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[RP] Festivités à Billy - Le Bal

Soraya.
La soirée allait bon train et une fois que la musique fut terminée, Soraya s'inclina devant le Duc, le remerciant sincèrement pour cette danse.

Quel plaisir d'ouvrir ce bal à votre bras. Votre épouse a trouvé une perle rare. Je vais laisser ma place à une autre Dame, je ne voudrais pas faire de jalouse en vous accaparant pour la soirée quoi que l'envie n'y manque pas...

Sourire poli, révérence puis la jeune baronne se détourna de son invité, ne laissant qu'un doux parfum de jasmin...

Son épouse, elle ne savait même pas si le Duc en avait une mais dans le doute, un homme aussi bien élevé et si bon danseur...

Soraya vit une troupe autour du Duc de Billy et sourit. Elle connaissait ce genre d'attroupement, elle l'avait vu autour de sa mère. Un valet vint lui tendre un verre de clairet et la baronne accepta avec joie. Après sa prouesse artistique, un rafraichissement était bienvenu.

En scrutant la salle des yeux, à la recherche d'un potentiel cavalier dans les gens présent, Soraya eut une pensée nostalgique envers Coram... Elle n'avait pas encore digéré son départ, sans une lettre, sans un mot. Ce premier amour qui s'était évaporé dans la nature, laissant une jeune femme transit d'amour... Ciel qu'elle le détestait mais son absence lui était insupportable... Elle avait pensé noyer son absence dans un travail acharné mais son ombre la rattrapait toujours...

Quant à ce mariage, So ne se faisait pas d'illusion... ou du moins le comportement du Duc avait de quoi être clair. Elle reposa son verre vide et regretta simplement qu'il n'ait pas prit le temps de la connaitre... C'était donc ainsi. Elle serait jugé sur ses titres, sur son potentiel d'épouse... En acceptant le choix de sa mère, elle acceptait le fait de ne devenir plus qu'un titre à marier...

Voyant les couples batifoler, So sourit et hésita entre s'évaporer quelques temps dans les jardins ou d'attendre par politesse que son hôte vienne lui parler...

Choisissant la deuxième solution, elle reprit une coupe de clairet...

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Espran_za
Des jours de voyage le rendirent fatigant, Espranza ne se rappelait plus par quel chemin elle a pu arriver dans ce comté qu'elle a quitté depuis un moment déjà, elle y revient pour suivre son époux dans un but non atteint. Sachant qu'elle était invité avec son époux à assister à un bal elle se dépêcha de prendre une chambre dans un hôtel pour reprendre son souffle et se rendre présentable, une fois arrivé elle défait sa mallette pour se mettre une robe et sa coiffure après un très long temps passé au devant ses glaces elle demanda une charrette pour l'amener au lieu ou se déroule l'événement,

Arrivée, Espranza descendit de sa charrette et pénétra d'un pas lent la salle, balayant les visages dont elle reconnaissait quelques un à qui elle adressa un salut de la tête, elle avança cherchant son mari, sachant qu'il sera surement prés des boissons ou dans un lieu dégagé ou il arrivera à bien surveillé les invités

Au passage elle aperçoit Marty le salut, pas loin elle remarqua Valezy boisson en main à surveiller comme à son habitude les invités, elle sourit, puis se dirige vers lui.
Bettym
[Quelque part dans la partie privée du château...]

Accompagnée de Gandrelina, Bettym s'interrogea sur le changement d'humeur de la gouvernante de Billy. Elle n'osa lui poser de questions trop personnelles et ne voulait surtout pas la mettre dans l'embarras. Cette femme si douce et si avenante cachait quelque chose, ça, Bettym en était sûre mais quoi ? Là était tout le mystère.

Arrivée devant la chambre préparée pour l'occasion, la Moulinoise tomba sous le charme de la décoration. Un grand lit à baldaquin orné de tenture rouge et or de chaque côté, un tapis persan d'apparence moelleuse. Un instant, elle eut envie de s'y allonger dessus et d'admirer les flammes qui lèchaient le fond de l'âtre de la pièce. Les draps et édredons étaient dans les mêmes tons que les tentures.

Au fond de la pièce, l'on pouvait voir un baquet. Un sourire aux lèvres, elle se tourna vers la gouvernante.


Gandrelina, vous croyez que ce serait abusé que de demander de l'eau chaude pour un bain ? fit-elle d'une petite voix.

La musique montait jusqu'aux appartements. Bettym resta un peu rêveuse alors que des servantes amenaient plusieurs cruches d'eau chaude. La jeune étrangère, quant à elle, vérifiait les moindres faits et gestes du personnel. Une fois tout ce petit monde parti, Bettym attrapa le bras de Gandrelina...


Vous allez me trouver agaçante mais pensez-vous que dans les vieux stocks de Marty, vous trouverez une robe pour le bal. Je pense que je vais aller les rejoindre une fois décrassée de ma promenade.

Les notes qui lui parvenaient aux oreilles lui firent oublier tous ces mauvais moments. Elle devait faire honneur à son filleul...
Modsognir
Modsognir regarda Nalu se faire enlever par Marty pour une danse. Marty était toujours des plus courtois surtout quand il recevait chez lui. Il le salua, le félicitant pour sa réception qui se passait à merveille. Ils partirent sur le milieu de la piste....danser qu'il parait.

