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[RP] La mer, petite plage a la sortie de Marseille.

Verowil
Ce jour là, le lendemain de la fête du port, vv se réveilla juste avant l'aurore. Elle se dirigea doucement hors de sa chambre en faisant le moins de bruit possible, afin de ne pas réveiller les personnes vivant dans la maison. En arrivant à la cuisine, elle aperçut par la fenêtre une ombre marchant sur le chemin qui menait à sa maison. Elle s'approcha encore et distinguait maintenant une silhouette en portant une autre. Elle attendit qu'elles s'approchent et à ce moment elle reconnu Tyler qui portait Jade.

Les voyant, elle allait ouvrir doucement la porte et indiqua à Tyler la direction de la chambre d'amis. Tyler déposa doucement Jade sur le lit et lui donna un dernier baiser. Vv remonta les couvertures sur Jade et suivi Tyler en sortant à pas de loup de la chambre et referma la porte derrière elle.

Une fois dehors, elle proposa de l'eau et du pain à Tyler pour une collation, le jour allait se lever. Son bien aimé Kenny apparut à l'entrée de la porte et se joignit aux deux amis pour partager se petit déjeuner entre 3 amis.
Tyler_hawkins
Merci a tous, d'avoir respecté ce RP durant la phase disons personnelle du personnage Jade et du mien.
Je tiens a signaler cependant que ce RP n'est en aucun cas privé, et ne nécéssite pas de droit de post. Chacun est libre d'y poster, en ayant en tete l'idée d'une plage près de Marseille, pour entamer une quelconque histoire.

Je vous remercie, et bon jeu a tous

LJD Tyler
Cosmopolitain
Cosmo avais accosté sa barque pas loin du port a coter de la plage depuis moins d'une semaine, et n'ayant pas trouvé de travail il décida de partir pécher, il prit sa barque et parta loin du rivage!

il se mit en place devant un groupe de pécheurs, selon lui elle serai la meilleur place, déposa sa ligne, et resta pendant un moment a regarder autour de lui puis un sommeil le prit dans les abysses, il commenca a réver d'un voyage loingtains, il voyai sa défunte femme a coter de lui, elle lui souriai, il l'embrassa tellement elle lui manquai et elle lui dit, il s'enlaçai mais elle commenca a s'éloigner de lui, une froideur commenca a lui prendre les pieds, elle avais un vissage inquiet en lui faisant signe

cosmo reprend sa lucidité et se rend compte que sa barque prend de l'eau... il comprit rapidement que mary etait dans ses réves a le mettre en garde

31-07-2010 04:08 : Votre bateau prend l'eau de toutes parts, il faut le changer !

il prit peur, dans la pénombre, il cria a l'aide... y'a t'il un pécheur dans les parrages ?
Bruno
[quote="thierrydelaboule"]La nuit du 1 au 2 aout, peu avant minuit:

La nuit était fraiche en ce soir d'été , tout le monde était chez soi. Excepté une personne, qui, inconscient de ses actes, marchait dans la nuit. Il devait être minuit moins le quart quand le somnambule arriva au bord de mer . il avançait, endormi, pieds nus, lui qui avait jamais vu la mer de près.

Les oiseaux se réveillèrent de ce bruit innhabituel à une heure si tardive de la nuit et commencèrent à piailler autour de lui , mais pour lui, ce n'était à peine qu'un murmure du vent qu'on appelle le mistral ici .

il marcha jusqu'à ce qui semblait une berge du rivage, d'apparence profonde, une fine couche blanche de sable recouvrait les fonds de la mer . il s'avançait, toujours somnambule, de plus en plus près de l'eau. Dangereusement. il tomba dans une trou de pêcheur , un de ces trous où les pêcheurs tentaient l’hiver d’attraper quelques rares poissons. Le trou était à plusieurs brasses du rivage. il se réveilla et prit conscience qu'il était dans l'eau. L'eau froide pénétrait son corps, qui se vidait petit à petit d'air. Ses muscles étaient engourdis par son sommeil et son réveil brutal n'arrangeait rien.

il tenta de remonter, prendre une goulée d'air, en fait, il espérait de tout cœur que quelqu'un vienne le sauver car lui qui ne savait pas nager ,n' arrivait de moins en moins à remonter et coulait de plus en plus. il tenta de crier, le son resta coincé dans sa gorge nouée, il était perdue si personne n'arrivait. il se débattit mais sentit ses forces l'abandonner.

