[RP] A la mémoire de...

Pattricia

Un peu triste, je viens pour me recueillir en pensant à tous ceux qui nous avaient quitté et je rajoute un galet du lac près des autres offrandes.

- En souvenir Fanto, d'avant et d'hier, des joutes verbales et des fous rires, des confidences et des murmures.
Soit heureuse où que tu sois...

Prenant mon piolet avec moi, je me dirige vers la mine, un peu nostalgique d'un temps où argumenter ressemblait à quelque chose, où se battre, même contre soi-même, donnait des raisons de vivre...
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Cerise

Avant de quitter Sarlat pour quelques jours, Griotte se dirigea vers l'endroit des recueillements, puis se mit à genoux face au lac cette fois ci..
Elle eut une grande pensée pour ses amis partis quelques mois auparavant, puis se disant encore d'autres qui s'en vont..

A toi Méline... A toi Montana.. A toi...

Elle ne put finir sa phrase la douleur fut trop intense, quand elle apprit par une missive la perte de cette ami...
Le visage remplit de larmes, elle se releva, s'essuyant les joues, et se signant.. Un dernier regard vers le lac... Puis elle tourna les talons en s'enfonçant dans les ruelles du village, le cœur peiné....
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~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Grantrol

De retour apres avoir été absent depuis fort longtemps de Sarlat, Grant ressent l'envie de se rendre au jardin des souvenirs là où il est coutume de rendre hommage aux disparus. Il aime l’endroit. Loin de l’agitation du village, le calme y règne.

Grant s’assoit sur une pierre et il reste ainsi immobile, à méditer. Tant de bons souvenirs lui reviennent en mémoire. Parfois même un léger sourire gagne son visage.

Une longue heure s’écoule avant que il ne fasse un geste. Il se relève enfin et ouvre sa besace posée au pied de la pierre, pour en extraire une bonne bouteille de vin de Cahors et deux gobelets d’argent. Les deux verres sont remplis et Grant se redresse seul au milieu de la clairière.

« Beaucoup de noms en ces lieux ont été prononcés mais tant d’autres manquent à l’appel… Candie, Mac, Roxie, Chat, Azeline, Deoryn…

Il boit le contenu d’un gobelet et verse celui du deuxième lentement à ses pieds.

" A votre santé mes vieux amis … Puissiez vous avoir trouvé ce que vous cherchiez, puisse Dame Boulasse vous l’avoir accordé. »

Il range alors ses affaires et repart lentement vers Sarlat.
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Vonafred

Le départ...le Baron vint déposer un ex voto...

"In memoriam Ephear, Magdalena, Von Beck, Otto "

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Cerise

Après le maison de Paty, Griotte continuait sa ballade dans les ruelles du village, elle décida d'aller se recueillir un moment au lieu des souvenirs... Dernièrement Cerise venait de perdre un ami, un collègue, un ancien maréchal.. Elle se mit à genou au sol en joignant ses mains pour une douce prière.. Elle souffla tout bas..
Toi ! mon ti Al, mon ami, mon ti maréchal, je n'oublierais jamais ta joie de vivre, ton sourire, ton énergie à défendre chaque innocents.. Repose en paix ! Elle ferma les yeux un instant se remémorant quelques bons moments avec Alrahir..

Griotte se releva, puis se signa.. Elle ne savait pas comment Paty allait réagir en apprenant la fin tragique de son frère..

Elle inspira un long moment, pour une dernière pensée pour lui son Ami... Puis elle se retourna en s'enfonçant dans la forêt..
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~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Pattricia

Cela faisait un moment que je ne m'étais plus approchée de l'endroit. Je dépose mes offrandes païennes, réminiscences de vieilles croyances ancestrales et me recueil...

- Al... si tu savais... Tu me manques.

Rester là, à penser à tous les autres, à espérer que mon Ange était désormais dans les bras de son oncle, de sa tante Survi, de tata Pa, tata Ninou, tata Aly, etc.
A espérer quoi d'ailleurs...
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Cerise

Cerise était sur le point du départ, mais elle avait appris une très mauvaise nouvelle ce qui la peina, très fortement.. il lui fallait passer par ce lieu, celui des recueillements, cet endroit remplit de souvenir..

Elle se mit à genou, joignit ses mains et fit une prière.. Une fois finie elle se releva et lança quelques mots...

A toi ma Gourmandise.. Ma tendre Inma..

Elle se retourna et prit le Chemin de Périgueux...
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~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Grantrol

Depuis l'arrivée de courrier qui lui avait appris la tragique disparition de ses enfants et de son ancienne compagne, Grant avait eu du mal a garder pied. Mais les jours passant, il lui semblait qu'il lui fallait tenter de passer outre et de reprendre sa vie à son compte, là où elle en était avant cette affreuse nouvelle. Il voulait marquer ce passage douloureux et laisser un endroit où tout ceux qui les avait connus et aimés pourraient eux aussi se souvenir si le coeur leur en disait.

