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[IG/RP]Garnison "Royaliste" :Palais Jacques Coeur de Bourges

Marineblanche
Marine Blanche s'était donc glissé dans l'eau chaude des étuves mais elle commence à peine à se détendre sous la vapeur, sentant que ses muscles lui font beaucoup moins mal, du coup. La petite fille regarde Jusoor quand une autre femme fait son apparition dans la pièce. La gamine fronce les sourcils en la voyant arriver avec un paquet sous le bras et surtout se diriger vers elle. Interrogative, la rouquine laisse parler la femme.

C'est une robe pour vous, mad'moiselle.

Euh...? Ah bon?

La femme secoue la tête.

Des petites filles rouquines aux yeux bleus et qui font la guerre, il y'en a pas des masses, ma petite. Je confirme, cette robe est pour vous.

Un sourire se dessine sur les lèvres de Marine Blanche. On lui offrirait donc une robe? Mais qui donc? Eusaias lui avait promis de lui faire une robe mais elle lui avait dis que ça la gênait.

Qui m'offre donc cette robe?


L'Digoine, mademoiselle ! Mazette, vous allez être toute belle ! Il y'a d'ailleurs un mot pour vous.

La petite fille rougit légèrement et fouille dans ses affaires pour trouver un bout de parchemin avec un charbon. Elle griffonne un petit mot à la va vite car elle préfère mieux remercier Eusaias à vive voix. Elle tend le parchemin à la femme qui part aussiôt.

'ci à vous.

Un regard vers Jusoor en souriant légèrement.
Baptpinst
Depuis quelques jours cette colocation était mise en place.
Depuis quelques jours, même depuis le début de cette cohabitation, Kay et lui même était vu par les autres, comme un petit couple de vieux. Ils n'avaient d'ailleurs pas tort ... ils y ressemblaient comme pas deux, entre les engueulades et les "douces câlinerie" ils s'entendaient plutôt bien!

Mais les caractères de ces deux la sont comme ca, on pourrais croire que peut importe ce qu'il se passe, rien ne pourrais ébranler cette "cohabitation", et pourtant ! Qui sait ce qui peux se passer ?

Mais peu importais au Bapt' ce qu'il pouvait se passer ! Il devais retourner dans la chambre pour chercher son chapeau. Bapt' a cause de Kay qui le tourmente pendant la nuit, il dormait peu, et un Bapt' qui dort peu, c'est dangereux ! Enfin bref, sans son chapeau, ce n'étais pas lui, il se devait donc impérativement, de récupérer son chapeau laisser sur le lit du pseudo couple.


Devant la porte de leurs chambres, il ne prit même pas la peine de toquer

A cette heure la elle ne doit pas être la, la Kay ...

Qu'elle ne fût pas sa surprise quand il vît Kay habillé ainsi ! On pourrais presque croire a une nobliaute si ses cheveux n'étaient pas dans de sales états.
Son premier réflexe fût d'abord de rire, mais pas un rire de moquerie ordinaire, un rire qui laissait finement percevoir l'admiration de la femme qu'il avait devant lui
Puis son deuxième fût .... de se gratter la tête, malheureusement sans pouvoir soulever a chaque fois ...
Enfin bref, après ce fou rire quelque peu admiratif, il resta hébété dans l'encadrement de la porte sans savoir quoi dire ni quoi faire a part lâcher un petit " Wow ... en toute franchise.

Ainsi planté devant la porte a la regarder, si ce n'est l'admirer, car Bapt' n'est qu'un homme et les femmes font partie de l'homme !
Il restait devant a ne rien faire, a ne rien dire, tel un benêt devant une pâquerette des champs
Kayhan
Chambre de Kay - Attente entre la préparation pour la réception eeeeet l'arrivée de son cavalier

La brune est pieds nus, en tenue de gala devant sa glace, à se demander ce que peut bien donner une réception, lors de l'irruption de son compagnon de chambrée, Baptpinst.

P'tain encore, il a pas frappé, se dit-elle après avoir retenu un cri de surprise.

Elle le regarde. Il rit... Le con il se moque !

La collocation est pas évidente pour Kay. L'idée même de cohabiter avec quelqu'un qu'elle connait lui fait monter le tensiomètre dans la zone "danger : crise de nerfs en approche". La voici qui colloquait avec Bapt, qu'elle ne connaissait que depuis quelques jours quand il s'était imposé (oui oui imposé j'vous dis !) dans sa chambre. Et l'auvergnat, ben en plus, il se démerdait d'avoir un caractère de bourrique. Fooorcément, régulièrement, il partait des tartines de tous les côtés, et les rares objets fragiles présents dans la pièce n'avait pas survécu longtemps à son arrivée.

