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[RP Ouvert] Le Marché Couvert

Morphee
Morphée était venue aider l'enfant qui n'en était plus vraiment un à ranger précautionneusement les habits dans la caisse en bois.
Elle apposa une nouvelle ardoise...


Citation:
~ A la Dive Quenouille ~

Revient d'ici deux journées.

Vous retrouverez nos excellents produits lo Dissabte setze Julhet

_________________

Un peu d'elle, et des autres
--Pierrick.
[Lo Sezte de Julhet]



La route entre Castelnaudary et Carcassonne avait été paisible, et le gamin avait pu dormir tout du long, emmitouflé dans une chaude couverture de laine. Aucune mauvaise rencontre, mais il ne s'était pas fait beaucoup de mouron car Donà Morphée avait une crosse qui les mettait toujours à genoux. Une crosse magique.

Ils avaient traversé le pont vieux, qui surplombait l'Aude, au petit matin; quelques lavandières jouaient du battoir en fredonnant une chanson lorsqu'ils passèrent devant le lavoir.
Par contre, le gamin réprima un frisson lorsque vinrent les bains publics. Il avait une sainte horreur de l'eau, et tentait souvent d'échapper à la corvée du bain. Mais Morphée savait se montrer persuasive, et il n'avait pas souvent le dernier mot.

Ils firent un long détour pour arriver à l'ilôt des taverne, ou l'auberge municipale les accueillit à bras ouverts. Un mystère pour lui de ne jamais voir Morphée emprunter la chicane ouest, le parvis de la basilique Saint-Nazaire et redescendre par le chemin d'Alaric. Encore une fantaisie de donzelle ça... Le gamin ouvrit la porte de la réserve de la taverne, emprunta un fruit qu'il cacha dans la carriole ou étaient entreposées les richesses de la dentellière. Puis lentement se rendit au marché couvert, derrière la Basilique Saint Nazaire.

Le rituel de l'installation reprit, néanmoins sa bouteille d'olive manquait à l'appel. Vendue à Castel! Le gamin enleva l'ardoise qu'avait laissée Morphée et apposa la nouvelle :

Citation:
~ A la Dive Quenouille ~

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Pierrick se mit à jouer aux osselets, en attendant le chaland, alors que Donà Morphée devait déjà être lovée dans son pageot pour y prendre un peu de repos.
--Marlorsie
L'arrivée de trois fauteurs de trouble



Malorsie étant de Toulouse avait eu vent des derniers ragôts, évidemment étant donné qu'elle avait tendance à mettre son gros nez partout.
Elle voulut s'assurer par elle même que la blonde avait bien quitté son "sauvage".
Car elle détestait au plus haut point Bashir qui lui ne souhaitait qu'une chose la faire passer à trépas.
C'est donc mauvaise comme la peste, avec une langue trop bien pendue qu'elle arriva
à Carcassonne et qu'elle se rendit au marché, pour tater le terrain.

Ch'uis ben contente d'êtes arrivée moé, j'en ai plein les pattes !
Ohhhhhhh toi petit !
Cé t'y que tu saurais pas ou j'peux trouver un coin pour dormir ?
As tu vu aussi une blonde ici ?


Elle commençait déjà à faire sa curieuse à peine arrivée ça promettait tout ça.
Puis soudain qu'elle ne fut pas sa surprise en voyant au loin son amie de commérage Rosemonde et son poivreau de mari Taillefer.
Entre Taillefer et Marlorsie, se livraient une guerre sans merci.
Pour résumé Taillefer eut courtisé Marlorsie étant plus jeune, celui ci n'ayant pas pu l'honorer comme il fallait, elle crut bon de propager la nouvelle, ce qui causa vous vous en doutez une guerre ouverte.
Elle préféra rester près du garçonnet à attendre sa réponse.
Elle trouvera bien une occasion de parler à Rosemonde.
--Larosemonde

Rosemonde, ahhhhhhh la Rosemonde, une petite bonne femme sans prétention, discrète, bien trop même.
La femme du père Taillefer, qui faisait d'elle ce qu'il voulait.
Si elle n'était pas contente c'est dans les coups qu'il obtenait tous ses désirs.
Rosemonde était l'amie de Malorsie, normal elle disait jamais rien et Malorsie aimait raconter tous ses ragôts.
Le Père Taillefer étant parti faire le tour des tavernes, Rosemonde, elle, se renseigna pour savoir où elle pouvait s'installer le temps de son séjour.
Car il s'agissait bien d'un séjour
.

Elle parcourut le marché et finit par apercevoir son amie et vint à sa rencontre.

