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[RP] Eglise - Notre Dame de Tulle

Niceaux
Nice embrasse son amie

Je t'envie ton courrage
je serais là pour toi si tu en a besoin
Et puis bientot c'est mon tour


Nice sourit
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Honore.saint_cyr
Le curé de Tulle, qui depuis quelques jours dormait à la belle étoile parce que son logement de fonction avait brûlé, se dirigea vers l'église en chantonnant tant le temps était merveilleux, cet été était baigné de soleil, ce qui n'était pas pour déplaire au religieux qu'il était.

Le prêtre entra dans l'édifice religieux, se signa et alla prestement tirer sur les cordes afin de faire sonner les cloches.



(((( DIIIING DONG DIIIIING DONG!!! ))))


Ensuite, comme à son habitude, le curé se mit devant le parvis et invita les paroissiens à entrer afin qu’ils s’assemblassent dans l’église Notre-Dame de Tulle..

Le prêtre s’installa sur sa chaire et ouvrit son grand livre déposé sur le lutrin.




Mes enfants, avant d’entamer mon sermon, repentons-nous de nos péchés pour purifier nos âmes, répétez après moi:



Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


-« En ce samedi quinze Août MCDLVII, c’est avec beaucoup de plaisir que je vous reçois à nouveau en cette magnifique église Notre Dame de Tulle.

Et voici le dicton du jour: « Qui bat avant Notre_dame, bat quand il veut, qui bat après, bat quand il peut. ».


Et aujourd’hui oui nous fêtons les "Marie", dont l’étymologie vient du nom hébreu Myriam celle qui élève.[b]

[b]Veuillez vous asseoir fidèles paroissiens. »


Mes amis, mes enfants,

Je vais vous lire d’une part, un passage de la vita de Christos, chapitre I on l'on parle de la mère de Christos qui s'apelait Maria, il est normla qu'elle soit à l'honneur, ce jour puisque nous la fêtons.


Citation:
"Maria vivait avec Giosep qu’elle allait épouser. Tous deux étaient d’humbles vagabonds, mais ils vivaient dans la vertu, en remerciant le Très Haut des bienfaits terrestres dont ils jouissaient. En outre, ils éprouvaient l’un pour l’autre un amour sincère et pur de toute luxure, leur vie était heureuse. Mais un jour, Maria vit en songe un cavalier venant de loin aller à sa rencontre. Arrivé devant sa maison, il mit pied à terre. C'était un homme d’allure majestueuse; il s’avança, et dit :

" Maria, n’aie crainte, car l'Eternel t’aime et t’a choisie. Aussi, un enfant va naître de toi, que tu nommeras Jeshua. Il sera un guide, un messie habité par Dieu. Il portera la parole de Dieu partout ou il lui sera donné d’aller et sauvera le peuple de ses péchés en lui enseignant la sagesse d’Aristote. "

Le cavalier repartit ensuite vers sa contrée lointaine comme il était venu. Maria se réveilla à ce moment là et vit Giosep devant elle la regarder avec des yeux amoureux.

Et il advint ce que le songe avait annoncé, Marie conçut un enfant, et les deux parents firent en tout selon la prophétie d’Aristote, le nommant Jeshua.

L’Enfant naquit à Bethléem, en Judée. Du fait du surpeuplement qui existait alors dans cette ville, le couple ne trouva pour se loger qu’une bicoque délabrée car il n’y avait plus de place ailleurs pour les accueillir. Mais lorsque l’enfant naquit, celui-ci semblait, à tous ceux qui le virent, être touché par la grâce divine, car il rayonnait de douceur et de calme. Si bien que les gens du petit village se cotisèrent pour que cet enfant béni de Dieu ait tout ce qui lui était nécessaire. Les uns amenèrent du linge, d’autres contribuèrent à la rénovation de la bicoque et d’autres encore amenèrent des vêtements neufs et de la nourriture aux deux heureux parents.

