Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, ..., 9, 10, 11   >   >>

[RP] La mer, petite plage a la sortie de Marseille.

Elsas
Elsas arriva enfin a nouveaux chez elle, elle se dirigeât de suite la ou elle se sentait si bien, la plage.

Elle descendit de cheval , laissant les enfants dormir, fatiguée du voyage .

Elle enleva ses chausses , ses bas et courut dans l'eau , comme une enfant.

Elle senti l'eau glacée , les éclaboussures sur elle en courant , elle se sentait revivre un peu .

Elle s'arrêta , regarda au loin , tout ses souvenir lui revenait , en lui déchirant le coeur.

Elle souleva sa chemise , regarda les deux grandes cicatrices qui parcourait ses côtes de chaque cotés en soupirant , repensait a ce qu'elle avait véçue a Chambéry.

Elle s'effondra , secouant sa tête pour ressortir tout cela, seul deux personnes s'avaient tout ce qu'ils s'étaient passée la bas.

Elle resta la un long moment regardant le jour se lever perdant toute notions du temps.

_________________


Seul toi calmera cette haine.
Steredenn
Pourtant la journée avait débuté sous de bons auspices.
Il lui avait fallu peu de temps pour trouver ce qu'elle cherchait.
Celui qu'elle imaginait parfait.
Sucré, mais avec assez de saveurs pour en oublier le trop de douceur écoeurante.
Liquide, pour que de quelques gouttes, elle aussi … goûte … à la suave recherche.
Elle n'avait pas de fusains, mais dans son esprit le dessin prenait forme.
Un escalier grimpé à la volée, mais la jeune bretonne, arrêtée par la femme de l'aubergiste devant la porte convoitée, fait demi-tour, remportant sa trouvaille et repoussant ses desseins.

C'est sur le pas de la porte de l'auberge que la missive l'avait rejointe.

Oubliée la fiole dorée, promesse.
Entre ses doigts, elle avait les souvenirs d'une robe … qui devait être promesse.
Rousseur contre rousseur, flamboyant …
Vagabonde contre particule, ravageur …

Elle se prend à pousser un caillou du pied, le même geste qui à St Brieuc lui avait fait lever le nez quand le caillou avait rebondi contre une botte, obstacle.
Des jours de lumière crue, jusqu'à ce qu'elle se doute que la robe avait un autre sens.
Têtue lui avait-il dit …
Oui … elle l'avait été, jusqu'à retrouver l'ombre, mais elle n'avait pas cédé.
Sa première fulgurence…. Une fierté à toute épreuve et des semaines pour relever la tête.

Gawam …
Mort maintenant … Eternellement disparu.
Le caillou se perd dans une rigole marseillaise.

Steredenn serre dans sa main la nouvelle funeste …
Une promesse dans l'autre.

_________________
Kentoc'h Mervel Eget Bezañ Saotret
Isalina


Aujourd'hui dimanche, Youpii on va à la plage, les enfants ainsi que Messire De Cianfarano sont très heureux. Le soleil brille, j'ai préparé plusieurs petits pains achetés à la boulangerie du '' Blé D'or '' chez Messire Fanfaron, les ais remplis de bonnes tranches de jambon fumé provenant de la cave du mas , mis quelques carottes coupées, et des feuilles de laitues, une bouteille de vin de provence et du sirop de sureau pour les enfants.Comme dessert des pommes et poires. Habillés plus légèrement nous partimes sur le chemin, bientot on apperçut la mer, celle ci était splendide La plage de Marseille vaut le détour





Messire de Cianfarano tenait dans sa main le panier de pique-nique, Adora portait les cerfs volants, quand à moi je te tenais dans mes bras Keryan, tout heureux d'allez s'amuser dans le sable et de faire un beau chateau. La vie était belle, on s'installa sur une grande couverure, et sous le parasole qui nous protégerait du soleil brulant. Sitot arrivé, les petits voulurent essayer les cerfs volants dans le vent, on admira aussi le vol d'un goéland cendré, il était vraiment très beau, nous avions envis de voler comme lui.





