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[RP] Festivités à Billy - Le Bal

Sibella
Sibella avait pris un peu de repos en arrivant, grâce à la gentillesse du Duc de Billy qui avait eu la délicate attention de mettre des chambres à disposition de ses convives.

Après avoir fait un peu de toilette, elle passa une robe pour la soirée et s'arrangea les cheveux qu'elle laissa mourir sur ses épaules.

Elle descendit le grand escalier et arriva dans la salle de bal. En peu de temps, c'était incroyable le nombre de personnes qui était arrivées durant son repos. Doucement et en se tenant à la rampe, elle descendit, le regard aux yeux de lynx cherchant à reconnaitre des amis.

Il n'était pas difficile pour elle de reconnaitre Althiof, Kory, Rick, certainement que Tiadriel ne devait pas être loin, Beths qui arrivait, Naluria, formidable elle était certaine de passer un agréable moment.

Après l'escalier, elle se dirigea vers le buffet qui était fort bien garni de victuailles en tous genres. Il lui était impossible de s'amuser sans manger au préalable, car il fallait bien reconnaitre qu'à présent elle devait manger pour deux.

Elle salua en passant quelques visages connus et atteignit le buffet.

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Apolonie
Sanguienne il va pas lâcher son décolleté des yeux ? Mais c'te honte, son cavalier les yeux rivés sur sa gorge. Plus jamais mettre cette robe, jamais. Le rouge de confusion polie et flattée se transforme en carmin agacé par l'attitude de son partenaire. L'azur se fait orageux. Lance des éclairs brillants de menaces à peine contenues.

Je te reluque pas je… euuuuh… contemple l’étendue de ta beauté. Oserais je dire que tu es particulièrement rayonnante ? Mouais non c’est nul… Ca me réussit pas de faire des compliments. Par contre toi… avec les « obsédés » t’y va fort… A quoi ça sert de mettre de telles robes si ce n’est pour attirer le regard ? J’y vois comme une sorte d’appel poétique à y plonger ses yeux… C’est un peu une sorte de syncrétisme entre la robe et moi.

L'hésitation s'fait pendant quelques secondes, air penaud de circonstance, elle rit ou elle lui décoche une baffe à faire passer la musique pour un bruit de fond ? Mais il se fout d'elle en plus le sagouin ! Elle serre les dents, déjà qu'ils se font remarquer, elle va pas en rajouter. Mais la tentation est grande de relever le jupon, se saisir de la dague et lui faire sauter les yeux avec, comme de petits raisins trop mûrs. Mais non, elle se contente de lui répondre, les ongles s'enfonçant profondément dans la peau de Chlo.

Rayonnante, moi... Bah voyons. Si j'l'étais ça se saurait. Tu mates, c'est tout. Et si tu n'es pas obsédé t'es quoi ? Tu ne m'as regardée dans les yeux depuis que j'ai ôté ma cape ! Si j'ai mis une robe c'est pour pas te faire honte, et v'là l'résultat... C'est moi qui suis couleur coquelicot. J'vais t'en foutre du syncrétisme, attends un peu...

Non, elle n'avouera jamais que sous la honte, elle est un tout petit peu contente de son effet... Elle ne dira jamais, même sous menace de la priver de miel jusqu'à la fin de ses jours qu'elle n'a pas mis une robe pour rien, et que le regard de Chlo comme celui d'autres dans la salle sont aussi à l'origine du rose qui fonce son teint. Hors de question. Et puis le jeune noble se décide à lancer la danse, chassant dans un ballet d'erreurs plus ou moins bien rattrapées les pensées de la belle. Apolonie doit maintenant se concentrer. C'est que si elle danse, comme aurait dit le Seigneur de Gilly, avec grâce et légèreté, elle ne s'est pas pliée à l'exercice depuis le bal donné en l'honneur d'Armoria en Berry il y a ce qu'il lui semble des années de ça...

Mais les notes qui fusent réveillent en elle le sens de la mélodie et du rythme. Un pied après l'autre, des hanches qui chaloupent en cadence, les épaules alignées et le port de tête altier. Non, elle ne démérite pas, excusant les quelques pas maladroits de son cavalier, le regard en soutien amusé, à croire qu'il le fait exprès pour l'embêter. Jusqu'à la goutte d'eau... Ses orteils maltraités propulse le cri des tripes à travers la trachée, passant par la gorge qu'il reluquait l'instant d'avant jusqu'à forcer la barrière de ses dents et se transformer, par égard pour Marty, en un sifflement menaçant dans l'oreille de Chlo.


Bousille moi encore un pied comme ça, et j'te jure, tu passeras la pire nuit d'ton existence de nobliau.


