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[RP] On the road again !*

Natasha
[D’une vigne à l’autre, la même froideur…]

Depuis quand durait l’inaction ? Presque deux longs mois… depuis cette nuit d’été ; cette nuit où la nature humaine avait fait montre de son avilissement ; cette nuit qui dévoila l’âme putréfiée d’une roulure jalouse.
Depuis quand durait l’inaction ? Presque deux longs mois… depuis cette nuit d’été ; cette nuit qui fut témoin d’un massacre odieux ; cette nuit dont on retiendra l’absence totale de perspicacité chez les soldats.
Poutrage en bonne et due forme, au nom d’un dénigrement gratuit… Quand des bœufs obéissent à une chienne ; résultat sanglant au remugle de lâcheté… Ah, couardise, nourris-la encore, jusqu’à sa dégénérescence complète !

Ainsi avaient-ils quitté la Bourgogne, une nouvelle fois ; les pensées assassines de la slave rythmées par la cadence de sa monture… Silence plus menaçant que jamais alors qu’elle portait un regard sombre par delà son épaule ; fidèles compagnons qui la suivaient malgré la nébulosité qu’elle dégageait… L’ambre semblait avoir définitivement quitté les prunelles comme la chevelure, tirée et domptée dans une lourde tresse, durcissait davantage les traits ; disparu l’angélisme sous le masque haineux.

Ainsi approchaient-ils de la Champagne, une nouvelle fois ; les muscles de la platine se crispèrent sensiblement, mais assez pour que l’hongre s’agite… Claquement de la langue et l’animal de se calmer ; les amandes observaient la campagne jusqu’à percevoir le volatile qui tournait inlassablement au-dessus d’eux… Furtive grimace qui s’afficha sur le visage d’une froideur morbide ; elle arrêta l’équidé et le piaf vint naturellement la trouver. Comme elle le libérait du message, elle maugréa :


Je m’y ferais jamais… comment ils font pour savoir, sales bestioles !


Interrogations bien vite oubliées… à la lecture du premier mot, elle reconnu l’écriture de sa jumelle et, d’autant, le billet pour court ne fit qu’accentuer la cruauté latente. Le parchemin, chiffonné, gagna sa sacoche et sans préavis, elle talonna le cheval… C’est en maudissant la ville qu’ils passèrent les remparts compiégnois ; sans la moindre attention à ses compagnons qu’elle abandonna, elle partit en quête de la sulfureuse…

Deux jours… c’est le délai qu’il lui fallu pour la retrouver. Les nonnes, mal avisées, pensèrent lui interdire l’accès ; pauvres petits choses qui subirent sa colère comme, bientôt, les flammes de l’enfer effacèrent toute trace de son passage.
Mari… son alter ego, son double. Incapable de voyager, les catins du Seigneur l’ayant abîmée plus que soignée… Frêle créature dans les bras de l’irascible, la rage décuplant les forces d’une blondasse en furie ; elle avait porté le corps de la ténébreuse jusqu’aux portes d’un asile. L’homme, au physique ingrat, avait saisit le danger dans la voix ; intellect qui tranchait avec ses compatriotes, il savait… si la brune trépassait, sa misérable vie expierait.

Rassurée… elle l’était oui ! Nul doute que le rebouteux saurait ramener sa divine de l’au-delà. Elle avait lu la peur dans ses yeux, elle avait sentit l’effroi dans ses gestes… sourire malsain qui étira les lèvres à cet instant, souvenir des victimes passées ; alors elle quitta les lieux pour rejoindre les autres.
Carrie… sa mignonne, sa brunette. Pur plaisir de la revoir, le physique est rétablit même si la caboche dérape encore. La tendresse qui évince le mal, furtivement, mais la complicité, les liens profonds perdurent… alors on reprend la route, on quitte la cité des « rebaptisées » pour chercher la quiétude, ailleurs.

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Alanvega1
Encore à chanter son Gascon il esquive Alan
Il traine...
Sauver , plus martyre...
Se rangerait 'il ?


[Bonsoir

Merci d'insérer le lien de manière cachée, CF les Règles d'Or.

Bon jeu

Modo Mata]

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Marieladamnee
[ Retour vers son futur, sur la route de La trémouille à Nevers... ]

Comment mieux anticiper son futur qu'en ressassant son passé...