Maria était transfigurée par le bonheur. Sa joie la rendait lumineuse et elle remerciait chaque jour le Très Haut de la naissance de cet enfant."


Mes enfants, Maria est un peu notre mère à tous, elle a enfanté celui qui a fondé l'église aristotélicienne et qui s'est sacrifié afin de nous apporter le salut et racheter nos péchés, je nomme le messie "Christos", à présent prions pour elle!.


Gloire au Très - Haut
Et paix sur la terre aux hommes qu'il aime. Récitons le Crédo aristotélicien »:




Puisse la Fraternelle sagesse infinie d’Aristote nous illuminer dans la gloire du Très-Haut!

Honoré procéda à l'élévation, Il prit le pain le rompit, lui rendit grâces, Il prit le vin et lui rendit grâces, présentant le Calice aux fidèles Honoré leur dit :




-« Heureux les invités au repas du Tout Haut ! »

Certains fidèles vinrent vers l'Autel, il leur offra l'Ostie. L’eucharistie terminée, il déclara :

-« Allez dans la paix d’Aristote, donnez-vous chacun un signe de paix et d’amitié, au nom de la fraternité aristotélicienne ! »

Le curé invita les tullistes à s'embrasser et à se faire des accolades fraternelles, tandis qu'il leur prenait chaleureusement les mains en les remerciant de leur présence.
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LE DOGME
Vanessa24
Vanessa qui passé par là, vit que l'église était ouverte, elle pensa qu'il était bien d'y faire un tour
Arrivé a l'intérieur, elle vit des somptueux vitraux, des peintures représententes le christ, un bel orgue et plein d'autres choses qu'elle ne connaisse encore

Elle fit donc la croix du saigneur et dit


Citation:
Au nom du père, au nom du fils, au nom du saint esprit, amen ...










Sandorine
sandorine était attiré par les eglises mais n'y avait jamais mis un pied, et des gens bien attentionné lui avait expliqué que des son entrée dans un lieux saint elle brulerai vive car c est ainsi que dieux punissait les payens

pourtant tous les soirs elle s'ajenouillait pour prier comme lui avait appris sa mere qui avait perdu la vie quand elle etait encore enfant.

et aujourd hui qu elle se voyait devenir une jeune femme qui commençait a réussir dans la vie , elle se devait dans son plus fort interieur remercier celui qui lui avait donné le courrage et la volonté : le tout puissant......

elle attendit que le lieux de culte soit vide pour pousser l'énorme porte qui se mis a grincer comme pour indiquer son arrivée , elle pris peur ! mais soudain ses yeux se sont arreté devant tant de beauté, de calme ..........

[img]http://album-photo.geo.fr/ap/theme/%E9glise/?pos=150&order=InsertDate_url/[/img](alt+p)

puis soudain elle regarda ses pieds pour appercevoir les flammes qu elle ne vit pas , elle ne sentait rien bruler en elle que une joie immence d etre la seule tranquille ! elle se rappela a se signer de la main droite ..........et s agenouilla en proclament son pardon avec le visage remplit de larme ......[/img]
Honore.saint_cyr
Le père Honoré passa de bon matin à l'église pour aller afficher les bans du mariage de Trinette et Flolou, il entra dans l'édifice, se signa et se dirigea vers l'autel afin d'aller prier pour la paix de l'âme de frère marc qui venait de les quitter...il s'agenouilla et pria..

Citation:
Tu nous guide quand notre âme est embrouillée
Tu guéris le chétif et le maladif
Tu nous offre tes vêtements quand les nôtres sont mouillés
Tu éloigne les marchands des brigands, les bâteaux des récifs

Tu soulage les plaies
Tu guide tes prophètes pour qu'ils puissent nous montrer la voie
Tu nous sauve des guerres en aidant la paix
Tu fais règner l'ordre quand toutes s'égarent les voix

Et nous, nous te louons
Et nous, nous nous confessons
Et nous, nous t'aimons
Ô Très-Haut!
Soit loué!