C'est grâce à plus d'une année de diplomatie exercée avec passion qu'elle arrive à garder un minois presqu'avenant et un sourire charmant sur ses lèvres pleines. La "Reyne de la Façade publique" selon Bireli, elle a pourtant essuyé piètres cavaliers, se souvenant d'Hugues Marsan qui lui avait bousillé une paire de chausses neuves il y aura presqu'un an de ça... Ce bal en l'honneur des soldats. Une de ses premières rencontres avec Sa Grasse préférée... Il faudra qu'elle lui en reparle quand ils se croiseront. En attendant, elle va s'attacher à se venger, cordialement, de son ennemi bien aimé. S'il croit qu'il va s'en sortir comme ça, le blondinet. T'es mignon, tu m'fais rire, mais faudrait pas pousser...
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Co-fondatrice avec Amberle du fan club de Constant Corteis.
Chlodwig_von_frayner
En effet elle était toute rouge, elle s’était qualifiée de coquelicot, mais pivoine aurait tout aussi bien put lui convenir. Et cela l’amusait à vrai dire, se doutant qu’il était dans un sens le responsable de cette gène. Il se promit intérieurement de ne pas hésiter à la mettre plus tard dans une autre situation embarrassante, bien qu’il n’ai pas vraiment besoin de promesse pour le faire habituellement… Et généralement, la correction qui suivait était à la hauteur du préjudice subit… ce qui faisait pour ainsi dire généralement très mal. Ah ça… il se souvenait encore des douces mains si élégamment posée sur le couteau dont la pointe reposait sur son entrejambe. Au moins elle avait compris comment porter atteinte à un homme… et ce n’était pas vraiment rassurant.

Il avait réussit son petit coup, lui écraser un pied. Bah… une petite boutade, rien de plus et qui n’avait eu aucune conséquences qui plus est. Il s’appliqua donc à enchaîner les pas, ceux-ci revenant naturellement d’autant plus qu’il ne se concentrait pas sur eux. Il en profita ainsi pour détailler les autres danseurs. La jeune fille avec Tixlu se débrouillait vraiment très bien… mieux que lui… mais mieux qu’Apo rien n’était moins sur (oui un peu de chauvinisme ne fait jamais de mal) En tous cas une chose était sur, elle ne pouvait avoir de seins plus jolis que ceux de la maire de moulins. Oui clairement et simplement inimaginable. Et il pouvait en témoigner, à condition qu’on lui laisse l’opportunité de comparer, et il doutait que la jeune fille fut d’humeur à se laisser opérer de force.

Mais à trop fantasmer sur des poitrines, Chlo en oublia le principal dans une danse : les pas. Et soudain, bien malgré lui, il trébucha légèrement et pour se rattraper voulut faire un élégant pas de côté (éventuellement à enchaîner avec un roulez-boulez suivi d’un saut périlleux arrière avec atterrissage en grand écart et prononçant le mot « yo »), mais malheureusement son pied se plaça par mégarde juste au dessus du délicat peton orvalien qui fut à nouveau écrasé.

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Chlodwig Von Frayner d'Azayes, baron de Chateau rouge et Seigneur de Belzaize (blason pas à jour)
Martymcfly
Sa première danse fut pour une roturière... Qui l'eut cru ? La jolie Zeze que d'autres plus au Sud voyaient brigande... Quels débiles ceux là. C'était bien des Languedociens tiens. Marty ne put faire que quelques pas avec elle tant de nouvelles personnes, de nouveaux invités faisaient leurs apparitions dans la salle de bal.

Le Duc n'avait pas oublié ces heures de danse... Nombreuses elles avaient été avec son épouse. Quelques cérémonies ou festivités passées lui rappelèrent ces moments en la compagnie de Mativa. Tous étaient passés maintenant et c'était avec une autre qu'il devrait danser. Bien sûr Zeze ne serait, ne pouvait être celle-là, n'étant pas noble. Mais ce n'était pas une raison pour ne pas l'accompagner sur la piste de danse.

Cette pavane était plutôt rythmée et Zeze devait avoir appris à danser, peut-être avec Sandino qui bientôt paraissait à la porte. C'est d'ailleurs son arrivée qui écourta leurs pas.

Un baise main pour la remercier et la laisser aller saluer son ami.

Après ce premier passage, ces premiers pas, il lui fallait boire quelques gorgées. Une coupe qui passe et aussitôt engloutie. Ca donnait soif la danse ! Pendant qu'il buvait son verre, il regardait les couples sur la piste. La fête était bien partie pour durer et cela lui plaisait. Quelques couples inattendus, d'autres très prévisibles...

Et sa douce Apo dont les traits semblaient de moins en marqués par ses blessures récemment reçues, autant sur les murailles de Moulins que par une lance aux joutes du Lavardin. Sa robe attirait les regards de tous les mâles en âge de procréer. Quelle aguicheuse cette Orvalounette ! Combien de fois s'était-elle assise sur ses genoux à la Municipale. C'était pour alimenter les rumeurs... On lui ressortait déjà ! "Tu serais pas avec Apo par hasard ?" Cela ne manquait pas de faire sourire le jeune Duc. "S'il n'y avait qu'elle", s'amusait-il à répondre...

Nouvelle gorgée... Et son cavalier ? Le petit blondinet là. Charmant celui-là. Qu'aurait-il donné pour qu'il fut son éromène... La blondeur l'avait toujours attiré il faut dire et elle était peu courante parmi ses fréquentations. Le jeunot Chlo avait beaucoup à apprendre, et Marty lui aurait enseigné bien des choses. Sourire en coin alors qu'il prend une gorgée à nouveau. Ca n'aurait pas été que les lundis au soleil pour le Chlochlo...

