Idiotemariote
Pour ta mémoire ma petite Elise...
Mon coeur se débat, je voudrais tant que ce ne soit pas elle, j'ai des sueurs froides, mon pas se fait chancelant et je m'approche de son cercueil, elle semble dormir tout près de son Doudou. Sa longue chevelure entoure son visage au teint pâle, elle est si belle.
Mon baiser vient se poser sur sa joue et je lui souffle dans le creux de l'oreille "mon ange tu veux du lait et une part de gâteau ?", mais son silence arrache en moi des larmes de tristesse. Mon regard retrouve sa quiétude d'autrefois lorsqu'elle dormait à mes côtés l'âme en paix.
Elle repose paisiblement dans ce cercueil de bois tissé de satin blanc, sa robe blanche lui donne l'allure de la jeune mariée qu'elle fût près de son Namoureux, le Dieu Theo.
En la regardant, là sans vie, je me dis qu'elle a rejoint la maison du monsieur qui vit dans le soleil, elle qui ne voulait pas grandir, JAMAIS, elle ne connaîtra pas la vie compliquée des adultes.
Tout semble irréel et si magique à cet instant, ta présence est si forte que le sol se recouvre d'un parterre de fleurs.
Je t'ai crue immortelle et voilà que tu vogues là-haut tout près des étoiles alors je lève les yeux au ciel comme les grands et je te souris car c'est comme ça que tu as toujours voulu nous voir.
Repose en paix mon ange...
Mon coeur se débat, je voudrais tant que ce ne soit pas elle, j'ai des sueurs froides, mon pas se fait chancelant et je m'approche de son cercueil, elle semble dormir tout près de son Doudou. Sa longue chevelure entoure son visage au teint pâle, elle est si belle.
Mon baiser vient se poser sur sa joue et je lui souffle dans le creux de l'oreille "mon ange tu veux du lait et une part de gâteau ?", mais son silence arrache en moi des larmes de tristesse. Mon regard retrouve sa quiétude d'autrefois lorsqu'elle dormait à mes côtés l'âme en paix.
Elle repose paisiblement dans ce cercueil de bois tissé de satin blanc, sa robe blanche lui donne l'allure de la jeune mariée qu'elle fût près de son Namoureux, le Dieu Theo.
En la regardant, là sans vie, je me dis qu'elle a rejoint la maison du monsieur qui vit dans le soleil, elle qui ne voulait pas grandir, JAMAIS, elle ne connaîtra pas la vie compliquée des adultes.
Tout semble irréel et si magique à cet instant, ta présence est si forte que le sol se recouvre d'un parterre de fleurs.
Je t'ai crue immortelle et voilà que tu vogues là-haut tout près des étoiles alors je lève les yeux au ciel comme les grands et je te souris car c'est comme ça que tu as toujours voulu nous voir.
Repose en paix mon ange...