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[RP]Le cimetière

Slystaline
Malgré son ébriété avancé, Sly reste un bon Aristotélicien.
Il essaye de prendre une mine et une allure de circonstance quand il passe les lourdes grilles du lieu sacré.

Il a bu. Il s'est étourdi même si ça ne suffi pas à faire oublier qu'elle est pas là; Il se dirige vers la tombe de celui qui est tombé pour la Flanhandre.

Soldat inconnu, tombe anonyme dans un cimetière célèbre.

Il manque de tomber et de lâcher un juron blasphématoire quand il se baisse pour ramasser son dernier indice
.
Henrijean01
apret avoir fait la fille s'incline devant la dépoulle et y gisse trois baton densent
retourne à sa plasse sans un mot
Duncan.
Duncan avait écouté chacune des interventions, que ce soit de la famille ou des amis, plus ou moins proches.
Il reconnaissait bien sa mère dans chaque parole prononcé et ne pu s’empêcher de sourire avec émotion lorsque l’on parlait de sa générosité, de son amour pour son prochain, de son amitié.

Toutes ces personnes d’opinions différentes, de rangs différents qui partageaient, à ce jour, une seule et même pensée. Tous réunis en ce lieu pour célébrer celle qu’ils aimaient, appréciaient, respectaient.

Un dernier adieu avant le moment tant redouter, celui de la mise en terre, symbole, tout au moins pour Duncan, qu’elle n’était plus.
Le jeune homme se recueille intérieurement avant de se lever et de se placer aux côtés du cercueil, rejoint par les autres porteurs, tous proches de Léalie et de la famille de Clairambault.

Dernier regard sur sa mère en refermant le couvercle. Comme un seul homme, les porteurs soulevèrent le cercueil, suivant, à pas lents, le Vicaire. Long chemin jusqu’au cimetière, non pas par la distance mais par la durée, ou l’impression de durée. L’encens embaumais les rues, rappelant aux badauds cet instant solennel. Silence pesant, parfois entrecoupé de murmures, tristesse et recueillement se lisaient sur les visages du cortège funèbre.

Le cimetière de Tournai accueillait, à son tour, famille et amis. L’endroit était silencieux, peu de curieux, des allées désertes, entourées de tombes placées comme pour faire une haie d’honneur pour les nouveaux arrivants. Première fois que Duncan eut cette sensation. Jusque là, il n’avait jamais fait attention à la façon dont étaient disposés les tombes.

Arrivée à la dernière demeure de sa mère et sa sœur, les porteurs déposèrent délicatement le cercueil avant de s’écarter et de se recueillir une ultime fois.
Ichabod, fossoyeur Tournaisien, procédait à la mise en terre.
Duncan regardait le cercueil descendre lentement, ne pouvant retenir une larme, ayant une terrible envie de la sortir de là, de la réveiller… Il n’en fit rien, il savait même s’il avait du mal à l’accepter, qu’il ne la reverrait plus, si ce n’est dans ses songes.


A l’appel du Vicaire, Duncan, d’un geste lent et précis, laissa tomber une rose blanche sur le cercueil. Rose blanche signe de la pureté de l’amour d’un fils pour une mère, symbole fort de leur relation basée sur l’écoute, la confiance, la compréhension.
Au moment où la rose se déposa sur le cercueil, Duncan murmura « Je vous aime, mère » puis reprit place.

Rose ou terre, chacun se succédait pour un dernier adieu avant de venir présenter leurs condoléances à la famille.

Franche accolade à son parrain, Duncan connaissait sa peine et le savait sincère.

Merci Parrain, nous sommes certains que nous pourrons toujours compter sur vous comme vous pourrez toujours compter sur nous.
Votre venue fut un soulagement, je suis certain que mère serait fière de votre présence.


Rosa, une des plus grandes amies de sa mère et pourtant, tout aurait du les séparer…
Duncan lui sourit pour la remercier et la rassurer…la rassurer de quoi ?