Il n'avait jamais jusqu'alors pensé venir ici un jour pour des être si proches. Il s'approche du vieux chêne qui orne l'endroit et dépose au creux de ses racines trois galets polis qui viennent du bord du lac et sur lesquels il a gravé à chaque fois une lettre... deux portent un I, le dernier un E. Puis toujours lentement et en silence, il allume trois bougies. Il se recueille ainsi un moment, et sent alors une larme couler le long de son joue. La colère et l'incompréhension le poignent toujours. Personne ne méritent de finir ainsi surtout pas une jeune femme et ses deux petits enfants, il se sent si impuissant si démunit face à cela.

Il lève alors les yeux des bougies et repart vers la ville apres avoir prononcé une dernière fois leur nom à voix basse.

« Inmakh, Isil, Elenwë... »
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Pattricia

Après avoir déposé la compagnie chez elle, revisité encore et encore les ruelles de ce village aimé, je me dirige vers le lieu de recueillement de Sarlat. J'avais profité de ma balade pour ramasser des galets un peu spéciaux, comme pour les personnes pour lesquelles j'étais venue me recueillir.

Je pense au lutin blond, à la langue bien pendue et à ses enfants. Tous morts, sans doute plus de chagrin que d'autre chose d'avoir été abandonnés par l'homme qui leurs devait protection. J'étais sans pitié pour ce genre de chose, et j'étais plus que bien placée pour savoir ce qu'un tel comportement pouvait être destructeur.

- A toi In et à tes amours, que votre nouvelle vie près du Très Haut dure toujours...

Le dernier galet est pour une personne qui était souvent passée en son temps à Sarlat, qui courait la gente féminine, était un buveur invétéré et souriait à la vie.

- A toi l'homme drôle que je n'ai fait que croiser plusieurs fois en taverne à l'époque. Que les tiens retrouvent la paix et enfin le bonheur...

Je savais que je devais aller plus loin, que tant que je nierais mon deuil, avancer serait trop difficile, mais je ne pouvais pas...
Peut-être que là où ma nouvelle vie de femme avait commencé...
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Cerise

Cerise était de garde en ce samedi, elle marchait dans les rues de Sarlat, puis alla à son bureau. Elle fit le point avec les arrivées et les décès Sarladais. C'est la qu'elle resta sans voix. Elle faillit s'évanouir sur le coup. Elle prit place sur un siège, baissant la tête pour ne pas faire voir ses larmes tombantes..
Comment allait elle apprendre cela à ses amis? La douleur l'envahit, il fallait qu'elle prenne l'air elle étouffait..

La pluie tombait sur son visage et camouflait ses larmes, le vent glacial, elle ne le sentait pas elle errait dans les rues ne pensant qu'à elle, son amie disparue.
Une jeune fille douce, adorable, gentille, droite, mais comment cela avait il pu arriver?

En avançant Griotte se trouvait non loin de l'endroit des souvenirs pour faire une douce prière à l'abri des regards indiscrets pour le moment juste ce qu'il fallait pour Cerise, être seule dans sa peine..
Elle arriva devant ce ti autel de pierres, ou se trouvait quelques bougies en dessous, elle en alluma une, puis joignit ses mains..

Tête baissée elle prononça quelques mots pour son amie. Elle essuya un peu ses larmes en se relevant puis déposa une fleur.
- A toi Héléonore de Plantagênet.. Qu'Aristote t'accueille comme il se doit.

Un dernier regard vers le ciel, puis repartit dans les rues de SArlat finir sa Garde même si elle savait que la journée allait être interminable.
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~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Opale

Qu'il était triste le petit cimetière de Sarlat, là tout recouvert de son manteau de neige et balayé par le vent glacial.
Opale avait le coeur lourd tandis qu'elle cherchait un endroit bien précis.

Les années étaient passées sans qu'elle y fasse vraiment attention.
Ses enfants grandissaient mais Opale ne se sentait pas vieillir. Pourtant, son visage avait pris quelques rides, ses cheveux commençaient à blanchir et sa taille n'était plus aussi fine qu'avant.
Elle avait déjà traversé bien des épreuves, connue bien des douleurs et là encore, elle devait faire face à un chagrin qui lui déchirait le coeur.

Enfin, elle la vit, la petite tombe de l'ami Raninglief.
Elle se signa puis, parla comme s'il pouvait l'entendre.