Le petit Keryan très impatient voulais faire voler son cerf volant , il prit le ruban entre ses petits doigts, et Messire De Cianfarano guida le petit clown volant


Adora plus grande, avait déjà commencé à faire voler son beau papillon, il était magnifique





Messire De Cianfarono tenait le sien bien haut, son cerf volant était plus grand. C'était un cerf volant Japonais de guerre un Rokkaku, il atteignait presque les nuages.







J'avais choisi pour s'envoler dans le ciel, le soleil et la lune tous deux se trouvaient pour une fois ensemble, à part une éclipse évidemment.





Après avoir couru sur la plage nu pied, les enfants réclamèrent leur repas, tout le monde mangea avec appétit , les petits pains et les fruits. Keryan et Adora buvèrent leur sirop et Messire De Cianfarano me versa un verre de vin, et en bu une golée également Notre journée du dimanche se passa joyeusement entre vent et gourmandise, c'est le coeur joyeux et le corps remplis de iode, que l'on rentra au mas, pour accueillir notre amie Verowil qui venait feter son bapteme.

_________________
Ledigue
Ils avaient déjà vu l'océan, mais jamais la mer...
Avec sa belle et son fils, ils s'avancèrent.
L'enfant semblait fixer l'horizon.
Le vent était doux, l'air était bon.

Diwan, mon fils, regarde vaguelettes et sable mou sous tes pieds.
C'est l'image de la vie où il te faudra aller
Norah.
    Qui se soucie du temps qui passe, du temps qui court ? Tant qu'on sait qu'il est impossible de le retenir, la suite découle d'une logique sans faille et sans reproche.

    En ville, le sang bat à ses oreilles, puissant, lascif. Couvert par le bruit des rires. Depuis combien de temps, déjà ? Pourquoi ce miracle, pourquoi elle, pourquoi quand la haine menace de consumer le peu d'humanité qu'il lui reste, quand elle passe son temps à se chercher des ennemis parmi les ombres et des frères dans l'obscurité, pourquoi ? Pourquoi les promesses, les tendresses, les confidences...?

    Sa tête menace d'exploser. Avant le matin, il faudrait qu'elle soit loin, loin... Mais à la sortie de la ville se présente la mer. Encore une nouvelle rencontre, et non pas des moindres. Pourquoi, à nouveau, son cœur qui brûle d'exploser quand elle le croyait glacé à tout jamais ?

    Il fait nuit, et le reflet de la lune scinde la mer en deux. Le silence; à peine le bruit de calmes vagues qui viennent s'échouer aux pieds nus de la sorcière qui s'enfoncent dans le sable. Cheveux dénoués, yeux clos. Respire. Doucement. Apaisée... Tout va bien.

    Bientôt, elle aurait disparu, et il ne resterait de son passage qu'une ombre, un nom qui glisse sur les lèvres, sur les esprits, sur les mémoires, avant de disparaitre dans l'avenir. Ce soir, il n'y avait plus de haine. C'était étrange... Quelque part, elle se sentait perdue, de marcher sans sa colère; d'où l'importance de se donner un but. Non, elle ne pouvait plus rester.

    -Vive, valeque..., soufflent doucement ses lèvres, comme on murmure avec tendresse à l'oreille d'un amant. Ses yeux errent, son corps entier n'est qu'une poupée de chiffon qui respire le silence et le calme. Vis, et porte toi bien. C'est une idée... Décidément, la ville lui plait. Mais l'heure sonne, sonne, dans les recoins perdus de la folie qui étreint son cœur, le comprimant avec application chaque seconde qui passe. Il est temps de partir... Lentement, à reculons, elle s'éloigne, s'éloigne. Parmi les ténèbres, elle n'a plus d'ombre.

