Bref... je récapitule, vous êtes vous, vous avez forcé le destin et j'suis rien. J'ai pas d'folie, pas d'talent blablablabla, vous parlez toujours autant?
Alors j'vais tenter de m'expliquer... Mais avant ...


J'reste un instant bloqué sur lui, détaillant son sabre, m'attardant sur ses doigts qui agrippent le manche de l'arme, puis sur sa carrure, sa stature, imposante, puis passe rapidement sur ce masque, qui me met mal à l'aise... Le regard des gens est important. Les yeux sont le reflet de l'âme, c'est donc vrai... Je mettrais presque ma main à couper qu'il n'a pas d'âme... Mais qu'est ce que l'âme ?
qu'est ce qu'elle fait?
chut... moi je sais.
Bah forcément Monsieur porte l'auréole Monsieur sait toujours tout
L'auréole est le prolongement de la tête, la queue... 'fin tu m'as compris [/b]
[color=olive] ... Pas faux...


Je me redresse de nouveau détachant mon chignon en geste pas trop brusque -mourir maintenant serait idiot- puis lui souris niaisement


Alors ? ça fait quoi d'attendre?
Plus d'une heure que j'attends dans l'froid, les courants d'air et les relans de pisse !
Bref, ma présence, ma présence. Faut une raison de ma présence ici ? Tu peux pas simplement admirer le spectacle que t'offre ma simple vision ? J'ai ouïe dire qu'si on s'ennuyait, si on trouvait pas sa place dans un monde guimauveux à souhaits, si on souhaitait assouvir ses pulsions meutrières - et plus si affinités- on pouvait l'faire avec la bénédiction de quelqu'un.
Quant à ce qui est de " me fondre dans la masse" alors là mon mignon, en effet, je ne me fonds pas dans la masse, je n'aime pas ça, j'suis bien trop... parfaite pour ça. On m'remarque toujours, et j'aime ça !

Alors j'attends. J'attends, tu attends, j'attends de nouveau, on va faire autre chose qu'attendre ?



Il n'était pas dans mes habitudes de montrer mes faiblesses. La peur, j'avais sans doute connu à un moment.
Avant que ma conscience ne me quitte.
A quoi sert la peur lorsqu'on n'attend rien de la vie ? Que la simple pensée de mourir vous arrache un rire sourd ?
Je n'ai pas peur, mais je comprends que l'autre puisse prendre du plaisir à me voir trembler... Combien de fois ai-je pris mon pied en admirant des regards suppliants? Combien de repas ai-je pu sauter, me nourrissant uniquement de larmes et de cris ?

Je relève rapidement un oeil vers le masqué alors que ma main caresse ma ceinture, laissant glisser un doigt tremblant vers la lame de ma dague... Ce qu'il prendra pour de la peur n'en est point... Le tremblement d'impatience, vous connaissez ?

_________________
--Maskarade
Ignorance rime avec impudence.



Deux fous ne pourront jamais s’accorder.
Tout ou plus s’estropier.
Je finirai par te tuer.
Sentant entre mes mains, ton crâne se briser.
Je suis immoral, mon jugement est radical.
Si je t’aime pas, sur toi le malheur s’abattra.
À bon entendant, je me voudrai affligeant.

