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[RP] Eglise - Notre Dame de Tulle

Lauryd
Lauryd arriva suffocante et rouge en courant:
Bonjour Erka!escuse moi pour mon retard!j'ai été retenue au champ! Alors on commence a farfouillé????J'ai hate que l'on trouve cet indice!
Ils se mirent alors a la decouverte de ce sacré indice![/b]
Lauryd
Après des jours a chercher, Lauryd posa ses yeux sur un vitrail qu'elle affectionnait particulièrement.Elle vit quelque chose de changer:
Mais bien sûr!Erka vient!!!vite vite!
Elle glissa sa mainsur les côtés du vitrail et en sorti un parchemin...
Regarde!On avait raison!c'est le second indice!ouvront le vite!
Erkamion
Erkamion déroula le parchemin que lui tendait Lauryd.

Qu'est ce qu'on va encore avoir comme devinette? voyons voir....
Encore une question difficile. Qu'en pense tu Lauryd?



Erkamion se tourna vers Lauryd attendant son avis.
pnj
Malgré l'agitation autour de l'église des participants de la chasse aux trésor, il n'y avait aucun espoir d'entendre bientot les cloches de l'église sonner la messe dominicale, de voir les fidèles se presser dans les allées illuminées.

Notre évêque nous promettait le mois dernier de résoudre cette situation innacceptable le plus rapidement possible, mais nous n'avons aucune nouvelle à ce jour.

Quand les autorités nous permetteront-elles d'accéder à la rédemption et au pardon que chaque pêcheur ici bas mérite??


Myladynini, citoyenne de Tulle, fidèle du Christ
Everym.
Elvire venait à peine d'arriver à Tulle
et elle pensait qu'après avoir visité les tavernes, elle se devait de visiter l'église
elle s'y rendit donc
elle la regarda, tourna autour du batiment en souriant
Puis, elle pénétra à l'intérieur ( )
Elle se receuillit un instant en pensant au début de sa vie icelieu

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Meliandulys
Comme à chaque escale dans une des citées jalonnant leur périple, Mélian alla se rendre au le lieu de culte, comme pour se faire lui même une idée des dégâts causés par la mauvaise parole de l'Église, comme pour juger à quel point la vraie Foy pouvait être pervertie par la main mise d'un clergé oppressant, pervertissant les esprits des fidèles.

Son séjour à Tulle ne dérogea pas à la règle, et c'est au crépuscule, peu de temps avant leur départ, qu'il pénétra en les mur de l'église Notre Dame.

Il pria d'abord quelques instants, silencieux et concentré, s'adressant directement au Très Haut, comme tout fidèle avait le pouvoir à le faire , sans attendre assentiment d'un quelconque cureton se posant avec autorité comme un intermédiaire. Il finit par laisser échapper quelques mots à peine contenus.


La Liberté et la vrai Foy... la République et la Réforme... ni plus ni moins.

Le découragement devant tant de passivité servile était parfois si grand qu'il aurait été sans nul doute plus aisé de baisser les bras. Mais l'espoir le faisait tenir, et le faisait encore avancer... l'espoir et la conviction, qu'un jour, leur travail porterait ses fruits, qu'un jour sans doute, proche espérait il, les consciences s'éveilleraient contre l'oppression cléricale et nobiliaire.

Il tourna les talons, et quitta l'église d'un pas décidé, prenant soin d'apposer un texte, à coté de l'entrée. Il regarda le parchemin quelques instants. Il ne fallait y voir là aucune incitation à la révolte ou au chaos... juste une envie d'aider les consciences à s'éveiller, de laisser à ceux prêt à entrevoir la lumière, un moyen d'agir pour la Cause, pour leur cause


Espérer et lutter... encore et toujours, et ils finiraient par faire triompher la Liberté.







Mes frères, mes sœurs,

On vous ment !! on vous spolie !!

Depuis bien trop longtemps, nous nous laissons aveugler par les paroles pernicieuses et volontairement tronquées d'une minorité, nobliaux arrogants et avides, et autres curetons usurpateurs et manipulateurs, qui s'octroie pouvoirs et privilèges, profitant de notre naïveté.

Il suffit, je vous le dis, détachons nous de leur joug oppressant, cessons d'agir servilement selon leur bon vouloir et de servir leurs desseins égoïstes et perfides.

Prenons conscience de notre libre arbitre. Nous sommes tous enfant du Très Haut, et nous avons le choix de nos actions. Lui seul à autorité à nous juger. Nous devons cesser de vivre dans l'obscurité, il ne tient qu'a nous de prendre notre destin en main. La liberté nous tend les bras, et nous appelle, pour peu que nous ayons le courage d'embrasser cette voix.
Il est venu le temps de notre éveil.