Je vous remercie Dame Rosa, vos mots et vos prières nous vont droit au cœur. Je suis certain que mère fut très fière de faire partie de vos amies. Sachez que les Clairambault vous accueilleront toujours en leurs demeures.

Un remerciement à Maryse et Guichard, scellé d’une franche poignée de main à son compagnon d’armes, il savait qu’il pourrait compter sur eux.

Chacun passait exprimer ses condoléances à la famille, Duncan n’avait qu’un hâte, se retrouver quelques instants, seul, pour un dernier adieu en tête à tête avec sa mère.
Krystel_martin
Alors qu'on ne l'attendait plus, elle arriva. Douce, chaude, salée, amère. La larme. Elle était née timidement, au coin de l'oeil. Puis, prenant un peu d'assurance, elle avait glissé sur la joue, avait chatouillé le bout du nez. Elle avait chuté, chuté... Plic. Elle s'était écrasée sur le col. Sa petite soeur vint, suivit la joue, arriva au menton... Plic. Elle rejoignit sa soeur sur le col.

Krystel pleurait.

Elle s'essuya discrètement les yeux, la joue, le bout du nez et le menton. Léalie n'était plus. C'était bel et bien fini. Et plus que la perte de la dame, qui, Krystel en était sûre, avait rejoint le Paradis Solaire (en espérant que la pauvre dame n'ait pas à goûter à l'eau-de-maïs maternel), c'était la douleur de la famille qui faisait peine à voir. Bien sûr, les enfants et le veuf étaient croyants. Mais ils avaient perdu un être cher... la mère, la femme aimante n'était plus à leur côté... Plus dans cette vie... Leur douleur fit écho à la sienne.

Krystel pleurait.

Une fleur à la main, la jeune fille froissa un pétale. Elle suivit le cortège funèbre, déposa la fleur et une poignée de terre sur le cercueil, puis se tint à l'écart, écrasant une autre larme.


A Dieu, belle âme.

Krystel pleurait.
_________________
Thibaud
Ainsi, les amis et les membres de la famille jetèrent une poignée de terre ou une rose en direction du cercueil. Des derniers adieux en somme, à cette femme semble-t-il exceptionnelle. Le Vicaire regarda durant quelques instants les Cieux, imaginant Léalie, sa petite fille dans les bras, en train de discuter avec le Très-Haut sur le Soleil lointain. Un léger sourire se forma sur ses lèvres, et son esprit retomba sur la terre ferme. Nombreux étaient ceux qui présentèrent leurs condoléances aux Clairambault, et dés que le chemin se dégagea, le Vicaire fit quelques pas pour se diriger vers eux, les mains rejointes, le long de son corps.

Certes, vous avez perdu une épouse ou une mère, mais ne désespérez pas pour autant, vous passerez l'éternité à ses côtés, au moment où Dieu le décidera. Sachez que la plus grande erreur que nous avons commise, c'est de ne pas avoir cherché à connaître davantage Léalie de Clairambault, mais nous ne pouvons qu'être peiné et triste face à cet évènement qui secoue toute une famille. Nous aussi avons perdu une soeur Aristotélicienne en ce jour. Si nous pouvons faire quoique ce soit pour vous, n'hésitez pas à nous contacter.

En attendant, veuillez accepter nos plus sincères et Aristotéliciennes condoléances.


Un petit visage, le teint moins rosé que d'habitude. Thibaud quitta le cimetière, tout en chantonnant un cantique, et se rendit jusqu'aux locaux de l'Archevêché pour s'occuper de la rédaction du certificat de décès.

--Elvena
Voila, elle avait refourgué toute sa marchandise. De quoi pouvoir tenir un moment.
Maintenant ce n'était plus pour survivre mais pour l'appât du gain qu'elle venait dans ce lieu. On se prend vite au jeu de pouvoir acheter plus que l'on a besoin.
De la bonne nourriture tous les jours sans pour autant aller s'enfermer à la mine ou geler aux champs...
Et puis depuis elle avait pu se refaire une nouvelle garde-robe, ce n'était pas négligeable quand on voulait trouver un bon parti...

