[RP] Un enlèvement encore et toujours !

Darkvaillant

Vaillant ne résiste pas, comme Milyena, il se dirige contre le mur et il se laisse ligoter en fermant les yeux. Qu'est-ce qu'il l'a trahi? La ménagère qui a été témoin de la scène lorsque la brune a voulu repartir à Lyon? Ou alors lorsqu'il s'est dirigé vers le marché? Mais il est un peu soulagé qu'on le rattrape. Peut-être qu'au final le Maistre Instructeur voudra reprendre sa place? Il a peut-être été égoiste sur le coup. Il va rester enfermer? Dans les geoles d'Orléans? Mais non Milyena rouspète. Il repartira vers Lyon dans le même temps? Elle ne l'abandonne pas alors? Il voudrait lui dire de le laisser ainsi mais ce serait la trahir. Les autres comprendraient qu'elle a été sa complice à un moment donné alors il se tait.

Il la regarde. Oui, elle est tout à fait à son goût mais bien évidemment, il ne dit rien. Son regard dévie sur la dague accrochée à la ceinture d'un agent de prévôté/ soldat. Il pourrait se retourner, essayer de la prendre, se détacher, poignarder l'homme le plus proche de lui et s'enfuir par la fenêtre mais non Vaillant n'est pas un brigand. Son coup n'a été qu'un coup de folie. Si procès il y'a, il assumerait et il resterait toujours proche de la jeune femme même s'il doit la surveiller de loin. Il assumerait tout et il ferait en sorte que la brune ne soit qu'une victime aux yeux de tout le monde et lui, le méchant parce que oui, il a tout fait pour qu'elle ne soit pas considérée comme sa complice.

Un regard vers les hommes qui le retienne captif, à eux de voir ce qu'ils désirent faire.

lesagentsdeorleans, incarné par Darkvaillant

Les hommes regardent le Maistre-Instructeur, ahuris.
Serait-elle tombée amoureuse? Sinon pourquoi, voudrait-elle que le fugitif reparte vers Lyon avec elle? Ils haussent les épaules. Rien de tout ça ne les regarde après tout. Ils ne font que suivre les ordres. Mais là, le ton ferme de la brune les agacent légèrement. Où elle se croit? Dans son école?
Elle n'a pas a les commander et là, ils le font bien sentir. Elle a beau être une victime mais autant qu'elle n'utilise pas ce genre de tons sinon, ça risque de ne pas le faire pour elle.

Ici, vous n'êtes pas dans votre école ni au LD. Vous ne commandez pas.

L'homme a le visage fermé en regardant la brune et en la détaillant. Très belle dans cette robe rouge qui puis est. La tisserande leur a dis que Vaillant avait acheté un vêtement de femmes. Elle est complice pour lui. Et pour un autre, elle a dû porter cette robe car elle est obligée et qu'elle a peur.
Bref.

Votre Capitaine, Alex de Fersen, a écris à notre supérieur, comme quoi, vous vous trouviez ici. Maintenant, on y va. Assez joué.

Et voila que les hommes entrainent Milyena et Vaillant dehors.

Milyena

La jeune femme avait eut son ton ferme revenant, car oui, pas le temps de réfléchir en une telle situation. Les phrases sortaient comme elles sortaient, sur le ton de circonstance, rien de plus compliqué. Mais elle vit les regards des gardes se poser sur elle en cet instant, leurs contrariétés également. Et elle ne comptait nullement les commander, loin de là, car oui, grand risque d'aggraver la situation et elle ne savait pas encore comment elle allait faire, mais oui pour le moment restait dans le statut victime et non complice. Il fallait juste qu'elle puisse ne pas être séparée du blond, hormis par des barreaux.
Mais répondre au garde? Se taire? Humpf, sans trop réfléchir de nouveaux elle reprit la parole.

Veuillez excuser mon ton, ayant été une réaction rapide je le conçoit. N'ayez également aucune crainte, je respect votre Duché et ne me croirais pas chez moi.

Voilà ce qui marche, les excuses, qui plus est étaient sincères, car oui elle respectait tous et respecterait leur autorité. Souriant légèrement, elle allait reprendre la parole malgré tout, pour ôter tout doute de complicité, car la robe, aurait bien plus prêter en confusion et que tous deux ligotés, ça ne lui semblait pas le mieux à l'heure actuelle. Toutefois, elle espérait que Vaillant comprenait que c'était également une façon de ne pas le lâcher.

Et c'est à ce moment, que le garde annonça, que leur présence était suite à un courrier de Axel de Fersen le Capitaine... Axel était donc Capitaine? La brune en fut agréablement surprise, n'ayant pas imaginer que cette dernière aurait un jour été son Capitaine, mais il est vrai que le jour de l'enlèvement, les élections étaient déjà bien entamée chez eux. Mais si Axel était Capitaine, Thiberian était-il donc Duc? La jeune femme tout à ces pensées, les effaça pour le moment, se disant qu'elle aurait tout temps de repenser à cela plus tard dans la journée aussi, car là, elle allait parler à nouveau, oui.

Heureuse de vous entendre m'annoncer le courrier de mon Capitaine. Et j'ose espérer dès lors, pouvoir parler sous peu à votre prévôt. Pouvant ainsi expliquer le motif de mon désir de repartir sur Lyon, dans le même temps que mon ravisseur.

Là, la brune avait été douce dans son ton, satisfaisant de la sorte les agents et justifiant sa réaction précédente. Toutefois, elle évita croiser le regard de Vaillant, elle ne devait pas les trahir aucun des deux, il lui fallait surtout réfléchir un peu à ce qu'elle dirait ensuite.
Par contre, peut-être que les agents seraient surpris qu'elle parle du Prévôt et non du Capitaine d'Orléan, mais Milyena reconnaissait les uniformes entre les deux institutions, d'autant qu'elle fut un temps, ambassadrice du Lyonnais-Dauphiné avec affectation en Orléans, tout comme en Lyonnais-Dauphiné, se serait le Prévôt qui serait contacté pour un dépôt de plainte et un procès futur envers Vaillant, non l'Ost.

Les suivants vers l'extérieur, la brune resta silencieuse pour le moment, elle avait dit ce qui lui semblait utile pour un premier temps, et passait oui, aux pensées et réflexions.
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Milyena

La nuit fut longue, même interminable. Alors que s'était-il passé cette nuit? Son esprit ne put rien faire d'autre que penser à son retour vers le Lyonnais-Dauphiné, penser à sa vie là-bas et l'attrait qu'elle y trouvait, l'amour qu'elle en avait, mais peut-être plus encore les attaches vrai et sincères qu'elle y avait.

Au levé du jour, elle avait juste un énorme sentiment de tristesse, de désillusion, le constat de la perte d'elle-même.
Elle avait ce sentiment d'hypocrisie l'entourant, de douleur intérieur et profonde, de blessures accumulées et cicatrisants si mal, ne cicatrisant même pas. Un goût d'amertume également, d'abandon, de tant de ressentit négatifs.

Tout ce qu'elle y avait vécu et réalisé lui semblant si inutile, si destructeur au final. Alors elle avait hâte d'y être de retour, hâte de oui, quitter ce pourquoi elle s'était tant dévouée, quitter les amis qu'elle n'y avait pas, quitter cette vie inutile. Sa douleur était intense, son échec était douloureux.