Chassant ces idées farfelues, il s'était retourné vers sa supérieure pour lui accorder une danse. Oui c'était bien le Duc qui lui accordait, non l'inverse. Non mais ! Seulement... après une bise exigée (sacrée coquine la Nalu !), Marty et sa cavalière s'étaient mis en place pour cette danse. Seulement... Deux personnes dont l'arrivée improbable était tellement espérée par le Duc firent leur entrée dans la grande pièce. Les 2B qu'on les appelait. Avec lui, le Billy, ca pourrait faire 3... Naluria dans les bras de Marty... que pouvait penser Beths dont le Duc venait d'apercevoir... Sans réfléchir, presque avec pudeur il s'adressa au Héraut.


Excuse moi Nalu, nous reprendrons cette danse à pense entamée tout à l'heure... J'ai... quelques ordres à donner.

Excuse polie.
Compréhension.
Sans doute déception.
Ce n'était que partie remise.

Visiblement, sa marraine ne savait pas qu'elle se trouverait dans la demeure de son filleul, et elle paraissait surprise lorsque leurs regards se croisèrent.

Haussement de sourcil du Duc.

Qui allait faire le premier pas...

Leurs derniers échanges avaient été pour le moins explicites. "Je ne viendrais pas à ta fête si tu me fais la tête." Il n'avait pas répondu. C'était une réponse en soi. Sûrement pas celle qu'avait attendu Bettym.

Et Beths ? Lui en voulait-elle toujours ? Elle avait quitté la grand place de Clermont en chantonnant une chanson qui laissait présager du contraire pourtant. Lui plaisait-il finalement ?

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Bettym
[En route vers une destination inconnue...]

L'annonce de l'arrivée de Nimrodor à Thiers lui avait fait comme une détonnation dans le crâne qu'elle avait de douloureux suite à la nuit passée en taverne à se divertir avec ses amis et connaissances. Ne dit-on pas : Quand le chat n'est pas là, les souris dansent ?

Sauf que là... Le chat venait de passer la douane et que la souris était dans un sale état.

La panique dans les yeux, son amie Beths en secours et les voilà toutes deux chacune sur un canasson en partance pour... Pour où d'ailleurs ? La Thiernoise n'avait pas daigné lui dire mais qu'importait, Bettym avait une confiance aveugle en la maréchale.

Aveugle... pour le coup s'était bien le terme adéquate. La jeune Moulinoise suivait Beths sans mot dire tant le moindre bruit résonnait dans sa tête comme un coup de canon. Plus jamais je ne boirais, se promit-elle, fermant les yeux de temps en temps pour essayer d'effacer les stigmates de la nuit.

Le paysage défilait et le trajet fut plus long qu'elle ne l'aurait souhaité mais ne connaissant que très peu la région et surtout la destination, elle se laissa guider...


[Au domaine de Billy...]

La fête battait son plein. Une effervescence se dessinait dans ce domaine qu'elle ne connaissait nullement lorsque Beths lui annonça...

Je t’ai amené chez les Cournon, cela m’a semblé être un lieu sûr …

Les effluves de l'alcool dissipées, elle regarda autour d'elle ne reconnaissant nullement le château de l'ancien Prévôt. Elle y était venu lors du mariage de Tiadriel et Rick il y avait maintenant plusieurs mois. Elle essaya donc de se rappeler ce moment non sans une amertume dans la gorge... C'était ce jour là où Max et elle s'étaient avoués leurs sentiments. La gorge nouée, elle ne dit rien et attendit d'être introduite avec son amie chez les Cournon ce qui ne tarda guère.

Elle espérait échapper à la fête n'étant pas de bonne compagnie et surtout pas en habit mais c'était sans compter sur les habitudes de Beths...


Oh, oh, les Barons reçoivent ?
Tant mieux, il y aura à boire ! Allez on y va !


Un regard amusé, en entendant Beths qui feignait mal l'étonnement. Faut dire qu'il n'y avait pas plus honnête qu'elle...

Oui c'est bizarre ça ! fit-elle à la Thiernoise. Tu es sûre que nous serons les bienvenues ? Et si, c'était pour un mariage ou autre alors que nous n'avons pas été invitées ?

L'angoisse recommençait à l'atteindre. Certes, elle n'était pas noble mais elle avait quand même appris la bienséance et Soeur Rita lui avait inculquée qu'on ne se présentait pas à une fête sans y avoir été invitée.

Beths ? Et si on repartait à Thiers ?

Mais c'était trop tard... L'introduction dans la salle de bal était faite et bon nombre de personnes s'y trouvaient. Un malaise apparut quand elle aperçut son filleul. Que pouvait-il faire ici ? Il avait une "crémaillère" à faire à Billy ? Elle regarda à tour de rôle Beths et Marty, le regard de plus en plus noir. La colère la gagna... Elle venait de se rendre compte que Beths lui avait joué un tour.