Il se tourna vers Faustine, le sourire heureux.


C'est vrai que tu es une belle partenaire. Me ferais tu honneur d'une danse?

Il lui sourit espérant qu'elle dise un "oui". Un regard vers la salle et vit Sonia faire son apparition. Elle s'était dirigée directement vers Althiof. Une gêne monta en lui comme un frisson. Il ne savait pas s'il devait aller la rejoindre ou non. Il aimerait bien faire une danse avec elle. Il se retourna vers Faustine tendant son bras. Il verra après s'il pourra la voir ou non
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Gandrel
Vous allez me trouver agaçante mais pensez-vous que dans les vieux stocks de Marty, vous trouverez une robe pour le bal. Je pense que je vais aller les rejoindre une fois décrassée de ma promenade.

L'humeur joyeuse de dame Bettym accrocha quelques rires dans les cheveux d'or de Gandrélina et les yeux de la jeune femme furent à nouveau habités par cette étrange flamme qui rendait son charme si magnétique, à moins que cela ne soit lié à son accent pour le moins rocailleux ...

Céla doit pouvoir sé trouver ..., vos croyez qué vos faites la même taille qué feu Mativa ? Elle avait plein dé belle tenoue, jé l'ai ai vou dans ounn malle ma jé né pas oser les sortir dé peurr de ... enfin vos comprenez ... ma maintéannt qu'il a oun novela amourose... vénez nous allons vouer ensemblé, j'ai fait la fée et vos êtes Cendrilonne

Gandrelina rit puis entraine Bettym en dehors de la chaleur confortable de la chambre, à travers la froideur des couloirs de pierre, tousr et détours dans cet immense labyrinthe où la gouvernante avançe d'un pas sur. La plantureuse blonde saisi une des torche du couloir, pousse une porte et entre dans une salle rempli de coffre, de malle et de divers objets entassés.

Bienvénou dans la caverné de Marty Baba chère Bettym, ouvrez donc ce coffre aux milles merveilles mais attentionne né touchez à rien d'autre, on né sait jamais ...

Sourire facétieux
Regard circulaire

Un miroir au cadre en argent finement ciselé et orné de motif est posé contre un mur. Le coffre que Gandrelina a indiqué à Bettym renferme des robes somptueuses. Bettym ou re des yeux rond en découvrant une robe que Gandrelina nomme "Clair de lune". La robe est d'un bleu velours aussi profond que chatoyant et possède une échancrure ornée de perle, les manches finissent sur un liserer brodé avec délicatesse. L'ensemble évoque pour elle une nuit étoilée ou brillerait une lune dessinée par el visage de celel qui porte la dite robe. Les yeux de Bettym iont eu pein e à se déatcher de ce miracle de tissus et pourtant, dans la coffre, une robe brille jusqu'à éblouir la marraine du duc. Sa main se tendet la voilà qui sort de cet énorme coffre en bois, une robe couleur de soleil. Un velours couleurs de sable tressé de fil d'or et orné de pierres précieuses forme un triangle étroit qui doit mettre en valeur la taille fine et offrir à la poitrine un fourreau somptueux, le bas s'évase au contraire comme les pétales d'une fleur qui s'épanouit. Point de manche mais une délicate mousseline dorée transparente. Bettym teint dans ses mais ces deux robes , regarde l'une puis l'autre d'un air hésitant. Gandrelina rit.


Elles sont toutés les dos magnifiques, jé comprend qué vos hésitiez ma ... il y en a d'autre ! [/i]
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49moi
Faustine observait la salle. Beths et Bettym étaient arrivées, Apolonie aussi d’ailleurs. Peut-être aurait-elle le temps de les saluer avant de quitter les lieux ? En attendant, Faustine regardaient les couples de danseurs avec envie, si seulement Modso pensait à l’inviter à danser. Absorbée par ses pensées, elle l’entendit lui dire

C'est vrai que tu es une belle partenaire. Me ferais tu honneur d'une danse?

Faustine le regarda tout sourire, son port de tête s’inclina très légèrement. Toutes les apparences allaient dans le même sens. Modso ne s’y trompa pas, il lui tendit le bras et sans hésiter Faustine plaça son bras sous le sien. Elle se laissa guider jusqu’à la piste de danse, voulant profiter pleinement de cette fête.
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--Chlodewig