Du haut de la toiture. Derrière mon masque, un sourire carnassier s’installe progressivement.
À vrai dire il se demandait si il ne s’était pas trompé lourdement au sujet de la brune.
Il pouvait l’avouer, folle elle l’étais bien.
Chanter une chanson folklore alors que l’on se promène à la cour des miracles.
Voilà qui est insensé.
Je perçois à peine la tactique de me séduire étant donné la distance nous séparant.
Que dit-elle ? Prince charmant ?
Je la voie s’agiter posant ses mains dans le vide, comme si j’étais placé juste devant elle.
Est-elle aveugle ? Je suis tout la haut prêt à l’attaquer…
Peut-être est elle sous l’effet de narcotiques puissants, qui sait ?
À parler de prince charmant, elle l’est sans aucun doute possible.
Elle débite quelque paroles à mon égard, mais je n’y porte pas plus d’importance.
Jusqu’au moment ou elle me vouvoie en me disant de me taire… et rectifie le tire en me disant qu’elle ne s’adressait pas à moi.
Se moque elle de moi ?
Ma main serre un peu plus fort mon sabre qui me démange de poser dans les tripes de cette inconnue.
Voilà qu’elle me dit quoi faire.
Ma main déjà crisper sur mon sabre décide de glisser sous ma sombre cape rouge.
Elle ne peut voir ce que j’y fais.
Une simple surprise si je me lasse de cette discussion dans les prochaines minutes.
Les dernières paroles de la jeune femme eurent déjà plus de sens que tous se qu’elle avait craché d’autre.
N’empêche que cette impudence, ce narcissisme… cette femme.
Serait puni, peut-être pas par moi, mais le maître y verrait cela il en était sur.
Peut-être lui en donnerait-il l’exquise responsabilité.
Je reste un instant immobile, laissant le silence s’insinuer entre nous.
Seul quelques cris provenant du bûcher humain sont entendus non loin d’ici.
Sûrement quelques bandits Basilisk encore loyaux s’amusant à brûler les mendiants de la cours des miracles.
Il verrait cela en temps et lieu.
Pour l’heure…

Alors soit ton funeste destin reposera entre les mains de mon maître.
Sache que ton attitude, devra s’améliorer dans les prochaines heures.
Car ici tu ne trouvera ni prince ni château.
Seulement douleur et souffrance.
Nous sommes l’infection d’une plaie ouverte sur le royaume de France
Bientôt, cette infection sera généralisé.
Ne l’oublie pas.


Je marque un temps d'arrêt et reprend.

Si tu sais te battre rejoins la taverne Crevarde au plus vite.
Ainsi aura tu la chance de rencontrer le chef avant qu’il ne décide de mettre à mort la moitié du Quartier.


Je reste silencieux devant cette scène tragique qui mit fin à ma performance du moment.
Je disparu, parcourant quelques toitures avant de toucher terre dans une tout autre direction.

TOC TOC TOC…
Andrea_
Une pause de princesse, genre Cendrillon mais avant minuit bien sûr, un léger sourire en coin, bien large, bien niais, un petit air condescendant pas dégueulasse et la Colombe écoute.

Elle mâche on ne sait quoi d'ailleurs, du papier, des herbes un bout d'bois, bref elle machouille et bien bruyament, enroulant une mêche de cheveux autour de son index, l'autre main toujours posée sur sa hanche.



Hum... je vois je vois...
Mon funeste destin, mon attitude, Tu ne trouveras, blablablabla.... Dis donc tu s'rais pas du genre à faire une fixette sur moi et ma personne ?

Bref passons...

L'infection d'une plaie ouverte... en gros une sorte de suppo de Satan.
J'aime !


Moi aussi !
Moi aussi, j'adôreeeeee


Ils aiment aussi, A la bonne heure !
Donc tu disais? la taverner Cre..crevarde ? si je sais me battre ?

M'enfin mon mignon j'suis une princesse moi ! MAIssssss dans mon infinie bonté je veux bien y aller.

Tu m'accomp.....


HEY BERDOL REVIENS !



Non mais c'est quoi ce prince de la nuit qui déguerpi plus vite que son ombre ? Il est où le savoir vivre là ?
Tout se perd ma chiasse, tout se perd
Ouai, bin si tu pouvais perdre ta langue...


Oh OH OH les gars ! Moi j'donnerais cher pour VOUS perdre, alors vous la fermez, on est attendu.

Tu vois tu l'as mise en colère !
Bin tiens, toujours de ma faute, ah c'est jamais toi avec tes grands airs de saint n'y touche


Et bien ça promet d'être long.
Bon.. Elle est où cette fichue taverne...
Le jupon est relevé suffisament pour ne pas s'imbiber du liquide douteux qui trainasse à droite et à gauche, le visage se pare d'un air blasé, légèrement soupirant, le tout en secouant doucement la tête pour faire partir les deux chiards épaulettes. Après tout, elle n'avait pas besoin d'eux pour être tabanas.