Oh toi ! fit-elle entre ses dents... Elle était sortie des griffes d'un chat pour se retrouver dans la gueule d'un Loup. Pourquoi tu as fait ça Beths ? Tu savais très bien que Marty ne voulait pas que je vienne... Il faut que je m'en aille. Je ne peux rester ici.

Mais déjà, le Duc l'avait vu... Aussi étonné qu'elle apparemment... Que devait-elle faire ? Allait-elle garder la tête haute malgré ce qu'elle lui avait fait subir ? Et pourquoi non ? Elle devait être fière d'elle. Ses convictions n'avaient pas été trahies seule sa promesse envers son filleul. A cette pensée, elle grimaça.

Qu'importait. Elle était là, son filleul qui s'apprêtait à danser avait remis le branle prévu avec Dame Naluria et se dirigeait vers elles, marquant un temps d'arrêt. Qui allait faire le premier pas ?


Bon ben maintenant que nous sommes découvertes... Allons-y ! fit-elle à son amie un petit sourire sur les lèvres, puis plus bas... Mais tu ne l'emporteras pas au paradis ! regard moqueur à l'encontre Beths avant de se diriger vers son filleul.

Bonsoir toi ! Désolée de venir t'embêter en pleine danse mais vois-tu... Nous nous promenions en direction du domaine de Gondole mais tu connais le sens de l'orientation de Beths... Enfin bref... nous sommes ici, épuisées, en plein milieu de ta fête et en tenue peu cavalière pour ce genre de fête. Je suis désolée de te faire encore honte... Elle soupira, le regard planté dans celui de son filleul. Est-ce que tu peux nous offrir l'hospitalité une nuit ? Après, je reprendrai la route. Je ne voudrais pas être un désagrément supplémentaire.
Sonia80200
[Sur la route]

Prend la direction du chateau du Duc de Billy, se demande si elle fait bien, se demande si sa le fait de venir, le connaissant que peu, pourquoi pas.

Sachant qu'elle est trés curieuse de nature, autant en profiter et voir comment est son domaine

[En entrant]

Que de beauté, que de tapisserie, que c'est vaste, n'a jamais mis les pied dans un chateau, ne sent pas à l'aise.

Avance doucement en espérant que sa tenue ne fait pas trop paysanne, fait un tour des yeux enfin elle voit quelqu'un qu'elle connais, se dirige vers Althiof et Kory.


Bonjour vous deux sa me fait plaisir de vous voir, alors il est ou le petit bout.

Leur fait une bise chacun

Je reste pas, je prend la route pour quitter le BA mais ma curiosité est grande donc fallait que je vienne voir.

leur sourit
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Zeze5
Zézé dansait avec le Duc, quand Marty lui fait un signe de tête en direction de la porte.

- Mais pourquoi il n'entre pas ? lui demande t-il
- Ton garde ne peut pas le laisser passer, lui répond t-elle et plus doucement lui dit : il n'a pas eu d'invitation

Zézé fait un signe vers Sandino pour lui faire comprendre qu'elle l'avait vu, se retourne vers Marty:

- Merci pour cette danse cher Duc, je vais rejoindre Sandino, il est perdu sans moi et je dois bien reconnaitre que je le suis aussi sans lui, cette soirée est bien agréable, mais pas pour moi...plus pour moi !!

Continuant dans un sourire:

- Je suis venu par amitié pour toi et te remercie encore une fois d'avoir pensée à moi......


Elle dépose un baiser sur sa joue et file à la porte où la tête de Sandino passait encore de temps en temps. Au passage elle prend une bouteille de vin rouge qui attendait justement d'être prise.

- Oh mais arrête de râler !! je suis là....quoi les écus ?
- C'est toi qu'a les sous !
lui répond Sandino
- Mais non je les ai pas sur moi ! je ferais quoi avec des sous ici ? la bourse se trouve dans l...........

Le reste de leur dispute se perd dans le bruit de la musique, le garde les fait s'éloigner, ne voulant pas troubler cette fête, il regarde le couple partir bras dessus, bras dessous qui continuait de se disputer.
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Gandrel


Je veille…

Les invités du duc Marty, avaient tous reçu une chambre et étaient maintenant descendus dans la Grande Salle. Sous la clarté diffuse des lustres, les notes des troubadours entrainaient leurs pieds bottés dans une danse tout à fait inconnue de Gandrelina. Elle avait tout naturellement appris à danser dans son enfance au château et moult autre chose bien plus utiles et passionnante au passage mais, il s’agissait d’un domaine si petit et si… provincial… à moins que cela ne soit les modes qui changent d’une région à l’autre. De toute façon, elle n'etait pas là pour danser.

Haussement d’épaules
Regard émeraude à la ronde
Soupire lancinant
Sentiment d’étrangeté
Que fais-je ici ?
Esprit qui caracole
S’envole, plane
Je suis oiseau
Je suis plume
je suis le souffle
La terre vue d’en haut
Besoin d’air
Soudain
Une voix nasillarde

Son regard vert, encore empli du souffle du vent se pose sur l’être qui vient de la sortir de sa rêverie soudaine


Qu’y a-t-il Barbélivienne ?

