[RP] Couronnement du Duc de Berry, venez mes petits, venez !

Juana

_la_fauve

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Confesser... pour sûr elle en avait des choses à se faire pardonner. Mais depuis toujours elle estimait que cela se passerait le jour du grand saut, après le grand voyage tout ça... Enfin, après sa mort en somme. D'ici là elle continuerait de mener sa vie comme elle l'entendait. Oui, oui, SA vie, la sienne, du moins jusqu'à ce qu'on décide de lui reprendre! Pour ne rien regretter, jamais. Sauf peut être.... enfin bref pas le moment!

Et puis machinalement le crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen

Elle guetta l'assemblée d'un regard perçant, aussi aiguisé que celui de l'oiseau de proie. Tout ce monde docilement entassé dans l'église. Une grande partie serait bientôt de nouveau lâché sur les remparts. Prêt à embrocher l'ennemi sans remord, pour retourner ensuite sagement le matin sur le camp, laver ses mains ensanglantées, puis recommencer à nouveau le soir venu.
Dans un murmure elle ajouta pour elle même: Je crois en moi, c'est bien aussi.

Jimmy_de_aragon

Jimmy arriva enfin devant l'imposante Cathédrale Saint-Étienne de Bourges... La place était à moitié pleine de badauds et nombreux étaient les mendiants qui attendaient sous les porches de pierre grise, bien à l'abri du soleil, la sortie du nouveau duc et de sa riche cour...

Il se fraya un passage à travers la foule de gueux et de marchands ambulants et arriva bien sué devant les cinq portails... il prit le premier à gauche traversant non sans mal les doubles portes grandes ouvertes à cause de la multitude et de la forte chaleur... Fort heureusement , sa haute stature lui permettait de voir loin et il entendit moult personnes entonner le credo... il suivit la vague et récita les dernières paroles tout en cherchant des yeux des sourires connus...

— .... Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen
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Charles.henri

Pandhora qui se reconvertissait en Diaconesse.. Et encore...

Assis sur son siège, et suivant peu la cérémonie, qui devenait ennuyante, il s’efforça à réciter les textes sacrés, gagent de bénédiction du mandat du Duc.

puis le crédo Aristotélicien

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen

Une fois chose faite, il reprenna place, voir la suite des choses. Il en avait à faire après.. c'est sûre! Mais ne voulait pas avoir l'impolitesse de quitter si prématurément la cérémonie.
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Alleaume

* Les participants de la cérémonie avait réciter le texte de la Diaconesse, il regardait les visages de certains, il se doutait qu'ici, certains avaient fort à confesser, lui en tête d'ailleurs.. Mais ce n'était pas le moment propice à déballer sa vie passé à la vue et aux oreilles de tout le monde.. Certains le regarderaient sans doute avec craintes.. D'autres avec mépris.. Certains avec admiration, qui sait ?

Son amie Pandorha fit ensuite la lecture du credo, il se demandait pendant toute les messes, baptêmes, mariages, couronnement, combien de fois il avait eu à le répéter dans ça vie ? A force de se faire, il avait finit par le connaître par cœur, tant mieux après tout, il avait horreur de lire quelque chose devant tout le monde...

Une fois qu'elle en eu finit le récital, le jeune homme s’exécuta à son tour, comme les convives... *

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

* Une fois terminé, il regarda un valet apportait la couronne d'or sertie de rubis et d’émeraude.. Il trouvait que les émeraudes étaient les pierres précieuses les plus belles du monde, sans aucun doute car elles allaient avec la couleur de ses yeux..
Alleaume regardait la Duchesse avec attention et un calme impassible sur le visage, alors que le moment était des plus stressant.. Puis elle prit la parole.. Était-il vertueux ? Avec les femmes nul doute qu'il l'avait toujours était, mais pourrait-il l'être avec tout un peuple ? Il ne le savait pas encore, mais il espérait bien, et l'avenir le lui dirait.

Il savait, et il mesurait la lourdeur des responsabilités qu'il allait devoir porter sur ses épaules, déjà la période estivale n'était pas très propice à un conseil ducal simple, mais en plus la grande guerre qui menaçait le Berry allait être un défit d'ampleur..

Son bras serait-il toujours prêt à servir le Berry ? Il en était persuadé, convaincu, il avait déjà fait deux guerres pour le Duché, il avait aidé du mieux qu'il le pouvait dans les charges qu'on lui avait confié, il savait qu'il ne quitterait jamais le Berry, et que cette terre serait son tombeau.. Il avait durant des années parcouru le Royaume à la recherche d'un terre dont la liberté ne serait pas un vain mot.. Et il l'avait trouvé, ici.

Une fois qu'elle eu finit de parler, il prit alors la parole *

Je jure devant dieu, et devant mon peuple que mon bras sera toujours pret à défendre et à service mon Duché qu'est le Berry.
Je jure aussi de défendre les couleurs du Berry, ainsi que celles de la Couronne de France dignement porté par une personne de valeur, de morale et de vertu, qui aura à cœur de protéger et de rendre justice à chacun de ses enfants du Royaume.

Je m'engage à défendre les couleurs de notre Sainte Eglise contre l'hérésie et tout ce qui peut plonger l'homme dans l'immorale.

* Le jeune Duc l'avait un peu fait à sa manière, mais au moins, cela lui semblait plus en adéquation avec la réalité des faits.. Il continuait alors de regarder la Duchesse dans le blanc des yeux, jusqu'à ce perdre dans ceci.. Le temps lui paraissait fort long. *
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Saint Louis... Pardonne lui !

--La_dame.

La dame était une vielle harpie d'une trentaine d'année. Son visage avait jadis était beau aujourd'hui il était tanné par le soleil, abimé par les différents combats de sa vie et marqué par l'alcool. Non son visage n'était pas aussi beau qu'autre fois, mais il lui restait un certain charme.
Ses yeux avaient des yeux pétillent et des expressions de gosses quand ça ne lui convenait pas. Ronchonner était dans son caractère. Toute personne la connaissant, savait que quand elle ronchonnait pas, ça voulait dire qu'elle allait mal. Étrange hein ?!

Ayant eu vent d'une cérémonie pour le duc Alleaume, un couronnement ou elle ne sait quoi, la vielle routière prit donc la direction de la cathédrale, bien entendu elle s'était habillé en conséquence et elle avait mit un masque très fin pour qu'on ne reconnaisse pas ses traits. Pour sur qu'elle allait encore faire sensation dans la cathédrale.

Déjà d'une elle était en retard et de deux elle ferait pas la discrète... Pff cette femme était pire que le diable. Déjà qu'elle mette un orteil dans la cathédrale était un miracle. Elle était allergique a tout ce qui touché le totote de prêt ou de loin...

Donc arrivant enfin devant cette foutu cathédrale la dame monta les marches tranquillement en sifflotant. La porte était fermé et des voix étouffé marmonné des mots. Soit elle rêvait soit ils roupillaient tous a moitié.... Un sourire se dessina sur ses fines lèvres et elle poussa la lourde porte qui ne se fit pas trop prié pour grincer lugubrement.

La harpie entra l'air de rien et observa la salle bien remplie. Le duc était debout et blanc comme un linge, la Diaconesse avait pas meilleure mine... Bah ça devait être l'ambiance des culs pincé ça... Des truc importants a ce qu'ils se disaient.... Ils se faisaient peur tout seul.

Refermant la porte derrière elle faisant ressortir un nouveau grincement, la routière alla s'installer dans un coin et reconnu un visage qu'elle n’oublierait jamais. Elle savait que cette femme était dans le conseil ducal... Une brigand... Mais elle ne dit rien et se contenta de sourire au gens qui la foudroyait du regard.

Bon c'est vrai elle faisait un bazar monstre, mais fallait qu'on la remarque. La personne la plus importante venait d'entrer vers la fin de la cérémonie. Son regard se fit plus brillant quand elle aperçut la couronne. Elle était magnifique, sur sa tête elle n'irait a coup sur pas, mais sur la tête du jeune duc pourquoi pas...

Même pas une envie de chaparder quelques objets... Pour dire a qu'elle point, la vielle était sage... Aucune promesses n'avait été faite et la dame était venu de son plein grès saluer le jeune duc. Où allait elle le voir a part dans un truc officiel a endormir une ville entière ?

Non mais c'est vrai, y avait rien de plus barbant d'un credo ou récital ou elle ne sait comme qu'ils appellent ça encore les gens d'église. Déjà elle n'était pas baptisé et elle ne savait même pas si le fait qu'elle soit là été un péché et a vrai dire elle s'en cognait royalement !!

Observant toujours les gens les uns après les autres, elle ne put s’empêcher de critiquer l'assemblé... Trop gros, trop maigre, coincé la dame... Oula l’allumeuse qu'est là... Hum charmant toi, j'en ferais bien un casse croute... T'être trop jeune... Toujours est il qu'elle s'amusait bien pendant que tout le monde répété comme des abrutis ce que disait la Diaconesse.
Pas elle qui allait faire ça pour sur !

La dame avança doucement sur le côté pour se rapprocher des premiers rangs. Voyant enfin une place qui lui convenait elle passa dans les rangs écrasant doigts de pieds, caressant torse présenté un peu trop prêt de ses mains. Œillade par si par là.

Elle savait qu'elle ne devait être devant pour que le duc la voit. Ils avaient encore des affaires a réglé. Il mettait trop de temps, bah elle allait lui rappeler à sa manière qu'on ne la laisse pas poiroter des heures comme ça.... Patiemment elle s'installa et attendit sagement...

Couronnement du Duc de Berry, venez mes petits, venez !

Alleaume

[ Le rp du Couronnement se passe avant qu'Alleaume tombe sur le champs de bataille à Saint Aignan, afin d'une meilleure cohérence, vu qu'il ne peut pas se déplacer actuellement. Ouvert à tout le monde bien entendu .Bon jeu à tous. ]

[ Cathédrale Saint-Étienne de Bourges, à Bourges, bien sur. ]

* .. La Cathédrale Saint-Étienne de Bourges, toute une histoire, un vestige des temps anciens, une imposante force de caractère émanait de cette édifice, qui rayonnait à travers le Royaume, nul ne pouvait oser dire que cette Cathédrale, n'était pas une des plus belle du Royaume, pour ne pas dire la plus belle.
Beaucoup de Duché et de Comté, peinait à rivaliser avec la splendeur du lieu, l'habilité des architectes n'était plus à démontrer..

Toute une foule de personnes plus différentes les unes que les autres se massaient autour de cette Cathédrale.. Des mendiants qui espérait recevoir la gentillesse d'une bourse pleine.. Les nobles croyants, faisant leur devoir de prière au prêt du Très-Haut, les gueux aussi, qui même non noble, aimait leur Seigneur, et lui apportait tout l'amour, qu'ils ne pourraient pas même se donner entre eux.. Et il y avait les faux bigots, nobles ou non-nobles, ceux qui se sentaient de prier par obligation de présence, ou alors pour épier qui était là, ou pas. De là à dire que la morale était mise de côté, il n'y avait qu'un pas..

la Duchesse Pandorha lui avait donné quelques explications, sur le comment de la cérémonie, ce qu'il fallait faire, ou bien ne pas faire.
Pour l'occasion, il avait laissé ses affaires au placard, et c'était fait tisser quelques choses spécialement pour l'occasion, l'ensemble vert émeurode et blanc, méttait ses yeux en valeurs.. Un de ses valets n'avaient surtout pas oublier de faire briller sa couronne pour l'occasion, ben quoi ? Il fallait bien qu'il soit le plus beau aujourd'hui, un couronnement, ce n'était pas quelque chose qui arrivait tout les jours dans une vie..

Il se demandait, ce que ses parents auraient pu penser, dire, s'ils avaient toujours été à ses côtés, il se posait cette question à chaque fois qu'il franchissait une étape importante dans sa vie, comme s'il avait besoin de se rassurer qu'ils seraient fier de lui. Et son défunt frère ? S'il le voyait en ce jour... Malgré toute la haine qu'il y avait eu entre eux, il aurait espérer que Eriadan aussi, aurait été fier de lui.. Ils avaient partagés ensemble, des rêves, des ambitions, et des promesses, qui au final, c'était finit dans le sang.. Le sang et la mort, pour l'homme qu'il avait toujours admiré.

Il y avait déjà quelques badauds présent, il entra alors dans l'antre majestueux, il était venu plusieurs fois ici afin de prier.. Un jour il se confesserait, il en avait besoin, il avait lourd sur la patate !
Une fois arrivé proche de l’hôtel, il se posta là, afin d'attendre l'arrivé des invités, et les saluer tous pour leur présences en ce lieu sacré.. *
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Saint Louis... Pardonne lui !

Napolitain

[Dans son bureau de Maire, à Bourges]

Le maire de Bourges travaillait tranquillement dans son bureau depuis tôt le matin. Si tôt qu'il avait eu le temps de voir le levé du soleil et admirer les femmes berruyères en petite tenue ouvrir leurs volets.
Il devait être autour de 10 heures quand un homme lui apporta une lettre.
Il fut très ravi de recevoir une lettre, enfin une déclaration d'amour pensa-t-il, mais il en était rien. C'était une invitation au couronnement du duc Berrichon.
Il regarda la lettre et hésita un moment, fallait-il y aller ou non ? Telle était la question. Il regarda à sa droite : une pile de dossier était posée sur son bureau.
Il n'hésita pas plus longtemps et appela une servante.
Fredo, amène-moi l'habit de deuil, ça fera l'affaire !

Elle lui apporta l'habit, et le seigneur de Bussy se changea. Il demanda à un des conseillers municipaux de s'occuper de la pile de dossier avant de partir en direction de la Cathédrale.