Il avait pourtant été avertit… ne plus recommencer. Mais parfois la leçon est longue à rentrer, et surtout, un Chlo n’obéissais jamais c’était bien connu. Mais enfin on aurait put lui trouver tous les défauts du monde, il fallait pourtant reconnaître que pour une fois, il ne l’avait pas fait exprès, et c’était d’ailleurs bien étrange pour lui qui d’habitude ne dansait pas si mal que cela.  Il fallait croire que
l’inattention avait dépassé le stade critique dans sa vaine tentative de se distraire du si attrayant décolleté. Ah ça, on pouvait lui reprocher beaucoup de choses au Chlo, mais sûrement pas celle de ne pas aimer ce qui était beau. Et si une personne pouvait déclamer des poèmes au sujet de la poitrine de la dame d’Orval, et l’apprécier à sa juste mesure, c’était bien lui, ayant eu le temps et l’occasion, bien qu’unique, de l’admirer (ou baver c’était au choix). Il n’avait pas vraiment voulut marcher sur le délicat peton qui, placé dans la fine chaussure s’était malencontreusement fait écrasé. T malheureusement, un pied botté, en y ajoutant le poids d’un corps… ça ne devait pas faire de bien. Il était parvenu à se redresser sans trop de problème par une sorte de pas de côté qui par certains aspects et en d’autres temps ou circonstances aurait put paraître harmonieux, fier de lui pour le coup (il ne s’était pas étalé), il allait s’excuser lorsque la main orvalienne entra violemment en contact avec la délicate joue du Chlopinou, ou en d’autres termes, il récolta une baffe magistrale qui en aurait fait tomber quelques uns. Il resta là sans rien dire, portant un l’espace de quelques secondes, la main à sa joue, une lueur d’incompréhension dans les yeux. Puis croisement entre pupilles, bleu orageux contre vert cyclone en création.

Ah ça oui il était en colère, et pas qu’un peu, car il s’estimait bien sur comme agressé, comment aurait il put considérer la chose autrement ? Il venait de se prendre une claque en public ! Et bien que la présence de gens ne le dérangea nullement (il n’en avait rien à faire), ce simple geste le rendit furibond. Les deux regards se défiaient… orage sur le point d’éclater… et non, la danse reprit les pieds reprirent leurs rythme, tâchant de faire fi des regards interloqués ou amusés qui dardaient sur eux, ou du moins telle était l’impression qu’il avait. Il se concentrait comme il pouvait, tâchant malgré tout de ne pas renouveller l’erreur faites un peu plus tôt sans doutes était il trop tard pour rattraper ce genre de choses… Mais il faisait quoi ? Là, avec cette greluche avec qui il ne cessait de se disputer ? Elle l’accusait sans cesses de la maltraiter, mais il ne fallait pas non plus oublier que c’était elle qui était toujours de mauvaise humeur, que c’était elle qui n’avait cessé de le traiter de sale gosse, de nobliau de bas étage et autres surnoms sympathique. Et pourquoi fallait il que ce soit lui qui prenne ? Ah ça… oui… quand ils sortiraient… Elle voulait lui donner la punition de sa vie ? Eh bien on allait voir ça…


Tu continues comme ça et je peux te dire que ça va aller mal.

Mot hargneux glissé dans un oreille suite à ce qu’il venait d’entendre. Ah elle le prenait ainsi ? Et bien on allait voir ça. Tandis que le déhanché continuait, il tenta de capter son regard, mais le bleu orage était braqué autre part… Ses pupilles glissèrent un instant vers le décolleté… puis s’éloignèrent, s’acharnant à regarder ailleurs. Difficile à faire lorsque deux doigts vous pincent de temps à autres, histoire de vous rappeler leur présence, présence qu’il aimerait bien oublier vu la température que doit avoir sa joue. Mais on faisait comme si de rien était… sourire de façade. Jamais la fin d’une danse n’avait été si longue à venir. Et puis, il sentit venir la conclusion, les troubadours entamèrent la fin du morceau. Soudain il sentit un poids sur le pied, oh pas assez pour lui faire mal, vu q’il portait justement des bottines, mais le talon planté suffit à lui rappeler désagréablement sa présence, il lança un regard noir à l’hypocrite sourire qui le regardait. Sa main se serra sur la sienne, un peu plus fort qu’il ne l’aurait sans doutes fallut. Et lorsque enfin la danse s’arrêta, les deux cavaliers se saluèrent, légèrement tendus, il ne savait pas si Apo était si en colère que cela, mais lui en tous cas bouillait. Il lui tendit le bras, tentant vainement de faire le même sourire hypocrite… bras qui se passe, pincement au passage… Et sans même se concerter, ils se dirigèrent tous deux vers les jardins.
Sonia80200
Tu pars en voyage ? Tu sais déjà où ou tu te laisseras guider au grès du hasard ?

Oui, je pars, je sors du BA, je vais me promené, je sais ou je pars mais je le dit à personne, je voudrai vraiment m'éloigner. Juste un petit moment.

Entend Kory et se retourne,

Viens quand tu veux à Cournon... Voir Timothée, ça sera un plaisir de t'y accueillir...

Avec grand plaisir, dés que je reviens de voyage, je passe chez vous, quand je sais pas mais je viendrai.

Les laissent, prend la direction du bar, se prend un verre tous en le dégustant elle vit le regarde du duc Billy, elle lui fait signe toute géner.
Se dirige dans un coin ne voulant pas se faire remarqué, regarde autour d'elle, ses yeux se pose sur lui, il est là, elle ne savait pas, termine son verre, le pose sur la table et prend la direction de la sortie, de toute facon elle avait un voyage à préparer.
[/i]
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Beths
Leur arrivée pour le moins étrange, et pourtant silencieuse - une fois n’est pas coutume – fut tout de même remarquée.
La Moulinoise, l’esprit ralenti par un excès de boisson la veille, finit par réagir. Et Beths commença doucement à rentrer la tête dans les épaules.


Oh toi !