AMEN


Après s'être recueilli durant quelques instants, il prit de quoi afficher les bans...


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LE DOGME
Sandorine
sandorine qui n avait plus peur de bruler venait tous les jours de messes que fu



et répeta sans cesse cette priere que lui avait appris sa mere


Sous l'abri de ta miséricorde

nous nous réfugions,

sainte Mère de Dieu.

Ne méprise pas nos prières

quand nous sommes dans l'épreuve,

mais de tous les dangers

délivre-nous toujours,

Vierge glorieuse,

Vierge bienheureuse !


puis elle se demanda :
- et si je me fesais baptiser ?
Aeris


Catalina passa devant de l'église de Tulle... Son regard se posa sur les grandes portes, puis s'éleva vers le sommet. Il est certain que ces bâtisses ont toujours été impressionnantes...
Le Très Haut la regardait elle de là haut? Elle fit un clin d'oeil au ciel, et un sourire emprunt d'espièglerie s'afficha sur son visage, dévoilant une rangée de dents blanches régulières.

Sa croix qui se trouvaient accrochée à son cou sembla lui peser lourd. Machinalement et dans un tic qu'elle avait depuis son enfance, elle passa la chaine à sa bouche, la mordillant nerveusement.

Elle monta une marche et posa la main sur la porte, et avisa le ciel à nouveau. "j'entre? j'entre pas. A Tes risques et périls Mon Cher vieil ami!"
Elle irait bien à nouveau chatouiller les nerfs d'un prêtre, en se faisant entendre en confession.
Ah oui, comme cela lui avait plut la derniere fois... Provocante et insolente, mais tellement charmante...
Elle aurait bien prit quelque plaisirs avec l'homme à la soutane, mais même si celui ci s'était laissé aller à quelques caresses, il avait vite crié au sans nom et s'était enfui en courant vers chez lui, sans doute pour se punir de ce relachement...

Enfin, elle trouverait un autre jouet, comme toujours...

Elle finit par pousser la porte et jeta un regard hautain à l'intérieur. Elle s'avança de son pas léger, dansant et provocateur, puis s'assit sur un banc, attendant de voir la suite... Peut etre trouverait elle la Foi... Elle du se retenir d'éclater de rire...
Niceaux
Niceaux entre dans l'eglise et cherche le pére pour voir avec lui quand on pourrait organiser son bapteme
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Sandorine
sandorine comme a son habitude , rentra dans le ventre de dieux ,comme elle l aimait l appeler, mais ce coup ci la tristesse lui habillait le visage , des yeux rougit par les larmes et ses mains tenants son aillon (comme un enfant, sa mere de peur de se perdre)

une femme se tenait la ! en avant vers elle sandorine se signa maladroitement et tribucha le long d un pied de banc ........ elle s arreta comme fautive :

- pardon murmura t elle .

elle s'avança pres de dame niceaux , qu elle reconnu fort bien, resta a sa hauteur ...... et chuchotta

- c est pas evidant de tomber sur le maitre des lieux , je dois le voir ! il faut que je le voit! puis enffuie sa tete dans ses mains pour lacher les larmes qui avaient du mal a sortir au paravant

puis contempla fixement la sainte marie et récitant sa priere preféré avec la gorge serrée ou les mots avaient difficile a sortir tant les larmes les noyaient .................
et elle resta la a attendre pres de dame niceaux le visage comme une pierre lavé par la pluie.........
Niceaux
Que ce passe-t-il mon amie? Tu peut me parler si ca peu tu faire du bien.

Niceaux la prend dans ses bras.

Attendons le pére à deux si tu veux bien.