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Menthe.
Elle n 'arrivait pas à trouver le sommeil par cette nuit d 'été. L 'envie de marcher le long de la mer, lui prit soudainement. Elle s 'habilla, lia ses longs cheveux noirs de rubans rouges, puis se dirigea vers la plage.

La nuit était fraiche en cette fin juillet, l 'air marin lui pénétrait les narines, elle leva le bout de son nez pour humer l 'air humide et salé.
Perdue dans ces pensées, elle marchait le long du rivage, à méditer sur ce qu 'avait été sa vie. Rien de bien constructif, toujours à errer sur les chemins du royaume. Tout était confus en elle, elle devait bien réfléchir à son avenir, surtout ne point commettre d 'impair, car il lui serait fatal.

Elle regarda au loin l 'horizon qui se mélangeait entre ciel et terre. Elle aperçut une ombre, au large se débattre. Elle ne prit pas le temps de se dévêtir,qu' elle se mit à courrir dans l 'eau, afin de voir de plus près, si une âme méritait secours.
Elle le vit tel un pantin s 'enfoncer dans le creux des vagues, il sombrait au milieu, de cette eau, qui le portait tantôt, puis l 'engloutissait par ses remous. Elle lui tendit une main secourable, pour l'attirer à elle, tout en lui faisant comprendre, qu 'il n 'était plus seul.

- Venez vous accrocher à moi, je vous soutiendrai jusqu 'au sable.

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VITA BREVIS le temps est long la vie est courte
Bruno
[quote="thierry"]l'homme pris dans cette mer déferlante pour lui, pris de panique dans une mer qu'il ne connaissait point et nager pour lui c'était encore une chose inconnu pour lui .thierry faisait ce qu'il pouvait pour lutter face a ce nouvel élément pour lui ,mais vit de plus en plus le bord du rivage s'éloigner de lui ses pieds ne toucher plus le fond de la mer ,il montait et descendait en faisant des mouvements pour ce débattre et éssayer de lutter fasse a cette mort annoncer presque certaine a ce moment la .buvant la tasse au passage qui lui coupa la respiration ,il paniquait ,il cherchait de l'aide dans cette nuit étoiler et claire mais il restait sans voix comme un pantin désarticuler dans ses vagues et ce courant trop fort pour lui .a bout de force au bord de l'épuisement dans cette nuit si claire .il entendit une voix lui crier

- Venez vous accrocher à moi, je vous soutiendrai jusqu 'au sable.

il vit arriver à la nage vers lui une belle et charmante jeune demoiselle , qui avait sans doute vue ces gestes de désespoir .

il tenta de ce rapprocher de cette âme bien faisante peu être son ange gardien qui c'est .

mais la jeune femme vint a lui et le prit par le cou et lui demanda de ce calmer pour qu'elle puisse le ramener vers le rivage de la plage notre bonne vieille terre .

comme un miracle pour lui thierry ce sentit en sécurité dans ces bras , il ce laissa flotter dans ses bras ,ramener au bord par cette jeune belle demoiselle qui avait eu le courage de venir le sauver des flots !

elle nageait admirablement bien chose qu'il ne savait pas faire lui .lui qui avait juste appris a traverser une rivière en barque.

elle n'avait même pas prit la peine de ce devetir n'écoutant que son courage sans doute ,il vit ces habits noir ce n'était donc plus un rêve mais une âme qui était venu le sauver d'une noyade certaine .il ce sentait en sécurité dans ses bras elle nageait tellement bien qu'il ne pu que l'admirer .

enfin il sentit sous ses pieds le fond de la mer il pouvait a présent marcher sur un fond qu'il ne connaissait point ,mais grandement fatiguer ,elle lui prit la main et le raccompagna jusqu'a la plage de sable .

sortie de l'eau trempée comme des serpières tout les deux il ne pu s'empecher de voir ces formes généreuses et ça beauté divine .une jeune femme au corps superbe une femme au grand coeur certainement il en douta pas une seconde de ceci ....