Marie chevauchait depuis des jours pour s'éloigner de ce qu'elle ne voulait plus. Elle avait passé des nuits et des jours à réfléchir à tout cela avec en bruit de fond le chant des canons et les voix des agonisants...

Elle s'était souvent demandé "Pourquoi ?" depuis qu'elle était arrivée en Poitou. Et n'ayant trouvé aucune réponse acceptable, elle avait décidé de partir.

Certains pourraient la traiter de lâche, on ne fuit pas durant une guerre.. Sauf que c'était pas sa guerre. Quand elle venait défendre une ville assiégée par le duché voisin, là elle comprenait pourquoi elle se battait. Mais prendre une ville et se battre contre ses habitants qui ne faisaient que défendre leurs biens c'était autre chose. Elle comprenait cet amour pour sa ville, elle le ressentait pour la sienne.

Elle avait rejoint cette armée par amour pour un homme mais ce n'était pas sa vie. Elle ne serait pas de la chair à canon pour un chef qu'elle ne connaissait pas.

N'en pouvant plus, elle avait sellé sa pouliche, dit adieu à cet homme qu'elle avait aimé ne supportant pas cette vie qu'il avait mené pendant des années et qui était lui au plus profond de son être, jeté un dernier regard vers ses amis et avait éperonné Ironie Du Sort pour qu'elle l'emmène le plus loin possible de ce monde qu'elle ne voulait pas.

Fini les rêves , retour à la realité et à sa liberté. Au fur et à mesure qu'elle s'éloignait elle sentait le calme la gagner. La route était encore longue et ses pensées animées mais elle savait qu'elle avait fait le bon choix. De toute façon elle n'aurait jamais pu passer toute sa vie en reniant un passé heureux parce que son homme n'aurait pas aimé ce qu'elle fut un temps. En effet comment vivre jour apres jour près d'un homme qui n'aimait pas les brigands alors qu'elle ne devait sa vie qu'à une famille de brigands. Sans eux, elle n'aurait jamais été celle qu'elle est. D'un coup, prise de nostalgie envers ce passé qu'elle avait trouvé heureux, elle avait décidé d'écrire à celle qu'elle aimait tant, Lady Phoenix, une des 5 filles, non pas du docteur March, mais de cette famille de bandits de grands chemins.



Citation:
Ma très chère Lady

J'espère que tu vas bien ainsi que ta charmante famille.
Finalement tu n'auras pas de petits neveux, j'ai quitté Brockanteur. La vie que l'on menait ne me convenait pas. Moi qui pensait que ma route était tracée, me voilà de nouveau avec une page blanche à noircir. Un homme de perdu, une vie de liberté de retrouvée. Je vais bientot arriver à Nevers ou j'irai embrasser notre Cybellia. Puis je viendrai sans doute te rendre visite. Je suis partie depuis si longtemps, j'ai hate de te revoir.

Je t'embrasse

Marie


Marie avait attrapé un pigeon que La Miel lui avait confié en lui disant qu'il saurait la trouver ou qu'elle soit. Elle avait attaché sa lettre à la patte du volatile puis l'avait laché.

Cette bonne chose de faite, elle avait fait un somme avant de parcourir les quelques lieues qui la séparaient de Bourbon. Elle y ferait une halte pour passer une vraie nuit et que sa pouliche puisse s'y reposer un peu.

Demain, c'est aux lueurs de l'aube qu'elles regagneraient leur ville. Début d une nouvelle vie pour l'équidé et sa maitresse.

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--Citrignon
Une silhouette encapuchonnée s'approcha de la forêt, y entra, et s'y enfonça. La créature allait vite, le pas rapide et savait exactement où se rendre. La personne sut avant d'arriver sur place qu'elle n'était plus très loin.
Le corps de la donzelle commençait à se décomposer et une odeur forte se dégageait. L'individu faillit reculer et renoncer. Quelques secondes d'hésitations, et voilà le personnage en train de grimper jusqu'à la hauteur de Jeanne. La corde fut coupée et le corps sans vie s'écroula par terre lourdement.
La créature toujours dissimulée sous son épais manteau, amassa du bois mort autour du corps. Les gestes étaient vifs, rapides, précis. Bientôt le tas de bois recouvrait la jeune fille décédée. Une main farfouilla dans sa sacoche et en retira un collier, une rose en bois y figurait. Collier déposait sur le corps de Jeanne. Il était temps.. de lui dire adieu.Un feu fut allumer et le bois s'embrasa rapidement, les crépitements se firent entendre et tout se consuma rapidement. L’énergumène resta quelques minutes, vérifiant que tout brûlerait, que le corps disparaitrait à jamais.. et reprit le chemin du retour.
Carensa.