Si sa pauvre mère la voyait... Enfin, elle avait qu'à pas crever en la laissant sans un sou alors qu'elle était môme. Après tout depuis elle avait du se débrouiller.

Elle se souvenait... Elle avait commencé en faisant la manche, gamine cela marchait pas trop mal étant donné qu'elle était mignonne. On donne à un enfant ça fait plus pitié qu'à un adulte pour sur.
Elle avait continué en détroussant par ci par la les bonnes âmes de Tournai qui lui donnait quelques écus dans sa prime jeunesse. Ils lui faisaient encore l'obole mais sans le savoir et ça la faisait bien rire...

Mais elle avait été prise une fois et le gentilhomme avait failli lui coupé la main mais elle s'en était servi pour payer sa punition autrement. Ce fut sa première approche de l'intimité des hommes...
'Fin bref elle avait arrêté et retrouvé la voie de la mine ou des champs pendant un moment.

Et puis la décrépitude l'avait conduite à vouloir plus, à vivre mieux. Et les morts n'ont pas besoin de bijoux, elle si.

Elle revint dans la nuit avec sa pelle. On avait enterré il y a peu une riche dame, elle espérait qu'elle fut enterré avec nombreux bijoux.
En essayant de se faire discrète, elle allait de tombe en tombe, il les fallait assez fraîche pour ne pas tomber sur un cadavre en décomposition. L'allure de la tombe aussi était important. Déterrer un gueux n'avait strictement aucun intérêt, fallait de la roture ou de la noblesse, la ça devenait tout de suite plus intéressant...

Heureusement, la lune l'éclairait quelque peu et elle distinguait plus ou moins bien les croix ou les blocs de marbre.
--Ichabod_le_fossoyeur


La journée n'était pas des plus gaie, Icahbod se tenait prêt à reçevoir la Dame de Clairambault en sa dernière demeure. Le cimetière, aussi triste soit-il et plus encore aujourd'hui, avait revêtu son plus bel apparat.

Le vicaire avait terminé la cérémonie, il ne restait plus qu'aux proches et amis à venir présenter leurs condoléances à la famille. Quand au fossoyeur il était occupé à descendre le cerceuil dans le caveau de la famille Clairambault, et ce, malgré l'émotion qu'il ne pouvait laisser transparaitre.

Au dessus de lui il entendait des gens qui continuaient de pleurer. La communauté venait de subir une perte énorme et il faudrait encore attendre pour que le cimetière se vide complètement.
Ichabod fini par remonter de la dernière batisse des Clairambault et se dirigea vers Duncan et les siens. Il retira le tissu qui lui servait de couvre chef pour le mettre contre sa poitrine:


"Mes sincères condoléances, vous pouvez être certain qu'ici elle sera en paix. Je veillerai personnellement à ce que son repos ne soit pas troublé et soit paisible. Je peux vous l'assurer". Il pensa aux visites nocturnes que le cimetière reçevait ces derniers temps.

Sans dire mot l'enterreur baissa la tête en signe d'au revoir, laissant la famille faire son deuil.
--Elvena
La veille au soir elle avait fait chou blanc. Elle avait creusé une tombe qui n'en valait pas la peine et des amoureux en mal de sensations l'avaient ensuite interrompue, elle avait juste eu le temps de déguerpir avant qu'on ne la reconnaisse.

Alors elle avait pris son mal en patience. Ce jour, une fois n'est pas coutume, elle avait été travaillé à la mine. Faut dire qu'on commençait à se poser des questions dans le quartier. C'était à celui qui trouverait comment elle faisait pour ne pas devoir aller s'enfermer dans cet endroit glauque à souhait.

Si ils savaient ces sombres idiots qu'elle fréquentait l'un des endroits les plus glauques qui soit et de nuit de surcroit. Le cimetière ne lui faisait pas vraiment peur, quoique de temps en temps des restes de sermons aristotéliciens lui revenaient en mémoire et lui donnait quelques remords.
N'empêche que depuis elle vivait mieux, alors les regrets ce serait pour plus tard...

