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[RP]Le cimetière

--Le_pere_gontran



Le Père Gontran se promenait dans le cimetière, fallait bien s'y habituer car un jour ou l'autre c'est ici qu'il finirait.
Mais il aimait l'endroit. D'abord pour son calme et ensuite il trouvait les lieux superbes.
Il fut tiré de ses pensées par des sanglots, et effectivement il trouva une jeune veuve éplorée sur la tombe de son mari.


"Très chère..." murmura t-il "Il ne faut point pleurer aisni, la vie pour toi est encore longue. Voici donc une légende des cimetières que je te conte:"



Une femme venait de perdre son mari. Attristée par cette terrible perte qui venait de la frapper, elle ne pouvait supporter cette situation et en début d'après-midi elle se rendit au cimetière où la tombe du malheureux défunt se trouvait .

Arrivée au cimetière, qui était vide compte tenu de la chaleur mortelle, elle se dirigea vers la tombe de son mari.
La douleur de cette perte était telle qu'elle craqua et se mit à pleurer toutes les larmes de son corps à genoux sur la tombe. Elle ne se calmait plus et dans un dernier sanglot elle fini par se relever, elle sentit alors une présence derrière elle.

Elle se retourna... et vit deux gros chiens noirs qui la fixaient comme une proie... Ils allaient lui bondir dessus.
Apeurée, elle prit ses jambes à son cou et courut le plus rapidement possible vers la sortie du cimetière. Les chiens la prirent en chasse, elle les entendait grogner et se rapprocher de plus en plus, elle pouvait même sentir le souffle chaud des molosses sur ses mollets. Une fois sortie du cimetière et dans un dernier espoir elle se retourna dans l'espérance de voir que ses deux gros chiens ne la suivaient plus.
Mais bizarrement les chiens avaient disparu, ils n'étaient plus à sa poursuite. Ils avaient disparu.

Quelques jours plus tard, elle retourna au cimetière mais cette fois-ci, en fin de journée quand il y avait du monde, en allant vers la tombe de son mari elle vit le fossoyeur de la nécropole, elle alla lui raconter son histoire.
Mais là, le gardien, qui devait avoir vécu de nombreuses histoires vu son âge élevé, devint livide il bafouilla puis reprit son calme et lui expliqua qu'il n'y avait jamais eu de chien dans ce cimetière.
Mais surtout, il lui expliqua ceci : Après la perte d'un être cher si on pleure toutes les larmes de son corps sur la tombe, le mort reviendra ou enverra quelqu'un ou quelque chose pour nous faire fuir. Ainsi les vivants tristes retournent à la vie et cesse de venir se morfondre sur les tombes des trépassées.


La jeune femme l'avait écouté avec attention. Sèchant ses larmes avec sa robe elle reagarda autour d'elle. Certainement cherchait-elle une manifestation quelconque qui la ferait fuir.

Le Père Gontran sourit et continua sa promenade.





http://fmig-gconteur.actifforum.com/forum.htm
Hause
C'est sous une petite bruine qu'Hause avait passé la journée à marcher dans les rues de Tournai. Il affectionnait par dessus tout observer les gens dans leur quotidien. Cela lui permettait de fermer les yeux sur le sien... Sa marche l'avait finalement conduit ici, aux portes du cimetière. Une idée tordue lui traversa l'esprit :

Et si j'allais voir ma tombe !

Il était probablement le seul Tournaisien vivant à avoir une tombe... L'idée lui arracha un sourire. Il remonta doucement les allées à l'aide de sa canne, qui s'enfonçait un peu trop dans le gravier à son goût. Les pierres tombales et les croix en bois se succédaient. Hause s'arrêta finalement en face de l'une d'elles. Son nom y était gravé. C'était une simple croix en chêne. simple mais belle. Un bouquet de chrysanthèmes fanées était posé à terre. Son sourire s'effaça lentement. Il avait une idée de la personne qui l'avait posée. Un profond regret s'empara d'Hause. Comment avait il pu lui faire croire à sa mort !? Sa pensée s'égara dans le passé...
--Le_cimetiere_brumeux



Le silence d’un matin froid d’automne…

La brume matinale ne s’était pas encore levée que la paix des lieux était déjà troublée; une ombre s’avançait dans le cimetière. D’un pas rapide elle slalomait entre les tombes qui sortaient péniblement du brouillard. La silhouette s’agenouilla, peut-être pria t-elle,… Non elle déposait quelque chose.

