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[RP] Festivités à Billy - Le Bal

Bettym
[Dans la partie privée du château de Billy...]

Alors qu'elle était embarassée à chacune de ses demandes, le rire de Gandrelina eut le don d'appaiser ses craintes et même de la mettre aussi à l'aise que lorsqu'elle était à Moulins entourée de ses amis.

- Céla doit pouvoir sé trouver ..., vos croyez qué vos faites la même taille qué feu Mativa ? Elle avait plein dé belle tenoue, jé l'ai ai vou dans ounn malle ma jé né pas oser les sortir dé peurr de ... enfin vos comprenez ... ma maintéannt qu'il a oun novela amourose... vénez nous allons vouer ensemblé, j'ai fait la fée et vos êtes Cendrilonne
- Disons que si nous trouvons une robe alors qu'elle était enceinte à ses débuts, je crois que nous aurons une chance de trouver tout ce qu'il faut. fit-elle, dans un petit sourire montrant les courbes plus que généreuses qui sculptaient son corps depuis la naissance de Loreleï. Non qu'elle était devenue une mama mais il fallait quand même avoué qu'elle avait un peu plus de hanches qu'avant et une poitrine légèrement plus avantageuse. Oh Grandelina ! Marty a vraiment trouvé une perle en vous.

Etait-ce l'effervescence de voir les belles robes de sa défunte filleule ou le fait de jouer aux princesses comme lorsqu'elle était enfant avec les autres gamins de l'orphelinat du couvent, toujours est-il qu'elle se laissa gagner par la joie de Gandrelina et suivit la jeune femme à travers les différents couloirs pour arriver dans une salle remplie de coffres tous plus remplis les uns des autres.

Bienvénou dans la caverné de Marty Baba chère Bettym, ouvrez donc ce coffre aux milles merveilles mais attentionne né touchez à rien d'autre, on né sait jamais ...

Elle regardait avec admiration les différentes robes que la Dame de compagnie lui présentait. Deux robes firent un effet boeuf sur l'ancienne maréchale mais ce fut celle aux couleurs chaudes qui gagna le coeur de Bettym. Trop heureuse, elle sauta au cou de la camérière.

Merci Gandrelina ! Que n'aurai-je pu devenir sans votre aide ? Vous êtes ma fée, il n'y a pas d'autres mots.

Elle lui offrit son plus beau sourire et ce fut comme deux collégiennes qu'elles retournèrent jusqu'à la chambre qui lui était destinée le temps des fêtes.

Elle se prépara avec l'aide de Gandrelina et quand vint le moment de sortir pour rejoindre les autres invités, son coeur se mit à battre la chamade. Elle ne se rappelait plus quand elle avait été à un bal avec autant de nobles même si les gueux étaient invités. D'ailleurs à son souvenir, cela devait remonter à la venue de la Princesse Armoria où elle était partie en catastrophe en apprenant la mort de son amie Ettan. Elle venait d'être veuve et n'avait guère envie, à l'époque, de compter fleurette ou tout autre chose. Elle se tourna vers la jeune femme toujours présente à ses côtés comme pour prendre un peu de courage.


Merci encore Gandrelina pour tout ce que vous faites... fit-elle d'un regard reconnaissant, la main sur la poignée de la porte, prête à sortir.

[Aux portes de la salle de bal]

Elle était descendue sans se presser, d'une part pour ne pas abîmer la robe prêtée involontairement par son filleul et choisie avec beaucoup d'hésitation et d'autre part pour essayer de se donner l'allure d'une dame alors qu'elle était simple gueuse et que bien des personnes importantes se trouvaient dans la salle. Certes, elle n'aimait pas trop la noblesse mais là, il n'était pas question d'amour de l'aristocratie mais surtout de faire honneur à son filleul qu'elle aimait plus que tout, enfin presque tout...

La robe qu'elle avait choisi, la cintrait divinement. Les fils d'or et les pierres précieuses faisaient scintiller Bettym de mille feux. Un dernier regard à l'attention de la gouvernante qui la rassura et elle entra dans la salle, port de princesse, en arborant un sourire des plus charmants voire charmeur.

Elle chercha du regard son amie Beths et lorsqu'aperçut, elle se dirigea vers elle dans un petit froufrou, jouant de temps en temps des coudes pour la rejoindre. C'est là qu'elle vit les Barons de Cournon. Elle fut soulagée de rencontrer des têtes connues et non moins amicales.