Bonjour Ranin
Ca faisait bien longtemps que je n'étais pas revenue te voir.
J'ai bien veillé sur Ellya et Julian, tu sais. Ca n'a pas été facile tous les jours, surtout depuis que leur père t'a rejoint.
Parfois, je me dis que vous devez bien rire ensemble en reparlant de nos jeunes années.

Opale se tut. Sa gorge se nouait. Elle pinça les lèvres. La nouvelle qu'elle venait d'apprendre lui paraissait encore trop irréelle, trop affreuse pour être vraie. Machinalement, elle glissa sa main droite dans la poche de sa cape doublée de fourrure. Hélas, la missive d'Odradek était là, pliée tout au fond.

Ranin...
Ranin....C'est horrible !
Dyo .... et Marie-Augustine !
Tous les deux.....
Par Aristote, comment est-ce possible ? Tu le sais toi ?

Opale se masqua le visage avec ses mains et sanglota.
Oui, que c'était-il passé ? Quand elle ne fut plus secouée de spames, elle s'essuya les yeux d'un revers de manche.
Ranin, Quantum.... veillez sur nos amis qui viennent de vous rejoindre.

La brune posa une main sur la tombe, puis refit le chemin inverse, l'air hagard se sentant lasse, fatiguée, vidée.
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Aphykit

Une promenade matinale et solitaire, alors que sous ses pieds la neige craquait emplissant le silence d'étranges échos, Aphykit errait bien au-delà des remparts de Sarlat. Pensive, elle l'était, rêveuse aussi, mais elle était emplie d'une toute nouvelle certitude. Celle qu'elle était à présent capable d'offrir, de s'offrir, bien entendu, pas encore totalement, mais avec un minimum de retenue.

Pourtant, le passé, les morts, tous ces disparus qu'elle avait chéris, revenaient parfois la hanter.
Toujours ce pirate, ce croisé, maudit soit-il avec sa passion qui l'avait dévorée...
Puis son tendre ami, Max, deux routes qui auraient pu s'unir si elle avait parlé... pourtant, il s'était laissé partir à jamais enseveli dans son coeur.

Quelques larmes glissaient lentement sur ses joues alors que ses pensées revenaient encore et encore. Petit geste rageur du poing, elle était forte à présent la sauvageonne, elle se releva et prit la route.

Pas décidé, regard fixé au loin, vers l'avenir... vers celui qui l'attendait, elle avançait maintenant, construisait, envisageait, se projetait...
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Cerise

Cerise était dans un état de tristesse, comme jamais elle n'eut été un seul jour de sa vie. Déambulant dans les ruelles de Sarlat, le regard sans vie, le visage fermé, les larmes coulantes. Une très mauvaise année s'annonçait, comme toujours de toute façon.. Serait elle maudite? Elle n'en avait plus aucune raison de penser l'inverse, tout ce qui la touchait de prés ou de loin, elle les entrainait dans sa chute, vers l'enfer...

Elle essuya avec la paume de ses mains ses larmes tombantes, et passa non loin du lieu souvenir. Elle se décida d'aller faire un ti tour.

Elle se mit à méditer, ce qu'elle serait bien à leur côté.. Sans plus aucune souffrance, sans blesser personne, sans plus rien faire..

Ce qui lui passait par la tête, c'était de mettre fin à ses jours, ne supportant plus rien.. Plus ce qu'on pensait d'elle alors que la plupart des choses étaient même pas fondées.. Cette souffrance jour et nuit elle n'en pouvait plus... Il fallait que cela cesse.

Elle leva les yeux vers le ciel et ferma les yeux en pensant "a bientôt mes amis.... j'arrive vite....". Sans lui sa vie n'était plus rien..

Elle repartit finir quelques affaires en cours avant de...
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~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Romu2b

Romuald arriva a travers les ruelles cherchant sa griotte qui avait tant de peinne il a trouva sans peine atirré par son odeur surement? (et oui il faut savoir que l odeur de l etre le plus cher est reconiassable entre mille)
il vut griotte et s approcha d elle et aprés un bref regard qui en disait long il vit qu elle était en larme il décida alors de la prendre dans ses bras pour tenter de la conssoler il lui dit des mots d amours pour essayer de la réconforter

Mon amour ma vie je te sens si mal que me vaux ton chagrin moi je veux t aider je t aime mon amour et de te voir si mal me fais souffrir mais c'est pas toi qui me fais souffrir c'est moi même moi je t aime et t aimerais a jamais

Il l a regarda droit dans les yeux essayant de se rassurer et de la rassurer aussi . Il était sincere et cela se voyais en ses yeux pénétrant pleins d amour
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Cerise

[ un autre jour... ]

Un sourire, un regard échangés, une réelle complicité, nous liait, lui et moi, et il a décidé de le rejoindre me laissant seule contre eux.
Jamais cette peine, cette souffrance partiront. Son choix reste pour elle incompréhensible.