Ben ça alors, v'là au't chose, toi t'é là aussi, mais qu'est ce tu viens faire là ?
Moé, j'ai suivi le Père Taillefer, v'là ty pas qu'il voulait faire un ptit voyage d'agrament qu'il a dit, ou un truc comme ça, et toi ?
Sais tu où que j'pourras dormir avec mon Taillefer, moé j'connais pas ici et toi ?
--Malorsie


Voyant arrivée son amie, elle s'assura que son époux n'était pas là et alla l'enlacer.

Ben ch'uis ben contente de t'voir là !

Elle la voilà partie dans ses commérages

Ch'avais pas que tu s'rais là, moi j'vins voir la blondasse, tu sais celle de Toulouse.
Parait ty qu'elle a quitté son sauvage, grand ben lui fasse, moé j'dis.
Pi parait aussi qu'elle a couru après les hommes, une Sainte tu parles, comme les aut'es oui le feu au croupion.....


J'arrête deux minutes Malorsie dans son récit pour vous signifier quelque chose à son sujet.
Malorsie était aigrie car en mal d'amour, elle faisait du charme à tout venant masculin bien entendu, dans l'espoir futile de se retrouver les quatre fers en l'air, au détour d'un chemin....


.... je vins voir comment qu'elle va et je suis ravie de savoir que le sauvage s'ra pas là vue, qu'il a été délaissé, ça c'est ben fait moé j'dis depuis le temps que j'lui disait à la blondasse.
Y a ty pas assez d'homme bien blanc, bien viril dans les villes.
Qu'est ce qu'elle est partie s'entiché de ce sauvage.


Elle s'arrêta de jacasser et regarda aux alentours.

Où est ton "tonneau à bière", encore à courir la gueuse.
Ma p'auv'e Rosemonde comment que t'accepte tout ça.
Moé j'pourrais pô c'est sur.
Il t'trompe, il boit comme un trou, te saute dessus et toi tu dis rien.


Elle secoua la tête dégoutée, puis le vit arriver titubant.

Ben t'ins le v'là le "tonneau", ben il est beau t'ins !
--Taillefer


Le Père Taillefer, un homme à femmes comme qui dirait.
Il aimait sa Rosemonde sans l'aimer. Il aimait car elle était soumise et il y avait mis tout son coeur et sa force pour y arriver.
Après plusieurs fractures, Rosemonde avait fini par s'habituer aux frasques de son époux et surtout à sa libido sans limite
.

En arrivant à Carssonne quelle ne fut pas sa joie de voir autant de taverne il n'avait que l'embarras du choix.
Et le choix il n'aimait pas donc il fit la connaissance de toutes les tavernes du coin dès son arrivée.
Bien sur il ne manqua pas de faire connaissance avec les soubrettes du coin et eut tôt fait de les prendre dans toutes les positions et sans aucune gêne.
Ainsi était le Père Taillefer
.

Après avoir bu plus que de raison et ayant comme à chaque fois la boisson mauvaise il chercha sa femme partout en gueulant.

LA ROSEMONDE OU QUE T'ES, TU VAS LA RAMASSER TA RACLEE SI J'TE VOIS PAS !!

Puis il l'aperçut tant bien que mal et la rejoignit.
Voyant Malorsie, son sang bouillonna dans ses veines et quand il fut à ses côtés ça fusa
.

La mégère est là aussi, qu'est c'tu fous là, toi la morue !
Cé ty pas possible, tu nous suis la sangsue ?
Tu peux pas nous laisser la charogne !
Si pouvais je t'f'rais brûler sur le bûcher la vipère.


Malorsie ne répondit rien et se contenta d'hausser les épaule.
Taillefer se tourna vers Rosemonde, il la tira par la manche et l'éloigna


Vins par là toi !

Les yeux lubriques du Père Taillefer ne faisait aucun doute sur ses intentions.
Rosemonde le suivit, sans l'ombre d'une résistance et laissa Malorsie avec le jeune garçon.
--Pierrick.
[Lo dèz et sèt de Julhet]



Pierrick terminait de poser l'ardoise de la journée, quand vint à lui une gueuse comme on en faisait peu. Du moins une qui ose ouvrir sa grande goule.
Le môme leva la tête pour regarder la Donà, qui semblait être un tantinet bin fatigué... Connait' des blondes? Yen avait queq' unes, mais quand à trouver la bonne...
Il allait lui demander plus d'informations quand une autre Donà lui coupa le sifflet. Il eut tôt fait de vaquer à ses occupations, tout en gardant l'oreille alerte et pour savoir c'que les étrangères venaient faire dans l'patelin.