Pourquoi tu as fait ça Beths ? Tu savais très bien que Marty ne voulait pas que je vienne... Il faut que je m'en aille. Je ne peux rester ici.


Beths sentit la honte la gagner petit à petit, et son visage s’attrista. Mais que dire ? Elle ne comprenait pas elle-même comment elle avait pu ainsi tromper la confiance de Bettym.

Pourquoi cette idée folle de venir à la réception organisée par Marty ? Pourquoi ce brusque élan ? Parce qu’elle était curieuse, et qu’elle désirait Bettym à ses côtés ? Parce qu’elle pensait sincèrement que Bettym serait ravie d’être là ? Peut être, mais, elle n’avait pas été franche et honnête avec son amie. Elle qui se targuait de ne jamais mentir …. .


Bettym … je … si … ne m’en veux pas


Mais où était donc Beths ? La jeune thiernoise ne réussit à murmurer que ces mots. Elle avait toujours pu lever fièrement la tête sur ses actions car jamais, jamais elle n’avait eu à en rougir. Bon si, peut être que parfois, juste une fois ou deux, ou peut être trois, ou rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!! Bref, peut-être qu’il lui arrivait de s’exprimer un peu fortement et rapidement et qu’elle en rougissait, mais en dehors de cela, son honneur de maréchale faisait qu’elle était loyale.
Qu’avait-elle donc fait ? Que lui arrivait-il ? La jeune Prévost Royal sentait le doute, et la culpabilité la gagner … la peur également. La peur brusque de perdre l’amitié de Bettym. Cela, elle ne pourrait le supporter.

Remarqua-t-elle seulement que Marty et Bettym avaient marqué un temps d’arrêt se demandant qui ferait le premier pas ? Nota-t-elle que le Billy se détacha de celle qu’il poursuivait ? La jeune femme était étonnamment silencieuse, dans un état d’esprit trouble.
Elle ne perçu que le chuchotement de Bettym

Mais tu ne l'emporteras pas au paradis !

Tel un poignard froid qui se serait délecté de sa chair, les paroles logiques de Bettym l’atteignirent.
Le Duc s’était déjà approché d’elles, mais Bettym soudain s’avança vers son filleul. Deux pas, et ils se rejoignirent. Deux pas, Beths est à proximité, et l’on pourrait croire qu’elle est avec eux. Deux pas et pourtant si loin …
La jeune maréchale Beths resta en retrait, figée, léthargique, blême, silencieuse, triste. Dans sa tête se bousculait le mot « déloyale ». Il résonnait ce mot, méchamment et terriblement.

Ce n’est que lors de l’arrivée d’une Dame à l’étrange accent que Beths eut un léger sursaut, à peine perceptible. Elle reprit conscience du monde qui l’entourait au moment où elle capta un regard : celui de la jeune Dame pour le Duc de Billy : un regard émerveillé, un regard magnifique et plein de vie, un regard espiègle, malicieux, plein d’espoir. Beths en eut le souffle coupé. Doucement sa bouche s’entrouvrit pour happer l’air Pourquoi ce malaise ? Parce que … parce que Bettym lui en voulait …
Beths n’eut guère le temps de s’interroger sur son trouble que Bettym la présente à la Dame. Grandrelina apparemment si elle avait bien entendu. Par réflexe la jeune Prévost Royal, habituée à se montrer agréable, ébaucha un sourire délicat, sourire qui pourrait faire croire à une certaine douceur pour qui ne la connaitrait pas. Alors que la Moulinoise chuchotait à la Dame des mots qu’elle n’entendit pas, la jeune femme sentit le regard de Dame Grandelina sur elle.
Mais diantre que lui avait donc dit Bettym pour qu’elle l’observa ainsi ? L’avait-elle prévenue de prévoir du persil pour une certaine commodité auditive ?

La jeune femme tourna alors son regard vers Marty. Grand mal lui en prit : il l’observait. De blanchâtre ses joues devinrent … rosée. Avait-il compris lui aussi qu’elle s’était montrée déloyale ? Telle une enfant prise en faute, elle reporta de nouveau son regard vers Bettym, mais cette dernière s’éloignait déjà en compagnie de la Dame la laissant seule avec le Billy.



Bonsoir Beths. M..Merci d'être venue. Tu m'offres le plus beau des cadeaux en ayant amené Bettym. Tu.. heu.. tu veux boire quelque chose ?

Beths regarde Marty sans comprendre … cadeau ? Boire ? Parce que cela serait un cadeau de la faire boire ? Mais n’est ce pas à cause de boisson qu’elle se retrouve là où … là, enfin, ici, enfin … et aurait elle agi sans réfléchir ?

Dans le brouillard de son esprit, brouillard qui apparemment devait cuver après coup de vin de la veille (phénomène fort connu se nommant, second effet, parce que Beths, décidemment n’était pas dans son état normal), elle ne comprit pas exactement la suite des paroles de Marty. Voici ce qu’elle comprit …



Sinon, ya de quoi t’changer si tu sais faire


Beths baissa le regard sur sa tenue … de maréchale … poussiéreuse. C’est vrai que … Elle regarda la salle, ses danseurs, les beaux atours. Les magnifiques robes ensorcelantes de ces Dames Elle aperçut Naluria. Etait-elle contrariée ? Elle vit ses suzerains en pleine discussion avec Sonia. Combien, en ce moment, désirait-elle les rejoindre, les saluer, leur demander si Bettym lui en veut … Al saurait.