Elle a beau essayer de chercher, de comprendre mais rien à faire... Depuis lundi les larmes coulent, la douleur s'amplifie, le coeur saigne.

On s'aimait on aurait pu vivre si heureux, si unis, si ...

Elle s'effondra sur les genoux, en murmurant.
Pourquoi !! Mais pourquoi !! Sakcha, mon amour....Pourquoi ce choix???? Pourquoi m'avoir laissée seule ici..
Dois je moi aussi te rejoindre??

Elle posa ses mains sur son visage et continua à pleurer, et pleurer.. Sa peine était immense........
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~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

A la mémoire de...

Cerise

Depuis plusieurs jours Cerise cherchait un ti coin pas loin du lac ou la forêt, mais surtout à l'abri de tout regard.. En cette matinée, elle le trouva enfin, cet endroit allait être parfait pour adresser un dernier au revoir à des amis disparus.. ou autres...

Elle le regarda encore, puis fit un tour d'horizon, c'était un bon coin de recueillement pour tout le village, il semblait calme, paisible, discret..

Au niveau du sol, il y avait plusieurs rochers dont un qui était presque en forme d'autel elle y déposa plusieurs bougies à l'abri du froid ou la chaleur de l'été le moment venu.. De chaque côté de cette pierre elle mit deux magnifiques bouquets de fleurs qu'elle avait cueillis la veille..

Elle se leva pour contempler tout l'ensemble.. Tout était prêt..

Cerise s'avança, se mit à genoux, attrapa, une bougie pour l'allumer. Elle joignit ses mains et se recueillit en la mémoire de deux amis..

Quelques minutes plus tard, elle souffla sur la bougie, la remit sous le rocher et se releva..

Les larmes aux yeux, elle murmura...

A toi Doc... Et à toi aussi mon Yug... Je ne vous oublierai pas...
Cerise eut une dernière pensée pour sa cousine.. Tu me manques tant ma Aly...

Cerise soupira, puis se retourna et prit la route du château ou beaucoup de travail l'attendait..
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~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Yoantrezel

yoantrezel arriva derrière sa belle, hélas il ne pouvait que trop comprendre ses sentiment, il la pris dans ses bras et dit a l'autel

a toi Nexant, tu me manque mon pote

puis il se tu gardant cerise serré contre lui

Sakina

Sakina passait par là. Elle vit Cerise penser à des amis défunts puis Yoan l'a rejoignit.

Elle ne comprenait pas ce geste jusqu'à ce qu'elle fusse touchée elle aussi par la perte d'un être cher.

Elle les laissa tous les deux dans les bras l'un de l'autre, par respect. Elle se dirigea plus loin, sous un saule. C'est le cœur serré qu'elle s'avança vers le lac. Elle ferma les yeux pour se recueillir puis les rouvrit.

A toi Clad, garde de Castillon grâce à qui l'attente de la visite médicale fut plus agréable. A toi, le premier qui a su me montrer le chemin, qui a su faire tomber mes boucliers, mes défenses... Elle regarda son reflet dans l'eau miroitante et murmura : Toi, le premier qui a su faire fondre mon cœur.

Elle jeta à l'eau un crocus qu'elle avait trouvé sur le chemin en errant dans la campagne. Elle reprit son chemin et remarcia Clad qui lui as permis de reconnaitre ses sentiments pour Lec.

Pattricia

J'avais attendu qu'ils partent tous... Je ne pouvais pas...

si maintenant je n'arrive plus à finir mes phrases même en pensées c'est le début de la fin.

Je sens une poussée sur ma jambe, il est là, toujours près de moi dans les moments de douleur. Lui grattouillant la tête, je sors de ma cachette et me dirige vers les pierres et la bougie de Cerise.
je m'assieds en tailleur, comme je le faisais dans son salon, près de la cheminée, Truffe couché contre moi et pleure...

Il y a un an jour pour jour, cela faisait deux semaines que nous nous aimions enfin au grand jour. J'étais aux anges, aimée, choyée, écoutée... Et puis petit à petit notre amour s'est éteint, tu étais trop absent et moi trop seule.
Mais une chose est sûre, c'était que nous étions restés très proches et que sans tes absences, nous aurions pu être heureux, avec le temps...
Mon premier, charmant et tendre amour, mon cœur souffre de ton départ... Doc...

Il était temps de repartir, mes autres deuils... C'était une autre histoire....
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Miquette

Miquette passa par là... Elle ignorait pourquoi, mais elle décida d'y apporter un bouquet de fleurs... Celles ci meme qu'il avait planté pour elle.