Bonsoir Kory et Al, je suis ravie de vous voir ici au moins on se sent moins seules ! puis se penchant vers Beths... Si tu vas voir Gandrelina, tu pourras devenir la plus belle de toutes les femmes ici présente. Pour preuve, elle fit quelques pas de recul, regarde ce que je suis devenue en quelques temps. Par contre, je ne sais pas encore à quelle heure je vais devenir citrouille, sourit-elle en coin.
Sarez
Un grand hongre à la demarche élégante marchait sur un chemin de Moulin.C'etait un cheval totalement noir hormis une seule et unique tache blanche sur son oeil droit qui venait briser cette unité sombre. Son cavalier, un jeune garcon d'une vingtaines d'années aux cheveux noir et bouclés, etait un cavalier émérite.


Du calme Koran, nous sommes arrivés.

Le jeune homme essaya de calmer sa monture, effrayée par le bruit d'un vol d'oiseaux . Apres s'être calmé, ils reprirent la route vers le lieu où se deroulait les festivitées. Une poignée de minutes plus tard, le jeune homme vit les lumière du domaine. Il eperonna sa monture et galopa dans cette direction.


Arrivé devant le domaine, il descendit a terre, attachant sa monture en dehors de la propriété. Il reajusta chapeau puis pris la direction de l'entrée. Il entra dans un long couloir, posa son chapeau et sa cape et se dirigea vers la salle de bal. Il resta accoudé a un mur, en retraite des autres, saluant néammoins les demoiselles et les sieurs en inclinant la tête. Un sourire en coin sur les lèvres, il regarda les couples, les jeunes femmes discutant de tout et de rien. Il remarqua qu'il etait le seul a être vêtu si simplement. Les homme portaient des ensembles magnifiques, les femmes des robes splendides, direvoltants sous leurs pas.
Il resta un moment ainsi, hésitant a s'approcher de la foule.
--Chlodwig


La porte commençait timidement à s’éloigner tandis que le couple marchait à grands pas, les têtes s’acharnant à regarder droit devant eux. Parfois, les iris se croisaient, muet affrontement faisant pressentir une rencontre électrique. Aucun ne voulait s’arrêter, céder, ou montrer le moindre signe de faiblesse, pire, aucun ne voulait laisser à l’autre la moindre chance de l’emporter, car ils le savaient, les rares fois où ils avaient été confrontés l’un à l’autre, les choses avaient failli mal tourner, chacun s’engouffrer dans les failles qu’il avait réussi à trouver. Et les pas continuaient… et rien en se passait. Enfin, ils pouvaient continuer ainsi pendant longtemps, lui il avait une cape, il ne risquait pas de prendre froid, et il avait des bottes donc de ce côté-là… par contre, elle, avec sa robe et ses petites, mais élégantes chaussures, pas sur que se fut bien adapté pour une fraîche voir froide, soirée d’hiver. Il était évident qu’un homme galant et bien élevé aurait proposé sa cape à la jeune femme pour se réchauffer, mais un homme galant et bien élevé n’aurait surement pas fait tout ce qu’il venait de faire. Connaissant Chlo, il aurait plutôt été du genre à lui proposer de la réchauffer lui-même, bien qu’en ce moment, l’idée fut très loin de son esprit. La greluche allait le payer. Et soudain, forme qui surgit et se plante devant lui.. Le Chlo s’arrêta net, la regardant dans un mélange d’incompréhension et de colère. Avant de se ressaisir au fur et à mesure qu’elle lui déclamait sa tirade. Lorsqu’elle eu finit, les émeraudes lançaient des éclairs. Pouvant parfois rester flegmatique jusqu’à l’extrême, cette fois, il ne pouvait point ne rien dire, elle l’avait humilié en plein bal (même si personne ne semblait avoir remarqué.. Tant mieux en même temps).

Scheiss ! Mais tu crois quoi ? Que j’avais envie de te marcher sur les pied ? Bon d’accord, la première fois c’était pour te taquiner, mais la deuxième j’ai glissé ! Ça t’arrive jamais les accidents, la fille parfaite ? Et puis parlons en de reluquer ! Tu t’attendais à quoi en mettant cette robe et en allant à un bal ? A te faire offrir des fleurs par tous les gueux romantiques des alentours ? Ben tu vois les roses c’est pas mon truc ! Et chuis un sale gosse, tu le savais très bien en venant.

T’as vu la baffe que tu m’as collé ? Tout ça parce que j’avais glissé ? Tu t’es cru où ? Dans ta taverne ? Ça m’apprendra à proposer à une fille avec un sale caractère de m’accompagner au bal !


Il s’emportait le Chlo, trop… car au fond il l’appréciait l’Apo, mais borné comme il était, il ne pouvait supporter d’avoir tort et se voyait obligé de surenchérir. Sauf qu’avec elle ça ne marchait pas… Son sale caractère faisait qu’elle avait toujours une réplique bien pire à lui asséner. D’habitude cela ne le touchait que peu mais dans l’état d’énervement dans lequel ils étaient, ils étaient capables du pire. Surtout la greluche avec ses réactions d’hystérique.