[Duo machiavélique pour brune en danger]

- HIIIIIIIIIIII HHHHHHHHHHHEEeeeeee

En selle la brunette était ailleurs, comme déchainée par l'odeur du feu, du sang, les cris qui faisait vibrer en elle le mal bouillonnant.

Elle contemplait avec une satisfaction certaine l'ampleur de leurs dégats, les femmes qui demandaient grâce et qu'elle repoussait d'un coup de botte.

Non l'âme de Carrie avait bien quitté la Terre et rejoint les enfers, à cet instant c'était toute autre personne qui perpétrait ces crimes sans une once de regret.

Nat et Mari sorties du couvent que déjà la torche incendiaire rejoignait sa comparse, lancée plutôt par la blonde, pour inonder de son venin le bois du toit. Bientôt un mur de flammes s'éleva devant elles.

Celui qui pourrait voir ce spectacle, serait peut être captivé ou alors terrorisé par le regard diabolique presque inhumain de la mignonne.

Demain ce serait un paysage apocalyptique qui apparaitrait aux yeux des humains.

En cet instant, le diable avait pris le pouvoir sur son être, et rien n'aurait été capable de l'arreter.

Talonnant sa monture elle se dirigea vers ses comparses. Un regard suffit pour les faire prendre la route rassurées de voir Mari à leurs cotés. La vengeance avait été exécutée, du moins celle-ci, restait encore la plus terrible à venir.

Si il fallait perdre la vie pour cette dernière danse, Carrie était prête...


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Alanvega1
Quelque part en Champagne

Arrivé au chevet d'l'Azurée, il arrive dans la ville et cherche l'endroit des nones impliquées...
Celles qui se plaignent de sa presence !!!

-Oh là les gens elle est ou la Brune ?

Pas de retour !!! y s'y ont claqué l'buffet ?

Nan de dious aussitot Alan se met a dire moi et mon copain

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Alanvega1
Enfin la vla...
De dious , pas la forme l'Azuré...
Pfff qu'est ce qu'y s'y ont fait !!!
Un oeil vers la police !!! (vi vi ya une police dans les villes , vous le savez)
Il ose rentrer !!!

- hum, Messieurs, euh nan Dames.


Se reprend l'Gascon, pas froisser les gens hin !!!

-Elle est où ma Brune ?

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Marieladamnee
[ Quelque part à Neuneuland ]

Après avoir écrit à Lady, Marie avait continué jusqu'à Nevers. A peine après avoir posé un pied sur le sol, elle vit tournoyer un oiseau dessus de sa tête. C'était un pigeon de la Miel. Elle lui disait de la rejoindre à Troyes, ce qu’elle fit dès le soir même.

Arrivée en Champagne elle avait retrouvée sa sœur, qui voyageait avec des amis en taverne. Ainsi elle fit la connaissance de la Divine Natasha,de la jolie Carensa, de Beren le gringalet et d’autres.

Puis ils changèrent de ville, elle voyagea avec 2 autres de leurs amis. Et là ils arrivèrent dans ce qui semblait être une ville. Elle aurait plutôt dit un hameau vu le peu d’habitants aperçus. Et aussi vu le manque d’animation… Même les tavernes étaient dépressives au point d’être vides. Marie et ses nouveaux compagnons papotaient quand la maire débarqua , prétextant les avoir entendues… Mais oui… Bien sûr… Elle espionnait au carreau plutôt…

Enfin, peu importe, c’est toujours ainsi quand on voyage, les gens veulent tout savoir. D’où vous venez, où vous allez, qu’est ce que vous voulez, quand vous repartez… Et cette ville n’échappait pas à cette façon de faire. A force on s’y fait.

Donc , la maire vint leur faire la causette, les entrainant vers sa taverne qui était la seule d’approvisionnée. Et tout le monde passa une soirée sympa.

Le lendemain fut très différent. La maire lui présenta une femme, une blonde, jolie et gentille au premier abord. ( Mais bon là aussi c’est toujours comme ça, les gens se montrent sous leurs meilleurs jours.) Elles se séduirent une partie de la journée, jusqu’au moment où la maire et plusieurs de ses amis prirent notre brune par les jambes et les bras et la balancèrent dans l’abreuvoir.