_________________
Steredenn
Elle se tient debout, face à celle qu'on dit "Grande Bleue".
Un chapeau de paille torturé entre ses mains.
Comment dire Adieu ?
Comment faire que les points de suspension s'arrêtent sur un final.
Le Tigre l'avait pourtant dessiné sur une autre plage en Bretagne.
Il ne reste à la jeune Bretonne qu'à essuyer les larmes rondes qui s'étirent sur ses joues, une bonne fois pour toutes.
Les dernières qu'il lui soutirait.
Une boule coincée dans la gorge, les souvenirs défilent devant les yeux fauves plantés dans l'horizon.
Les mauvais, les bons, les larmes, les espoirs, les départs, les retrouvailles.
Et puis ce point, le sien, celui d'exclamation qui a dit "assez !" et signé son départ de Bretagne.
Un long frisson la parcourt soudain.
Beltane ne devrait pas avoir les couleurs de l'Ankou.
Un ruban rouge délacé du corsage rejoint les clapotis au pied du rocher.


Kenavo Thiersen ...
_________________
Kentoc'h Mervel Eget Bezañ Saotret
Damien.
Damien avait fini d'aider sa soeur ,couper du bois et manger le bon repas qu'elle avait préparer puis les laissa ,il avait envie de se retrouver seul
Et puis ce n'etait pas tout les jours qu'il pourrait venir a la plage puisqu'il ne vivait pas a marseille.Raison de plus pour revenir souvent

Il marche doucement,il croise des amoureux ,il aimerait lui aussi croiser une jeune fille avec lequel il partagerait tout ,qu'il pourrait aimer tout simplement
Mais il n'a que 18 ans ,il avait encore le temps ,meme si il y pensait souvent

Damien s'était éloigner et s'asseya au bord de l'eau pour révasser,il adorait ses moments de solitude
Axel7
Axel visita Marseille il vit une plage vers la fin de journée il s'approcha et s’assied sur la plage pensif
Swan
Elle venait d'arriver dans cette ville choisie, non pas par hasard ! Elle boitait légèrement et arpentait le port. En marchant, elle vit une affiche proposant un voyage ... Départ le 26 juillet ... Arf dommage c'était ce jour ... Elle était venue là pour ça, pour partir sur un bateau, mais avant elle devait pouvoir assumer ce voyage.

Celui-ci était intéressant, il était long et passait par plusieurs pays don l'Irlande son pays d'origine. Le temps que le capitaine revient, elle aurait fait ce qu'il fallait pour pouvoir partir, en espérant que sa hanche soit moins douloureuse ...

Elle regarda les navires amarrés. Un jour elle en aurait un ! Quitte à le faire construire ailleurs, elle aurait son propre navire et pas n'importe lequel ... Elle respira l'iode qui lui enivrait les narines. Elle allait devoir apprendre à connaitre ce nouvel environnement, mais ça ne lui faisait pas peur ... Elle était revenue à la vie et elle allait la mener comme elle l'entendait ... Plus de Crocs, plus de blond ... Non rien ni personne, juste elle ...

Elle quitta le port et longea la côte pour arriver sur une plage. Sables et galets mélangés, elle marcha un moment sur cette baie protégée. Le remous des vagues étaient comme un appel. Elle allait changer sa vie, en surprendre plus d'un ... cette idée d'être un jour capitaine, lui était venu quand elle avait fouillé ce grenier au manoir avec Chipie ...

Son Capitaine Fracasse ...

A cette époque, elle n'y avait pas trop pensée, mais depuis cette nuit à la cour des miracles où elle avait failli y laisser sa peau, elle y avait bien réfléchi et l'Ombre lui avait donné l'occasion de permettre que ce rêve devienne réalité ... Si elle était ici, c'était pour cela ... A elle maintenant, de faire en sorte de se plaire ici ...


J'me plairais ici ... J'en suis certaine !
_________________

Créations de bannières ici//Crocs Rouges
Isalina


Cet après-midi jour de peche et jeux sur la plage pour Keryan, Adora, Isalina, et Messire Fred de Cianfarano. La mer s'étendait sans fin, et le sable chaud nous titillait les pieds en ce jour du mois d'aout. Les enfants décidèrent de mettre leurs petons dans l'eau avec plaisir





Ma nièce Adora mis de suite sa bouée cela était plus prudent, les vagues était hautes et léchaient le sable doré.






Quand au petit keryan le bébé d'amour à son papa, il préfèra faire des chateaux de sables Il avait tout son matériel.