Après avoir marché quelques minutes, il arriva enfin à la cathédrale.
Il salua les autres nobles présents et snoba les gueux qui mendiaient devant cette dernière.
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Pandorha

Si, bien sûr que si que Pandorha était heureuse de faire le couronnement du Duc. Ce n'est pas parce qu'elle n'affichait pas un sourire que ce n'était pas le cas...bon d'accord, elle avait plutôt la tête à autre chose, carrément autre chose. La jeune femme avait donc prit soin de choisir une robe, en réalité, elle ne l'avait pas choisi, cela expliquait pourquoi elle avait une robe rose alors, qu'en ce moment elle devait mettre du noir ou du blanc. Mais comme Pandorha avait la tête à autre chose, elle prit la robe et puis fit avec.

Ainsi, elle se rendit dans la cathédrale, elle qui avait besoin du soutient du Très haut, ça tombait à pique ce couronnement. Elle se fit un chemin jusqu'à l'entrer, puis reconnu le duc proche de l'autel, la jeune femme alla le rejoindre, fit une révérence aussi belle qu'elle le pu étant donné ses blessures et se positionna proche de lui en attendant.

Votre Grâce !
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Cooky

De l'auberge où elle avait établit les quartier de sa petite famille, elle surveillait de près le sablier qui s'écoulait. Parbleu, elle refusait d'assumer une fois de plus sa réputation de retardataire invétérée et s'était promis d'être à l'heure pour une fois. Lorsque le sablier lui indiqua que l'heure H s'était suffisamment approchée, elle sauta sur ses deux pieds et distribua les consignes.

Mathiiiilde ! J'ai besoin de vous !
Viiiite !

Tandis que la jeunette accourait, elle s'agenouilla à hauteur d'Arthur, cherchant à capter son regard pour bien se faire comprendre.

Mon cher petit, écoutes moi bien, tu veux ?
Files à la salle d'eau de l'étage et rapportes un baquet ici.
Ensuite, va chercher de l'eau... aussi tiède que possible, si elle est froide tant pis mais bon tiède c'est mieux.
Bref, ramènes en autant que tu pourras et remplis le baquet. Compris ?

Sur un hochement de tête, le gamin partit en courant, tout fier d'avoir une mission à remplir du haut de ses cinq printemps et demi. Se tournant vers Mathilde qui entrait, Elea dans les bras, elle reprit.

Ah, Mathilde, vous voila ! Parfait !
Nous sommes en retard... oui comme toujours, je sais.
Allez donc aider mon fils à préparer le baquet pendant que je choisis une tenue.
Viiiite, je ne veux pas arriver à la fin de l'office, hors de question !

Elle prit le bébé avec elle, laissant Mathilde quitter la pièce à toute allure, puis se pencha pour ouvrir une malle en marmonnant.

Diantre, choisir une robe pour la Duchesse a toujours été facile... un plaisir même.
Mais pour moi ? Qu'est-ce que je vais bien pouvoir mettre tu crois ?

Bien évidemment, l'enfant se contenta d'un gazouillement joyeux pour toute réponse, la laissant seule avec son dilemme. Quoique celui-ci n'était pas bien grand, sa garde-robe de voyage n'étant pas des plus fournie. Seules deux tenues dignes de ce nom répondaient à l'appel.

Bon ben... merci pour ton aide ma puce, on va choisir celle de la Duchesse, tu as bien raison, excellent choix.

L'affaire était entendue. Sortant la tenue choisie de la malle, elle l'étala sur le lit et la lissa du plat de la main. Le voyage l'avait quelque peu froissée bien entendu mais après quelques pas dans la cathédrale, tous les invités le seraient de toute façon. Elle l'espérait du moins.

M'dame Cooky, votre bain est prêt.

Sans plus attendre, elle échangea avec la nourrice bébé contre baquet. Puis, ses ablutions effectuées, elles s'appliquèrent à la vêtir avec soin. Tout en s'enroulant dans plusieurs épaisseurs de tissus, elle se félicita de n'avoir pas à suivre ce rituel fastidieux au quotidien. Comme elle plaignait ces nobles dames qui devaient patienter des heures pour au final se retrouver engoncées dans des corsets atroces !
Si sa propre tenue pour ce jour était des plus soignées, elle n'avait pu se résoudre à user de subterfuges pour se martyriser et paraitre plus mince qu'elle ne l'était. Sa taille était fine, pas la peine de la rendre invisible.
Un nouveau coup d'oeil au sablier lui apprit qu'il ne lui restait plus qu'une poignée de grains de sable.

Mathilde, faites simple pour la coiffure.
De toute façon, à tous les coups j'aurai l'air d'une échevelée dans à peine une demi-heure.

Laissant à la jeune femme le soin de la coiffer, elle brossa les vêtements de son fils puis changea sa fille. Lorsque les cloches, à l'extérieur, se mirent à valdinguer avec fougue, elle donna le signal du départ et tous les quatre dévalèrent les escaliers de l'auberge.

D'un bon pas, ils se rendirent à la cathédrale.
Quelques personnes étaient déjà présentes, qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam. Faisant fi du soupçon de timidité qui jaillissait parfois dans ces cas là, elle s'arma d'un large sourire et s'approcha des portes...

Votre Grandeur...
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Zephir

Une bien belle journée s’annonçait et plutôt que de pécher, voir travailler à la chancellerie, Zephir avait été fortement conseillé d’assister au couronnement du Duc. Obéissant à sa mère, il résigna à aller à la cathédrale de Bourges. Il arriva en trainant les pieds vêtu de ses sempiternels vêtements noirs. Et oui, lui n’avait ni le sous, ni le gout de prendre soin de sa personne. Heureusement que sa douce Kateline l’accompagnait. Il se forçait à lui sourire. Il se disait aussi qu’elle était bien courageuse de le changer lui avec son sale caractère de vieux garçon.
Il savait que cette journée serait très longue. Il aura le droit à l’arrivée de tous ces nobles, ayant sorti leurs plus beaux atouts afin de plaire à ce bon prince. Ils se pavaneront tels des paons devant le bas peuples. Puis une fois dans la cathédrale, ce sera le tour d’une messe ou d’une bénédiction qui sera tout aussi longue. Et cerise sur le gâteau, après tout ça il pourra se mélanger à tous ces gens parfumés et mondain pour un banquet. Que du bonheurs …
Il regarda sa douce, lui souriant afin de lui cacher ce qu’il ressentait de devoir subir un journée pareille.

Ma famille ne devrait pas tarder. Puis après un autre sourire. Tu es vraiment belle tu sais ? Il avait envie de l’embrasser mais malheureusement, ce n’était pas le moment ..
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Kateline

En ce jour de fête, puisqu'il en était de tel pour un couronnement, Kat avait essayé de reprendre une forme plus soignée qu'à l'accoutumée.
Laissant derrières elle sa tenue de soldat pour quelques heures, elle avait enfilé une robe aussi simple que confortable dans la mesure où une robe puisse l'être, et dont la couleur faisait ressortir le regard de la Brune.
Elle avait accepté de s'y rendre en compagnie de Zephir, c'est donc au bras de son cher et tendre qu'elle arriva à la cathédrale.
Il y avait déjà quelques invités présents, ainsi que le protagoniste de la cérémonie à venir.
Kat s'accrocha un peu plus au bras de son cavalier, encore et toujours mal à l'aise dans la maison du Très-Haut et de surcroît pour ce genre d'évènements.
Elle n'en laissa rien paraître et gratifia Zephir d'un sourire radieux lorsqu'il s'adressa à elle.

Ma famille ne devrait pas tarder.

Oui nous devrions les attendre là.

Tu es vraiment belle tu sais ?

Surprise par le compliment, et par l'envie de le remercier spontanément lui fit faire un mouvement bizarre de recul et le rouge lui monta aux joues.

Merci mon ange...

Un sourire dessiné au coin des lèvres, elle essaya de réprimer son envie de lui voler un baiser puis son regard vint se poser sur les gens autour d'eux ce qui acheva de la calmer.
Elle se contenta de lui faire un clin d'oeil et patienta sagement que les familles, amis et autres arrivent.
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Rico6231

La missive qu'il venait de recevoir annonçant le couronnement public du nouveau Duc, réjouissait Rico.

En effet, Messire Alleaume avait toujours fait preuve d'une grande énergie positive pour le duché et tout le monde pouvait oeuvrer à ses côtés.

Il se dit, que c'était un devoir autant qu'un plaisir d'être dans la foule des berrichons ce jour là.

Lors du mariage d'Oxytan et d'Ysabeau, Rico était habillé en soldat, là ce n'était pas de mise, aussi s'est-il enquis d'une tenue plus appropriée.
Peu habitué à une tel accoutrement, il fallu un long moment pour savoir comment tout se mettait, et dans quel ordre !

Surtout, ne rien abîmer, il faudra rendre ce costume au tailleur après.

Enfin, il était prêt.

Pourvu qu'il ne pleuve pas, cela userait le tissu inconsidérement.

.

Dehors, il faisait beau, peu de nuages, bon signe.
La cathédrale enfin, le vêtement commence déjà à gratter !
Déjà plusieurs personnes étaient présentes à Bourges, qu'il salua en se tenant, à son habitude, au fond de la cathédrale.
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Arcothur

Encore une longue journée dans le bureau de Police de Bourges, après avoir rédigé tout ses rapports, le sergent Arcothur trouve un étrange document parmi les dossiers.

Après avoir lu la missive, il la repose et soupire. il se dit qu'il faut rentrer à sa demeure et mettre la tenue de cérémonie. Après tout c'est le couronnement du Duc du Berry.

Une fois paré de la tenue de cérémonie, il s'approche de l'immense cathédrale écartant de sa main les gueux qui mendient.

L'intérieur est somptueux et nombre d'hommes et femmes de prestige sont présents.

Il se met en place et regarde le Duc se faire couronner.

June

June, qui venait de recevoir le pigeon lui annonçant le couronnement du nouveau Duc de Berry, lâcha ses aiguilles, ses pelotes et ses peaux et alla choisir dans son armoire une tenue plus décente que sa tenue de travail.

Il se dirigea ensuite vers la cathédrale qu'il connaissait bien ; il passait tous les jours devant, quand il se promenait avec Lewa.

Il entra dans la cathédrale, ignora les nobles et les pauvres, il fit un signe sympathique à Alleaume qu'il aimait beaucoup et qu'il connaissait bien, puis, pour ne pas le déranger dans ce moment important, il resta avec l'assistance pour... Ben pour assister en fait.
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Robiin

Le jeune Ambassadeur.. était convient as la cérémonie du Couronnement de son Duc. Ce fut un Honneur..il ce prépara..tout bon tout parfummé..il habit y as ces fille de belle rob rouge..pas trop rouge non plus deja qu elle était belle..il allez pas les faire remarqué encore plus..sourit doucement..il prena le chemin de la Cathédrale....ces bequillle dans chaque main.. accompagné de sa juju et les enfants..enfin il ce déplacé en familles quoi ^^ Vola un baiser as sa douce avec un ptit sourire..et lui chuchote des qu on rentrara ici..sa sera nous qui seras as l Honneur rosit un ptit peut puis entra dans la Cathédral avec les deux couffin..puis s asseoya ..dans le fon as son habitude. Salua d un inclinement de Tête ceux qui connaissait.. ptit sourire..as ces fille
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Alekine

Comme à son habitude, Alek n'aimait pas qu'on le voit. Il monta dans les étages et attendit le couronnement de son ami.
Il savait qu'il serait un bon duc.

Que la paix te suive mon ami. Pensa t il
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Là où je vais? Vers mon destin, et j'y vais rapidement.
Mais non ce n'est pas une épée, c'est une croix un peu coupante.

Clethieu

Après s'être lavé, Clethieu s'habilla dans la chambre qu'il occupait à l'auberge. Cela faisait longtemps qu'il servait dans l'armée du Berry, il s'était engagé quant la guerre avait été déclarée.

Il revenait d'une opération à Bourbon et été cantoné à Bourges depuis quelques jours. Trop de temps qu'il était parti de Saint-Aignan. Fatigué, le soldat soupira. Enfin, il venait de recevoir une permission de deux jours et recevait une invitation au couronnement du nouveau duc. Il avait donc décidé de s'y rendre.

Sortant de l'auberge après avoir laissé son épée et son bouclier dans sa chambre, il se dirigea lentement vers la Cathédrale, en profitant pour découvrir Bourges. La vie militaire ne laissait que peu de temps pour flaner.
Arrivant devant l'édifice religieux, il s'arrêta quelques instants pour en admirer l'architecture. Puis il entra, se frayant un passage dans la foule. Il se trouva une place près d'une colonne et attendit que la cérémonie commence en observant la foule.

Isabelledu24

Isabelle avait reçu l'invitation pour le Couronnement du Duc Berrichon. Elle avait, pour cette occasion, revêtu sa plus belle robe. Elle avait, pare dessous son vêtement, cacher son Katana au manche incruster de diamant qu'elle porter constamment. Une fois habiller elle se dirigea vers la Cathédrale Saint-Etienne de Bourges. Elle entra timidement saluant d'un furtif coup de tête noble et mendiant puis alla s'incliner devant Alleaume puis vint se placer dans la foule les joues rouge de timidité.

Saaba

Saaba avait décidé de se rendre au couronnement du nouveau Duc, il avait bon souvenir de ses rencontres avec Alleaume et il ne voulait pas manquer l'évènement...
Vétu de ses beaux habits tout neufs (qui le génaient encore, dieu que c'est encombrant ces choses là ! ) il se dirige vers la cathédrale ...

bon encore une église.... décidément en ce moment il fréquentait beaucoup ces lieux inhabituels pour lui.... c'est beau, c'est grand mais c'est plutôt glacial comme endroit... heureusement les robes colorées des nobles dames égayaient l'atmosphère et finalement tout cela respirait la joie et la solemnité....