Vous imaginez la tête de la Damnée, quand elle trempa dans cette eau sale. Dégoutée, elle était partie s’installer dans une autre taverne. Elle avait mis des bûches dans la cheminée et s’était en partie déshabillée pour se sécher et sécher ses vêtements. Elle ruminait : « Quelle bande d’abrutis, tout ça pour quelques sourires et une main posée sur une cuisse plus que volontaire. Je suis sûre qu’ils se marient entre cousins ici pour être aussi bêtes. Veulent pas me passer au bûcher tant qu’ils y sont. Rha je hais les imbéciles. «

Elle en était là de ses pensées lorsque la blonde allumeuse entra et lui sauta dessus. Marie se laissa faire ou plutôt pris les choses en main. La blondinette en quelques minutes poussa des cris rauques et entrepris de dominer. Mais c’était tellement nul que Marie s’endormit. Pourtant elle aimait ça d’habitude l’Infernale mais là… Rien.

La blonde ne se vexa même pas et revint la trouver dans la soirée. Marie avait retrouvé sa sœur et leurs compagnons . Marie était mal à l’aise car elle ne voulait pas blesser la jeune femme et en même temps elle ne voulait pas de suite. C’était juste une aventure, voir une mésaventure pour elle vu la tournure des événements . Elle prit le parti d’ ignorer la demoiselle, n’ayant pas grand-chose à lui dire au final.

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Marieladamnee
[ Du Rhum, des femmes... ]

Nouvelle escapade, bon moyen d'être protégée de l'autre illuminée, Marie est contente de voyager avec la Platine. Pour autant ce n'est pas une promenade de santé et c'est pourquoi elles ont pris les chemins de traverse. Quelques jours de chevauchées entrecoupés d'un peu de repos et de quelques verres en taverne, il faut bien se désaltérer. C'est que la route ça déshydrate.

Arrivées dans une clairière au bord d'une rivière, elles trouvent une cabane de bois. Sans doute la cabane du pêcheur... En fait c'est une taverne. Elles s'y installent pour un peu de repos. Elles mettent leurs montures à l'écurie avec du foin et de l'eau. Pendant que Natasha s'éclipse, la brune prend possession des lieux. En faisant le tour de la cabane, elle découvre une porte en bois. Elle essaie de l'ouvrir, rien... Elle met quelques coups d'épaules et la porte commence à céder. Quelques meurtrissures plus tard, la porte est grande ouverte, et Marie se retrouve en bas des 4 marches que protégeait la porte, le nez dans la poussière. Elle se relève d'un bond ne voulant pas être surprise en humiliante posture. Elle essuie ses habits maculés de poussière. La lumière passant par la porte grande ouverte lui montre des trésors insoupçonnés. Elle ressort en courant chercher une torche dans la taverne. Elle revient avec sa besace qu'elle a vidée.

L'infernale redescend dans la cave et commence à inspecter tout ce qui s'y trouve. C'est pas une partie de plaisir avec tous ces murs de poussière, elle doit souffler sur chaque bouteille pour voir ce que c'est.

Après une heure de fouille viticologique, elle s'arrête satisfaite. Elle a reussi à caser 10 bouteilles dans sa besace. Elle en prend d'autres à la main et remonte. Elle a trouvé différents vins dont un vin jaune qu'elle ne connait pas, de la goutte, du kirsch, diverses eaux de vies et de la genièvre.

Arrivée dans la taverne, elle cherche un endroit où planquer son trésor. Elle avise un fût, l'ouvre. Il est plein d'un liquide opaque. Elle goute et recrache de suite, c'est une tisane infâme. Là il lui vient une idée. Vu que personne d'humain ne peut boire ce truc, c'est une cachette très sûre. Il suffit de mettre les bouteilles au fond et de les récupérer au retour.

Contente d'elle, elle se sert une bière, s'assied sur un tabouret au comptoir et attend le retour de la Divine.

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Marieladamnee
[ Dans l'ombre des jeunes filles en fleurs ]

Après l’intermède Champenois, il y eut le posage ( oui oui je sais ce mot n’existe pas, et alors... Je fais vivre la langue française moi môssieur) en FC. Oh pas trop long car nos donzelles ont des fourmis dans les jambes et des montures à laisser s’exprimer...