Mais malgré tout, elle devait l'avouer (mais jamais à haute voix, plutôt se faire arracher la glotte), pour rien au monde elle n'aurait souhaiter changer de colocataire. Pour une simple raison déjà : bien qu’horripilant parfois, et d'une mauvaise foi sans égale souvent, il avait le don de la faire rire, même au plus fort de ses colères. Et des colères, elle en faisait quelques unes par jour.

Et le voici qui se bidonnait en la regardant comme s'il avait vu une grenouille porter une couronne, après être rentré sans cogner à cette foutue porte alors que quelques minutes auparavant, elle se battait littéralement avec les cordelettes du bustier de sa robe pour le faire tenir... Y en avait quand même pour lui mettre un vent de première. Ce qu'elle s'apprête d'ailleurs à faire mais...

Citation:
Wow...

Elle penche la tête, cherche à voir s'il se moque. Ah en fait non, il semble trouver sa robe jolie ! Il peut, avec ce qu'elle en a bavé pour l'enfiler... Sourire gêné de la brunette.

- Mais reste pas planté comme piquet. Rentre ! J'dois finir de euh... Brosser mes ch'veux...

Puis à voix basse :

- Dis tu m'diras s'ils couvrent bien mon dos hein, avant d'repartir...
Jusoor
[Etuves toujours - mais sans les cacahuètes (trop humide pour ça)]

L'endroit discret plaisait à Marine, tout autant à Ju, il serait donc parfait. La Baronne finit de retirer son bustier qu'elle posa sur un tabouret prévu à cet effet et se dévêtit jusqu'à ne garder sur elle que la longue chemise de lin fin, par pudeur. Moment propice où les serviteurs ramenèrent savon et serviettes.

Laisser s'asseoir Marine, confortablement, et enfin, s'engouffrer dans le baquet. La Moineaute frémit de la chaleur qui la picota et fit dresser une myriade de petits points sur sa peau. Basiquement, c'était la chair de poule dûe au simple écart froid/chaud... Ju avait arqué un sourcil lorsque Marine s'était dressée pour entrer dans le baquet. Elle avait bien été esquintée la gamine... mais pour ne point la gêner, elle fit mine de n'avoir rien vu.

Adossée à son tour, au bout de quelques secondes Ju aurait été prête à se noyer dans cette eau chaude, muscles soudainement trop souples et membres trop lourds. Tout comme ses paupières qui firent de lapénombre ambiante une nuit profonde. Moment de délice heureux, de félicité qu'elle n'avait connu depuis...


C'est une robe pour vous, mad'moiselle.

Léger sursaut dans le baquet... Mortecouille... Sourcils froncés, Ju assista à l'échange. Par Aristote, son père aura donc offert à l'enfant une jolie robe ? La Blanc-Combaz étira un sourire, et plus encore lorsque Marine lui décocha le sien.

Allez viens Marine ! Ju se dressa dans le baquet. Si nous restons là plus longtemps nous allons flétrir. Allons donc voir ce que cette robe donne sur toi. Connais-tu un endroit où nous pourrons nous préparer ?
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Marineblanche
[ Etuves - Chambre ]

Marine Blanche hôche la tête quand Jusoor lui dis de venir car pour tout dire, c'est qu'elle a une seule hâte, celle d'essayer cette robe ! La gamine attrape un drap où elle s'enroule dedans. Elle appelle quand même son chiot qui est trempé. Un endroit où elles peuvent se préparer? La môme prend un petit temps de reflexion. La chambre ! La chambre où elle était allée roupiller quand elle était vraiment mal en point et blessée.

Suis moi !

Marchant d'un pas moyen, c'est à dire ni lent et ni rapide, la môme sort des étuves en s'assurant que Jusoor ne se perde pas en route car oui, hein ! Ca peut arriver ! Bref. La petite fille ouvre une porte, s'éfface pour laisser rentrer Jusoor. Elle dépose la robe sur le lit en penchant la tête, légèrement sur le côté. C'est qu'elle est belle cette robe quand même ! Un regard vers la femme.

L'a quand même bon goût ton père, ze trouve !