Mademoiselle je me dois de vous remerciez vous venez de me sauver la vie ,je ne connais même pas votre nom ,mais sachez que je vous sois redevable de ce que vous voulez ,je vous promet que je ferai ce que je peu pour vous servir vous m'avez sauvez des flots de la mer je ne puis l'oublier ceci

il prit le temps de ramasser un petit tas de branchage qui trainait ça et la au bord de la mer .pour y allumer un petit feu pour qu'il puisse ce réchauffer en cette nuit fraiche ..

une fois le feu allumer il prire un peu le temps de bavarder ensemble et de ce rapprocher du feu un contre l'autre ,elle lui parut admirable de beauté au coin du feu avec ça belle robe noire trempée il vit dessous toutes ces formes qui état fort belle a voir telle une déesse sortie de la mer .


chère demoiselle j'aimerai vous déposez un baiser sur la joue pour vous remercier de cet acte de bravoure je vous en remercie grandement

il s'exècuta et lui déposa un tendre baiser sur la joue elle sentait l'odeur de la mer toute dègoulinante encore .elle ferma les yeux comme si elle avait apprécier ce geste de remerciement .....

elle ce cala contre lui et ce reposa de son effort qu'elle avait fait ,telle une personne en manque de tendresse elle ce sentait bien contre lui et ne bougea plus en admirant le flot des eaux et les vagues reluisante depuis cette plage ...

il lui dit

je suis Thierry je viens de Brignoles j'avais jamais vu la mer avant pour une première j'ai gaffé ,j'ai faillis y laisser la peau sans vous je serai plus de ce monde je pense


elle le regarda elle lui fit un sourire comme si elle était heureuse de l'avoir sauvé des eaux .

la nuit passa elle s'endormie dans ses bras il lui caresser ses doux et long cheveux brun ,de la même couleur que sa robe .il éssaya de la réchauffer avec ses bras mais elle était partie dans un long sommeil comme dorloter par lui et par le bruit des vagues .......

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Menthe.
A force de voyager dans différents endroits du royaume, elle avait appris à nager, ce ne fut pas une mince affaire que de lui apprendre, l' eau n était pas son élément.
Pour la première fois de sa vie elle nageait dans la mer. Rien à voir avec l' eau douce des lacs et des rivières, tantôt les vagues les portaient, puis quelques secondes suivantes, il fallait qu'elle redouble ses efforts pour lui maintenir la tête hors de l 'eau.

Elle lui parla pour le rassurer, lui dire qu 'il ne risquait plus rien , qu 'il n 'était pas sans secours, elle avala de l 'eau, la recracha tout en se pinçant les narines, quel dégoût, elle en avait la nausée de cette eau salée !

Elle redoubla ses force pour le secourir jusqu'au bord de la plage, elle le laissa s 'allonger, elle grelottait de tout son corps, de peur, de froid, et du danger passé.

- FADA ....que vous êtes ! dit elle le souffle entrecoupé de deux inspiration, ne jamais s'enfoncer dans la mer quand on ne sait pas nager!

Il ne trouva pas mieux que de se présenter à ce moment là :

- je suis Thierry je viens de Brignoles j'avais jamais vu la mer avant pour une première j'ai gaffé ,j'ai faillis y laisser la peau sans vous je serai plus de ce monde je pense.

Elle cherchait toujours sa respiration, ses vêtements mouillés lui collés à la peau, elle se sentait mal à l 'aise avec ceux-ci en double peau. Ils l 'avaient doublement fatiguée, de part leur poids quand elle se trouvait dans l 'eau à vouloir le secourir.

- Je suis Menthe sans patrie, Je voyage depuis la nuit des temps.