_________________
Akioa
Akioa avait traversé le pays pour voir de ses propres yeux cette rue sale et ces bâtisses.
Enfin elle était rendu...le quartier Basilisk.
Cet endroit n'était pas tombé en ruine?
La rumeur était donc vrai, Valentine était toujours en vie et formait à nouveau son petit clan!
Le marchant disait donc vrai...pauvre homme ses connaissance lui avait couté la vie.
La jeune femme regarda au alentour, il n'y avait aucun bruit sauf celui de son fléau qui faisait ce petit sons de métal, agaçant à chaque fois qu'il frappait contre sa jambe.

MMMmmm...personne?

Chose presque impossible pas ici dans ce quartier pas avec Valentine a la tête de sa petite troupe...
Aki reprit son chemin, le talon de ses grandes bottes frappait contre les pavés de la cours en un bruit sec retentissant à chaque pas.
Elle subtile ?
Non elle voulait que l'on sache qu'elle était ici.
Ses long cheveux fouettaient l'air, son regard se posait sur tout ce
qui bougeait.
Elle marchait la tête haute un sourire sadique et presque fou au visage.
Bientôt elle allait voir Valentine.
--Maskarade
S'il n'y a plus de branches, utilise des cadavres.



Brûle, brûle jolie feu.
Consume l’homme aux yeux vitreux
Il suppliait que je l’épargne.
Mais c’est sur lui que j’ai déversé ma hargne.
Combien de temps restera il vivant à crier ?
Personne ne sait on pourrait parier…
Le bruit infernal cesse enfin.
Vous direz que cela est inhumain.
Rien de cela, c’est un investissement.
Orchestré abominablement.

Mes mains sont tendues vers le feu, je les réchauffes un peu.
Je commence à me lasser de cette température désagréable.
La neige, le froid, la glace… tout pour ne pas aider à garder le quartier bien surveiller.
N’empêche qu’elle finira bien tôt ou tard.
Je me penche au sol et attrape un bâton de bois assez long.
L’ennuie s’empare de moi, alors je ferai tout pour le chasser.
Je picore la tête de l’homme lécher par les flammes, à l’aide de la branche...
Alors que j’allais réussir à extirper de l’orbite servant de récipient, l’œil qui avait fondu et cramé.
Je vis au travers du feu une silhouette déformé suivant le mouvement des flammes.
Ma main laissa tombé la branche et elle se saisit du sabre à ma hanche.
D’un pas lent, je m’avance dans la direction de la jeune femme qui est armée.
TOC TOC TOC
Elle semble vouloir qu’on sache qu’elle foule les pavés de la cours.

Qui est-ce ?
Une nouvelle.
Certes j’étais au courant…
Alors pourquoi tu poses la question ?
Pour combler le silence …
Ah je vois ! Alors t’es timbré.
J’imagine que la réponse à cette question saugrenue est...
OUI , c’est oui la réponse alors maintenant ferme là !

Mes yeux détaillent chacun des aspects physiques de la femme qui me fait face.
C’est sabre en mains, que je me pose devant elle en position défensive mais décontracteé.

Être ou ne pas être ? Tel est ta question !
Si vous ne répondez pas ce sera votre crémation.


Dis-je pointant le feu du pouce par dessus mon épaule.

Qu’êtes vous venue faire ici ?
Si la réponse ne me satisfait pas vous pouvez compter sur mes dires.
Je vous brûlerez tel les autres !
HIHIHIHAHA !
Quel mot agréable !
Akioa
Akioa marchait en direction du feu, un peu de chaleur par ce temps si frisquet ne serai pas de refus.
L'odeur nauséabonde envahi ses narines, on brûle un cadavre.
Toujours efficace cette démarche !
Elle fixa l'homme et continua de s’approcher, la chaleur dégagé
par le feu obstruait sa vision, mais elle vit l'homme prendre son arme.


hoo il veut jouer !! comme c’est mignon !!


Elle mit sa main sur le manche de son fléau et avec son index,
détacha la ganse de cuire qui l'attachait a elle.
Son sourire s’élargit, enfin la demoiselle se trouvait exactement dans son domaine. Aki fit encore quelques pas, elle était a porté de voix.
L'homme étrange a la cape rouge lui parlait.