Nice ce mit à le bercer pour apaiser ses larmes tout en lui chuchotant

ca va aller tu verra , je suis là
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Sandorine
sandorine se laisse réconforté ,
et lui chuchotte:

-j ai perdu tous les miens , ma famille me manque tant , et élever des moutons n est pas simple quand on est seule , heureusement un ange est arrrivé pour m aider ..
et tout d un coup les yeux de sandorine sont devenus claires et pitillants , remplis d 'espoir
-.......pour remercier dieux il faut que je me baptise

sandorine serrée dans les bras de son amie , la regarde effrayé
- il faut pas qu IL me l'enlève , j ai tant besoin de lui ........

encore mainte et mainte fois elle se reveillait engoissé de voir les flammes lui enlever son amour a cause d elle , de son absence de bapteme , elle craignait tant que le bon dieux comme disait tout le monde n accepte pas son bonheur , elle qui avait u tant de malheur avant.........
Honore.saint_cyr
Le curé appréciait dire la messe et baptiser ses paroissiens en même temps, quoi qu’on en pense, on priait autant lors des sacrements que lors des messes et la grande famille aristotélicienne allait à nouveau s’agrandir, ce n’était pas rien. Le curé arriva à l’église et se mit à tirer sur la corde afin de faire sonner les cloches.



(((( DIIIING DONG DIIIIING DONG!!! ))))


Comme à son habitude, le père Honoré se mit devant le parvis et invita les paroissiens à entrer afin qu’ils s’assemblassent dans l’église Notre dame de Tulle..

le curé s’installa sur sa chaire et débuta l’office en ouvrant son grand livre.



-« En ce mercredi 26 août MCDLVII, je vous retrouve avec beaucoup de joie, cette messe sera agrémentée d’une cérémonie de baptême commune, ceux de nos amies Casscool et Niceaux.

On va se détendre avant de se mettre dans le bain, on dit « quand il pleut au mois d’août, les truffes sont au bout » Dommage pour les cochons, ce n’est pas aujourd’hui qui mettront le bout du groin dehors car il fait trop chaud !


Honoré sourit.

Mes enfants, avant d’entamer mon sermon, repentons-nous de nos péchés pour purifier nos âmes, les futures baptisées également, répétez après moi:



Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.



Veuillez vous asseoir mes fidèles paroissiens. »

Ah, Mes amis, mes enfants,

Je vais vous lire un passage de la vita d’Aristote : Chapitre X : La morale.


Citation:
Par un rude jour d’hiver, un disciple, qui avait atteint le terme de son enseignement, vint trouver Aristote, avant de quitter le lycée.

Le disciple : "Cher maître, maintenant que je vais être livré à moi-même, il y a une chose que j’aimerais savoir."

Aristote : "Je t’écoute, brillant disciple."

Le disciple : "Vous m’avez remarquablement formé à l’art de la logique et à la science métaphysique, mais vous ne m’avez rien dit quant à la morale."

Aristote : "Tu dis vrai, mon ami. C’est en effet une lacune de mon enseignement. Que veux-tu savoir au juste ?"

Le disciple : "Il est important pour un homme, je le crois, de savoir identifier le bien du mal, afin de se conformer aux règles qui conduisent au premier, et qui permettent d’éviter le second."

Aristote : "Certes."

Le disciple : "Ce qui m’amène à cette question simple, maître, qu’est-ce que le bien ?"

Aristote : "C’est un problème tout à la fois vaste et d’une simplicité limpide comme le cristal. Le bien, dans son principe, c’est la perfection de la nature de l’objet, de sa substance."

Le disciple : "Mais pourquoi donc, cher maître ?"

Aristote : "Parce que le bien ultime réside dans le divin, sans nul doute. Et pour identifier le bien, il suffit donc de s’attacher à l’analyse de l’essence du divin. La substance du tout puissant étant intelligibilité pure et parfaite, le bien ne peut être que perfection de la substance, et donc de la nature d’une chose. Comprends-tu ?"

Le disciple : "Oui, cher maître, je comprends."

Aristote : "Je t’ai enseigné, cher disciple, que la nature d’une chose réside dans sa destination, puisque le mouvement révèle la substance de l’objet. Tu sais donc quelle est la nature de l’homme n’est-ce pas ?"