Etrange…

Son paquet délicatement posé sur le sol l’ombre s’enfuit à toute hâte. Pendant de longues minutes le silence reprit ses droits.

Soudain la quiétude du champs de morts fut troublée par des cris qui tranchaient d’avec le morne tableau qui se dressait devant nous.
Les cris d’un nouveau-né !!!! C’était un bébé qu’on venait d’abandonner.




RP fait pour halloween, amusez-vous bien et faites durer le plaisir
--Gus_le_vieux_fou



Le froid avait gagné les os du pauvre Gus et ce n’était pas le morceau de tissu déchiré qu’il avait sur ses maigres épaules qui allait le tenir chaud, à l’abri du vent et de la pluie. Il avançait péniblement en direction de la maison du fossoyeur, seule bonne âme à se préoccuper un peu du vieux fou qu’était Gus.
De temps en temps Ichabod préparait un repas pour le vieil ermite qui s’empressait d’aller le dévorer dès le matin levé. Ces deux là s’étaient connu plus jeune et entre gens de la même génération on se comprenait. Cela dit le fossoyeur n’était pas bien riche non plus, tout juste survivait-il grâce aux quelques écus versés par la Mairie lorsqu’il mettait quelqu’un en terre. Donc pour la ripaille de Gus pas besoin de s’encombrer de dépenses inutiles, l’enterreur allait chercher la viande là où elle ne lui coûtait rien, enfin si tout au plus un peu de travail supplémentaire.

Le vieux fou stoppa net, il venait d’entendre un cri provenant du cimetière qui lui fit aussitôt oublier le festin qui l’attendait. Fallait aller voir c’était plus fort que lui. Suivant les pleurs et les cris il se retrouva finalement nez à nez avec un nourrisson braillant tant et plus. Pris de panique, pour sûr que tout le monde le regardait, Gus fuit lâchement.

Il trouva refuge derrière une grosse pierre tombale. De là il pouvait risquer quelques coups d’œil sans être vu par la communauté locale. Ceux-ci faisaient peur à Gus, et pour cause il s’agissait de morts vivants. Ces gens s’occuperont bien du petit se dit l’ermite et pour en être sûr il les observa pendant un bon moment. Un homme sans peau faisait des risettes à l’enfançon, tandis qu’une dame avec des fleurs lui sortant par la bouche chatouillait les pieds du petit. D’ailleurs celui-ci ne pleurait plus, il riait à s’en exploser les poumons. Les trépassés s’occuperait-ils mieux des enfants que les vivants ?





HRP: Pour avoir présenté le vieux Gus dans le RP "Grands épisodes de la vie quotidienne ou pas", celui-ci est fou et à des hallucinations. Bien évidemment la scène qu’il voit ici est une hallucination. En réalité personne ne s’occupe du gosse et il ne rit pas il hurle de froid, de peur, de faim.
Idiotemariote
En ce jour si symbolique, Mariote vint allumer trois bougies comme pour réchauffer son coeur meurtri et faire revivre le dernier souffle de la vie, le souvenir de ses enfants chéries. La porte d'entrée s'est fait discrète comme une page blanche qui déverse une encre secrète, l'horloge continue son temps. La Toussaint aux couleurs de chrysanthèmes garnit ce cimetière. Dans les allées tristes sans lumière, le calme et le repos se font entendre aux chants des prières. Le noir rassemble les désespoirs, ce vide qui la ronge de ne pas les voir, un manque au point de ne pas finir l'histoire, recueillement en ce jour pour y croire encore. Devant leurs tombes, elle panse sa blessure devant leurs croix de bois usées par le temps en gravant leurs noms...Nagata, Seiko, Elise..., lointaine mémoire qui lui murmure des moments heureux. Puis vint cette âme effleurer son écoute, des pleurs d'un nourrisson qui la font réagir, elle scrute les alentours et se laisse guider par les cris. Elle s'avance d'un pas pressé dans ce jardin aux feuilles séchées que l'automne étale à vive allure et elle le trouve là emmailloté dans des linges semant tout son amour dans ses bras protecteurs. Elle regarde autour d'elle, un frisson parcoure son corps, le décor est devenu lugubre alors qu'elle tient la vie, ses yeux s'étonnent, que faire à cet instant ?
--Paciflore