Ne serait-il pas temps de faire servir les mets Dame Gandrelina ?

Cherr Barbélivienne, jé crois qué lé moment sérait bien mal choisi, nos inbités semblent affamés d’autrés choses qué dé nourritoure disons .. matérielle .
..pourr lé moment en tout cas
pose son regard bordé d’étoiles sur le bois clair et chaleureux de ce qui tient lieux de piste et sourit en voyant les couples, songe un instant à la dame qu’elle a vu disparaître vers le balcon, sûrement un besoin d’air elle aussi, comme jé l’envie … Oh voilà Dame Bettym, sourire sur le visage d’albâtre, tiens quelque chose semble clocher … regard d’ailleurs, voix ferme jé vous dirai lorsque jé jougérai opportun dé serbir nos hôtes Barbélivienne

La jeune femme pose ses mains sur l’étoffe veloutée de sa robe blanche afin d’en relever les pans et hâte le pas pour s’approcher d’une des rares personnes qu’elle connaît ici finalement ; certes, il y a bien Apolonie mais elle est très occupée avec son blondinet à se faire écraser les pieds, s’il regardait moins ses seins, il serait plus adroit à n’en pas douter. Rire intérieur. Tien sil vient encore de lui labourer le pied …Tandis que Gandrelina approche De Bettym et de la jeune femme qui l’accompagne et qu’elle ne connaît pas pour les accueillir, le duc se détache comme à regret de Dame Naluria et se dirige lui aussi vers les deux nouvelles arrivées. Si bien que Gandrelina se trouve à quelque pas de Marty et s’arrête devinant qu’il veut accueillir lui même ces deux invités.

Statut immobile
Figée sur son sourire
Sentiment de vacuité
Sens aux aguets
Une ombre plane
Attente qui s’étire tel un chat
Sur fond de roulement de tambours

Je veille
Une voix s’élève
Le cœur rebondit
L’ombre s’évapore
Sur un sourire en flaque



Bonsoir toi ! Désolée de venir t'embêter en pleine danse mais vois-tu... Nous nous promenions en direction du domaine de Gondole mais tu connais le sens de l'orientation de Beths... Enfin bref... nous sommes ici, épuisées, en plein milieu de ta fête et en tenue peu cavalière pour ce genre de fête. Je suis désolée de te faire encore honte... *soupire, regards échangés entre elle et Marty* Est-ce que tu peux nous offrir l'hospitalité une nuit ? Après, je reprendrai la route. Je ne voudrais pas être un désagrément supplémentaire.

Gandrélina s'approche et décoche un sourire rayonnant à Bettym avant même que le duc ait eu le temps d'ouvrir la bouche

Vos, oun désagrément souplémentairre ? Qué né faut il pas entendré ? La marraine dou douc ets toujours la bienvenoue Oun chambré vos attend toutés les deux, lé douc mé les avait faite préparées dans l'attente dé votré vénoue pardi ! jé souis si urousa dé vous vouer dame Bettym et ... Dame Beths, jé présoume, escousez moué, jé né mé souis pas présentée, Gandrelina, jé souis la douna del castel dé cet triste sire

La jeune femme sourit de ses yeux malicieux à la mention taquine du triste sire et fait une révérence aux deux dames puis, elle se relève et, dans un mouvement de menton volontaire, les deux émeraudes qui brillent ardemment au cœur de son visage se posent droit dans les prunelles de Marty.

Martèlement des tambours
Sa poitrine se soulève

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Bettym
Quelle ne fut pas sa joie en apercevant Gandrelina ! Bettym se sentit un peu plus rassurée. Cette jeune femme était d'une tendresse sans pareil et pas seulement à l'égard de Marty dont elle vouait une admiration que personne se saurait lui octroyer.

Bonsoir Gandrelina, sourire charmant offert à la jeune femme. Je m'excuse de vous donner tant de travail, je vous présente Dame Beths de Gondole en effet. puis plus bas... C'est la nouvelle maîtresse de Marty mais chut... elle lui fit un clin d'oeil.

Elle se tourna vers les deux futurs... futurs quoi d'ailleurs ? enfin elle se tourna vers Beths et Marty, d'un signe de tête entendu et leur déclara qu'elle allait suivre la gouvernante. Prenant le bras de la dame de compagnie...

Alors Gandrelina, racontez-moi tout ! fit-elle en la suivant et laissant son amie et son filleul se regarder dans le blanc des yeux. Quels sont les potins de Billy ? Le travail n'est pas trop dur....
Althiof
Alors qu'il regardait son épouse qui semblait un peu ailleurs comme souvent en fait, il vit arriver Sonia et lui sourit et lui fit une bise chaleureuse.

Bonjour vous deux sa me fait plaisir de vous voir, alors il est ou le petit bout.

Je reste pas, je prend la route pour quitter le BA mais ma curiosité est grande donc fallait que je vienne voir.


Bonjour, ça me fait aussi très plaisir de te voir. Le petit bout est resté à Cournon. Il faudra que tu viennes un jour pour qu'on te le présente.