Pourquoi y était-elle allée au final, pourquoi avait-elle été s'y installer dans ce Duché, si ce n'était pour en être arrivée là ce jour. En être arrivée, à ne plus en voir que le négatif, rien de positif ne venant illuminer la moindre de ses pensées sur une continuité là-bas.

Des amitiés, faible, hypocrite, manipulatrice. C'était ce qu'elle en pensait ce jour. C'était ce dont elle n'avait plus, mais vraiment plus envie de supporter.

Elle songeait que là ou ailleurs, tout aurait été pareil finalement. Alors elle allait se laisser accompagner jusque Lyon, rencontrer le Capitaine probablement dès qu'elle y serait, une discussion sans suivrait, des décisions se prendraient et son histoire toucherait à sa fin.

Oui, finit.

Ce qu'elle avait vécu elle pour du dévouement, de l'amour sincère, du don de soi avec grande honnêteté, ne lui créait que souffrance et peine.

Ce jour elle prendrait la plume, elle écrirait à quelques personnes, annonçant que oui, elle avait été libérée, rejoignant le Duché, la Capital.

Quand à Vaillant, elle ne savait pas du tout où on l'avait vraiment mené. Pour sa part elle avait été logée dans une auberge, dans un lit confortable. Mais lui?

Milyena ne connaissait pas les lieux plus que cela, et toujours aucune nouvelles du prévôt, aucun contact avec qui que ce soit. Et oui, elle devrait sortir de sa chambre, tenter trouver les goêles, mais non, elle était bien trop triste en cet instant, pas question que le blond la voit dans cet état.

Mais peut-être qu'écrire en premier au Maire de Lyon, à son cher Phel, qui lui était un ami, qui lui avait dut être surpris de sa disparition, surpris de son courrier reçu de la part de Vaillant, alors qu'elle était encore inconsciente, oui peut-être cela lui remonterait le moral.

Puis le Capitaine également, même l'ancien Capitaine, vu que Thiberian ne l'était plus, mais Axel occupait ce poste actuellement, ce serait à chacun qu'elle allait adresser une missive. Oui eux! Elle allait leur écrire aussi, même en tout premier.

Tout comme sa Seigneur des Lances qui était une femme d'exception, pour qui la brune avait admiration et ... respect...
Etrange mot que celui là, mais oui, elle le connaissait, en avait et pas qu'un peu, quoique certain pouvait en croire plus que probablement.

Alors elle descendit dans l'auberge après s'être apprêtée quelques peu, sa plaie au visage cicatrisant doucement, la gênait malgré tout quelques peu.

La brune le regard et ton vide de tout ressentit, demanda à ce que l'on lui fournisse de quoi écrire. Plume, parchemin, encrier, lui furent donc transmis contre quelques écus, qu'elle avait sur elle, oui elle avait des écus dans sa bourse le fameux soir de l'enlèvement.

Un regard sombre par la fenêtre, des idées sombres, et ses yeux venants enfin se poser sur le vélin, tentant faire sortir quelques mots de cette plume emplie d'encre maintenant.
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Darkvaillant

Que s'est-il passé pour Vaillant?

On l'a séparé de Milyena, les soldats/agents de prévôtés l'ont interrogé pendant de longues heures mais au bout de la deuxième explication, il est devenu muet car il avait l'impression qu'on veuille lui arracher une version qui est totalement fausse. Il est épuisé entre le méchant qui tappe sur la table et le gentil qui fait l'homme quoi comprend tout. Le blond ne dit plus rien, se contentant de regarder dans le vide. Il se crée une sorte de bulle où rien ne peut pénetrer, il veut juste qu'on lui fiche la paix et qu'il puisse dormir un peu. Il a enlevé le Maistre-Intructeur et a demandé une rançon. Point. Mais non, ils veulent en savoir plus.

Ils se lassent enfin et on l'enferme dans les geoles où on lui met les fers. Il ferme les yeux. Où est Milyena? Que fait-elle en ce moment? Est-elle partie vers Lyon? Que va t'il se passer maintenant? Vaillant se met à culpabiliser. Il s'en veut d'avoir enlevé cette femme. De l'avoir mis dans l'embarras ainsi mais trop tard. Il a fais et il ne peut pas revenir en arrière. Au fond de lui, il espère que la brune gardera toujours un amour pour lui car oui, il l'aime encore. C'est quelque chose qui n'est pas prêt de changer.
Il se demande par ailleurs si la prévôt a reçu Milyena, il aimerait savoir ce qui va advenir du Maistre-Instructeur et de lui. Lui, il sera sans doute juger et il aura une sacré chance si on ne le pend pas. Mais elle? Va t'elle reprendre sa vie comme avant?

Surtout voudra t'elle encore de lui?

L'homme secoua la tête, les esprits trop embrouillés et il essaye de s'allonger. Il n'est pas du tout bien dans cette position et surtout, il est impossible pour lui de trouver son sommeil. Son esprit revenant sans cesse à la jeune femme.

Néanmoins, il est déçu. Il aurait espéré que l'Ost du Lyonnais-Dauphiné envoie des troupes pour aller chercher Milyena mais ils ont fais marcher la coopération judiciaire. Pourquoi? Protéger des biens est plus important que d'aller sauver un officier? Pour le coup, Vaillant sourit narquois. Il se rend compte que certains membres de clans sont beaucoup plus solidaires entre eux que l'Ost.
Les brigands n'hésitent pas à faire des kilomètres et des kilomètres pour aller sauver un d'entre eux. Et dire qu'il a été un aspirant de l'Ost, il regrette. Tout ce que les Instructeurs disent aux aspirants ne sont que des sottises. L'Ost est une grande famille...Comme des frères et des soeurs mais quel frère ou quelle soeur abandonne le sien? Au final, l'Ost n'est qu'une armée visant à protéger les biens et les gens importants, rien d'autre.

Dans le noir, Vaillant soupire...

Milyena

Au bout de deux missives rédigées, celles adressées respectivement, au Capitaine Dame Axel d'Irissari, Dame d'Alix et de Roynac, ainsi qu'à sa Grasce Thibérian Baccard dict "L'Impétueux", actuel Duc du Lyonnais-Dauphiné, Capitaine du Lyonnais-Dauphiné, lors du mandat précédent, moment de sa disparition, la jeune femme était trop sombre, trop triste que pour poursuivre ses écrits.

Rassemblant tout son matériel d'écriture, la brune se rendit dans sa chambre, allant y poser le tout soigneusement. Finit les courriers pour l'instant, elle n'avait pas la force de plus. Elle avait juste une envie, retrouver Vaillant.

Mais comment allait-elle parvenir à ce que l'on accepte qu'elle puisse lui rendre visite, qu'elle puisse lui montrer qu'elle était là. Comment allait-elle savoir si oui ils reprendraient la route ensemble. Dans qu'elle condition le trajet allait-il être effectué également.

La brune commençait trop à tourner en rond, trop à penser. Elle étouffait dans cette chambre, dans cette ville, dans ce Duché... Elle étouffait tout simplement, où qu'elle ce soit trouvée cela aurait été pareil.