Encore une nuit ou la lune serait de son côté. Sans compter que le ciel était plus dégagé que la veille, voila qui l'aiderait encore plus. Elle navigua parmi les tombes et s'approcha de celle de la riche dame qu'on avait enterré tantôt. Voila qui promettait un pactole juteux.

Laissant de côté ses restes de remords en tout genre, elle s'attela à la tâche, la porte du caveau était épaisse, ça allait faire du bruit mais fallait bien passer par la.
--Le_silence_de_la_nuit
La nuit était bien avancée, la lune brillait pleinement, les étoiles scintillaient... Une belle nuit en somme !
Mais chut ! Qu'entend on ?
Des chuchotis, des murmures, des.... bruits de pelles qui creusent !!!
Mais que viennent déterrer ces créatures nocturnes ????
--Ichabod_le_fossoyeur


Des pilleurs de tombes sévissaient à Tournai. Ils obligeaient le vieil Ichabod à sortir de sa modeste demeure la nuit pour faire le guet dans son cimetière.

Dans cette nuit froide de fin d'hiver le fossoyeur levait la tête vers le ciel, celui-ci était dégagé et on pouvait y apercevoir les étoiles. Le clair de lune quand à lui, laissait des reflets calmes sur le sol.
Ses pas sonnaient mât pendant qu'il marchait au travers des dalles de pierres qui recouvraient de plus en plus le cimetière.
Une fois encore la nuit promettait d'être longue, il ne se passait rien, Ichabod se mit à réflechir...

Depuis sa plus tendre enfance, il avait arpenté les terres de ce cimetière. Toujours, il avait règné cette odeur de terre nauséabonde retournée pour laisser place au corps défunt. Son rôle ici bas était simple. Par Aristote, il devait veiller sur le corps des défunts.

Il n’osait le dire franchement mais les années commençaient à avoir raison de lui. Il n’avait jamais eu de fils pour assurer sa descendance. Ni même de fille d’ailleurs, bien que ce n’était pas un travail de femme que le sien. Il devait s’assurer que nulle tombe ne serait exhumée pour que les âmes ne subissent pas de pechés innombrables qui les attendaient si le corps venait à quitter son tombeau.

Toutes ces grandes paroles était bien belles mais au fil du temps il avait bien compris qu'il n’aurait bien souvent affaire qu’à des jeunots sans cerveau qui ne savaient pas réellement toute la portée d'un tel acte. Un coup de cane et quelques paroles bourrues suffisait bien souvent pour faire fuir les lâches.

Même si sa vue ne portait plus comme autrefois, il relevait la tête pour regarder au loin. Le champ de dalles semblait bien silencieux, trop... Quelque chose se préparait-il ou était-ce le fruit de son imagination? Sans doute avait-il travaillé trop longtemps dans les catacombes.
--Elvena
Elle regarde sous toutes ces coutures la porte. La différence avec la mine me demanderez vous ? hé bien, l'air frais, et la quantité d'écus largement supérieure par rapport au travail fourni.
Cela n'allait pas être facile, heureusement sa pelle était solide. Elle n'aurait rien contre un petit rafraichissement mais pas le temps d'y penser, fallait tout finir avant la venue du jour ou avant de se faire prendre...

La pelle cet outil au combien précieux dans ces virées nocturnes. Cette fois ci elle allait lui servir de levier. Elle glisse la partie métallique sous la porte et soulève.

CRAC

La porte se détache de ses gonds et voila qu'une partie s'en est retrouvée fragilisée. Le bois craque sous ce mauvais traitement.