Messire Fred De Cianfarano, à genou sur le sable, aida son fils à faire des patés et à construire le chateau, le soleil s'attardant sur leur peau, et la brunissait. Je mis un chapeau sur leur tete, Adora avait déjà le sien, pour ma part un grand chapeau de paille fit l'affaire.

En sable,les deux hommes ensembles firent des merveilles Adora et moi-meme étions en admirations, On les embrassa sur les joues , bisous bien mérités








La mer était agréablement chaude, pour moi qui me baignait dans le lac. Je décida de nager comme un poisson dans l'eau. Après mettre séchée, je servis un gouté bien apprécié de tous , boissons fraiches aussi comprise. Rires joyeux et fous rires , j'habilla le petit Keryan, pour aller pecher.Le petiot tenait fièrement sa canne à peche à la main.





Notre petite troupe bien restaurée, se dirigea vers le bateau de Messire Fred De Cianfarano, qui était en place au port de Marseille. Nous aimions ce bateau Drakkar tout en bois, et qui tenait bien la mer. Sa proue était superbe et nous protégeait de ses bienfaits.





Je suis heureuse dans cette petite famille, et, je le serrai toujours. Ils sont si merveilleux avec moi, je suis chanceuse là



_________________
Elsas
Elsas était arrivée le matin même a Marseille, elle allait de suite voir la plage , le sable d'une couleur comme nul par autre .

Elle enleva ses bottes et ses bas qu''elle laissa dans près d'un arbre et alla mettre ses pieds dans l'eau , elle profitait de ce calme et de ce moment pour se ressourcée , elle partirait déjà le lendemain de cette ville.

Ils allaient a nouveau sur les routes , c'est qu'ils ne restaient jamais en place eux , toujours en voyage d'affaire comme elle aimait appellée cela.

Elle regarda l'horizon au loin, la vue était magnifique , un calme régnait tout autour d'elle a cet heure ci , elle se mit sur ses genoux jouant de ses mains dans le sable .

_________________


Seul toi calmera cette haine.
Calanthe
La mer. Enfin ! Kylah avait tenu sa promesse, chose dont il n'avait absolument jamais douté. Il lui faisait une confiance... oui, presque aveugle. Elle avait voyagé déjà, elle. Elle avait vécu, elle. il s'étonnait encore qu'elle ait pu proposer de l'accompagner, de l'emmener voir la mer, à lui, jeune blanc-bec qui ne connaissait rien de la vie !

Quelques jours à Aix pour récupérer quelque peu de son long et fatigant voyage depuis la Suisse. Et c'est là-bas qu'il l'avait rencontrée. Ourse qu'elle disait. Lui n'avait pas encore vue l'Ourse qu'il sentait pourtant parfois pas très loin lors de l'évocation de certains souvenirs. En tous cas, il était là grâce à elle. Impatient, il n'avait su attendre et s'était dirigé directement vers la direction qu'elle lui avait montrée. Il venait d'apercevoir la mer. La machoire pendante, il ne pouvait quitter des yeux sa couleur bleue sous le ciel, bleu lui aussi. Elle s'étendait.... à perte de vue ! La plus grand étendue d'eau qu'il connaissait avant ça était le lac de Genève. Il l'avait longé un moment pour venir. Il lui avait paru énorme. Mais toujours il avait vu l'autre berge. Toujours il y avait de la terre au bout. Ici non....

Kylah avait parlé de barque pour pêcher. Ce devait être tentant de partir dans cette immensité. Que pouvait-il bien y avoir de l'autre côté ? Car il y avait un autre côté, pas vrai ? Comme pour le lac de Genève. En plus grand...