Plus envie d'attendre, de rester là dans la solitude et l'ignorance de tout. Mais alors qu'elle s'apprêtait à sortir de la pièce, elle entendit frapper à la porte. Ouvrant, elle fut nez à nez avec des gens d'armes. Ces derniers lui signifiant de rassembler toutes ses affaires, et que de suite il prenaient la route.

Acquiesçant sans demander ni dire quoique ce soit, la brune ne mit pas bien longtemps à rejoindre ces hommes l'attendant dans l'auberge. Elle parla uniquement pour demander à l'aubergiste de l'aide pour transmettre ses missives le plus rapidement possible. Le brave homme se chargeant de faire partir les courriers, elle quitta enfin l'auberge, et resta toujours très taiseuse.

Peu après les voici récupérant Vaillant, et prêt à tous partir vers le Lyonnais-Dauphiné.

Ce fut avec discrétion, lorsque l'on ne put le remarquer, qu'elle adressa un doux mais très bref sourire au blond, suivant les directives données par leur escorte.
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Darkvaillant

Vaillant n'a donc pas pu trouver le sommeil, il soupire, ce n'est pas que mais il n'aime pas l'isolement. Les geôles lui donnent un moral morose. Bon en même temps, ce n'est pas trop fait pour être joyeux. Il n'a qu'une seule envie, c'est d'en sortir le plus possible car pour lui, ce n'est qu'une perte de temps. Il est impatient d'être jugé en LD, comme ça ce sera derrière lui et il sera enfin un homme libre sauf s'ils choisissent de le pendre alors là, c'est un peu différent. A choisir, il préférerait être libre sans une corde autour du cou.

Il attend, il attend.
Et en plus, il a envie de revoir Milyena.
Ah l'amour, je vous jure.

Des pas.
Sûrement un autre homme qui va au geôle. Tant mieux car l'homme juste en face de lui n'a pas l'air très causant et surtout il fait froid dans le dos de Vaillant. C'est bien le genre de bougre a qui on ne chercherait pas d'histoire et même un moment, le blond entend "sale Baronnet " Un sorcier. Humpf. Il se fait tout petit en rentrant la tête dans les épaules. Il a beau s'appeler Vaillant et ne pas être couard mais contre un éventuel sorcier...

Les gens d'arme ouvrent la cellule du blond qui hausse les sourcils. Il est libre? Ou est-ce qu'ils comptent lui faire subir un autre interrogatoire. Ou peut-être qu'ils comptent l'escorter au Tribunal...Ou bien mieux en LD.

Fais pas l'idiot. On a pour mission de vous escorter jusqu'à la Frontière. Tu fais l'malin, tu te prend un coup d'épée dans la gambette, c'est bien compris l'gaillard?

Comme s'il a vraiment le choix.
Et de toute façon, il n'a pas envie de faire le malin. Il veut assumer ses conséquences et surtout s'il fuit, Milyena risquerait de mettre toute sa faute sur elle et on risquerait de la blâmer. Il est le seul responsable. Il veut blanchir totalement cette femme si certains ont des doutes.

Il la voit enfin. Il ne lui sourit pas ni rien car il ne veut nullement la compromettre.
C'est ainsi qu'ils quittent Orléans, escortés par des gens d'armes et à pas normaux.

Un enlèvement encore et toujours !

Milyena

Afin de vous aider à situer ce RP, voici un très bref résumé...

L'enlèvement débute en Lyonnais-Dauphiné, se poursuit en Bourgogne, continue en Champagne, mais encore ici... Le HRP tuant le RP, Rpartage lui le rendant agréable... Fin de mon HRP dès lors... Suivez le lien... Une disparition mystérieuse...Et un enlèvement

Rappel des derniers événements:

Darkvaillant a écrit:

Confirmation.
C'est bien Marine Blanche sur le portrait. L'homme secoue la tête, dépitée. Il y'a vraiment que la gamine pour faire des bêtises comme ça. L'homme regarde Milyena, elle a l'air des plus choqué mais en même temps, qui ne serait pas choqué? Vaillant prend un petit temps de réflexion en regardant la jeune femme. Il sait très bien que la brune voulait offrir un toit pour la petite fille et même une famille. C'est tout naturellement qu'il prend une décision.
Un regard vers Milyena.

Je reviens dans quelques instants. Attendez moi ou profitez pour vous promener, je vous rejoins après.

Le blond s'éloigne et écrit une lettre au Sergent de la prévôté pour le prévenir qu'il est prêt à rembourser la personne brigandée de la part de Marine Blanche. La réponse ne fût pas très longue à attendre puis au final, les deux hommes finissent par trouver un accord. Ainsi voila, la dette de Marine Blanche est réglée. Vaillant prend bien le soin de demander à l'homme de taire son nom.

Il est peut-être temps de partir, l'homme finit par retrouver sa brune. Bon, il voudrait bien lui donner un baiser mais il ne peut pas car oui, hein. Deux hommes qui s'embrassent, c'est suspect.

Il est temps que nous partions, je crois bien et j'ai peut-être une idée pour nous amuser.

En effet, il vient de remarquer un paysan qui a une charette pleins de foins avec une roue défectueuse. Alors que le paysan se présente aux gardes, Vaillant dévise un peu plus la roue et il jette une grosse pierre, discrètement sur le cheval qui se met à courir. Et BAM ! La charette se renverse d'un coup dans un énorme fracas, les gardes viennent en aide au pauvre paysan, bien évidemment.

Le blond attrape la main de Milyena et tout les deux quittent le Duché de la Champagne. Et hop ! En route vers Montargis.

Edité: Ajout de ==> [RP] dans le titre.

Milyena

Oui la jeune femme venait de se prendre un choc, en voyant la gamine sur un avis de recherche, pour brigandage. Elle savait que MarineBlanche avait passé du temps avec un couple de brigands, avant de la rencontrer, l'ayant d'une certaine manière adoptée. Mais cela lui faisait un peu mal quand même, de voir un portrait de sa canaille sur une telle annonce. Mily l'avait vraiment prise sous son aile maintenant, l'aimait énormément et avait elle annoncé vouloir être un équivalent de maman pour la jeune orpheline, plus une marraine au final, pour ne pas que la rouquine se sente enfermée, étouffée. Car peu importait les motifs de se retrouver sans parents, on n'avait jamais que une seule maman, un seul papa.

Perdue là, dans sa peine du moment, son inquiétude de voir que si même Marine n'était plus avec eux, mais avec des personnes de confiance, de valeur, l'annonce elle, était toujours en court. Elle entend Vaillant lui annoncer qu'il va revenir et le voit partir plus dans la ville de Conflans-lès-Sens. Ce qui la sort de ses pensées et la fait s'éloigner un rien de ce panneau. La brune allant prendre place sur un muret non loin et attendant le blond, qui ne tarde plus à faire son apparition. Elle a perdu le sourire sur le coup la Mily, mais le voyant approcher, elle en esquisse un des plus doux. Pour sûre, il avait dut soit écrire à la gamine, soit réagir sur ce que tous deux venait de découvrir.