Élevons nous contre l'autoritarisme étouffant de cette minorité assoiffée de pouvoir et de richesse.
Élevons nous contre le clergé et sa hiérarchie oppressante.
Élevons nous contre ces imposteurs autoproclamés dirigeant des âmes.
Élevons nous contre la féodalité et ses déviances.
Élevons nous contre les nobliaux et leur ploutocratie égoïste.


Luttons pour nous libérer de tout assujettissement et de toute contrainte.
Luttons contre les privilège que s'octroient arbitrairement ces minorité cléricales et nobiliaires.
Luttons pour la disparition de ce clergé pervertissant la parole de Christos et pour un retour aux origines de la religion.
Luttons pour une société d'aide et de respect mutuel, nous qui somme tous égaux devant notre père.
Luttons pour notre Liberté !!


J'ai entrevu cette lumière pleine d'espoir, et j'invite les combattants de la Liberté, où qu'ils se trouvent, avec leurs armes ou sans leurs armes, luttant avec la plume ou avec l'acier à se mettre en rapport avec moi.

La république et la vraie Foy sinon rien.

Nous avons un monde à construire, une liberté à gagner et le Jardin des Délices à mériter.

Au nom du Très Haut ! Amen

Mélian

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Franceska
Après s'être rassasié et avoir trouver un peu de repos en taverne, Franceska, qui avait pu apercevoir le haut clocher de l'église qui surplombait le paysage du village, se décida de s'y rendre afin d'aller y chercher un peu de repos spirituel.

Elle arriva devant cette grande bâtisse et en poussa les portes si lourdes qu'elles se mirent à grincer.

Ne voyant personne à l'intérieur, elle s'approcha de l'hôtel, puis alla s'agenouiller dans un coin pour prier.


Voyant la poussière qui s'y était accumulée, elle se dit :

- Quel tristesse ! Personne ici donc ne prendrait-il la peine de venir prier en ces lieux ?

Elle se releva et se retournant une dernière fois vers l'hôtel, ferma les yeux et dans un soupir, sortit de l'église tête baissée.
Franceska
Franceska se rendit à nouveau à l'église avant de reprendre la route comme elle avait coutume de faire à chaque fois.

Elle pria afin que rien ne lui arrive sur les chemins qui la mènerait vers sa nouvelle destination.

Elle se leva, poussa les portes de l'église et dans un élan, reprit la route, quittant le village de tulle où elle y avait était plutôt bien accueillie.
Solaine
Solaine se décida enfin de passer les porte de la belle église, cela faisait longtemps qu'elle avait envie du calme des lieux.
Elle s'approcha de la nefe et posa le regarde sur chauqe objet un peu poussièreux.
Elle se préparait avidement à se faire baptiser, et ne connaissant que peu d'habitants elle restait songeuse à l'idée de se trouver un parrain ou une marraine.
*Tu dois sortir un peu ma fille, tu ne feras pas de connaissances en restant avec tes vaches.*
Elle déambula dans l'église et s'arreta pour alumer un cierge. S'assayant sur un banc elle se mit a prier pour sa mère qu'elle n'avait pas revue depuis très longtemps....

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On peut répandre la lumière de deux façons : être la bougie, ou le miroir qui la reflète.
Flojn


Du haut de la fenetre de sa petite maison donnant sur la Place de ll'Eglise Flojn aimait à admirer le haut clocher de la magnifique cathédrale de son village natal...

"Peut etre devrais-je aller y bruler un cierge?" se dit-il
"Oh et puuis non ca me coutera un écu... tiens il est l'heure d'aller à la Taverne!"

Et une fois de plus Flojn n'entra toujours pas dans la magnifique cathedrale...


[Pour l'info :
Citation:
L’existence d’une abbaye à Tulle est attestée dès le VIIe siècle.
Au XIe siècle, elle adopte la règle bénédictine. En 1317, avec la création du diocèse de Tulle, l’église abbatiale est promue au rang de cathédrale...
le reste n'est pas encore arrivé...]
Honore.saint_cyr
Honoré fit le chemin qui séparait son logement de fonction de l'église en quelques minutes, il poussa les lourdes portes, entra dans l'édifice et se signa, Honoré constata que l'état de propreté n'était pas beaucoup mieux qu'à La Trémouille, décidément se dit-il...le prêtre pensa qu'il s'occuperait de ça plus tard...il alla dans la sacristie et entreprit de rédiger une affiche, il sortit quelques parchemins de sa besace, une plume, l'encrier, il l'écrivit et alla ensuite la clouer sur la porte.