C'était son jour préféré, le jour des morts, on honnoré leur souvenir, comme si nous avions besoin d'un jour precis. Paciflore alla donc vers le cimetiere pour y déposer quelques fleurettes et des bougies de veillée aux tombes oubliées.
Elle n'était pas très connue du village, sauf ceux qui allaient de l autre coté, mais ils etaient si rare.
Il y avait du monde, ce qui fut normale pour ce jour, Paciflore sourit d'un sourire édenté.
Mais sont visage effaça le sourire en grimace, de la ou elle était, une scène etrange se jouait.... une blonde un chiar un vieux. Même elle n'avait pas pu revé mieux pour ses histoires qu'elle comtait le soir aux gens, en chasse de frissons.
Elle s'avança avec precossion, car de là ou elle était, elle pensait a une mère abandonnant son enfant et le vieux pervers qui la surveillait... elle eu un frisson de dégout.
Lionel.blanc.combaz
C'est la tout Saint, le jour des morts. Ne pouvant pas se rendre sur la tombe - ou est-ce une fausse commune ?- de sa mère en Angleterre, l'enfant suit Toinette qui vient tous les ans sur la tombe de sa mère grand, déposer des fleurs. Elles ont décidé ensemble que mère-grand, ça la dérangera pas qu'on lui file des fleurs à donner à maman.

Mais alors que l'enfant se ballade, insouciante, entre les tombes, s'amusant à lire les noms dessus...

Camille. Viens mon petit.

Le ton est sec, voire inquiet. Quand Toinette parle comme ça, on obéit, on cherche même pas à marchander. La gamine retourne auprès de sa vieille nourrice et lui prend la main.

Qu'est-ce qu'il y a Toinette ? Oh ! C'est Mariote, là-bas...

Et en effet, on se dirige droit sur Mariote. Dans la lumière bleue de l'aube, la brume l'entoure encore un peu, on dirait presque la statue d'un des cavaux, de loin... A mesure qu'elles approchent, Camille distingue quelque chose dans ses bras. Elle veut lâcher la main de Toinette pour se hâter mais la vieille femme la tient fermement, comme si danger il pouvait y avoir...

Du coup elle se contente de faire de grands signes à Mariote.

Jour Mariote ! Toi aussi tu viens dire bonjour aux morts ?

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Idiotemariote
L'obscurité du lieu est bien altière, un espoir dans la lueur de ses yeux, la souffrance tombe, elle s'agrippe à l'illusion de ce nourrisson. Ses pensées flottent dans ce vide intense dans l'attente de satisfaire ses sages décisions. Son âme aspire au contact de son petit corps contre sa poitrine et soudain la quiétude du moment vient se rompre par un autre petit ange du nom de Camille. Quelques corneilles battent des ailes sur son passage, elle habite divinement ce lieu embaumant sa vie de petite fille. Mariote la dévisage tendrement et reste attentive à la sérénité de ses mots.

Jour Mariote ! Toi aussi tu viens dire bonjour aux morts ?

Bonjour petit ange, bonjour Toinette...je viens illuminer cet endroit avec des bougies pour qu'elles brillent comme une nuit étoilée et fleurir quelques endroits pour les rendre plus chaleureux.

Mariote se doute qu'elle n'en restera pas qu'à cette question et qu'elle finira bien vite par lui demander ce qu'elle tient dans ses bras mais elle n'en découd pas lui adressant un sourire affectueux et un regard avisé à Toinette qui saura la conseiller à bon escient.
--Ichabod_le_fossoyeur



Dure réalité, en ce début de mois de novembre le fossoyeur avait retrouvé le cadavre d'un nouveau né. Les fleurs de la Toussaint et les nombreux visiteur du cimetière n'avaient rien remarqué. Le petit étail là paisible, il avait du avoir bien froid et faim avant de s'en aller pour un monde meilleur. Paix à son âme.

Direction la fosse commune.
Lionel.blanc.combaz
Camille ne remarque pas, heureusement pour elle, le fossoyeur et son triste fardeau. Elle veut courrir embrasser Mariote, mais la poigne de Toinette est ferme.