Elle se relève, son regard poser dans le sien, avec une envie des plus fortes de s'approcher davantage de lui, lui poser un doux baiser. Mais bon, elle est déguisée en homme la brune, donc non, il ne faut surtout pas faire ça! Mais l'entendre lui annoncer qu'il est temps de partir, tout comme une idée pour s'amuser lui vient, la fit sourire un peu plus.

Et bien recommençons à rire Surprenant Vaillant!

Oui, à quoi bon se laisser noircir tous ses moments de joies et rires de cette journée? Faut pas!! Non, ne jamais se laisser miner! Toujours penser l'instant présent et en voir le côté positif. Mieux encore, l'égayer cet instant!

Et en effet, là elle fronçait les sourcils amusée, qu'est-ce qu'il avait encore trouver ce Vaillant?? Le regardant dévisser un peu plus la roue, de la charrette d'un pauvre paysan, jeter une grosse pierre avec discrétion sur le cheval y étant atteler, l'animal qui se met à courir, renversant la charrette. Garde et paysan bien occupé, elle donne sa main au blond qui l'attrape et part avec lui, retenant des rires trop manifeste. Et oui!! Pas question qu'elles les fassent repérer pour quitter la Champagne et entrer en Orléans!!!

Mais dès qu'ils se trouvent enfin bien avancer, progressant vers Montargis, elle peu oui se mettre à rire. Milyena le regarde par moment, fatiguée certes, mais prête à poursuivre la route encore un temps avec lui. Car le fait d'avoir vu cette affiche, l'avait ramenée un temps en pensée vers Lyon, vers les barbacanes du Castel de l'Ost, où elle avait connu la fillette. L'Ost, sa vie, sa raison de vivre jusqu'il y a peu, juste avant son enlèvement.

Elle savait qu'il voulait l'amenée à un lieu précis, elle savait que faire demi tour, allait les séparer, car il était coupable d'un acte insensé, mais elle savait aussi, que personne ne pouvait connaitre ce qu'elle vivait. Donc non, elle ne voulait plus se culpabiliser! Assumerait en temps et en heure ce qu'elle devrait. Mily avait toujours été dévouée et honnête, elle ne changerait pas. Mais des courriers avaient été envoyé depuis le départ au Maire de Lyon, aux supérieurs de l'Ost, à Marine, à son employeur pour qui elle exerçait son art de tisserand. Oui tous rédigé et transmit par Vaillant, donc à ce jour la jeune femme savait ces missives transmise, mais aucunement les contenus. D'autant plus qu'au premier jour de l'enlèvement, Milyena s'était éveillée des plus surprise et la tête éclatée, après des heures d'inconscience, se trouvant dans une bicoque délabrée de Mâcon. Assommée? Elle l'avait été à plusieurs reprises et sa tête en avait souffert également. Et voici qu'à présent ils se trouvaient en Orléans!
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Darkvaillant

Voir Marine Blanche sur cette affiche lui rappele de drôles de souvenirs comme le fameux soir où il a rencontré cette peste. Là, où il allait demander la main à la femme qu'il aime, où il n'a pas pu car il a été brigandé. Tout est parti de soir-là. Quelques mois, semaines après, il a retrouvé la gamine mais il n'a pas eu le coeur de l'engueuler ni rien. Ils se sont parlés. Une guerrière dans un corps d'enfant. Elle l'a recontacté pour transmettre un message à des personnes dont Milyena. Ce qu'il a fais et tout de suite, il est tombé amoureux de femme, elle l'a troublé. A partir de là, il a été sur son nuage. Il a dû partir mais au final, il est revenu s'installer à Lyon, où il comptait bien faire sa vie là-bas, gardant un oeil sur cette femme. Vient ensuite le baiser en taverne devant l'ex de la brune. Assez drôle à voir. Le lendemain ou un peu après, cette femme se confie et c'est là qu'il prend une folle décision. Il dit en rigolant qu'il va l'enlever mais elle ne le croit bien évidemment pas et c'est en sortant de la taverne qu'il l'assome...Ou il l'a drogué bien avant?

Comme quoi une goutte d'eau dans le vin peut en changer la texture. S'il n'avait jamais croisé la route de la mioche, il serait sans doute marié avec un fief, une épouse enceinte mais aujourd'hui, sa vie est différente. Il est sans doute reconnu brigand, ayant enlevé le Maistre Instructeur de l'Ost et peut-être même qu'ils ont envoyé des troupes pour les retrouver.

D'ailleurs, il commence à être inquiet. Il a écrit, il y'a quelques jours de ça, une lettre à Marine Blanche, lui demandant conseil mais elle ne lui a toujours pas répondu. Est-ce qu'elle est occupée? Est-ce qu'elle réfléchit à un plan? Bref, il verrait bien à un moment donné. Et puis l'Ost semble rester muet face à ses recommandations, c'est à dire 100 000 écus. De toute manière, il n'a pas d'autres choix que d'attendre.

Sur la route menant à Montargis, ils croisent peu de personnes. Vaillant les salue d'un signe de tête. Milyena semble être prise dans ses pensées donc il ne lui parle pas parce que sans nulle doute qu'elle repense à tout ce qu'il s'est passé ses derniers jours et le blond est inquiet. Et si la surprise qu'il veut montrer à la jeune femme n'est plus à l'endroit qu'il pense qu'elle est? Ca ne l'arrange pas du tout ça.

Et voila qu'il y'a de nouveau des gardes. Enfin ils vont pouvoir s'amuser de nouveau.

Suivez moi, Milyena.

Il l'entraine dans des buissons et là, il en profite pour l'embrasser comme jamais il ne l'a embrassé. Bah oui, hein. Depuis le temps qu'il a envie de le faire. On peut comprendre. Humpf...Penser vieille personne...Vieille personne avec des dents toute pourris ! Bref ! Il se met à imiter les hurlements d'un loup.

Aaaaaouuuuuw !

Bon, il y'a mieux ! Mais bon, les gardes se redressent, sceptiques. Il faut qu'il fasse quoi le Vaillant là? Il attrape des cailloux et leur balance dessus en essayant de réprimer un rire. Bon, il ne vise pas leur tête, hein mais leur jambes surtout ! Et quelle drôle de danse qu'ils font !

'tain ! J'parie que c'est un sale mioche !

Et voila que les gardes s'approchent...Pour donner une correction au mioche? Humpf ! Il a vraiment été bête sur ce coup-là, Vaillant. Un regard vers Milyena parce qu'il espère qu'elle a un plan sinon ils sont dans la mouise...

Milyena

La jeune femme ne parvenait pas vraiment à revenir à des idées neutre, moins inquiètes. Taiseuse sur ce temps de marche vers l'entrée de Montargis, c'est à peine si elle fait attention aux quelques personnes croisées, en saluant certaines, probablement pas toute, mais le poste de garde se dessinait devant eux, les voici se retrouvant à l'abri dans des buissons. Et c'est là qu'elle vit à nouveau un moment doux, beau, délicieux. Vaillant l'embrassant comme jamais encore, car oui, leur relation était récente finalement.

Mais elle avait été si troublée déjà lorsqu'elle l'avait vu la toute première fois, elle qui était en taverne accompagnée, mais là déjà, le fait de discuter avec le blond, avait eut un effet sur elle. La brune comprenant, ou plutôt commençant à comprendre qu'elle n'était pas à sa place, pas avec la bonne personne. Puis tout s'était enchainé, des échanges de missives avec Vaillant, des discussions avec ses parrain et marraine, des amis, pour en arriver à une rupture totalement incomprise par le sieur concerné, mal interprétée aussi. Mais bon, elle comprenait, pouvait comprendre son incompréhension à lui.