Citation:
Amies et amis tullistes,

En tant que missionnaire dans la Compagnie d'Aristote je suis venu à Tulle pour officier différentes cérémonies, comme notamment, les baptêmes et les mariages.

Si vous avez suivi une pastorale et que vous l'avez réussie, je vous invite à m'adresser une missive (Mp) dés que possible afin que nous décidions d'une date en commun.

En ce qui concerne les mariages, les bans doivent être publiés au moins quinze jours avant les épousailles, pour ceux en attente de baptêmes, il est préférable que cette annonce soit effectuée dés les baptêmes terminés.

Pour toutes informations complémentaires, je suis à votre entière disposition, n'hésitez pas à venir me rendre visite à mon logement de fonction.

Amicalement,

Honoré.Saint_Cyr
Prêtre Théologien,
Compagnon d'Aristote.

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LE DOGME
Honore.saint_cyr
Mais quel temps de canards pensa le prêtre en se rendant vers l’église Notre Dame de Tulle, heureusement qu’elle n’était pas éloignée de son logement.

Le Père Honoré frigorifié entra dans l’édifice et se signa, il alla ensuite tirer sur la corde afin de faire sonner les cloches, ce petit exercice le réchauffa ça le fit sourire.




(((( DIIIING DONG DIIIIING DONG!!! ))))


Bien qu’il continuait à pleuvoir, Honoré se mit sur le parvis pour attendre les paroissiens, il invita les premiers arrivés à entrer afin qu’ils s’assemblassent dans l’église Notre Dame de Tulle.
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LE DOGME
Honore.saint_cyr
Le prêtre alla s’installer sur sa chaire et ouvrit son grand livre déposé sur le lutrin.




Mes enfants, avant que j’entame mon sermon, repentons-nous de nos péchés pour purifier nos âmes, répétez après moi:



Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.



-«Mes amis, je suis le père Honoré.saint_Cyr, prêtre théologien et compagnon d’aristote, en somme je suis un missionnaire et si je suis parmi vous c’est pour pallier au manque de clercs dans votre bourg.

- Durant mon séjour, je célébrerai donc des baptêmes et des mariages, que de belles cérémonies en perspective et aujourd’hui, c’est avec une grande joie que je vous reçois, amies, amis tullistes, dans la maison du Tout-haut, votre si belle église Notre Dame de Tulle.

Avant d’entamer mon sermon, je vais vous parler de cette légende qui raconte que chaque année les onze, douze et treize mai, trois saints ont la ferme intention de nous glacer les sangs pendant trois jours et si c’était pour nous rappeler combien la création, en l’occurrence notre terre, peut se rebiffer si nous nous détournons du message divin ?

Pour l’anecdote, dict on : Saint-Mamert
"Attention, le premier des saints de glace, souvent tu en gardes la trace."

Saint-Pancrace"Saint Pancrace, servais et Boniface apportent souvent la glace"

Saint-Servais"Quand il pleut à la Saint Servais, pour le blé, signe mauvais."

Mais bon gré mal gré il y a Saint-Urbain

"Mamert, Pancrace, Servais sont les trois Saints de Glace, mais Saint Urbain les tient tous dans sa main."


Poursuivons cette messe par une prière :


Gloire au Très - Haut et paix sur la terre aux hommes qu'il aime, récitons ensemble le Crédo aristotélicien »:



Je vous invite à vous asseoir fidèles Tullistes. »


A présent, je vais vous lire un passage du livre des vertus, livre I « Le mythe aristotélicien », le livre de la Création, Chapitre IV « Le Doute »

Citation:

… « Certes, elles étaient pleines de vie et de santé, mais bien moins que le maïs, les fruits et les légumes. Et elles n’osèrent même pas se comparer à la longévité et à la taille des chênes. Toutes ces créatures, animales comme végétales, avaient de sérieux arguments pour affirmer, tel qu’elles le faisaient, qu’elles étaient les préférées de Dieu. Leurs talents étaient uniques. Alors, le petit groupe essaya de se trouver un talent qui était propre à son espèce.

Son espèce se tenait debout. Mais quel avantage cela lui donnait ? "Aucun", répondirent de concert tous les membres du groupe. Leurs mains leur servaient à construire des outils, mais c’était pour compenser le manque de griffes ou d’autres organes. Ainsi, leur estomac était si faible qu’il leur fallait cuire la viande pour la manger. Et leurs yeux étaient si peu perçants, contrairement aux chats ou aux hiboux, qu’il leur fallait s’éclairer dans le noir. Leur fourrure était si peu épaisse qu’ils devaient s’abriter lorsque la pluie, la neige ou la grêle tombaient ou lorsque le vent soufflait trop fort.