Pendant ce temps, Marty poursuivait sa leçon vestimentaire


La nuit si fière a préparé quatre beaux visons Je.. heu.. tu... 'Fin si t'en veux, ça va bientôt arriver

Des fourrures ? Des fourrures d’animaux de nuits ? Marty voudrait la voir habillée de fourrures ? Mais ? C’est alors que le rose devint rouge sur ses joues.
La Prévost Royal posa brusquement son regard sur lui, regard franc, direct, déboussolé, et sans même réaliser



Marty, tu crois qu’elle m’en veut ?



A peine eut-elle achevé sa phrase qu’elle en fut horrifiée. Elle venait juste de se confier, de confier son trouble, son désarroi à une personne. A un homme qui plus est.
Comment sa raison pouvait-elle lui avoir échappé à ce point ? N’avait-elle donc rien appris ?


Troublée lorsqu’elle s’en rendit compte, elle en détourna le visage pour observer la salle … et ses yeux se portèrent sur une Dame. Une Dame merveilleusement belle, dans sa robe de balle à l'image de l’automne et dont la qualité ne faisait aucun doute : tissus de brocard, de soie et de velours …sans trop savoir pourquoi, elle en aurait pleuré.
Mais Beths était Beths. Elle transforma cette mélancolie en un grand sourire. Tout allait de travers ce début de soirée : d’abord Bettym, puis Marty. Elle ne comprenait même pas ses propres réactions. Quelles étaient les paroles de sa mère au fait ? Oui … quand tout va mal, fais-toi plaisir. Et c’est ce que Beths allait faire. Sa bouche se resserra jusqu’à former un grand U. Elle tourna la tête vers le duc de Billy en poussant un


Ouuuuuuuh…. Joli robe !

Tout en pointant la gente dame du doigt, et d’un pas désormais plus sur, elle s’avança vers la princesse – car ce ne pouvait être qu’une princesse – pour pouvoir admirer de plus près cette merveille.
Et comme une chose étrange allait avec une seconde, en chemin, elle tomba nez à nez … avec son suzerain, ce dernier en pleine discussion avec sa tendre épouse radieuse.
Commençant à lui tirer la manche de son habit


Aaaaaaaaaaaaaal, regaaaaaaaaaaaaarde Et hop la Dame en question fut re-pointée du doigt Tu vois ce que tu devrais acheter a Kory !... Enfin non, vu tes gouts, il ne vaut mieux pas que tu choisisses en fait … mais bref … c’est une belle robe non ?


Marty l’aurait-il suivi ? Serait-ce une nouvelle danse que de se suivre l’un l’autre ? Et si d’autres convives se mettaient à faire de même ? Est-ce donc ainsi que fut inventée la fameuse queue leu leu ?
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Apolonie
[Sur la piste... ça pince.]

La danse n'en finit pas. La maltraitance à outrance. Sourire qui a à peine le temps de s'esquisser quand elle aperçoit la femme de Valezy qui le rejoint, il faudra vraiment aller les saluer. Marty en course continuelle entre les invités. Betty... Bettym ? Qui se fait accompagner par Gandrelina, à qui elle devra aussi aller dire bonjour. Kory qui semble s'ennuyer profondément, une ribambelle d'invités qui se déplacent, dansent, discutent. Une demoiselle fort bien habillée qui baille aux corneilles un verre de vin à la main. C'est qu'elle n'a pas l'air très vive non plus...

Et pendant que l'azur est occupé ailleurs, le regard de Chlo lui ne se perd pas... Toujours attiré par sa gorge. Bordel, il est infernal ce môme ! Et de se demander un instant si elle avait eu raison de se bander la poitrine pendant les combats, si tous les soldats avaient été ne serait-ce que le quart aussi obsédés que le Von Frayner, elle n'aurait jamais été blessée! Retour de l'orage en captation des émeraudes agacées... agacées ? Non, mais on croit rêver! Vexé par la baffe le nobliau ? Ah bah oui...


Tu continues comme ça et je peux te dire que ça va aller mal.

Elle se mord la lèvre, s'étant suffisamment faite remarquer pour ne pas en rajouter par un fou rire inconvenant. Mais il croyait quoi ? Qu'elle pouvait une seconde avoir peur du blondinet ? Elle est presque aussi grande que lui, et s'il a fait la guerre, elle aussi, et de façon bien moins académique. Au corps à corps, elle le massacre, elle en est presque sûre. Surprise... Le salut protocolaire à la fin de la danse, déférence hypocrite entre les deux cavaliers. Le bras offert, pincé, échappée vers les Jardins, le regard en fuite régulière, croisement du vert et bleu occasionnel, étrange lueur qui s'y propage.

[Dans les jardins... ça va remuer !]