Il lui sourit.

Tu pars en voyage ? Tu sais déjà où ou tu te laisseras guider au grès du hasard ?
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Adieu Alice
Naluria
Naluria sourit à la réponse de la jeune femme alors que l'hôte de la maison arrive et lui propose de danser. Et qu'elle proposition ! Non au lieu de ma douce, ma tendre, ou même ma Nalu, non, il l'appelle chef. Pour la peine il avait intérêt de se rattraper grandement, elle commença par une dégustation.

J'exige une bise avec ta proposition de danse.

Naluria sourit malicieusement.

Ma Dame, Modso, veuillez m'excuser, mon poursuivant m'enlève, je vous rejoins plus tard.

Elle prit le bras de Marty en souriant, prête à danser à en perdre la tête et là ! Nouvel échec du poursuivant alors qu'ils venaient de commencer à danser ! Il s'excusa. Heureusement que le Nalu était là et qu'elle ne doutait pas de leur relation car se faire abandonner de la sorte.


Fais ce que tu as à faire, nous ne sommes pas pressés.


Il ne fallait pas être sévère, il semblait contrarié et cela la peinait. Elle le suivit du regard et observa qu'il se dirigeait vers Beths et Bettym. Pour une fois que Beths s'était fait discrète, elle semblait subir le courroux de Bettym...

Naluria alla chercher un hypocras blanc et regarda les danseurs.

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Apolonie
Il aurait du s'y attendre pourtant. Pas comme s'il ne la connaissait pas du tout. Leur première rencontre en taverne s'était soldée par une menace aucunement voilée, avec force démonstration. Le gamin gâté s'était permis, dans une poussée d'hormones incontrolées, d'embrasser la brunette. Qui avait rétorqué d'un aller retour. Puis Chlo l'avait appelée Dame, et elle avait sorti la dague, coinçant ses bras derrière le dossier de la chaise, effleurant de la lame la gorge, le torse jusqu'à l'aine, en démonstration assez précise de ce qu'il lui arriverait s'il s'avisait de l'agacer une nouvelle fois.

Il faut croire qu'il avait la mémoire courte, ou l'inconscience de la jeunesse. Le regard du jeune Chlo est manifestement incapable de se poser ailleurs que sur des poitrines. La sienne ou celles des autres invitées. La mâchoire se crispe, l'énervement arrive à son comble. Elle l'a pourtant prévenu. Bon sang, elle qui passe pour l'Intouchable, que va-t-on penser s'il continue ainsi, le nez dans son décolleté ? Un pas, puis deux, le tissu qui soulève dans une danse qu'elle essaie de ramener au centre du débat. Difficile avec son pied endolori, quand le nobliau attaque avec...


Aïïïïïïïïïïïïïïïeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuh!!!

La vache ! Mais il y a mis tout le poids d'un âne saoul ! Elle est pas assez mal en point p'têtre qu'il faille lui rajouter de multiples fractures du pied ? Comme elle regrette soudainement d'avoir enfilé ces chausses finement ouvragées plutôt que ses bottes de cuir noir ! Le fondement de Chlo en aurait pris pour son grade et ses orteils seraient encore en bon état. Mais elle est Dame ce soir. Ce que le bras qui s'arme déjà semble avoir oublié. La baffe résonne dans la bulle qui les entoure. L'azur orageux foudroie le blondinet. Avant que la jeune femme ne se rende compte du lieu où elle se trouve.

La main redescend le long de son côté. Un raclement de gorge discret, la tête qui se baisse un peu piteuse. Comme une envie furieuse de siffloter un air de rien. Impérieuse, la mine intime l'ordre silencieux à Chlodwig de reprendre sa place et de terminer la danse. Et les yeux dans les yeux je te prie, évitons de rajouter une couche de honte à un petit esclandre déjà bien trop remarqué à en voir l'air ahuri des gens qui les entourent. Essayant de récupérer un rythme envolé, et malgré le pied douloureux, elle reprend le mouvement. Et glisse, persiflante, à son oreille:


Tu ne paies rien pour attendre, sale môme. Attends qu'on sorte d'ici, et t'vas voir c'que tu vas prendre...

Un poil plus crispée, la demoiselle, la grâce remplacée par la colère, la légèreté par la fomentation imaginative de la punition à infliger au jeune baron qui se fiche d'elle depuis... bah depuis leur rencontre en fait. Y'a pas à dire. Pourquoi a-t-elle donc accepté de venir ici à son bras ? Pourquoi a-t-elle fait l'effort d'une telle robe et d'une coiffure ? Se faire belle pour agréer un gamin, on ne l'y reprendra pas... Fuyant l'iris du blondinet, elle profite du mouvement cadencé de la danse pour balayer la salle du regard et repérer les invités, chassant rapidement les greluches et autres radasses précieuses de son champ visuel: si c'est pour parler chiffon et autres choses futiles, elle a de quoi faire à Moulins... N'oublie pas, à intervalles réguliers, de pincer Chlo. En avant-goût de ce qui l'attend à la sortie du bal.