Maintenant, une question se pose. Comment ça se met une robe comme ça? La môme abandonne ses draps pour esssayer de mettre sa robe mais une flopée de jurons s'échappe d'entre les lèvres de Marine Blanche parce qu'elle bataille pour mettre sa robe. Et voila que Roxy s'y met pour jouer, il attrape la robe de la gamine et la tire en mordillant. La mioche va t'elle s'en sortir? Ce n'est pas certain ça !

Roxy...Arrête ! 'tain !

Ordre qui est respecté. Marine Blanche arrive enfin à trouver comment mettre la robe et elle arrive enfin à glisser dedans tranquillement avec le sourire aux lèvres. Elle attrape un peigne et commence à démêler, bien difficilement ses cheveux qui doivent avoir des noeuds de plusieurs mois.

Alors, t'as choisi quoi comme robe, dis?
Jusoor
[Etuves - chambre aussi]

C'est entourée d'un drap pour préserver sa pudeur et besace à l'épaule que Ju suivit l'enfant dans les méandres du Palais. Passant la première la porte de la chambre qui servirait bientôt de salon d'essayage, Ju déposa sa besace sur une chaise et raviva la lumière faiblarde en allumant quelques bougies supplémentaires.

L'avis sur son père la fit sourire et elle s'approcha pour contempler l'objet de la joie enfantine
. Oui, il a un goût certain pour les jolies choses. N'es-tu pas sa cavalière ? Ju caressa la joue de l'enfant du revers de la main, amusée, et se détourna pour quitter le drap humide. La nudité ne la gênait pas particulièrement, sauf devant des étrangers, et Marine n'était pas une étrangère... Chassant les dernières gouttes d'eau de sa peau blanche, elle observe d'un oeil rieur la petite lutter pour domestiquer la robe. Cadeau empoisonné n'est-ce pas Marine ? La Blanc-Combaz éclate de rire alors que l'enfant parvient enfin à s'en vêtir.

Parfait ! tu l'as terrassée ! Elle l'observa encore une seconde, assurée que son père avait bel et bien goût pour les jolies choses.

Alors, t'as choisi quoi comme robe, dis?

Humm ? ah oui ! Jusoor quitte ses pensées fugaces et s'en vient récupérer dans sa besace le paquet reçu quelques heures plus tôt. Vois-tu je n'ai pas choisi vraiment. C'est un présent, ce qui confère à la robe beaucoup de valeur et de plaisir à la porter, comme pour la tienne. Ju défait le paquet et libère le tissu de son carcan, levant les bras suffisamment haut pour que la robe n'effleure pas le parquet encore. Qu'en pense-tu ? elle te plaît ?

Quelques minutes plus tard, la Moineaute avait revêtu sa robe près avoir passé quelques atours dentellés qui se devaient de rester discrets...

Un pied posé de façon cavalière sur la chaise, elle noua sur sa cuisse droite le stylet que son père lui avait donné des années plus tôt. D'ordinaire caché sous sa manche, il ne put cette fois y prendre place, faute d'élégance
.

Un coup de peigne plus tard, Ju observa Marine. Es-tu prête ? Veux-tu que je t'aide pour tes cheveux ?
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Marineblanche
[ Chambre ]

Marine Blanche avait rougi quand Jusoor lui avait caressé la joue et oui, c'est presque un cadeau empoisonné cette robe mais elle lui plaisait, c'est le principal et au final, elle gagne la gamine. La Blanc-Combaz sort une robe qu'on lui a offert. Il est vrai que quand c'est une personne qui offre une robe, on a beaucoup plus de plaisir à la porter et elle prend une certaine valeur que si on l'avait fais faire par un couturier. Jolie robe ! Les yeux de petite s'écarquillent devant la merveille qui s'offre à son regard bleu.

Trop belle ta robe !

Vu l'exclamation rapide la môme, pour sûr qu'elle dit la vérité. Elle détourne le regard pour laisser la femme s'habiller par respect. Pendant ce temps, la gamine bataille de nouveau mais cette fois-ci avec ses cheveux. La rouquine se demande si elle ne doit pas venir armée à cette fête. Elle hésite un petit moment avant de se décider. Elle attrape une dague et la met dans sa besace au cas où. C'est que Eusaias lui a même offert une besace assortie à la robe !

Prête? Bientôt ! Oh euh...J'vais attacher mes cheveux...Ze crois qu'on va en avoir longtemps pour les coiffer et on raterait la fête...