La porte est vite franchie, et l'air frais saisit sur la peau à peine dévoilée de la brunette les quelques gouttes de sueur nichées à la naissance de sa gorge et à la base de sa nuque par l'échauffement de la danse et l'énervement du comportement déplacé de son cavalier. Un frisson qui court le long de l'échine, pourvu qu'il ne pense pas à un quelconque trouble autre que celui provoqué par la brise automnale qui se faufile sous le velours, rafraichissant la belle, jouant de quelques mèches dans son dos.

Leurs pas les éloignent toujours plus de la salle de bal. A croire qu'ils jouent au "Je n'm'arrêterai pas le premier" Aussi gamins l'un que l'autre, c'est à se pendre. Marty a vraiment bien fait les choses, des candélabres et torches parsemant les jardins, dont les massifs ont été travaillés, offrant un labyrinthe de chemins caressés par une Lune haute. Lasse de leur petit jeu, et avant d'arriver à l'autre bout du royaume à force de marcher, elle se retourne, en volte-face prompt et manque faire sursauter Chlo. Azur en tempérance qui s'plante dans le regard entre colère et ahurissement du jeune homme.


Ça va aller mal ? Et pour qui à ton avis ?
Tu as d'la chance que j'adore Ma Grace... Et qu'j'veuille pas faire un esclandre pendant sa crémaillère. Sinon t'aurais déjà perdu toute chance d'engendrer un héritier à l'heure qu'il est ! Reluquer c'est déjà total'ment inconv'nant, mais alors m'marcher d'ssus ? Deux fois d'suite ? Purée mais j't'ai torturé dans une vie antérieure ou quoi ? J'fais des efforts pour pas t'faire honte et c'comme ça qu'tu m'remercies ? Rappelle moi d'plus jamais accepter une invitation d'ta part.


Enervée la donzelle ? A peine... La mâchoire est crispée, l'œil empli d'éclairs, mais l'étincelle qui tremble au fond d'la prunelle bleue marque plutôt la déception au final. Parce que même s'ils ne l'avoueront jamais ils s'apprécient. Parce que c'gamin gâté pourri, elle adore l'embêter. Mais qu'là ça dépassait l'simple agac'ment d'mioches, mais ça frisait le manque de respect... Elle secoue la tête, laissant un peu de brun venir chatouiller la pointe de son nez, avant de relever vers Chlo un regard étrangement inexpressif.
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Co-fondatrice avec Amberle du fan club de Constant Corteis.
Lady.blueeyes
Elle était toujours dans les jardins fixant la fontaine au milieu de l'étang perdu dans ses quelques souvenirs...des rires provenant des différentes activités se répercutaient jusqu'à elle. Parfois elle tournait le regard pour voir ce qui avait causé ces éclats de voix. Un léger sourire lui fût arraché lorsqu'elle vit la réaction d'une des invités au lancer du chamboule, elle avait réussit à égalir la marque d'un ami. Tout à l'heure....peut-être. Quoiqu'elle n'avait jamais été très bonne au lancer de boule. La docteresse excellait au tir à l'arc. Voyant le lancer de nains, elle se demandait si elle oserait?

Son regard revint à nouveau se poser sur la fontaine, une douce odeur de rose vint châtouiller ses narines. Elle se leva et vint hûmer leur doux parfum. Elle se pencha pour en cueuillir une, elle prit garde aux épines. En cassant la branche...


AIEeeeeeeeeeeeeee

Une goûtte de sang perla...elle porta son index à sa bouche.

Saleté...grrrr

Elle imagina Connor qui se moquait d'elle...lui qui lui disait toujours de prendre une petite cisaille pour couper une rose. Elle pesta...et vint se rasseoir sa rose blanche à la main. Yeux posés sur elle.

Sous tes allures raffinés et délicats...tu piques quand tu te sens agressée. Ça me ressemble finalement sauf que moi je sens la lavande.

Léger rire....

La journée avançait, le soleil commençait à décliner vers l'ouest. Elle ne savait depuis combien de temps elle était assise là. Elle se leva et se dirigea vers le lancer de nains regardant un peu les autres faire.

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Clothilde

Tandis que Clothilde reprenait ses esprits, après une douleur qui ressemblait fort à une contraction... le Duc de Billy s'approcha de son amie.

Merci d'être venue ma chère Porte Parole ! Tu dois être complètement fatiguée par le voyage. J'espère que tu vas tenir au moins pour les tartes aux citrons. Ca te rappellera des souvenirs du Conseil.

Sourire en coin et souvenirs partagés.
Clothilde lui répondit :

Merci à toi de m'avoir invitée mon cher Duc ! Pardonne-moi si je ne t'offre pas ce soir de révérence d'usage, mais je préfère ne pas courir le risque d'accoucher durant ta soirée ! et j'ai bien envie de tenir jusqu'aux tartes en effet.

Petit rire.

Je t'inviterai bien à danser, mais je ne sais pas si ce serait recommandé dans ton état.


Mouvement de tête accompagné d'un profond soupir...

En effet, Marty, je crois que pour ce soir, c'est un peu raté. Mais ce n'est certainement que partie remise, car ce serait pour moi un honneur et un plaisir que d'accepter une invitation à danser venant de ta part.


Avant de gagner la piste de danse, le Duc reprit dans un aimable sourire :

Je t'ai fait préparer une chambre, tu es mon invitée Clothilde. Je serai ravi que tu restes quelques jours mais je comprendrais que tu repartes également.