Saaba intimidé se cale contre un pilier, regarde Rob et sa petite famille en souriant et observe la foule .... qui vient par amitié ? qui vient obligation ? qui vient par intéret ?

Saaba se hisse sur la pointe des pieds pour mieux voir l'arrivée du nouveau Duc dans la travée centrale....

Aglaee

Elle venait de recevoir l’invitation et elle n’avait encore jamais participer a un el événement, si celon qui devait être couronner elle aurait déchirer la missive et l’aurait mit au feu prestant une maladie sévère pour ne pas s’y rendre

Pour Alleaume il en était tout autrement, serte il n’avait jamais vraiment sympathiser et peut être que plus d’une fois elle lui avait montrer de la méfiance, mais Aglaée était comme ca méfiante surtout envers les Fieriste
Elle n’avait pas confiance en eux car même si il y avait des gens bien dans ce partit elle savait aussi qu’il y avait des plus grand qui tenterai encore et encore par des stratagème de ramener la couverture vers soit
Aussi pour la première fois du moins de se qu’elle s’en souvenait elle avait reçus l’invitation de venir a un couronnement, et elle se disait que cela promettait d’être quelque chose a ne pas manqué et même si elle n’était pas concerné pour prêter allégeance elle serait présente et regarderait comment cela se passé
Aussi la belle rousse mit l’un de ses robe de cérémonie
L’un des robe que sa marraine lui avait offerte car elle était bien trop pauvre évidement pour s’en faire faire une
Elle tressa soigneusement sa chevelure et se présenta dans la salle prévu pour l’occasion

Elle regarda un peu autour d’elle cherchant un visage connue et elle fut soulager de voir saaba ..
Elle se placa juste a coté de lui et lui prit le bras

Puis murmura a son oreille

Salut toi … contente de te voir et de ne pas me retrouver seule …Elle lui sourit doucement et posa une bise sur sa joue puis elle resta sage attendant que cela commence accrocher au bras de son ami
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Pantagruel

Après avoir hésité, Pantagruel décida de se rendre au couronnement du Duc. Il en avait entendu des choses sur le Duc et pas qu'en bien, il voulait donc se faire une idée par lui-meme.
Pour l'occasion, Pantagruel s'était vetu de son plus bel haillon, il fallait pas effrayer tout les nobles pensa t-il.

Phedrora

Phedrora avait reçu ce matin-même la missive du nouveau duc, réputé pour son courage et sa vaillance, il méritait plus que tout autre sa place. Elle décida de se rendre à son couronnement car il méritait de recevoir tous les honneurs.
Elle rentra dans l'église qui se remplissait petit à petit, après un rapide coup d'oeil elle aperçut vite son frère dans sa tenue sombre. Elle vit qu'il lui avait gardé une place, elle se mit donc à ses côtés. Elle enleva au passage la poussière d'église qui s'était déposée sur la veste de celui-ci.
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Ouf!!

Une très belle journée s’annonçait…Le fidèle Alleaume, qui a fait tant de choses pour le Berry, allait recevoir une belle récompense de son dévouement pour notre Duché.
Ouf prit le temps de se préparer quelque peu et prit rapidement la direction de la cathédrale, elle ne voulait pas louper cet événement.

Une fois devant l’entrée, elle défroissa délicatement se robe de soie, puis monta les quelques marches de la cathédrale St Etienne, et se signa. Plusieurs personnes étaient déjà présentes, dont certains de ses amis, elle les salua d’un signe de tête sans vouloir gêner le silence qui régné dans l’église, puis elle croisa la silhouette du Duc du Berry. Impressionnée par le charisme qu’il dégageait, elle n'osa que lui faire un petit signe de main, puis se dirigea vers le blondinet qui était déjà installé, afin de ne pas déranger la cérémonie.
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Skeleton60

Cantonné à Bourges depuis quelques jours, Ske recevait une invitation au couronnement du nouveau duc.

C’était la première fois qu’il recevait ce genre d’invitation et se dit, que c'était un devoir d’accepter et d'être dans la foule des Berrichons ce jour là. Il avait donc décidé de s'y rendre.

En ce jour de fête, puisqu'il en était de tel pour un couronnement, Ske avait essayé de reprendre une apparence plus soignée qu'en ce moment revenant d'une opération à Bourbon en laissant derrières lui sa tenue de soldat pour quelques heures.

Sortant de l'auberge après avoir laissé son épée et son bouclier dans sa chambre, il se dirigea lentement vers la Cathédrale.

Arrivant devant l’édifice, il s'arrêta quelques instants , posa un genoux à terre et pensa à sa douce épouse Whoopie ainsi qu’à leur fille Orlane qu’ils n’avaient pas vu depuis quelque temps. Puis il entra, se frayant un passage. Il se trouva une place un peu à l’écart de la foule et attendit que la cérémonie commence.
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Artiste à "La Cité d'Artistes La Rose Noire"

Hereonus

Hereonus se tenait sur place dans la foule amassée devant la cathédrale de Bourges, il avait reçu une lettre qui annonçait le couronnement du duc .Selon lui de toute évidence le duc n'agissait pas si mal que cela dans son travail et même face a la guerre auquel il venait d'hériter, après tout il gagnait du terrain et l'ennemi du Berry finirait par se rendre tôt ou tard. Une grande confiance régnait en bon terme et il avait très envie d'assister au couronnement de celui-ci. Il restait seul parmi la foule à attendre....

Arutha_condoin

Arutha n'avait jamais assisté à un évènement de ce genre, et malgré sa pauvreté, il avait décidé de mettre ses chausses dont il avait rarement l'utilité. N'ayant pas vraiment besoin de beaucoup de temps pour se préparer, il partit rapidement pour la cathédrale assister à l'évènement.

Je pense qu'il fera un bon duc, pensa-t-il intérieurement.

Samael.b

Samael, se présenta à la cathédrale où le couronnement du duc Alleaume avait lieu.

Il était honoré d' avoir été convié. C' était la première fois qu' il assistait à ce type de sacrement. Barbe et cheveux taillés , il mit son uniforme d' apparat. Iétait presque beau, brillant comme un sou neuf.

Alleaume avait bien du mérite ; ce n' était pas facile d' être intrônisé en cette période de guerre. Son travail avec l' état-major des armées était remarquable en tout cas, réactif et efficace.

Dans la foule Samael aperçu Rico, Robiin et bien d' autres valeureux qui depuis déjà plus d' un mois se sacrifiaient durement à l' OST.
Il décida de se joindre à eux.

Salut les gars, puis-je me joindre à vous ? Ca fait du bien de sortir un peu de la garnison ne trouvez-vous pas ? Bon Rob , je sais , tu t' oxygènes régulièrement en taverne... le sénéchal intèrimaire sourit

Myrandha

Dans sa petite maison qui ne tient debout que par miracle, la tête prise à ses occupations Myrandha ne voit pas de suite le volatile qui lui tourne autours, après tout personne ne lui écrit. Ce n’est donc pas un réflexe pour elle de surveiller les divers piafs qui passent. Enfin personne ne lui écrit, si il y a bien du monde, les douaniers pour la mettre dehors, les divers chefs d’armes pour l’inciter à se faire massacrer et puis c’est tout. Agacée par le bruissement d’ailes qui la perturbe dans ses comptes et qui l’obligent à reprendre deux fois Myrandha finit par lui prêter attention de toute sa délicatesse.

Aller du vent ou je te présente à des petits pois ! Aller file de là maudit pigeon !

Voyant qu’il ne semble pas décidé à partir la jeune femme le regarde de plus près ce bon sang de pigeon qui n’a de cesse de se poser sur le rebord de sa fenêtre et voit qu’il porte un message à la patte. Tout en soupirant elle l’attrape, retire le bout de parchemin avant de le congédier sans la moindre graine, et puis quoi encore ?! N’ayant pas le temps de lire une énième demande de prise d’arme Myrandha laisse le courrier sur un coin de sa table et reprend ses comptes.

Ceux-ci finit, elle prend une pomme fauchée sur un marché afin de se caller un petit creux, attrape le parchemin, se pose sur le rebord de sa fenêtre pour profiter d’un rayon de soleil et lit enfin le document. Tout en croquant dans le fruit la jeune femme enchaîne les lignes puis sourit une fois sa lecture terminée. Ainsi donc vla que le Duc l’invite à son couronnement, est-il fou ?! C’est qu’il doit être sacrément désespéré pour en arriver là. L’invité, elle qui ne saurait même pas dire le nom du maire de son village et encore moins celui du Duc si elle n’avait pas son nom en bas de la page. Elle qui ne porte aucun intérêt à son village et tout autant au duché dans lequel elle vit. Elle qui n’a pas bouger le petit doigt aux nombreuses demandes de défense, qui en a même rigolé en déchirant les parchemins en dizaines de morceaux pour les laisser s’envoler au vent. Invitée au couronnement du Duc …. Non vraiment cette idée la fait rire.

Sa pomme terminée, le trognon jeté plus loin Myrandha pense dans un premier temps à simplement ignorer ce courrier puis elle se ravise, une peste au milieu des endimanchés et des nobliaux cela pourrait être intéressant. Décidée à y aller elle se prépare sans pour autant faire le moindre effort de toilette, elle sera vêtue comme à son habitude : une chemise noire rehaussée d’un col marron foncé et une longue jupe noire recouvrant ses bottes, le tout recouvert de sa cape tout aussi sombre que le reste. Elle ne prendra pas son épée mais aura sa dague bien cachée sur elle, pas folle tout de même et aura bien sur sa besace qu’elle ne quitte jamais, toujours aussi pratique pour y mettre ses rapines. Après tout il y aura du beau monde et il y aura surement fortune à faire. Un coup de peigne sur sa tignasse et la voilà en route pour la cathédrale.

Il ne lui faut que peu de temps pour rejoindre le lieu de la cérémonie et encore moins pour se faire une place dans un coin au fond, un endroit parfait pour regarder tout ce qui se présente et se faire une liste mentale de ceux qu’elle ira « voir » de plus près, au moment du banquet, quand les esprits seront emplit d’alcool et que la méfiance sera tombée.

Princesseyoyo

Rahlàlàlà! Duc du Berry! Depuis le temps qui la bassinait avec ça!
Déjà au bord d'un lac ensoleillé, tout les deux à lancer des cailloux dans l'eau, il lui avait dit:

"On va aller dans le Berry, et un jour, je dirigerai le duché avec toute ma ferveur! Et les gens me respecterons et m'acclameront!
Alleaume!!! ALLEAUME!!!! HOURAAAA!!!!"

Elle avait ri devant son élan vainqueur. Au début, elle ne le croyait pas plus que ça. Sa tête aussi était pleine de rêves farfelus. Mais devant son enthousiasme, sa passion de la politique, sa capacité à tout donner pour arriver à ses fins... La jeune fille avait su que son ami y arriverait.
Elle l'avait poussé à continuer et débordait de fierté de le voir chaque fois réussir. Peut-être même une petite pointe de jalousie quand à sa réussite, et voir toutes ses filles se presser autour de lui pleines d'admiration.

La lettre dans une main, l'autre sur sa blessure encore fraiche, Yohanna enfourcha Frénésie pour se rendre à la Cathédrale de Bourges.

Quelques minutes avant, elle enfonça sa capuche de velours bien profondément sur son visage.
Quelques tendances asociales ses derniers temps! Voir personne, ne parler à personne, et se sentir bien! Non mais!

Mais comme pour rien au monde elle n'aurait raté cet évènement dans la vie de son meilleur ami, la brunette entra discrètement par les lourds battants et alla se chercher une place sur les bancs du fond, dans un coin.
0 peine quelques regards vers les invités de peur de n'en croiser ne serais-ce qu'un qu'elle connaissait...
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Claire_g

Duchesse !!!! Vous allez être en retard !!!
M'en fous ! J'y ai dit qu'j'irais pas à son couronnement ! Fous moi la paix !
Vous êtes en colère encore ? qu'est ce qui s'est passé ?
M'enfin !!! j'te demande si ta grand-mère fait des courses de berouette moi ? NAN ! alors tu m'poses pas de questions et tu vas dans tes appartements ! Nan ! d'abord j'ai faim. L'a fait quoi Mano ?
Ben je sais pas... J'étais parti passer commande la robe que vous vouliez porter JUSTEMENT pour cette occasion, j'vous signale !
Hé ! Tu parles pas comme ça ! J'te paie pas pour qu'tu dises que j'fais pas les trucs biens !
Rho ! Duchesse ! Je vous soutiens toujours mais rangez donc votre sale caractère que diable ! Vous voulez vraiment le décevoir ?
J'm'en fous Lilian de c'que tu dis ! j'm'en fous C-O-M-P-L-E-T-E-M-E-N-T ! Pis t'façons, il saura même pas qu'j'y suis ou qu'j'y suis pas ! Y'a tellement d'monde à ces machins là

Déception visible sur le visage du jeune valet... oui oui ! celui qui s'occupait de sa garde-robe pis d'la bouffe au Domaine ! Il énervait la brune mais savait toujours comment lui faire admettre ses torts. C'était un chieur ! Sa place, c'était pas de faire ravaler sa fierté à la Pistolera ! Nan ! Il se devait d'approuver toutes ses conneries !

Soupir las de la brune, assise sur le fauteuil de velours...et ouais ! rouge !
Un regard en coin vers la moue de Lilian...

Bon ! et cette robe ?? tu m'las donnes ou j'dois la tricoter toute seule ?

Si tôt dit, sitôt Lilian apparait ... avec la robe commandée.... La brune fut impressionnée. Kateline faisait vraiment du travail formidable... La procur-pitaine avait toute confiance en la jeune femme, d'un rien, elle faisait un tout.
Elle fila derrière le paravent de la chambre, balança ses vêtements prêts à être lacérés par les coups d'épée en cette période, et enfila la création de Kateline...
Après une séance coiffure écourtée, faute d'aimer passer des heures à faire toute belle, elle procéda au "chignonage négligé" et sourit au miroir...Ouais y'avait pas à dire... cette foutue balafre sur sa joue... c'était quand même pas chouette... Faudrait qu'elle apprenne à déguiser ça.