Faisant ce sinistre constat, les créatures du petit groupe se mirent à pleurer. Ils étaient persuadés que leur espèce était le moins aimée de Dieu, qu’Il les méprisait, qu’ils étaient la lie de Sa création. Un silence pesant s’était installé, alors que tous se regardaient mutuellement, chacun cherchant dans les regards des autres une réponse à ses questions. Mais ces regards ne portaient aucune réponse. Ils étaient juste dégoulinants de larmes.»



Que de splendeurs nous entourent, que de saveurs nous goûtons, que de plaisirs nous partageons mais en sommes-nous réellement conscients, l’avons-nous été un jour? N’avons-nous pas gardé ce complexe d’infériorité par rapport aux autres créatures du Tout-Haut ? Celles dont on enviait les talents, alors que nous détenions en nous ce qu’aucune autre ne pouvait espérer détenir, savons-nous seulement ce qu’est l’amour, ce que veut dire aimer son semblable ? Dieu a fait de nous ses enfants, nous sommes ses élus, dans ce cas, pourquoi continuer à nous apitoyer sur notre sort ?

A l’heure actuelle beaucoup trop d’entre nous doutent encore du bien fondé des préceptes de la religion aristotélicienne et il est plus commode de trouver un bouc émissaire et d’accuser quelqu’un d’autre que de se remettre en question, la facilité est une faiblesse qui engendre les comportements les plus pernicieux, ne nous laissons pas corrompre par la créature sans nom.

Quand je suis entré dans cette église, j'étais frigorifié, j’aurais pu repartir en me disant, c’est la faute aux saints de glace, qu’ils aillent brûler en enfer…Hum… du coup, j’aurais pu aller me réchauffer en taverne en buvant quelques godets…au fond oui…que nenni, je suis là pour vous mes enfants, j’aime ce que je fais et lorsque j’ai tiré sur la corde pour faire carillonner les cloches afin de vous appeler, j’étais en sueur, je sentais mon cœur bondir dans ma poitrine et je me suis dit, quel bonheur, je suis en chaleur !..je vous aime, le Tout Haut vous aime, soyez-en convaincus!



Puisse la Fraternelle sagesse infinie d’Aristote nous illuminer dans la gloire du Très-Haut!

Honoré procéda à l'élévation, Il prit le pain le rompit, lui rendit grâces, Il prit le vin et lui rendit grâces, présentant le Calice aux fidèles Honoré leur dit :




-« Heureux les invités au repas du Tout Haut ! »

Certains fidèles vinrent vers l'Autel, il leur offrit l'Ostie. L’eucharistie terminée, il déclara :

-« Allez dans la paix d’Aristote, donnez-vous chacun un signe de paix et d’amitié, au nom de la fraternité aristotélicienne ! »

Le prêtre invita les tullistes à s'embrasser et à se faire des accolades amicales, tandis qu'il leur prenait chaleureusement les mains en les remerciant de leur présence.
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LE DOGME
Dorilys
Ça faisait bien longtemps, presque une éternité qu'il n'y avait pas eu de messe à Tulle. La dernière fois que Gyldas était entrée dans l'église, c'était pour se fâcher contre Aristote. Sa colère l'avait fait trébucher, et son fils était né prématuré. Mauvais souvenir. Elle en avait pourtant de bons, comme celui de sa fille Dorilys qui avait fait le cirque pendant son baptême.

L'occasion était trop rare pour faire l'affront au Père Honoré de n'y voir personne. Aussi, Gyldas fit-elle l'effort de se rendre à l'office malgré l'appréhension qui l'habitait. Elle écouta, mais cette fois, le sermon ne l'émut pas. Oui, elle était concernée, oui elle doutait. Mais impossible d'en ressentir du remord.

Elle avait vu beaucoup de ses amis se durcir avec les épreuves. Se pouvait-il qu'elle se soit blindée de la même manière? Elle ne se reconnaissait pas. A la fin de la messe, c'est en tremblant qu'elle se leva et s'apprêta à quitter l'édifice.

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Zezva
Elle avit fait bon voyage, une longue mais agréable route...enfin, elle était arrivée à Tulle où elle comptait rester quelques temps...aussi longtemps que le Père Honoré pourrait avoir besoin de son aide pour remettre en ordre et son logement et son église...

Elle pousse les portes et déjà remarque le manque d'huile...mais à peine fut elle entrée, qu'elle se rendit à l'évidence, en effet, il y avait bien du travail.

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