Elle s 'allongea de tout son long sur le sable les bras en croix, à se calmer, tout en regardant les étoiles. Elle sentit une douce chaleur lui envahir le corps, il avait allumé un feu afin qu'ils puissent se réchauffer. Elle sentit un baiser se coller à sa joue, en guise de remerciement.

Elle sourit tout en se disant.....Les hommes sont bien tous les mêmes..... Ce baiser la renvoya à des années en arrière, nostalgique elle était, il ne fallait plus....

Elle sentit ses bras l 'enserrer, afin de la réchauffer, elle ferma les yeux puis le sommeil la gagna , elle s 'endormit profondément, trop fatiguée, ses forces avaient déserté son corps.

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VITA BREVIS le temps est long la vie est courte
Ninoua
Ils étaient arrivés à Marseille avant le soleil ce matin-la. Ignorant les signes de fatigue et les recommandations des gens qui l'accompagnaient, Ninoua s'entêta et poussa sa jument vers la côte.
La Grande Bleue. Souvent elle avait essayé de s'imaginer la mer, à travers les récits des uns et des autres. Mais aucun mot ne peut décrire cette étendue immense et mouvante, touchant le ciel à l'horizon, miroitante sous les dernières lueurs blafardes des étoiles qui s'éteignaient dans le firmament de Provence. Le souffle coupé par les embruns qui apportaient le sel sur son visage, la montagnarde resta là à contempler l'infini devant elle. Seule.
Une larme solitaire roula sur sa joue. C'était à ses côtés qu'elle avait voulu découvrir la mer. Un rêve qu'elle avait depuis longtemps qui était devenu un de leurs projets. Elle s'était même prise à penser que ça serait un merveilleux voyage de noces. Lui, la lune et le miel au bord de la mer. Rien qu'eux deux et l'avenir devant leurs yeux.
Mais aujourd'hui, elle était seule les bottes dans le sable, une perle d'eau salée sur la joue, chargée du chagrin amer, de la rage froide, de son amour ardent qu'elle gardait pour lui. Lui qui l'avait abandonnée huit mois plus tôt. Le temps s'était alors arrêté, les saisons s'étaient bloquées en hiver et Ninoua regardait la vie passer sans plus pouvoir y prendre part. Huit mois qu'elle était perdue elle ne savait trop où. Alors elle était venue voir la mer, seule. Comme un pélerinage, un chemin de croix. Pour donner des vacances à son coeur, pour quitter tout ce qui lui faisait penser à Lui ..

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Zolena
Youpi !!!

PLOUF

Sortit du couvent où elle avait passait un long mois, Zole retrouva enfin sa liberté. Elle courru vers la mer, si heureuse de retrouver sa vieille amie, son odeur iodée, que c'était bon !
Elle n'y resta pas longtemps. C'était bon mais l'eau était frisquette quand même. Elle s'allongea à même le sable et contempla les étoiles. Il faisait bien trop chaud pour dormir à l'intérieur et puis ça ferait des économies.

Bonne nuit les poissons !
Cria t elle avant de sombrer dans le sommeil.
Cleophee
Visage offert à la brise et aux douces senteurs venues de la mer, les yeux perdus sur l’horizon, elle se tenait là, immobile et solitaire.

Depuis combien de temps avait-elle quittée Fribourg et ses responsabilités ? Une éternité peut-être, d’avantage probablement mais sans l’ombre d’un regret.

Qu’il fût doux et prenant ce voyage, cette sensation de liberté, changeant de lieu comme l’humeur pouvait le faire.

Réapprendre à vivre avec les autres, s’ouvrir à leurs paroles, bonnes ou mauvaises, prendre son envole et laisser le passé enfouit à jamais.

Les doigts glissèrent délicatement contre le médaillon. Seule possession qui lui restait d’un passé dont elle ne savait rien. Elle n’aurait même pas sue dire si le médaillon lui appartenait de naissance ou si cela avait été cadeau de celle qui l’avait élevée. Une date, une inscription qui lui était étrangère et qu’elle n’avait su déchiffrer malgré ses efforts.