Lilian ?? Ayé ! Tu viens ajuster le tout ? voir si ça va...

Et le jeune valet s'éxécute...défroisse et recoiffe... Après s'être reculé d'un pas, il hôcha la tête de satisfaction.

Norf ! n'en rajoute pas ! j'y vais mais j'reste dehors ...ou juste un salut et hop ! j'me casse ! T'façon, tu viens pas m'accompagner, j'y vais avec Zainado ! D'ailleurs il est prêt ? sinon j'vais m'en occuper.

Réponse affirmative du brun...et hop, la brune lui fait signe et s'enfuit dans le grand couloir pour aller chevaucher au travers les routes qui reliaient Déols à la Cathédrale.

Arrivée sur les lieux, la brune attache l'étalon à la robe soyeuse noire... Une tape affectueuse sur le flanc de l'animal et la voilà sur les marches...à s'demander c'qu'elle foutait là, habillée comme ça.. Presque méconnaissable.

N'ayant pas, non plus, franche envie de voir trop de monde... elle opta pour une place pas loin de la sortie... Elle aperçut Sam et Robiin un peu plus loin, leur fit un signe assez discret et adressa un salut de la tête aux autres qu'elle connaissait et qui passaient près d'elle.

Assister au couronnement, écouter les blablas et rentrer ! ça va aller ... ça paraissait pas insurmontable...pas trop
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Hipparchia

La nouvelle s'était propagée depuis un jour : le couronnement allait avoir lieu.
Enfin couronnement... Hippa pensait que c'était surtout les Rois qu'on couronnait, et à Reims plutôt, mais elle avait toujours eu un faible pour les vitraux de la cathédrale et puis un Duc c'était quand même quelque chose. Quelque chose de grand... comme la cathédrale finalement. La plus belle du royaume, à n'en pas douter !
C'est donc en quittant son labeur plus tôt qu'elle rejoignit la foule amassée sur la place et dans le majestueux édifice.

Les conversations allaient bon train : la guerre naturellement, les potins, évidemment, mais finalement c'était le temps qui occupait tout un chacun (certains disaient même que la pluie n'arrêtait pas à cause des gens qui n'allaient pas à la messe, tandis que d'autres affirmaient qu'il pleuvait surtout des pleutres faisant référence à nos charmants voisins).
Mais la populace parlait aussi de problèmes plus inquiétants : des pillages, des vivres de premières nécessité prises parmi les dernières provisions des villes et des villages, sans qu'on n'évoque que les armées ennemies...

Assister au couronnement serait un bon moyen d'oublier ses problèmes, mais Hippa savait aussi que derrière toutes les robes et les jolis tissus de la noblesse ici rassemblée, le peuple avait faim, et que parmi ceux qui assistaient à la cérémonie, il y en avait bon nombre venu quémander pour un repas, une pièce, ou, peut être pour les plus hardis, pour tenter d'adresser la parole au Duc afin de lui faire part de leurs doléances.

En revenant à la taverne, la nuit tombée, y croisant des connaissances... on discutait encore du prix du pain... et de l'absence de bière dans les tavernes !
La fête tournait décidément court.
Si certains parlaient avec une certaine animosité des "gens de la haute", Hippa n'aurait pas osé aller en ce sens.

Rico6231

Toutes ces belles robes, cela vous fait tourner la tête. Le Duc est déjà là.
Rico entendit une interpellation à la fois forte, pour être entendue, mais mesurée, compte tenu du lieu.

Ah, Samael, content de te voir. Viens t'asseoir ! Tu as vu toutes ces belles robes, c'est impressionnant. Et Claire, ça la change en mieux de l'armure, non ?

Y'en a deux par contre qui m'intriguent, une là pas très loin, elle a gardé sa coiffe je vois ps qui c'est, mais sa silhouette me dit quelque chose, et puis regarde, là-bas, celle là est pratiquement tout en noir, on n'est pas à un marriage, mais pas à un enterrement non plus.

Bon, moi je suis plus à l'aise avec les bottes qu'avec ces chausses, mais, faut c'qui faut pour l'occasion présente !

Dis donc, tu es allé chez le barbier de cette ville ?

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Roch

Roch avait reçu comme beaucoup de berrichons l'invitation au couronnement du duc. Il venait de quitter Bourges pour Chateauroux pour des raisons militaires.

Après des mois de marche, de la croisade à Genève puis un retour hatif pour épauler son duché à la guerre, voila enfin un moment heureux et de paix.

N'ayant aucune tenue pour ce genre de manifestations, il se vétit d'un habit qu'il trouva dans un coffre de sa résidence.

Arrivé à proximité du lieu de culte, la foule se pressait. Ne connaissant pas les lieux, il suivit le mouvement et s'installa comme à son habitude à l'arrière.
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Saaba

Absorbé par l'arrivée du Duc, Saaba n'avait pas vu arriver Aglaé...
Clac ! un bise sur la joue...

hey ! salut Aglaé ! moi aussi je suis content de te voir...

Saab regarde son amie en souriant

tu veux que je t'aide à monter sur banc pour que tu voies mieux?

Charles.henri

Ayant reçu missive d'invitation du Duc de Berry, à la cérémonie de couronnement de celui-ci qui se tenait en la Cathédrale, Charles Henri se rendit tôt le matin en ladite cérémonie, faire acte de présence.

Route faite, le carrosse, arriva devant le parvis de la cathédrale ou étaient déjà de hautes personnalités et autorités Berrichonnes.

Il évita de faire prêter l'attention à son insignifiante personne, s'il puis dire ainsi!. Il descendit donc et foula l'entrée de la cathédrale, pour aller prendre place aux sièges d'invités.

Remarquant quelques présences non étrangères, il s'approcha de ceux-ci, dont le maire de Bourges, la Porte parole Pandhora, et Claire, qu'il salua distinctement pour l'occasion avant d'aller rendre les Hommages au Duc, et prendre place.
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Clealan

Il était fort occupé, préoccupé même , mais le Duc avait promis une miche...bien que cela ne motiva pas son déplacement, il se passait bien de ce genre de réclame, mais cela au moins avait l'avantage de permettre au peuple de venir, et il se souvenait qu'il venait de ce peuple qui était toujours dévoué à sa terre natale, lui qui avait été choisi par la plus noble des femmes pour la représenter à l'occasion et surtout s'occuper des terres qui lui avait été confiées, donc il avait revetu une tenue de cérémonie et se présenta en cette fin de matinée à la Cathédrale, saluant tout un chacun et s'arrêtant particulièrement devant sa soeur et son fils. Une signe de tête pour tous les amis ou non , il se glissa sur un banc au milieu des rangées déjà pleines.
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Rpice

Rpice se présenta afin de prendre part aux festivités de couronnement du Duc et pouvoir présenter ses Grasces a se dernier.
Il salua les convives déjà présent et jeta un regard furtif afin de repérer le nouveau Duc du Berry
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Georgepoilu

George avait reçu l'invitation de son jeune ami alleaume et se rend donc à Bourges pour assister à son couronnement.

Arrivé sur place, il se réjouit du monde présent sur la place et essaie de se frayer un passage à travers celle ci en cherchant un endroit où poser son séant
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Brunnhilde

La brune avait été fort étonnée de recevoir personnellement une invitation au couronnement du nouveau Duc. Elle avait d'abord pensé décliner l'invitation, tout à ses fourneaux, car la boulangerie tournait à plein régime, mais avait fini par décider qu'un petit voyage à Bourges serait une saine distraction.

Elle avait chevauché la veille de la cérémonie, en profita pour examiner les dégâts que les guerres et donc, de la bêtise des hommes, avait fait subir aux récoltes. Comme c'était à prévoir, vu l'affluence en vue du couronnement, plus aucune place n'était libre dans les auberges, ni même à l'hospice.

Cela lui causait un autre désagrément, elle se présentait ce jour à la cathédrale en tenue de voyage poussiéreuse. Non pas qu'elle fut à ce point coquette, mais comme bourgeoise de Saint-Aignan, elle avait espéré à tout le moins passé des vêtements moins... poussiéreux.

Au devant de l'édifice, majestueux s'il en était, elle observait les premiers arrivants. Entre les hommes en tenue d'apparat, et les Dames pomponnées, elle se disait qu'elle était bien céan en un monde à mille lieues de la réalité de tous les jours. Mais bon, c'était un jour de fête, alors, tout était permis, ou presque.

Elle tenta de se frayer un passage pour entrer dans la cathédrale, mais fut vite arrêtée par un garde à la porte

Oh là, manante, on ne passa pas !

Pinçant les lèvres d'être traitée aussi cavalièrement, elle était prêt à laisser échapper une réplique bien sentie, assortie, si besoin en était, d'un petit passage de sa courte lame sur le cou du soudard, mais se ravisa, sorti quelques pièces de sa bourse, et les lança au visage du garde.

Voilà pour arrondir ta solde sergent, maintenant, si tous les manants te traitent de la sorte ce jour, tu seras riche ce soir, maintenant, laisse moi passer !

Le garde la fixa d'un regard vide, regarda les pièces répandues devant lui, puis pris une rapide décision, et se baissa pour les ramasser. Elle profita de cet instant pour se faufiler à l'intérieur, et se trouver un coin discret d'où elle pourrait voir la cérémonie, et, si elle s'ennuyait par trop, détailler l'architecture des lieux.
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_la_fauve

C'est avec le plus grand honneur que Fauve avait reçu l'invitation d'Alleaume. Fort heureusement, elle avait récemment fait acquisition d'une charmante robe de soirée. Elle l'a sorti de son armoire avant de l'admirer durant quelques minutes...
Pour sûr ça allait la changer de sa tenue de soldat!
Une fois qu'elle l'eut enfilée, qu'elle s'eut coiffée et légèrement poudré le nez, elle se plaça devant son grand miroir, se demandant si on la reconnaîtrait ainsi accoutrée!
Qu'importe, l'image refletté lui convennait, elle se sentait à l'aise et pas trop saucissonée!

D'un pas pressé elle se rendit à la cathédrale. Beaucoup de gens s'y dirigeaient également. Elle se faufila à l'intérieur et fouilla l'assemblée à la recherche d'une tête connue...

Lorewen

[Quelque part en Bourbonn... Heu Berry!]

Il faisait encore nuit, lorsque ses pas frôlèrent le sol de Bourbon, la tisserande, qui avait suivi sa carte, pensait donc se trouver sur le sol Auvergnat, et non dans un zone contrôlée par le duché du Berry. Décidément, elle n'y comprenait rien... La guerre, probablement.

A peine eut-elle le temps de réfléchir sur les particularités qu'elle pourrait découvrir ici, deux chevaux traînant une charrette à une allure folle failli la renverser.

-Vous êtes fous ou quoi??

Le paysan qui dirigeait la charrette s'arrêta net, et provoqua chez notre tisserande, une surprise encore plus grande.

-Non, nous sommes en retard, le nouveau duc du Berry, George dict Le Poilu doit se faire couronner dès demain, nous voulons assister à la cérémonie!
Et il lui annonça cela en souriant, rempli d'espoir.

-Mais vous êtes des paysans!! Laissez donc cela aux nobles, ou aux riches bourgeois... Vous n'avez même pas de tenue correcte, pour approcher de telles personnes. Il vous faudrait de beaux mantels, des cols et des bottes...

L'homme la regarda en réfléchissant...

-Moi non, mais vous si... Vous pourriez peut-être nous aider, montez donc!

Elle réfléchit une seconde, avant que deux jeunes hommes la portèrent pour la faire entrer de la charrette, qu'elle soit d'accord ou non: A vrai dire l'idée d'un passage dans le Berry ne lui était pas désagréable. On lui avait conté tant de choses, déjà George, le duc. Elle n'était pas encore né qu'il était déjà duc, et cela, elle ne le comprenait pas. Mais comment faisait-il? Peut-être avait il un charisme démesuré, un regard envoûtant hypnotisant les électeurs? Ou peut-être que les urnes du Berry étaient fabriquées pour ne faire sortir que les bulletins portant son nom?
D'un autre coté, que le Duc du Berry soit toujours le même ça l'arrangeait bien, au moins quand on lui demandait, elle savait répondre...

Ensuite, quelque chose d'autre l'intéressait bien, à propos du Berry.: Petite on lui avait conté qu'ils avaient des tas d'alcool différents, des spécialités. Une liqueur de poire, une boisson crée par un duc dont le nom avait été modifié (Hélas elle ne se souvenait plus du nom, du Georgounet, peut-être...) Et elle voulait aussi savoir, si ils disaient vraiment Norf à chacune des phrases! Ce mot l'intriguait au plus haut point, d'ailleurs. Que voulait-il dire?

Et June, ce tisserand que l'on disait extraordinaire, peut-être aurait-elle alors la chance de le croiser? Un voyageur avait tant vanté ses mérites, qu'elle s'était jurée de le rencontrer un jour.

[Arrivée devant la cathédrale de Bourges.]

-Voilà mam'zelle, nous sommes arrivés! Avez vous une idée pour nous faire rentrer maintenant?

Elle observa: les gens étaient fort bien habillés, il y avait du vert, du rouge... De magnifiques bleus, aussi. Elle piocha quelques idées en les observant, pour ses prochaines tenues ou réalisations.