Un chignon? Non, ça lui rappelle trop Angelyque.
Une queue de cheval? Beurk ! Elle déteste ça la gamine.
La drôle de coiffure qu'elle a tout le temps? Il faut savoir changer, parfois.
Des couettes? Elle trouve ça trop enfantin mais n'est-elle pas une enfant? Et parmi les quatres propositions, c'est celle qu'elle préfère le mieux donc elle attrape des rubans et se fait des couettes.


On y va?

Avant de partir, elle appele son fidèle compagnon Roxy pour qu'il les suive.
Jusoor
[Chambre]

Oui Marine, allons-y tu as raison on va être en retard.

Mais n'étant pas femme qu'à demie, Ju laissa traîner son regard sur le miroir avant de sortir... Arf... *grimace* quelquechose n'allait pas, l'ensemble était comme désiquilibré.

Donne moi mon peigne s'il te plaît, dans ma besace. D'une main habituée et rapide, Ju releva sa masse de cheveux noirs, façonna rapidement un chignon qu'on aurait pu qualifier d'artistique, y glissa son peigne pour le maintenir et dissimula le tout sous son chapeau. De toutes façons, tout le monde savait que la soie de cheveux libres n'était souhaitable que dans l'intimité.

Allons-y ! Ju prit dans sa main celle de l'enfant et l'entraîna direction les festivités.
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Beowolf
Beowolf lui sourit à nouveau et lui prend la main en continuant son chemin vers les portes de la salle, il espère qu'elle saura profiter des bienfaits de l'eau chaude. Il la regarde à la dérobée et vois son regard plein de méfiance.

Tu sais Furette, tu ne dois vraiment pas avoir peur, ce n'est qu'une sorte de salle de bain collective, il n'y a rien de dangereux dans tout ça.

Tout en disant cela il continue son chemin et arrive devant les portes qu'il ouvre. En même temps qu'une épaisse vapeur se dégage de l'endroit, il sent une forte chaleur, étouffante mais gage d'une agréable détente.

Il entre donc sentant la main de sa jeune amie se raidir, il la regarde en souriant tendrement et serre doucement sa main.

Ne t'en fait pas, et puis regarde, les bacs sont vide ça signifie que les gens sont sortie vivants. Tu vois qu'il ne faut pas avoir peur.

Il sent que Furette se détend et décide de continuer vers un bac, fendant la vapeur d'eau. Une fois à destination, il lui lâche la main et enlève ses braies mais garde sa chemise puis entre lentement dans l'eau très chaude, savourant ce contact agréable. Ensuite il enlève sa chemise et tourne son regard vers Furette et lui prends la main.

Regarde... Tu vois bien que je ne suis pas entrain de cuire.

Puis en montrant la place qu'il y a en face de lui.

Alors, tu viens dans l'eau?

Il l'a regarde d'un air interrogatif, un sourire tendre sur les lèvres.
Furette
Toujours aussi méfiante, Furette prend la main de Beowolf et le suit. Sa voix calme l'appaise un peu :

Citation:
Tu sais Furette, tu ne dois vraiment pas avoir peur, ce n'est qu'une sorte de salle de bain collective, il n'y a rien de dangereux dans tout ça.


Une salle de bain collective? c'est quoi d'abord une salle de bain? Elle se dit qu'il y a beaucoup de choses qu'elle ne connait pas mais n'ose rien dire.

Il ouvre la porte et de nouveau ce brouillard chaud et humide se colle à leur visage. Furette inquiète sert la main de Beowolf. Elle doit résister pour ne pas le tirer hors de la pièce. Toujours aussi paisible mais sentant que la peur la gagne de plus belle il lui dit :

Citation:
Ne t'en fait pas, et puis regarde, les bacs sont vide ça signifie que les gens sont sortie vivants. Tu vois qu'il ne faut pas avoir peur.


Un peu surprise, elle dégage la vapeur par des grands gestes de sa main libre . Beowolf avait raison, ils étaient bien vides ces bacs.
Il lâche sa main et se dirige vers un bac. Elle toujours un peu douteuse, décide de faire un tour de la salle afin de s'assurer qu'il n'y a aucun danger et aussi de découvrir cette "salle de bain collective".


Elle entend un bruit de seaux au loin et voit quelques valets vidant des bacs qui avaient été utilisés. Nettement plus rassurée, elle revient vers Beowolf qui s'est déjà installé dans un bac :

Citation:
Regarde... Tu vois bien que je ne suis pas entrain de cuire.