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Ninjaturtel
Dans un carrosse, en direction d'une demeure


Du travail, des dossiers, des questions, des réponses, une invitation, une réponse, des solutions, une journée bien remplie, un petit voyage; c'est ainsi que Ninja se trouva a l'intérieur d'un carrosse, tout beau tout propre, qu'il arriva aux portes du domaine, son cocher avertit a l'entrée de l'arrivée de Ninja, il pénétra ainsi a l'intérieur.

Ne sortant point la tête du carrosse, attendant d'être a l'arrêt, il finissait rapidement d'arranger sa robe de sortit. La porte s'ouvre, on l'invite a descendre, on le prévient que la dame arrive sous peu, Ninja sourit.
Les femmes aiment se préparer et se faire attendre, celle ci ne déroge pas a la règle, bien que, elle ne le fera pas attendre longuement, mais il est vrai que chaque seconde a l'attendre dur une éternité et que tout notion de temps est fausser.

Une porte s'ouvre, un doux vent se lève, les quelques feuilles morte amené par le vent font la course, une lumière éblouit, non c'est une femme qui éblouit, elle sort sort, des yeux et un regard a tomber, un sourire il lui adresse, bien content qu'elle ai répondu a son invitation. Il fait une douce révérence, a son arrivée il lui baise la main pour la salué, plongeant son regard dans le sien avec un petit sourire qui se cache devant tant de beauté. Cette fois tout le monde est la, Ninja et la belle dame, pour les plus curieux je vous le dis, il sera accompagné de la charmante...





Quelque heures auparavant


Alors que le soleil était encore des plus présent, Ninja rentre sur Montpensier après avoir fait du bon boulot. Une chambre a la douce, ses affaires y étaient depuis un long moment déposé.
Presque arrivé, un pigeon vient voir le second de son cocher et celui ci frappe a la fenêtre.


- Baron, Baron, je peux permet de vous déranger. Je tenais a vous rappeler que vous deviez vous préparé très rapidement pour de suite allez chercher...

Du vent qui souffle fort, le pigeon se tape contre la vitre. Ninja se laisse distraitre et regarde la pauvre bête...

- ...pour alors filer chez le Duc de Billy.

L'homme aperçoit le pigeon près de son siège et le récupère, il le prend alors et regarde le Baron de Glénat.


- Ah oui exact, dans ce cas dépêchez vous. Pour le pigeon tenez le prêt de vous il n'a rien de bien grave, il doit juste être sonner.


Nos voyageurs arrivent a Montpensier, et Ninja doit se changer.
En fait, il semblerait qu'il soit arrivé plus tôt que prévu... Tant mieux !
Toilette, l'on toque ensuite a sa porte. C'était ses serviteurs qui venaient lui apporter ses affaires.
Qu'allait il mettre pour ce soir... Il se devait d'être élégant mais que cela n'entravait pas ses mouvement.
Pantalon et longue veste de sortie, cachant une chemise pour plus de légèreté, aux couleurs rouge quelque peu foncé, au manche et aux cols dorée, représentant les couleurs de Glénat.
Chaussure a pointe, sans chapeau afin de sortir sa belle couronne, bien sur du coté droit sa fidèle masamune, et du coté gauche son épée au blason de Glénat. Parfum acheté pour l'occasion, l'ensemble était de saison, il pouvait maintenant y allez et la belle dame récupérer.




Du retour chez la dame...

Vu le temps passé a vous faire un flash back, ils en ont eu marre et sont partit en destination du duché.
Discutions agréable, apprendre a mieux se connaitre, parler des derniers événements et de ce qui a pu se passer bien avant, le temps passe et avance, ils arrivent alors dans la demeure.
On ouvre la porte au Baron de Glénat, qui s'empresse de faire le tour pour pouvoir ouvrir la porte a son invitée.

La porte s'ouvre, il tend la main avec un radieux sourire.


Baronne de Veauce, nous sommes arrivé.
Permettez moi de vous aidez et de vous remerciez encore une fois d'avoir accepter mon invitation.

Nouveau sourire, la soirée commence, tout allait débuter en cette belle soirée...
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Ninon914
Les lumières brillent de partout donnant une impression grandiose, la vue est magnifique depuis les jardins et la fête semble battre son plein.

Ninon se repait de cette vision puis se présente à l'entrée. Elle suit les indications du portier, quoique le joyeux brouhaha émanant de la salle de fête suffise amplement comme guide.