Une blondasse, un sauvage... C'était quoi un 'sauvage'? Parce que si c'était un homme vivant dans la nature, bha les moines y zétaient tous des sauvages. Il avait donc noté : Rosemonde, Taillefer, et Morue. Le gamin fit tout de même quelques pas en arrière quand le père Taillefer rejoignit les deux commères... C'est qu'ce genre de type avaient la main facile, faudrait qu'il fasse attention de pas l'contrarier l'bonhomme.

Plusieurs habitants s'étaient arrêtés pour regarder l'homme, qui hurlait tel un dément. Le gamin pensa, en le regardant, qu'il l'aurait bien vu finir sur le bucher pour être si méchant. Fin parait qu'il coupait les mains des voleurs les bourreaux... Alors fallait qu'il fasse gaffe!

Quand tout ce tintamarre fut terminé, Pierrick s'approcha à nouveau de Malorsie.

Dites Donà Morue, yen a un tantinet d'blondes... Pi des sauvages... On vient bin d'en rencontrer un, alors pour la trouver vot' amie, faudrait ptet qu'vous m'aidiez hein.

Pi si vous cherchez paillasse, faut aller à l'auberge du village. Zont des chambres à tous les prix... Pi on graille plutôt bin.


La Donà semblait être bien en colère contre le sauvage qu'avait les ch'veux aussi moches que les vieilles bigotes. Il se baissa et sortit une paire de chausses, qu'il posa sur l'étal, en attendant que la commère reprenne ses esprits et se mette à la causerie.


Citation:
~ A la Dive Quenouille ~

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1 paires de chausses à 26,00 écus pièce
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1 Bonnet à 35,00 écus pièce.

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--Malorsie


Malorsie ouvrit des yeux tout rond

Comment ça dona Morue ?
T'as t'on jamais appris qu'il faut pas dire de vilainie.
Veux tu d'venir comme le "tonneau" là bas.
J'm'appelle Malorsie, jeune freluquet, namého !
Et pour c'qui est de la blondasse elle est grande plutôt jolie, gentille fille à mes souvenirs.
Elle est arrivée y a pas longtemps surement.
Elle était avec un "sauvage" avant mais maintenant elle l'a abandonné ça te dis rien ?
Elle habitait une tente avant mais elle y a mis l'feu.
Tant mieux d'ailleurs y a t'y pas idée de mettre ces machins chez nous.
Dehors les "sauvages", y a assez de sorciers sans en rajouter, cé t'y pas vrai le môme.....


On se demandait quand elle allait arrêter de causer

Des tavernes j'y ben voir ça, on verra les prix.
Alors tu as vu la blondasse petit ?
--Pierrick.


Il avait dit une counerie. Et une grosse en plus... Crétin qu'il était...

Pardonnez m'dame, j'ai pas trop réfléchi.

Lorsqu'elle prononça 'tente', le gamin comprit!

Ah parlez d'donà Félinia? Elle vit dans une tente, mais j'ai pas vu de sauvages dans l'coin. Du moins j'crois pas.
Dans tous les cas, si vous la cherchez, suffit d'aller au Castel du Coms. Elle a ses tentes près d'la barbacane, savez l'entrée...

Sinon, zavez pas besoin d'un habit? Donà Morphée les fabrique, et c'est bien moins cher que dans votre Comtat!


Fallait bien tenter... L'avait mal aux pieds la gourdasse d'avoir tant marché, elle aimerait ptet une nouvelle paire de chausses.
--Malorsie


Elle regarda le môme

Pourquoi pas !
A combien ty fait la Morphee les chausses ?
Il m'en faudrait deux chausses une chaque pied.
Mais pas trop cher hein j'chuis pas riche moé
.

Elle enleva ses chausses et une odeur épouvantable en sortie.

V'là comme ça j'pourras en essayer, hein le môme.
Alors que proposes tu ?


Elle jouait avec ses orteils qui laissaient entrevoir la peau par le trou des bas.
--Pierrick.


Mordieu c'est qu'elle fouettait grave la gueuse! Pour sûr que ça faisait longtemps qu'elle avait pas pris un bain. Essayer les chausses? Elle avait vu l'Très-Haut ou quoué?

C'est qu'm'dame, j'peux prendre la longueur d'vot pied avec l'appareil là bas... Pas b'soin d'les essayer, C'pas pour dire mais zavez marché un peu et vos pieds zont pris la poussière, c'normal!
Mais j'peux pas vous faire essayer comprenez.. Si vous les prenez pas j'pourrai pas les revendre après!