-Ils ont des invitations, on ne pourra pas entrer... Plus qu'à rester là et attendre que le Duc ressorte... Malgré leurs mines déçues ses collègues de route durent se rendre à l'évidence, ils ne le verraient pas de sitôt. La jolie tisserande, elle, s'éclipsa sans les saluer, de peur qu'ils ne l'empêchent de partir... La foule de paysans qui n'osaient point tenter de franchir la porte de la cathédrale était grande, à présent, ce duc devait surement être aimé... Lorewen s'était mise à l'écart, contrastant avec sa houppelande bleue, qui donnait d'avantages l'impression qu'elle était une bourgeoise qu'une paysanne. (Et à vrai dire, elle était un peu entre les deux.)

Rapha13

Et oui c'était au tour de l'archidiacre d'arrivé. Il sorti d'un carosse magnifique aux couleurs de l'archeveché de Vienne...il avait, pour l'occasion mis ses plus beau effets

C'est ainsi qu'il entra dans la cathédrale celle où il ne pensais jamais plus rentré et pourtant le Berry le rapelle tout le temps, et puis certaines guerres rapprochent plus que d'autres...

Il vit toutes les personnes qui était arrivé puis il reconnut george et il alla s'assoir à côté de lui...

Alors papy comment ça va ? tu t'es bien remis de tes blessures ?
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protégé de Sa Grandeur Izidore de Castelléo, Chevalier-Sénateur de Rome(cliquez sur la bannière)

Dallas

Après une dure journée de travail à labourer son champ de maïs, Dallas rentra chez lui.

Et quelle ne fut pas sa surprise en voyant une invitation officielle sur le pas de sa porte .... Une invitation pour le couronnement du Duc Alleaume de Niraco !

N'ayant plus rien à faire de la journée et comme tout était calme aux alentours de Sancerre il parti jusqu'à Bourges pour y assister.

Arrivé à Bourges, il y avait tellement de monde qu'il était impossible d'aller sur la place publique... Qu'à cela ne tienne, il escalada un pan de mur et observa le couronnement (enfin ce qu'on pouvait voir de dehors) perché sur le toit d'une maison avec pour compagnie un chat gris sur sa droite.

Fanfanlarose

[ Châteauroux, à la mairie]

Puisque je vous dis que ce n'est pas priorité à l'heure actuelle, ce n'est pas la priorité, exclama-t-il à un cuisinier, spécialisé dans les recettes de légumes ; j'ai, tout en montrant la pile de missives empilées sur son bureau, une multitude de lettres à rédiger, à envoyer, que se soit au Duc, aux conseillers ducaux, aux conseillers municipaux et aux Castelroussins pour la défense de la ville, prendre, dans les plus brefs délais, les décisions nécessaires alors votre "soupe aux petits poids et lardons fumés", une autre fois. Fanfanlarose lui serra la main, lui invitant à prendre congé.

Je l'aime bien au fond, pensa-t-il tout haut en prenant place sur son siège, mais, en temps de guerre, me parler de "soupe aux petits poids et lardons fumés"... Il prit des lettres et commença à répondre aux premières. C'était au tour de la deuxième missive du Duc ; cette fois-ci, elle concernait une invitation à son couronnement. Pensif, comme à son habitude, il analysa la situation. Il se leva, prit son manteau. Je m'en vais à Bourges le temps d'un couronnement, dit-il à une secrétaire de mairie, je reviens dès que je peux. Ah oui ! Dîtes à notre ami qu'il est bien gentil, mais sa "soupe de petits poids et lardons fumés", ce n'est pas le moment. Dîtes-lui bien que le Maire de Châteauroux a d'autres chats à fouetter. Ne comprend-t-il pas, tout en levant ses bras au ciel comme pour exagérer le ridicule de la situation, dans mes lettres que je lui envoie ; que Châteauroux est menacé et qu'on doit se préparer à combattre. Je n'ose même plus l'inviter dans mon bureau pour le convaincre de peur d'être assailli de sa "soupe aux petits poids et lardons fumés".

[ A Bourges, dans la Cathédrale]

Déjà, la Cathédrale était pleine. Des femmes, des hommes, pour la plupart magnifiquement bien décorés, habillés. Fanfanlarose n'aimait pas les mondanités ; il était venu en costume de tout les jours, comme il venait quotidiennement à la mairie de Châteauroux. Il préférait mille fois se perdre dans ses réflexions, analyses, ses courriers rédigés et dans ses activités politiques pendant que d'autres préféraient flâner dans les prés ensoleillés ou boire en taverne. Mais, il était venu afin de montrer au monde que, de Sancerre, à Châteauroux et de Saint-Aignan à Bourges, le Berry était uni dans cette guerre malheureuse. Le FIER et l'opposition, berrichons avant tout, ensemble face aux ennemis du pays.

Il reconnut sa sœur qu'il trouva fort charmante dans cet habile, son frère Clealan, son ami Saaba, quelques conseillers ducaux avec qui il travaillait quotidiennement.
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"Châteauroux, petite bourgade aux grands évènements"
Fanfanlarose

Maire de Châteauroux
Archiviste politique du Berry

Vincent07

Vincent arriver dans une tenus rouge pour assister a l événement du couronnement du duc du Berry , il était très content de le voir de loin certes mais très content quand même d autres personne importante était aussi la, il en saluer quelque un de la main .

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Choose1

choose après avoir fait ses tournée de pains pour que messire Mine puisse approvisionner l'armée.
elle en remis deux autres tournée pour son retour qu'elle confia à un commis.

Puis quitta la boulangerie et passa par la mairie vérifier que tout était en ordre.

elle y trouva comme à son acoutumé son fils zelgius plongé dans ses écritures,
elle se permit donc de lui rappeler l'invitation et de le ramena au domaine avec elle .

En arrivant, avant de monter a sa chambre, elle toqua chez sa fille Sannya
afin de vérifier si la jeune fille avait trouvé la robe neuve confectionnée exprès pour la cérémonie
Puis alla elle même se changer et se préparer avec grand soin pour cet évènement.

Prêt et encapuchonner dans de grandes capes, elle manda le coche, qu'ils attendirent sur le perron
elle profita pour admirer ses enfants, son fils zel et sa fille sanny étaient magnifiques,
ils avaient tous deux revêtue des tenues approprié à l'évènement.
ils montèrent tous trois dans le coche pour une longue nuit de route
avec deux les gardes armès déjà assit prés du cocher qui devaient assurés leur protection
car exceptionnellement, son époux partit pour noirlac, ne les accompagnait point
Quand à ses deux autres fils, ils étaient déjà à bourges dans l'armée

Ils arrivèrent au moment où le couronnement commença.

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Zelgius

Voilà qu'il ne trouvait plus ce qu'il cherchait, un des papiers les plus important qu'il avait trouvé, entendant quelqu'un toquer à la porte de son bureau, il leva les yeux et vit sa mère qui lui rappela qu'ils étaient convié au couronnement du duc.

Comment ça ? Le couronnement, quel couronnement ? Ah oui le duc c'est vrai... c'est en ce moment ? Je croyais que ça n'avait pas encore commençait ?

Laissant ses papiers, qui eux ne fuiraient pas, il alla enfiler la tenue qu'on lui avait préparé pour l'occasion, que lui n'aimait pas.

Qu'est ce que c'est que cette tenue encore ? On dirait un amalgame de différents tissus de je ne sais où, pourquoi pas une tenue normal ? Tss

Le brun était de mauvais poil, il n'aimait pas être interrompu dans ses papiers et c'était le domestique qui prenait évidement...

Un fois fini de s'habiller, il alla dans le coche qui les mènerait à la cathédrale de Bourges. Sans les discussions et les rires le voyage l'aurait certainement endormi mais pour une fois il sorti du coche plus souriant qu'en y entrant.

La cathédrale le laissa stupéfait un petit moment, l'église de sa mère lui manquait bien au moment d'entrer, l'endroit étant beaucoup plus convivial et vivant que le grand bâtiment.
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Fee.linotte

fée arriva intimidée, elle avait encore reussit a emprunter une robe et celle ci encore plus jolie... elle se demanda soudain si elle n'etait pas cendrillon des contes de fées.

remise de ses pensées aeriennes, elle penetra dans las lieux du courronement et salua de la tete zel et choose puis resta dans un coin attentive a ce qui se deroulait devant elle.
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Zephir

Après avoir assisté a un défilé de haute couture made in Berrichon’s noblesse, il aperçu sa famille. Maintenant que sa mère, sa sœur et son frère Zelgius étaient arrivés, Zephir pouvait se tourner vers sa douce. Il lui sourit et lui dit.

Maintenant nous pouvons entrer.

Il lui offrit son bras et entra en silence dans l’édifice. Une drôle de pensée lui vint en tête. Il se mit à penser au mariage. Un léger sourire s’afficha sur ses lèvres. Quelle drôle d’idée. Lui qui aimait tant sa liberté, étant prêt a tout sacrifier pour elle, se prit à penser au mariage. Il regarda Kateline. Elle était rayonnante ce jour. Plus belle de jour en jour. Il laissa échapper un léger soupire d’extase.
Il vit quelques places de libre devant. Il s’arrêta, laissa son aimée s’asseoir en première puis se posa a coté d’elle.

Bien, j’espère que ça ne va pas être trop long …
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Nouchkas

Nouchkas arriva enfin, suite a la missive que tout un chacun avait reçus , pour le couronnement de Messire Alleaume.
Elle se joint à la foule toujours avec discrétion. Elle fit un léger signe de tête en guise de bonsoir a certaines personne quelle connaissait et apprécier ... se mis légèrement à l'écart bien placer pour voir ma suite des évènements .

Il est interdit d'utiliser mes créations sans mon accords " merci de respecter mon travail"
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Link125

Link passait dans le coin est se rend parmis la foule pour applaudir l'événement...

Il regarde autour de lui se méfiant de toute represaille...

Garde sa main sur son épée en surveillant les alentours.....
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Kateline

Sur le perron de la cathédrale, la Brune assista à une représentation de ses plus belles œuvres, ainsi que d'autres plutôt jolies. Même si le défilé semblait agacer Zephir, Kat quant à elle ne put s'empêcher d'admirer les belles étoffes, déformation professionnelle dira-t-on.
Elle aperçut soudain dans la foule Zel et le reste de sa famille. Elle se tourna alors vers Zephir qui les avaient déjà vu et qui l'invita à le suivre.
Toujours à son bras, elle entra dans la cathédrale et remonta l'allée, saluant les amis et connaissances. Mais dans le fond elle n'avait d'yeux que pour lui, et lorsque son regard croisa le sien c'est un sourire radieux qui se dessina sur ses lèvres.
S'il n'y avait pas eu la guerre qui les attendait à la sortie elle aurait sûrement été comblée.
Elle se laissa entrainer vers un banc libre à l'avant, et une fois qu'ils furent installés elle sourit à la remarque de son aimé et lui chuchota...
J'espère aussi, en tout cas il y a du monde, Alleaume doit être content...
D'ailleurs elle salua le Duc qui attendait près de l'hôtel d'un signe de tête et d'un sourire puis attendit le signe d'un début de cérémonie.
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Sannya

Sannya qui était un peu en retard, rejoigna sa mére et ses fréres. Elle était émerveiller par tout ces jolies chose. Elle assista a la cérémonie avec emerveillement.
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Bonnie

[Quelque part dans le Berry ou plutôt dans un trou d'latrine]

Un jour comme un autre... des heures comme les autres, à ce faire chier, à tourner en rond... à d'venir folle quoi ! mais c'tait l'quotidien d'la brune, surtout d'puis qu'elle s'était fait poutrer par une des armées du Berry, dont j'tiens à dire bah qu'z'étaient vraiment pas gentil eux, mais bon après être passé par bon nombres d'états, comme la nervosité, la déprime, l'envie de se pendre ou d'en pendre certains qui lui tapait sur les nerfs et j'en passe, elle avait quand même réussit à r'prendre le dessus et tout ça, grâce à son ti parrain, qui gentiment avait traversé la moitié du royaume pour lui t'nir compagnie dans c'trou qu'était Sancerre... Y'avait quand même pas idée que d'vivre dans tel coin ! Les gens qui y vivaient d'vait quand même bien c'faire chier... quoique... les trente trois jours qu'elle avait d'jà passé, elle n'avait pas vu grand monde... enfin ne nous éloignons pas du sujet là, c'tait un jour bien spécial, j'dirais même, ce jour était ZE JOUR !.

Donc en ce 9 Août de l'an de grâce 1459, voilà qu'elle reçu un zozio, et pas n'importe lequel je vous prie ! mais celui du Duc pour son couronnement... Bon c'genre de truc n'était pas vraiment pour elle, tout les blablas, les z'hommes habillés comme des paons et les donzelles... erf à sentir l'parfum à des kilomètres comme ci l'parfum pouvait servir d'savon... mais bon chacun son truc... puis là ce qui l'intéressait vraiment, c'tait ce superbe pigeon. C'est qu'il était bien beau, avec ses plumes et bien gras comme elle les aimait la bonnie... Elle se voyait d'jà en train d'le rôtir avec d'bon p'tits légumes qu'elle vol... 'fin... qu'elle d'manderait gentiment à un paysan. Oui mais si l'Duc réclamait son zozio et qu'elle l'avait bouffé ! elle aurait sûrement des ennuis... C'est donc avec regret, qu'elle l'enfourna dans sa besace et prit la direction d'Bourges.

[Hola Bourges... et c'te fois sans être poutrée !]

La nuit avait été longue mais en compagnie d'son parrain, elle avait été quand même plus courte... tout cas bien plus courte qu'si elle avait fait l'chemin seule, à s'parler à elle même. Non pas qu'elle était folle... ou si p'têt' un peu mais rien d'bien grave hein... Pas d'quoi la faire enfermer. Ils étaient donc arrivés, dans la cité qu'était Bourges. Ils visitèrent rapid'ment quelques ruelles, à la r'cherche d'une auberge, pour d'une, bouffer un bout et d'deux, pour c'laver. Parce qu'd'jà qu'ils étaient pas des gens d'la haute mais si en plus, ils arrivaient tout dégueulasses, ça n'allait pas l'faire du tout ! Donc une fois l'auberge trouvée, chacun prit d'quoi bouffer et ensuite sautèrent dans leurs bains respectifs et une fois l'tout emballer, sortirent pour r'joindre la cathédrale et assister au couronnement d'Alleaume.

