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[RP] Les étuves ou les bains flamands

Toro
Voyant que l'homme en face du comptoir ne lui répond pas il se tourne face à la demoiselle en avançant les 7 écus et lui dit en lui souriant. Normal quand une jolie demoiselle accueille poliment avec le sourire.

Bonjour, je me présente TORO. S’abstient de dire le pas BO.

Je voudrais la totale demoiselle. Je voudrais une Baignoires avec de l'eau chaude, une Table bien garnies, un Savon et un drap de séchage. Les 7 écus vont être suffisants ?


Il sort de sa poche 3 écus de sa poche et les glissent discrètement dans la main de la demoiselle.

Si c'est possible j'aimerais bien être seul dans la baignoire.

Il espère qu'elle n'a pas entendu ce qu'il a dit à Enguerranddevaisneau, quand on rêvasse on ne voit pas qui est dans les parages.

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Nolaine
Éclair transperçant son cœur... cette voix, qui a chaque fois lui faisait effet. Nolaine statufia son geste, et restant là nue, cachée par les vapeurs, espérant que ce soit suffisant. Sa tête brune se tourne doucement vers lui, le sourire figé.

c'est moi...

Elle relâcha ses épaules tout en se soufflant, l'instant de surprise était passé... de toute façon quoi qu'elle face, elle était prêt de lui dans la tenue d’Ève, et n'allait pas courir pour se cacher.

le seul dilemme... rester partir? Il ne fallu qu'une fraction de seconde à la jeune fille pour décider. Elle replongea la moitié de son corps dans l'eau chaude. doux frissons...


Je comprend pourquoi tu viens ici assez souvent...Comment vas tu?

Elle s 'était approché de lui, pour le distinguer un peu mieux, en ayant oublier sa pudeur.
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Enguerranddevaisneau
On daignait l’accueillir, enfin, et c’est de bonne grâce qu’il se saisit de sa bourse pour venir déposer les écus nécessaires sur le comptoir de la servante.

-Pour moi, dame, ce sera étuves publiques, savon et drap pour me sécher.

Le tout est dit, et c’est de son pas leste qu’il pénètre dans le bâtiment. Faisans fi des décorations simples et sans fioritures jonchant le lieu, il entre dans le vestiaire pour se dévêtir. Ainsi son abandonnée bottes, braies de lin, chemise de soie et cape doublée de fourrure. En simple chaisne, qu’il ne tarde pas à retirer, il se contemple dans le miroir qui lui fait face, admirant son corps hyalin est imberbe qui est le sien hormis l’épaisse toison brune qui entour son vit. Il avait fier allure, le muscle léger, et visible malgré le fait qu’il n’ait rien à voir avec un colosse. Il se savait beau nu, les muscles dessinés à la perfection, seyant ses cuisses, son buste.

Drap dans une main, savon dans l’autre, de son pas félin il rejoint l’eau bouillonnante du grand bassin où disserte un couple. Aucune œillade pour eux, il décide d’aller un peu plus loin avant de se laisser glisser agréablement dans l’eau salvatrice.
Et même là, il n’est guère seul. L’eau ruisselante sur son corps, il entre-aperçoit dans la vapeur une jeune femme, Blonde, Tournaisienne.

Sourire tandis qu’il brule ses courbes d’un regard acier
.

-Damoiselle, si j’avais su que même les bains publiques recèlent de nymphes, je serai venu bien plus tôt encore.
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Eulaly_de_baylaucq
Tandis qu'elle est là, abandonnée à une totale volupté des sens, l'ouïe caressée par les clapotis de l'eau, l'odorat flatté par l'agréable parfum du savon, les yeux clos sur un imaginaire tout en légèreté, la peau drapée de la douce chaleur du bain, des voix se font entendre de-ci, de-là et le prénom de Nolaine, prononcé par une voix d'habitude bien moins affable, la fait revenir à une certaine réalité.

Nolaine et Kaël ? Ici tous deux ?
Quelle drôle de coincidence... Il aura fallu à nouveau qu'elle choisisse bien son jour.
Pas qu'elle ne les aimait pas. Nolaine était sa grande amie et, bien qu'il fût dur avec elle, elle avait du respect pour Kaël.
Mais une des raisons pour lesquelles elle était là se trouvait être le besoin d'être seule pour se ressourcer.

Elle décide donc de rester discrète. Toute enveloppée des vapeurs qu'elle est, ils ne la verraient pas.

Mais c'est une autre surprise qui survient en la visite près d'elle d'un homme dont le visage, bien que nappé de brume et coiffé de cheveux mouillés, lui dit bien quelque chose.
Elle ne s'attarde pas à chercher cependant car il lui ne perd pas de temps à détailler son corps nu.