Berf!!! Montargis! Les gardes! Vaillant! Le baiser si "WOUW"!!! Et là Vaillant faisant un son qu'elle ne comprit pas!!! Hmm!? Ah siiii!!! Un loup! Il pensait imiter un loup!!! Là, la brune se mit à rire, mais étouffés! Pas question d'attirer les gardes vers eux!!

Arf loupé Vaillant!!

Dit-elle amusée à voir la réaction des gaillards. Mais voilà que le blond balance des cailloux ridicules entrainant les gens d'armes dans des pas et sauts idiots, avant de les attirer vers eux. Que Vaillant la regarde perdue, elle tout autant mais gardant son sang froid. Vite, vite!!! Il faut trouver une solution, mais quoi???? Viiiite!!!!

Alors Milyena regarde autour d'eux, voit une pierre pointue, difforme et l'attrape,commençant en même temps à faire aller sa bouche, faire une bonne quantité de salive dans sa bouche, sortant vite un morceaux de fromage de chèvre de son aumônière.

Vaillant vous allez me porter!! Dire que des gamins mon touché avec une pierre et que vous cherchiez déjà un médicastre!!

Pas le temps de dire plus, les gardes étaient proche!! Elle se frappe sur la pommette avec la pierre, saigne, enfourne le morceau de fromage dans sa bouche et hurle.

Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!!! Ahhhhhhhhhh!!!! Commençant à laisser sa salive blanche et écouerante couler de ses lèvres.

Si Vaillant réagissait vite, il n'aurait qu'à dire qu'elle était son fils, convulsait, les cailloux, les gamins courant dans l'autre sens!! Peu importe!! Mais que les gardes n'osent pas s'approcher d'eux, par crainte d'une maladie contagieuse!!

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Darkvaillant

Pour être un boulet, Vaillant est un gros boulet ! Mais à quoi il pensait quand il a voulu ruser comme cela? Et voila que les gardes s'approchent. Milyena a une idée? Humpf ! Il se demande ce que c'est, quand elle attrape une pierre pointue, difforme et qu'elle l'attrape, il fronce les sourcils en se demandant ce qu'elle allait bien en faire. Quand elle parle, il aimerait bien lui demander ce qu'elle a en tête mais pas le temps qu'elle se frappe la pommette, il ouvre de grands yeux. Mais pourquoi elle fait ça? Tout ça a cause de lui.
Et puis il la regarde mettre le morceau de fromage en laissant couler de la salive blanche. Il grimace.

D'un coup, il attrape Milyena en la blotissant contre lui et il sort des buissons, prenant un air effrayé. Les gardes ont la main sur le pommeau de leur épées. Ne pas perdre son sang froid. Surtout pas. Il fait semblant de sangloter, accentuant sur le fait qu'il boite.

Les gamins l'ont touché...Avec une pierre...Mon fils...

Les gardes se figent en se regardant tout les deux, ils se chuchotent quelque chose et ils proposent à Vaillant de transporter son fils. Ah oui mais non, c'est hors de question ça ! S'ils la prennent, ils verront bien que l'homme est enfaite une femme. Le blond réfléchit mais en se retournant vers la forêt pour feindre qu'il a peur que les enfants reviennent, il cogne malencontreusement la tête de Milyena contre l'arbre. Il grimace. Il va se faire tuer, lui.

Non surtout ne l'touchez pas...

Il se décale légèrement pour montrer la bave blanche qui coule sur le côté de la bouche de Milyena. Les gardes ont un léger mouvement de recul. Ca marche ! Quel idée de génie qu'elle a Milyena au final donc il faut qu'il continue à jouer son numero de père épleuré.

Il est très malade, vous savez...

Pouaaah ! C'est qu'elle pue la chèvre Milyena. Et s'ils devinent qu'enfaite la bave blanche qui coule à côté de sa bouche est enfaite du fromage de chèvre? Il n'avait pas pensé à ça mais autant en jouer. Voir si les gardes sont si malin que ça ! Il va prendre un gros risque et la brune va sans doute le tuer mais bon !

Mon fils, il est aimable et il a été gouté le fromage de Jean Pierre... Et pourtant, seul le Très Haut sait que je l'ai mis en garde mais il en a fais qu'à sa tête...L'Jean Pierre, son fromage, il est pas bon... Et voila l'étât du petit...Je crains que son étât soit contagieux...

Les gardes restent muet, ils ont une mine de pitié. Vaillant sourit intérieurement car il sait que son plan marche. Là, ses chevilles grossissent pour le coup ! Bref, il continue en secouant la tête désespérée, même faisant couler une larme sur sa joue. Quoi de plus normal pour un père qui est inquiet pour son fils...Unique? Ah oui, fils unique ! C'est bien ça.

C'est mon fils unique et les gamins viennent de l'blesser... Ah l'pauvre Robert, l'médiacre du village, il était bien utile mais l'pauvre bougre, sa femme l'a jeté dans un puit...Ah...Les femmes... Ils sont partis par là.

D'un geste de la main, il montre une direction au hasard, les gardes hochent la tête et se mettent à courir dans la direction qu'il leur a montré. Gagné ! Toujours en tenant Milyena, ils pénétrent tout deux dans la ville et il cherche un coin isolé avant de la déposer à terre. Il arrache un bout de sa manche et verse de l'eau sur le tissus qu'il met sur la blessure de Milyena.

Vous venez de m'faire une belle frayeur...

Milyena

Dur, dur pour elle, oh que oui!! Ne pas rire, ne surtout pas rire. Criant blottie dans ses bras.

Papaaaaaaaaaaaa!!! Aaaaaaaaaaaah!!! J'ai maaaaaaaaaal!!!!!

Puis elle l'entend parler aux gardes, retenant ses rires, mais ce fromage dans sa bouche... L'horreur!! Manquant même l'avaler de travers en tentant ne pas rire.
Pour avoir plus simple à faire la malade et blessée, elle ferme les yeux, les larmes d'elles même perlent aux coins des yeux, roulent sur son visage, tant ses rires sont retenu. Mais elle émet des sons très étranges du coup la brune. Oui! Les bruits de style, j'étouffe de rire, mais je ne peux pas ouvrir la bouche, qui en plus est pleine.

Mrrgrfrrgrr!! Mhrrrgfrrtfff!!!

Assez étrange et d'enfer au final! Sauf peut-être pour Vaillant, car il ne doit pas rire le pauvre. Ni de jouer ça, ni de ne pouvoir se marrer surtout.
Et là, elle entend les gardes voulant la prendre, l'emmener. Ah non!!! Mais pas le temps elle, de penser quoique ce soit que "BANG!!!!". Elle se prend un tronc sur le front! Non! Le front dans un tronc!
Mais il est débile Vaillant!! Elle bougonne intérieurement, criant sa douleur!

Aieeeeeeeee!!!!! Noooooooooon, Vai...Paaaaaaaaaa!!