Être ou ne pas être tel est la question!



Je choisi ÊTRE!
Tu parles d'une question!



Akioa s’arrêta assez près du feu pour ressentir un brin de chaleur.
Elle commença tranquillement a faire tournoyer son fléau à ses cotés, tout en prenant soin d'écouter ce que l'homme lui disait.
Elle était dans le quartier des Basilisks, cet homme était sans nul doute un mercenaire vue l'état des cadavres étendus sur le bûcher et elle n'aimait rien de plus que les mercenaires.

Je me présente Akioa mercenaire.

Et vous jeune homme...masqué vous devez être bien laid pour masquer ainsi votre visage... À qui ai-je l'honneur?



Tout en se présentant Akioa plia légèrement sa jambe gauche
et prit de la main gauche un bout de tissu qui était relier à sa taille voulant ainsi imiter les jolies dames des cabaret lors de la fin de leur prestation.
Elle afficha un sourire qui ma fois lui donna un aire enjoué et même enfantin.
Comment ne pas avoir l'air si heureuse avec une nouvelle rencontre si ... comique ?
--Maskarade
L'insulte n'est pas mon plat favori.



Jouer ? J’aurais plutôt dis te faire trembler.
Mignon ? On connaît tous la chanson.
Jouons à ce jeu mélancolique qu’est la vie.
Ou peut-être à mes envies inassouvies.
Ta mort comblerais mon cœur, et je n’aurais pas besoin de jouer au fossoyeur.
Tu finirais en cendres, tu ne peux te méprendre.
Oui j’entend ta mort à l’instant, ton corps au milieu du feu brûlant.
Tu désire être ? Tant que tu n’es pas un traître.
Ma prestation est exemplaire, je ferais tout pour te plaire.

Je regarde la jeune femme de façon fixe, je ne bouge pas et respire à peine.
Mon apparence effraies le plus clair du temps, cette jeune femme ne sera pas intimider de la sorte.
C’est alors qu’elle s’avance vers moi sourire aux lèvres.
Qu’y à t-il de comique à cet instant précis?
Elle ne me craint pas ?
Les paroles me surprennent légèrement, je m’attendais à un duel à mort.
Je dois avouer que je suis désappointer.
N’empêche qu’elle pourrait faire une bonne alliée pour la cause de Valentine.
Je suis chacun de ses mouvements, alors qu’elle fait tournoyé son fléau.
Je ne vois aucune agressivité de sa part si ce n’est qu’une injure qui me fait sourire sous mon masque.
Que répondre à cela ?
Une multitude de réponses me viennent en tête, laquelle lui donner ?
Alors qu’elle finit cette révérence que je connais si bien je m’apprête à lui donner ma réponse finale.

Ce masque d’épouvante cache une horreur certes, mais pas celle que vous croyiez.
Je suis fou peut-être l’avez vous remarquer ?
Il est moi, je suis lui, nous sommes nous !
Hihihihaha


Deux êtres en 1, un masque pour 2.
Vous ne comprenez pas ? Je vois dans vos yeux l’incompréhension !
Sachez que vous n’avez pas à comprendre PAUVRE, pauvre petite sotte.


Dis-je serrant la poignée de mon sabre plus fermement.

La vie vous à dénué de cerveau ?
J’en suis fort aise.
Toujours étant il, que je vous ai posé une question.
Qu’êtes vous venu faire ici ?


Je sens la tension, elle est palpable.
Je la menace de mon sabre pointé dans sa direction.
Qu’elle avance, je suis prêt, tout ce que j'attend ce n'est qu'une réponse.
Akioa
Un fou !?! Mais oui pour porter un tel masque...

2 pour 1!! waa mais comme c'est...intéressant!


Akioa le regardait droit dans les yeux, son arme pointé sur elle.
un défi ?
Il peut bien être fou cet homme sans visage, s'il croit un seul instant pouvoir faire brûler le jeune corps de la demoiselle.
Aki fit tourner son arme de plus en plus vite en forment un croisé devant elle, ce qui créa une sorte de bouclier.
Il la traita de sotte...DE SOTTE, mais quel imbécile pouvait bien traiter une jeune femme de sotte?
La politesse, il ne connaît donc pas!