Furette sourit un peu confuse de la pagaille qu'elle a provoquée par son ignorance :

je vois surtout que tu n'as pas perdu de temps ! alors, elle est comment cette eau ? tu es sûr que c'est pas trop chaud ? et puis pour cuire, faut un peu de temps hein! tu n'as jamais fait un bouillon de poule? ...ça prend des heures pour cuire....et puis j'ai vu des valets plus loin là, ils vident des bacs, doivent avoir chaud toute la journée ici dedans hein....tu as un costume pour la réception?...moi j'ai une belle robe oui oui....

Sans même lui donner le temps de répondre, elle papote, elle papote pour laisser passer un peu de temps et être bien certaine qu'elle ne risquera rien dans cette eau chaude.

Citation:
Alors, tu viens dans l'eau?


Voyant qu'il se porte à merveille, elle se dit qu'elle peut y aller aussi :

oui oui...

Ignorant son geste de s'installer en face de lui, car elle est très pudique et ne veut pas se dévoiler devant lui, elle se dirige vers le bac derrière lui :

je vais prendre celui ci moi comme ça je ne te dérangerai pas!

Elle pose son drap, se déshabille tout en regardant que personne ne la voit laissant juste sa chemise sur elle. Elle agite l'eau du bac d'une main et la trouve délicieusement bonne en température.
Doucement elle entre dans l'eau un sourire béat aux lèvres :


mmmhhh....elle est...euh...parfaite !

Appréciant de plus en plus d'être là elle commence à s'éclabousser en riant et à se frotter énergiquement :

faut se dépêcher Beo, on est déjà en retard pour la réception, vite vite....

Tout en lui parlant, elle l'éclabousse aussi pour qu'il se dépêche.

Une fois bien propre de partout, elle sort du bac et s'enveloppe bien vite de son drap. Elle ramasse ses habits et ses bottes et se dirige vers la sortie :


merci Beo de m'avoir ramenée ici, sans toi je n'aurai jamais découvert tout ça! ...on se retrouve plus tard à la réception alors...

Elle lui sourit tout en agitant ses bottes en guise de salut.
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Baptpinst
Toujours devant la porte, a moitié en admiration et a moitié amusé, voir Kay dans une telle robe avait tout de comique, cet effet comique s'accentuait alors que d'un coté il y avait cette robe magnifique et de l'autre ,sa tête avec ses cheveux en bataille, emmêlés comme pas possible, de plus elle avait cette expression de " je ne sais pas quoi dire, pas quoi faire" cette expression de " je lui en met une ou pas ?"

Bref, aux mots de cette femme enrobé ( Gné ? ) lui demandant de rentré et de ne pas resté sur le pas de la porte, il .... bin il rentra ! Il n'avait aucune envie de rester ici a ne rien faire ! Mais surtout il rentra parce qu'il avait bien vu le petit sourire timide, gêné voir même pudique de la brunette.
Un sourire tout mignon, il ne pouvait pas dire non avec un éclat de sourire pareil.


Tu dois finir de te brosser les cheveux ? Tu ne devrais pas commencer plutôt parce que la, sa ressemble plus a un champ de bataille qu'a une coiffure !

Quand il entendit la petite phrase chuchotée de sa caille, il se dirigea vers elle et regarda son dos, il se colla presque a elle, en laissant quelques espaces tout de même et passa son doigt tout doucement survolant presque les quelques zébrures qui dépassaient de la robe, puis lui chuchota a l'oreille : Tu ne devrais pas avoir honte de ton dos tu sais ... avant de lui remonter sa robe et de faire en sorte qu'elle cache ses zébrures.
Puis s'écarta enfin un peu pour voir le résultat
Beowolf
Beowolf est un peu surpris quand il entend Furette lui dire qu'elle va dans un autre bac, en particulier quand elle ajoute que c'est pour ne pas le déranger mais il comprend rapidement que c'est en réalité par pudeur qu'elle a réagi de cette façon et il la comprend aussi n'insiste-t-il pas pour qu'elle vienne avec lui.

Comme dans un état second, il se détend presque entièrement plongé dans l'eau lorsqu'il en entend sa jeune amie lui dire de se dépêcher sent de l'eau l'éclabousser. Il se met à sourire en entendant le rire de Furette. Il aime ce rire plein de vie et de soleil. Il se décide finalement à l'écouter et arrête de se prélasser pour se laver énergiquement.

Puis il entend Furette sortir de l'eau et la voit prendre la direction de la sortie enveloppée d'un drap, il l'observe à travers la fumée et se dit qu'elle est vraiment jolie. Arrivée près de la porte et se retourne et lui sourit en lui disant au revoir, il lui répond de la main en se disant que, décidément, il aimait cette belle jeune femme qu'il avait connu à Chinon.