Elle resta là un long moment, dans ses pensées. Reprenant ses esprits, elle murmura tout bas
Reposes en paix et surtout veilles sur ceux qui ont tenu à toi...

Au moins là où il se trouvait il devait être en paix !!! Enfin l'esperait elle en tout cas.
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Frah

Frah dépose juste un rose pour ceux qui étaient partis....le coeur lourd...elle pensa a sa chouette....lui qui avait tant donner...elle venait de perdre encore plus qu'un ami...
ce long chemin qu'ils avaient fait ensemble....
Adieu a toi ma chouette....surveille bien d'ou tu es....tu resteras a jamais dans le coeur de certain....
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*La confiance est une chose rare....*

Aphykit

Aphykit errait dans les alentours de la ville, solitaire, isolée, sauvage.... Froide, dure et cruelle, elle l'était devenue...
Des larmes coulaient sur ses joues, elle songeait à un amour brisé, celui d'un pirate et d'une saltimbanque. Un amour fusionnel, des destins croisés, une passion dévorante finalement dévorée par des absences réitérées, et un manque de confiance.
Elle songeait à cette douce complicité qu'elle avait connue, cette tendresse, cet accord dans lequel les mots ne sont pas utiles, tant les pensées fusionnent... Et ce choix...

Elle avait le regard dans le vide, absent, le froid la saisissait lui serrant glaçant les mains, les pieds, un étau glacial lui enserrant le coeur. Elle s'assit dans la neige, s'adossa à un tronc et prit quelques morceaux de bois, quelques feuilles et composa lentement une couronne.
Elle la déposa dans la neige, proche des fleurs et autres témoignages de souffrance qu'elle avait découvert en ce lieu.

Elle se redressa fièrement, s'enroula dans sa cape et reprit sa marche solitaire...

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Pattricia

De retour, j'avais trouvé une missive à la maison, mon amie de Béziers était morte, elle que j'aimais tant et qui m'avait appris à magner la hache... enfin... qui avait désespérément essayé en tout cas. Petit sourire attendri et douloureux...

Pa... moi qui voulais vivre près de ta taverne si accueillante... Tu me manques...

Juste un murmure emporté par le vent jusqu'en Méditerranée peut-être...
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Pattricia

L'hécatombe continuait, j'avais l'impression de prendre racine dans cet endroit si triste, j'y revenais sans arrêt pour déposer une pensée vers quelqu'un que j'aimais et qui n'était plus...

A toi mon amie sauvageonne, à toi qui m'a quittée par deux fois, à toi Ninou, Eno, qui que tu puisses être désormais...

Déposer un flacon de produit pour les cheveux, en souvenir du lac et d'un de mes plus beaux fou rires...
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Cerise

Cerise se promena dans le village toute triste depuis quelques jours.. Elle se sentait si seule, beaucoup la prenait comme un véritable objet de mairie, plus de bonjour, ni de au revoir, juste venir faire leur tite commission et plus personnes, même pas un mot pour leur amie.. Miss Griotte était si peinée.. Elle passa devant le coin des souvenirs et décida d'aller faire un coucou à ses amis disparus ou loin d'elle..

Cerise s'agenouilla, se parla à elle même tout doucement et pas fort, elle ne voulait que personnes entendent ses paroles.. Cerise versa quelques larmes qu'elle essuya en se relevant..

Elle fit un tour d'horizon du regard, leva la tête au ciel, puis se retourna en reprenant le cours de sa promenade..
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~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Cerise

C'est avec les larmes aux yeux que Cerise arriva en cet endroit de souvenirs, pour avoir une grosse pensée tout d'abord pour une amie Angellique, très malade, une amie qui était chère à son cœur, et espérait son retour le plus vite possible..

Mais c'est avec une grande tristesse qu'elle s'écroula au sol, laissant son chagrin l'envahir.. Son tendre ami, Efounet, n'était plus de ce monde.. Lui qui était toujours là pour la consoler, l'écouter, la soutenir..

Elle espérait qu'il avait enfin trouver la paix qu'il souhaitait..

[HRP] Grosse, grosse pensée pour ljd Angellique.. Que ses quelques mots arrivent jusqu'à toi et te ramène parmi nous... Reviens Vite !! ljd Cerise [HRP]

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~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Une ombre, incarné par Fantomime

Une ombre se rend au petit coin du paradis où reposent en paix les âmes perdues...Elle s'approche d'une pierre tombale sans nom

Le soleil l'éblouit...

Lumière obscure mais elle le voit enfin et dans son souvenir elle se rappelle de la beauté, de l'unique...Elle tend sa main mais personne pour la lui prendre...lui le seul, lui l'ultime...