Et moi qui pensais qu't'avais reçu une éducation.. Même moi j'sais m'tenir en public... c'dingue ça...


Près d'un serviteur chargé d'un plateau de boissons, elle reconnaît, avec une lueur d'étonnement, l'ancienne sentinelle qui l'avait accueillie à la Source. Valezy serait donc revenu d'Armagnac ? Près de lui elle cherche la brune dont elle l'avait vu accompagné à Vendôme, sans doute occupée ailleurs... Il faudra qu'elle aille le saluer, un des rares avec qui elle a idée qu'elle partagera autre chose qu'une conversation badine aux mots éculés d'avoir trop résonnés dans ces salles de bal. Et d'enfoncer, l'air de rien, la mine innocemment concentrée, le sourire hypocritement aimable, son talon sur le pied d'un Chlo maltraité.
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Co-fondatrice avec Amberle du fan club de Constant Corteis.
Korydwen
Le brun des yeux qui se baladent un peu partout pour découvrir la demeure du Duc Marty, bon goût qu'il a. Elle laisse son époux répondre à Marty, un peu ailleurs pour le moment, rêvasse, songe, préoccupée par certaines choses. Le temps d'un bal, elle oubliera cet étrange tiraillement apparu récemment avec l'arrivée de leurs amis dans le BA et le départ de son frère et sa belle-soeur.

Grand sourire à Marty, signe de la tête, un murmure, merci... Tout simplement, pas besoin de grand discours Althiof avait déjà tout dit.

Un époux qui lui prend la main et l'embrasse, elle profite de la chaleur de ses bras et se laisse à nouveau aller à la rêverie. Elle n'avait pas vu Sonia arriver, seul le départ des bras de son époux l'a fit grimacer, pas contente la Baronne, elle était bien, elle ronchonne un peu avant de s'apercevoir que c'était Sonia. Elle sourit et encore une fois son époux réagit avant elle, elle se demandait à quoi elle servait, si elle n'était pas capable à ouvrir la bouche, juste à faire joli. Beaucoup de monde était déjà là, léger sourire lorsqu'elle croisait le regard certain et puis la elle vit, oui oui vit et non pas entendu Beths pour une fois.


Bonjour Sonia...

Elle sourit, ainsi la dame partait en voyage, cela se comprenait avec ce qu'elle traversait des fois l'éloignement permettait de panser les plaies, celle que portait Sonia devait être douloureuse. Elle sourit, elle espérait sincèrement qu'elle passerait un jour à Cournon voir Timothée.

Viens quand tu veux à Cournon... Voir Timothée, ça sera un plaisir de t'y accueillir...

Main glissée dans celle de son époux, elle sourit et attend le laissant parler, trop perdue dans ses pensées, ailleurs. Elle fixe deux drôles de personnages, elle finit par reconnaître Apo et Chlo, elle rit doucement, une main devant sa bouche, en entendant quelques bribes de conversation, elle irait les voir plus tard, besoin de rire et de se changer les idées.

Elle laissa son époux terminer sa dicussion, pour qu'il l'emmène danser, le but de la soirée...

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Institut de Médecine du BA
Gandrel
Bonsoir Gandrelina. Je m'excuse de vous donner tant de travail, je vous présente Dame Beths de Gondole en effet C'est la nouvelle maitresse de Marty mais chut... elle lui fit un clin d'oeil.

"Sa maitresse" par la tres sancta, ainsi donc les roumeurs dé taverne disaient vrai, SMarty aime cette femme. Gandrelina pose à nouveau son regard couleur de lac de montagne aux étranges reflets sur le visage de Marty, essayant de trouver sur ses traits la confirmation de ce qu'elle espère et redoute à la fois. Son regard se perd au détour d'un sourcil de jais, se pose sur les yeux sombres qui paraissent heureux et inquiets dans le même temps, elle lit comme une flamme en attente au fond des prunelles. A la commissure de ses lèvres charnus s'estompe quelques mots pour sa douce devine-t-elle. Son cœur se serre, une émotion aussi étrange qu'inconnue d'elle l'envahit

En dedans
..... ...............Jeu des apparences dans la lumière chatoyante de la Grande salle

Ras de marée
.....................Statut de marbre aux traits fins et délicats, d’un blanc lumineux
Vague qui déferle
.....................Lèvres fines, ourlet serré sur un sourire brodé de perles de nacres
Cœur déchiré
.....................Légère rougeur sur les joues de la jeune femme
Je hurle silencieusement

Je pose mon regard sur elle. Qu’elle est belle. Si fraîche. Une clochette, un brin espiègle avec son regard en coin, une fleur de celle que l’on ne rencontre qu’en haut des cimes, qu’il faut avoir mérité pour croiser en chemin. S’il l'aime, c’est qu’elle est merveilleuse.

Nouveau déferlement
......................Scintillements mauves sur l’or de ses yeux


L'instant d'après, Bettym tournée jusque là vers Beths et Marty elle aussi mais avec des airs de conspiratrice, dévisage la gouvernante et déclare qu'elle va la suivre. Elle lui prend le bras et l’éloigne du couple, elle n’entend pas ce que Bettym dit ou plutôt elle n’y prête aucune importance, son esprit est comme une tempête de neige sur les cimes, fait de milles flocons tourbillonnants en spirale qui fondent lorsqu’ils touchent terre..

