Naelhy
/!\ Rendons honneur au cinq titres de ce RP, et à ses joueuses sans inspiration: /!\
- Aujourd'hui, nous cherchons toujours un titre à ce RP.
- C'mon nouveau parfum, Opium pour femmes (By LJd Yolanda)
- Ce Rp est maudit pour le titre
- Fumer peut vous empêcher de trouver un titre
- Power Tartine ou la révolution des nouilles (By LJd Cistude)
Parce qu'on est nulles pour trouver un titre, qu'on galère sévère, qu'on aime tout le monde et qu'on l'assume.
[Atelier DTC.]
Elle passe, l'Artiste sans palette,
Et elle repasse, l'Artiste torturée.
Dans sa caboche, elle ressasse encore et encore, la mort de sa Tante, sa future démission au poste de sécrétaire, et de sa poche, elle sort son vieil ami l'Opium, trop peu oublié pour la Tartine en mal de réconfort. Non, pas ici, c'est l'atelier de Yoland'amour, c'est en plein coeur de Paris. Elle se retiendra la blonde, penser sobre elle connait peu, elle devra s'y mettre qu'elle se persuade dans sa caboche, elle aura des responsabilités, elle s'y tiendra.
Et ça l'effraie.
C'est encore une gamine la blonde, elle est encore toute fragile, petite et trop svelte.
Alors l'Artiste continue sa promenade, elle passe voir l'aîle des peintures, elle ne peut plus peindre, elle n'a plus de palette, c'est la faute à Albert. Elle passe à l'aîte des tenues, mais elle ne peut pas coudre, elle le fait comme un chou de Bruxelle, et c'la faute à Zabelle.
Par contre, le manque de pertinance du texte, c'est la faute à l'espèce qui lui sert de narratrice.
Pauvre blonde.
La tour est grande, l'envie de fumer aussi. Elle se retient, elle est forte, motivée.
« - Le premier pas vers l'arrêt, c'est la confiance.
- Euh...
- Présentes-toi, n'ai pas peur!
- Je suis Naeva-Lisbeth Wolback, et ch'ui dans la merde.
- Tu fumes de la merde tu veux dire?
- Nan! Et on dit bonjour d'abord. »
Alors la salle de travail. Ouais, ça sonne bien, salle de travail. Et pourquoi sa tête lui parle d'ailleurs? Pourquoi ces voix, encore? Elle aurait du emmener son pigeon au boulot, elle le savait, qu'elle aurait du, mais ça aurait fait peur aux clients, même si Zabelle-Albert était beau, entouré de son ruban rose, pour être assortie au lombric de Yoland'amour. Comment ça, vous en avez rien à foutre?
« - Bon ok, tu m'saoules. J'm'apelle Naeva-Lisbeth HYACINTHE Wolback, et puis je suis dépendante à l'Opium, à la Thériaque, à la Mandragore, à la Belladone...
- Et?
- Mais le chanvre ça compte pas! C'est une drogue douce! Tu suis pas les infos ou quoi? »
L'museau tout d'un coup se met en marche, reniflant l'air.
C'pas net, y'a un truc qui cloche. Serait-elle tellement en manque qu'elle sentirait l'Opium d'aussi loin? D'ailleurs, l'odeur est forte. Mais l'Opium, qu'elle voudrait répondre à la voix, c'est un art, elle en était persuadée, que c'était un appel à l'art, qu'un jour, on le reconnaitrait comme tel. Gentille Na' et son monde en carton maché. C'est automatique, elle suit l'odeur, les pieds suivant l'odorat en alerte, marchant tel ces figurines en plastiques pas encore inventées à son époque mais bien connues de nos jour, sans articulations aux genoux, nous rapellant au passage cette poupée encore plus connu à la longue chevelure blonde formée comme une déesse mais pas aussi bien que Na'.
« - OPIUM !
- Nan! Elle va rechuteeer!
- Damoiselle Naeva! Tout votre travail?
- Mais fuck! Saleté de voix! »
& Toc.
Et derrière la porte poussée à la manière bucheronne, une tête brune se fait découvrir.
Elle s'attendait à tout, mais pas à elle.
« Ô my God. Tu vas en faire tomber sur ta toile si tu fumes aussi mal! »
[Nom publicitaire supprimé. L]
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« [...] pendant 100 jours! parce que c'est un chiffre rond... » 07.02.12
- Aujourd'hui, nous cherchons toujours un titre à ce RP.