Ce matin, elle a ouvert le coffre qu'elle gardait précieusement, seule relique d'une vie ancienne, justement pour une occasion comme celle-ci.
Sa robe, magnifique et somptueuse, elle n'a pas pu l'abandonner, trop de temps à la préparer, à la parer de mille feux, trop de soirées en solitaire à s'user les doigts avec pour seule compagnie cette femme de chambre/geôlière à la solde de son époux.
Elle l'avait donc sortie de son coffre, aérée et brossée, afin de faire ressortir le côté chatoyant du tissu et l'avait revêtue avec grand plaisir, chassant tous les souvenirs pour ne laisser place qu'au bonheur présent d'être là.

Un dernier passage du plat de la main pour ôter un poussière et elle entre dans la salle, quelque peu éblouie par cette débauche de lumières.

A peine entrée, son regard croise celui d'un jeune homme appuyé nonchalamment contre mur, il lui semble le connaître
Sarez ? Elle s'approche et le regarde mieux, un sourire se dessine lentement sur ses lèvres. Sarez, je suis contente de te voir, comment vas-tu ?
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Actif
Soraya.
Alors qu'elle guettait l'invitation d'un danseur potentiel, So eu la surprise de voir le Duc de Billy venir vers elle.

Sourire protocolaire puis, confidence...

Les paroles de Marty eurent l'effet d'une douche froide sur la jeune femme qui resta dans un premier temps muette. Respirer, ne pas se laisser aller... Après tout c'était cela qu'on attendait d'elle, qu'elle accepte les choses sans broncher, sans coeur. Elle était une poupée avec une couronne et cette couronne était à prendre. Elle avait cependant espéré que le Duc serait différent, qu'il aurait la bienséance de passer un peu de temps avec elle... Pas de danse, juste un bonjour de courtoise...

Soraya, amer, pensa qu'il n'aurait pas du se donner tant de peine à la faire venir pour cela! La colère qui habitait son coeur se raviva et intérieurement, elle maudit les hommes et leur faiblesse. redressant la tête et se composant un visage le plus neutre possible, elle regarda Marty droit dans les yeux et lui répondit sans prendre de gants.


Monsieur, je suis bien attristé du peu de considérations que vous me porter. Je ne puis que respecter votre choix puis que j'ai été élevée ainsi mais j'aurai attendu d'un grand homme comme vous que vous aillez la présence d'esprit de prendre un peu de temps pour faire connaissance. Maintenant, si votre coeur est pris, je ne peux vous souhaiter que joie et bonheur. Vous avez suffisamment souffert et mérité d'être heureux... Je vais trouver une hostellerie à Clermont afin de profiter de mon voyage et de suivre les conseils du Duc de Lapalisse. Je fut ravie de faire votre connaissance.

Les yeux émeraudes de la Baronne ne masquèrent pas sa déception mais il lui restait suffisamment de dignité pour s'incliner devant le Duc et quitter la salle de bal.

Une fois Soraya seule dans le grand hall du château, les rires et la musique derrière elle, elle laissa éclater sa tristesse. Elle ne savait pas ou se trouvait sa chambre aussi envoya-t-elle le premier volet qu'elle trouva chercher sa calfas. La jeune Baronne, elle, se dirigea vers la cour.

Une fois dehors, elle tourna les yeux vers le ciel et soupira longuement. Et voilà, les dés étaient jetés. Sa tristesse n'était pas du aux sentiments que le Duc n'éprouvaient pas envers elle mais plutôt au constat de son nouveau statut, celui de poupée de soie qu'on expose dans des robes de brocard pour allécher l'appétit des hommes...

Le Duc avait trouvé son étoile et Soraya, elle, allait rentrer en Bourgogne et attendre la nouvelle folie de sa mère.

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Gandrel
Bettym avait franchi les portes de la caverne emportant avec elle les fils d'or qui tressaient la magnifique robe au couleurs du soleil. Gandrelina l'avait suivi à pas de louve, un sourire perlant à ses lèvres nacrées, la jeune femme était heureuse, cela résonnait comme des milliers de petites clochettes à travers les couloirs du manoirs. C'était donc ça le bonheur.

Regard émeraude posé sur la marraine
Rire en grelot
La main sur une brosse en ivoire
amples mouvements
Long cou délié de Bettym
Perles tressé"es dans les cheveux
L'oiseau piaffe
et s'envole

Une fois Bettym prête et envolée vers la Grande salle, Gandrelina s'éclipsa quelques instants.


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Clothilde

Clothilde sourit à la réponse de Sonia. Elle savait qu'elle pouvait compter sur la présence de son amie.


Oui oui, je te l'ai promis, et pour rien au monde je raterrai se merveilleux événement.

Après avoir regardé le parchemin, Sonia enchaîna :

Merci beaucoup, j'en prend note. Si tu veux je reste un peu avec toi, histoire de te tenir compagnie mais pas longtemp. J'ai un millier de chose à faire et comme d'habitude, j'ai encore rien fait.
Tu vois je préfére m'amuser que de préparer, je changerais jamais.