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Martymcfly
C'est vrai que c'était plus inhabituel. Une entrée Bethsienne sans hurlement... Aurait-elle un peu changé ? Elle savait sans doute un peu mieux se tenir. Pourtant elle avait mis ses atours de maréchale. Y avait un truc qui clochait là. Ce devait être dans sa poitrine.

On sentait un peu de tension dans le regard entre le Duc et sa marraine. Pourtant, il était plus qu'heureux qu'elle soit venue. Il l'écouta parler sans mot dire.


Bonsoir toi ! Désolée de venir t'embêter en pleine danse mais vois-tu... Nous nous promenions en direction du domaine de Gondole mais tu connais le sens de l'orientation de Beths... Enfin bref... nous sommes ici, épuisées, en plein milieu de ta fête et en tenue peu cavalière pour ce genre de fête. Je suis désolée de te faire encore honte... Est-ce que tu peux nous offrir l'hospitalité une nuit ? Après, je reprendrai la route. Je ne voudrais pas être un désagrément supplémentaire.

Haussement de sourcil. Ce n'était pas de la honte qu'elle lui faisait. Ce n'était pas l'envie de la prendre dans ses bras qui lui manquait. Depuis son départ précipité de la salle du trône, il ne l'avait que trop vue. Aussi lorsqu'elle était parue dans l'encablure de la grande porte de la salle de bal, Marty s'était énormément réjoui. Il aurait tant voulu lui dire que malgré tout elle était ce qu'elle voulait être et qu'il avait très bien compris son refus. Mais de là à penser qu'elle était un désagrément supplémentaire... Ca le dépassait. Le Duc jeta un regard à la Dame de Gondole. Et c'est finalement Gandrelina qui put prendre la parole.

Vos, oun désagrément souplémentairre ? Qué né faut il pas entendré ? La marraine dou douc ets toujours la bienvenoue Oun chambré vos attend toutés les deux, lé douc mé les avait faite préparées dans l'attente dé votré vénoue pardi ! jé souis si urousa dé vous vouer dame Bettym et ... Dame Beths, jé présoume, escousez moué, jé né mé souis pas présentée, Gandrelina, jé souis la douna del castel dé cet triste sire

Elle avait pu exprimer tout ce dont Marty voulait dire. Oui des chambres étaient prêtes. Le Duc avait espéré leur présence... Mais le "triste sire" !!! Je t'en ficherai du triste sire moi ! Grrrrrrr !!

Gandrelina ! Un peu de tenue tout de même.

Regard noir dans les pupilles de lac de sa gouvernante, qui rougissait doucement finalement car elle venait de comprendre ce qu'elle venait de dire. Mais pour sûr qu'elle le pensait quand même ! Pfff.

Marraine.. je.. sourire... Je suis content de te voir.

Il ne put aligner plus de syllabes...

Bonsoir Gandrelina. Je m'excuse de vous donner tant de travail, je vous présente Dame Beths de Gondole en effet.

Elle commençait à s'éloigner et même à murmurer des choses, sûrement pas très aristotéliciennes, à l'intendante du domaine. Un clin d'oeil pour ponctuer son chuchotis, c'est sûr y avait baleine sous gravillon entre elles deux. C'était bien louche ! Que préparaient-elles ces deux là ??


Alors Gandrelina, racontez-moi tout ! Quels sont les potins de Billy ? Le travail n'est pas trop dur....

Et déjà Bettym fit quelques pas en compagnie de Gandrelina, laissant Beths aux prises du Duc. Bon.. engager la conversation là...

Bonsoir Beths. M..Merci d'être venue. Tu m'offres le plus beau des cadeaux en ayant amené Bettym. Sourire. Tu.. heu.. tu veux boire quelque chose ?

Voilà qu'il bégayait ! Rhoo ! Mais il se passait quoi là... Il venait de lui proposer à boire. Fallait bientôt qu'il se bouche les oreilles ptet bien. Bon ba.. on y retourne...

Sinon, y a de quoi manger si tu préfères.

Aïe ! Elle va penser à la soupe d'orties là...Mauvaise idée ça...

La cuisinière a préparé des tartes au citron. Je.. heu.. tu... 'Fin si t'en veux, ça va bientôt arriver.

Que faisait donc Barbelivien avec les tartes ??!! C'était bien le moment d'arriver là ! Ou quelqu'un.. Faites quelque chose !! Ahhhhhh !! Regard vers Naluria, toute déçue de n'avoir pu danser. Bon elle avait eu sa bise, c'était au moins ça. Pour la danse, on verra tout à l'heure... C'était reculer pour mieux sauter.

Il vit arriver Sonia aussi. Il n'osa aller à sa rencontre. Elle venait de perdre son époux d'après ce qu'affirmait les rumeurs de couloirs du château.

Puis il se tourna vers Beths qui avait doucement rougi...

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