Valezy
Quelques minutes après sêtre installé dans la chambre que son ami lui avait gracieusement attribuée. Valezy se contemplait dans un miroir, non sans un plaisir ostensiblement affiché sur son visage. Pour loccasion, il avait en effet revêtu ses derniers atours. Comme à son accoutumée, il avait mis un point dhonneur à les tailler de ses propres mains et avait dépensé une somme des plus coquettes pour acheter un tissu quil considérait digne de lui. Mais, à cela rien de surprenant, il navait jamais été homme à lésiner sur les moyens pour le paraître.
A cette pensée, sa main effleura le velours de sa chemise. Lensemble était sobre, de noir et de rouge, mais ne manquait en aucun cas délégance. Certes, cela le changeait des costumes bariolées quil portait il y a encore une année de cela. Mais déjà, au delà des Alpes, la mode avait changée et il sétait toujours efforcé à suivre les tendances de son lointain pays natal.
Certains nauraient dailleurs pas hésité à dire que cette coquetterie exacerbée révélait le côté féminin de lhomme Mais ces même certains auraient alors connu dinnombrables souffrance, si il était advenu quils expriment, tout haut, ces sombres pensées envers Valezy.
Sur ces entrefaites, il réajusta son col et se permit de se laisser aller à un sourire carnassier. Il était désormais fin prêt
Quelques minutes plus tard, Val fit alors son entrée dans la grande salle. Sa démarche était des plus martiales, sa tête haute et son regard fier parcourait la maigre assemblée qui sétait déjà réunit.
Et au bout de quelques pas, il eut enfin repéré le point stratégique du bal, en apercevant le page qui séchinait à proposer de la boisson aux invités. Sans coup férir, Valezy fit le détour pour semparer dune coupe de vin, non sans remercier, se faisant, le serviteur dun signe du chef.
Cest alors que son ami, et ancien Duc, Marty vint le saluer en coup de vent, tout occupé quil était à aller dinvité en invité en digne maître de maison. Valezy accueillit alors son ami dun sourire affable avant de le remercier chaleureusement de son accueil, ainsi que pour lassurer de larrivée éminente de son épouse.
Mais déjà, de nouveaux invités affluèrent et il était grand temps pour le Duc de Billy de retourner virevolter au sein de la grande salle.
Les deux hommes se promirent néanmoins de reprendre plus tardivement cette discussion là où ils l'avaient laissés avant de se quitter.
A cette pensée, sa main effleura le velours de sa chemise. Lensemble était sobre, de noir et de rouge, mais ne manquait en aucun cas délégance. Certes, cela le changeait des costumes bariolées quil portait il y a encore une année de cela. Mais déjà, au delà des Alpes, la mode avait changée et il sétait toujours efforcé à suivre les tendances de son lointain pays natal.
Certains nauraient dailleurs pas hésité à dire que cette coquetterie exacerbée révélait le côté féminin de lhomme Mais ces même certains auraient alors connu dinnombrables souffrance, si il était advenu quils expriment, tout haut, ces sombres pensées envers Valezy.
Sur ces entrefaites, il réajusta son col et se permit de se laisser aller à un sourire carnassier. Il était désormais fin prêt
Quelques minutes plus tard, Val fit alors son entrée dans la grande salle. Sa démarche était des plus martiales, sa tête haute et son regard fier parcourait la maigre assemblée qui sétait déjà réunit.
Et au bout de quelques pas, il eut enfin repéré le point stratégique du bal, en apercevant le page qui séchinait à proposer de la boisson aux invités. Sans coup férir, Valezy fit le détour pour semparer dune coupe de vin, non sans remercier, se faisant, le serviteur dun signe du chef.
Cest alors que son ami, et ancien Duc, Marty vint le saluer en coup de vent, tout occupé quil était à aller dinvité en invité en digne maître de maison. Valezy accueillit alors son ami dun sourire affable avant de le remercier chaleureusement de son accueil, ainsi que pour lassurer de larrivée éminente de son épouse.
Mais déjà, de nouveaux invités affluèrent et il était grand temps pour le Duc de Billy de retourner virevolter au sein de la grande salle.
Les deux hommes se promirent néanmoins de reprendre plus tardivement cette discussion là où ils l'avaient laissés avant de se quitter.