Ce que je fais ici ?? Je parle avec un fou!! Ça parait pas assez ??


Akioa eu un léger ricanement trop féminin pour le sourire sadique qu'elle avait aux lèvres. Bon laissons place a un peu de sérieux...pourquoi pas.

Si tu es assez fou pour me conduire à Valentine ce serai bien aimable, mais si vous aimez mieux que je retrouve mon chemin après votre mort cela est un autre choix envisageable.

Aki le regarda en faisant un pas de plus.

Alors je vous laisse le choix. Vous m’emmenez à Valentine ou vous mourrez.

La belle se prépara à se battre de plus en plus, l'adrénaline monta en elle, l'envie de démembrer l’homme qui pointait son sabre sur elle, était presque incontrôlable.
Depuis quand Akioa était contrôlable lorsqu’elle se faisait traiter de sotte ?
Sûrement que sa ne lui durait pas longtemps.
Son regard était posé sur l'homme devant elle.
Un regard vide, sans émotion, juste l'envie de tuer pouvait se lire dans ce regard couleur noisette.
--Maskarade
Désirs innavoués



Un, deux ton plan est foireux
Trois, quatre tu finiras à quatre pattes.
Cinq, six vaudrait mieux qu’tu t’adoucisse.
Sept, huit Sinon j’te cuis.
Neuf, dix tu joue à un jeu interdissssss…

Je pose mes yeux sur cette jeune femme, d’une beauté certaine.
Ma main se pose sous le menton de mon masque pour me donner un air pensif.
Les flammes danses derrières moi projetant mon ombre contre les murs des bâtisses.
La scène est inspirante une vraie vision d’horreur une rue sans pareil.
À première vue je n’effraies pas Akioa.
Qu’à t-elle donc de plus que les autres qui l’empêche de partir en courant ?
Du courage très certainement n’empêche qu’il causerait sa perte.
Ma lame demeure pointé dans sa direction le doigt sous mon menton glisse de mon masque et se pointe également dans la direction de la jeune femme.
Je lui fait signe d’approcher.
Je reconnais en elle un courage sans limite.
J’ai soudainement envie de la connaître légèrement plus.
Mon sabre rejoins son fourreau suivit d’un CLICK.
Les ténèbres de mon masque se posent à nouveau sur les formes de la jeune femme elle n’est pas déplaisante à regarder.

Vous avez le courage nécessaire afin que je consente à vous laissez voir mon maître.
Il se trouve au manoir.

Ne lui dit pas !
Sachez que je vous ai à l’œil…
Très attentivement…

Bravo ta vraiment l’air d’un prédateur sexuel maintenant.
J’ai bien le droit d’avoir des envies ? Non ?
Du coup chapeau ! T’es vraiment nul avec les femmes.
Soit tu les menaces avec une arme soit tu leurs tranches la gorge…
C’est pas comme ça que t’aura une femme dans ton lit.
J’ai jamais dit que j’avais envie d’elle …
Ouais c’est ça … mon œil idiot.
Tu te tais maintenant.

Enfin bref, vous trouverez Valentine un peu plus haut sur la rue vous voyez cette ruelle là-bas entrez y. Vous trouverez une grille qui vous mènera à notre Quartier général.
Je suis persuadé qu’il s’y trouve.


Révèle lui donc tous les secrets de Valentine et les nôtres tant qu’à y être…
À vous savez que je suis … ?
Mais t’es taré ou quoi !?
Tu dis plus rien tu t’en va près du feu.


Je me retourne en direction des flammes et entreprend de m’y rendre afin de me réchauffer.
L’hiver est froid et rude.
Ma voix intérieur les encore plus.
Akioa
Akioa regardait l'homme masqué droit dans les yeux, pas une once de peur se lisait dans son regard. Il lui fit signe d'approcher ce qu'elle fit sans rouspéter.
Soudainement l'inconnue rangea son arme et se mit à lui dire exactement ou se trouvait Valentine...