Rires complices.

Oh je te comprends, rien de plus barbant que de préparer ses bagages !
Mais bon je sais que ton voyage est très proche, aussi je ne vais pas te retenir longtemps, même si ta présence est toujours aussi agréable !
Un petit verre partagé, et ensuite, nous quitterons toutes deux cette salle de bal.
Toi pour faire tes bagages, et moi pour monter m'allonger. Marty m'a fait préparer une chambre, je pense que pour ce soir elle sera la bienvenue. Demain matin, je ferai de nouveau atteler, direction Laveissière. J'enverrai au monastère une missive, prévenant Delv' de venir m'y retrouver au plus vite... car je sens que notre nouvel enfant est pressé d'arriver...

Petit sourire. Verre partagé, jus de fruit pour Clothilde bien évidemment.

Puis les deux jeunes femmes prirent congé.

Un aurevoir à Althiof et Kory.

Al, Kory, je monte me reposer... mais je tenais à vous embrasser avant cela. A bientôt mes amis, et n'oubliez pas de passer à Laveissière avec les enfants !

Un autre aurevoir, destiné au Maistre des lieux, qui venait de prendre congé d'une jeune personne, et était retourné vers ses autres convives.

Marty, je t'emprunte quelques minutes pour te prévenir que je monte me reposer, je pense que c'est plus raisonnable.
Demain je pense que je me rendrai directement à Laveissière, car il semblerait que le nouveau petit héritier de Delv' soit pressé de découvrir le Domaine de ses parents.
Toutes mes félicitations pour ces belles festivités, une réussite !
Encore un grand merci pour ton invitation, ainsi que pour la chambre.
Je compte bien te voir accepter la réciproque, et que tu honoreras prochainement notre Domaine de ta visite.

Sourire, bise rapidement déposée par Clothilde sur la joue de son ami.

Puis la jeune femme, en compagnie de Sonia, gagna la sortie de la pièce.

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jtm
[bannière à venir]
Sarez
Sarez, qui etait accoudé au mur, entendit une voix prononcer son nom.
Il se retourna et la vit : Ninon.
Elle etait vêtue d'une somptueuse robe rouge sang. Elle etait superbe.
Sarez se redressa, un sourire involontairement chameur aux lèvres .
Il inclina la tête pour la saluer. il se santait tellement "ordinaire" dans son ensemble noir comparé a la parure de la demoiselle.


Dame Ninon, tu es fort jolie ! dit il, un sourire au coin de lèvres. Tu es venue seule ou avec ton cavalier ?

Il repoussa une mèche bouclée qui lui tombait devant les yeux.
Miracle, ce soir, il avait les cheveux coiffés et ramenés en arière.
Althiof
Sonia n'avait pas la forme mais au moins elle ne restait pas enfermée. Il espérait de tout coeur que son voyage lui ferait du bien. Il fallait surtout qu'elle voit des gens et essayent de se changer les idées. Mais c'est toujours plus facile à dire qu'à faire.

Les invités commençaient à se masser autour de la piste. Marty ne tarderait surement pas à les inviter à danser. Il voyait son épouse trépigner et cela le fit sourire. Lui trépignait... beaucoup moins. Par contre il était subjugué par le visage rayonnant de son épouse.

Quand soudain on vint lui tirer la manche. Il donna machinalement quelques mouvements de bras. Surement un gamin qui voulait encore faire quelque chose de complètement inutile. Mais cela recommença. Il se retourna. Ah non à défaut de gamin il avait une Gondole qui faisait la manche... euh lui tirait la manche.


Aaaaaaaaaaaaaal, regaaaaaaaaaaaaarde. Tu vois ce que tu devrais acheter a Kory !... Enfin non, vu tes gouts, il ne vaut mieux pas que tu choisisses en fait … mais bref … c’est une belle robe non ?

Il regarda attentivement la jeune Dame qui avait dansé avec Tixlu.


Oui elle est très belle cette robe. Mais j'ai du goût d'abord. C'est moi qui ai offert à Kory la robe qu'elle porte.

Pis t'es pas vraiment une spécialiste en matière de robe. Beths ou l'art de mettre une robe quand il faut pas.


Il lui tira la langue sourire au coin des lèvres. Puis Marty arriva et il tenta de garder son calme mais c'était impossible. Il explosa de rire et se plia en deux.

Alleeeeeeeeeeeez Beths fais ce que dit notre hôte voyons. Pis jamais deux sans trois.

Bein vi il l'avait vu deux fois en robe et ces deux souvenirs seraient marqués à jamais dans son esprit. Une fois à des joutes... en tant qu'ecuyère. Neurone avait dû être déconnecté ce jour là. Et une fois pour l'annoblissement. Le sapin de Noel ! Ca avait pas été triste à chaque fois.