Pendant que son amie sort et se rend à la fête, il termine de se laver et sors du bac avant de remettre ses braies. Ensuite il met ses chausses attrape sa chemise mouillée et prend la direction de la porte pour retourner à son campement, qu'il a installé près de la ville, pour prendre des vêtements propres et se rendre à la réception.
Kayhan
[Chambre de Kay, toujours - Entre la préparation pour la réception eeeeet l'arrivée de son cavalier, toujours aussi]

Kay regarde entrer son coloc, et prend sa vanne....

Grmblblblbl celui là il peut pas s'en empêcher !

A sa demande, il vérifie que sa chevelure cache bien les marques laissées sur son dos par une vieille punition, elle doit l'admettre plus ou moins méritée. Étonnant Baptpinst. Capable de lui coller un taquet monumental, et la minute d'après, de lui faire lever les deux sourcils d'étonnement par une discrète gentillesse.

Ce soir encore, il la surprend par un égard auquel elle ne s'attend pas. Kay sursaute un peu en sentant le doigt de son colocataire effleurer le haut marqué de son dos. Ces marques qu'elle déteste parce qu'elles sont pour elle une honte qu'il convient de cacher. Quelques mots simples murmurés à son oreille, et un geste attentionné lui font monter le rose aux joues, chose rarissime chez elle, et lui redonnent le sourire.

Elle en reste coite quand il s'éloigne un peu pour regarder le résultat, et avant qu'il ne reparte de la chambrée avec son indévissable chapeaux, avant que son cavalier ne vienne la chercher pour la conduire à la réception, elle décide qu'un pas en avant doit être suivi d'un autre. Alors, elle lui lance juste avant qu'il ne repasse la porte, de manière directe et embarrassée car elle ne sait pas faire dans le tralala :

- Hééé... Bapt. T'sais quoi ? J'crois qu'on devrait lever l'pied sur les accrochages. Pis flûte. D'toute façon c't'une évidence. J'adore t'avoir comme coloc...

Petite pensée de Kay, qui plante son regard sur les traits de Baptpinst en guettant une éventuelle moquerie de sa part avant qu'il ne sorte et ne la laisse éventuellement en pétard : Là, s'il rit, je lui colle mon genoux dans les noix ! Un pas en avant, suivi d'un autre donc. Finalement la brunette prend peut être sa première leçon de danse sans le savoir.
Gatimasse
Dans les rues de Bourges

Gati était arrivée a Bourges il y a quelques jours.
Que faisait-elle là ?
Elle avait été condamnée pour haute trahison suite a sa démission.
Sa peine ?
Venir a Bourges aider à la régence.
Le truc a pas faire : retour aux beuveries, aux complots avec sa caille...
Ah sa caille ! de plus, Gati revoyait son maitre! que de bonnes choses a venir donc.

Nouveaux projets ?
Gati, la s*alope furieuse : ce sera son nouveau surnom.

Premier objectif trouver Kay... hum...


Oh toi là!

Hum moi?

oui toi qui ne fais rien, indique moi où se trouve Kayhan la pépée.

Sympa m'dame... euh La pépée, euh... elle est au bal, dans le palais je pense


un bal...? hum ..Merci pour ce précieux renseignement!

Alors le palais, bon ca doit etre le grand truc au bout de la rue. Il y a de la lumière et du bruit. Heureusement Gati ne s'habillait jamais en guenille!
Mais comment doit-elle s'annoncer ? Elle arrive, condamnée a accomplir sa peine et se pointe a un bal... y'a pire comme peine vous me direz...!
Elle entra, les gardes, tourangeaux apparemment, la laissèrent avancer et pénétrer dans la salle. Falco. les avait prévenu ? ou se souvenaient-ils d'elle ? Quoiqu'il en soit, elle vit le vin en premier lieu, ce sera son premier arrêt!

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Enragée, énervée, méchante, tous les défauts du monde réunis en un même être.
***
La vengeance serait donc mon seul moteur de vie ?
Kayhan
[Chambre de Kay, toujours - Entre la préparation pour la réception eeeeet l'arrivée de son cavalier, suite et fin de la bulle spatio-temporelle] :

Fin de la leçon de danse visiblement, Kay regarde Bapt sortir de la chambre en silence. Soit ! Partie remis sans doute. En attendant, il lui restait à finir de se préparer. Son cavalier du soir ne tarderai pas. Aussi elle retourne devant son miroir.
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