Superflu la chemise ? Mouarf !


Citation:
Damoiselle, si j’avais su que même les bains publiques recèlent de nymphes, je serai venu bien plus tôt encore.

Eulaly se laisse glisser jusqu'à ce que l'eau arrive à son menton, ses bras se croisent sur sa poitrine, ses jambes se ressèrent instinctivement.

Je... euh... Je ne suis pas une nymphe...

Oui c'est idiot de le préciser. Elle ne pensait pas une minute qu'il pouvait croire qu'elle soit une divinité grecque. Mais toute gênée qu'elle est, si peu habituée aux manoeuvres de séduction aussi basiques soient-elles, elle n'a rien trouvé de plus intelligent à dire.
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Enguerranddevaisneau
A lui de dissimuler derrière sa main le sourire qui pointe insidieusement à la réponse de la jeune femme. Amusé, l’éphèbe l’est, d’autant plus que lui est totalement conscient de sa superbe. Après tout, n’était-t-il pas l’homme que le chaland aimait à comparer aux statues grecques représentantes d’apollon, unique beauté masculine de l’olympe.
Dés lors il se dresse, l’eau des bains cachant jusqu’à sa taille tandis que le reste de son corps est visible de la jeune femme, ruisselant d’eau, goutte qui parcourt agréablement sa peau, faisant naitre une légère chaire de poule chez le de Vaisneau.
Certes il aurait pu cacher la fine cicatrice qui courrait maintenant sur sa joue droite, en vain, car il avait appris avec le temps qu’outre l’enlaidir, elle ajoutait à son visage juvénile une maturité de bon aloi.
Le bel, voila tel qu’il était, et se savait tout bonnement conscient de cet atout. C’est pourquoi, souplement, il se glisse dans le liquide chaud, provoquant un léger ressac autour de sa carcasse tandis qu’il s’abime à rejoindre la jeune femme en quelques brasses régulières.
Un chuchotement rauque est poussé
:

-Nymphe vous n’êtes peut-être pas, mais sans conteste vous en avez la beauté…

C’est dit alors que le carmin de ses lèvres vient caresser le lobe de la jeune fille, telle une promesse…
Il rit de son audace, lui qui n’a nulle peur, et s’éloigne imperceptiblement de son interlocutrice pour reprendre plus distinctement
.

-Enguerrand de Vaisneau, pour vous servir, douce amie, quel est donc le nom de celle qui s’ébat ici-lieu avec grâce ?

Et d’apposer avec une douceur caressante une senestre blafarde sur l’épaule de la baigneuse.
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Eulaly_de_baylaucq
Toute embarrassée qu'elle est, elle ne peut néanmoins détacher son regard curieux et admiratif du torse ruisselant, glabre, si parfait qu'il semble sortir tout droit d'un livre d'images helléniques.
Elle en oublierait presque d'observer son visage, y jette un furtif coup d'oeil, mais revient vite au corps, restant là, totalement hébétée par la beauté et l'attitude désinvolte du jeune homme jusqu'à ce qu'il la rejoigne plus près encore.


Citation:
-Nymphe vous n’êtes peut-être pas, mais sans conteste vous en avez la beauté…


Cette phrase prononcée d'une voix bien plus masculine que ne l'aurait laissé présager sa vision d'avant, associée à la douceur et la sensualité des lèvres sur son lobe c'est... indescriptible.
Sans qu'elle puisse se défendre, un frisson délicieux la parcourt, ses seins se tendent, un noeud délicieux se forme dans son ventre vierge.
D'emblée, elle est ensorcelée, et, si elle se laissait aller à ses sensations, décuplées encore par l'état dans lequel elle se trouvait avant la rencontre, cet inconnu pourrait lui faire perdre sa virginité à l'instant, sans même qu'il n'ait besoin d'autres préliminaires, au mépris de toute convenances, de toutes les conséquences possibles et même du fait qu'ils ne soient pas seuls dans l'étuve.

Il rit et s'éloigne à peine, la laissant tout en émoi.

Jamais elle ne s'est sentie si désarmée, si désorientée. Il le sait, il en joue, elle le sent. Il la mène comme bon lui semble et pour l'heure, c'est un joli succès du messire.

Or il se présente. Avec beaucoup d'élégance certes, mais son nom frappe Eulaly comme une giffle.


"Enguerrand de Vaisneau ? Enguerrant le... le... Le quoi déjà ? de Quiou ? Celui dont on se moque le soir en taverne ?"