Le disciple : "Certes, maître, la nature de l’homme est de vivre en collectivité, et cette collectivité prend le nom de cité."

Aristote : "Tout à fait. Le bien de l’homme, c’est à dire ce qui tend à réaliser la perfection de sa propre nature, est donc une vie vouée à assurer les conditions de l’harmonie au sein de la cité. Or, le bien de la cité, est tout ce qui participe à son équilibre, puisque la nature de la collectivité est de se perpétuer. Ainsi donc, tu peux le constater, le bien de l’homme conduit au bien de la cité."

Le disciple : "C’est remarquable !"

Aristote : "En effet, ça l’est. Vois-tu, l’homme ne fait le bien qu’en s’intégrant pleinement à la cité, en participant à la politéïa, et en faisant tout son possible pour en maintenir l’harmonie."

Le disciple : "Alors, cher maître, l’homme de bien est donc le citoyen ?"

Aristote : "Je n’ai pas dit cela, cher disciple. Un esclave peut être un homme de bien, s’il a conscience de sa propre nature d’homme, et qu’il sait se satisfaire de sa condition, car ainsi il œuvre au maintien de l’équilibre de la cité. La politéïa n’est pas que la participation aux assemblées."

Le disciple : "Et bien, cher maître, voilà des réponses qui me satisfont."

Aristote : "J’en suis heureux, mon ami."

Et sur ce, Aristote ne revit jamais son disciple qui, selon la légende, vécut une existence exemplaire, inspirée par les principes de la vertu.


Il s’agit d’un dialogue entre Aristote et un de ses disciples, selon le prophète le bien réside dans le chemin vers le Tout-Puissant, qu’il appelle le divin, c’est l’apogée incontestable de notre ascension.

Il faut donc au quotidien que nous fassions l’impossible pour tendre à la perfection, en commençant par faire le bien autour de nous, c'est-à-dire participer à la vie de sa cité, que nous soyons vagabonds, paysans, érudits où nobles, chaque être quel qu’il soit a son importance, même celui qu’on voit peu ou pas, il n’est pas nécessaire de crier à qui veut l’entendre qu’on a fait telle ou telle chose ou nous pécherons par orgueil.

Ce qu’Aristote nomme la politéïa ce sont en fait, nos gouvernants, conseil, maires…ceux qui se rassemblent en assemblée, ceux-là même qui sont sensés représenter la communauté en étant sa voix, il est donc important que vous alliez aux urnes lors des élections !


Honoré s’avança vers le baptistère, puis il se saisit d’un cierge, l’alluma et le reposa sur son socle, près du baptistère.



Avant que je ne débute la cérémonie, prions !

Gloire au Très - Haut
Et paix sur la terre aux hommes qu'il aime. Récitons le Crédo aristotélicien »:



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LE DOGME
Gwennie
Gwen se glissa dans l'église pour assister au baptême de Nice et Cass. Elle s'etait même mise sur son 31pour une fois. Sa longue robe blanche ornée de bleu lui donnait l'impression d'être déguisée pour le carnaval mais elle avait fait un effort pour célébrer l'entrée des filles dans la communauté d'Aristote. Ses cheveux bouclés relevés en chignon elle pouffa de rire à l'idée qu'on ne la reconnaisse pas.

Elle prit place au fond de la nef, et respira un bon coup. Après ces derniers jours , une bonne petite messe, ça lui ferait pas de mal.

Gwen se força à se concentrer sur le discours du si charmant prêtre....euh, j'ai dit "concentrer" ... quelque peu perplexe de ne pas voir les futures nageuses de compétition,catégorie baptistère.
Criskool
Cris entra dans l'église, elle se signa et pris place sur un banc près de Gwen.

Elle ne voyait pas ses amies Cass et Nice.

"Gwen, elles sont pas arrivées les filles ?" chuchota elle à l'oreille de Gwen
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Niceaux
niceaux s'avance vers le pere pour se faire baptiser
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