La jeune femme à même faillit l'appelé Vaillant en plus!! Mais là c'est gagné! Déjà que l'air de rien, elle a mal la joue avec ce coup de pierre, elle saigne pas mal aussi, et maintenant elle se prend un arbre! Si là on ne croit pas qu'elle est maltraitée la victime de l'enlèvement!!!

Sa main sur son front, oups, elle cesse ses cris tant ça tête tourne, tout comme finit la salive, elle ne sait plus rien simuler! Tente ouvrir les yeux, mais ça tourne, les refermant dès lors. La brune n'est même plus apte à comprendre tout ce que le blond baratine aux gardes, assez sonnée, faut bien l'avoué.

Enfin les gardes se sont éloignés. Vaillant passant les portes de la ville, l'installant au sol. Le sol! A ce qu'elle fut contente de le toucher! Mais beurg! Sa bouche!!! Ce qu'elle à envie de la rincer l'air de rien. Alors attrapant la gourde, dès qu'il à imbibé le tissus d'eau, elle en boit une bonne grande gorgée, en essuyant l'embouchure, tout comme sa bouche du dos de la main.

Waie!! Là, c'est Vaillant qui pose le tissus humide sur la plaie ouverte, elle qui à mal et grimace.

Milyena vient mettre sa main sur la sienne, comme pour oui, bien maintenir ce tissu frais en place, qui malgré tout soulage. Puis elle place son regard dans le sien, esquisse un sourire, riant un rien.

Hmm c'est encore loin Vaillant? Parce que bon, ça commence à devenir dangereux et surtout douloureux là!

Et ce qu'elle à envie de l'embrasser, voyant son regard inquiet, sa mimine toute tendre. Mais un baiser, parfumé d'une haleine de macération de fromage de chèvre, pas sûre que ce soit alléchant hin!! Puis elle est fatiguée, assommée pour la énième fois. La blessure aussi, ça lance en douleur... Elle est "é-pui-sée" la brune!
Mais elle venait de rire, parce que bon, Vaillant quand il la regarde l'air inquiet, ça efface toute contrariétés qu'elle pourrait avoir. Et, humf... Elle lui avait déjà foutu une bonne droite voici deux jours, ou trois??? Bof! Alors elle n'allait pas encore le faire. Mettant simplement le coup du tronc, sur la faute à pas d'chance, et non à Vaillant.

Vaillant j'voudrais dormir.... Ou... Humpf... Vous n'pouvez pas trouver une brouette pour me pousser. Parce que là!! Je suis ... faible!

Hèhè!! C'était lui qui allait devoir se débrouiller sur ce coup, parce que comment pourrait-elle chercher et avoir de l'imagination avec sa tête éclatée???
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Darkvaillant

Quel est le point commun de toute les femmes? Vous ne savez pas? Rhoo, c'est facile à deviner. Toutes les femmes râlent ! Et là, c'est bien le cas de Milyena. Des " J'ai envie de faire pipi ", " J'ai faim " . Il en a eu droit sur tout le chemin. Il ne manque plus qu'elle lui demande si elle est grosse et c'est le ponpom ! D'ailleurs le blond s'y attend un jour ou l'autre. Et voila qu'elle lui demande si c'est encore loin ! Bah oui, un peu ! Surtout que l'homme doute sur la direction à prendre puisqu'il n'est plus du tout sûr où sa surprise se trouve. Il bougonne. C'est bien une femme mais il ne va pas se plaindre car elle ne lui dit rien sur le fait qu'il a cogné sans faire exprès sa tête. En même temps, il peut la comprendre car il est fatigué aussi. Plusieurs jours qu'ils marchent sans s'arrêter. L'homme espère vraiment qu'ils sont bientôt arrivés sinon, elle va taper une crise la brune.

Encore loin? Humm... Peut-être Belle Dame mais je suis certain que votre surprise vous plaira. Nous nous reposerons vraiment là-bas ou sinon, on peut toujours tenter de mettre du sel sur la queue d'un écureil, qu'en pensez-vous?

Un peu incohérente sa dernière phrase mais c'est la fatigue. Et voila qu'elle veut dormir. Il se met à réfléchir. Autant se reposer toute la journée et trouver un cheval? Est-ce que ça va lui convenir à la belle? Esperons que oui parce que là, elle est capricieuse !

Nous dormons dans une auberge...De toute façon, j'pense que c'est mérité et nous sommes deux hommes...Pas un homme et une femme donc ... Vous comprenez?

Mais bien évidemment ce que le blond a oublié et que Milyena ne peut pas savoir, c'est qu'une ménagère les a aperçu quand la brune a dis qu'elle retournait chez elle et qu'il l'a assomé. Il a oublié aussi que la chemise de Milyena est tombée lorsqu'elle l'a entrainé dans le lac en forêt mais là, il est bien trop fatigué pour réfléchir donc il continu dans sa lancée.

Et j'irais chercher des chevaux et nous continuerons notre route ainsi, cela vous plais?

Milyena

Humpf!? Grimace milyienne pour la cause là... Et hop un coup de déplacement de lèvres vers la gauche, petit arrêt, un coup...Waie!!... Humm non! A droite, ça fait mal!!! Tant pis, pas de grimace milyienne, ça reviendra plus tard.

Mouais!! Ca ne me convient pas trop moi Vaillant... Soupire de réflexion. Regard de circonstance... Tête un rien en arrière pour regarder le ciel, retour des yeux dans ceux du blond.

La belle étoile, ça vous dis rien? Puis on va déjà... Euh non! Je vais déjà me relever.

Ce que la brune tente de faire, mais oups, le fessier retombe direct sur le sol.

Arf!!! Hmm.... Soupire de réflexion à nouveau... Allez pour l'auberge! De toute façon, si on doit nous trouver, on nous trouvera! On va à un moment où un autre devoir assumer tout!

Levez moi Vaillant, et soutenez moi s'il vous plait.

Joli sourire, parce que bon, elle râlait pas Mily, elle était fatiguée et avait l'impression d'avoir été battue, rien de plus. Ben voyons! Prendre un arbre de plein fouet ça fait un peu des dégât, non?

Les voici enfin arrivant à l'auberge, crasseux au possible sur leurs habits, mais pas repoussant non plus. Des voyageurs ayant marché beaucoup et désireux de dormir et se rafraichir. Ah oui! Une bonne chope bien fraiche... Ca faisait longtemps ça tiens. Mais bref, là ils arrivaient et allaient demander à dormir. Mais qui? Et bien lui!!! Il avait la bourse non? Puis la voix appropriée aussi. Parce que bon, Milyena faisant une voix d'homme s'était pas terrible non plus. Alors non loin de la première qu'ils virent, elle le regarda tout sourire.

Allez y Vaillant, surprenez moi.
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Darkvaillant

Et voila que ça ne lui convient pas ! Vaillant sursaute. Quoi de plus agréable qu'une couche bien confortable où se reposer le dos? Mais non la belle veut dormir à la belle étoile, rien que ça ! C'est bien une femme ça, jamais contente de rien et toujours en train de se plaindre ! Surtout la voila qu'elle ne peut pas se relever. Qu'est-ce qu'il a fais au Très Haut le blond pour mériter ça? L'Ost n'a pas interêt à lui coller un procès car là, il a déjà la punition pour le coup ! Heureusement qu'il l'aime sa brune. Rhooo des fois l'amour donne du courage, hein...Ou alors ça rend aveugle? Que choisir? Bref, il la relève et la soutient contre lui. Même que des gens les regardent bizarrement mais là Vaillant n'y prête pas trop attention. Elle a raison. De toute façon, si l'Ost veulent les retrouver, ils les retrouveront.