Cette fois-ci, c'est bien son visage qu'elle regarde et, lorsqu'il pose sa main caressante sur son épaule -geste qui lui arrache un dernier frisson érotique quand même-, elle se tend soudain et la repousse franchement, prenant pleinement conscience de la situation et, par là même, les rênes de ses pensées et de ses actes.

Mon nom est Eulaly de Baylaucq et je ne pense pas, messire, être votre "douce amie".
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--Servante
La servante avait tout fait pour installer les deux nouveaux visiteurs comme il se devait. Ils avaient tout deux payé la somme due. Soucieuse du travail bien fait elle avait accompagné les deux hommes jusqu'au vestiaire. Les laissant prendre aise. Elle avait juste ajouté:

"Si vous avez besoin de quoique ce soit n'hésitez pas à faire appel à ma personne".

Ensuite elle s'était retirée à son travail.
_kael
Oui c'est bien Nolaine, la mystérieuse Nolaine. Cette fille sortie de nulle part qui un beau jour est venue à la rencontre de _Kael. Comme ça sans prévenir, sans crier gare. Il ne la connait pas encore bien mais leur relation évolue, petit à petit.

Nolaine a écrit:
Je comprend pourquoi tu viens ici assez souvent...Comment vas tu?


D'abord le FSF ne dit mot. Pas besoin, pour quoi faire.
Ensuite la conversation s'engage, n'en sort rien que des banalités quand ils sont interrompu par l'arrivée d'un nouvel individu qu'il ne connait pas.
Puis...


Eulaly_de_Baylaucq a écrit:
Mon nom est Eulaly de Baylaucq et je ne pense pas, messire, être votre "douce amie".


Elle est vraiment flanquée partout celle là!! Partout où il passe, elle est là. En taverne, à la forteresse, dans le bac à sable de la place publique et maintenant ici aux bains.
Au ton de sa voix il la sent légèrement importunée. Quoique...
Pour en être sûr il se lève, non sans avoir demandé à Nolaine de ne plus rien dire en lui posant son index sur la bouche. Il laisse alors apparaitre son corps meurtit par de nombreuses cicatrices à son amie et se dirige vers la voix d'Eulaly trainant le bas de ses jambes dans l'eau.

Lorsqu'il la rejoint, toujours debout:


"Toi ici? Je ne l'aurai jamais cru".

Il scrute son corps dénudé, n'en perd rien. Mais aucune réaction, des femmes il en avait vu, elle c'est encore une gamine.

"Tout va bien?"

Tourne son regard vers l'ombre de l'individu que l'on distingue à peine dans les vapeurs.

"Si tu veux Nolaine est là..."

Il lui montre la direction d'un geste de la tête et s'en retourne près de son amie.
Enguerranddevaisneau
Doucement il se crispe à la réaction de la jeune femme. Il savait son nom capable de faire bien des émules, mais à ce point, s’en était presque inquiétant. De fait, il reste impavide et baisse le regard vers l’eau bouillonnante, sourcils arqués, paupières closes. Soit, surement était-t-elle de la clique indépendantiste qui s’amusaient à le conspuer dans son dos mais qui ne tenaient pas trente secondes face à lui.
De hausser de nouveau l’acier de ses prunelles tandis qu’il la fixe, brulant
.

-Vous ne l’êtes pas ? Vraiment ? Alors que votre corps me prouvait le contraire il y a une minute ?

Nul reproche, un simple constat des faits, et il ne passerait pas l’année à se défendre de choses qu’il exerçait en permanence, c’est pourquoi il se saisit du savon noir qu’il frotte énergiquement à sa peau, n’accordant aucun regard à la baigneuse.
Blessé ? Nul ne le savait, il n’acceptait simplement pas qu’on puisse le juger sur les on dit mal avisés. C’est d’ailleurs à ce moment qu’un géant tout en balafre se présente, super sauveur des étuves, qui vient s’enquérir de l’excitation de la blondine. Aucun regard pour lui, l’Ittre se fiche de sa présence, nullement impressionné qu’il est. De fait, c’est pourquoi il reprend pour Eulalie, une fois le guerrier partis
:

-Oui da, rejoignez les séance tenante Eulalie, il semblerait que ma compagnie ne sied guère à une jeune fille de votre acabit. La bonne journée.

Et de tourner le dos à la jeune damoiselle. Tout était dit.
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Toro
TORO suit la demoiselle jusqu'au vestiaire de très près.
Citation:
"Si vous avez besoin de quoique ce soit n'hésitez pas à faire appel à ma personne".

Toro ne lui répond pas, il lui sourit en hochant la tête... Il enlève le peu de vêtements qu'il porte sur lui, mais garde son casque sur la tête. Il tient à son casque, il ne voudrait pas qu'un vilain vole son casque dans les vestiaires.