Il continau de rire ce qui semblait faire plaisir à Beths vu qu'elle commençait de fulminer un peu. Ca arrivait d'ailleurs, presque étrangement, bien souvent lorsqu'ils étaient ensemble.

Heureusement Bettym arriva pour détourner un peu son attention. Il essayait de reprendre son sérieux si tant est qu'il sache ce que c'est et fit une bise à son amie.


Bonsoir Kory et Al, je suis ravie de vous voir ici au moins on se sent moins seules !

Bonsoir Bettym ça fait plaisir de te voir.

Comment ? La plus belle de toutes les femmes ici présente ?


Il ne put rien ajoutter et explosa à nouveau de rire. Tout le monde s'y mettait décidemment. Il n'avait pas vu de concours de blagues pourtant. Il en avait la larme à l'oeil. Pour sûr qu'il n'aurait pas manqué ça sinon.
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Adieu Alice
Beths
Cacher son désarroi, par le simple bonheur de s’amuser. Oui, voila ce à quoi la jeune thiernoise parvenait à arriver lorsqu’elle le voulait bien. Elle était vraiment impressionnée par la beauté de la jeune femme qu’elle ne connaissait pas, et c’est aussi par curiosité qu’elle voulu s’approcher d’elle. Mais elle n’avait pu résister au plaisir de s’arrêter auprès de ses suzerains. C’est que, ben, elle les appréciait … Al trouvait toujours le moyen de lui faire retrouver son naturel, et Kory soit elle pansait les coups, soit elle en ajoutait une petite couche de beurre supplémentaire sur la tartine.

Alors qu’elle commentait la robe et les goûts de son cher suzerain, Beths adressa un clin d’œil à Kory.
Au même moment, elle sentit un souffle chaud et agréable dans son cou, puis une voix.


Beths… j’aimerai que tu passes une robe.

Elle était tellement surprise qu’elle n’esquissa pas un seul mouvement, seuls ses yeux et sa bouche s’arrondirent, ce qui lui vaudrait encore une fois une ironie certaine de son ami Al, ou de Kory … lequel des deux réagirait en premier ?


Marraine doit en faire de même je suppose. Je voudrais… … je voudrais que tu m’accorde une danse.


Celui qui lui parlait ne pouvait voir l’expression de son visage, et il ne valait sans doute mieux pas à moins qu’il n’ait apprécié la saison tomate de la chose.
Elle se retourna alors tel un pantin, au ralenti, pour tenter de comprendre ce que Marty lui disait, enfin comprendre, disons plutôt de se persuader en lisant la moquerie dans les yeux du Duc. Mais ce dernier était déjà reparti vers … vers la belle Dame. Oui, la moquerie devait habiter ses traits, tout comme la soupe aux orties, tout comme la danse … Oui, une Beths dansant pouvait s’avérer comique. Comique ou dangereux pour les pauvres pieds qui passaient par là. Mais Marty voulait s’amuser lors de sa soirée, c’était bien logique …

Elle se retourna de nouveau vers ses suzerains, et fut accueilli par un rire désagréable : Al était bien évidemment plié en deux !!! Rho celui la !!! Elle leva les yeux au ciel


Alleeeeeeeeeeeez Beths fais ce que dit notre hôte voyons. Pis jamais deux sans trois.


MAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIS EEEEEEEUUUUUUUH !!!!
J’ai pas de robe d’abord !!!!!!! Et arrête de glousser tel une oie !!! Et franchement je ne garde pas forcément une bonne expérience de mes dernières tentatives vestimentaires !!!! A CAUSE DE TOI !!!!


Enfin ce n’était pas vrai car ces deux fameuses fois où elle avait porté jupon, elle les avait appréciées … ses premières joutes en tant qu’écuyère et son annoblissement. Non, jamais elle n’en remercierait assez Al, mais ça … il n’avait pas besoin de le savoir !! Il ne recevrait que des grognements ou autres délicatesses de ce genre.
Alors qu’elle conversait agréablement et échangeait de la sorte avec ses suzerains, ses yeux se posèrent sur Bettym qui arrivait vers eux. Une Bettym resplendissante.


Tu es magnifique Bettym !

Ne put s’empêcher de s’écrier Beths ! Puis, la Prévost Royal ne put s’empêcher également de rougir en pensant une nouvelle fois à sa trahison, mais son amie semble … semblait ne pas lui en vouloir car elle se pencha vers elle pour lui dire …

Si tu vas voir Gandrelina, tu pourras devenir la plus belle de toutes les femmes ici présente. Pour preuve, regarde ce que je suis devenue en quelques temps.