La brune avait d'jà entendu parlé d'ce gars, ainsi qu'd'aut' qui vivaient à Châtelroux. Lancelot et sa femme, ses amis, lui avait dit qu'les gens qu'y s'y trouvaient était tous sympas et plutôt simple dans leurs manières... Elle allait donc voir ça... parce que c'genre de personnages, la brune en connaissait aussi, mais eux par cont' était plutôt l'inverse. Imbus d'leurs personnes, qui r'gardaient les pauvres de haut, comme-ci ils avaient la lèpres... 'fin bon, elle verrait bien, puis elle f'sait une totale confiance à ses amis, elle s'rait donc pas déçu... 'fin elle l'espérait du moins.

Et marchant aux côtés d'son parrain, elle s'mit a pensé à la chose qui était pour elle, assez importante, du moins l'était dev'nu... la boisson ! Bah ouais, quand y a rien à faire dans un trou, faut bien boire pour oublier où vous z'êtes. Elle prit donc son parrain par le bras et d'un sourire narquois

"Dis l'parrain ! t'crois qu'le Duc a pensé à prendre des fûts d'bière ? parce que, faire tout c'ch'min et rien boire à l'arrivée, c'fout l'mort quand même !"

Ah oui, parce que j'vous ai pas dis, mais c'est qu'à Sancerre, bah y a rien à boire ! ah si j'mens, y a l'eau d'l'abreuvoir des ch'vaux mais franch'ment peut pas dire qu'ça soit top quoi...

Irl : Ljd Alleaume, juste pour info, ma poupée ne souhaite pas avoir de pain comme le stipulait la lettre

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Claudelle

Suite à l'invitation du Couronnement du Duc de Berry, (venez mes petits, venez!) pas nécessaire
Claudelle arrive à la cathédrale, tout de noir vêtue, par respect pour les morts de cette présente guerre

Elle est encore très faible, elle s'asseoit dans le dernier banc et observe. Elle connait très peu de personne mais salut avec un sourire les gens qui la regardent.
En attendant le début de la cérémonie, elle prend un livre et commence à lire...
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Taf

Parmi la foule, le pas encore citoyen regardait.

Une envie jalouse oppressa son coeur à voir tous ces beaux atours défiler. Un jour lui aussi sera paré et pourra alors se montrer. Il y travaillait.

Quoiqu'il en soit il avait de la reconnaissance pour ce Duc qui avait permis l'augmentation des terres du Duché.
Restait à savoir ce que l'Auvergne allait répondre. Même si pour l'instant, leur situation intérieure restait floue, suite aux récentes élections.
Baste! Pour le moment place à la fête et au decorum.

Il profita donc du spectacle, grignotant distraitement son quignon de pain agrémenté de lard.

Bubul27

Bubul avait reçu missive par pigeon pour le couronnement de son ami Alleaume.

C'est bien volontiers qu'il abandonna sa position stratégique de défense à Sancerre et qu'il se rendit en sa bonne ville de Bourges, pour l'évènement.
Il y aurait certainement moultes dames plus belles vêtues les unes que les autres, mais sa Divine les surpasserait de loin.

Il se présenta donc à la cathédrale et y pénétra. Malgré le peu de luminosité du lieu, car il venait de l'extérieur, il la reconnut entre toutes et alla s'installer juste derrière elle. Elle resplendissait et de sa présence, faisait rayonner ce lieu saint.
Il lui souffla de petites brises dans le cou mais évita de lui montrer sa présence.

Puis, il s'installa au fond de son siège pour suivre la cérémonie de couronnement.

Mais son esprit était ailleurs, son regard posé sur sa Divine.
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Alleaume

Désolé un peu pour la taille du pavé, mais je pensais pas qu'autant de monde répondrait, j'ai essayé de synthétisé vraiment

. Bon jeu à tous et c'est un pure plaisir de vous lire !

* Le jeune homme se tenait toujours droit, et immobile, il avait peur que l'attente soit fort longue, il savait qu'il avait beaucoup d'autres choses à gérer, après les festivités. Mais la coutume voulait que le Duc se fasse obligatoirement couronné. Et puis il avait pensé que les Berrichons seraient heureux de venir partager, pains et festivités, surtout dans ces temps de guerres difficiles.. La famine qui gangrenait le Berry avait fait perdre le morale des plus démunies et des plus faibles.. Alleaume espérait voir la fin de cette guerre arriver au plus vite, car il souffrait de voir son peuple martyr... Martyr de la folie des puissances l’entourant..

Petit à petit, il voyait le monde arriver dans la Cathédrale, il était étonné du grand nombres ayants répondus présent à son invitation, il se sentait même gêné, il n'avait jamais vu autant de monde se déplacer pour un événements donc il était le centre d'attention.. Et la foule qui attendait dehors, sur la pointe des pieds, afin de pouvoir enregistrer dans leur mémoire, le moment historique, où la couronne Ducale allait se poser sur sa tête.. Beaucoup des personnes présentement venus, lui avait confié n'avoir jamais assisté de toute leur vie à un couronnement.. Certains avaient l'air même tout excité à cette idée !

Il fût alors interrompu dans ses longues pensées par un "Votre Grâce", il secoua la tête et se tourna pour voir son amie la Duchesse, il souriait enfin, la crispassions était partit, il se pencha un peu vers elle et lui parla à l'oreille *

Norf, tu as vu le monde qui est là ? Il n'y aura jamais assez de places dans la Cathédrale.. Il faut que l'on attende encore un peu ? Que dois je faire maintenant ? Dois-je rester comme une statue devant l'hôtel ? C'est pas que je me sens mal mais.. Pfiou il y a un monde !

* Il sentit quelques choses lui gratter le dos, c'était ce costume qu'il avait acheté, il ne se sentait pas à l'aise dedans, il le savait, heureusement il était fort beau.. Mais ce n'était rien comparé au défilé de toute beauté qui passait devant ses yeux.. Toutes ses gazoutes qui c'était faites belles pour leur Duc, il ne pouvait qu'apprécier.. Puis toute les femmes de la noblesse, toujours habillée très élégamment comme le caractérisait leur rangs. Les non-nobles aussi avait sortie les grandes coutures.. Au final, il se demandait bien qui était la plus belle ?

En voyant tout ceci, il se demanda, si à la fin, il devrait pas les faire passer une à une devant lui, afin de voir qui était la plus belle.. Mais il se demandait ce que les prêtres présent pendant la cérémonie en penserait..? Ce ne serait sans doute pas de leur goût.. Et puis hop, une nouvelle voix l'arrêta dans ses dérives, " Votre Grandeur... ", petit demi-tour, et les yeux grands ouverts..
Sa grande amie Cooky, qu'il n'avait pas revu depuis si longtemps, se trouvait devant lui, dans une robe des plus magnifiques, il se dit qu'elle était devenue fort élégante avec le temps et que cela lui allait bien.. *

Cooky ! Quel plaisir de te revoir ici ! Depuis le temps, et puis quelle belle robe ! Mais tu es devenue riche ma parole ? Tu as enfin réparé les troues à tes poches ?

* Le jeune homme éclata d'un petit rire, afin de ne pas entacher le respect de la demeure du Très-Haut, et puis, il l'a prit par les épaules, afin de la remercier de sa présence, elle était venue de si loin... Il espérait surtout qu'elle n'allait pas partir bien vite.. Il lui murmura alors .. *

Oh par contre, on dit Votre Grâce pour un Duc, fait attention à ne pas l'oublier, certains sont pointilleux.

* Trop de formalité tuait la formalité selon le jeune Duc, et vas-y qu'on lui donnait de "Ta Grâce", " De la Grandeur ", du "Monsieur le Duc".. Et tellement encore..
Lui qui aimait la simplicité, il était servit..

Au fond de la Cathédrale, Alleaume aperçu un groupe de plusieurs soldats de l'Ost, il avait travaillé de mains en mains avec eux depuis deux mois maintenant, et tous et toutes étaient très impliqués dans leur travail, c'était un plaisir pour le jeune Renard de travaillait avec les militaires du Berry, malgré qu'ils étaient dans le fond, il leur adressa un signe de salut de la main et les gratifia d'un sourire afin de les remercier de leur présence..

Capuchon vissé sur la tête, il reconnu la démarche de Yoyo, SA Yoyo, la seule vraie grande amie qu'il avait connue dans sa vie, toujours au prêt de lui, dans les bons comme mauvais moment.. Il la savait en peine en ce moment, en la voyant prendre place discrètement, Alleaume, porta une main sur son coeur et murmura : " Merci ma Yoyo d'ête là.. Merci.. "

Le monde arrivait encore et encore, si cela continuait ainsi, il se disait qu'il n'y allait bientôt pas avoir assez de places sur les bancs..
Il vit plusieurs de ses amis et compagnons du Fier, il était content de les voir là, tous l'avaient toujours soutenus, et une réelle amitié était né avec plusieurs d'entre eux, et puis bien sur, les Renards, sa deuxième famille..
Mais même l'opposition était venu nombreuse. Le tableau qui était en train de se peindre dans la Cathédrale était digne de rester dans l'histoire du Berry pour de longues années..

Arriva aussi Claire.. Il ouvrit quelques peu les yeux en grand à son arrivé, à dire vrai, depuis qu'il l'a connaissait, il ne se souvenait de l'avoir vu qu'une fois en robe, et c'était pour son mariage.. Finalement, cela lui allait mieux que l'uniforme de capitaine.. Il ne pu s'empêcher de penser, qu'elle était la plus belle parmi toute les belles, en ce jour de festoiement pour le Berry.

Il avança de quelques pas et s'éloigna de l'hôtel en direction de la foule rassemblée, et il murmura quelques mots..*

Merci à vous tous d'être venu..

* La cérémonie allait sans doute commencer d'un moment à l'autre, et les derniers conviés n'allaient sans doute pas tarder... *
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Saint Louis... Pardonne lui !

Calixte

Calixte n'avait point le gout à la fête en cette periode de deuil, mais il avait eu l'occasion lors d'un conseil de pouvoir contoyer le nouveau duc et le jeune homme l'apprécié pour ce quil faisait pour le berry.
Il se fit donc le plus discret possible et regarda.

Pikatxu

Lors de son arrivée, pika fut impressionné par le nombre de personnes qui se trouvait là à attendre le courronnement du nouveau duc.

Apercevant Dame Claudelle il se permit de la saluer et entamme la conversation parlant bien sûr de leur lieu de rencontre favori, les bancs de l'université.

Claudelle

A la vue de Pikatxu, Claudelle range son livre et passe un bon moment à discuter avec son confrère d'université

Cela lui fait bien plaisir de penser et de discuter d 'autres choses que la guerre
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Cooky

Elle avait hésité à s'arrêter voyant la foule se presser. Mais n'étant pas certaine d'avoir une autre occasion de l'apercevoir, elle avait finalement tenté une approche... qui fut récompensée par l'attention que le duc lui accorda.

Cooky ! Quel plaisir de te revoir ici ! Depuis le temps, et puis quelle belle robe ! Mais tu es devenue riche ma parole ? Tu as enfin réparé les troues à tes poches ?

Eberluée et un peu gênée, elle lui fit signe de la main de parler moins fort tandis que ses joues se coloraient d'un rouge soutenu assorti à sa robe.

M'enfin quelle drôle d'idée !
Je n'ai pas quitté le club des fauchés depuis que nous l'avons fondé.
Cette tenue est un cadeau de Dotch... et euh, la seule robe que j'ai qui ne soit pas rapiécée pour être franche.

Elle lui sourit, ravie d'avoir pu être là à temps pour lui. Elle avait promis ce voyage depuis des lustres sans parvenir jamais à se libérer. L'occasion faisant le larron, elle avait saisi celle-ci pour faire enfin un (grand) saut en Berry, bien que ce ne fut pas au goût de tout le monde.

Mais bon, nous discuterons chiffons une autre fois, avec tous ces gens venus pour te voir, c'est toi le héros du jour, pas ma robe.

Oh par contre, on dit Votre Grâce pour un Duc, fait attention à ne pas l'oublier, certains sont pointilleux.

Nouvelle accès de rougeur au niveau des joues...

Ah... mais... en Béarn on dit Votre Grandeur... je n'y comprendrai jamais rien je crois.
Mais pour toi je vais faire un effort.. Votre Graciosité, je devrais retenir.

Les berrichons continuaient à se presser dans l'édifice. Du coin de l’œil elle voyait les bancs se remplir rapidement. Elle était impressionnée de voir autant de monde dans une cathédrale. C'était un couronnement certes mais... Alleaume devait être fort apprécié séant pour que l'on se déplace ainsi pour lui. Tout le contraire du Béarn.
Un peu triste soudain de ce passé qui laissait trop de traces derrière lui, elle se fendit en une révérence maladroite et prit congé de son ami.

A plus tard Votre Graciosité.
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Zoyah

Châteauroux...

Le calme régnait sur les premières lueurs du jour.
Zoyah était rentrée de chez les moines depuis peu. Aussi, elle avait conservé quelques habitudes du monastère. La Baronne était levée chaque matin aux aurores et consacrait ses premiers instants à la prière. Quelques vœux et aveux murmurés à l'oreille du Très-Haut.
L'aube s'étirait doucement dans son édredon de brume lorsqu'un valet en livrée, plus fat qu'un courtisan vint lui remettre un pli scellé. Elle le congédia poliment et elle se contenta de jeter la lettre sur son écritoire avec une certaine nonchalance, repoussant sine die sa lecture. Et oh.. le coq n'avait même pas encore chanté, faut pas abuser non plus.
Une longue journée l'attendait... mais elle était loin d'ignorer à quel point.