La vieille a recu le regard de Mariote et a visiblement décidé de se mêler de ce qui la regarde. Elle ne voit pas la vieille désigner l'église à Mariote, et si elle l'avait vu, elle n'aurait pas compris pourquoi.

Chouette ! Moi je viens dire bonjour à maman et mère grand, lance-t-elle à Mariote tandis que sa nourrice l'entraine jusqu'au caveau des De Clairambaults. A bientot Mariote ! Demain je vais en voyage !


vraiment désolée, j'ai cru avoir le temps de faire ce rp mais.. le départ pour l'artois s'est finalement concrétisé

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--Ichabod_le_fossoyeur
[... Suite du RP "La fin de Mimi"]

Par ce froid le fossoyeur ne sortait que rarement, tout juste pour aller en ville chercher de quoi manger. Le temps glacial n'avait pas encore fait de victime mais ça ne saurait tarder, avec les années il savait que la saison d'hiver était meurtrière. En plus de la mal nutrition, les petites gens, les plus pauvres ne savaient pas se chauffer. L'issue était donc souvent fatale. Les jeunes enfants et les vieux étaient les premiers, et cette fois encore pas d'exeption.

Ichabod entendit du bruit devant sa porte et lorsqu'il l'ouvrit il pu découvrir le corps sans vie d'une fillette. Sans émotion apparente il la conduit pour son dernier voyage, elle sera mieux aux côté d'Aristote pensa t-il pour se consoller.
La petite fille fut placée dans un trou qu'il avait creusé durant l'automne. C'est comme ça qu'il procède, en hiver la terre est trop dure pour creuser. Il se signa et commença à ensevelir le petit corp.

Ensuite il irait à la mairie déclarer le décès. Celle-ci se chargerait de retrouver les parents, si il y en a...
--_chipy_
Son heure était arrivée. Sa place n'était plus içi. Fantômatique elle était depuis bien trop longtemps, le profond amour qu'elle lui portait l'ayant empêché de partir bien avant. Que d'heures passées à veiller sur lui, de près ou de loin, à sentir son coeur se serrer tandis qu'il errait comme une âme en peine, ne pouvant pleurer alors qu'elle le voyait s'effondrer au fil des mois passant, ses doigts décharnés, tout son être désincarné devenu totalement inutile. Et ne plus être à ses côtés, sentir sa présence et l'apaiser d'une caresse. Tendresse et douceur envolées.
Puis un sourire pour chaque sourire qu'il avait affiché, de plus en plus souvent, reprenant lentement goût à la vie comme une fleur qui renaît après un hiver rigoureux. Et l'espoir, l'attente, qu'un jour il aimerait à nouveau, une petite renaissance après une grande mort intérieure.

Oui, l'espoir. Pour lui. Pour qu'il soit heureux. Celui qui avait été sa gourmandise, son Calisson, comme un bijou, la Perle de sa vie, le Trésor de ses nuits. Cependant, elle ne pensait pas que cela lui ferait si mal de le voir dans d'autres bras un jour. L'Evanescente flotta longuement sur la ville après avoir vu que... Mais que peut un fantôme au juste ? N'être plus qu'un doux souvenir, un passé révolu, une douleur lanscinante enfin pansée. Un Fantôme ne peut plus souffrir, ni pleurer, ni aimer. Juste veiller. Et ce rôle là était à présent terminé. Et il n'y avait pas d'avenir pour une ombre diaphane qui glisse et erre entre deux mondes, désespérée. Dès que la lumière apparaît, l'ombre disparait. Et une autre prend sa place.

Alors l'astre lunaire brillant au plus haut point niché dans l'encre ténébreux de l'univers en ce solstice d'hiver, pleinement rond et lumineux, lui lança comme un appel, appel auquel elle sourit. Un léger tintement de la tête. Prête, il fallait qu'elle le soit qu'elle le veuille ou non. Un dernier tour de ville pour emporter avec elle ses plus beaux souvenirs et une dernière fois l'image de son visage. Et s'éleva. Doucement. Bientôt celle qui avait porté le nom de Chipy rejoindrait son royaume : l'oubli. Même dans le coeur et l'esprit de celui qui l'avait tant aimé et à qui elle l'avait si bien rendu. C'est la vie ! Foutue mort !
Encore un peu plus haut. La Terre ne serait bientôt plus qu'un point, un atôme de poussière. Envolée cette survie de misère. N'être plus qu'une âme en paix. Juste un murmure, pour que dans un souffle le nom de l'être chéri soit emporté encore une fois. Un soupir d'abandon. Non plus un soupir de plaisir. Et une exhalaison de déchirement.