Pourquoi mon âme erre seule maintenant?
Les guerriers de la route ont balayé ce temps et l'ont transformé en un firmament mais l'éphémère reste bien souvent l'éternité lorsque le coeur ne se noie pas dans le gouffre sacré d'avoir abusé de la cupidité.

Le soleil s'incline...

Il est temps de vous offrir une ôde...

Elle sort un couteau de sa besace et grave à jamais une pensée

ô éphémères à jamais réunis dans un parfait accord rien que pour un instant au passé, rien que pour une éternité au présent...

J'aurais aimé t'aimer
Comme on aime le soleil
Te dire que le monde est beau
Que c'est beau d'aimer
J'aurais aimer t'écrire
Le plus beau des poèmes
Et construire un empire
Juste pour ton sourire
Devenir le soleil
Pour sécher tes sanglots
Et faire battre le ciel
Pour un futur plus beau
Mais c'est plus fort que moi
Tu vois je n'y peux rien
Ce monde n'est pas pour moi
Ce monde n'est pas le mien

Au revoir nos amis
Au revoir nos frères
Au revoir notre pays
A nous deux la lumière
Au revoir Socrate
Au revoir nos printemps
Au revoir pauvre monde
A nous deux Satan
Au revoir nos amis
Au revoir nos frères
Au revoir notre pays
A nous deux lumières

Elle range son outil dans la besace, dépose deux pâquerettes nouées l'une à l'autre et s'éclipse dans le lointain...

Edit {CrayCow} :Merci d'indiquer la source :
Paroles de Damien Saez

Cerise

Cerise avait su quelques jours avant que son ami Ambris, était rentré sur Montbrisson, pour y finir sa vie, car il était fort malade...

Et la, la nouvelle venait de tomber, son ami n'était plus... Son ti rouquin avait quitté ce monde dans une grande souffrance..

Griotte ne pouvait retenir ses larmes, Ambris son ti rouquinou adoré était comme son ti frère, elle se souviendra, de sa gentillesse, lui qui était venu vers elle, lui apprendre tout ce qu'il y avait à savoir de la vie en ce royaume, et de se méfier de beaucoup de monde, beaucoup ne voyait que leur profit, chose que Cerise avait vu par la suite..

Cerise s'écroula devant les tites pierres mit ses mains sur son visage et pleura toutes les larmes de son corps.. Elle se sentit vide d'un coup, anéantie...

Elle resta un long moment à le pleurer...
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~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Virginia_

Le second endroit que Vinou visita fut un lieu qui n'existait pas lorsqu'elle était encore à Sarlat mais qui semblait être celui qu'elle recherchait. Elle n'avait pas de fleur, pas de présent, rien avec elle à part sa lourde besace mais elle se dit que ses souvenirs et ses mots suffiraient.

Il y en avait trop pour qu'elle puisse les citer tous mais elle savait que quelque part dans le cœur de quelqu'un leur souvenir demeurait tel qu'au premier jour de leur rencontre. Sur un rocher, elle grava tant bien que mal quelques mots.

Pour tous ceux tombés à cause de la folie des Hommes. Pour tous ceux disparus trop tôt. Rien que pour vous.

Un nom seulement s'échappa de ses lèvres.

Pour toi, Théo.
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sampieru_corsu

Voila un ans que le corse avait quitté le domaine de genté et la ville de sarlat.

Hanté par ses souvenirs douloureux, il remonte les rues de la cité, passe derriere l'eglise et rejoint le cimetiere.

Il y penetre et commence sa recherche, ou est il ?
Celui qu'il a tant pleuré,

ou est il ?
celui dont la mort a provoqué une peine horrible, inhumaine .

ou est il ?
celui qu'il n'a put reconnaitre, car roturier

ou est il ?
Celui pour qui, il prie chaque soir,

Soudain, il l'aperçoit, elle est là, a quelques pas,

La petite plaque de marbre, sur laquelle est gravé en lettre d'or,
DARIU

alors il s'agenouille sur la pierre et commence a prier, ne retenant pas ses larmes, il est effondré....

Confiteor Deo omnipoténti,
Et omnes sanctis
Et vobis, fratres,
Quam peccávi nimis
Cogitatióne, Verbo et ópere.

Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum

Amen.

ne trouvant pas la force de se relever, il restera des heures a prier sur la tombe de son fils....

Puis, chassé par la nuit, il se leve et rejoins ses frères.....

Enfin, il aura put prier sur la tombe de son fils.......Enfin.....

Déplacé par {CrazyCow}
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Pattricia

Cerise

~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Grantrol

Vonafred

Le départ...le Baron vint déposer un ex voto...