Dès le lendemain, elle devait partir pour une mission particulière qui ne souffrirait aucun retard et de ce fait, elle devait régler quelques affaires personnelles avant son départ. Elle posa donc le message sur son bureau et s'attela à rédiger quelques consignes pour ses gens. Une de ses lettres prendrait la route de la Champagne et avertirait ses commensaux resté là-bas qu'ils pouvaient revenir avec le petit Fabian. Des mots courts, efficaces et pressants afin que Lise comprenne l'impatience de la jeune mère. Elle s'était saisi aussitôt d'un deuxième vélin , mais avant même de laisser courir sa plume, elle arrêta son geste. La Baronne avait repoussé l'ouverture du pli, prétextant quelques travaux impératifs et craignant qu'il ne contienne quelques contraintes forcées qui la priverait irrémédiablement du temps qu'elle avait besoin pour s'organiser. Et si s'était important ? Décidément, cette missive lui faisait de l'œil ce qui l'empêchait d'avancer dans son labeur épistolaire. L'étude du sceau lui indiqua qu'il s'agissait d'un écrit officiel du Duc en place. Elle soupira sa lassitude et décacheta ce qui était en fait une invitation pour le couronnement. Quelques instants plus tard; sa voix retentit dans le vestibule.. mandant qu'on lui prépare une toilette et que le père Martin attèle les chevaux au carrosse. Il y avait pour au moins cinq heures de voyage jusqu'à Bourges.

Bourges...

Prévenue de justesse, le convoi se heurta à la densité de la foule qui se massait déjà au pied de la cathédrale de Bourges. Il demeure que l'ensemble dégageait une sévérité onctueuse qui parachevait sa somptuosité. Mais même ce lustre d'antan ne parvenait à chasser les préoccupations de la Baronne. Elle était certainement en retard au couronnement... et elle avait dû abandonner ses préparatifs à la valetaille. Le carrosse peinait à se frayer un chemin alors elle stoppa le carnage et préféra faire le reste du chemin à pied. Il ne lui plaisait guerre de louvoyer entre les uns et les autres, mais elle n'avait guère le choix. Lorsqu'elle pénétra enfin dans la cathédrale, elle dû marquer un temps d'arrêt. La noblesse et le peuple s'entassait vaille que vaille. Le bourdonnement des conversations se répercutait sur les murs.
Les silhouettes, si nombreuses lui semblaient toutes indistinctes mais elle parvint à repérer Aglaée. Point besoin de lisser sa robe, le slalom entre les uns et les autres avait eu raison des plis.

Après avoir salué quelques amis et connaissances, elle vint poser son postérieur juste à côté de sa filleule.
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Josybabas

La duchesse de Mornay en Berry entra a son tour saluant des connaissances et amis lorsqu’elle les croisât.

Apercevant sa grande amie la Vicomtesse d’Issoudun et Sieur Pikatxu au dernier banc décida de les rejoindre.

Ravie de vous revoir et encore en vie en regardant la Vicomtesse
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Asterie

[Quelques jours avant la cérémonie au domaine de Château neuf sur Cher].

Asterie reçue une invitation du Duc pour son couronnement elle nota la date sur un parchemin avec tout ce qu’elle avait à faire …Elle prit un parchemin et répondit qu’elle y assisterait .
Elle se rendit dans les appartement s de sa fille Brianna pour lui annoncer au cas ou cela l’intéresserait de s’y rendre avec elle .
Ce qui était bien entendu une question superflu connaissant sa fille .

Brianna je viens de recevoir un invitation du Duc pour son couronnement veut tu? ...

C’est quand !

Hum c’est dans …

Je me dépêche je vais me choisir une robe .

Ma chérie tu as un peu de temps devant toi.

Du temps maman avec mes études , les journées interminables au cabinet médical , mes obligations..Il faut que …

Asterie soupira et acquiesça comme tu veux ma chérie comme tu veux.

Je suppose que mon cher frère ne nous accompagnera pas .

Je ne sais pas il est inviter bien entendu s’il veux venir .

Brianna sourit . Bon aller je vais voir ce que je vais me mettre il me faut linette qu’elle me fasse des essais de coifure et…

Asterie sourit et sortit en soupirant. Elle ne changera donc jamais …

[Le jour de la cérémonie].

Asterie avait emporter une toilette au château c’était préparer et se rendit à la cérémonie .

Il y avait du monde elle attendit quelques instant voyant si elle apercevait sa fille et son fils …
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"Labor improbus omnia vincit"

--Brianna

Brianna d’Ambparé arriva au château accompagner de Firmin le cocher de la famille .

Nous voilà enfin je pensais ne jamais arrivée ! Je n’aperçois pas ma mère tu la vois Firmin ?

La Baronne votre mère se trouve la bas regardez Damoiselle Brianna .

Ou cela je …Vous pourriez faire attention ! Elle venait de se faire bousculer.

Bien pardon ! La femme la regarda avec sans plus de considération pour sa personne .
Brianna la regarda puis se dirigea vers sa mère.

Me voici maman que de monde je n’arrivais pas à passer, te rend tu comptes que l’on m’a bousculé et même pas des excuses convenables.

Ma chérie il faut y aller nous en reparlerons plus tard .

Oui, oui , Maxence n’est pas là ? Il doit encore être en taverne avec ses acolyte d’amis.
Comment me trouve tu?

Tu es très jolie aller on y va.

Elles se dirigèrent vers le maître de cérémonie.
On leur indiqua ou se placer. Brianna souriait et salua les personnes qu’elle connaissait ravie et fière de se trouver dans ses lieux.

Arhiana

Arhiana qui était stationnée sur Saint-Aignan, avait reçu une missive de Alleaume, leur nouveau Duc, pour assister à son Couronnement, se rendit vite au Domaine de Buzançais, pour se faire belle et faire honneur à la famille des Arundel des Olonnes.

Elle demanda à Capucine de l'aider pour prendre un bain et après pour l'aider à s'habiller et à se coiffer aussi.

Elle demanda à Benoit de la conduire à la Cathédrale de Bourges en carosse aux couleurs de la famille. Le trajet fut vite fait et la brunette était dans ses pensées en plus, et cela lui faisait plaisir de remettre enfin une belle robe, cela changerait de l'uniforme de l'OST.

Benoit lui ouvrit la porte et l'aida a descendre du carosse. Elle lui souria et se dirigea vers la Cathédrale. Elle se faufila à l'intérieur, et vit beaucoup de monde. Elle avança pour se rendre vers la nef en faisant une genuflexion et aperçu son père. Elle vit devant elle, carrément devant Alleaume qui était d'une beauté et d'une élégance, à couper le souffle. Elle arriva à hauteur de son père, fit un grand sourire à Alleaume et lui fit un petit signe de la main, et après s'assit à côté de son père. Elle lui fit de tendres baisers, car cela faisait un moment qu'ils ne s'étaient pas vu tous les deux, n'étant pas au même endroit, son père ayant refait une armée. Elle souria à son papa, contente de le voir.
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Elvis

Elvis sortait du sanatorium....encore....

...ont le laissa sortir mais....il s'en fallu de peu pour qu'ont le garde enfermé pour le restant de ses jours.....son esprit lui jouait des tours...

...l'abus d'alcool ...les gènes de son père...tout ce sang et ces hurlements sur les champs de bataille...

...le voilà maintenant a moitié fou.....les trois quarts même parfois.

Le voilà revenu en Berry....cette Berry qu'il chérissait vraiment malgrés ce que certain pouvaient croire....

...il en avait fait des bourdes...oooh oui...il avait grandement contribué au déclanchement d'une guerre plus qu'inutile....il avait craché son venin a la tronche de gens qui ne le méritaient pas....bref...

Il étrait heureux qu'un de ses ex compagnon Renard soit a la tête du duché.....si les gens ont votés pour lui c'est p'etre que les gens ont compris que les Renards n'étaient de si mauvais garnements.

Il se rendit a la cathedrale saluer son vielle ami.

Rien de solonel...un hochement de la tête accompagné d'un sourire....

Pandorha

Pandorha fit des sourires à ceux qu'elle connaissait, elle était néanmoins préoccuper par un sujet, elle essayerait de le mettre de côté le temps de la cérémonie. Certains visages, la faisait plus sourire que d'autres et lui réchauffait même le coeur, un en particulier même si elle ne pouvait pas le montrer, elle n'en avait pas le droit.

Alleaume : Norf, tu as vu le monde qui est là ? Il n'y aura jamais assez de places dans la Cathédrale.. Il faut que l'on attende encore un peu ? Que dois je faire maintenant ? Dois-je rester comme une statue devant l'hôtel ? C'est pas que je me sens mal mais.. Pfiou il y a un monde !

Elle le regarda, fit un petit sourire et répondit.

Pandorha : Restez calme, vous allez vous mettre devant tous afin que nous puissions vous comtempler. Je vous dirais quoi faire au fur et à mesure de la cérémonie.

La jeune femme allait faire un couronnement, elle, la petite diaconesse de Sancerre. Si elle n'avait pas eu assez de force à cet instant, elle aurait éclaté en sanglot et serait parti, mais elle ravala ses larmes et prit un visage neutre à défaut d'en avoir un de joyeux dans le coin.

Pandorha attendit que le monde soit en place, puis, elle fit signe à Alleaume, la cérémonie allait commencé.

Bienvenues à tous, nous sommes réunis en ce jour afin de célébrer le couronnement de sa Grâce Alleaume de Niraco, duc légitime du Berry. C'est un honneur pour moi, diaconesse de Sancerre d'officier pour ce jour.

Pour commencer, récitons le pardon.

"Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés."

Souriante autant que possible, elle reprit.

Puis, je vais vous réciter un passage du dogme, sur le chapitre du travail. Oui, elle avait eu envie de réciter ce passage.

Citation:

1 Le temps faisant son travail, les hommes et les femmes devinrent de plus en plus nombreux, maintenant leur amour pour Dieu et rejetant dans l’ombre La Créature Sans Nom. Celle-ci nourrissait chaque jour un peu plus son amertume et sa colère envers ce peuple tant aimé de Dieu qui lui avait pris sa place de reine de la Création. Les hommes et les femmes vivaient insouciants alors que dans l’ombre, leur ennemi préparait sa vengeance.

2 Dieu avait ordonné aux hommes et aux femmes de travailler pour assurer leur subsistance. Ce dur labeur les éloignait ainsi de l’acédie. Et les hommes et les femmes savaient être inventifs, car Dieu les avait conçus ainsi. Ils récoltaient ce qu’Il avait placé pour eux dans la nature. Ils se mirent à contrôler ces ressources afin d’assurer leur subsistance et leur vie n’en fut que meilleure.

3 Ils prirent le blé qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Le meunier transforma le blé en farine dans son moulin. Le boulanger la cuisit dans son four pour faire le pain. Ils prirent le maïs qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Ils prirent les légumes qui poussaient dans la nature et les cultivèrent dans leurs potagers. Ils cueillirent les fruits qui se trouvaient dans certains arbres et purent ainsi s’en nourrir. Le plaisir apporté par les légumes et les fruits les rendait plus agréables à côtoyer.

4 De la mer, des rivières et des lacs, ils pêchèrent du poisson. Et leur intelligence s’en trouva grandie. Ils inventèrent la barque et les poissons se firent plus nombreux encore entre leurs mains. Parfois, certains d’entre eux se réveillaient un matin sous une barque. Ils priaient alors Dieu de ce cadeau. Ils élevèrent des vaches, des cochons et des moutons dans leur pâturage, prenant soin de ces créatures qui leur avait été confiées par Dieu. Ils les nourrirent et ces créatures devinrent plus grasses.

5 Le boucher prépara la viande à partir des carcasses de ces créatures. Pour cela, ils inventèrent le couteau, instrument permettant de séparer les chairs les unes des autres. La viande qu’ils en tirèrent les nourrissait, mais ils se sentaient surtout plus forts après en avoir consommé. Des vaches, ils prirent également le lait, doux nectar sans égal.

6 Ils tondirent les moutons et en prélevèrent la laine. Ils en récupérèrent la peau pour en faire du cuir. Le tisserand lia la laine et le cuir pour en faire des vêtements, qui les protégeaient du vent et assuraient la décence de leur apparence. La nature leur donnant accès à tout ce qu’ils pouvaient espérer, ils durent inventer des tonneaux, où ils purent entreposer les fruits de leur labeur.

7 Pour se protéger lorsque les fenêtres du ciel s’ouvraient, ils créèrent les maisons et y habitèrent. Ils les aménagèrent avec des lits, des bougies, des tables, des chaises... et tout ce qui pouvait améliorer le confort de leur vie. Pour cela, le mineur préleva la pierre et le fer dans les mines. Et le bûcheron coupa le bois des arbres. Pour faciliter ce travail, le forgeron modela le fer et le bois pour en forger des outils, tels que les haches ou les couteaux.

8 Parfois, Dieu contribuait à cet âge de bonheur en donnant à ceux qui savaient aimer le monde de la nourriture, qu’ils n’avaient alors pas à produire. Parfois également, ils les encourageait en les rendant temporairement plus forts, plus intelligents ou plus charismatique. Et le dimanche, avant le repas, ils se réunissaient au milieu de leurs habitats, autour de la tombe d’Oane, pour prier ensemble Celui qui les aimait tant. En effet, ils n’avaient pas encore de clercs, car n’en avaient pas encore l’utilité, étant en communion directe avec Dieu.

Spyosu

Elle s'adressa à tout ceux présents.

