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[RP] Eglise - Notre Dame de Tulle

Chantalrita
Chantal arriva à l'église toute essoufflée, s'agenouilla, se signa et alla s'asseoir pour écouter la messe.
Une fois la messe terminée, elle alla voir le curé et le remercia.
Elle décida que dès ce soir, elle écrirait à son amie.

Non curé pas de question, j'ai eu ma réponse.
Elle le bisouilla et sortie.
Dimaro
Dimaro arriva un peu en retard mais tout de même présent, pour la messe du dimanche. Il s'assit sur un banc libre, puis écouta la célébration et les récits du père Rakanichu. Celui-ci avait choisit un extrait que Dimaro appréciait beaucoup, celui de l'amour.

Il pria fermement en se délectant des parole du curé. Il récita en cœur le crédo Aristotélicien avec les paroissiens puis continua de prier pour apporter son soutient et de la joie a ceux qu'ils aiment tant.


Amen ..
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Une fois la salle vide Rakanishu commença à nettoyer et ballayer la grande salle et une fois tout propre, Rakanishu quitta l'église et repris le chemin vers sa proprieté.
Dimaro
Dimaro trainait dans les rues de Tulle pensif. De nombreuses interrogations lui traversais l'esprit ne sachant quoi penser. Ce genre de questions qui ne se résout pas avec une réponse quelconque ... mais qui persiste et qui ne sont jamais résolus.

Alors qu'il revenait du marché où il n'avait rien acheter ... juste flâner le regard vide a travers la foule ... Il passa près de l'église Notre-Dame. S'arrêta un moment pour regarder la grande porte d'entré qui s'ouvrait bras tendu au fidèle, les invitant a entrée. Une belle architecture en soi, faite d'arc en plein cintre et de voute des plus majestueuse donnant un aspect des plus mystique a cet édifice.

Un pas... puis deux vers cette porte qui le prenait par la mains le tirant à l'intérieur. Il lui fallait une oreille ouverte pour qui tous ces tournants seraient simple à résoudre. Dimaro ce décida enfin a entré, la grande allé menant a l'hôtel face à lui lui indiquant les grandes peintures, sculptures et autre représentation d'Aristote et de Christos. Il se sentit couvé par d'immenses bras, sentiment rassurant que seul le Très-Haut inspirait.

Il pris place dans une allée de banc, s'agenouilla face a la grande sculpture d'Aristote incrusté dans les murs, surplombant la nef. Les mains liées, les doigts entrecroisés, il ferma les yeux et se laissa immergé par cet enivrante émotion divine.

Tous bascula en une fraction de seconde, il se retrouva dans ses pensées, se vit petit, courir dans les hautes vallées des Alpes italienne. Souriant, s'amusant avec son grand père a gravir la montagne jusqu'au chalet familiale. Du sourire au pleurs, sa jeunesse défilant devant ses yeux, joie, bonheur, peine et tristesse se mêlant au fond de son cœur.

Jusqu'à ce drame récent qui l'avait entrainer jusqu'ici ... les larmes perlant sur ses joues, ses yeux rougie par la douleur. Il fallait qu'il partage cela avec le seigneur tout puissant, lui seul pouvait l'aider.

... Puis il se mit a prier ...

Priant pour ceux qu'il a aimer, qu'il aime et qu'il aimera ... Souhaitant tant de bonheur a ceux-ci ... à sa famille ... à ses amis ... à sa fiancé qui soufrait autant que lui de cette perte, si précoce soit-elle.


Confiteor Deo omnipotenti, ignoscas mihi, habereo peccatum. Amen.

Dimaro resta un long instant ainsi, les yeux fermer les mains croisé, son esprit dans le vide et son âme lavée de tous chagrin.

Après quelques minutes il se leva, jeta un coup d'œil au grand vitrail représentant les prophètes Aristotéliciens, puis alluma un cierge et s'en alla le cœur plus léger ....

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Messe exceptionnellement remise aujourd'hui a 17h30.
[Pour cause de problèmes techniques]
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Messe du dimanche 02 Novembre 1456 :

Le jeune Curé arriva dans l’Eglise d’humeur joviale. Il se mit devant l’autel et attendit que les fidèles soient arrivés.

Après quelques minutes d’attente, Rakanishu commença.


Mes enfants, bienvenue,

Aujourd’hui, j’ai décidé de vous faire la messe sur La Vie.


Le livre des vertus n'étant actuellement pas disponible je vous fais la messe aujourd'hui sans image ni texte sortant de celui-ci. Veuillez m'en excusez, j'assurerais donc aujourd'hui la messe en paroles uniquement.


Alors, L'amour, Ce petit texte nous explique très précisément comment la vie fut créée par le Très-Haut et tous les efforts que le Très-Haut fit afin de créer la Vie.
Je vais maintenant si vous le permettez mes chers enfants vous dire ces quelques paroles qui je l’espère raisonnerons en vous.
La vie peux paraitre bien compliquée et extrêmement négative pour certains et certaines, seulement vous devez savoir que tout mauvais moments laissent place à de meilleurs moments.
La vie est un don reçu par le Très-Haut lui-même et il ne faut pas gaspiller cela, la vie que le Très-Haut vous a offert est un don bien particulier et faites lui donc honneur en le remerciant de ce « cadeau « qu’il vous a fait en menant une belle vie et non une vie désastreuse en restant sur vos échecs.
Tels étaient mes petits mots a ce sujet mes enfants et j’espère que ces maigres paroles raisonnerons au plus profond de vous.



