Naelhy
[Après l'assaut de Jegun.]
Et c'est là que la Blonde intervient.
Lily, elle n'y connait pas grand chose en homme, il y celui qui, à l'aube de ses quinze ans lui a montrer l'incroyable emboitement que pouvait se produire entre elle et la gente masculine, alors que ce n'était qu'une adolescente rebelle en pleine crise et désireuse de ne pas se marier.
Il y a celui qui peut après lui a montrer combien il était drôle de se jouer de ces bêtes pensantes par les extrémités, alors qu'elle allait rejoindre les Fauchards.
Et il y a cet amour platonique et bien court remontant à la Breizh, dont elle garde le souvenir d'une chevalière.
Mais la Tartine ne s'intéresse pas aux maux d'amour dont jamais elle ne comprendra ni le fond ni la forme, dont elle n'a même pas encore comprit qu'il y avait un fond ou une forme ou simplement que ça la dépasse.
C'est dans la chambre de Juliette que se passera l'action principale, voisine à celle attribuée à Naeva, qui se balade dans les couloirs en pleine séance de ch'ai-pas-trop-qu'est-ce-qui-a-à-faire-alors-j'vais-aller-m'défoncer-un-coup, c'est à cet instant précis là tout de suite que l'oreille se tend, percevant les pleurs d'une Brune en détresse.
Elle n'y peut rien Na', elle a un coeur gros comme ça, pas de celui qui tient dans les bottes, le sien est serré dans le corsage de la robe prune collection printemps-été d'il y a trois ans, de la taille d'un hippopotame hexapodes, et la pousse à entrebailler la porte de la nourrice, passer sa blondeur serrée en chignon, scrutant la silhouette à la Forest Gump de la nourrice.
Maladroite dans le réconfort la Tartine s'autorise à guetter sans trop de gêne la jeune fille. « Ju'? » Elle n'est pas fine la blonde, mais trop désireuse de ne pas voir les gens pleurer comme des vulgaires tapettes « Pourquoi tu chiales? »
Elle ose l'affront de rentrer dans la chambre, fermant la porte derrière elle, tout doucement. Alors la Brindille s'avance vers la silhouette en larmes de Juliette, et autant que ça soit claire, l'Anglaise, entre-nous, n'a jamais eut plus de feeling que ça avec la camériste, trop brune, trop niaise et pas assez jolie bien que non moche, naïve et trop jeune.
Elle s'assoit en tailleurs la Brindille, l'air de dire qu'elle a le cul scotché à terre et qu'elle ne bougera pas avant d'avoir eut sa réponse. Tu dois tout me dire, que semble communiquer ses deux yeux, plantés qu'ils sont sur les larmes de la pauvre camériste.
Allez, accouches, c'Kiki a fait ça, Ju?
Concerto pour porte-jarretelles, avant d'avoir été un titre sympa pour ce Rp, est surtout celui d'un roman de San Antonio
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Dieu dit « Que la lumière soit » & Naelhy fût.
Et c'est là que la Blonde intervient.
Lily, elle n'y connait pas grand chose en homme, il y celui qui, à l'aube de ses quinze ans lui a montrer l'incroyable emboitement que pouvait se produire entre elle et la gente masculine, alors que ce n'était qu'une adolescente rebelle en pleine crise et désireuse de ne pas se marier.
Il y a celui qui peut après lui a montrer combien il était drôle de se jouer de ces bêtes pensantes par les extrémités, alors qu'elle allait rejoindre les Fauchards.
Et il y a cet amour platonique et bien court remontant à la Breizh, dont elle garde le souvenir d'une chevalière.
Mais la Tartine ne s'intéresse pas aux maux d'amour dont jamais elle ne comprendra ni le fond ni la forme, dont elle n'a même pas encore comprit qu'il y avait un fond ou une forme ou simplement que ça la dépasse.
C'est dans la chambre de Juliette que se passera l'action principale, voisine à celle attribuée à Naeva, qui se balade dans les couloirs en pleine séance de ch'ai-pas-trop-qu'est-ce-qui-a-à-faire-alors-j'vais-aller-m'défoncer-un-coup, c'est à cet instant précis là tout de suite que l'oreille se tend, percevant les pleurs d'une Brune en détresse.
Elle n'y peut rien Na', elle a un coeur gros comme ça, pas de celui qui tient dans les bottes, le sien est serré dans le corsage de la robe prune collection printemps-été d'il y a trois ans, de la taille d'un hippopotame hexapodes, et la pousse à entrebailler la porte de la nourrice, passer sa blondeur serrée en chignon, scrutant la silhouette à la Forest Gump de la nourrice.
Maladroite dans le réconfort la Tartine s'autorise à guetter sans trop de gêne la jeune fille. « Ju'? » Elle n'est pas fine la blonde, mais trop désireuse de ne pas voir les gens pleurer comme des vulgaires tapettes « Pourquoi tu chiales? »
Elle ose l'affront de rentrer dans la chambre, fermant la porte derrière elle, tout doucement. Alors la Brindille s'avance vers la silhouette en larmes de Juliette, et autant que ça soit claire, l'Anglaise, entre-nous, n'a jamais eut plus de feeling que ça avec la camériste, trop brune, trop niaise et pas assez jolie bien que non moche, naïve et trop jeune.
Elle s'assoit en tailleurs la Brindille, l'air de dire qu'elle a le cul scotché à terre et qu'elle ne bougera pas avant d'avoir eut sa réponse. Tu dois tout me dire, que semble communiquer ses deux yeux, plantés qu'ils sont sur les larmes de la pauvre camériste.
Allez, accouches, c'Kiki a fait ça, Ju?
Concerto pour porte-jarretelles, avant d'avoir été un titre sympa pour ce Rp, est surtout celui d'un roman de San Antonio
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Dieu dit « Que la lumière soit » & Naelhy fût.