- C'mon nouveau parfum, Opium pour femmes (By LJd Yolanda)
- Ce Rp est maudit pour le titre
- Fumer peut vous empêcher de trouver un titre
- Power Tartine ou la révolution des nouilles (By LJd Cistude)
Parce qu'on est nulles pour trouver un titre, qu'on galère sévère, qu'on aime tout le monde et qu'on l'assume.
[Atelier DTC.]
Elle passe, l'Artiste sans palette,
Et elle repasse, l'Artiste torturée.
Dans sa caboche, elle ressasse encore et encore, la mort de sa Tante, sa future démission au poste de sécrétaire, et de sa poche, elle sort son vieil ami l'Opium, trop peu oublié pour la Tartine en mal de réconfort. Non, pas ici, c'est l'atelier de Yoland'amour, c'est en plein coeur de Paris. Elle se retiendra la blonde, penser sobre elle connait peu, elle devra s'y mettre qu'elle se persuade dans sa caboche, elle aura des responsabilités, elle s'y tiendra.
Et ça l'effraie.
C'est encore une gamine la blonde, elle est encore toute fragile, petite et trop svelte.
Alors l'Artiste continue sa promenade, elle passe voir l'aîle des peintures, elle ne peut plus peindre, elle n'a plus de palette, c'est la faute à Albert. Elle passe à l'aîte des tenues, mais elle ne peut pas coudre, elle le fait comme un chou de Bruxelle, et c'la faute à Zabelle.
Par contre, le manque de pertinance du texte, c'est la faute à l'espèce qui lui sert de narratrice.
Pauvre blonde.
La tour est grande, l'envie de fumer aussi. Elle se retient, elle est forte, motivée.
« - Le premier pas vers l'arrêt, c'est la confiance.
- Euh...
- Présentes-toi, n'ai pas peur!
- Je suis Naeva-Lisbeth Wolback, et ch'ui dans la merde.
- Tu fumes de la merde tu veux dire?
- Nan! Et on dit bonjour d'abord. »
Alors la salle de travail. Ouais, ça sonne bien, salle de travail. Et pourquoi sa tête lui parle d'ailleurs? Pourquoi ces voix, encore? Elle aurait du emmener son pigeon au boulot, elle le savait, qu'elle aurait du, mais ça aurait fait peur aux clients, même si Zabelle-Albert était beau, entouré de son ruban rose, pour être assortie au lombric de Yoland'amour. Comment ça, vous en avez rien à foutre?
« - Bon ok, tu m'saoules. J'm'apelle Naeva-Lisbeth HYACINTHE Wolback, et puis je suis dépendante à l'Opium, à la Thériaque, à la Mandragore, à la Belladone...
- Et?
- Mais le chanvre ça compte pas! C'est une drogue douce! Tu suis pas les infos ou quoi? »
L'museau tout d'un coup se met en marche, reniflant l'air.
C'pas net, y'a un truc qui cloche. Serait-elle tellement en manque qu'elle sentirait l'Opium d'aussi loin? D'ailleurs, l'odeur est forte. Mais l'Opium, qu'elle voudrait répondre à la voix, c'est un art, elle en était persuadée, que c'était un appel à l'art, qu'un jour, on le reconnaitrait comme tel. Gentille Na' et son monde en carton maché. C'est automatique, elle suit l'odeur, les pieds suivant l'odorat en alerte, marchant tel ces figurines en plastiques pas encore inventées à son époque mais bien connues de nos jour, sans articulations aux genoux, nous rapellant au passage cette poupée encore plus connu à la longue chevelure blonde formée comme une déesse mais pas aussi bien que Na'.
« - OPIUM !
- Nan! Elle va rechuteeer!
- Damoiselle Naeva! Tout votre travail?
- Mais fuck! Saleté de voix! »
& Toc.
Et derrière la porte poussée à la manière bucheronne, une tête brune se fait découvrir.
Elle s'attendait à tout, mais pas à elle.
« Ô my God. Tu vas en faire tomber sur ta toile si tu fumes aussi mal! »
[Nom publicitaire supprimé. L]
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« [...] pendant 100 jours! parce que c'est un chiffre rond... » 07.02.12