Maintenant mes enfants levons nous et récitons ensembles le crédo aristotélicien :




Merci à vous tous mes enfants, d'avoir participé a cette messe, nous allons maintenant pouvoir partager ensemble le pain de l'amitié aristotélicien !




Bon Dimanche à vous tous! Je serais ravi de vous retrouver la semaine prochaine.
Cendrielle
Afin d'être sûre que tout le monde serait bien au courant des dates et heures du mariage de sa chère amie Linon, Cendrielle déposa aussi une affichette sur le tableau des bans en préparation.



Il suffit de cliquer sur l'affiche pour vous rendre au lieu où se déroulera le mariage
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Messe du dimanche 09 Novembre 1456 :

Rakanishu arriva devant l’autel puis en attente de visiteurs il termina quelques préparatifs.

Après quelques minutes d’attente, Rakanishu commença.



Mes enfants, bienvenue,

Aujourd’hui, j’ai décidé de vous faire la messe sur les péchés. Voici ce que le livre des vertus nous en dit :





Mes chers enfants, chacun de nous à au moins péché une fois dans sa vie.
Certes, aussi il ne faut pas oublier que rien n’échappe au Très-Haut
Il faut, aussi dur cela est, vivre le mieux possible en évitant le plus
possible le péché. Aussi mes chers enfants sachez que j’ai récemment ouvert
rien que pour vous un confessionnal afin que vous puisiez venir vous y
confesser dans le plus grand calme et respect. Je suis donc la pour vous 24h/24, 7j/7
Sachez mes enfants que chaque personne reçoit toujours une deuxième chance du
Très-Haut, a vous d’en profiter afin de prendre un nouveau départ.
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Maintenant mes enfants levons nous et récitons ensembles le crédo aristotélicien :

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Merci à vous tous mes enfants, d'avoir participé a cette messe, nous allons maintenant pouvoir partager ensemble le pain de l'amitié aristotélicien !




Bon Dimanche à vous tous! Je serais ravi de vous retrouver la semaine prochaine.
Dorilys
Comme promis, Gyldas et Arteis avaient assisté à la messe. La lecture sur les péchés avait mis Gyldas quelque peu mal à l'aise. Elle en était à sa seconde grossesse hors mariage, et se disait qu'ils avait bien mal choisit leur jour.

Ils s'approchèrent ensemble du curé. Gyldas sourit à l'homme d'église avant de se lancer.


- Bonjour mon Père. J'ai suivi votre conseil. Arteis et moi avons discuté ensemble. Nous avons décidé d'un commun accord… d'en discuter encore. Nous vous recontacterons lorsque nous seront décidés.

Elle se sentait gênée et visiblement mal à l'aise. Mais pas question de se précipiter tête baissée en dehors du bâtiment.

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Rakanishu répondit :

Fort bien mon enfant, n'hésite pas je suis là quand tu auras besoin de moi !
Je suis là pour tout le monde quand il le faudra.
Arteis
Artéis écouta Gyldas, une fois la messe terminée, parler avec le curé.
Cette question du mariage revenait sans cesse. Ils en avaient reparlé un peu hier soir mais rien n'avait abouti à la suite de ça.
Il se disait qu'il fallait déjà préparer la venue de cet enfant au sein de leur foyer et ensuite faire le point.
La précipitation ne servait pas leurs intérêts, loin de là.
A la suite de la réponse du curé, Arteis se tourna vers Gyldas et lui prit la main.


- Allez, allons y car ici nous sommes en plein courant d'air et cela n'est bon ni pour toi, ni pour le bébé. Nous serons mieux chez nous, devant le feu.
Chantalrita
Chantal avait assisté à la messe et avait été très attentive, et elle pensa à la deuxième chance et ne voulait pas la rater.
Elle pria, se signa et alla voir le curé.
Tout en allant vers lui elle vit dame Gyldas et Art, et les salua.

En arrivant près de lui elle lui dit :
Bonjour curé très belle messe comme toutes les autres d'ailleurs mais je me suis posée une question, heu... pourquoi avoir parlé aujourd'hui des péchés et de la deuxième chance?
Je ne sais pourquoi mais je me suis sentie visée, ou est-ce le fait que vous soyez débordé au confessionnal qui vous a fait parler de cela.
Vous savez, les gens rattrapent le temps perdu, quand il n'y avait pas de curé à Tulle, ce n'est pas qu'il y ait plus de pécheurs ici qu'ailleurs.

Elle s'arrêta de bavarder car elle avait peur de l'ennuyer et ne voulait pas le retenir plus longtemps car elle savait qu'il était très occupé.

Elle le salua et sortit.
Christisag
Après avoir quitté gwennie, christisag se rendit directement à l'église Notre-Dame de Tulle. il entra dans l'édifice et se rendit directement à l'endroit où se trouvaient les cierges.

Il déposa une pièce dans une boite et prit un grand cierge. Il l'alluma en l'approchant d'un cierge qui brulait déjà.

Tout en le déposant sur une pointe, il pria fort pour la survie de l'enfant de dame Gyldas.

Ensuite, il se retira sur la pointe des pieds afin de ne pas géner les gens qui étaient en train de prier.
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