Voici une belle occasion pour nous de nous rassembler. La messe est porteuse de paix et d'amitié, mais aussi de concorde. Par cette messe de bénédiction, ce n'est pas un duc qui demande à Dieu protection, mais un peuple qui apporte protection à son noble élu.

L'Église porte les messages et unit peuples et politiques.

Nous prions donc en jour pour la paix et la concorde, chevaleresques valeurs. Et c'est cela qui devrait nous réjouir.

Maintenant, je suggère que nous récitions ensemble le crédo, signe de notre foi en ce que nous avons si saintement réalisé.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Puis elle fit signe à un valet qui portait la couronne enfermer de s'approcher. Faisant face à Alleaume avec le visage aussi sérieux que possible.

Il est primodial pour un élu d'être vertueux, car ses décisions seront lourdes de conséquences, positives ou négatives, pour la multitude. En effet, il devra toujours garder en tête qu'il est responsable de plusieurs de ses frères. Il devra donc toujours veiller à ce qu'ils puissent s'épanouir dans un monde leur offrant la possibilité de découvrir le message divin.

Votre Grace, votre bras sera-t-il toujours au service du Berry ? Défendrez-vous les couleurs de votre Duché, de la Reyne et celle de la Sainte Eglise en repoussant toute hérésie dans l’obscurité qui l’a conçue ?

Le fixant, les yeux dans les yeux.
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Alleaume

* Le jeune homme manquer de tact ? En effet, c'était bien le connaître, et ses amis et proches étaient bien placés pour le savoir.. A combien de reprises il les avaient mis dans une situation des plus embarrassante.. Il pouffa de rire devant la mine dépitée de son amie Béarnaise..

Depuis combien de temps maintenant l'attendait-il ? Depuis combien de temps ses vieux amis c'étaient dit " il faut que nous nous revoyons ! ".. Mais le temps étaient passés, le deuil était arrivé, peu à peu remplacé par le départ des filles de Lyenda.. Puis complètement opprimé par la vie publique... Beaucoup disait que le beau brun se tuait à la tâche du travail qu'on lui confiait afin d'oublier la tristesse de sa vie passée, et plus généralement, de son existence de tout les jours..

Avant d'être Duc, il n'était rien, une fois qu'il ne le serait plus, il redeviendrait poussière, il disparaîtrait... Non pas par la volonté de ceux qui l'avait un jour acclamé, mais parce que sa solitude et son mal être constant, reprendrait le dessus sur sa notoriété..

Il regarda alors son amie, et s'abaissa un peu pour lui répondre.. *

Une offrande de Dotch..? Et bien.. J'ai raté bien des étapes depuis.. Mais je pense que nous aurons tout le temps d'en discuter à la fin de cette cérémonie !

* Il allait remonter la tête, quant il se ravisa, afin d'ajouter quelque chose, d'un peu plus personnel.. * Je te rassure.. J'ai pas non plus quitté le club des fauchés.. Mais évite de l'ébruiter autour de toi.. Certaines pensent que je suis truffé d'or jusqu'à m'en voir sortir par tout les troues !

* Il relava la tête, et sourit à sa remarque, c'est vrai que selon ses souvenirs, elle n'avait pas vu beaucoup Duc dans sa vie... La Royaume était tellement diversifié d'un endroit à l'autre..
Les dernières robes faisaient leurs arrivées.. De très belles couturent, il avait d'ailleurs un faible pour le violet de la Baronne.. Mais la coiffure d'Asterie, l'inspirait par contre beaucoup plus, il la trouvait fraîche et rayonnante.

Arhiana, aussi était de la petite fête, il était content de la voir ici, aussi, lui adressa t-il un signe de la main et un remerciement s'afficha sur le bout de ses lèvres.

Un visage creux, et familier entra dans la Cathédrale, les sourcils du jeune homme se levèrent, SON Capitaine, enfin.. Ancien.. Elvis, lui avait fait l'honneur de sa présence durant la cérémonie. Alleaume avait perfectionner ses arts de la guerre sous le commandement d'Elvis.. L'homme avait un tempérament ardant, mais Alleaume l'avait toujours apprécié, parce qu'il fallait le connaître.. Et il savait que cet homme était bon.. Il sourit à Elvis, et se dit alors dans sa tête, en signe du bon vieux temps.. " A Malin, Malin et Demi ! "..

Il fût alors chassé de ses pensées, par la Duchesse qui venait d'annoncer l'ouverture de la cérémonie..

Il écouta la récitation de la prière, le pardon.. Cela l'inspiré beaucoup.. Il avait pardonné beaucoup dans sa vie, et il se demandait si cela allait lui jouer des tours un jour ou l'autre ?
Il se plaça alors face à tout le monde, et commença à son tour à réciter la prière.. *

"Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés."

* Il attendit alors que les convives en fassent de même, afin que la messe puis débuter.. *

La suite de la prière plus tard, sinon trop long

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Saint Louis... Pardonne lui !

Princesseyoyo

Ca l'énervait presque toute ses robes colorées dans un lieu si solennel.. A moins que ce ne soit le fait qu'elle-même n'avait pas le gout à s'habiller avec style ses derniers temps...
Toutes plus belles les unes que les autres, toutes plus énervantes les unes que les autres... Quelques visages connus, mais si peu. Et puis c'est quoi ce Berry peuplé que de femmes!?

Les billes ambres de la jeune fille passaient de tête en tête quand elle reconnut tout près du Duc sa vieille amie Cooky. M'ouarf! Vivement que la cérémonie finisse, elle avait tant à lui dire! Après toute cette distance, puis la mort qui avait failli les éloigner définitivement... La petite brune avait envie de lui présenter son fils, et de passer du temps avec les enfants de son amie, histoire de rattraper un peu ce temps perdu.
Mais la foule, le monde, les froufrous des robes! Brrr! Quelle panique dans la tête de la jeune fille!

Oh mais qui voilà! Elvis! Sa presque idole! Le savait-il que la jeune fille l'admirait depuis son entrée dans la tanière? Non, elle préférait rester dans l'ombre, tranquillement cachée sous sa capuche... Et encore! Elle copinait avec le nouveau Grand Maître.. Bah ouais, un petit faible pour les grands costauds, la jeune fille!

En parlant de grand costaud, elle regardait son Alleaume, au loin, tout nerveux, tout magnifique dans son habit d'occasion. Vivement la fin de la cérémonie qu'elle aille le serrer fort dans ses bras pour le féliciter.

Tiens, la cérémonie commence. Un long discours, des prières, le cheminement habituel... Non qu'elle soit une très assidue des couronnements, mais un par an et elle connaissait le déroulement comme si elle y allait tout les jours.

Bref...

"Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés."

Un petit chuchotement. Nan mais ouais elle avait plein de pêchers, mais pas besoin que tout le Berry soit au courent! Nan mais!
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Cooky

Arrivée dans la bâtisse, elle hésita. Que de monde... où se placer pour ne pas déranger ? Près de Yoyo bien sûr ! Oui mais encore fallait-il qu'elle la trouve. Du coin de l'oeil elle parcouru l'assemblée du regard, à la recherche d'une petite bonde exubérante. Sa Yoyo était comme ça dans son souvenir, souriante et toujours prompte à sauter au cou de ses amis. Aucune des belles jeunes femmes en robe ne lui ressemblait et cela ne l'étonna guère. Son indomptable filleule ne devait pas s’embarrasser de tant de toilette.

Par contre elle était forcément venue au couronnement d'Alleaume, elle l'aurait parié. N'avait-elle pas tout laissé tomber pour venir le rejoindre ici ? Elle s'en souvenait comme si c'était hier. Alors, où se cachait-elle ? Pourquoi ne la trouvait-elle pas ? Etait-ce la silhouette l'encapuchonnée un peu plus loin ? Non, Yoyo aurait gardé la tête haute et se serait agitée en tous sens pour saluer ses amis qui arrivaient. D'ailleurs, elle l'aurait surement saluée sur le parvis... oui ce devait être ça, elle ne devait pas être arrivée sans quoi elle l'aurait déjà trouvée.

Rassérénée, quoique toujours un peu perdue, elle avança dans l'allée centrale et se faufila à la première place venue. Un peu plus loin elle aperçu l'un de ses élèves de Belrupt... mais nulle autre tête connue à son plus grand regret. Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, elle se promis qu'elle les trouverait tous à la sortie de la cathédrale. D'ailleurs la cérémonie débutait, ça n'était plus le temps de se retourner pour espionner les arrivées.

En prononçant ces paroles une petite voix moqueuse s'éleva dans sa tête. En parlant de pêchés... de confession... elle allait devoir rentrer rapidement pour aller à confesse. Elle les accumulait un peu trop depuis quelques temps, ces fichus pêchés. Brennach allait avoir du travail.
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Claire_g

Dans son coin, tranquille Mimile, la brune assistait au défilé de connus et d'inconnus venus assister au Couronnement du Duc. Elle savait qu'elle lui parlerait pas ce jour, elle savait qu'il la verrait pas non plus mais qu'importe, sa conscience était tranquille.

Récitant ce qui devait l'être, répétant ce qu'il fallait répéter, la cérémonie avançait. Bientôt elle partirait, option "avant tout le monde" si possible. Manifestement non, la brune voulait voir personne ou presque.
Elle resta malgré tout concentrée sur la cérémonie menée par sa collègue blondinette d'USB, tâchant de réfléchir à presque chaque mot... Pour en saisir le sens réel.
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Aldebarand

Aldébarand arriva comme à son habitude avec du retard... Il regarda la foule qui se pressait dans la cathédrale et se glissa au fond, dèrrière un pilier, scrutant la foule et reconnaissant ça et là des visages croisés sur les murs lors de la défense de Bourges... Il écouta le discours qui commençait et s'efforça de prendre une allure solemnelle...
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Asterie

Asterie salua discrètement les personnes connus regarda de part et d’autre autour d’elle les arrivants. Il y avait beaucoup de monde, on sentait quelques odeurs entre les poudres, les parfums puis la transpiration tout mélangé donnait une atmosphère particulière, si l’on y ajoutait le froissement des toilettes et le bruit des armes...

Elle sourit observant comme à son habitude le plus discrètement possible et oui le politiquement correct devait être respecté ...elle tendit le cou , se recula un peu et observait les personnes présentent essayant de déterminer sur leurs visages, les expressions …

Sa voisine se demandant ce qu’elle cherchait lui glissa doucement si elle était ennuyée par quelques problèmes digestif vu la façon dont elle se tortillait.
Elle la regarda en souriant. N’osant elle même lui demander de ne pas respirer trop fort vu comme elle était serrée dans sa robe.Elle risquait le malaise et n'ayant pas ses sels ave elle ...L'imaginant au sol ...Elle sourit à cette pensée...

La cérémonie commença enfin Dame Pandorha ouvrit la cérémonie elle écouta puis récita le fameux pardon pour faire comme tout le monde et puis se sentant observer à son tour c’est fou certes sensation bizarre d’être surveiller si seulement elle avait mis de poudre et de parfum car lorsque qu’elle bougeait la tête sa voisine en devenait un peu incommodante…

Citation:

Je confesse.........Parce que j'ai beaucoup péché, ...........de tous nos péchés."

Elle n’avait rien à confesser d’ailleurs il fallait qu’elle y aille à confesse depuis le temps …

Ah maintenant le credo allons y...

Citation:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,………… AMEN

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"Labor improbus omnia vincit"

Taf

Taf se redressa, remisant son quignon dans sa besace éliméée.
Puis reprit les prières à l'unisson de l'assemblée.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés."

Suivirent la lecture des Textes et le Credo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen

Kateline

Enfin ils entraient dans le vif du sujet, le couronnement, Pandorha prit la parole et demanda à l'assistance de réciter le pardon. La Brune s'exécuta à voix basse.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Elle grimaça une seconde aux mots péchés, se rappelant alors où elle se trouvait et le bon nombre de choses qu'elle n'avait pas encore confessé.
Elle jeta un coup d’œil à Zephir à côté d'elle, en voilà un qui lui provoquait des envies de péchés, elle préféra détourner le regard avant de passer au pivoine et se concentra sur les évènements.

La Diaconesse entama la récitation d'un passage du Dogme puis s'adressa aux personnes présentes, elle l'écouta avec attention. Puis sur son invitation elle récita le credo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen
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Saaba

Saaba salue en souriant Zoyah qui vient s'asseoir à côté d'Aglaé....

La cérémonie commence enfin.... par des prières.... bon c'est vrai que c'est la coutume, mais saab n'est pas friand de ces trucs qu'on récite sans trop s'appercevoir de ce qu'on dit ni du sens des paroles prononcées... il préfère la sincérité au panurgisme.... alors comme d'habitude, il récite SA prière à lui

"Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le droit de profiter encore et encore de tous les plaisirs de la vie.

et tant qu'on y est si vous pouviez aussi faire attention au nouveau duc, il a l'air très bien et ça serait dommage qu'il lui arrive des trucs fâcheux.... et puis il est très beau ce qui ne gâte rien !

Saab sourit doucement en attendant la suite de la cérémonie et surtout de voir la couronne ducale qui devait être au moins magnifique !

Berruyer

La cérémonie lui semblait une éternité. Impatient, assis dans un coin de l'édifice, il récita rapidement le crédo sachant pertinemment qu'il devrait rapidement retourner se confesser après avoir étripé deux ou trois auvergnats...
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Clealan

Un peu assoupi par toutes les potions qu'il prenait, il entendit soudain un bourdonnement , tout le monde récitait le crédo, il récita à son tour, le pardon

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

puis le crédo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen

Il se redressa du mieux qu'il put et attendit la suite.
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Juana

_la_fauve

Jimmy_de_aragon

Charles.henri

puis le crédo Aristotélicien

Alleaume

Saint Louis... Pardonne lui !

--La_dame.

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