La jeune femme lui répondit :

Oh quelle délicate attention Marty ! je t'en remercie, et je pense que je vais l'accepter effectivement. Peut-être pas pour quelques jours, mais pour cette nuit certainement oui.
Ce sera plus prudent que de reprendre la route ce soir.
Je pense qu'ensuite, je demanderai à mon cocher de me conduire directement à Laveissière. J'aimerais que mon nouvel héritier voie le jour au Domaine.
Mais je ne veux pas te retenir plus longtemps, va mon ami, tes invités t'attendent !

Doux sourire.

Les couples évoluaient sur la piste, les conversations allaient bon train.

La soirée était réussie, et Clothilde en était heureuse pour Marty.

Toujours assise dans son coin, la jeune femme se faisait discrète...
Son regard balayait distraitement la salle, lorsqu'elle aperçut Sonia, qui se frayait un chemin vers la sortie.

Clothilde se leva doucement, alla à son amie et la bisouilla avant de lui dire :

Coucou Sonia ! tu t'éclipses déjà ? il est vrai que tu as ton voyage à préparer...
Mais n'oublie pas qu'avant cela tu dois passer à Laveissière, n'est-ce pas ma belle ?
D'ailleurs...


Clothilde ouvrit son escarcelle, et en sortit un petit parchemin plié en quatre, qu'elle déplia sous le regard curieux de son amie, avant de le lui donner.

Tiens, c'est pour toi Sonia ! dans l'espoir de te voir ce soir, j'avais pris avec moi ce plan indiquant l'emplacement de Laveissière. C'est tout simple : en sortant de Murat, tu prends le chemin menant à Aurillac. Deux lieues après, tu apercevras le Domaine. Je compte sur ta visite, n'est-ce pas ?

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jtm
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Martymcfly
D’un oeil, il observe ses invités. La jolie femme de Valezy avait finalement rejoins son époux. Sonia s’était discrètement éclipsée. Dommage il lui aurait bien dit un mot.

De l’autre oeil, il fait attention à ce qu’elle lui dit, la Gondole.

A la base, ca devait juste être une invitation à boire une coupette de son alcool fétiche. Elle en avait elle-même fait les frais lors de son passage à la Prévôté. Forcément, Marty avait caché quelques bouteilles de châtaigne dans le bureau du Prévôt, et quelques mois plus tard, Beths les aura trouvées… et sûrement vidées, depuis le temps… Peut-être partageait-il cette même passion pour la châtaigne. C’était du moins ce qu’il espérait. Au moins un point en commun. Une passion pour la boisson… C’était forcément pas très réjouissant…

D’ailleurs, Beths paraissait troublée. Ses joues rosées devinrent un peu plus rouge lorsque le Duc s’adressa à elle. Que pouvait-elle bien imaginer ? Elle ne faisait que se reluquer. Ses vêtements de maréchale devaient la gêner. Elle regardait autour d’elle… Forcément, toutes ces dames avaient fait un effort d’effets. La Prévôt Royale s’était contenté du minimum syndical. Mais elle était quand même venue à Billy et Marty ne pouvait que sourire de sa présence. Surtout qu’elle avait réussi, sans doute par un subtil et habile stratagème, à faire venir sa marraine. Rien que ça c’était énorme. Et rien que pour ça, il lui aurait bien demandé sa main. A cette pensée, il rougit subitement, mais discrètement. Avec tout cet alcool justement qui montait à la tête, c’était une bonne excuse fallait dire.

Mais déjà la jeune maréchale dévisageait le Duc en face d’elle. Un regard encore jamais perçue par lui. Elle paraissait déboussolée, sans savoir ce qu’elle faisait là, comme peut-être sortie tout droit d’un rêve. Elle ouvrit la bouche. Ca y est… Elle allait crier ! Marty commençait à préparer ses mains pour les porter à ses oreilles quand justement la Gondole s’en rapprocha… Oualala ! Elle veut me rendre sourd ? L’ai-je mérité ?? Le Duc ferme alors les yeux, s’imaginant déjà le tympan perforé (et ça fait mal, j’vous jure !)…


Marty, tu crois qu’elle m’en veut ?

Ouverture des yeux… La Dame en face ne le regarde déjà plus. Le ton de la confidence était bien celui auquel il s’attendait le moins. Invraisemblable. Et comme un niais, Marty ne trouva réponse à lui donner. S’il s’attendait à ça… Il en restait littéralement bouche bée. La Gondole ne le regardait plus donc et n’avait d’yeux que pour toutes les ravissantes Dames qui peuplaient lors la salle de bal. C’est vrai qu’il y avait de quoi faire. Elle paraissait bien attirée par la beauté des habits de la Baronne de Ciel. Tellement que…

Son regard, complètement perdu, peut-être hébété même, se retourna vers Marty pour lancer un…


Ouuuuuuuh…. Joli robe !

Et elle fit quelques pas vers la direction de Soraya… Forcément, un bras ami, celui de son suzerain pour mieux entonner de sa mélodieuse, et pour une fois pas trop criarde, voix…

Aaaaaaaaaaaaaal, regaaaaaaaaaaaaarde. Tu vois ce que tu devrais acheter a Kory !... Enfin non, vu tes gouts, il ne vaut mieux pas que tu choisisses en fait … mais bref … c’est une belle robe non ?