"In memoriam Ephear, Magdalena, Von Beck, Otto "

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Cerise

~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Pattricia

Cerise

~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Grantrol

Pattricia

Cerise

~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Opale

Aphykit

Cerise

~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Romu2b

Cerise

~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Pattricia

La nouvelle avait été violente, enfin les nouvelles, et il avait fallu attendre pour venir déposer deux galets plats du lac.

A toi Emi, drôle de petite bonne femme qui était à la fois pleine de gaité et de tristesse et à toi Rubiz, mon amie de Cahors que je ne reverrai plus. Pat doit être dans une tristesse infinie, mon cœur est avec vous.

Quand Zol lui avait appris la nouvelle, le monde avait chaviré, même Nyxx ne lui avait rien dit... Heureusement qu'elles avaient pu se voir la dernière fois qu'elle avait rendu visite à Zol, quand elle était allée chercher des pierres pour le Comté.
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Cerise

Lors de son séjour en Capitale pour défendre cette dernière, Cerise avait reçu une missive, ce fut un choc pour elle. On lui apprenait qu'Aristote avait rappelé une amie près de lui.

Elle alla à son ptit lieu de prière, de recueillement, à l'abri des regard indiscret. Elle s'agenouilla, en joignant ses mains et fit une prière pour son amie..

Toi, ma tendre amie qui était toujours là pour moi, je m'excuse de ne pas avoir été là pour te soutenir, lors de tes dernières heures de vie. Toi ma collègue de travail, douce, gentille, discrète. Sache que même si tu n'es plus ici, jamais je ne t'oublierais.

Je sais qu'Aristote, s'occupera bien de toi. Laisse toi guider par lui..
A toi ma Douce et tendre amie.. Mythe11...

Elle resta un long moment en ce lieu en pensant à elle..
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~ Le silence est le plus grand des mépris ~ La mémoire est un puits de souffrance ~

Tiobbi

Tiobbi erra sur les rives du lac pensive et triste à la fois , la nouvelle qu'elle venait d'apprendre l'anéantie totalement, pourquoi cette fièvre avait emporté son amie très chère , Emili24 enfin Lilie pour les intimes. Elle se remémorait les évènements survenus depuis un moment.Tiobbi respira fort se donnant ainsi du courage.Puis Tio se mit à prier rendant hommage ainsi à son amie perdue.
Toi ma belle, si gentille et si dévouée tu as su te faire appréciée de tous, j'espère que tu trouveras la place qu'il te reviens de droit auprès d'Aristote. Tu resteras tjs dans mon coeur. Adieu ma lilie.
Tio déposa un petite pierre près des rives du lac avec à côté un petit bouquet de fleurs. Puis repartie pensivement vers son habitation.
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Eudes_von_strass

Frah a écrit:

Juste un mot….un souvenir….un ami…
Tu resteras dans mon cœur….
Tu resteras un ami…
Ben….
Tu vas rejoindre tout nos ami qui sont parti avant toi…
Un jour, je viendrais aussi….

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Pattricia

Le cœur lourd... Très lourd même... Le Très Haut savait comme parfois elle lui en avait voulu de certains trucs, comme parfois elle le trouvait trop changeant dans ses opinions, puis elle avait grandi... Si si... Elle avait découvert de sa simple expérience que d'être fidèle à une amitié, plutôt qu'à son Comté, c'était finir par le conduire à sa perte.

Ben ne voyait que le Comté. Il avait des amis partout, là n'était pas le problème, mais il ne laissait pas ses amitiés, quelles que soient leurs obédiences, lui voiler le regard. Elle avait appris ça de lui, aussi paradoxal que cela puisse être. Ce qu'elle lui avait reproché très longtemps, elle avait fini par l'adopter, bien tard, trop tard peut-être...

Ce beau brun ne saurait jamais à quel point il lui avait donné une belle leçon, et c'était peut-être ça le plus dur, ne pas avoir eu le temps de lui demander pardon pour ce qu'elle avait pensé avant. Désormais elle ferait ce qu'elle pouvait pour soutenir la femme de sa vie, cette grande bringue tant décriée et qui pourtant bossait bien plus, et surtout bien plus dur, que tous les précédents régnants.

Pat s'approche de "l'autel", cet endroit connu des anciens, et quelques nouveaux peut-être, un endroit où étaient parsemés des galets dérobés au lac. Parce qu'elle savait qu'il n'y était jamais venu, elle avait pris sa barque et avait rejoint l'ile. C'est sur cette gréve que la Grande avait foulée que la môme au loup ramassa le plus étrange des galets. Il n'avait pas la forme classique, il était tout biscornu et avec presque forme humaine, on aurait dit une femme enceinte...