Beths regarda, admira et hocha silencieusement la tête. Elle se mit à s’imaginer dans une belle robe de bal, avançant au milieu de la salle. Soudain, elle se prendrait les pieds dans le bas de son jupon et s’étalerait de tout son long. Des immenses chiens sauteraient par les fenêtres ouvertes et viendraient lui poser des pattes pleines de boue sur le devant de son corsage.
A cette idée, un son cristallin, un rire franc s’échappa de sa gorge. Non, la robe, ce n’était pas pour elle …
Elle repensa néanmoins aux paroles de Marty, une danse. Juste une danse. Après tout, cela ferait rire tout le monde et puisqu’il souhaitait se moquer gentiment d’elle, pourquoi faire des frais de tenues ? Répondant à Bettym


Eh bien, je préfère rester citrouille pour le moment, je me changerai après. Un Duc m’a proposé une danse, et avant qu’il change d’idée …

Elle commença à regarder à gauche et à droite, pour tenter de voir où était Marty. Il était juste à côté, la Dame … la magnifique Dame le quittant tout juste. Mince … une querelle ? Elle se mordit un peu la lèvre. Bon, eh bien. … restait l’humour.

A tout de suite, je vais réclamer mon du ! Mais restez la … ca va être drôle !


Rapidement, elle franchit les quelques pas qui la séparaient de Marty … leurs regards se croisèrent … Beths ralentit un instant le pas … pourquoi la regardait-t-il ainsi ? Puis se rappelant son … plan …

Marty, nul besoin de robe pour danser … et le temps que je passe cet objet futile tu auras changé d’idée ben … hop je réclame ma danse maintenant

Et là … l’horreur se prépara … Beths qui avait été fort silencieuse, trop silencieusse jusqu'à présent, se mit à claironner a tue-tête une chanson ridicule tout en pointant les gens du doigt.

Toi Doigt posé sur le torse du Duc plus moi, Même doigt qui passe au dessus de son cœur plus tout ceux qui le veulent, Bras qui s’ouvrent en direction de la salle plus lui, la main montre Althiof plus elle, Cette fois le doigt inquisiteur se déploie en direction de la marraine, et tout ceux qui sont seuls, regard se pose sur Marty, puis sur la salle allez venez, entrer dans la danse, allez venez, laissez faire l’insouciance …

Beths regarda Marty un immense sourire sur les traits. Elle se retint de ne pas éclater de rire tout de suite, tout en lui tendant sa main pour une danse …
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Valezy
Il y avait foule, dans la grande salle du château de Billy, ce soir là… Certains dansaient au rythme des mélodies des troubadours, d’autres discutaillaient dans leur coin et d’autres encore, relativement plus discret, se contentaient de profiter de cette occasion pour s’empiffrer.

Il en était là de ses pensées, se livrant, ainsi, à une observation attentive de chacune des personnes qui constituaient ce festif attroupement. Quand, soudain, une silhouette familière attira son regard et ce fut d’une démarche gracieuse que son épouse Espranza, fendit la foule pour se frayer un chemin jusqu’à lui.

Un sourire de satisfaction se dessina alors sur ses lèvres tout en contemplant la jeune femme brune s’approcher de lui. Pour cette occasion, elle avait revêtu l’une de ses plus belles robes, celle qu’il avait confectionné lui-même, d’un bleu profond qui relevait à ravir la couleur de ses yeux.

Une fois arrivé à sa hauteur, il déposa un baiser sur le front d’Espranza, avant de lui déclarer :


« Bien le bonsoir gente Dame, m’accorderez vous cette danse ? »


Il lui tendit alors la main, une lueur de malice se reflétant dans son regard.
--Enfant_de_vissac
Vous me connaissez pas encore, je suis le futur héritier de Vissac bien au chaud dans le ventre de Maman, ça vous dit rien "de Vissac" ?

Mais oui, Sibella ma jolie Maman au sourire craquant et au décolleté plongeant quand elle fait une révérence et Azdrine mon papa adorable. J'en suis le fruit de leurs amours. Qu'est ce qu'ils aiment ces deux là.

J'aime bien, Maman elle va dans de jolis endroits, je vois plein de gens, mais je comprends pas encore ce qu'ils disent.

Maman je l'entends elle. Elle a une voix douce et calme. Normalement, je vais tous vous voir fin de novembre elle dit Maman. Je passe tellement de temps à écouter sa voix que j'en connais la moindre de ses intonations.

Maman elle m'a emmené je sais pas où, mais c'est bruyant, j'entends de la musique, des voix que je connais pas, une que j'entends souvent et qui crie même parfois. J'ai pas encore entendu la voix de mon Papa, je sais pas si il est là.