Sinon, la paire de chausse lé à 26 écus.

J'peux d'mander à Donà Morphée de vous coudre une paire de chausse si vous voulez, personnalisée.


Bien manoeuvré té! Il lui montra une plante, sur laquelle coulissait un morceau de bois. Des graduations indiquaient la taille du pied, ce qui permettait de choisir la chausse à la bonne dimension.
--Malorsie


Boudiou, combien tu dis 26 écus ? Oh la cé t'y que j'chuis pas ben riche moé t'sais !
Ouh la la moé j'vas r'mette mes godillos et j'vas m'en aller m'promener.


Ecoeurée tout net du prix des chausses qui n'étaient pas si cher que ça d'ailleurs elle fit volte face et s'en alla flaner au marché puis se promena au gré de ses envies et surtout désirs.
Elle coursait discrètement les hommes qui lui faisaient envie sans parvenir à quoi que ce soit d'ailleurs....
Au détour d'un chemin elle vit la tente de Bashir et s'en approcha....
Louise
A l'abri dans le marché couvert, la blonde de passage faisait quelque pas. Elle n'avait pourtant guère que quelques deniers à dépenser mais c'était bien le seul endroit de la ville qui n'avait changé depuis son dernier passage.
En bonne voisine, c'était toutefois régulièrement qu'elle venait en Carcassonne pour entretenir ses relations ou écouler le bois chaurien.

D'pas lent, Louise se promenait, prenant son temps dans les allées comme l’étrangère qu'elle était devenue. Les demeurants, sur son passage, elle ne les reconnaissait pas. Eux non plus.
La ville n'avait pas changé, mais ses résidents peut-être. Les relations semblaient empruntes de méfiance, voire de haine et les étrangers, guère les bienvenus en la cité.

La chaurienne regrettait l'ambiance bonne enfant du village anciennement connu... L'heure était au départ.

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Morphee
Enfin un peu d'air... Un petit vent vint caresser le visage de la Donà; ils avaient eu bon nombre de journées ou le soleil leur brûlait la chair plus qu'il ne la réchauffait, et ce moment de clémence avait une saveur divine pour la belle rouquinette.

Au lever, Pierrick l'attendait déjà de pied ferme. La carriole était déjà remplie des vêtements que la belle avait tissé et cousu de ses mains expertes, sans oublier quelques marchandises afin de nourrir les habitants de la cité.
Morphée prit une légère collation, se promettant d'acheter un bon gros pain croustillant au marché, puis prit l'ouvrage de la journée, une chemise qui ferait un bout de chemin vers la ville voisine pour habiller une pierre précieuse.

Le diable rouge en était à sa cinquième tranche de pain, recouverte de beurre, de fromage, de quelques tranches de jambon fumé sans oublier bien sur, la ciboulette. Un ogre sur pattes!

Sa première tâche de la journée? Aller en taverne, afin de rencontrer les habitants et d'écrire ses premières missives de la journée. Au Conseil et Aux Ambassadeurs évidemment. Conversation toujours aussi plaisante avec Andrea, puis le moment de rejoindre le marché se fit entendre.

Aux côtés de Pierrick, Eric non loin d'eux, Morphée fit ses détours habituels pour se rendre à son étal. Et en profiter pour babiller avec les marchands voisins pendant que Pierrick se mettait à l'oeuvre.

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Un peu d'elle, et des autres
--Pierrick.


La brosse, ya qu'ça d'bon pour virer les saloperies sur l'étal. Morphée à ses côtés, le gamin lorgnait sans vergogne dans le panier de la cliente avec laquelle elle causait. Yavait un de ces morceaux de lard... Oh bon sang!
La femme s'en alla, et il se remit à l'ouvrage, presque à regret. Morphée était en train d'écrire sur l'ardoise quand il se mit à lui causer.

Dites D'na, ya l'causeur des taverne qu'a bavé qu'zaviez rendu vot tablier à Melgueil? cause que vous êtes gueuse?


Ne lui laissant pas le temps de répondre, il enchaina :

Zet pas gueuse vous! Cause que vot' mère elle était riche et pi qu'elle avait des terres. En Savoie qu'j'ai entendu?

Ah ça, pour écouter aux portes, il savait faire le mioche.
Le gamin mit le linge sur l'étal, sortit les quelques habits de la caisse et les posa sur la nappe. Puis sur le côté, une caisse avec quelques légumes, pourrait faire plaisir ptet à quelqu'un d'la ville.
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