Pat avait su de suite, et c'est ce même galet qu'elle est en train de déposer sur l'autel païen. Agenouillée, le regard embué, le cœur serré de le savoir parti et de la savoir dans les pires affres de la douleur, elle prie Ari, mère nature et la divinité du lac, pour le repos de l'âme de Ben, et pour donner force et courage à Bryn.
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Zabou83

Lors de sa promenade, ses pas l'ammenerent dans ce lieu qui n'existait pas quand elle vivait là....
Zabou prit le temps de lire tous les noms gravés...Elle en connaissait beaucoup, sa mémoire n'avait pas oublié...La lecture de certains noms lui pincerent le coeur..tant d'amis qui ce jour n'etait plus.....pour certains elle avait été prévenu, pour d'autre la surprise était grande....
Zabou s'agenouilla et en silence pria pour le repos de toutes ces ames....Qu'Aristote veuille sur eux....
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Valmer

Imprudence, sottise, folle vanité ! Valmer avait voulu faire plaisir à sa tendre Mahaud et il lui avait confié sa précieuse mandoline, sa "Lison" à lui, celle qui l'avait accompagné dans les temps de crises comme dans les temps d'espoir ... Et cette sauvageonne de Mahaud, rompant une corde de l'outre à musique, la lui avait rendu dans un état tel ...

... qu'aveuglé par le chagrin, Valmer se croyait à jamais incapable d'en tirer la plus ténue des harmonies.

Il envoya nuitamment son Précieux au meilleur luthier de Venise accompagné d'une bourse regorgeant de gros ducats dorés. Cela suffirait-il pour restaurer l'âme de cet instrument de plaisir ?

Mahaud_

Elle était si délicieusement bombée, arrondie... des formes charnues et pulpeuses. La couleur d'un bel abricot mûr. Et ce parfum si envoûtant: cette flagrance de bois qui le faisait vibrer lorsqu'il la tenait contre son coeur.
Mahaud avait remarqué les voluptueux frissons, et le ravissement qui prenait Valmer lorsque "Lison" était alanguie dans ses bras.

Mais la brune n'était pas jalouse. Non, ça ne faisait pas parti de ses qualités. Je vous le jure m'sieur le juge!
Elle avait juste voulu essayer. Elle aussi voulait caresser de ses doigts les douces cordes qui la faisaient gémir ou chanter.
Elle aussi voulait ressentir le bonheur de la faire trembler entre ses mains. Elle aussi voulait l'effleurer, l'étreindre et la faire soupirer.

Mais une corde avait péter.
Juste une corde...une seule petite corde. Une corde de malheur!!
Et la vie ne tenait plus qu'à un fil....

Pattricia

La vindicative s'était installée près de l'endroit commémoratif des disparus, ceux qui avaient quitté ce monde pour toujours. Elle se disait que certains de ses amis viendraient peut-être se recueillir.

Rester là, tranquillement assise devant les différentes offrandes faites années après années était une façon de retrouver ses racines...
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--Le_page

Un oiseau parvint jusqu'à la halle de Sarlat et déposa à l'endroit prévu à cet effet une lettre cachetée du sceau de l'Ordre des Emuvillains.

Citation:

BenduGuesclin, vicomte de Biron, Emuvillain

Ben....

Nous, membres de l'Ordre Des Emuvillains, te pleurons alors qu'Aristote t'as rappelé à lui
Tu as donné ta vie pour ton comté, le Périgord Angoumois
Nous voulons te rendre un dernier hommage et te remercier pour tout ce que tu as fait.
Qu'Aristote t'accorde sa paix et t'accueille auprès de lui.
Nous gardons en souvenir de toi, ta bonté, ton sens de l'honneur, tes rires, ta joie de vivre, tes poches trouées
Adieu à toi, notre ami !

Lubna
Porte Parole de l'Ordre des Emuvillains

Goddefroy

Citation:

Une petite pensée pour cette femme qui a connu le Périgord-Angoumois mieux que personne,
Pour cette femme gentille, généreuse, calme et ouverte.
A Mizuki mon amie qui a rejoint les siens.

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Pattricia

Pat était venue et avait déposé deux galets, un noir et un à la drôle de couleur. Cette couleur rouille, peu commune, était sensé représenté une jeune femme rousse, au tempérament de feu et au cœur d’artichaut.

Désolée de n'être pas venue avant Psy, repose en paix...

Caly, tu as beaucoup souffert parmi nous d'avoir aimé qui ne t'aimait pas en retour, tu es parties fâchée, triste et seule. J'espère que d'être aux côté d'Ari t'apportera enfin le repos du cœur...

La vindicative repart, rassérénée d'avoir enfin fait ce qu'il fallait...
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[RP] A la mémoire de...