Il arrive dans la grande salle ou il y a un peu de monde dans au grand bain collectif. Imaginez un homme nu avec un casque à corne sur la tête, TORO ne passe inaperçu en longeant le grand bain...Il voit Enguerranddevaisneau très près de la jeune fille qui dessine bien, un petit sourire en leurs directions et se dirige dans un coin de la salle ou se trouve des baignoires individuelles.


Voyant une baignoire ou il y a une bonne eau bien chaude TORO se glisse dedans en fermant les yeux après avoir posé le drap et son casque. Il n'a pas poussé le grand rideau qui l'aurait isolé, ce que TORO voulait c'est d'être seul dans son eau, pas être à l'abri des regards... Il se frotte de la tête jusqu'aux pieds comme un malade, il a envie de chanter tellement qu'il est bien dans cette eau bien chaude, mais se retient...

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Nolaine
Index sur les lèvres, non elle ne dira mots. Ses yeux caressèrent le corps qui se dévoila devant elle, un corps d'homme, les cicatrices n'en rendait que plus viril cette sculpture grecque...

D’où elle était, Nolaine pouvait assister à la scène comme un spectacle d ombres chinoises. Presque attendrie par cet instinct protecteur de kael envers la jeune Eulaly.

Puis il revint au prêt d'elle...
C'est alors que la jeune femme posa sa main sur la joue de son ami, et furtivement la lui caressa, geste intime, affectueux, et plein de sens. Ses brulures à ses paumes, faisaient qu'elle ne touchait que très rarement les gens... Honte ou peur... un peu des deux peut-être.

Nolaine n'avait pas besoin de parler, très souvent on pouvait savoir ce qu'elle pensait dans son regard ou ses gestes.

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Eulaly_de_baylaucq
Sa chair l'avait trahie. C'était certain. Il n'y avait pas grand-chose à ajouter. D'ailleurs, si sa tête a repris ses esprits, son corps est encore tremblant d'ardeur.

Elle évite donc soigneusement de croiser son regard, n'essayant de penser qu'à son nom. "Enguerrant de Vaisneau. C'est Enguerrant de Vaisneau !"

Elle n'est pas fière la damoiselle. Jamais il ne faudrait que les siens n'apprennent rien ce qu'elle aura pu ressentir sous les caresses hardies du jeune homme dont ils ont si peu haute opinion.

Comme il se lave sans la regarder maintenant, elle souffle deux secondes. Oui mais deux secondes seulement car c'est un Kaël ne cachant rien de sa nudité qui se dresse maintenant devant elle et l'examine sans pudeur aucune.

Citation:
"Toi ici? Je ne l'aurai jamais cru".

Ah ben çà ! C'est quand même bien lui qui lui avait presque donné l'adresse en vantant les bienfaits des bains !
Impatiente qu'il s'en aille, elle acquiesce de la tête à la question du "Tout va bien ?", répond "Cà ira merci", lorsqu'il lui confirme la présence de son amie et le regarde s'en aller soufflant de soulagement de n'être plus reluquée et de ne plus avoir à subir la vision de son instructeur à poil.

Citation:
Oui da, rejoignez les séance tenante Eulalie, il semblerait que ma compagnie ne sied guère à une jeune fille de votre acabit. La bonne journée.

Elle ne répond pas, profite simplement qu'il tourne le dos pour sortir fissa ses jolies fesses rondes de l'eau et s'enrouler dans sa serviette.

Ah çà ! Elle se souviendrait de sa première fois aux bains !
Finalement, elle en sortait plus tendue qu'elle y était entrée.

La prochaine fois ce serait petite étuve et chemise fermée, ne serait-ce que pour la protéger d'elle-même.

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--Orane


Elle ne traînaît jamais loin des bains la catin. Du monde, des corps nus, donc argent facile.
Pourtant elle sait qu'elle ne peut pénétrer en ces lieux mais elle laisse une partie de ses gains à la servante. Echange de bons procédés.

Pleine de grâce, et completement nue elle fait son entrée dans la salle de la grande étuve. Elle croise une jeunette emmitouflée dans sa serviette qui d'un pas rapide quitte les lieux. "Encore une pucelle effrayée" se dit-elle.

Entrée dans l'eau chaude, déplacement langoureux de nymphe, regard autour d'elle.
Là, un homme!! Son visage laisse traduire un petit agacement. Ce sera Lui.

Elle contourne sa proie pour le plus discretement du monde arriver juste derrière Lui.
Orane écarte les jambes et se colle contre le dos de l'homme.


"Un peu tendu n'est-ce pas? Pour pas grand chose je peux t'aider à passer un bon moment..."
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