Lointain passé mitiger. Moment de bonheur balayé par la douleur et la rancœur. Comment pardonner alors que chaque pas lui était souffrance ? Comment oublier le passé alors qu’elle le portait au plus profond d’elle-même ?

La mer, son doux murmure, invitant le promeneur à venir la rejoindre. Traitresse qui parfois le retenait et ne le rendait que privé de vie. Si belle, si sauvage.

Fermant un instant les yeux, elle défit le lien qui retenait le médaillon. Nulle image, nul souvenir, seulement un disque d’argent aux bords quelque peu coupant dû à la finesse de l’ouvrage.

Un regard. Une fois encore les doigts effleurèrent les inscriptions gravées. Comment croire qu’elle pouvait se débarrasser de son fardeau aussi facilement ? Offrir aux vagues les souvenirs, les joies et les larmes du passé. Ne seraient-ils pas poussés sur le rivage tout comme les algues et coquillages échoués là ? Attendant que la prochaine vague les entraine à nouveau dans les profondeurs, espérant que cela serait la dernière.

L’âme, pareille à la vague, affluait et refoulait à la conscience des bribes arrachés aux profondeurs, rappelant et oubliant tour à tour, ne choisissant ni l’heure ni le moment.

Absorbée par ses pensées, elle se tenait là, silhouette se découpant entre l’azur du ciel et le bleu plus profond de la mer, le vent pour seul confident.
Tyler_hawkins
Marseille.. Mon retour avait été plus tumultueux que prévu, et moins facile que je l'aurais voulu. Ce fichu retour tant espéré me laissait dans la bouche un gout amer d'indifférence.. de mal-aise.. Je n'arrivais pas a trouver ma place, et me sentais comme un étranger. Certes j'avais retrouvé mes amis d'avant. Keena, fidèle a son poste de Mairesse, Vv, toujours aussi sincère, Lenna que mon retour devait combler d'espoir. Puis il y avait ceux dont je me serais bien passé.. Je soupirais a leur mémoire...

La Plage.. je marchais vers l'étendue sableuse qui m'avait fait défaut durant ce long voyage spirituel. Point de sable point de mer, point de bleu aqueux, seul le ciel pouvait encore m'y faire songer dans cette aventure. Et le retour... La plage... Mes pieds s'enfoncèrent dans le sable chaud, et je frémissais, savourant l'instant, inspirant longuement, m'imprégnant enfin de mes origines abandonnées... Je revenais a la vie!

Ouvrant les yeux comme un nouveau né, redécouvrant mon paysage, mon paradis terrestre, j'aperçus un silhouette non loin. Je la reconnaissais, celle d'une étrangère.. comme moi a cet instant.. son nom? Cleophee. Un léger sourire barrait mon visage. Si je n'avais quitté la ville pour aller ou seul Deos le sait, je n'aurais peut-être pas regardé Cleophee de la sorte, mais dès lors que je me sentais étranger, je me sentais proche d'elle. Sans aucune perversion de la sorte. Simplement. Je n'éprouvais aucune crainte de sa personne, et ainsi, je m'approchais lentement, capturant chaque son de mes pas sur le sable ruisselant. Je me tenais a sa droite, légèrement en retrait, et l'espace d'un instant, je captais sa tristesse. Je comprenais alors qu'elle n'était pas là juste pour regarder la mer. J'essayais :


Bonjorn Demoiselle...

Je lui laissais le temps de se retourner, de me dévisager, de sourire légèrement, avant de continuer :

Puis-je m'asseoir a vos cotés partageant ainsi votre solitude?

Je souriais gentiment, les bras ballants le long du corps, mes cheveux mi-court flottant dans une brise marine plus agréable encore que légère.
Cleophee
Toute absorbée qu’elle était par ses pensées et la mer s’étendant à l’infini, elle n’avait pas entendue l’homme approcher et l’instant de surprise passé, lui sourit doucement.

Bonjour à vous messire Tyler.