C’est une blague ?? pensa-t-elle.

Elle le fixa un moment, il se parlait tout seul ?? Non...il se répondait uniquement...mais quel spécimen cet homme, il était de plus en plus intéressant.
Akioa s'approcha de lui, elle faisait tourner son fléau de moins en moins vite jusqu’à ce qu'elle le raccroche à elle.


L'homme une fois ses renseignements dit, se retourna et se dirigea en direction du feu...comme sa sans aucun au revoir. Akioa le regarda un moment, elle ne partirait pas comme sa, sans rien dire quand même. Elle entreprit de le rattraper.
Rendu tout près de l'homme, elle tendit le bras attrapant son épaule afin qu'il lui fasse face.
L'homme se retourna vers elle et Akioa le regarda une nouvelle fois droit dans les yeux d'un regard affectueux en lui faisant un sourire si doux qui lui donnait l'aire d'un ange.
Elle ne détourna pas le regard même en sentant la lame froide de la dague de Maskarade contre son ventre.

Je voulais juste vous remercier et heumm...

Aki détourna un peu le regard...de la gêne?

Bah je me demandais si vous voudriez m'accompagner...Ces rues son pleines de brigands mal élevés...

La jeune femme releva son regard vers l'homme toujours un sourire radieux aux lèvres.
--Maskarade
L'art de séduire.



Tu me touche ?
C’est que t’es farouche!
Je t’ai donné l’information
En croyant que tu disparaîtrait de la circulation.
Que veux tu m’extirper d’autre ?
Nos secrets sont les nôtres !
J’ai été patient.
Maintenant, il pourrait bien t’arriver un petit accident.


J’ai entendu l’air siffler il y a un instant derrière moi.
La belle ma toucher je sens tous à coup un malaise s’emparer de moi.
Il y à bien longtemps que je n’ai pas été touché autre que par une lame.
Mon cœur se crispe elle doit essayer de m’attaquer.
Je me retourne brusquement et lui pointe une dague contre le ventre.
Est-ce une dague ? Je n’ai pas remarquer ce que j’ai prit dans mon arsenal dissimulé.
Oui j’ai bien fais mon choix instinctivement.
Les trous sombres de mon masque se posent sur elle.
Que me veut-elle ?
Elle sourie simplement, bêtement, gentiment ?
Un sourire de gentillesse alors que me vaut cet honneur ?
Je l’ai menacée et elle ne trouve qu’à m’inviter…
Quelle idée STU… AGRéable !
La compagnie se fait rare en ce moment.
Les hommes sont à la chasse aux traîtres.
Ils ne reviendront qu’après un bon moment.
Je suis son regard et lui sourit également, cependant elle ne peut le percevoir.
Ma dague descend tranquillement j’y met toute ma force.
Faire confiance je n’y arrive que très difficilement.
Je la pose sous ma cape.
Ma main vient caresser la joue de la jeune femme.

Une sotte et un fou main dans la main jusqu’au bout d’une ruelle.
Voilà une épopée magnifique.
Toujours étant il que vous savez vous défendre seule.
Alors pourquoi avoir peur tout d’un coup d’un ou deux malfrats ?

Ah ,mais toi je te dis t’es vraiment qu’un idiot.
Tu as une touche.

Bah oui elle ma toucher.
Tu comprend rien elle semble attirer par ta mystérieuse aura…
Gâche pas ta chance s’il s’y trouve se sera la seule femme qui te portera de l’intérêt.

Faut il que je la tue ?
Mais non courtise là… sombre crétin.
Vous sentez bon.
Ta rien de mieux ? …
Je vous trouve resplendissante.
Ta de la chance que je sois là.
Dit lui ça !

La vie ne pourrait être vécue qu’en compagnie de l’amour d’une vie.
J’aimerais que cet amour ce soit vous belle créature sauvage.

Elle à un nom vous saurez.
Nous allons y aller maintenant…

J’emboîte le pas à ma voix intérieur et à Akioa le pas lourd frustrer de ne savoir trouver les mots afin d’exprimer mon ressentit.
Je m’engage dans la ruelle désignée suivit d’une charmante compagnie.
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