Marty était un peu gêné de la situation. Soraya aussi visiblement puisque sous son fard blanc pointait quelques rougeurs. Elle était admirée, et il y avait de quoi aussi.

Le Duc avalait sa salive pour essayer de trouver quelque chose à dire. Et arrivant par derrière… d’un pas assuré lui aussi. Une inspiration jusqu’à trouver le cou de la Gondole, puis l’oreille.


Beths… j’aimerai que tu passes une robe. Pas de mouvement brusque de la part de Beths ? Marraine doit en faire de même je suppose. Je voudrais… hésitation… je voudrais que tu m’accordes une danse.

Souffle… Ca c’est fait.

Et sans attendre de réponse, elle devait être médusée par cette proposition là, Marty fit un détour pour rejoindre son invitée de Bourgogne. Un sourire en cadeau.

J’espère que vous passez une délicieuse soirée. Je vous ai vu au bras du Pair Tixlu. Je suis heureux que vous ayez pu danser. Moment délicat… Comment lui dire… Il préfère la prendre par le bras, avec délicatesse tout de même, pour lui dire deux mots, à part. Pardonnez-moi demoiselle de Hennefield, mais je ne saurais vous mentir. Je ne puis consentir aux attentes de votre mère à mon égard. Je sais qu’elle fonde de grands espoirs en nos épousailles mais comprenez que mariage de raison ne serait que mésalliance pour ma part. Inclinaison de tête. J’espère ne point trop vous attrister ni ne précipiter votre départ. Votre compagnie est agréable c’est indéniable, mais… On se fixe Marty... Mais mon coeur est déjà pris par une autre, j’en ai peur.

Instant intense de solitude. Moment qui dure et qui dure. Que ne venait-il pas de dire là ? Lui ! Le veuf célibataire… Le plus beau parti du Bourbonnais-Auvergne selon les journaux locaux qui ne tarissaient plus d’éloges sur sa personne. Aurait-il trouvé chaussure à son pied ? Couvercle à son pot ?
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Tixlu
Le plaisir fut partagé. Et je dois dire qu'à vos côté, la danse s'est avérée plus agréable que je ne l'aurais imaginé.

Et c'était vrai, le Duc avait pris bien plus de plaisir à danser qu'il ne l'aurait cru possible. Pour autant, il ne deviendrait pas amateur de danse, mais au moins s'y risquerait-il désormais avec moins d'appréhension, gardant toujours cette pavane en souvenir.

Il ne releva pas la remarque sur l'épouse. Il n'en était point encore question, même si de récentes découvertes avaient levé pour lui un certain verrou sur son coeur, l'avaient libéré de la force incontrolable qui le poussait à ne vivre amourettes que si elles n'ont aucun risque d'aboutir à ce qui ressemblerait à une famille. Depuis, sa relation avec l'octogénère Marguerite s'était espacée, au point qu'ils ne se voyaient plus désormais.

Il s'inclina avec un sourire chaleureux.


Au plaisir de vous revoir bientôt, séjour en nos terres ou de passage en Bourgogne.

Puis, après qu'elle s'est éloignée dans des effluves orientales qu'il ne savait identifier, mais qui laissaient une impression de douce plénitude, il partit à la recherche des tartes au citron avec lesquelles on l'avait apaté, tartes qu'il ferait bien passer avec de la liqueur de chataîgne.
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Sonia80200
Au moment ou elle quittait la salle, elle fut interpellé par son amie, toute contente de la voir, elle fit demi tour et alla lui faire une grosse bise

Coucou Sonia ! tu t'éclipses déjà ? il est vrai que tu as ton voyage à préparer...
Mais n'oublie pas qu'avant cela tu dois passer à Laveissière, n'est-ce pas ma belle ?
D'ailleurs...


Oui oui, je te l'ai promis, et pour rien au monde je raterrai se merveilleux événement.

Elle la regarde faire, elle sort un parchemin et lui tant, le prend dans ses mains, le déroule et regarde.

Tiens, c'est pour toi Sonia ! dans l'espoir de te voir ce soir, j'avais pris avec moi ce plan indiquant l'emplacement de Laveissière. C'est tout simple : en sortant de Murat, tu prends le chemin menant à Aurillac. Deux lieues après, tu apercevras le Domaine. Je compte sur ta visite, n'est-ce pas ?

Sourit et ne peux s'empécher de lui faire une bise

Merci beaucoup, j'en prend note. Si tu veux je reste un peu avec toi, histoire de te tenir compagnie mais pas longtemp. J'ai un millier de chose à faire et comme d'habitude, j'ai encore rien fait.
Tu vois je préfére m'amuser que de préparer, je changerais jamais.

Rit.
Va lui chercher un verre non alcoolisé bien sur et un verre pour elle.
Lui donne.
Regarde la piste, se dit mince un peu bloqué, j'espére que...
Secoue la tête, pour que cette pensée sans aille, se sentiment, non elle a pas le droit, ils en ont deja parler, je ne suis que son amie.
Tourne la tête et regarde son amie tout sourire.

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