Courses folles, repos dans des clairières, boulasses en taverne, rencontres improbables avec des gens si bizarres qu’à chaque fois on se dit que ce mot fût inventé pour eux. Mais là c’est les surestimer, à part le mépris ils ne peuvent rien inspirer d’autre et tout le monde sait que l’Infernale n’est pas du tout méprisante. Elle pense juste que la terre est surtout peuplée de boulets pathétiques sans conversation. Et bon quand on voit ce qu’elles croisent en taverne on ne peut lui donner tort. Pour faire un résumé rapide il y eut les femmes frustrées qui deviennent insultantes dès qu’on se refuse à elles ; l’homme à la chauve souris ; celui qui était amoureux de son tabouret ; l’arrogant qui jugeait, nos héroines, indécentes pour un petit bisou ; la fille aux cafards et j’en passe…

Après ça comment se dire que l’homme est un être supérieur… Heureusement qu’il y a la meute parce que sinon Marie serait désespérée. Pour elle chacun des membres est une
nouvelle sœur , amie, amour, un tout… Chacune étant différente mais l’ensemble ne faisant qu’un.


Arrivée dans une nouvelle ville ce matin, Marie s’installe dans une taverne. Elle a des mots pleins la tête qu’elle meurt d’envie de coucher sur du vélin. Elle prend sa plume et commence à écrire.


Citation:
Quand elles arrivent en ville, tout le monde change de trottoir, elles n’ ont pas l’air viriles mais faut croire qu’elles font peur à voir. Pourtant elles tout ce qu’elles veulent c’est déjeuner en paix en les regardant à peine car plus rien ne les surprend sur la nature humaine. Oh bien sur parfois elles se mélangent aux populations et dans les yeux de la Lady miel on peut lire « pour un flirt avec toi, je ferais n’importe quoi «. Hommes, femmes, tous craquent devant son regard… (l’effet lady c’est pire qu’une soirée au Macumba un samedi soir sur la terre).


Les grands soirs, quand les petits enfants sont couchés on peut voir apparaitre une Beauté époustouflante, j’ai nommé Maribel. Sa démarche féline et aguicheuse ne peut vous laisser de glace et si vous n’y prenez pas garde, rien qu’en la regardant vous l’homme loup au cœur d’acier, devant son corps de femme vous deviendrez géant de papier . Et comme le papier s’embrase vite, un simple clin d’œil et vous partez en fumée. Et une victoire de plus dans l’escarcelle de la belle.


Il y a aussi Carensa , quelquefois si douce quand la vie vous touche, quelquefois si drôle sur un coin d’épaule, quelquefois si dure que chaque blessure longtemps vous dure. Mais tout aussi magnifique que ses consoeurs car la constante du groupe est leur beauté à toutes.


Et puis vient la charmante Drusilia, fraiche comme la rosée du matin, discrète et calme. Elle est toujours accompagnée de ses animaux. Et quand il est l’heure de manger, Drusilia dégrafe son corsage pour donner la gougoutte à son chat et là tous les gars du village sont là… Désirée par les hommes, détestée par leurs fiancées, tel est le destin de la beauté candide.


And the last but not the least, voilà la somptueuse Natasha… Elle est la femme, les femmes, elle est la perfection.. C’est une reine, c’est une déesse, je vous dis qu’elle est roulée comme un jour de liesse, elle nous apprend à aimer, à aimer et à voir. Et si c’est vrai, que Natasha nous pardonne tout, si c’est vrai qu’elle nous aime malgré tout, je dirais que Le Très haut est une femme et qu’elle se nomme Natasha.*



Marie repose sa plume, se relit et sourit satisfaite de ses descriptions. D’un coup la porte grinçante s’ouvre et un sourire illumine son visage en voyant entrer la plus que jolie Carensa. Marie range son attirail et embrasse la belle.

* Dans l'ordre : Quand on arrive en ville, STarmania; Dejeuner en paix, Stephan Eicher; Pour un flirt avec toi, Michel Delpech; Macumba; Un samedi soir sur la terre , Cabrel; Le géant de papier , Lafond; Femmes je vous aime, Julien Clerc; Margaux, Brassens; Fan, Bashung réinterpreté par moi et Le bon Dieu est une femme de Corneille
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