Elle avait toujours eue bonne mémoire des noms et des visages et elle n’avait eue aucun mal à reconnaitre l’homme. Rencontré plusieurs fois déjà en taverne, il lui avait fait accueil aimable, comme la plupart des personnes qu’elle avait rencontré.
Ne voyant aucune raison de lui refuser sa demande, elle acquiesça doucement, reportant son attention sur la mer et les vagues venant s’échouer mollement sur la plage.


Faites, je vous en prie.

Gardant le silence un instant, profitant pleinement de la sérénité du lieu, elle fini par demander, gardant le regard fixé loin devant elle :

Avez-vous passé agréable journée ? La ville ne vous parait pas trop changée depuis votre départ ?
Anaeline
Les journées avaient été chaude et laborieuse, c'était le premier été passé à Marseille pour cette jeune femme craintive et discrète. Anaeline passait ses jours à amélioré son environnement. Le bricolage, le jardinage et le travail prenaient une grande partie de son temps mais dés que cela lui était possible, elle prenait le chemin de la plage avec un de ses livres préféré.

La mer, elle en avait rêvé pendant toute son enfance et jamais elle n'aurais cru, derrière les murs du couvent, être assise un jour sur la plage au soleil, pourtant c'était bien le vent frais et doux de la mer qui lui caressait le visage, bruni par le soleil, malgré les efforts pour se protéger.

Elle était maintenant allongée sur le sable, les pieds nus, sa robe fine de couleur bleu légèrement remontée sur ses jambes blanches. Le soleil réchauffait agréablement son corps menu et fatigué par un dur travail.

Elle commença la lecture de son livre mais elle ne pu se concentrer longtemps avec le bruit continuel des vagues et les petits cris des oiseaux au dessus de sa tête. Le sommeil la gagna rapidement.
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Tyler_hawkins
Le soleil déjà fort bas dans le ciel, me brouillait la vue. N'avançant que trop lentement, mes pied sur le sable ne faisaient aucun bruit.. le sable lui-même ne bruissait pas a mon passage.. il s'écartait simplement et je passais.

J'aperçus au loin une silhouette familière, qui d'abord était assises.. tanguant légèrement, vacillante, puis qui s'affala sur le sable.. Endormie? Je pressais le pas pour venir vérifier, et trouvais mon amie Ana étendue sur le fin cristal beige. Les pieds déchaussés comme moi, elle ne portait que son fin linceul blanc. Aussitôt je retirais ma chemise et la lui disposait sur les épaules et le buste.

Endormie elle risquait d'attraper froid.. un si joli minois quel gâchis c'eut été. Le torse nu, je m'asseyais sans bruit encore, a coté d'elle, attendant le moment ou elle se réveillerait. Je regardais la mer, immuable.. perdu dans mes pensées.
Anaeline
Dans un léger sommeil, Anaeline se sentait bien dans le sable encore chaud malgré une brise fraiche.
Elle rêvait qu'un doux parfum l'entourait, une odeur agréable et virile, puis une chaleur intérieur, comme si quelqu'un la caressait. Jamais elle n'aurait osé avoir de telle pensées au couvent.

Elle ouvrit les yeux tant elle était surprise par les divagations de son esprit, mais elle se rendit compte que ses épaules étaient recouvertes par une chemise dont le parfum était à la fois doux et viril.

Anael leva la tête et s'assit aussitôt quand elle comprit qu'elle n'était pas seule. Ty était assit près d'elle torse nu. Elle lui tendit sa chemise avant même de le saluer, tant elle avait honte des pensées inconvenantes, sans doute provoquées par cette chemise, pendant son sommeil. Elle sentait même la chaleur lui monter au visage.


Excusez-moi Ty !! Je ne vous avait pas entendu arriver. Prenez votre chemise, je ne voudrait pas que vous preniez froid par ma faute.
Vous aimez à vous promener sur la plage également ??


Anael regardait la mer tout en lui parlant, pour masquer le fait qu'elle n'osait toujours pas regarder dans sa direction.
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