Hummm c'est bon, elle mange Maman, elle est gentille elle pense à moi. Oups c'est mouillé ça, elle doit boire de l'eau

Mais il y a beaucoup de monde ici, j'aime bien, bientôt je vous verrais tous




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Gandrel
Une armée de serviteurs les bras chargée de mets plus succulents les uns que les autres déboula précisément au moment même où la voix trop haut perchée de La dame mal fagotée se faisait entendre au delà des notes trop courtoises des troubadours. Ces derniers suivirent la jeune dame et accordèrent leur violons à son entrain et voilà que bientôt les invités de Billy entrèrent tous dans la danses débarrassant ainsi le plancher de l'estrade, ce qui facilita grandement le travail des valets.

Les yeux verts émeraudes de Gandrelina s'attardèrent de loin sur le visage rayonnant de dame Beths. Elle reporta ensuite son regard, qui s'assombrit un peu au passage perdant quelques unes de ses étoiles, sur les tables et orchestra d'une main de maitre ce second ballet aux délicats fumets. Pas question de faire tomber un plat, Berthe lui en voudrait à mort ou encore de mélanger des saveurs qui ne s'y prêtaient pas, "Par la tres sancta qué" Berthe estoy exigeanté mâ bon d'un autre côté ses plats soun... diviné".

Deux ballets s'entrecroisent
L'un sonore et renversant
L'autre tout en équilibre
Tamis de parfums épicés

Alternance de regards
Soupire
Impression étrange
Mauvais côté de la barrière
Haussement d'épaules
Envie de fuir tout à coup
Résiste

La jeune femme se réfugia dans une alcôve en bois près de la porte des cuisines et regarda la valse des danseurs les yeux frémissants de milles lueurs dorées tandis que déjà des invités allergiques à la danse (sisi ça existait déjà) commençait à s'empiffrer dans un coin.



Elle sourit puis, son regard erra un instant d'éternité comme un rêve éveillé, elle se laissiat ebrcé par le slumières vacsillantes et el scouleusr chatoayntes, velours et satin, dentelle et dorure, boucles et chignons.

Soudain son regard s'arrête
un sourire nait sur ses lèvres

Valezy avait retrouvé sa moitié, il ne s'ennuierait donc pas ce soir ..
Bettym avait était happée dans la danse par Betz, elle les avaient perdue toutes les deux de vue quant à Marty ... La baronne de Ciel s'etait envolée sans compter Apo et le baron qui l'accompagnait ... Gandrélina se demandait bien ou pouvaient ils être tous passés. Il n'y avait donc qu'elle qui n'avait pas le droit de disparaitre ? Pas le droit de danser ? De s'amuser ? A quoi bon ...

Elle bouillait intérieurement quand soudain une voix nasillarde vint la déloger de son refuge.


Nous avons un problème dame Gandrelina ...

Loui l'oiseau dé malheur, lé jour où il sera porteur d'une bonne nouvelle, cé sera celle dé sa muerté...

jé vienne ...

Elle le fusilla du regard mais il était déjà reparti vers les cuisines Tou t'éagres ma pauvrete tou n'a pa slé droit dé faire payer cé qué tou endoures à cet umbre, il n'a riene fait, tou es la seule responsablé ... allons cours vité résoudre cet probleme, tes états d'âme attendront ...

Elle se dirigea vers la porte empruntée par Barbelivien en traversant le flot de danseurs.

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Korydwen
Korydwen trépignait à côté de son époux, comme une petite fille, les personnes qui la connaissait bien, aurait pu voir en elle du Eléa, sa fille lui ressemblait beaucoup sur certains points. Mais il y avait de la promesse en l'air et danser, s'abandonner à lui pendant un moment au rythme des troubadours, il ne lui en fallait pas plus pour être heureuse.

Sonia les quitta après une courte discussion, elle espérait la voir à Cournon, puis quelque chose d'étrange, encore des personnes auprès d'eux, elle ne comprenait pas tout, un peu perdue, Bettym, une histoire de robe, Beths, danser avec Marty... Elle laissa une fois de plus son époux répondre, beaucoup trop perdue pour le faire...


Bonsoir à tous...

Elle les regardait, cherchant un peu à comprendre ce qu'il se passait, se demandant si elle finirait par danser ou si elle resterait là à côté à essayer de comprendre des choses... L'impression d'un autre monde, d'être "étrangère" à tout ça, mais elle ne dit rien et attend sagement... Clo qui arrive pour les saluer, grand sourire à son amie. Un signe, un aurevoir, elle se doute que la jeune futur maman a besoin de repos et que l'enfant en question gesticule beaucoup.

Bonsoir Clo, prends soin de toi et du futur héritier, puisses tu donner la vie dans les meilleurs conditions possibles. Nous passerons te voir avec nos enfants ! Sois en certaine !
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Institut de Médecine du BA
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