Il s'assit par terre, dans le sable, ôtant ses chausses. Il était chaud déjà, le sable fin. Il y enfouit ses pieds nus, ses mains, et, le regard tourné vers le ciel, ecouta le bruit de la mer, des oiseaux qui criaient, du vent dans ses cheveux. Il était heureux, le Suisse. Il avait voulu voir la mer. Il y était !
Kylah
Ils étaient arrivés à Marseille. L'appréhension avait gagné Kylah. Oh leur voyage s'était bien déroulé, pourtant. Mais cette ville lui laissait une impression étrange. La mer? Non, ce n'était pas elle qui effrayait Kylah; la mer, elle connaissait, la Toulonnaise. Il était pressé de la voir, Calanthe. Kylah lui indiqua le chemin le plus court pour s'y rendre. De son côté, elle alla chercher une barque pour aller à la pêche. Elle lui avait promis de lui montrer ce qu'était la pêche en mer, et elle était femme à tenir ses engagements.

Après un bon moment en ville, à marchander une barque à prix raisonnable pour quelques jours, Kylah rejoignit la plage où elle pensait bien retrouver le Suisse. Arrivée sur le sable, elle ôta ses bottes de voyage et ses bas pour cheminer plus aisément. Ainsi, elle marcha tranquillement, rames sur l'épaule et bottes dans une main, jusqu'à arriver à proximité d'une silhouette qu'elle avait identifiée comme étant celle de Calanthe, assis sur le sable.

Elle s'arrêta non loin de lui, un peu en retrait, sans se faire remarquer. Elle le laissa profiter du paysage et s'en imprégna elle-même, de cette mer... Cela faisait longtemps qu'elle ne l'avait plus côtoyée d'aussi près. Les souvenirs l'assaillirent, bons comme moins bons. Cette ville la prend aux tripes, elle n'aime pas cela, pas du tout. Mais heureusement que la mer s'étendait là devant elle, fidèle alliée. Elle secoua la tête comme pour chasser tous ses démons; elle déposa rames et bottes sur le sable. Puis elle s'avança, dépassant Calanthe au passage, jusqu'à l'eau et y trempa les pieds.

_________________
Calanthe
Une ombre fugitive sur son visage, et il ouvrit les yeux. Il les laissa s'habituer à nouveau à la lumière éclatante, et reconnut Kylah, sa guide. Elle marchait, pieds nus, vers l'eau. Il la regarda un instant. Il aimait la regarder. Décidée, volontaire, elle savait ce qu'elle voulait. Il aimait sa compagnie. Déjà il se demanderait comment il supporterait la séparation inévitable... Pourvu qu'elle ne regrette pas d'être venue ici, dans cette ville où l'attendaient ses démons, il l'avait bien compris !

Quand ses pieds atteignirent l'eau, il se leva et la suivit, courant un instant dans le sable, délicieuse sensation, ses pieds s'y enfonçant, le faisant voler autour de lui. Il s'arrêta un instant juste au bord, là où le sable était mouillé. Il s'amusait de voir sa couleur changer quand il s'appuyait dessus. Il sursauta quand une vague fraiche lui mouilla les pieds. Il sourit et approcha de Kylah. Il regarda le large avec elle. Elle semblait songeuse. Ses démons peut-être ? Ou alors se demandait-elle ce qu'elle faisait ici ?


Merci Kylah. Merci de tout coeur pour ce merveilleux moment !

Il se tourna vers elle, la regarda droit dans les yeux comme jamais encore il n'avait osé le faire, espérant qu'elle ne le prendrait pas mal. Mais il voulait lui faire passer l'émotion qu'il ressentait grâce à elle !
Kylah
Calanthe était arrivé à sa hauteur. Après un moment silencieux, il prit la parole pour la remercier, ce qui la tira de ses rêveries.

Merci Kylah. Merci de tout coeur pour ce merveilleux moment !

Elle se tourne vers lui et croisa un regard peu habituel pour Calanthe. Agréablement surprise, elle lui sourit franchement.


De rien, c'est avec plaisir. Elle hoche la tête, avant de faire quelques pas dans l'eau, tournant en rond. Elle finit par se planter devant lui, bras dans le dos.

J'ai amené des rames. Je nous ai obtenu une barque avec tout l'attirail du parfait pêcheur! Phrase qui se voit ponctuée d'un sourire satisfait.

Elle attend un instant puis reprend:
Vous aimez, alors?
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, ..., 9, 10, 11   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)