Ce soir là dans les rue de Tournai, si quelqu'un avait affronté le froid piquant et levé ne serait-ce qu'un instant son nez il aurait peut-être pu voir une étoile briller plus fortement qu'à l'accoutumé, et quelques étoiles filantes ne pas même laisser une empreinte de leur passage fugace, pourtant peu de saison. C'est que le souffle de l'Esprit s'en était définitivement allé rejoindre son ultime demeure et que le ciel ayant eu pitié de la profonde tristesse qui l'accablait lui avait accordé une ultime faveur... et des larmes avaient pu couler.

--Orane
'reusement que les nuits n'étaient plus trop fraiches parc'que là ça faisait une plombe qu'elle poireautait le cul posé sur une pierre tombale, d'ailleurs son ptit popotin commençait méchamment à se refroidir.
Un peu mystérieux tout de même cette histoire, plus tôt dans la journée un gamin était venu lui délivrer un message. L'affreux môme n'avait pas été fort clair, déjà qu'il n'était pas beau mais en plus il était bègue, comme messager on peut mieux faire se dit la rousse. "M'd.... m'da.... dame, p... p... pour t... trois s... s... sous, dois v... vous dir': S... s... sois au c... cim...tière cte nu... nuit dès qu... qu... que la der... dernière tav...erne s... s... sera f... f... fermée. T... t'au... aura bbbbbeacoup d.... d'ar..... de sous".
Une demi-plombe pour accouché du message, j'vous jure. Et encore, la catin espérait avoir bien compris, parc'qu'en plus il avait pas l'air fort malin le môme.

Le temps passait et toujours pas l'ombre d'un être vivant, bon pas qu'elle commençait à trouver le temps long ou que l'endroit l'effrayait, quoique quand même un peu, mais elle décida de rentrer au village pour se faire quelques écus, une passe vite fait bien fait avant d'aller pioncer. Elle trouverait bien quelque maraud qui voudrait bien alléger sa bourse car c'est pas ici qu'elle allait faire fortune, c'est vrai quoi il faisait un peu mort.
Glutoni
Quitte a visiter Tournai,autant visiter cette ville de fond en comble ce dit un jour le jeune blond en sortant d'une taverne .C'est ainsi que le jeune homme se retrouvit au cimetiere .Quel calme,si seulement il pouait s'entrainer au combat ici,il ne serait jamais derange mais bon,ca serait surement mal vu ,et le blondin aime bien soigner son image. C'est ainsi que,capuche rabattue sur le visage,ne laissant paraitre que son sourire eclatant fermement accroche aux levres,il deambulait entre les tombes,admirant les plus belles,s'arretant quelques fois pour lire les inscriptions . Il vit passer un homme,surement le ofssoyeur,tenant il ne savait quoi dans ses bras .Plus loin,une enfant etait en compagnie de deux femmes .Il s'arreta un court instant,histoire de juger la plus jeune des deux,simple curiosite,evidemment .Il continua sa petite visite,chantonnant"la marche d'Hoffman",comme pour rythmer sa marche .Il decida finalement de faire une halte,s'asseyant sur une jolie tombe,surement celle d'un bourgeois ou autre gueusaille plus riche que la moyenne,a quelques metres d'une jeune rousse qui ronchonnait .
--Orane
La catin quittait le cimetière d'un pas pressé. Elle eut une lueur d'espoir quand elle croisa un individu...

Non ça ne devait pas être lui qu'elle attendait.
Ce dernier était jeune et son regard bien naïf, cependant il essaya de montrer le contraire. La catin lui fit un signe de tête et continua son chemin, le dépucelage c'était pas trop son truc même si le messire avait une belle gueule. De plus il devait pas être bien riche et elle était préoccupée par ce drôle de rendez-vous.

Continuant son chemin elle pensa: "Un bon gros bourgeois qu'il me faut..."
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