Naluria
[Attends moi... Excuse moi...]
Naluria chevauchait dans la nuit, toujours vers le monastère de Clermont. Elle était sûre d'y retrouver Modso. Leur premier lieu de réel sentiments entre eux. Ils s'étaient balladé tout deux mains dans la mains, lui lui faisant découvrir une Abbaye style Cluny, elle visitant comme une enfant, émerveillée par le savoir de Modos sur cette architecture.
Comment mieux se retrouver que dans le lieu on l'on s'est acceptés. Naluria avait enfin donné sa confiance, avait été plus docile et était devenue une enfant timide. C'était peut être le goût des lèvres...
Sortant de ses songes, Naluria aperçue la bâtisse, talonna Lys d'Orléans jusqu'à se trouver devant l'huis moniacale. Elle descendit de cheval, prit le heurtoir entre ses doigts et frappa à la porte. La lucarne dur l'huis s'ouvrit, les yeux d'un moine apparurent et une voix se fit entendre.
Bonsoir ma fille, que souhaitez vous du monastère ?
Naluria s'approcha de la lucarne et souffla quelques mots.
La repentence mon père, et le pardon.
Le moine ouvrit lui, détourna le regard lorsque Naluria entra dans le monastère.
Merci mon père, où se trouve la roseraie ?
L'homme religieux montra du doigt l'eglise. Le voeu de silence étant qu'il ne pouvait parler que pour la sécurité du monastère, et donc pour la vérification des entrées et sorties.
Naluria releva ses jupons et courra vers l'édifice religieux, y faisant le tour à la recherche des effluves enivrant des roses. Le parfum apparu et baigna la jeune femme comme Eve se complaisant dans le jardin d'Eden.
Comme à son habitude, Naluria cassa la tige d'une des roses et la prit avec elle, un seul sussure sorti de ses lèvres avec une même répétition douce et ne voulant pas briser le silence de ce hâvre de paix feutré.
Modso, Modso, Modso...
_________________
Naluria chevauchait dans la nuit, toujours vers le monastère de Clermont. Elle était sûre d'y retrouver Modso. Leur premier lieu de réel sentiments entre eux. Ils s'étaient balladé tout deux mains dans la mains, lui lui faisant découvrir une Abbaye style Cluny, elle visitant comme une enfant, émerveillée par le savoir de Modos sur cette architecture.
Comment mieux se retrouver que dans le lieu on l'on s'est acceptés. Naluria avait enfin donné sa confiance, avait été plus docile et était devenue une enfant timide. C'était peut être le goût des lèvres...
Sortant de ses songes, Naluria aperçue la bâtisse, talonna Lys d'Orléans jusqu'à se trouver devant l'huis moniacale. Elle descendit de cheval, prit le heurtoir entre ses doigts et frappa à la porte. La lucarne dur l'huis s'ouvrit, les yeux d'un moine apparurent et une voix se fit entendre.
Bonsoir ma fille, que souhaitez vous du monastère ?
Naluria s'approcha de la lucarne et souffla quelques mots.
La repentence mon père, et le pardon.
Le moine ouvrit lui, détourna le regard lorsque Naluria entra dans le monastère.
Merci mon père, où se trouve la roseraie ?
L'homme religieux montra du doigt l'eglise. Le voeu de silence étant qu'il ne pouvait parler que pour la sécurité du monastère, et donc pour la vérification des entrées et sorties.
Naluria releva ses jupons et courra vers l'édifice religieux, y faisant le tour à la recherche des effluves enivrant des roses. Le parfum apparu et baigna la jeune femme comme Eve se complaisant dans le jardin d'Eden.
Comme à son habitude, Naluria cassa la tige d'une des roses et la prit avec elle, un seul sussure sorti de ses lèvres avec une même répétition douce et ne voulant pas briser le silence de ce hâvre de paix feutré.
Modso, Modso, Modso...
_________________