Ils arrivent tout deux à l'auberge, Vaillant en train de soutenir Milyena et surtout en train de boiter comme jamais. L'aubergiste sourit car il semble qu'il a trouvé de bons clients qui vont sans doute demander un bain, à boire, de la ripaille et tout. "Allez y Vaillant surprenez moi"? Le blond bougonne.

Ce sera une tisane pour moi et une choppe pour Mil...

Vite trouver un prénom de garçon pour rattraper sa bourde car là, avec la fatigue, il vient de faire une grosse bêtise ! Mil...Mil quoi? Bon faire simple ! Milyeno ! Bon, c'est vrai que ça fait bizarre mais il n'a pas d'autre choix le Vaillant. De toute façon, il y'a toujours des parents qui donnent des noms nuls à leur enfants ! Pourvu que la brune ne se vêxent pas et ne lui file pas un mauvais coup pour ça.

Pour Milyeno, mon fils.

Pour le coup, il passe pour un père indigne mais ce n'est pas grave, hein. Bon le raffraichissement est commandé. Maintenant, il faut une chambre et un baquet d'eau pour qu'ils puissent se laver et se reposer. Il faudrait aussi de nouveaux vêtements car là, ils puent le fromage de chèvre pour le coup et aussi des chevaux, que de choses à faire...

Vous apporterez aussi un baquet d'eau dans notre chambre, s'il vous plais.

L'aubergiste acquiesce, donne une clé avec le nom d'une chambre. La chambre du Repenti...Super ! C'est vraiment sa chance ça ! Bref, il entraine Milyena jusqu'à la chambre, la porte et la dépose sur le lit.

Je suis vraiment désolé Milyena mais je ne tiens plus trop...Il faut que je dorme...

L'homme s'allonge sur le lit et s'endort presque immédiatement.

Milyena

Elle espère que l'aubergiste ne va pas trop les trouver suspects eux deux. Bon pour le moment les quelques personnes croisées n'avait pas eut l'air de voir une femme sous son déguisement, mais sait-on jamais cette fois. Elle a quand même le visage blessé, elle sent pas très bon et il l'a soutient. Bon, pas penser, agir! De toute façon, elle avait bien envie de dormir correctement et sur une couche bien confortable.

Le gaillard ne demande rien, non, juste l'air content d'avoir des voyageurs désirant chambre, de quoi se rafraichir et boire. Pas si mal finalement pour l'aubergiste. Mais voilà Vaillant qui commence à dire Mil, elle qui le regarde ouvrant grand les yeux... Aie, ça aussi ça fait mal, sa main vient se replacer sur sa joue. Puis il aboutit sur un Milyeno, rire retenu, elle s'éloigne déjà des deux hommes l'air de rien.

Lorsque Vaillant la allongée sur le lit, elle se dit que enfin il vont... Ben non! Pas un petit baiser rien! Bon en même temps elle n'a qu'une envie réellement, c'est de déjà se laver et surtout ôter ses habits ayant une odeur si particulière. Enfin, une bonne chose de passée déjà, c'est ce goût de fromage de chèvre en bouche, la chope ayant bien rafraichit.
Mais bref!! Le blond annonce qu'il n'en peut plus aussi et veut dormir, alors elle se redresse plus dans le lit.

Je vous comprend Vaillant moi aussi, mais avant j'ôte tout ça.

Et hop!! Elle se dévêtit et se rafraichit un minimum, avant d'aller se coucher à côté et se recouvrir, allant lui poser un doux baiser sur le front, s'allonger tout contre lui, laissant échapper un soupire de bien être, pour s'endormir à son tour.
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Darkvaillant

Boum !
Ca c'est quand Vaillant se réveille et qu'il se prend le mur en pleine tête. Et qu'est-ce qu'il fait le blond quand il se prend le mur en pleine tête? Il grommele mais son regard est vite attiré par Milyena qui dort. Elle est si charmante quand elle...dort ! Rhooo ! Il aime sa brune même s'il râle souvent.
Il dépose un léger baiser sur ses lèvres en savourant son odeur. Jamais il n'est tombé amoureux comme ça et cette situation lui fait un peu peur car cet amour l'a entrainé à enlever cette femme. Lui, qui a toujours su bien se tenir.
Il se lève pour boire sa tisane froide. Beurk. Bon il faudrait peut-être qu'il pense à aller chercher les chevaux et les vêtements. Bref, il sort de la chambre en prenant soin de ne pas faire de bruits. Il arrive sur le marché, tranquillement et il va voir la vendeuse.

Bien l'bonjour
Deux paires de braies, s'il vous plais avec deux chemises. Avec deux chapeaux...Pour homme.

La femme sourit tout en hochant la tête et elle lui tend le tout pendant que le blond réfléchit à quelque chose. Et s'il lui offrait une robe à Milyena? Une robe simple, faute de mieux mais il faut dire qu'il ne se connait pas trop en tissus et il regarde la femme gênée.

Euuh...J'aimerais une robe...Pour une femme brune...Beige? Euh qu'est-ce qu'il irait bien...comme couleur pour une femme avec des cheveux bruns?

La tisserande rit en voyant l'homme aussi perdu ! Bah oui, hein ! C'est qu'un homme ! Ca connait rien à la mode et vu son allure, il vaut mieux qu'il lui demande conseil. La femme fouille ses étales tranquillement et sort une jolie petite robe rouge. Vaillant sourit et lui paye le tout. C'est qu'il commence à être ruiné, lui ! Par contre les chevaux hors de question qu'il les achète ! En plus, il n'a pas les moyens !

Il erre un petit moment avant de trouver des écuries. Il va pour voler les chevaux mais il s'arrête en bout de chemin. Autant les voler quand Milyena et lui sauront sur le point de partir sinon c'est risqué ! Surtout qu'un cheval t'peux pas mettre dans une besace, hein ! C'est grand.

Donc il retourne dans l'auberge, ouvre la porte et dépose les habits sur le lit puis regarde Milyena.

Vous êtes réveillés?

Milyena

La brune dort profondément, ce que cela faisait longtemps de ne plus avoir passé une nuit si paisible. Rien ne l'éveil, même pas Vaillant qui se cogne et quitte la chambre.

Une journée douce, ensoleillée, la brune sort de chez elle, avance joyeuse, direction la garnison lyonnaise. Un peu plus tard, toujours la joie au coeur, elle rejoint l'école d'instruction de l'Ost dauphinois. Le temps s'assombrit, une pluie étrange s'abat, étrange car son uniforme commence à disparaitre, comme des lambeaux, des morceaux tombant au sol. Ses yeux vont vers le sol, son prénom y est inscrit, s'effaçant. La jeune femme est perdue, l'orage gronde, l'uniforme est presque totalement...

Vous êtes réveillée?