BLAM

Voila que la porte tombe à ses côtés. point de vue discrétion on repassera. Elle se sentait nerveuse, faut dire que la tombe était fraîche de quelques jours et elle espérait qu'il y ait vraiment de quoi faire.
Elle pénétra doucement, fait sombre à l'intérieur, elle aurait du prendre une lanterne avec elle. Mais habituellement la lune lui suffit. Elle laisse ses yeux s'habituer au noir profond et commence à fouiller.
Vanartevelde
Le lieutenant de Gand rentrait de Cambrai tranquillement au coeur de la nuit. La mission comtale avait été comme on dit parfois: "vite fait bien fait". Sa mule grise, lourdement chargée, trotinnait dans son dos. Le petit groupe longeait le cimetiere clopin clopant. L'arbalete pendait mollement en bandouilliere et la pipe de bois luisait dans l'ombre à chaque bouffée de son propriétaire qui murmurait pour tuer l'ennui avec sa bete de somme.... mais ja ne te plains pas Cocotte, nous sommes bientot arrivés, de toute façon c'est urgent, le fer n'attend pas, il doit etre au petit matin dans les entrepots du chateau et de toute façon tu.....BLAM!

Le flamand s'arretait net en tournant ses yeux perçants et incrédules vers le mur du cimetiere. Un long frisson lui parcourrait l'échine malgré sa cape bien épaisse. Un regard interrogatif vers la mule à moitié endormie pendant la marche.... ça c'est pas un fantome...Le soldat, d'un geste habitué, armait son arbalete dans un CRAC aussi peu discret que le bruit de porte forcée et poussait la grille rouillé du vieux cimetière dans un grincement insupportable. Puis les graviers, sous ses bottes militaires, vraiment le cimetière n'etait pas un lieu de discretion et l'approche furtive n'aurait aucun succés. D'un voix portante, le militaire lançait...QUI VA LA?...jusqu'à en résonner sur les parois du caveau visité par les pilleurs de tombes.
--Elvena
Citation:
QUI VA LA ?


Mordiable, le bruit avait attiré quelqu'un. Alors elle se rangea dans un endroit sombre du caveau, sa pelle tout contre elle.

Elle tentait du mieux qu'elle pouvait de respirer doucement, sans bruit. Elle avait le cœur qui battait fort dans sa poitrine et l'impression que celui-ci pourrait alerter quelqu'un à des kilomètres à la ronde.

Il n'était pas possible qu'elle se fasse prendre. Pas maintenant.

Peut être était-il encore temps de sortir et de s'échapper en courant mais l'appel du gain était le plus fort. Elle n'avait pas fait tout cela pour ne rien ramener chez elle.

Elle espérait que c'était un bas de poil, qu'il n'oserait s'approcher plus en avant et qu'il la laisserait finir sa tâche.
--Ichabod_le_fossoyeur


BLAM!

Le fossoyeur était définitivement tiré de sa rêverie. Il y avait bien quelqu'un dans le cimetière. Par tous les diables de l'enfer, il y en a qui n'ont peur de rien!!

Avec sa lanterne Ichabod se dirigea tant bien que mal vers le bruit. Son inquiètude grandit encore quand il se rendit compte dans quelle direction il allait: Le caveau de la famille Clairambault. Il avait promis à ceux qui étaient resté de prendre soin de la chère disparue.


"QUI VA LA?"

Dans l'obscurité, une voix forte suivie d'une ombre gronda.
Malgré son âge et sa jambe légèrement handicapée, le vieil enterreur ne se laissa pas décontenancer, il en avait vu d'autres.


"Vous êtes dans mon cimetière, que faites vous ici??"

Il continuait d'avancer et à la lueur de sa lanterne il se retrouva nez à nez avec un barbu.
Vanartevelde
Le regard bleuté et perçant balayait l'espace sombre aux alentours du caveau familialle des Clairambeaults. Le barbu avait pointé son arbalète vers la lanterne qui s'approchait mais reconnaissant le vieux maistre des lieux, l'arme s'etait vite tournée vers d'autres cibles éventuelles.... Goeden Avond Meneer le Fossoyeur....Un sourire lui traversait la barbe quelques instants brefs en bon accueil. Les sens en alerte, le militaire, en tenue de Lieutenant de Gand continuait sa veille. Sa voix grave et posée s'égrainait dans le silence retrouvé du cimetière....j'ai entendu du boucan alors que je passais sur le chemin, ça m'a intrigué et je suis venu inspecté, vieux réflèxe de maréchaussée...
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