La voici secouant la tête s'asseyant, son regard se posant sur le blond qui est devant elle. Un rêve, elle rêvait!

Vaillant!

Un doux sourire, elle aperçoit des habits sur le lit et les regardent, pour l'instant elle remarque les vêtements d'hommes uniquement.

Vous êtes matinal, ou j'ai dormi bien tard? Et bonne idée que ces habits neufs.
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Darkvaillant

Vaillant regarde Milyena s'asseoir et secouer la tête, aurait-elle fais un cauchemar? Sans doute que oui et en même temps, il ne pouvait que la comprendre. La fuite, la fatigue. Il sourit en la regardant. Il ne sait pas vraiment quelle heure il est mais c'est une journée qui s'annonce être parfaite, trop parfaite d'ailleurs. Il s'assoit à côté d'elle en souriant. Il faut dire que la douce chaleur de l'été matinale lui fait le plus grand bien.

Je pense que c'est ma personne qui est bien matinale. D'ailleurs, j'ai une surprise pour vous.

Il se lève, attrape la robe rouge, la tend à Milyena et l'embrasse du bout des lèvres. Il fau bien que le Vaillant lui offre une robe quand même car la voir en homme, c'est pas que mais elle est plus charmante en femme et cette féminité qu'il a vu en elle, ce n'est pas rien. Il souhaite la revoir. Plus voir cette femme qui met en avant ses fonctions et qui se casse les dents car elle est trop serieuse.
Il espère qu'elle a compris qu'il y'a deux parts d'elle, le Maistre-Instructeur et la femme et que chacune d'elle a le droit de vivre. Humpf...Mais pourquoi il pense ça Vaillant?

Ne voulez vous pas l'essayer cette robe?

agentdeorleans, incarné par Darkvaillant

Les ordres sont clairs.
Chercher le Maistre-Instructeur et le fugitif.
Les ramener.

Plusieurs agents de la prévôté, soldats, peut-être? Ils se mettent en route. Très tôt le matin, ils se dirigent vers le marché pour donner le signalement de la femme, sachant qu'elle est déguisée en homme mais aussi de Vaillant. Plusieurs marchands font non de la tête et c'est alors qu'ils s'approchent de la tisserande. Elle confirme avoir vu quelqu'un correspondant au signalement de Vaillant qui aurait acheté des vêtements d'hommes mais aussi de femmes.

Les agents/ soldats s'interrogent alors. Où le blond et le Maistre-Instructeur ont-ils bien pu passer? Dans une auberge bien évidemment. Ils ne vont sans doute pas, s'habiller en pleine rue. Première auberge. Touché juste.

Un homme correspondant au même signalement que Vaillant en compagnie d'un autre homme serait dans l'auberge. Discrètement, les hommes montent jusqu'à la chambre du Repenti, ils attrapent leur épées et déboulent comme des fous dans la chambre.

TOUS CONTRE LE MUR !

Mais sans même attendre que le Maistre-Instructeur et Vaillant se dirigent vers le mur, ils les attrapent et les collent contre le mur. D'abord agir, ensuite réfléchir. Le Maistre-Instructeur est brune et Vaillant, blond.
Ils l'enlèvent du mur pendant qu'ils attachent les mains du fugitif.

Vous êtes libérée, maintenant. Vous n'avez plus rien à craindre. Le brigand que vous voyez là, il va aller dans nos geoles méditer sur ce qu'il a fais. On va vous ramener chez vous.

Milyena

Souriant à son blond, elle regarde la robe tout émerveillée. Comme il pouvait la surprendre encore ce jour. Elle était toute attendrie et répondit à son baiser des plus doux, après s'être levée. Puis enfila la robe avec bonheur.

Oh merci pour la robe Vaillant. Elle est magnifique! De plus ce ton est l'un de mes préférés.

La jeune femme amusée, puis surtout heureuse de ressembler à une femme, car il avait sut lui ouvrir les yeux, lui faire découvrir encore plus cette partie d'elle, être moins sérieuse, moins à se donner et plus être à prendre, tourna un rien sur elle riant, allant vers lui pour l'embrasser.

Suis-je à votre goût Surprenant Vaillant?

Et se fut juste lorsqu'elle allait arriver auprès de lui, que là...

TOUS CONTRE LE MUR !

Une sorte de rafale tempétueuse traverse la pièce, épées brandies, Mily tout comme Vaillant obéissant se laissant plaqué contre le mur. La brune plaçant son regard dans celui du blond. Que faire d'autre qu'obtempérer?
Ils savaient tous deux, qu'à un moment ou un autre, cette aventure s'achèverait. Comme tous deux se l'étaient dit également, ils assumeraient les conséquences de cet acte insensé. Alors oui! Pas de rébellion, pas de résistance. Mais comme elle avait dur de vivre cela, de plus elle aussi se trouvait en même posture que lui. Avait-on déjà estimé qu'elle était coupable et non victime? En ignorant ce qui se déroulait sur le temps de sa captivité?

La réponse ne tarda pas sur ses interrogations, vu qu'elle fut ôtée du mur, lui ligoté, s'entendant annoncer qu'elle était libre et allait pouvoir rejoindre Lyon, lui rester en goeles en Orléans. Et douleur intense au plus profond d'elle, que de le voir malmené, ligoté de la sorte.

Ah mais non!! Laissa t-elle échapper avec fermeté.

Je repartirais libre oui! Mais il repartira vers Lyon dans le même temps!

Ce fut tout ce qu'elle annonça sur cet instant. Pas question de se retrouver séparés totalement. Il n'était pas question qu'elle soit ignorante de ce qui se passait pour lui, il fallait qu'elle puisse ruser et garder contact avec lui même si il se trouvait enfermé derrière des barreaux.

Elle n'avait aucune idée de ce que l'Ost pensait réellement de cet enlèvement, vu qu'il était un proche d'elle, tout comme la veille une malencontreuse discussion avait eut lieu en Ost, mettant Mily hors d'elle, avant que la discussion redescende en tension et que oui, tout soit clair et arrangé. Mais qui connaissait réellement cette discussion eue, hormis les quatre personnes se trouvant dans son bureau de Maistre Instructeur?
Maintenant beaucoup peut-être, mais le jour de l'enlèvement, non, impossible que d'autres sachent quoique ce soit. Par contre les présents, savaient la totalité de cette conversation, tout comme les tenants et aboutissants.
Quand à Vaillant, étant proche d'elle, il avait comprit, qu'elle avait été contrariée avant de se rendre en taverne pour se détendre de cette soirée au Castel. Et se fut le lendemain se réveillant en Bourgogne, que la brune comprit qu'il l'avait assommée pour l'enlever.

Et pour le moment, la seule chose que Mily comprenait, ici dans cette chambre d'auberge, était que des contacts avaient été prit avec les institutions de gens d'armes en Orléans, et qu'elle était apparemment bien comptée victime. Quand au devenir de Vaillant dans cette histoire, il le savait, elle ne l'abandonnerait pas, mais oui elle rentrerait libre, non complice, sur sa ville.

L'enlèvement fut un coup de tête du blond, du total imprévu pour elle, et la suite était quoi de plus logique, totalement inconnue, tout comme imprévisible.
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Darkvaillant

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[RP] Un enlèvement encore et toujours !